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marmonnant sur la route
marmonnant sur la route
Description
Introduction au livre
Un mot du médecin
Dans les rues de Gihyeongdo, un recueil de poésie commémorant le 30e anniversaire
Le poète Ki Hyeong-do, disparu depuis 30 ans, nous offre encore le plaisir de lire sa poésie.
Le recueil de poésie commémorant le 30e anniversaire rassemble les poèmes inclus dans le seul recueil de poésie du poète, 『Black Leaves in the Mouth』, ainsi que 97 poèmes inédits, et possède une table des matières nouvellement organisée sur le thème de « l'imagination des rues ».
8 mars 2019. Directeur de la publication : Kim Do-hoon (Roman/Poésie)
Un recueil de poèmes commémorant le 30e anniversaire de Gihyeongdo.
L'intégralité du recueil de 97 poèmes, y compris ceux figurant dans le recueil personnel du poète et les poèmes inédits, a été compilée, et la table des matières a été réorganisée autour du thème de « l'imagination des rues ».
On sait que « Mumbling on the Road » était l'un des titres que le poète avait en tête pour son premier recueil de poésie (« Black Leaves in the Mouth ») de son vivant.
Le charme et les secrets de la poésie de Gihyeongdo, qui s'épaississent d'année en année grâce à son imagination nourrie par ses voyages, sont précisément les raisons pour lesquelles nous relisons sans cesse sa poésie avec un regard neuf.


  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
je
Conseils de la station 13
Mutter sur la route 14
Voyageur 15
Grésil 16
Nuage mort 17
Lecture commune 19
Mépris des souvenirs 20
Le désert dans l'eau 21
Il pleut légèrement 23
La jalousie est ma force 24
25 passages mémorables
Le chanteur garde le silence 26
Les Possédés 28
Feuille noire dans la bouche 29
31 ce jour-là

II
Brouillard 35
Expert 38
Nuits Blanches 40
Jochiwon 41
Parler mal 44
45 ans à l'université
Vieil homme 46
Ancien livre 48
Un soir bleu 50
Espoir à 16h53
Une vie en rose 55

III
Le vent souffle vers vous 59
60 octobre
Fenêtre sombre 62 Cet hiver
Cimetière Vineyard 1 64
Cimetière Vineyard 2 66
Mur forestier 68
Journée de l'Arbre 69
71 devant cette maison
Personne âgée de 72 ans
Maison vide 73
Papier bleu poussiéreux 74
Œil de nuit 75
Ménages dangereux · 1969 76
Recueil de poésie tzigane 80
Nari Nari Forsythia 83
La Maison du Vent ? Impression d'hiver 1 85
Mort de l'oncle ? Impression d'hiver 4 86
Sapin de Noël ? Imprimé d'hiver 3 87
Dossier trop haut ? Imprimé hiver 7 89

IV
Bouteille 93
Travail du bois 94
Sagang-ri (沙江里) 96
Village minier abandonné 97
Pluie 2 ? Lune Rouge 99
Les Hauts de Hurlevent 102
De la neige en ville ? Winter Print 2 104
Feux d'artifice de rats ? Impression hivernale 5 105
Lampe et pain ? Imprimé d'hiver 6 106
Lune de papier 107
Son 1 111
Os du Son 113
Notre pasteur de quartier 114
Les beaux jours sont passés 116
Dans mon flash
Chien 118
L'inquiétude de maman 119

V
Clair de lune 123
Hiver, neige, arbres, forêt 124
Poète 2 ? Poète du premier jour 126
1 128 à l'automne
Épouvantail ? Qui garde les champs vides ? 129
130 dans les feuilles, la neige et le vent
Comment l'aube arrive 131
Une chanson solitaire et majestueuse 132
388 Terminal 133
Coucher de soleil 134
Pluie ? Porte étroite 136
Vieillir sous la pluie ? Tous les chagrins doivent être expliqués logiquement. 137
Nous avons traversé ce long passage hivernal.
Je suis parti 139
141 Comme une aiguille qui saute sur un disque
Pour Dorothy ? Lettres à l'enfance 1 142
Tombe d'automne ? Ma belle-sœur a 144 ans.

VI
Shell 149
Retour à la maison 150
Aquarelle 151
Pantomime 152
Espoir 153
Photo du père 154
Piscine 156
Fleur 158
Opérateur 159
Poète 1 160
Hé gamin, tu viens d'où ? 161
Profondeur de solitude 162
Promesse 163
Hiver, Notre Ville 164
166 rue
Un jour 168
Cette solitude… … 169
Une chanson solitaire et majestueuse 2 170
Lumière glacée ? Imprimé d'hiver 172
173e soldat du rang

Préface (Lee Gwang-ho, critique littéraire) 177

Avis de l'éditeur
『Muttering on the Road』(Munhak-kwa-Jiseongsa, 2019) est un recueil complet des poèmes de Ki Hyeong-do, compilé pour commémorer le 30e anniversaire de sa mort.
Ce livre rassemble les 97 poèmes de son premier recueil posthume, 『Black Leaves in the Mouth』 (1989), ainsi que des poèmes inédits, et présente une table des matières nouvellement organisée sur le thème de « l’imagination de la rue ».
Il est bien connu que le poète avait en tête « Marmonnements sur la route » et « Conseils à l'arrêt de bus » comme titres de son premier recueil de poésie.
Le charme secret de la poésie de Kihyungdo, qui s'épaissit d'année en année grâce à son esprit imaginatif, est précisément la raison pour laquelle nous recherchons sans cesse sa poésie et nous efforçons de découvrir de nouvelles façons de la lire.


