
Le dernier cours de Lee Eo-ryeong
Description
Introduction au livre
Dernière interview de Lee Eo-ryeong, intellectuel de notre époque, et de Kim Ji-soo d'« Interstellar ». La dernière leçon de vie sur la vie et la mort Ce livre contient les histoires les plus sages sur la vie et la mort racontées par Lee Eo-ryeong, l'intellectuel représentatif de cette époque. L'enseignant, qui a frôlé la mort après une longue lutte contre le cancer, aborde divers sujets, dont l'amour, le pardon, la religion et la science, et nous transmet d'une voix basse et profonde que « la mort est au cœur de la vie ». À l'automne 2019, l'article intitulé « La dernière interview de Lee Eo-ryeong » tiré du film « Interstellar de Kim Ji-soo » a été publié, et le message de Lee Eo-ryeong, « Ma vie était un cadeau », a été salué. Cette interview, qui a suscité plus de 7 000 commentaires et est devenue un sujet brûlant, a conduit à d'autres interviews pour révéler la fin plus profonde de son histoire et a donné naissance à ce livre. Dans seize entretiens menés sur une année, le Maître présente aux lecteurs son nouvel ami, la Mort, et parle de « la mort dans la vie » ou de « la vie auprès de la mort ». Lorsque ses élèves l'interrogent sur la vie et la mort, Maître Lee Eo-ryeong leur donne des réponses remplies de métaphores et d'analogies, et en tant que maître de vie, il se donne entièrement à ses élèves qui resteront dans ce monde. Ce livre, imprégné de la « rhétorique de la volonté », est le récit ultime d'un maître confronté à la mort, et constituera la réponse la plus sage à la vie pour les générations futures. |
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Prologue À vous qui avez besoin d'un professeur
1.
Encore une fois, dernière interview
Bras de fer avec les ténèbres / L'âme n'entre que lorsque l'esprit est vide / La mort est comme un tigre sortant de sa cage et me bondissant dessus / L'appel de Dieu à Nietzsche / Il n'y a rien à craindre si l'on pense par soi-même / Le plus important est le vide / Lire comme une vache broute
2.
Attention aux grandes questions
Dernier ou éternel / Le mensonge qu'on appelle testament / Méfiez-vous des grandes questions / Larmes en plein jour, la mort est l'apogée de la vie / Écrire vous éloigne un peu plus du précipice / N'envoyez jamais une lettre écrite la nuit
3.
Le contraire de la vérité, c'est l'oubli.
Écrire quand on ne peut pas écrire / La mort est un bol de verre qui cliquette dans ta poche
4.
J'étais donc seul
Une personne malchanceuse ne naît pas en ce monde / Le début de la sagesse est d'accepter son destin / Ressentir le destin, c'est voir un corbeau à minuit
5.
Le sentiment d'orphelinat nous pousse à aller de l'avant
Le fou Salomon, les mensonges des fous / La joie de « ne pas savoir » encore / Ceux qui punissent la mer pour les tempêtes / Défier la gravité et aller à contre-courant
6.
L'homme avec une poignée, l'homme sans poignée
Il y a du vrai dans le « cas par cas » / Je ne connais pas la douleur des autres / Un homme avec une poignée, un homme sans poignée
7.
L'enfer des racines, le paradis des racines
Peut-être sommes-nous tous enracinés dans le bleu / Nous n'avons d'autre choix que de mémoriser les tables de multiplication / La première neige tombée cette nuit, un coup de foudre / La dernière danse est avec moi
8.
Le lieu de la mort n'est pas une falaise, mais la maison.
Pour faire des bénéfices, commencez par ce qui vous intéresse / La vie n'est pas un panorama, mais un simple cadre / Sur l'amour et sa solitude
9.
L'inutilité d'un imbécile
Le retour du fils prodigue / Vivre comme un fou / Méfiez-vous des gens qui ont la foi / Les rêves ne se créent pas, ils se poursuivent / Le dilemme de l'esclave fidèle
10.
