
Vivre dans la dignité
Description
Introduction au livre
« Si vous voulez que votre mort soit digne,
La vie ne devrait-elle pas d'abord être digne ?
Gerald Hütter, intellectuel allemand contemporain et neuroscientifique de renommée mondiale, pose une question.
Un sujet audacieux qui va bouleverser les individus et la société.
Dans un amphithéâtre où étaient rassemblées des centaines de personnes, un scientifique a soudainement posé cette question à un PDG qui siégeait parmi les intervenants.
« On vous a donné l’opportunité de réaliser un très gros profit. »
Mais cette opportunité est quelque chose qui détruit votre dignité.
« Quel choix allez-vous faire ? » Le PDG, pris au piège d'un dilemme, resta un moment sans voix.
En tant que représentant d'une entreprise, je ne pouvais pas dire que je renoncerais aux profits, mais je ne pouvais pas non plus dire que je renoncerais à ma dignité personnelle.
Aurions-nous pu, contrairement à ce PDG, choisir sans hésiter la dignité ? Vivant à une époque où seuls la victoire dans la compétition, la richesse et la célébrité sont considérées comme des gages de réussite, nous comprenons parfaitement combien ce choix est difficile.
Le protagoniste de cette conférence qui a réduit le PDG au silence n'était autre que Gerald Hütter, intellectuel et neurobiologiste de renom en Allemagne.
Il explique que lorsque les gens pensent à la « dignité », ils pensent aux droits naturels garantis par la Constitution ou à des sujets philosophiques, mais que d'un point de vue neurobiologique, la dignité est un « instinct » inné chez l'être humain et un « sens » que nous devons raviver dans la vie.
Son livre, « Wurde : Was uns stark macht - als Einzelne und als Gesellschaft », qui explique la signification de la dignité à partir d'une analyse objective du système nerveux et des capacités cognitives humaines, a eu un grand impact sur la société allemande, restant dans le top 10 de la liste des meilleures ventes d'Amazon Allemagne pendant 26 semaines consécutives au moment de sa publication.
Ce livre semble nous poser cette question à nous qui vivons à la même époque.
« Nos vies sont-elles vraiment dignes ? »
Tous les êtres humains ont un désir inné d'être respectés et protégés, mais au fil de notre vie, nous nous sentons perdus et instables face aux innombrables exigences des autres et de la communauté que nous rencontrons.
En effet, le cerveau humain est un « organe social » qui apprend et se structure grâce aux relations avec autrui tout au long de la vie.
Gerald Hütter, intellectuel et neurobiologiste allemand de renom, affirme que le cerveau a besoin d'une sorte de boussole pour échapper à cet état de chaos et rétablir l'ordre intérieur.
C'est la « dignité ».
La « dignité » n'est pas un droit naturel, mais plutôt un mode de pensée et une attitude face à la vie qui se forment dans le cerveau au cours d'un long processus par lequel les individus et la société cherchent à donner un sens à leur existence.
Ce livre, qui rassemble les réflexions tirées des recherches menées toute une vie par Gerald Hütter sur la question « Qu'est-ce qu'une vie humaine, une vie digne ? », vous donnera le courage d'affronter la vie en temps de crise.
La vie ne devrait-elle pas d'abord être digne ?
Gerald Hütter, intellectuel allemand contemporain et neuroscientifique de renommée mondiale, pose une question.
Un sujet audacieux qui va bouleverser les individus et la société.
Dans un amphithéâtre où étaient rassemblées des centaines de personnes, un scientifique a soudainement posé cette question à un PDG qui siégeait parmi les intervenants.
« On vous a donné l’opportunité de réaliser un très gros profit. »
Mais cette opportunité est quelque chose qui détruit votre dignité.
« Quel choix allez-vous faire ? » Le PDG, pris au piège d'un dilemme, resta un moment sans voix.
En tant que représentant d'une entreprise, je ne pouvais pas dire que je renoncerais aux profits, mais je ne pouvais pas non plus dire que je renoncerais à ma dignité personnelle.
Aurions-nous pu, contrairement à ce PDG, choisir sans hésiter la dignité ? Vivant à une époque où seuls la victoire dans la compétition, la richesse et la célébrité sont considérées comme des gages de réussite, nous comprenons parfaitement combien ce choix est difficile.
Le protagoniste de cette conférence qui a réduit le PDG au silence n'était autre que Gerald Hütter, intellectuel et neurobiologiste de renom en Allemagne.
