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Reine des mots
Reine des mots
Description
Introduction au livre
Un conte de fées magnifique et unique, rempli de mots, de poésie et d'un récit inoubliable.
Un mot du médecin
[Un conte de fées magnifique et unique, mêlant mots, poésie et narration] Riche histoire créée par une jeune fille qui perçoit la réalité à travers son regard imaginatif, cette nouvelle forme d'écriture, tissée de mots et de poésie, est rafraîchissante.
Au fil des chapitres, composés d'une image unique se fondant dans les pensées de l'enfant, vous découvrirez bientôt un magnifique récit.
- Médecin pédiatrique Kim Hyun-ki
Lauréat du prix Golden Toad 2021

La magie opère, illuminant les petits cœurs solitaires de la lumière contenue dans les mots.
Un conte de fées magnifique et unique, rempli de mots, de poésie et d'un récit inoubliable.


Dans les situations difficiles et solitaires, la jeune fille perçoit la lumière émanant de certains mots et vit en s'appuyant sur cette lumière.
La partie où les mots sont exprimés par la lumière était vraiment amusante, et le personnage de l'enfant était intéressant.
Petit, solitaire et parfois riche.
Cette nouvelle forme d'écriture était rafraîchissante.
-Juges : Kim Kyeong-yeon (critique de littérature jeunesse), Hwang Seon-mi (auteure de contes pour enfants), Han Yun-seop (auteur de contes pour enfants)

Le conte de fées de Shin So-young, « La Reine des mots », lauréat du 27e prix Golden Toad en 2021, a été publié par Biryongso.
Il a été salué pour son histoire riche, créée par des personnages intéressants qui perçoivent la réalité à travers leur propre regard imaginatif, et pour sa forme d'écriture nouvelle et rafraîchissante, mêlant mots et poésie.
Shin So-young, qui a remporté le 2e prix Mokil Shin de littérature jeunesse (pour « Whale Picture Diary ») et le grand prix dans la catégorie écriture du 1er concours « This Fairy Tale is Fun » (pour « Girl H »), est une écrivaine qui touche les lecteurs par son écriture délicate et ses phrases poétiques, sa riche sensibilité et sa profonde sensibilité.
Les illustrations étaient de Mo Ye-jin, qui a été sélectionnée à deux reprises comme « Illustratrice de l'année » à la Foire internationale du livre pour enfants de Bologne, et elle a su capturer le monde fantastique des enfants d'une manière plus vivante et plus belle.

La narratrice, « je », est une petite fille qui peut se cacher n'importe où dans le monde.
J'ai mis mes quelques bagages dans mon sac d'école et j'ai suivi mon père jusqu'à un goshiwon.
L'enfant, qui rêve du jour où il pourra rendre le chien qu'il a laissé chez l'ami de son père qui vit loin, au bord de la mer, commence à vivre caché dans un goshiwon pour économiser sur le loyer.
À travers la routine quotidienne des allers-retours à l'école et au gosiwon, et les rencontres secrètes avec les personnes présentes au sein du gosiwon, l'enfant développe son imagination dans un monde immense.


Chacun des vingt-neuf courts chapitres, composés de trois ou quatre pages, commence par une image en une seule case qui s'harmonise avec le titre du chapitre et les pensées d'un enfant.
En suivant les poèmes écrits par l'enfant en pensant au chiot qui lui manque, ainsi que les mots parfois déroutants mais magnifiques qu'il rencontre, vous découvrirez bientôt un beau récit.
La réalité à laquelle l'enfant est confronté est déchirante, mais un étrange espoir se répand doucement.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu
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indice
1.
dormir
2.
ami
3.
taille
4.
ville
5.
monde
6.
sens
7.
riz
8.
route
9.
maison
10.
argent
11.
étude
12.
connerie
13.
Cache-cache
14.
arbre
15.
étranger
16.
lutte
17.
espoir
18.
nous
19.
puzzle
20.
Tutu
21.
mur
22.
secrète
23.
magie
24.
sombre
25.
vol
26.
mystère
27.
échelle
28.
imagination
29.
fleur

Note de l'auteur
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Image détaillée
Image détaillée 1
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Dans le livre
Ce poème était vraiment déroutant.
Je croyais savoir ce qu'il voulait dire, mais je pensais aussi que je n'en avais aucune idée.
Mais je sentais quelque chose s'agiter au fond de mon cœur.

Comment appeler ce sentiment ?
J'ai cherché les mots dans ma tête.

« Mais n’est-ce pas magnifique ? »
Puis le professeur a dit.
Ah, le mot que je cherchais était beauté.

--- p.
26

toujours!
Ce mot brille.
Une lumière qui dissipe la peur, une lumière qui ne crée pas la tristesse, et surtout, une lumière qui me permet de vivre ici incognito ! Silence ! J'ai gardé la lumière de ce mot dans mon cœur.
Puis le collier se mit à briller.

À partir de maintenant, je suis la Reine du Mystère !
--- p.
37

Ah ! Bien sûr !
Ce mot brille.
La lumière est essentielle pour jouer à cache-cache ! J'ai pris ce mot, « lumière », à cœur.
--- p.
76

Si le temps était comme des cacahuètes/ un, deux, trois/ que je pouvais ramasser/ je ramasserais le temps/ et remplirais mes deux poches/ et j'irais à la mer/ j'irais à la mer/ et j'ouvrirais/ un, deux, trois/ de temps et je les mangerais.
--- p.
84

Quand on accueille les mots avec un cœur lumineux et chaleureux, ces mots rayonnent.

