
Ce qui me fait vivre
Description
Introduction au livre
« Ce n’est ni une dépression ni un épuisement professionnel. » « Il est devenu “détérioré” » Un diagnostic opportun pour décrypter l'apathie et le vide des hommes modernes. Dans un monde qui nous épuise Un guide pour revivre sa vie Comment en sommes-nous arrivés à être si déprimés ? Ce que le domaine moderne de la santé mentale a négligé Le terme « languissement » désigne un état de faiblesse mentale qui affaiblit l'estime de soi, la motivation et le sens de la vie. L’« apathie » n’est pas synonyme de dépression ou d’épuisement professionnel, et comme elle en est l’un des symptômes, il est facile de la considérer comme un simple moment passager de la vie quotidienne. Selon Corey Keyes, pionnier de la psychologie positive et professeur émérite à l'université Emory, qui a longtemps étudié le « bien-être » et l'« épanouissement », cette condition n'est pas à prendre à la légère. Les personnes en proie à la mélancolie ont le sentiment de ne plus maîtriser leur vie, sont incertaines quant à leurs aspirations futures et risquent d'être paralysées face aux décisions à prendre. Si elle n'est pas traitée, la dépérissement perturbe non seulement le fonctionnement quotidien, mais peut aussi être un facteur de risque de maladie mentale grave et de mort prématurée. Dans la première partie de l'ouvrage, Keys explique clairement ce que signifie réellement le « dépérissement » et en quoi il diffère des autres maladies mentales, en s'appuyant sur des recherches solides menées sur plus de deux décennies. Il considère les deux concepts qu'il a créés il y a longtemps, « dépérissement » et « vitalité », comme un continuum unique de santé mentale, et définit une vie dynamique comme ayant trois éléments : le bien-être émotionnel (une bonne humeur), le bien-être personnel (bien-être psychologique) et le bien-être social. Vous pouvez également effectuer une rapide auto-évaluation pour voir à quel point vous êtes déprimé en ce moment (c'est-à-dire à quel point votre santé mentale est fragile) et quel est votre état de santé mentale positif actuel. |
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Aperçu
indice
Entrée / Simplement vide
Le pouvoir des noms : nommer ce que l’on ressent
Vous aussi, vous vous ennuyez dans la vie ?
Ce n'est pas un flétrissement
Peut-être que je me suis posé les mauvaises questions depuis le début.
13 raisons de retrouver votre vitalité
Une mesure holistique de la santé mentale
Un nouvel hymne de cette époque
Partie 1.
De la décrépitude à la vitalité :
La santé mentale est un continuum
Chapitre 1.
Que se passe-t-il lorsqu'on sombre dans le dépérissement ?
Qui d'autre sombrera dans le dépérissement ?
Même les enfants finiront-ils par dépérir ?
Le territoire inexploré de la jeunesse
les jeunes qui sont allés à l'université
Si vous percevez le prix du flétrissement,
Sortir de la cage et entrer dans le monde
La fatigue qui découle du travail
Qu'est-ce qui nous protège du stress au travail ?
Le stress est-il une condition préalable au dépérissement ?
Le dépérissement qui accompagne la vieillesse
Le retour du flétrissement
Chapitre 2.
Comment en sommes-nous arrivés à un tel déclin ?
La solitude fait partie de la vie monotone
La douleur d'être seul
Déconnexion : une société déconnectée
Les relations nécessitent des compétences.
Les liens sociaux et une vie qui a du sens se renforcent mutuellement.
Le coût et la vitalité de la discrimination
Faire face à l'adversité
Chapitre 3.
Ne vous laissez pas tromper par le bonheur
Le bonheur nous sauvera-t-il ?
Réécrire le scénario culturel
Eudaimonie : Un état de bonne santé mentale, caractérisé par un bon fonctionnement.
Six domaines d'excellence humaine
Chapitre 4.
Nous ne sommes pas des humains unidimensionnels
Sommes-nous voués au dépérissement ?
L'être humain possède un potentiel de croissance.
La médicalisation de l'esprit : la voie de la psychothérapie
Nous avons besoin d'une nouvelle cartographie de la santé mentale.
À quoi ressemble une journée dans la vie d'une personne énergique ?
Trouver la vitalité devient le camp de base de la vie.
La vérité contenue dans le chemin intérieur
Partie 2.
Devenir un pilier de la vie
Cinq vitamines essentielles
Chapitre 5.
Apprentissage : Créer un récit de développement personnel
Le système appelé soi
Nous pouvons choisir de continuer à apprendre.
L'apparition du courage
Apprendre à enseigner et enseigner pour apprendre
Le seul changement, c'est vous-même.
La comparaison et le respect fonctionnent différemment.
Comment se produit l'auto-transformation ?
Facteurs de stress et épreuves de la vie
Le chemin ardu vers le succès
La prise de conscience est la chose la plus importante
La croissance après l'adversité
Chapitre 6.
Relations : Établir des liens chaleureux et de confiance
L'amitié est différente de l'amitié
L’appartenance est une condition préalable à la dignité humaine.
Le désir d'appartenir
Surmonter l'isolement grâce au lien social
En attente d'autorisation pour rejoindre
Le message selon lequel nous sommes tous égaux
« Présence interpersonnelle » – le sentiment d’être important pour quelqu’un
Mon Hall de l'Amour
Rides post-partum : les difficultés d'une nouvelle maman
Trouve quelqu'un de différent de moi
Soutien émotionnel : la qualité plutôt que la quantité
Restaurer l'amitié dans un monde empli de méfiance
Chapitre 7.
Spiritualité : Les inévitables rebondissements de la vie
Accepter
La sérénité d'accepter ce qui ne peut être changé
Commençons par m'accepter moi-même.
La force intérieure tranquille
La pratique de la pleine conscience pour un esprit flexible
Un pas de plus vers le dieu qui est en moi
Le langage est âme et spiritualité
Que se passe-t-il lorsque la foi se fane ?
Je peux choisir ce qui reste en moi.
Trouver la spiritualité qui vous convient
Calmez votre esprit confus
Pratique régulière : Il n'existe pas de solution miracle
Connectez-vous à un être supérieur
Commençons dès maintenant
La route devant nos yeux
Chapitre 8.
Objectif : Apporter un sens à la vie des autres et du monde.
Une vie de contribution
Une question très simple
Le but est extrêmement personnel.
Avoir un but et vivre en accord avec ce but
L'histoire de Kari : De l'incertitude à la certitude
Est-il trop tard pour trouver sa voie ?
Il n'est jamais trop tôt pour trouver sa voie.
Perfectionnisme inadapté : le succès au prix de la vitalité
Voyage vers la destination
Vous ne trouverez peut-être pas de sens ni d'utilité à votre travail.
Pourquoi est-il si difficile de trouver un sens à son travail ?
