
larme
Description
Introduction au livre
L'auteure Annyeongdal, qui a créé un univers fantastique enchanteur, présente une nouvelle histoire pour les lecteurs adultes avec son nouvel ouvrage, « Eyes, Water ». Cette œuvre dépeint le temps et l'espace d'une femme qui lutte pour sauver son enfant qui se liquéfie et disparaît. Loin d'éluder cette histoire sombre et douloureuse, elle l'affronte de front et interroge la possibilité du bonheur pour les personnes marginalisées, hors des sentiers battus, et leur volonté, elles aussi, de protéger ce qui leur est cher. Cet ouvrage nous permet d'entrevoir la sensibilité unique de l'auteur, restée jusqu'ici secrète, tout en confirmant son talent exceptionnel de conteur capable de créer de longs récits. C'est une voix grave qui affirme qu'aucun être au monde ne peut être effacé, et que chacun a le droit de protéger ce qui lui est précieux. |
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Aperçu
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Avis de l'éditeur
★ Recommandé par la romancière Jeong Se-rang ★
Je veux vous donner ce livre douloureux, page après page.
Pourquoi est-il toujours si difficile de protéger l'amour ? Dans un monde où tout semble ruiné, je veux lire ce livre avec des gens qui ont volontairement été blessés et poignardés, qui ont travaillé sans relâche pour protéger quelque chose, qui ont perdu et se sont perdus à nouveau.
Ce serait agréable de lire chaque histoire différemment.
Peu importe ce que je déterrerai dans les marges du livre, je ne pense pas y trouver un réconfort facile.
Il faut parfois souffrir pour nous sortir de notre torpeur.
C'est pourquoi je veux vous présenter ce livre douloureux, page après page.
« Par une nuit d’hiver, une femme a donné naissance à un bébé de neige. »
Bonjour, auteur préféré de tous, Annyeongdal
Un nouveau récit dense et complet
À ceux qui se sont efforcés de protéger quelque chose
Annyeongdal, une écrivaine aimée de toutes les générations, a publié son nouvel ouvrage, « Eyes, Water ».
L'auteur, qui a créé un univers fantastique enchanteur qui abolit instantanément les frontières entre enfants et adultes grâce à des albums illustrés tels que « Watermelon Swimming Pool », « Carrot Kindergarten » et « Snow Child », présente pour la première fois une œuvre destinée aux lecteurs adultes.
Il relate l'histoire d'une femme qui donne naissance à un « enfant des neiges » qui fond lorsqu'on le prend dans ses bras, et qui se rend en ville pour trouver un dispositif permettant de sauver l'enfant.
Cet album illustré, d'une longueur maximale, minimise l'utilisation du texte et poursuit l'histoire de 288 pages uniquement grâce au pouvoir des illustrations, ce qui en fait une tentative remarquable de dépasser les limites du format du genre.
C’est une histoire que l’auteur a mûrie et peaufinée pendant cinq ans, à partir de 2017.
L'auteur, contemplant la neige qui brille d'un éclat éblouissant mais fond rapidement au soleil et devient collante, pensa à « l'enfant des neiges », un être qui disparaît dans la chaleur.
Et à partir de ce motif, il a créé deux œuvres complètement différentes, 『Enfant des neiges』 et 『Neige, Eau』.
À travers cet ouvrage, les lecteurs pourront savourer le plaisir de découvrir les sensibilités intérieures jusque-là insoupçonnées de l'auteur, tout en confirmant son talent exceptionnel de « conteur ».
« Eyes, Water » suit de près la situation de cette femme isolée, confrontant sa douleur sans jamais oublier que chacun a un désir désespéré de protéger ce qui lui est précieux.
Dans la partie la plus sombre du spectre Hello Moon, une œuvre d'art est née, qui fait rayonner le cœur le plus précieux.
Les fantômes peuvent-ils être heureux ?
Une ombre peut-elle même protéger ce qui est précieux ?
« Always Winter », un dispositif permettant à « Snow Child » de rester en sécurité, est trop cher pour qu'une femme puisse l'acquérir.
La femme travaille dur pour acheter « Always Winter », mais dans cette ville brillante, trépidante et prospère, elle finit par devenir un fantôme, une ombre, invisible aux yeux de tous.
Bien que la ville regorge de slogans évoquant le « paradis », la « détente » et le « repos », paradoxalement, les femmes y sont dépeintes comme étant encore plus pressées par le temps et n'ayant d'autre choix que d'errer.
L'enfant des neiges est facilement interprété comme symbolisant l'anormalité, et « Toujours l'hiver » comme symbolisant le système de protection sociale nécessaire pour accepter l'anormalité.