Il y a un pouvoir mystérieux dans cette lumière.
Je crois en ce pouvoir mystérieux.

Alors ne renoncez pas à la magie.

Je volerai à travers le ciel, porté par la lumière des mots.

Ce sera un excellent vol.

--- p.
143

Je suis la mystérieuse et énigmatique Reine du Clair de Lune !
La lumière qui allait vers la mer est faible.

La lumière et le silence vivaient jadis cachés.

Lumière pour cache-cache, s'il vous plaît.
Ah ! Le clair de lune, la lumière qui nous permet de vivre ensemble.
--- p.
145
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Avis de l'éditeur
◆ Je suis la mystérieuse et énigmatique Reine du Clair de Lune !

Silence ! Ce mot brille.
Une lumière qui dissipe la peur, une lumière qui ne crée pas la tristesse, et surtout, une lumière qui me permet de vivre ici incognito ! Silence ! J'ai gardé la lumière de ce mot dans mon cœur.
Puis le collier se mit à briller.
-Dans le texte

Peut-être parce qu'il a vécu avec sa grand-mère lorsqu'il était jeune, l'enfant semble incapable de se débarrasser de la façon de parler de sa grand-mère, qui surgit soudainement, comme par exemple : « Oh là là ! » ou « Où dois-je regarder ? »
Et il pense qu'il est peut-être déjà un vieux garçon.
Bien qu'il soit si petit que personne ne puisse le trouver s'il décide de se cacher, il y a des moments où les yeux et le cœur de cet enfant solitaire et las deviennent suffisamment brillants pour illuminer l'univers lointain.
C’est à ce moment précis que vous découvrez le mot, la lumière qu’il renferme.
L'enfant considère le collier que lui a offert sa grand-mère comme une sorte d'outil magique qui lui permettra de découvrir les secrets de ces mots.


Au lieu de collecter des mots, les enfants les « collectionnent ».
Bien qu'il s'agisse de mots courants qui nous entourent tous, nous nous approprions les nouveaux mots en y apportant notre propre perspective, nous redéfinissons leur signification et nous les gardons dans notre cœur.
Pour aller à la mer où vous n'êtes jamais allé auparavant, il vous faut la lumière d'« Alsongdalsong » ; pour vivre caché dans un goshiwon, il vous faut la lumière du « Calme » ; pour jouer à cache-cache sans que personne ne découvre votre situation, il vous faut la lumière de « Kkokkok » ; pour vivre avec des voisins solitaires et leurs propres circonstances, il vous faut la lumière du « Clair de lune ».
L'enfant n'est pas seul tant que le modificateur de la reine n'est pas terminé.
Les personnes qui entourent l'enfant, notamment le directeur qui veille secrètement sur le père et l'enfant et devient son interlocuteur quotidien, la cantinière qui lui dit qu'il n'est pas le seul à n'être jamais allé à la plage, la grand-mère qui lui pose des devinettes pour le divertir, et même le grand-père qui lui donne son unique goûter, veillent sur lui afin qu'il ne se lasse pas de la dure réalité.

◆ Le réconfort chaleureux des belles et mystérieuses choses

Je suis la reine des mots, imaginant une belle lumière briller sur le monde.
-Dans le texte

Lorsque les enfants rencontrent des mots inconnus, ils les comprennent à leur manière.
Le nom du goshiwon désigne un lieu où vivent des goshis fantomatiques, et le riz que mon père commande chaque matin au restaurant est interprété comme signifiant que si j'en mange cent fois, je pourrai déménager dans une grande maison.
Bien que l'enfant comprenne que les circonstances sont hors de son contrôle, il se protège en appréhendant le monde à sa manière.
Au lieu de rester replié sur lui-même, on devient observateur de ceux qui nous entourent, s'efforçant de partager la lumière des paroles qui nous ont réconfortés.


L'enfant séjourne dans un goshiwon et s'efforce de dissimuler son existence à quiconque.
Mais un jour, une vieille femme étrange aborde l'enfant et lui parle d'une échelle secrète dans le mur.
L'enfant commence à échapper au jeu de cache-cache dans le gosiwon grâce à sa rencontre avec sa grand-mère.
Peut-être, comme son voisin, apprend-il qu'il y a des gens qui ont la vie plus dure que la sienne, qu'il y a des gens qui comprennent sa situation et qui lui témoignent de la chaleur humaine, à travers l'agitation du goshiwon qui oscille entre réalité et fantaisie.
Qui est la grand-mère ? Qui a mis le yaourt au réfrigérateur ? Au fil de cette histoire, riche en questions mystérieuses, on finit par ne plus savoir ce qui relève du fantastique et ce qui relève de la réalité.
Le monde mystérieux et magnifique que dévoile un enfant, et la lumière émise par les mots qu'il renferme, brilleront discrètement et demeureront dans votre cœur.
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SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 24 janvier 2022
Nombre de pages, poids, dimensions : 180 pages | 310 g | 147 × 210 × 12 mm
- ISBN13 : 9788949121963
- ISBN10 : 8949121964
- Certification KC : Type de certification : Confirmation de conformité

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