
jugement
Description
Introduction au livre
Un jugement spécial qui commence après la mort Bernard Werber, auteur à succès très apprécié des lecteurs coréens, a publié son nouvel ouvrage, Le Procès, traduit par Jeon Mi-yeon, spécialiste de la littérature française, aux éditions Open Books. « Le Procès » est une pièce que Berber a tenté de recréer après « L'Humain », et elle met en scène avec humour un débat entre un juge, un procureur, un avocat et un accusé dans une salle d'audience céleste. Cette œuvre, qui brille par l'imagination et l'humour uniques de Berber, est une pièce de théâtre, mais se lit comme un roman. Le titre original était « Bienvenue au paradis » et le livre a été publié en France en 2015, avec plus de 40 000 exemplaires vendus. En France, il a été mis en scène à trois reprises, en 2017, 2018 et 2019. « Le Jugement » se compose de trois actes. Dans l'acte 1, le protagoniste, décédé pendant une opération chirurgicale, arrive au paradis sans se rendre compte qu'il est mort et rencontre successivement un avocat, un procureur et un juge. L'acte 2 est consacré au retour sur la vie passée du protagoniste, et l'acte 3 au choix de sa vie future. Le protagoniste est Anatole Pichon, décédé récemment. Ironie du sort, il devint accusé dès sa mort, lui qui avait été juge de son vivant. Grand fumeur, il a développé un cancer du poumon et a subi une intervention chirurgicale en pleine période des fêtes, alors que le personnel était insuffisant, mais il n'a finalement pas survécu. Il peut désormais demeurer au ciel selon le jugement, ou bien il peut devoir naître de nouveau. Anatol insiste sur le fait qu'il a toujours été un bon élève, un bon citoyen, un bon mari et père, et un bon travailleur, et Caroline, son ange gardien et protectrice, essaie elle aussi de mettre en avant ses qualités. Mais le procureur Bertrand découvre un crime inattendu. Anatole parviendra-t-il à échapper à la peine de mort, ou plutôt à la « peine de prison à perpétuité » que représente la renaissance ? |
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Aperçu
indice
Acte 1 : Arrivée au Ciel
Acte 2 : Bilan des vies antérieures
Acte 3 : Préparation à la vie suivante
Note du traducteur
Acte 2 : Bilan des vies antérieures
Acte 3 : Préparation à la vie suivante
Note du traducteur
Dans le livre
Gabriel : Bref, les règles sont claires.
L'accusé doit venir en connaissance de cause.
Anatole, de quoi parles-tu ?
Vous savez, Bertrand , Monsieur Pichon, à la fin d'une vie bien remplie, il arrive toujours un moment fatidique.
Il faut savoir quand quitter la scène.
Anatole, de quoi parles-tu ? Où est le professeur Azemiang ?
Caroline (à Gabriel et Bertrand) Laissez-moi faire.
(À Anatol) Alors, le problème avec cette « chirurgie de la dernière chance »… … eh bien, c’est… … comment devrais-je l’expliquer… … laissez-moi vous dire… … .
Acceptez que l'espoir puisse parfois être capricieux.
Bertrand , écoutez-moi, Monsieur Pichon, vous êtes… …mort.
Un moment de silence.
Caroline a l'air gênée.
Gabriel, surpris par la rapidité d'action de Bertrand, était également gêné par ses paroles abruptes.
Anatole (éclatant soudainement de rire) Non, vous voulez que je croie ça, je… …!
--- pp.71~72
Anatole, que sais-tu ?
Caroline sait tout.
Anatole, tu essaies de me faire perdre tout intérêt pour la vie ?
Caroline, j'essaie de te donner envie de poursuivre ton aventure.
Souviens-toi que ton âme est jeune.
C'est comme un enfant.
Nous ne devons pas enfermer cette âme dans une coquille si étriquée, mais la laisser grandir, mûrir et évoluer.