Il n’est pas difficile d’imaginer des personnes dans la vie réelle qui, comme le protagoniste de « Eyes, Water », vivent dans un angle mort, « étant là mais pas vraiment là ».
L'auteur observe ces personnages et se demande sérieusement si le monde dans lequel nous vivons est un monde où même ceux qui vivent comme des fantômes et des ombres peuvent être heureux, et si c'est un monde où ils peuvent volontairement protéger ce qui leur est cher.
Un espace-temps fantastique et réel savamment conçu
Un regard qui protège « les gens hors des frontières »
"Eyes, Water" est un chef-d'œuvre qui déroule une longue histoire du début à la fin en un seul souffle, grâce à une intrigue soigneusement élaborée, une représentation délicate du temps et de l'espace, et une mise en scène diversifiée.
Ce thème est notamment puissamment véhiculé par le contraste marqué entre les deux espaces que sont le domicile de la femme et la ville.
La petite maison délabrée de la femme est vide à l'intérieur comme à l'extérieur, comme un aspirateur.
L'espace de cette femme peut sembler un fantasme, mais lorsque je vois une scène la représentant repoussée par l'immense forêt d'immeubles de la ville, cela me rappelle un lieu précis de la réalité.
La ville que vit une femme, un « être hors des limites », est un espace animé mais feutré où personne ne fait de véritable bruit, et où seul le tic-tac de l'horloge résonne bruyamment comme une loi.
Cela contraste avec les rires et les chants, faibles mais chaleureux, qui proviennent de la maison de la femme, révélant symboliquement que les lieux recelant des choses précieuses peuvent facilement disparaître.
Pour pouvoir travailler en ville, les femmes doivent revêtir des formes inhumaines, comme des avions ou des climatiseurs. Cette situation illustre malheureusement un aspect de l'espace urbain où certaines personnes ne bénéficient d'aucune garantie de dignité ni de droits humains.
La réalisation est également habile dans le réglage de la vitesse de défilement des pages, ce qui donne au récit un sentiment d'urgence.
Tandis que les illustrations, finement découpées, révèlent l'image de la femme qui s'enfuit, on tourne les pages sans s'arrêter, le souffle coupé. En nous montrant la glace qu'elle vendait fondre, l'auteur nous fait prendre conscience, impuissant, que rien de ce qu'elle possède ne pourra jamais nous apporter ce que nous désirons.
Cependant, la fin, où la femme rentre chez elle avec « Always Winter », nous indique que personne au monde ne mérite d'être effacé et que chacun a le droit de protéger ce qui lui est précieux.
« Eyes, Water » pourrait être l'histoire de tous ceux qui vivent avec quelque chose qu'ils veulent protéger dans leur cœur.
Ce travail, qui soutient la volonté de ne jamais abandonner en épaulant une personne en difficulté jusqu'à la toute fin, nous donne du courage.
Je veux vous donner ce livre douloureux, page après page.
Pourquoi est-il toujours si difficile de protéger l'amour ? Dans un monde où tout semble ruiné, je veux lire ce livre avec des gens qui ont volontairement été blessés et poignardés, qui ont travaillé sans relâche pour protéger quelque chose, qui ont perdu et se sont perdus à nouveau.
Ce serait agréable de lire chaque histoire différemment.
Peu importe ce que je déterrerai dans les marges du livre, je ne pense pas y trouver un réconfort facile.
Il faut parfois souffrir pour nous sortir de notre torpeur.
C'est pourquoi je veux vous présenter ce livre douloureux, page après page.
« Par une nuit d’hiver, une femme a donné naissance à un bébé de neige. »
Bonjour, auteur préféré de tous, Annyeongdal
Un nouveau récit dense et complet
À ceux qui se sont efforcés de protéger quelque chose
Annyeongdal, une écrivaine aimée de toutes les générations, a publié son nouvel ouvrage, « Eyes, Water ».
L'auteur, qui a créé un univers fantastique enchanteur qui abolit instantanément les frontières entre enfants et adultes grâce à des albums illustrés tels que « Watermelon Swimming Pool », « Carrot Kindergarten » et « Snow Child », présente pour la première fois une œuvre destinée aux lecteurs adultes.
Il relate l'histoire d'une femme qui donne naissance à un « enfant des neiges » qui fond lorsqu'on le prend dans ses bras, et qui se rend en ville pour trouver un dispositif permettant de sauver l'enfant.
Cet album illustré, d'une longueur maximale, minimise l'utilisation du texte et poursuit l'histoire de 288 pages uniquement grâce au pouvoir des illustrations, ce qui en fait une tentative remarquable de dépasser les limites du format du genre.
C’est une histoire que l’auteur a mûrie et peaufinée pendant cinq ans, à partir de 2017.