On peut trouver un but, mais on peut aussi le perdre.
Commencer petit, autour de moi
Si vous donnez, vous recevez.
Dans la nature, il n'existe aucun être qui vive uniquement pour lui-même.
Chapitre 9.
Le jeu : un moment pour s'évader du quotidien
Qu'est-ce que le jeu ?
Suis-je obligé de jouer ?
Résister à un monde qui vole la joie par le jeu
Le jeu et la résilience chez l'enfant
Pourquoi arrêtons-nous de jouer ?
On oublie trop vite comment jouer.
Comment se souvenir de ce que l'on n'a pas appris
L'essor des loisirs passifs
consommation de loisirs
Le jeu et le travail, le plaisir et la responsabilité doivent coexister.
Sorties / Une communauté de personnes dynamiques
annotation
Le pouvoir des noms : nommer ce que l’on ressent
Vous aussi, vous vous ennuyez dans la vie ?
Ce n'est pas un flétrissement
Peut-être que je me suis posé les mauvaises questions depuis le début.
13 raisons de retrouver votre vitalité
Une mesure holistique de la santé mentale
Un nouvel hymne de cette époque
Partie 1.
De la décrépitude à la vitalité :
La santé mentale est un continuum
Chapitre 1.
Que se passe-t-il lorsqu'on sombre dans le dépérissement ?
Qui d'autre sombrera dans le dépérissement ?
Même les enfants finiront-ils par dépérir ?
Le territoire inexploré de la jeunesse
les jeunes qui sont allés à l'université
Si vous percevez le prix du flétrissement,
Sortir de la cage et entrer dans le monde
La fatigue qui découle du travail
Qu'est-ce qui nous protège du stress au travail ?
Le stress est-il une condition préalable au dépérissement ?
Le dépérissement qui accompagne la vieillesse
Le retour du flétrissement
Chapitre 2.
Comment en sommes-nous arrivés à un tel déclin ?
La solitude fait partie de la vie monotone
La douleur d'être seul
Déconnexion : une société déconnectée
Les relations nécessitent des compétences.
Les liens sociaux et une vie qui a du sens se renforcent mutuellement.
Le coût et la vitalité de la discrimination
Faire face à l'adversité
Chapitre 3.
Ne vous laissez pas tromper par le bonheur
Le bonheur nous sauvera-t-il ?
Réécrire le scénario culturel
Eudaimonie : Un état de bonne santé mentale, caractérisé par un bon fonctionnement.
Six domaines d'excellence humaine
Chapitre 4.
Nous ne sommes pas des humains unidimensionnels
Sommes-nous voués au dépérissement ?
L'être humain possède un potentiel de croissance.
La médicalisation de l'esprit : la voie de la psychothérapie
Nous avons besoin d'une nouvelle cartographie de la santé mentale.
À quoi ressemble une journée dans la vie d'une personne énergique ?
Trouver la vitalité devient le camp de base de la vie.
La vérité contenue dans le chemin intérieur
Partie 2.
Devenir un pilier de la vie
Cinq vitamines essentielles
Chapitre 5.
Apprentissage : Créer un récit de développement personnel
Le système appelé soi
Nous pouvons choisir de continuer à apprendre.
L'apparition du courage
Apprendre à enseigner et enseigner pour apprendre
Le seul changement, c'est vous-même.
La comparaison et le respect fonctionnent différemment.
Comment se produit l'auto-transformation ?
Facteurs de stress et épreuves de la vie
Le chemin ardu vers le succès
La prise de conscience est la chose la plus importante
La croissance après l'adversité
Chapitre 6.
Relations : Établir des liens chaleureux et de confiance
L'amitié est différente de l'amitié
L’appartenance est une condition préalable à la dignité humaine.
Le désir d'appartenir
Surmonter l'isolement grâce au lien social
En attente d'autorisation pour rejoindre
Le message selon lequel nous sommes tous égaux
« Présence interpersonnelle » – le sentiment d’être important pour quelqu’un
Mon Hall de l'Amour
Rides post-partum : les difficultés d'une nouvelle maman
Trouve quelqu'un de différent de moi
Soutien émotionnel : la qualité plutôt que la quantité
Restaurer l'amitié dans un monde empli de méfiance
Chapitre 7.
Spiritualité : Les inévitables rebondissements de la vie
Accepter
La sérénité d'accepter ce qui ne peut être changé
Commençons par m'accepter moi-même.
La force intérieure tranquille
La pratique de la pleine conscience pour un esprit flexible
Un pas de plus vers le dieu qui est en moi
Le langage est âme et spiritualité
Que se passe-t-il lorsque la foi se fane ?
Je peux choisir ce qui reste en moi.
Trouver la spiritualité qui vous convient
Calmez votre esprit confus
Pratique régulière : Il n'existe pas de solution miracle
Connectez-vous à un être supérieur
Commençons dès maintenant
La route devant nos yeux
Chapitre 8.
Objectif : Apporter un sens à la vie des autres et du monde.
Une vie de contribution
Une question très simple
Le but est extrêmement personnel.
Avoir un but et vivre en accord avec ce but
L'histoire de Kari : De l'incertitude à la certitude
Est-il trop tard pour trouver sa voie ?
Il n'est jamais trop tôt pour trouver sa voie.
Perfectionnisme inadapté : le succès au prix de la vitalité
Voyage vers la destination
Vous ne trouverez peut-être pas de sens ni d'utilité à votre travail.
Pourquoi est-il si difficile de trouver un sens à son travail ?
On peut trouver un but, mais on peut aussi le perdre.
Commencer petit, autour de moi
Si vous donnez, vous recevez.
Dans la nature, il n'existe aucun être qui vive uniquement pour lui-même.
Chapitre 9.
Le jeu : un moment pour s'évader du quotidien
Qu'est-ce que le jeu ?
Suis-je obligé de jouer ?
Résister à un monde qui vole la joie par le jeu
Le jeu et la résilience chez l'enfant
Pourquoi arrêtons-nous de jouer ?
On oublie trop vite comment jouer.
Comment se souvenir de ce que l'on n'a pas appris
L'essor des loisirs passifs
consommation de loisirs
Le jeu et le travail, le plaisir et la responsabilité doivent coexister.
Sorties / Une communauté de personnes dynamiques
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Dans le livre
Environ un an après le début de la pandémie de COVID-19, le psychologue organisationnel et auteur à succès Adam Grant a publié un article dans le New York Times expliquant précisément ce que je recherchais discrètement depuis si longtemps.
L'article s'intitule « Il y a un nom pour le mal-être que vous ressentez : on l'appelle la léthargie ».
L'article commence ainsi :
« Au début, je ne savais pas vraiment quel était ce symptôme que nous ressentions tous. »
Mes amis disaient qu'il était difficile de se concentrer.