Voulez-vous entendre parler de douleur ?
Comment réagissons-nous face au chaos ? / Suis-je une cruche, un seau ou une pierre ? / Ceux qui ont des blessures ont aussi des arcs. / Le mouvement de l'âme ne se révèle que dans la tragédie. / Un être humain est un crayon avec une gomme. / Un être humain mourra-t-il en ange ou en démon ?
11.
Une larme de l'enseignante
Quand les larmes coulent-elles ? / La perspicacité nous dépasse. / Dieu nous submerge soudainement, comme la lumière nous submerge telle l'eau. / De la spiritualité à l'intelligence.
12.
Une journée éblouissante
Qui deviendra une bête et qui deviendra un surhomme ? / Les humains ne peuvent être changés par les autres / Le travail et l'état d'autosuffisance
13.
L'homme mourant avec sagesse
Le Temps des petites morts, le calme / Quatre yeux / Le sage ou le fou
14.
Un autre printemps
Le langage de la conscience, le langage de la vérité, de la bonté et de la beauté / La voie de l'argent, la voie du sang, la voie du langage / Qui pardonnera à qui ?
15.
Un autre été - Soyez féconds et prospères
La queue du serpent et le vieux papier / Le chef est un voleur, celui qui lie ton cou au mien / Le berger, le plus grand capital de vie de l'humanité
16.
Adieu
Le premier oiseau à lever la tête à l'aube, non par diligence mais par sensibilité / Le plus triste est de ne pas avoir pu le dire à l'époque / Le dernier cadeau
Épilogue
Dernière interview : « En attendant la mort, j'ai appris le mystère de la naissance »
1.
Encore une fois, dernière interview
Bras de fer avec les ténèbres / L'âme n'entre que lorsque l'esprit est vide / La mort est comme un tigre sortant de sa cage et me bondissant dessus / L'appel de Dieu à Nietzsche / Il n'y a rien à craindre si l'on pense par soi-même / Le plus important est le vide / Lire comme une vache broute
2.
Attention aux grandes questions
Dernier ou éternel / Le mensonge qu'on appelle testament / Méfiez-vous des grandes questions / Larmes en plein jour, la mort est l'apogée de la vie / Écrire vous éloigne un peu plus du précipice / N'envoyez jamais une lettre écrite la nuit
3.
Le contraire de la vérité, c'est l'oubli.
Écrire quand on ne peut pas écrire / La mort est un bol de verre qui cliquette dans ta poche
4.
J'étais donc seul
Une personne malchanceuse ne naît pas en ce monde / Le début de la sagesse est d'accepter son destin / Ressentir le destin, c'est voir un corbeau à minuit
5.
Le sentiment d'orphelinat nous pousse à aller de l'avant
Le fou Salomon, les mensonges des fous / La joie de « ne pas savoir » encore / Ceux qui punissent la mer pour les tempêtes / Défier la gravité et aller à contre-courant
6.
L'homme avec une poignée, l'homme sans poignée
Il y a du vrai dans le « cas par cas » / Je ne connais pas la douleur des autres / Un homme avec une poignée, un homme sans poignée
7.
L'enfer des racines, le paradis des racines
Peut-être sommes-nous tous enracinés dans le bleu / Nous n'avons d'autre choix que de mémoriser les tables de multiplication / La première neige tombée cette nuit, un coup de foudre / La dernière danse est avec moi
8.
Le lieu de la mort n'est pas une falaise, mais la maison.
Pour faire des bénéfices, commencez par ce qui vous intéresse / La vie n'est pas un panorama, mais un simple cadre / Sur l'amour et sa solitude
9.
L'inutilité d'un imbécile
Le retour du fils prodigue / Vivre comme un fou / Méfiez-vous des gens qui ont la foi / Les rêves ne se créent pas, ils se poursuivent / Le dilemme de l'esclave fidèle
10.