« Le passage de ces 30 années a enrichi le nom de Gihyeongdo au lieu de le faire oublier. »
Certaines œuvres littéraires, certains noms, possèdent un étrange pouvoir de défier les forces du temps qui tendent vers l'oubli.
Ce qui a créé cette force, c'est la vitalité brûlante qui animait la ville de Gihyeongdo et les lecteurs anonymes qui ont passé 30 ans avec le nom de Gihyeongdo.
Au cours des 30 dernières années, de nouveaux lecteurs ont émergé et relu la poésie de Kihyungdo.
Loin d'être oubliée, la poésie de Kihyungdo renaissait sans cesse.
Contrairement à ce qu’affirme sa phrase « Les souvenirs sont étrangement interrompus » (tirée de « Le mépris de la mémoire »), les souvenirs de Kihyungdo n’ont jamais été interrompus.
Le fait qu'une nouvelle génération de lecteurs ait continué d'émerger au cours des 30 dernières années constitue un cas exceptionnel dans l'histoire de la littérature coréenne.


Nous voici de nouveau dans la rue des difformités.
« La jeunesse se tient silencieusement dans chaque rue le soir » (« La jalousie est ma force »), « Où iras-tu donc ensuite ! » (« Le voyageur »), « L’espoir qui a gaspillé toute une vie sur la route » (« Marmonnements sur la route »), la rue même où l’on marmonne soudain « J’en ai vu des vertes et des pas mûres » (« Grésil »), « Tous les chemins se croisent, je suis déjà vieux » (« Conseils à la gare »).
Comme dans la phrase « Tant de distances ont porté mon cœur » (tirée de « Le chanteur garde la bouche fermée »), le poète rencontre une certaine étrangeté et un certain émerveillement dans la rue.
Dans les rues, il rêvait d'autres possibilités dans la vie, errant sans but et sans limites.
La distance est un espace fluide qui ne nous dit ni où aller ni ne nous permet de rester, mais qui nous permet d'arriver à un autre moment.
À propos de ces moments étranges dans la rue, « Ils se produisent généralement au point de rencontre des discontinuités d'un flux. »
Un monde d'angoisse et de possibilités, où l'on ne sait pas dans quelle direction on sera projeté, surgit à cet instant.
Ces «moments» sont à la fois dangereux et extraordinaires.
« Parce qu’elle est dangereuse, elle est jugée par les sens, et parce qu’elle est grande, elle n’existe pas. » (Notes sur l’ouverture de « Un certain soir bleu »)
La difformité faisait de la confusion et du vertige des rues une source de sensibilité nouvelle.
La distance est un espace d’« absence de lieu » en ce sens qu’elle ne peut être rattachée à un lieu précis et que l’identité de ce lieu reste inconnue, mais cette absence de lieu fut un événement paradoxal porteur d’espoir.
La rue était un espace d'angoisse moderne et un temps de potentiel infini.

La rue de Gihyeongdo est un point de convergence moderne où l'expérience sociale et le sens esthétique du poète se rejoignent.
La rue a éveillé la sensibilité sociale de l'époque et, d'autre part, elle a donné naissance à un nouveau visage esthétique de l'individu en tant qu'écrivain de rue.
« Pendant un temps, j’écrivais de la poésie dans la rue, méfiant des métaphores irresponsables de la nature » (Notes sur l’ouverture de « Feuilles noires dans la bouche »), ce qui était la sensibilité problématique de Ki Hyeong-do et de sa génération.
La confession, « L’imagination des rues était douleur, et j’aimais cette douleur » (même texte), révèle avec acuité une partie de cette sensibilité poétique.
On pourrait paraphraser cette phrase et dire :
« L’imagination des difformes était souffrance, mais nous aimions cette souffrance. » Cependant, aimer la souffrance n’est pas la seule voie, et cela ne requiert aucune autorité.
Dans cet horizon invisible d'amitié qu'est Gihyeongdo, personne ne peut monopoliser Gihyeongdo.
Il existe d'innombrables façons d'interpréter cette difformité, même sans faire abstraction du contexte de la « rue ».
Face à la poésie de Kihyungdo, nous ne partageons que la douleur et l'amour, et les secrets de sa poésie s'enrichissent au fil des générations.
L'expérience de l'amour profond ne conduit pas à la connaissance de l'identité de l'objet, mais plutôt à une compréhension plus profonde du secret et à une humilité face à lui.
Un amour durable vous pousse à lire et à relire.
Il s'agit plutôt de découvrir une ignorance cachée.
« J’espère que ce recueil de poèmes permettra de mieux comprendre les secrets de la poésie de Kihyungdo. » – Lee Gwang-ho (critique littéraire), extrait de la préface
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 7 mars 2019
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 180 pages | 360 g | 123 × 204 × 20 mm
- ISBN13 : 9788932035192
- ISBN10 : 8932035199

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