Mes collègues ont dit que même si un vaccin contre le coronavirus arrive bientôt, ils ne sont pas très enthousiastes à l'idée de la nouvelle année.
Un membre de la famille a déclaré avoir passé la nuit à revoir le film Benjamin Gates et le Trésor des Templiers, même si tout le monde connaissait l'histoire.
« Je me suis réveillé à 6 heures du matin, mais au lieu de me lever tout de suite, j'ai joué à "Words with Friends" et je suis resté éveillé jusqu'à 7 heures », a-t-il déclaré. « Beaucoup de gens, comme Grant, ont souffert de dépression après avoir traversé des périodes de stress intense, de tristesse ou de solitude. »
L'apathie est une forme de fatigue mentale légère, souvent négligée, notamment à cause de l'un de ses symptômes : l'apathie elle-même.
En étudiant les facteurs qui contribuent à une bonne santé mentale, j'ai découvert que l'amélioration du « fonctionnement » psychologique, relationnel et social pouvait fondamentalement améliorer le bien-être.
J'ai décidé d'appeler cet état de bonne santé « épanouissement ».
Apprendre à mieux accepter ses émotions, changer les histoires que l'on se raconte, s'accepter soi-même et accepter les autres davantage, et construire des communautés où l'on se sent soutenu et intégré crée un cercle vertueux qui renforce la résilience face au stress, à l'adversité et aux pressions de la vie moderne.
À mesure que vous devenez plus fonctionnel dans votre vie quotidienne, votre satisfaction de vie s'approfondit et votre bien-être émotionnel global s'améliore.
Quand je fais mon travail, je me sens mieux.
--- À partir de « Entrée »
Entre 50 et 60 % d'entre nous souffrent de dépérissement.
Le dépérissement survient particulièrement à trois étapes de la vie.
La première étape est l'adolescence (de 12 à 19 ans), une période de transition difficile.
La deuxième étape est la période de la jeunesse, entre 25 et 34 ans, durant laquelle les individus construisent leur carrière et commencent à fonder une famille.
Dans la phase finale, après l'âge de 75 ans, le dépérissement revient progressivement.
Durant cette période, de nombreuses personnes âgées non seulement pleurent la perte de leurs proches, mais perdent également leur mobilité et leur indépendance d'antan, et souffrent de diverses maladies et humiliations.
--- « Chapitre 1.
Que se passe-t-il lorsqu'on sombre dans le dépérissement ?
Les chercheurs ont commencé l'expérience en laissant les participants seuls et en leur permettant de s'administrer eux-mêmes des chocs électriques, entièrement à leur propre discrétion.
Puis, une découverte surprenante a été faite : un nombre significatif de participants préféraient les chocs électriques au fait d’être laissés seuls avec leurs pensées.
Soixante-sept pour cent des hommes et 25 pour cent des femmes ont choisi de recevoir des chocs électriques au moins une fois pendant leurs moments de solitude avec leurs pensées.
Je connais ces résultats de recherche.
Mais j'espère que vous aussi, comme moi, regarderez à nouveau ces résultats avec une certaine langueur.
En substance, cette étude a supprimé toute possibilité de connexion extérieure pour les participants, les laissant complètement seuls et les plongeant dans un état de dépérissement.
Quel en fut le résultat ? L’isolement forcé, situation qui induit un dépérissement temporaire, a conduit à l’automutilation, voire au suicide.
Les participants ont choisi de s'automutiler pour ressentir quelque chose plutôt que de ne rien ressentir.
Ces dernières années, les chercheurs ont commencé à reconnaître que les facteurs sociaux et environnementaux influencent de manière significative les données relatives à la santé.
Autrement dit, nous ne sommes pas de simples êtres biologiques indépendants de notre environnement.
Cette prise de conscience a guidé mes recherches sur la vitalité.
Pour avoir une vision complète de la santé mentale, il faut examiner la qualité de nos relations (sont-elles chaleureuses et empreintes de confiance ?) et la force de nos liens communautaires (nous sentons-nous pris en charge et soutenus par les autres ?).
De plus en plus d'études suggèrent que ces « ressources » sociales sont particulièrement efficaces pour prévenir les problèmes de santé dans les communautés socio-économiquement défavorisées où les ressources alternatives pour obtenir de l'aide sont rares.
Pour certains, cela signifie qu'augmenter leur niveau d'énergie peut améliorer considérablement leur qualité de vie.
(Omission) Cela ne signifie pas que la vitalité peut « effacer » les injustices telles que les facteurs de stress persistants comme le surpolicing, l’incarcération disproportionnée, les inégalités de revenus et la discrimination.
Du point de vue du traitement immédiat, la création de conditions revitalisantes accroît l'équité en matière de santé et permet aux efforts individuels et aux interventions de politiques de santé publique de fonctionner de concert.
--- Chapitre 2.
Comment en sommes-nous arrivés à un tel déclin ?
Encore une fois, nous accordons trop d'importance au bonheur.
Suivant la tendance américaine typique, nous recherchons souvent une sensation de «bien-être» et essayons d'atteindre nos objectifs aussi rapidement et directement que possible.
Mais plus cela se produit, plus le papillon du bonheur s'envole.
Une meilleure solution, et l'approche préconisée dans ce livre, consiste à se concentrer sur l'atteinte du bonheur en travaillant sur les éléments essentiels d'un fonctionnement sain.
En vous concentrant sur la recherche de meilleures façons de fonctionner sainement, notamment en augmentant vos facteurs de vitalité, tels que le sens de la vie, l'acceptation de soi et l'intégration sociale, vous pouvez bien fonctionner et, par conséquent, atteindre le bonheur.
--- « Chapitre 3.
Extrait de « Ne vous laissez pas tromper par le bonheur »
Il est bien connu que la dépression est une maladie très difficile à traiter.
Cependant, si nous parvenons à faire passer l'état d'un patient tombé dans l'apathie à un état de vitalité, sa santé mentale peut s'améliorer même s'il souffre d'une maladie mentale.
La vitalité contribue à prévenir la dépression.
Pourquoi n'avons-nous pas encore guéri la dépression ? C'est la mauvaise question.
Nous devrions plutôt nous demander :
Pourquoi ne pas nous concentrer sur nos propres faiblesses ? Le système médical américain, qui promet des miracles, nous incite à remettre à plus tard le maintien de notre santé en nous faisant espérer que même si nous tombons malades, nous pourrons guérir plus tard grâce à d'excellents médecins ou à des interventions coûteuses.
Mais trop de familles tiennent leur santé pour acquise, ce qui leur impose un fardeau financier énorme, et l'économie nationale perd des millions de dollars en raison de la perte de productivité et de créativité.
Maintenant que nous avons réalisé des progrès avec la loi sur les soins abordables, il est temps de passer à l'étape suivante.
Nous avons besoin d'un système qui encourage et soutienne les gens à préserver leur santé et à utiliser cette santé pour vivre mieux.