Voulez-vous entendre parler de douleur ?
Comment réagissons-nous face au chaos ? / Suis-je une cruche, un seau ou une pierre ? / Ceux qui ont des blessures ont aussi des arcs. / Le mouvement de l'âme ne se révèle que dans la tragédie. / Un être humain est un crayon avec une gomme. / Un être humain mourra-t-il en ange ou en démon ?
11.
Une larme de l'enseignante
Quand les larmes coulent-elles ? / La perspicacité nous dépasse. / Dieu nous submerge soudainement, comme la lumière nous submerge telle l'eau. / De la spiritualité à l'intelligence.
12.
Une journée éblouissante
Qui deviendra une bête et qui deviendra un surhomme ? / Les humains ne peuvent être changés par les autres / Le travail et l'état d'autosuffisance
13.
L'homme mourant avec sagesse
Le Temps des petites morts, le calme / Quatre yeux / Le sage ou le fou
14.
Un autre printemps
Le langage de la conscience, le langage de la vérité, de la bonté et de la beauté / La voie de l'argent, la voie du sang, la voie du langage / Qui pardonnera à qui ?
15.
Un autre été - Soyez féconds et prospères
La queue du serpent et le vieux papier / Le chef est un voleur, celui qui lie ton cou au mien / Le berger, le plus grand capital de vie de l'humanité
16.
Adieu
Le premier oiseau à lever la tête à l'aube, non par diligence mais par sensibilité / Le plus triste est de ne pas avoir pu le dire à l'époque / Le dernier cadeau
Épilogue
Dernière interview : « En attendant la mort, j'ai appris le mystère de la naissance »
Image détaillée
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Dans le livre
En ce moment même, je vous invite à rejoindre cette classe spéciale si vous avez besoin d'un professeur.
Une voix réconfortante, une voix qui réprimande, une voix bienveillante… J’espère que la voix de mon professeur, Lee Eo-ryeong, que j’ai entendue, résonnera aussi agréablement à vos oreilles à chaque instant.
--- p.8
« Chaque fois qu’un film se termine et que le panneau « fin » apparaît, je pense… »
À ta place, j'y mettrais un bouton de fleur.
Alors, quelqu'un pourrait arriver à l'endroit où l'on pensait que tout était terminé et l'histoire pourrait recommencer à tout moment.
De même que la dernière interview à cette époque n'était pas la fin, elle s'est poursuivie jusqu'à la dernière interview actuelle.
« C’est la vie. »
--- p.47
« Il y a des corbeaux la nuit, et les corbeaux de la nuit croassent, mais nous ne pouvons ni voir les corbeaux ni entendre leurs cris. »
Mais même si nous ne le ressentons pas, le corbeau de minuit existe bel et bien.
C'est le destin.
Naissance, rencontre, séparation, mort… … ces choses, si nous écoutons attentivement les corbeaux la nuit, nous pouvons ressentir notre destin à ce moment précis.
--- p.86
«Nous ne connaîtrons jamais les autres.»
Tu crois savoir.
J’ai beau aimer ma mère, il y a une fine barrière entre nous.
Je ne pourrai jamais être mère et je ne pourrai jamais être mère.
Même si je t'aime plus que tout au monde, la douleur de ma mère et la mienne sont distinctes.
À cause de la fine pellicule qui se forme entre l'existence et l'existence.
Mais nous faisons comme si ce n'était pas le cas.
« Du genre : “Je peux être toi.” »
--- p.120
« J’ai entendu dire qu’avant de mourir, votre vie se déroule devant vos yeux comme un film panoramique. »
"Non.
La vie n'est pas un panorama.
C'est un cadre d'une seule coupe.
Lorsque vous assemblez chaque précieuse scène, coupe par coupe, cela ressemble à un panorama.