Anatole, qui diable es-tu ? Quelle est ton identité, celle dont tu me parles ? Peut-être n'existes-tu même pas.
Je suis encore à moitié endormie après l'opération.
Elle lui tend la main.
Il hésite, puis prend sa main et la touche.
Caroline, je suis ton ange gardien.
Anatole Aha… … Je vois, c'est un service psychiatrique.
--- p.87
Le corps d'Anatole, ne réagissant plus aux chocs, apparaît à l'écran.
Après avoir vérifié le pouls, les infirmières ont échangé des signaux indiquant qu'elles étaient dans un état où elles ne pouvaient plus intervenir, puis ont commencé à débrancher l'appareil.
Deux autres infirmières sont arrivées, ont enveloppé le corps d'Anatol dans un drap noir et l'ont fermé à la fermeture éclair.
Un corps enveloppé dans une couverture est placé sur un lit à roulettes.
Anatole, que fais-tu ?
Gabriel : Ce n'est rien.
La caméra suit le corps sur un brancard à roulettes.
Son corps, descendu au sous-sol de l'hôpital, est transporté au crématorium.
Anatole : Non, ce n'est rien de spécial.
C'est mon corps !
Un homme portant un tablier apparaît.
Mais qu'est-ce qu'Anatole me fait ?
Caroline : Mon corps n'est plus qu'un objet, Monsieur Pichon, alors cessez de vous en préoccuper.
--- pp.93~94
Gabriel , écoute bien, je vais t'expliquer la situation.
Votre âme se réincarnera en fœtus qui naîtra dans quelques secondes.
Vous devez donc choisir un utérus prêt à donner naissance à un garçon.
Vous avez de la chance.
Il y en a presque un sur chaque continent maintenant.
Voyons voir… …Il y a des cas très précieux.
Le fils d'un maharajah qui naîtra à Genève, le fils du dictateur de la République démocratique du Congo, et peut-être même le fils d'un dignitaire cubain à Miami, si cela est possible, bien qu'il ne soit peut-être plus de ce monde.
Et Anatole France ?
Gabriel (vérifiant la liste) France… … Attendez, je vais le chercher… … Un, deux, trois… … six !
Anatole, je ne crois pas pouvoir vivre sans bon fromage.
Je veux me réincarner en France.
Pourquoi Bertrand ne serait-il pas aussi curieux ?
Gabriel (prenant des notes) D'accord.
Monsieur Pichon, quel style d'éducation parentale préférez-vous ?
Anatol : J'imagine que les parents peuvent aussi choisir ?
Caroline, bien sûr.
Nous avons tous choisi nos parents avant de naître.
C'est pourquoi je ne peux pas vraiment les blâmer.
Gabriel (levant ses lunettes pour vérifier la liste) Ce que je peux vous dire concernant vos parents, c'est… … .
L'accusé doit venir en connaissance de cause.
Anatole, de quoi parles-tu ?
Vous savez, Bertrand , Monsieur Pichon, à la fin d'une vie bien remplie, il arrive toujours un moment fatidique.
Il faut savoir quand quitter la scène.
Anatole, de quoi parles-tu ? Où est le professeur Azemiang ?
Caroline (à Gabriel et Bertrand) Laissez-moi faire.
(À Anatol) Alors, le problème avec cette « chirurgie de la dernière chance »… … eh bien, c’est… … comment devrais-je l’expliquer… … laissez-moi vous dire… … .
Acceptez que l'espoir puisse parfois être capricieux.
Bertrand , écoutez-moi, Monsieur Pichon, vous êtes… …mort.
Un moment de silence.
Caroline a l'air gênée.
Gabriel, surpris par la rapidité d'action de Bertrand, était également gêné par ses paroles abruptes.
Anatole (éclatant soudainement de rire) Non, vous voulez que je croie ça, je… …!
--- pp.71~72
Anatole, que sais-tu ?
Caroline sait tout.