Au lieu de nous concentrer uniquement sur la maladie, nous devons investir dans des systèmes axés sur la vitalité et la santé.
--- « Chapitre 4.
Extrait de « Nous ne sommes pas des humains unidimensionnels »
Apprendre quelque chose de nouveau, de son propre choix, à son propre rythme et pour ses propres raisons, est un antidote étonnamment puissant à l'ennui.
Nous associons naturellement l'éducation à l'enseignement obligatoire, et nous pensons généralement que la porte de l'éducation se ferme une fois que nous entrons sur le marché du travail.
Mais même à un âge avancé, on peut trouver une grande joie à apprendre de nouvelles choses.
Nous pouvons trouver un sens à n'importe quel stade de notre vie, même dans le cadre de l'enseignement obligatoire, si nous découvrons un lien entre les connaissances que nous acquérons et notre vie ou nos intérêts.
Cela est particulièrement vrai si l'on considère le développement personnel comme une véritable source de fierté.
--- Chapitre 5.
Extrait de « Apprendre : créer des récits de développement personnel »
Pour être épanouis, nous avons besoin de nous sentir égaux dans nos relations sociales.
En réalité, de nombreuses relations se nouent dans des situations où les personnes ont des statuts sociaux différents.
Les parents et les enfants ne sont pas égaux.
(Certains affirment qu'il n'est pas très sain pour les enfants de rester amis avec leurs parents à l'âge adulte.) Les employés ne sont pas égaux à leurs patrons ou à leurs supérieurs.
Nous avons tous des niveaux de pouvoir et de statut différents dans différents domaines de notre vie.
Ce type d'inégalité peut envoyer à l'autre personne le message suivant : « Tu n'as pas ta place ici » ou « Je suis supérieur ».
Mais cela peut aussi envoyer un message qui dit : « Je te comprends, tu as ta place ici, nous sommes égaux. »
--- Chapitre 6.
Extrait de « Relations : construire des liens chaleureux et de confiance »
Pourquoi les habitants des pays riches déclarent-ils une plus grande satisfaction de vie, mais un moindre sentiment de sens à leur existence ? Plus étonnant encore, pourquoi les habitants des pays pauvres trouvent-ils systématiquement plus de sens à leur vie ? Je soupçonne que, lorsqu’ils ont défini la « satisfaction de vie », les répondants l’ont interprétée comme : « Ai-je accès aux indicateurs de réussite nécessaires pour survivre et m’épanouir ? »
Mais les personnes qui estiment que leur vie a moins de « sens » que celles des pays pauvres peuvent-elles vraiment être plus satisfaites de leur existence ? Je ne le crois pas.
Lorsque le sens de la vie diminue ou disparaît, le véritable bien-être disparaît également.
Ici, le bien-être ne se mesure pas à la réussite sous forme de succès matériel, mais plutôt au sentiment de bien vivre.
--- Chapitre 7.
Extrait de « Spiritualité : Accepter les inévitables rebondissements de la vie »
Mais l'objectif n'est pas si extravagant.
Si votre vie tourne autour de votre sécurité et de celle de vos proches, de l'alimentation de votre famille et du remboursement de votre prêt immobilier, vous devez vous rappeler souvent que ces choses sont importantes.
Parce que vous apportez des soins et un soutien indispensables, et vous devez prendre conscience de ce que cela signifie.
Ça suffit pour le moment.
Et dans la plupart des cas, poursuivre un but ne nécessite pas de changer complètement de carrière ni de disposer des ressources nécessaires pour bouleverser sa vie.
(syncope)
Alors, comment pouvons-nous trouver comment donner un sens à nos vies ? Commençons par nous poser quelques questions.
Les recherches montrent que moins d'un tiers des personnes affirment avoir un but dans la vie et répondent « oui » aux questions suivantes :
1.
Souhaitez-vous aider les autres (les rendre plus heureux ou réduire leurs souffrances) ou améliorer l'état du monde ?
2.
Pensez-vous avoir le talent, les compétences et les qualités personnelles nécessaires pour y parvenir ?
L'un des principaux défis, voire le plus important, pour trouver le sens de sa vie est de déterminer quand et comment répondre « oui » à ces deux questions.
Le but de la vie que la plupart des gens recherchent se trouve peut-être juste devant eux ou caché dans leurs maisons.
Le secret pour trouver ce but est de se convaincre soi-même de le rechercher.
--- Chapitre 8.
Objectif : Une vie qui contribue de manière significative au bien-être des autres et du monde.
Les chercheurs qui étudient le jeu (oui, de tels chercheurs existent) mènent un combat difficile depuis très longtemps.
La définition du jeu inclut souvent le fait qu'il devrait s'agir d'un choix, et non d'une nécessité, dans la vie quotidienne.
Certains pourraient se demander si, si le jeu est un choix, il est vraiment nécessaire d'y jouer.
Si le jeu devient une corvée, ses bienfaits ne risquent-ils pas de disparaître ? Stuart Brown, psychiatre et directeur du National Institute for Play, affirme que les moments de détente non structurés sont essentiels à la vitalité des adultes.
Brown a présenté des preuves démontrant qu'un manque de jeu durant la première décennie de la vie entraîne un certain nombre de conséquences négatives, notamment la dépression, l'agressivité, l'impulsivité, la rigidité de la pensée, la dysrégulation émotionnelle et un manque de relations significatives.
--- Chapitre 9.
Extrait de « Jouer : une pause dans la routine quotidienne »
La bonne santé mentale n'est pas une catégorie vide de sens.
Un bon état de santé mentale est un état empreint de vitalité, comprenant un sens du but dans la vie, un sentiment d'appartenance, une contribution sociale, l'acceptation de soi, l'acceptation des autres, des relations chaleureuses et de confiance, l'autonomie et l'épanouissement personnel.
La vitalité donne un sens à la vie et nous remplit de choses qui ajoutent de la qualité à la quantité de vie qui nous est donnée.
(Omission) Si la vie vous paraît ennuyeuse, ne vous contentez pas de votre situation actuelle.
Ne nous contentons pas d'avoir terminé ce livre et cherchons à comprendre pourquoi il est si ennuyeux.
C'est un bon point de départ, mais ce n'est pas tout.
Je veux que vous rêviez de ce qui pourrait arriver et que vous vous demandiez : « Pourquoi pas ? »
Luttons pour la vitalité.
Surmontons la douleur, la solitude et le vide.
Accueillons la lumière.
Croyons au chemin qui s'offre à nous et faisons chaque jour un pas pour l'atteindre.
Croyons qu'à chaque tournant qui se présente à nous se cache quelque chose de plus beau.
La vitalité est un bienfait que vous méritez.
L'article s'intitule « Il y a un nom pour le mal-être que vous ressentez : on l'appelle la léthargie ».