Il explique que lorsque les gens pensent à la « dignité », ils pensent aux droits naturels garantis par la Constitution ou à des sujets philosophiques, mais que d'un point de vue neurobiologique, la dignité est un « instinct » inné chez l'être humain et un « sens » que nous devons raviver dans la vie.
Son livre, « Wurde : Was uns stark macht - als Einzelne und als Gesellschaft », qui explique la signification de la dignité à partir d'une analyse objective du système nerveux et des capacités cognitives humaines, a eu un grand impact sur la société allemande, restant dans le top 10 de la liste des meilleures ventes d'Amazon Allemagne pendant 26 semaines consécutives au moment de sa publication.
Ce livre semble nous poser cette question à nous qui vivons à la même époque.
« Nos vies sont-elles vraiment dignes ? »
Tous les êtres humains ont un désir inné d'être respectés et protégés, mais au fil de notre vie, nous nous sentons perdus et instables face aux innombrables exigences des autres et de la communauté que nous rencontrons.
En effet, le cerveau humain est un « organe social » qui apprend et se structure grâce aux relations avec autrui tout au long de la vie.
Gerald Hütter, intellectuel et neurobiologiste allemand de renom, affirme que le cerveau a besoin d'une sorte de boussole pour échapper à cet état de chaos et rétablir l'ordre intérieur.
C'est la « dignité ».
La « dignité » n'est pas un droit naturel, mais plutôt un mode de pensée et une attitude face à la vie qui se forment dans le cerveau au cours d'un long processus par lequel les individus et la société cherchent à donner un sens à leur existence.
Ce livre, qui rassemble les réflexions tirées des recherches menées toute une vie par Gerald Hütter sur la question « Qu'est-ce qu'une vie humaine, une vie digne ? », vous donnera le courage d'affronter la vie en temps de crise.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Recommandation
prologue
Chapitre 1 : Réflexions sur la dignité perdue
À propos des souvenirs perdus | Plus de bruits d'insectes | Un travail non respecté | Des êtres précaires partout | Le piège de la maximisation du profit | Quand un avenir effrayant devient réalité
Chapitre 2 : Comment est née la dignité
Ancien et noble | Le Moyen Âge, l'homme à l'image de Dieu | Kant, le commandement inconditionnel sur la dignité | La déclaration de dignité renaissant des cendres de la guerre | La connaissance de soi à l'ère nouvelle
Chapitre 3 : Le cerveau profondément humain
Le cerveau : capacité d’apprendre | Le cerveau social humain | Une compréhension plus approfondie de l’humanité | Le défi le plus urgent du XXIe siècle | Stratégies de survie erronées
Chapitre 4 : Le cerveau social : Apprendre la dignité
Minimisation et optimisation de l'énergie | La cohérence comme stratégie de survie | L'identité comme modèle
Chapitre 5 : À la recherche d'une dignité inscrite dans l'instinct
Circuits neuronaux socialisés | Signaux d'alarme de crise
Chapitre 6 : Pourquoi nous devons protéger la dignité des autres
La conscience de soi qui commence par les autres | L'expérience douloureuse de l'objectification | Le miroir de la dignité d'autrui
Chapitre 7 : Le début d'un voyage vers une vie plus forte
Le premier pas vers la liberté | Entre crime et dignité | Tu ne peux pas me faire de mal
Chapitre 8 : Quel genre de monde allons-nous enseigner ?
Le problème éducatif le plus urgent | Attendre, pas trouver des solutions | Repenser le sens de l'éducation
Chapitre 9 : Ne plus vivre par les moyens
Le dogme du « gène égoïste » | La naissance d'un nouveau circuit | Une vie qui se sent vivante
Épilogue
Remerciements
prologue
Chapitre 1 : Réflexions sur la dignité perdue
À propos des souvenirs perdus | Plus de bruits d'insectes | Un travail non respecté | Des êtres précaires partout | Le piège de la maximisation du profit | Quand un avenir effrayant devient réalité
Chapitre 2 : Comment est née la dignité
Ancien et noble | Le Moyen Âge, l'homme à l'image de Dieu | Kant, le commandement inconditionnel sur la dignité | La déclaration de dignité renaissant des cendres de la guerre | La connaissance de soi à l'ère nouvelle
Chapitre 3 : Le cerveau profondément humain
Le cerveau : capacité d’apprendre | Le cerveau social humain | Une compréhension plus approfondie de l’humanité | Le défi le plus urgent du XXIe siècle | Stratégies de survie erronées
Chapitre 4 : Le cerveau social : Apprendre la dignité
Minimisation et optimisation de l'énergie | La cohérence comme stratégie de survie | L'identité comme modèle
Chapitre 5 : À la recherche d'une dignité inscrite dans l'instinct
Circuits neuronaux socialisés | Signaux d'alarme de crise
Chapitre 6 : Pourquoi nous devons protéger la dignité des autres
La conscience de soi qui commence par les autres | L'expérience douloureuse de l'objectification | Le miroir de la dignité d'autrui
Chapitre 7 : Le début d'un voyage vers une vie plus forte
Le premier pas vers la liberté | Entre crime et dignité | Tu ne peux pas me faire de mal
Chapitre 8 : Quel genre de monde allons-nous enseigner ?