Des observations sont faites et des relations se tissent dans le cadre d'une seule prise de vue.
« Certaines choses qui n’ont pas été capturées ou jetées sont plus tard reconnectées et me reviennent. »
--- p.155~156
En réalité, je n'avais aucune idée de comment se déroulerait la conversation entre mon professeur et moi.
Même le professeur n'avait aucune idée de la tournure que prendrait notre conversation.
En tant que penseur, il était toujours plein de courage, et en tant qu'auditeur et organisateur, il me déstabilisait parfois.
En l'absence de tout retour, je lui faisais confiance pour me livrer chaque mardi son texte le plus précieux, et il me faisait confiance pour écrire le morceau le plus entêtant qui soit.
--- p.241
«Regardez les vagues qui se lèvent sur la mer.»
Quelle que soit la hauteur à laquelle les vagues s'élèvent, elles reviennent toujours horizontalement.
Quelle que soit la force de la mer, il existe toujours un niveau.
La mer est en perpétuel mouvement, elle n'a donc jamais de surface plane.
Mais il existe bel et bien une surface vers laquelle les vagues doivent revenir.
Ma mort est la même.
C'était une vague qui se propageait sans cesse, mais tout revenait au même niveau.
Je ne l'ai jamais vue, mais elle est assurément en moi.
« Parce que c’est là que je vais retourner. »
Une voix réconfortante, une voix qui réprimande, une voix bienveillante… J’espère que la voix de mon professeur, Lee Eo-ryeong, que j’ai entendue, résonnera aussi agréablement à vos oreilles à chaque instant.
--- p.8
« Chaque fois qu’un film se termine et que le panneau « fin » apparaît, je pense… »
À ta place, j'y mettrais un bouton de fleur.
Alors, quelqu'un pourrait arriver à l'endroit où l'on pensait que tout était terminé et l'histoire pourrait recommencer à tout moment.
De même que la dernière interview à cette époque n'était pas la fin, elle s'est poursuivie jusqu'à la dernière interview actuelle.
« C’est la vie. »
--- p.47
« Il y a des corbeaux la nuit, et les corbeaux de la nuit croassent, mais nous ne pouvons ni voir les corbeaux ni entendre leurs cris. »
Mais même si nous ne le ressentons pas, le corbeau de minuit existe bel et bien.
C'est le destin.
Naissance, rencontre, séparation, mort… … ces choses, si nous écoutons attentivement les corbeaux la nuit, nous pouvons ressentir notre destin à ce moment précis.
--- p.86
«Nous ne connaîtrons jamais les autres.»
Tu crois savoir.
J’ai beau aimer ma mère, il y a une fine barrière entre nous.
Je ne pourrai jamais être mère et je ne pourrai jamais être mère.
Même si je t'aime plus que tout au monde, la douleur de ma mère et la mienne sont distinctes.
À cause de la fine pellicule qui se forme entre l'existence et l'existence.
Mais nous faisons comme si ce n'était pas le cas.
« Du genre : “Je peux être toi.” »
--- p.120
« J’ai entendu dire qu’avant de mourir, votre vie se déroule devant vos yeux comme un film panoramique. »
"Non.
La vie n'est pas un panorama.
C'est un cadre d'une seule coupe.
Lorsque vous assemblez chaque précieuse scène, coupe par coupe, cela ressemble à un panorama.
Des observations sont faites et des relations se tissent dans le cadre d'une seule prise de vue.
« Certaines choses qui n’ont pas été capturées ou jetées sont plus tard reconnectées et me reviennent. »
--- p.155~156
En réalité, je n'avais aucune idée de comment se déroulerait la conversation entre mon professeur et moi.
Même le professeur n'avait aucune idée de la tournure que prendrait notre conversation.
En tant que penseur, il était toujours plein de courage, et en tant qu'auditeur et organisateur, il me déstabilisait parfois.