L'article commence ainsi :
« Au début, je ne savais pas vraiment quel était ce symptôme que nous ressentions tous. »
Mes amis disaient qu'il était difficile de se concentrer.
Mes collègues ont dit que même si un vaccin contre le coronavirus arrive bientôt, ils ne sont pas très enthousiastes à l'idée de la nouvelle année.
Un membre de la famille a déclaré avoir passé la nuit à revoir le film Benjamin Gates et le Trésor des Templiers, même si tout le monde connaissait l'histoire.
« Je me suis réveillé à 6 heures du matin, mais au lieu de me lever tout de suite, j'ai joué à "Words with Friends" et je suis resté éveillé jusqu'à 7 heures », a-t-il déclaré. « Beaucoup de gens, comme Grant, ont souffert de dépression après avoir traversé des périodes de stress intense, de tristesse ou de solitude. »
L'apathie est une forme de fatigue mentale légère, souvent négligée, notamment à cause de l'un de ses symptômes : l'apathie elle-même.
En étudiant les facteurs qui contribuent à une bonne santé mentale, j'ai découvert que l'amélioration du « fonctionnement » psychologique, relationnel et social pouvait fondamentalement améliorer le bien-être.
J'ai décidé d'appeler cet état de bonne santé « épanouissement ».
Apprendre à mieux accepter ses émotions, changer les histoires que l'on se raconte, s'accepter soi-même et accepter les autres davantage, et construire des communautés où l'on se sent soutenu et intégré crée un cercle vertueux qui renforce la résilience face au stress, à l'adversité et aux pressions de la vie moderne.
À mesure que vous devenez plus fonctionnel dans votre vie quotidienne, votre satisfaction de vie s'approfondit et votre bien-être émotionnel global s'améliore.
Quand je fais mon travail, je me sens mieux.
--- À partir de « Entrée »
Entre 50 et 60 % d'entre nous souffrent de dépérissement.
Le dépérissement survient particulièrement à trois étapes de la vie.
La première étape est l'adolescence (de 12 à 19 ans), une période de transition difficile.
La deuxième étape est la période de la jeunesse, entre 25 et 34 ans, durant laquelle les individus construisent leur carrière et commencent à fonder une famille.
Dans la phase finale, après l'âge de 75 ans, le dépérissement revient progressivement.
Durant cette période, de nombreuses personnes âgées non seulement pleurent la perte de leurs proches, mais perdent également leur mobilité et leur indépendance d'antan, et souffrent de diverses maladies et humiliations.
--- « Chapitre 1.
Que se passe-t-il lorsqu'on sombre dans le dépérissement ?
Les chercheurs ont commencé l'expérience en laissant les participants seuls et en leur permettant de s'administrer eux-mêmes des chocs électriques, entièrement à leur propre discrétion.
Puis, une découverte surprenante a été faite : un nombre significatif de participants préféraient les chocs électriques au fait d’être laissés seuls avec leurs pensées.
Soixante-sept pour cent des hommes et 25 pour cent des femmes ont choisi de recevoir des chocs électriques au moins une fois pendant leurs moments de solitude avec leurs pensées.
Je connais ces résultats de recherche.
Mais j'espère que vous aussi, comme moi, regarderez à nouveau ces résultats avec une certaine langueur.
En substance, cette étude a supprimé toute possibilité de connexion extérieure pour les participants, les laissant complètement seuls et les plongeant dans un état de dépérissement.
Quel en fut le résultat ? L’isolement forcé, situation qui induit un dépérissement temporaire, a conduit à l’automutilation, voire au suicide.
Les participants ont choisi de s'automutiler pour ressentir quelque chose plutôt que de ne rien ressentir.
Ces dernières années, les chercheurs ont commencé à reconnaître que les facteurs sociaux et environnementaux influencent de manière significative les données relatives à la santé.
Autrement dit, nous ne sommes pas de simples êtres biologiques indépendants de notre environnement.
Cette prise de conscience a guidé mes recherches sur la vitalité.
Pour avoir une vision complète de la santé mentale, il faut examiner la qualité de nos relations (sont-elles chaleureuses et empreintes de confiance ?) et la force de nos liens communautaires (nous sentons-nous pris en charge et soutenus par les autres ?).
De plus en plus d'études suggèrent que ces « ressources » sociales sont particulièrement efficaces pour prévenir les problèmes de santé dans les communautés socio-économiquement défavorisées où les ressources alternatives pour obtenir de l'aide sont rares.
Pour certains, cela signifie qu'augmenter leur niveau d'énergie peut améliorer considérablement leur qualité de vie.
(Omission) Cela ne signifie pas que la vitalité peut « effacer » les injustices telles que les facteurs de stress persistants comme le surpolicing, l’incarcération disproportionnée, les inégalités de revenus et la discrimination.
Du point de vue du traitement immédiat, la création de conditions revitalisantes accroît l'équité en matière de santé et permet aux efforts individuels et aux interventions de politiques de santé publique de fonctionner de concert.
--- Chapitre 2.
Comment en sommes-nous arrivés à un tel déclin ?
Encore une fois, nous accordons trop d'importance au bonheur.
Suivant la tendance américaine typique, nous recherchons souvent une sensation de «bien-être» et essayons d'atteindre nos objectifs aussi rapidement et directement que possible.
Mais plus cela se produit, plus le papillon du bonheur s'envole.
Une meilleure solution, et l'approche préconisée dans ce livre, consiste à se concentrer sur l'atteinte du bonheur en travaillant sur les éléments essentiels d'un fonctionnement sain.
En vous concentrant sur la recherche de meilleures façons de fonctionner sainement, notamment en augmentant vos facteurs de vitalité, tels que le sens de la vie, l'acceptation de soi et l'intégration sociale, vous pouvez bien fonctionner et, par conséquent, atteindre le bonheur.
--- « Chapitre 3.
Extrait de « Ne vous laissez pas tromper par le bonheur »
Il est bien connu que la dépression est une maladie très difficile à traiter.
Cependant, si nous parvenons à faire passer l'état d'un patient tombé dans l'apathie à un état de vitalité, sa santé mentale peut s'améliorer même s'il souffre d'une maladie mentale.
La vitalité contribue à prévenir la dépression.
Pourquoi n'avons-nous pas encore guéri la dépression ? C'est la mauvaise question.
Nous devrions plutôt nous demander :
Pourquoi ne pas nous concentrer sur nos propres faiblesses ? Le système médical américain, qui promet des miracles, nous incite à remettre à plus tard le maintien de notre santé en nous faisant espérer que même si nous tombons malades, nous pourrons guérir plus tard grâce à d'excellents médecins ou à des interventions coûteuses.
Mais trop de familles tiennent leur santé pour acquise, ce qui leur impose un fardeau financier énorme, et l'économie nationale perd des millions de dollars en raison de la perte de productivité et de créativité.