Anatole, tu essaies de me faire perdre tout intérêt pour la vie ?
Caroline, j'essaie de te donner envie de poursuivre ton aventure.
Souviens-toi que ton âme est jeune.
C'est comme un enfant.
Nous ne devons pas enfermer cette âme dans une coquille si étriquée, mais la laisser grandir, mûrir et évoluer.
Anatole, qui diable es-tu ? Quelle est ton identité, celle dont tu me parles ? Peut-être n'existes-tu même pas.
Je suis encore à moitié endormie après l'opération.
Elle lui tend la main.
Il hésite, puis prend sa main et la touche.
Caroline, je suis ton ange gardien.
Anatole Aha… … Je vois, c'est un service psychiatrique.
--- p.87
Le corps d'Anatole, ne réagissant plus aux chocs, apparaît à l'écran.
Après avoir vérifié le pouls, les infirmières ont échangé des signaux indiquant qu'elles étaient dans un état où elles ne pouvaient plus intervenir, puis ont commencé à débrancher l'appareil.
Deux autres infirmières sont arrivées, ont enveloppé le corps d'Anatol dans un drap noir et l'ont fermé à la fermeture éclair.
Un corps enveloppé dans une couverture est placé sur un lit à roulettes.
Anatole, que fais-tu ?
Gabriel : Ce n'est rien.
La caméra suit le corps sur un brancard à roulettes.
Son corps, descendu au sous-sol de l'hôpital, est transporté au crématorium.
Anatole : Non, ce n'est rien de spécial.
C'est mon corps !
Un homme portant un tablier apparaît.
Mais qu'est-ce qu'Anatole me fait ?
Caroline : Mon corps n'est plus qu'un objet, Monsieur Pichon, alors cessez de vous en préoccuper.
--- pp.93~94
Gabriel , écoute bien, je vais t'expliquer la situation.
Votre âme se réincarnera en fœtus qui naîtra dans quelques secondes.
Vous devez donc choisir un utérus prêt à donner naissance à un garçon.
Vous avez de la chance.
Il y en a presque un sur chaque continent maintenant.
Voyons voir… …Il y a des cas très précieux.
Le fils d'un maharajah qui naîtra à Genève, le fils du dictateur de la République démocratique du Congo, et peut-être même le fils d'un dignitaire cubain à Miami, si cela est possible, bien qu'il ne soit peut-être plus de ce monde.
Et Anatole France ?
Gabriel (vérifiant la liste) France… … Attendez, je vais le chercher… … Un, deux, trois… … six !
Anatole, je ne crois pas pouvoir vivre sans bon fromage.
Je veux me réincarner en France.
Pourquoi Bertrand ne serait-il pas aussi curieux ?
Gabriel (prenant des notes) D'accord.
Monsieur Pichon, quel style d'éducation parentale préférez-vous ?
Anatol : J'imagine que les parents peuvent aussi choisir ?
Caroline, bien sûr.
Nous avons tous choisi nos parents avant de naître.
C'est pourquoi je ne peux pas vraiment les blâmer.
Gabriel (levant ses lunettes pour vérifier la liste) Ce que je peux vous dire concernant vos parents, c'est… … .
--- pp.176~177
Avis de l'éditeur
Un jugement spécial qui commence après la mort
Bernard Werber, auteur à succès très apprécié des lecteurs coréens, a publié son nouvel ouvrage, Le Procès, traduit par Jeon Mi-yeon, spécialiste de la littérature française, aux éditions Open Books.
« Le Procès » est une pièce que Berber a tenté de recréer après « L'Humain », et elle met en scène avec humour un débat entre un juge, un procureur, un avocat et un accusé dans une salle d'audience céleste.
Cette œuvre, qui brille par l'imagination et l'humour uniques de Berber, est une pièce de théâtre, mais se lit comme un roman.