En l'absence de tout retour, je lui faisais confiance pour me livrer chaque mardi son texte le plus précieux, et il me faisait confiance pour écrire le morceau le plus entêtant qui soit.
--- p.241
«Regardez les vagues qui se lèvent sur la mer.»
Quelle que soit la hauteur à laquelle les vagues s'élèvent, elles reviennent toujours horizontalement.
Quelle que soit la force de la mer, il existe toujours un niveau.
La mer est en perpétuel mouvement, elle n'a donc jamais de surface plane.
Mais il existe bel et bien une surface vers laquelle les vagues doivent revenir.
Ma mort est la même.
C'était une vague qui se propageait sans cesse, mais tout revenait au même niveau.
Je ne l'ai jamais vue, mais elle est assurément en moi.
« Parce que c’est là que je vais retourner. »
--- p.291
Avis de l'éditeur
Seize mardis, assis face à face avec un professeur dont la mort rôdait à ses côtés.
« Dernière interview » de Lee Eo-ryeong et Kim Ji-soo
À l'automne 2019, l'article « La dernière interview de Lee Eo-ryeong » du magazine « Interstellar » de Kim Ji-soo, intitulé « Ce sera ma dernière interview », a été publié. Le message de l'enseignante Lee Eo-ryeong, qui portait un regard rétrospectif sur la mort à travers le prisme du mystère de la naissance et affirmait : « Ma vie était un cadeau », a suscité un vif intérêt, avec plus de 7 000 commentaires. Face à cet engouement, la journaliste Kim Ji-soo a entrepris une interview plus approfondie, relatant les derniers instants de l'enseignante Lee Eo-ryeong.
C’est ainsi que naquit 『La dernière leçon de Lee Eo-ryeong』.
(Le texte intégral de « Interstellar de Kim Ji-soo » et de « La dernière interview de Lee Eo-ryeong » figure dans le dernier chapitre du livre.)
Au cours de seize entretiens menés sur une année, « des feuilles d’automne aux montagnes hivernales, en passant par les fleurs de prunier du printemps et jusqu’à l’apparition des nouvelles feuilles vertes en été », le maître présente son nouvel ami, « la Mort », et déverse toute sa sagesse « comme s’il crachait du sang » « pour le bien des générations futures ».
« Il arrive que la santé de l’enseignant se détériore soudainement », et il arrive aussi qu’il doive annuler des entretiens, mais « tous les mardis », il offre généreusement ce qu’il a de plus précieux aux « lecteurs qui veulent entendre la vérité sur la vie du point de vue d’un enseignant mourant ».
Le maître a achevé ce livre, qui restera son « testament », après de nombreuses révisions et corrections afin de transmettre pleinement sa sagesse à ses élèves qui le liront.
« Je vais entamer une conversation très importante avec vous. »
Ce sont des choses que j'ai comprises en luttant contre la mort et la vie.
Vous comprenez ? C'est comme le butin de guerre que vous avez reçu après avoir vaincu le Bras des Ténèbres.
« Encore une fois, lors de la dernière interview »
« Ce livre interroge la mort ou la vie. »
« C’est une belle réponse à une question triste. »
La conversation entre Lee Eo-ryeong et Kim Ji-su, qui aborde une variété de sujets tels que l'amour, le pardon, la religion, la science, les rêves et l'argent dans la vie et la mort, est pleine d'une sagesse qui ne peut être transmise que par un maître ayant longtemps vécu face à la mort.
Il enseigne que « la mort est au cœur de la vie », offrant une réponse métaphorique et allégorique à la question d'un disciple sur « la belle et inévitable mort de l'acceptation de la vie, et non un désastre ».
« Plus que tout, mon professeur voulait m’apprendre que la mort est au cœur de la vie. »
Dans la fontaine à midi, dans le silence de la mi-journée, entre la cour de récréation bruyante et la salle de classe vide, à cet instant où les cigales cessent leur chant… … nous traversons chacun, avec notre propre peau sensible, la fine membrane de la vie et de la mort.