Maintenant que nous avons réalisé des progrès avec la loi sur les soins abordables, il est temps de passer à l'étape suivante.
Nous avons besoin d'un système qui encourage et soutienne les gens à préserver leur santé et à utiliser cette santé pour vivre mieux.
Au lieu de nous concentrer uniquement sur la maladie, nous devons investir dans des systèmes axés sur la vitalité et la santé.
--- « Chapitre 4.
Extrait de « Nous ne sommes pas des humains unidimensionnels »
Apprendre quelque chose de nouveau, de son propre choix, à son propre rythme et pour ses propres raisons, est un antidote étonnamment puissant à l'ennui.
Nous associons naturellement l'éducation à l'enseignement obligatoire, et nous pensons généralement que la porte de l'éducation se ferme une fois que nous entrons sur le marché du travail.
Mais même à un âge avancé, on peut trouver une grande joie à apprendre de nouvelles choses.
Nous pouvons trouver un sens à n'importe quel stade de notre vie, même dans le cadre de l'enseignement obligatoire, si nous découvrons un lien entre les connaissances que nous acquérons et notre vie ou nos intérêts.
Cela est particulièrement vrai si l'on considère le développement personnel comme une véritable source de fierté.
--- Chapitre 5.
Extrait de « Apprendre : créer des récits de développement personnel »
Pour être épanouis, nous avons besoin de nous sentir égaux dans nos relations sociales.
En réalité, de nombreuses relations se nouent dans des situations où les personnes ont des statuts sociaux différents.
Les parents et les enfants ne sont pas égaux.
(Certains affirment qu'il n'est pas très sain pour les enfants de rester amis avec leurs parents à l'âge adulte.) Les employés ne sont pas égaux à leurs patrons ou à leurs supérieurs.
Nous avons tous des niveaux de pouvoir et de statut différents dans différents domaines de notre vie.
Ce type d'inégalité peut envoyer à l'autre personne le message suivant : « Tu n'as pas ta place ici » ou « Je suis supérieur ».
Mais cela peut aussi envoyer un message qui dit : « Je te comprends, tu as ta place ici, nous sommes égaux. »
--- Chapitre 6.
Extrait de « Relations : construire des liens chaleureux et de confiance »
Pourquoi les habitants des pays riches déclarent-ils une plus grande satisfaction de vie, mais un moindre sentiment de sens à leur existence ? Plus étonnant encore, pourquoi les habitants des pays pauvres trouvent-ils systématiquement plus de sens à leur vie ? Je soupçonne que, lorsqu’ils ont défini la « satisfaction de vie », les répondants l’ont interprétée comme : « Ai-je accès aux indicateurs de réussite nécessaires pour survivre et m’épanouir ? »
Mais les personnes qui estiment que leur vie a moins de « sens » que celles des pays pauvres peuvent-elles vraiment être plus satisfaites de leur existence ? Je ne le crois pas.
Lorsque le sens de la vie diminue ou disparaît, le véritable bien-être disparaît également.
Ici, le bien-être ne se mesure pas à la réussite sous forme de succès matériel, mais plutôt au sentiment de bien vivre.
--- Chapitre 7.
Extrait de « Spiritualité : Accepter les inévitables rebondissements de la vie »
Mais l'objectif n'est pas si extravagant.
Si votre vie tourne autour de votre sécurité et de celle de vos proches, de l'alimentation de votre famille et du remboursement de votre prêt immobilier, vous devez vous rappeler souvent que ces choses sont importantes.
Parce que vous apportez des soins et un soutien indispensables, et vous devez prendre conscience de ce que cela signifie.
Ça suffit pour le moment.
Et dans la plupart des cas, poursuivre un but ne nécessite pas de changer complètement de carrière ni de disposer des ressources nécessaires pour bouleverser sa vie.
(syncope)
Alors, comment pouvons-nous trouver comment donner un sens à nos vies ? Commençons par nous poser quelques questions.
Les recherches montrent que moins d'un tiers des personnes affirment avoir un but dans la vie et répondent « oui » aux questions suivantes :
1.
Souhaitez-vous aider les autres (les rendre plus heureux ou réduire leurs souffrances) ou améliorer l'état du monde ?
2.
Pensez-vous avoir le talent, les compétences et les qualités personnelles nécessaires pour y parvenir ?
L'un des principaux défis, voire le plus important, pour trouver le sens de sa vie est de déterminer quand et comment répondre « oui » à ces deux questions.
Le but de la vie que la plupart des gens recherchent se trouve peut-être juste devant eux ou caché dans leurs maisons.
Le secret pour trouver ce but est de se convaincre soi-même de le rechercher.
--- Chapitre 8.
Objectif : Une vie qui contribue de manière significative au bien-être des autres et du monde.
Les chercheurs qui étudient le jeu (oui, de tels chercheurs existent) mènent un combat difficile depuis très longtemps.
La définition du jeu inclut souvent le fait qu'il devrait s'agir d'un choix, et non d'une nécessité, dans la vie quotidienne.
Certains pourraient se demander si, si le jeu est un choix, il est vraiment nécessaire d'y jouer.
Si le jeu devient une corvée, ses bienfaits ne risquent-ils pas de disparaître ? Stuart Brown, psychiatre et directeur du National Institute for Play, affirme que les moments de détente non structurés sont essentiels à la vitalité des adultes.
Brown a présenté des preuves démontrant qu'un manque de jeu durant la première décennie de la vie entraîne un certain nombre de conséquences négatives, notamment la dépression, l'agressivité, l'impulsivité, la rigidité de la pensée, la dysrégulation émotionnelle et un manque de relations significatives.
--- Chapitre 9.
Extrait de « Jouer : une pause dans la routine quotidienne »
La bonne santé mentale n'est pas une catégorie vide de sens.
Un bon état de santé mentale est un état empreint de vitalité, comprenant un sens du but dans la vie, un sentiment d'appartenance, une contribution sociale, l'acceptation de soi, l'acceptation des autres, des relations chaleureuses et de confiance, l'autonomie et l'épanouissement personnel.
La vitalité donne un sens à la vie et nous remplit de choses qui ajoutent de la qualité à la quantité de vie qui nous est donnée.
(Omission) Si la vie vous paraît ennuyeuse, ne vous contentez pas de votre situation actuelle.
Ne nous contentons pas d'avoir terminé ce livre et cherchons à comprendre pourquoi il est si ennuyeux.
C'est un bon point de départ, mais ce n'est pas tout.
Je veux que vous rêviez de ce qui pourrait arriver et que vous vous demandiez : « Pourquoi pas ? »
Luttons pour la vitalité.
Surmontons la douleur, la solitude et le vide.
Accueillons la lumière.
Croyons au chemin qui s'offre à nous et faisons chaque jour un pas pour l'atteindre.