Le titre original était « Bienvenue au paradis » et le livre a été publié en France en 2015, avec plus de 40 000 exemplaires vendus.
En France, il a été mis en scène à trois reprises, en 2017, 2018 et 2019.
Le péché de ne pas reconnaître sa destinée, le péché de gaspiller ses talents… Avouez-vous vos péchés ?
« Le Jugement » se compose de trois actes.
Dans l'acte 1, le protagoniste, décédé pendant une opération chirurgicale, arrive au paradis sans se rendre compte qu'il est mort et rencontre successivement un avocat, un procureur et un juge.
L'acte 2 est consacré au retour sur la vie passée du protagoniste, et l'acte 3 au choix de sa vie future.
Le protagoniste est Anatole Pichon, décédé récemment.
Ironie du sort, il devint accusé dès sa mort, lui qui avait été juge de son vivant.
Grand fumeur, il a développé un cancer du poumon et a subi une intervention chirurgicale en pleine période des fêtes, alors que le personnel était insuffisant, mais il n'a finalement pas survécu.
Il peut désormais demeurer au ciel selon le jugement, ou bien il peut devoir naître de nouveau.
Anatol insiste sur le fait qu'il a toujours été un bon élève, un bon citoyen, un bon mari et père, et un bon travailleur, et Caroline, son ange gardien et protectrice, essaie elle aussi de mettre en avant ses qualités.
Mais le procureur Bertrand découvre un crime inattendu.
Anatole parviendra-t-il à échapper à la peine de mort, ou plutôt à la « peine de prison à perpétuité » que représente la renaissance ?
Une pièce qui brille par son imagination et son humour
Malgré le sujet grave du « jugement des morts », les critiques de la presse internationale concernant « Le Jugement dernier » se sont unanimement concentrées sur l'humour de l'œuvre.
L'humour a toujours été un élément clé de l'œuvre de Berber, mais il ressort encore plus dans Le Procès, dont la longueur et la structure sont considérablement plus compactes que celles de ses romans habituels.
Berber excelle dans les jeux de mots et les blagues classiques, mais sa force réside dans le rire que suscitent ses tournures uniques.
Il utilise activement son regard lorsqu'il tape au clavier pour déformer les choses.
Parfois, nous regardons les humains, et nous-mêmes, à travers les yeux des insectes et des animaux, et parfois à travers les yeux d'esprits errants ou d'anges.
Cette œuvre situe également l'action dans une cour céleste où règnent un système de valeurs et un code moral différents de ceux de la Terre, et aborde naturellement les questions sociales et les préjugés.
L'histoire d'Anatole Pichon, qui fut juge de son vivant mais qui, ironiquement, finit par être jugé.
C'est une œuvre vraiment agréable.
- Féminin
Une pièce pleine d'humour léger et spirituel.
- BlancVlan
Humour décalé et amusant, histoire haute en couleur.
- L'Express Suisse
Bernard Werber, auteur à succès très apprécié des lecteurs coréens, a publié son nouvel ouvrage, Le Procès, traduit par Jeon Mi-yeon, spécialiste de la littérature française, aux éditions Open Books.
« Le Procès » est une pièce que Berber a tenté de recréer après « L'Humain », et elle met en scène avec humour un débat entre un juge, un procureur, un avocat et un accusé dans une salle d'audience céleste.
Cette œuvre, qui brille par l'imagination et l'humour uniques de Berber, est une pièce de théâtre, mais se lit comme un roman.
Le titre original était « Bienvenue au paradis » et le livre a été publié en France en 2015, avec plus de 40 000 exemplaires vendus.
En France, il a été mis en scène à trois reprises, en 2017, 2018 et 2019.
Le péché de ne pas reconnaître sa destinée, le péché de gaspiller ses talents… Avouez-vous vos péchés ?
« Le Jugement » se compose de trois actes.
Dans l'acte 1, le protagoniste, décédé pendant une opération chirurgicale, arrive au paradis sans se rendre compte qu'il est mort et rencontre successivement un avocat, un procureur et un juge.