Il a amené la mort humide et joyeuse sous le soleil du solstice d'été et l'a baignée de lumière.
_Extrait du « Prologue »
Le Maître raconte aussi de nombreuses histoires empreintes de « rhétorique de la volonté », expliquant « pourquoi la vérité réside dans chaque cas, pourquoi la vie est une succession de fragments et non un panorama, pourquoi les humains ne peuvent être changés par autrui », et parlant de la vérité de la vie qu'il a découverte en « choisissant la sagesse plutôt que la paix » tout au long de son existence.
«Je ne mourrai jamais.»
« Je serai toujours là pour t’écrire et te parler chaque fois que tu auras besoin de moi. »
À ceux qui se sont mis en route pour tracer leur propre chemin
Une consolation apaisante de la part d'un enseignant
Maître Lee Eo-ryeong nous fait remarquer que sa mort ne signifie pas la fin.
« Même si mon corps disparaît, mes mots et mes pensées demeurent », donc « je vis d’autant plus longtemps ».
Il affirme que l'écriture et la parole sont son « dernier espoir », et que si « pour la plupart des gens, la mort est la fin », pour les écrivains il y a une « étape suivante : écrire sur la mort », et qu'il « accepte très calmement tout ce qui lui est arrivé » en ce moment.
Le Maître est présenté comme « celui qui donne la vie et la mort » pour « nous révéler ce qu’est la mort ».
Tout comme le professeur Morrie dans « Les mardis avec Morrie », l’enseignant Lee Eo-ryeong inclut ses « derniers conseils de sagesse » dans ce livre pour ceux qui errent à la recherche de leur « propre voie ».
Avec un professeur comme celui-ci, qui souhaite que ses élèves « existent avec leurs propres histoires » même lorsqu’ils « se perdent », peut-être pourrons-nous « traverser cette vie incompréhensible un peu moins seuls ».
« Même en écrivant le dernier chapitre, je ne sais toujours pas quel sera le sort de ce livre. »
Cependant, j’espère que ce livre restera dans les mémoires comme la dernière fleur que l’enseignant a conservée dans votre cœur, une fleur qui témoigne d’une vie belle et solitaire.
_Extrait de « Adieu »
« Dernière interview » de Lee Eo-ryeong et Kim Ji-soo
À l'automne 2019, l'article « La dernière interview de Lee Eo-ryeong » du magazine « Interstellar » de Kim Ji-soo, intitulé « Ce sera ma dernière interview », a été publié. Le message de l'enseignante Lee Eo-ryeong, qui portait un regard rétrospectif sur la mort à travers le prisme du mystère de la naissance et affirmait : « Ma vie était un cadeau », a suscité un vif intérêt, avec plus de 7 000 commentaires. Face à cet engouement, la journaliste Kim Ji-soo a entrepris une interview plus approfondie, relatant les derniers instants de l'enseignante Lee Eo-ryeong.
C’est ainsi que naquit 『La dernière leçon de Lee Eo-ryeong』.
(Le texte intégral de « Interstellar de Kim Ji-soo » et de « La dernière interview de Lee Eo-ryeong » figure dans le dernier chapitre du livre.)
Au cours de seize entretiens menés sur une année, « des feuilles d’automne aux montagnes hivernales, en passant par les fleurs de prunier du printemps et jusqu’à l’apparition des nouvelles feuilles vertes en été », le maître présente son nouvel ami, « la Mort », et déverse toute sa sagesse « comme s’il crachait du sang » « pour le bien des générations futures ».
« Il arrive que la santé de l’enseignant se détériore soudainement », et il arrive aussi qu’il doive annuler des entretiens, mais « tous les mardis », il offre généreusement ce qu’il a de plus précieux aux « lecteurs qui veulent entendre la vérité sur la vie du point de vue d’un enseignant mourant ».