L'auteur, contemplant la neige qui brille d'un éclat éblouissant mais fond rapidement au soleil et devient collante, pensa à « l'enfant des neiges », un être qui disparaît dans la chaleur.
Et à partir de ce motif, il a créé deux œuvres complètement différentes, 『Enfant des neiges』 et 『Neige, Eau』.
À travers cet ouvrage, les lecteurs pourront savourer le plaisir de découvrir les sensibilités intérieures jusque-là insoupçonnées de l'auteur, tout en confirmant son talent exceptionnel de « conteur ».
« Eyes, Water » suit de près la situation de cette femme isolée, confrontant sa douleur sans jamais oublier que chacun a un désir désespéré de protéger ce qui lui est précieux.
Dans la partie la plus sombre du spectre Hello Moon, une œuvre d'art est née, qui fait rayonner le cœur le plus précieux.
Les fantômes peuvent-ils être heureux ?
Une ombre peut-elle même protéger ce qui est précieux ?
« Always Winter », un dispositif permettant à « Snow Child » de rester en sécurité, est trop cher pour qu'une femme puisse l'acquérir.
La femme travaille dur pour acheter « Always Winter », mais dans cette ville brillante, trépidante et prospère, elle finit par devenir un fantôme, une ombre, invisible aux yeux de tous.
Bien que la ville regorge de slogans évoquant le « paradis », la « détente » et le « repos », paradoxalement, les femmes y sont dépeintes comme étant encore plus pressées par le temps et n'ayant d'autre choix que d'errer.
L'enfant des neiges est facilement interprété comme symbolisant l'anormalité, et « Toujours l'hiver » comme symbolisant le système de protection sociale nécessaire pour accepter l'anormalité.
Il n’est pas difficile d’imaginer des personnes dans la vie réelle qui, comme le protagoniste de « Eyes, Water », vivent dans un angle mort, « étant là mais pas vraiment là ».
L'auteur observe ces personnages et se demande sérieusement si le monde dans lequel nous vivons est un monde où même ceux qui vivent comme des fantômes et des ombres peuvent être heureux, et si c'est un monde où ils peuvent volontairement protéger ce qui leur est cher.
Un espace-temps fantastique et réel savamment conçu
Un regard qui protège « les gens hors des frontières »
"Eyes, Water" est un chef-d'œuvre qui déroule une longue histoire du début à la fin en un seul souffle, grâce à une intrigue soigneusement élaborée, une représentation délicate du temps et de l'espace, et une mise en scène diversifiée.
Ce thème est notamment puissamment véhiculé par le contraste marqué entre les deux espaces que sont le domicile de la femme et la ville.
La petite maison délabrée de la femme est vide à l'intérieur comme à l'extérieur, comme un aspirateur.
L'espace de cette femme peut sembler un fantasme, mais lorsque je vois une scène la représentant repoussée par l'immense forêt d'immeubles de la ville, cela me rappelle un lieu précis de la réalité.
La ville que vit une femme, un « être hors des limites », est un espace animé mais feutré où personne ne fait de véritable bruit, et où seul le tic-tac de l'horloge résonne bruyamment comme une loi.
Cela contraste avec les rires et les chants, faibles mais chaleureux, qui proviennent de la maison de la femme, révélant symboliquement que les lieux recelant des choses précieuses peuvent facilement disparaître.
Pour pouvoir travailler en ville, les femmes doivent revêtir des formes inhumaines, comme des avions ou des climatiseurs. Cette situation illustre malheureusement un aspect de l'espace urbain où certaines personnes ne bénéficient d'aucune garantie de dignité ni de droits humains.
La réalisation est également habile dans le réglage de la vitesse de défilement des pages, ce qui donne au récit un sentiment d'urgence.
Tandis que les illustrations, finement découpées, révèlent l'image de la femme qui s'enfuit, on tourne les pages sans s'arrêter, le souffle coupé. En nous montrant la glace qu'elle vendait fondre, l'auteur nous fait prendre conscience, impuissant, que rien de ce qu'elle possède ne pourra jamais nous apporter ce que nous désirons.
Cependant, la fin, où la femme rentre chez elle avec « Always Winter », nous indique que personne au monde ne mérite d'être effacé et que chacun a le droit de protéger ce qui lui est précieux.
« Eyes, Water » pourrait être l'histoire de tous ceux qui vivent avec quelque chose qu'ils veulent protéger dans leur cœur.
Ce travail, qui soutient la volonté de ne jamais abandonner en épaulant une personne en difficulté jusqu'à la toute fin, nous donne du courage.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 10 juin 2022
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 288 pages | 594 g | 145 × 200 × 25 mm
- ISBN13 : 9788936455880
- ISBN10 : 8936455885
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