L'acte 2 est consacré au retour sur la vie passée du protagoniste, et l'acte 3 au choix de sa vie future.
Le protagoniste est Anatole Pichon, décédé récemment.
Ironie du sort, il devint accusé dès sa mort, lui qui avait été juge de son vivant.
Grand fumeur, il a développé un cancer du poumon et a subi une intervention chirurgicale en pleine période des fêtes, alors que le personnel était insuffisant, mais il n'a finalement pas survécu.
Il peut désormais demeurer au ciel selon le jugement, ou bien il peut devoir naître de nouveau.
Anatol insiste sur le fait qu'il a toujours été un bon élève, un bon citoyen, un bon mari et père, et un bon travailleur, et Caroline, son ange gardien et protectrice, essaie elle aussi de mettre en avant ses qualités.
Mais le procureur Bertrand découvre un crime inattendu.
Anatole parviendra-t-il à échapper à la peine de mort, ou plutôt à la « peine de prison à perpétuité » que représente la renaissance ?
Une pièce qui brille par son imagination et son humour
Malgré le sujet grave du « jugement des morts », les critiques de la presse internationale concernant « Le Jugement dernier » se sont unanimement concentrées sur l'humour de l'œuvre.
L'humour a toujours été un élément clé de l'œuvre de Berber, mais il ressort encore plus dans Le Procès, dont la longueur et la structure sont considérablement plus compactes que celles de ses romans habituels.
Berber excelle dans les jeux de mots et les blagues classiques, mais sa force réside dans le rire que suscitent ses tournures uniques.
Il utilise activement son regard lorsqu'il tape au clavier pour déformer les choses.
Parfois, nous regardons les humains, et nous-mêmes, à travers les yeux des insectes et des animaux, et parfois à travers les yeux d'esprits errants ou d'anges.
Cette œuvre situe également l'action dans une cour céleste où règnent un système de valeurs et un code moral différents de ceux de la Terre, et aborde naturellement les questions sociales et les préjugés.
L'histoire d'Anatole Pichon, qui fut juge de son vivant mais qui, ironiquement, finit par être jugé.
C'est une œuvre vraiment agréable.
- Féminin
Une pièce pleine d'humour léger et spirituel.
- BlancVlan
Humour décalé et amusant, histoire haute en couleur.
- L'Express Suisse
[Note du traducteur]
En assistant au tumultueux « Jugement » du tribunal céleste, où un système de valeurs et un code moral différents de ceux de la Terre sont en vigueur, on peut lire une pièce de théâtre en une seule fois.
Le jour viendra où 『Le Procès』, pièce adorée du public français, sera également jouée sur scène en Corée.
[Note du traducteur]
En assistant au tumultueux « Jugement » du tribunal céleste, où un système de valeurs et un code moral différents de ceux de la Terre sont en vigueur, on peut lire une pièce de théâtre en une seule fois.
Le jour viendra où 『Le Procès』, pièce adorée du public français, sera également jouée sur scène en Corée.
En assistant au tumultueux « Jugement » du tribunal céleste, où un système de valeurs et un code moral différents de ceux de la Terre sont en vigueur, on peut lire une pièce de théâtre en une seule fois.
Le jour viendra où 『Le Procès』, pièce adorée du public français, sera également jouée sur scène en Corée.
[Note du traducteur]
En assistant au tumultueux « Jugement » du tribunal céleste, où un système de valeurs et un code moral différents de ceux de la Terre sont en vigueur, on peut lire une pièce de théâtre en une seule fois.
Le jour viendra où 『Le Procès』, pièce adorée du public français, sera également jouée sur scène en Corée.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 30 août 2020
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 224 pages | 328 g | 128 × 194 × 20 mm
- ISBN13 : 9788932920405
- ISBN10 : 8932920400
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Langue coréenne
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