Croyons qu'à chaque tournant qui se présente à nous se cache quelque chose de plus beau.
La vitalité est un bienfait que vous méritez.
--- Extrait de « Sortir »
Avis de l'éditeur
Le dépérissement est plus fréquent que la dépression et met la vie en danger.
Cela réduit la motivation, perturbe la concentration et triple la probabilité de réduire la charge de travail.
Elle est plus fréquente que la dépression majeure et peut accroître la vulnérabilité aux maladies mentales et enclencher un cercle vicieux.
Ne vous laissez pas tromper par le bonheur
L'important est de « fonctionner sainement ».
La définition traditionnelle de la santé mentale est « l'absence de maladie mentale ».
Corey Keith pense que cette définition est erronée.
« Cette définition correspond à un modèle de continuum unique qui est couramment utilisé depuis longtemps. »
Cependant, ne pas souffrir de maladie mentale ne signifie pas que tout le monde est en bonne santé mentale. De même que la définition de la « santé » ne se limite pas à « l’absence de maladie », la « santé mentale » ne se limite pas à « l’absence de maladie mentale ».
Le « modèle à double continuum de la santé mentale » élaboré par Keys considère le bien-être mental comme combinant deux dimensions : la présence ou l'absence de maladie mentale et une bonne ou une mauvaise santé mentale.
Bientôt, une personne pourra avoir une mauvaise santé mentale sans souffrir d'une maladie mentale grave, et une personne pourra avoir une bonne santé mentale même avec une maladie mentale grave.
En résumé, nous pouvons mener une vie épanouissante, que nous soyons atteints ou non d'une maladie mentale, et même avec une maladie mentale, nous pouvons mener une vie riche si nous avons de la vitalité.
Jusqu’à présent, le système de santé mentale s’est principalement concentré sur la « maladie mentale ».
Mais en tant que sociologue, Keys demande : « Si tant de personnes souffrent de niveaux records de stress, d'anxiété, d'épuisement professionnel et d'apathie, comment pouvons-nous en imputer la responsabilité uniquement aux individus ? » et soutient que nous avons besoin d'un système qui se concentre davantage sur la « santé mentale » elle-même (à titre de référence, en 2006, Thomas Insel, directeur de l'Institut national de la santé mentale, a déclaré publiquement que tous les traitements actuellement connus pour les maladies mentales sont au mieux palliatifs, et non « curatifs »).
« De plus en plus d’études suggèrent que ces “ressources” sociales sont particulièrement efficaces pour prévenir les problèmes de santé dans les communautés socio-économiquement défavorisées où les sources d’aide alternatives sont moins nombreuses. »
Comme le dit l'adage, « pour certains, un niveau de vitalité plus élevé peut améliorer considérablement leur qualité de vie », Keys étudie comment la « vitalité » qu'il étudie fonctionne sans fermer les yeux sur les injustices sociales telles que l'inégalité et la discrimination qui sont des facteurs de stress à long terme.
Du point de vue du traitement immédiat, nous soutenons que la création de conditions revitalisantes peut accroître l'équité en matière de santé et permettre aux efforts individuels et aux interventions de politiques de santé publique de fonctionner de concert.
Corey Keith en conclut que la clé d'une vie épanouie réside dans le fait de privilégier un fonctionnement sain au sein de la société plutôt que le bonheur individuel (le bien-être).
« Être heureux sans pouvoir fonctionner correctement, c’est comme manger tous les jours des aliments qui ne sont ni nutritifs ni sains, mais qui ont un goût délicieux. »
Peut-on redonner vie à une vie qui s'est arrêtée ?
5 vitamines essentielles à votre vitalité
Comment rompre le cercle vicieux qui perpétue l'apathie moderne et vivre pleinement ? La dernière partie de l'ouvrage présente les « Cinq vitamines de la vitalité », découvertes grâce à des recherches évaluées par des pairs auxquelles l'auteur a participé.
« Nos recherches montrent que les personnes énergiques font davantage les cinq choses suivantes : »
Ils ont aidé les autres d'une manière ou d'une autre.
Ils s'adonnaient davantage aux jeux ou aux activités de loisirs actives et à des activités spirituelles ou religieuses.
J'ai appris de nouvelles choses qui ont contribué à mon développement personnel.
Et nous avons organisé davantage d'activités qui ont permis de tisser des liens significatifs, fondés sur la chaleur humaine, la confiance et le sentiment d'appartenance. »
Dans cet ouvrage, qui est l'aboutissement de plusieurs décennies de recherche, Corey Keith présente une approche typiquement contre-intuitive.
Contrairement aux systèmes commerciaux d'auto-assistance qui encouragent les fluctuations d'humeur à court terme — autrement dit, qui se concentrent sur le « bien-être » —, l'approche de l'auteur se concentre sur le « bon fonctionnement ».
En d'autres termes, je vous encourage à remplir votre quotidien d'activités simples mais puissantes qui favorisent la détente émotionnelle, une meilleure acceptation de vous-même et des autres, et créent des cycles de sens, de connexion et de croissance.
Nous proposons des « moyens de retrouver de la vitalité dans la vie » qui s'appliquent à tous, quels que soient les critères démographiques ou la maladie mentale, en nous concentrant sur les cinq vitamines essentielles à la vie : l'apprentissage, les relations, la spiritualité, le sens de la vie et le jeu.
Apprendre — apprendre ce que l’on choisit, à son propre rythme — est un puissant antidote à l’ennui.
Dans un monde où règne la méfiance envers les relations, une amitié où les personnes se sentent égales est une condition essentielle à la vitalité.
Spiritualité : Créer un camp de base pour mon esprit où je peux retrouver paix et souplesse à tout moment.
Objectif : En contribuant aux autres et au monde, le but, la direction et l'intention de ma vie deviennent plus clairs.
Un divertissement « non structuré » qui favorise le bien-être ludique et soulage la surcharge de l'ego et le stress.
Corey Keith a consacré sa vie à l'étude des causes et des coûts du « dépérissement », une affection souvent négligée dans le domaine de la santé mentale.
Ce livre est le premier ouvrage de référence sur le thème du « dépérissement et de la vitalité », examinant l'impact du dépérissement sur nos vies et diagnostiquant avec habileté les fausses promesses de l'industrie du développement personnel qui se cachent derrière le phénomène mondial du dépérissement, les peurs et les pertes de la vie moderne, et les limites d'un système de santé mentale axé sur le traitement (qui est palliatif et non curatif) plutôt que sur la prévention.
Ce livre est une lecture incontournable pour quiconque a du mal à traverser chaque journée, à surmonter les sentiments de démotivation et de vide, et à mieux faire face à l'adversité personnelle et aux pressions de la vie moderne.
En comprenant et en exprimant mieux nos expériences intérieures et nos désirs les plus profonds, nous pouvons tous découvrir le potentiel de vivre des vies plus épanouissantes.