Le maître a achevé ce livre, qui restera son « testament », après de nombreuses révisions et corrections afin de transmettre pleinement sa sagesse à ses élèves qui le liront.
« Je vais entamer une conversation très importante avec vous. »
Ce sont des choses que j'ai comprises en luttant contre la mort et la vie.
Vous comprenez ? C'est comme le butin de guerre que vous avez reçu après avoir vaincu le Bras des Ténèbres.
« Encore une fois, lors de la dernière interview »
« Ce livre interroge la mort ou la vie. »
« C’est une belle réponse à une question triste. »
La conversation entre Lee Eo-ryeong et Kim Ji-su, qui aborde une variété de sujets tels que l'amour, le pardon, la religion, la science, les rêves et l'argent dans la vie et la mort, est pleine d'une sagesse qui ne peut être transmise que par un maître ayant longtemps vécu face à la mort.
Il enseigne que « la mort est au cœur de la vie », offrant une réponse métaphorique et allégorique à la question d'un disciple sur « la belle et inévitable mort de l'acceptation de la vie, et non un désastre ».
« Plus que tout, mon professeur voulait m’apprendre que la mort est au cœur de la vie. »
Dans la fontaine à midi, dans le silence de la mi-journée, entre la cour de récréation bruyante et la salle de classe vide, à cet instant où les cigales cessent leur chant… … nous traversons chacun, avec notre propre peau sensible, la fine membrane de la vie et de la mort.
Il a amené la mort humide et joyeuse sous le soleil du solstice d'été et l'a baignée de lumière.
_Extrait du « Prologue »
Le Maître raconte aussi de nombreuses histoires empreintes de « rhétorique de la volonté », expliquant « pourquoi la vérité réside dans chaque cas, pourquoi la vie est une succession de fragments et non un panorama, pourquoi les humains ne peuvent être changés par autrui », et parlant de la vérité de la vie qu'il a découverte en « choisissant la sagesse plutôt que la paix » tout au long de son existence.
«Je ne mourrai jamais.»
« Je serai toujours là pour t’écrire et te parler chaque fois que tu auras besoin de moi. »
À ceux qui se sont mis en route pour tracer leur propre chemin
Une consolation apaisante de la part d'un enseignant
Maître Lee Eo-ryeong nous fait remarquer que sa mort ne signifie pas la fin.
« Même si mon corps disparaît, mes mots et mes pensées demeurent », donc « je vis d’autant plus longtemps ».
Il affirme que l'écriture et la parole sont son « dernier espoir », et que si « pour la plupart des gens, la mort est la fin », pour les écrivains il y a une « étape suivante : écrire sur la mort », et qu'il « accepte très calmement tout ce qui lui est arrivé » en ce moment.
Le Maître est présenté comme « celui qui donne la vie et la mort » pour « nous révéler ce qu’est la mort ».
Tout comme le professeur Morrie dans « Les mardis avec Morrie », l’enseignant Lee Eo-ryeong inclut ses « derniers conseils de sagesse » dans ce livre pour ceux qui errent à la recherche de leur « propre voie ».
Avec un professeur comme celui-ci, qui souhaite que ses élèves « existent avec leurs propres histoires » même lorsqu’ils « se perdent », peut-être pourrons-nous « traverser cette vie incompréhensible un peu moins seuls ».
« Même en écrivant le dernier chapitre, je ne sais toujours pas quel sera le sort de ce livre. »
Cependant, j’espère que ce livre restera dans les mémoires comme la dernière fleur que l’enseignant a conservée dans votre cœur, une fleur qui témoigne d’une vie belle et solitaire.
_Extrait de « Adieu »
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 26 octobre 2021
Nombre de pages, poids, dimensions : 320 pages | 480 g | 135 × 210 × 30 mm
- ISBN13 : 9791170400523
- ISBN10 : 1170400523
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