Cela réduit la motivation, perturbe la concentration et triple la probabilité de réduire la charge de travail.
Elle est plus fréquente que la dépression majeure et peut accroître la vulnérabilité aux maladies mentales et enclencher un cercle vicieux.
Ne vous laissez pas tromper par le bonheur
L'important est de « fonctionner sainement ».
La définition traditionnelle de la santé mentale est « l'absence de maladie mentale ».
Corey Keith pense que cette définition est erronée.
« Cette définition correspond à un modèle de continuum unique qui est couramment utilisé depuis longtemps. »
Cependant, ne pas souffrir de maladie mentale ne signifie pas que tout le monde est en bonne santé mentale. De même que la définition de la « santé » ne se limite pas à « l’absence de maladie », la « santé mentale » ne se limite pas à « l’absence de maladie mentale ».
Le « modèle à double continuum de la santé mentale » élaboré par Keys considère le bien-être mental comme combinant deux dimensions : la présence ou l'absence de maladie mentale et une bonne ou une mauvaise santé mentale.
Bientôt, une personne pourra avoir une mauvaise santé mentale sans souffrir d'une maladie mentale grave, et une personne pourra avoir une bonne santé mentale même avec une maladie mentale grave.
En résumé, nous pouvons mener une vie épanouissante, que nous soyons atteints ou non d'une maladie mentale, et même avec une maladie mentale, nous pouvons mener une vie riche si nous avons de la vitalité.
Jusqu’à présent, le système de santé mentale s’est principalement concentré sur la « maladie mentale ».
Mais en tant que sociologue, Keys demande : « Si tant de personnes souffrent de niveaux records de stress, d'anxiété, d'épuisement professionnel et d'apathie, comment pouvons-nous en imputer la responsabilité uniquement aux individus ? » et soutient que nous avons besoin d'un système qui se concentre davantage sur la « santé mentale » elle-même (à titre de référence, en 2006, Thomas Insel, directeur de l'Institut national de la santé mentale, a déclaré publiquement que tous les traitements actuellement connus pour les maladies mentales sont au mieux palliatifs, et non « curatifs »).
« De plus en plus d’études suggèrent que ces “ressources” sociales sont particulièrement efficaces pour prévenir les problèmes de santé dans les communautés socio-économiquement défavorisées où les sources d’aide alternatives sont moins nombreuses. »
Comme le dit l'adage, « pour certains, un niveau de vitalité plus élevé peut améliorer considérablement leur qualité de vie », Keys étudie comment la « vitalité » qu'il étudie fonctionne sans fermer les yeux sur les injustices sociales telles que l'inégalité et la discrimination qui sont des facteurs de stress à long terme.
Du point de vue du traitement immédiat, nous soutenons que la création de conditions revitalisantes peut accroître l'équité en matière de santé et permettre aux efforts individuels et aux interventions de politiques de santé publique de fonctionner de concert.
Corey Keith en conclut que la clé d'une vie épanouie réside dans le fait de privilégier un fonctionnement sain au sein de la société plutôt que le bonheur individuel (le bien-être).
« Être heureux sans pouvoir fonctionner correctement, c’est comme manger tous les jours des aliments qui ne sont ni nutritifs ni sains, mais qui ont un goût délicieux. »
Peut-on redonner vie à une vie qui s'est arrêtée ?
5 vitamines essentielles à votre vitalité
Comment rompre le cercle vicieux qui perpétue l'apathie moderne et vivre pleinement ? La dernière partie de l'ouvrage présente les « Cinq vitamines de la vitalité », découvertes grâce à des recherches évaluées par des pairs auxquelles l'auteur a participé.
« Nos recherches montrent que les personnes énergiques font davantage les cinq choses suivantes : »
Ils ont aidé les autres d'une manière ou d'une autre.
Ils s'adonnaient davantage aux jeux ou aux activités de loisirs actives et à des activités spirituelles ou religieuses.
J'ai appris de nouvelles choses qui ont contribué à mon développement personnel.
Et nous avons organisé davantage d'activités qui ont permis de tisser des liens significatifs, fondés sur la chaleur humaine, la confiance et le sentiment d'appartenance. »
Dans cet ouvrage, qui est l'aboutissement de plusieurs décennies de recherche, Corey Keith présente une approche typiquement contre-intuitive.
Contrairement aux systèmes commerciaux d'auto-assistance qui encouragent les fluctuations d'humeur à court terme — autrement dit, qui se concentrent sur le « bien-être » —, l'approche de l'auteur se concentre sur le « bon fonctionnement ».
En d'autres termes, je vous encourage à remplir votre quotidien d'activités simples mais puissantes qui favorisent la détente émotionnelle, une meilleure acceptation de vous-même et des autres, et créent des cycles de sens, de connexion et de croissance.
Nous proposons des « moyens de retrouver de la vitalité dans la vie » qui s'appliquent à tous, quels que soient les critères démographiques ou la maladie mentale, en nous concentrant sur les cinq vitamines essentielles à la vie : l'apprentissage, les relations, la spiritualité, le sens de la vie et le jeu.
Apprendre — apprendre ce que l’on choisit, à son propre rythme — est un puissant antidote à l’ennui.
Dans un monde où règne la méfiance envers les relations, une amitié où les personnes se sentent égales est une condition essentielle à la vitalité.
Spiritualité : Créer un camp de base pour mon esprit où je peux retrouver paix et souplesse à tout moment.
Objectif : En contribuant aux autres et au monde, le but, la direction et l'intention de ma vie deviennent plus clairs.
Un divertissement « non structuré » qui favorise le bien-être ludique et soulage la surcharge de l'ego et le stress.
Corey Keith a consacré sa vie à l'étude des causes et des coûts du « dépérissement », une affection souvent négligée dans le domaine de la santé mentale.
Ce livre est le premier ouvrage de référence sur le thème du « dépérissement et de la vitalité », examinant l'impact du dépérissement sur nos vies et diagnostiquant avec habileté les fausses promesses de l'industrie du développement personnel qui se cachent derrière le phénomène mondial du dépérissement, les peurs et les pertes de la vie moderne, et les limites d'un système de santé mentale axé sur le traitement (qui est palliatif et non curatif) plutôt que sur la prévention.
Ce livre est une lecture incontournable pour quiconque a du mal à traverser chaque journée, à surmonter les sentiments de démotivation et de vide, et à mieux faire face à l'adversité personnelle et aux pressions de la vie moderne.
En comprenant et en exprimant mieux nos expériences intérieures et nos désirs les plus profonds, nous pouvons tous découvrir le potentiel de vivre des vies plus épanouissantes.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 25 septembre 2024
Nombre de pages, poids, dimensions : 380 pages | 546 g | 148 × 215 × 25 mm
- ISBN13 : 9791140710744
- ISBN10 : 1140710745
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