Le problème éducatif le plus urgent | Attendre, pas trouver des solutions | Repenser le sens de l'éducation
Chapitre 9 : Ne plus vivre par les moyens
Le dogme du « gène égoïste » | La naissance d'un nouveau circuit | Une vie qui se sent vivante
Épilogue
Remerciements
Image détaillée

Dans le livre
Ce que j'espère vous faire découvrir à travers ce livre, c'est une sorte de boussole intérieure.
Une boussole intérieure que chaque individu forge au fil de sa vie.
Une boussole pour vous aider à ne pas vous perdre face aux nombreuses exigences extérieures.
Une boussole qui vous protégera des innombrables tentations et promesses faites par les autres.
--- Extrait du « Prologue »
Devant un public d'environ 200 personnes, j'ai immédiatement posé une question au PDG d'une grande entreprise qui était assis à côté de moi dans le panel.
« On vous a donné l’opportunité de gagner beaucoup d’argent. »
Mais cette opportunité est aussi ce qui détruit sa propre dignité.
« Quel choix feriez-vous face aux avantages immédiats et à votre dignité personnelle ? » En regardant le PDG, j'ai réalisé une fois de plus à quel point une personne peut être désemparée et impuissante.
--- Extrait de « Épilogue »
La solution à ce problème réside également dans les personnes vivant dans cette société et dans celles qui continueront d'évoluer au fil des générations.
Ceci s'explique par le fait qu'il s'agit d'une capacité et d'un potentiel biologiques que les humains possèdent depuis le début.
La réponse réside dans la structure et le fonctionnement du cerveau, propres à l'être humain.
Le cerveau humain possède des conditions particulières qui lui permettent d'éveiller, voire de contraindre à éveiller, l'idée de dignité humaine en tant qu'être humain.
C’est l’immense ouverture du cerveau humain et sa plasticité qui se maintient tout au long de la vie.
--- Extrait du « Chapitre 2 : Comment la dignité est née »
Le cerveau humain se trouve désorienté lorsqu'un problème survient et que le centre émotionnel du cerveau s'active ; et lorsque l'activité cérébrale s'écarte d'un état stable, il a besoin de quelque chose pour l'aider à se stabiliser.
Au cours de ce processus, les réseaux neuronaux activés sont encore étendus et renforcés.
D'une manière générale, le cerveau est structuré en fonction des solutions découvertes lors de la recherche d'un sens important à la vie.
Si, au cours de ce processus, une personne éprouve protection et appartenance, ainsi que créativité personnelle et autonomie sur son propre corps, plus l'intensité de cette expérience est grande, plus elle s'enracine profondément dans le cerveau.
Ces besoins fondamentaux sont profondément ancrés dans le cerveau, ce qui accroît la probabilité de reconnaître sa propre dignité. — Extrait du chapitre 3 : Le cerveau profondément humain
La quantité d'énergie disponible est limitée, et nous adaptons nos méthodes de travail afin d'éviter d'en consommer davantage.
Ce problème ne se limite pas à notre cerveau.
Tous les êtres vivants doivent établir un ordre et des structures internes qui minimisent la consommation d'énergie de leurs systèmes.
Parce que c'est comme ça qu'on peut survivre.
Mais ce principe fondamental engendre des problèmes dans le cerveau humain.
En effet, notre cerveau utilise déjà 20 % de son énergie disponible même au repos, c'est-à-dire lorsqu'il ne fait rien et ne pense même à rien.
Il ne s'agit en aucun cas d'une petite somme.
Même lorsque nous commençons à réfléchir, que nous sommes confrontés à un problème à résoudre, que nous nous trouvons dans une situation conflictuelle ou que nous apprenons simplement quelque chose de nouveau, notre dépense énergétique monte en flèche.
--- Extrait du « Chapitre 4 : Le cerveau social, apprendre la dignité »
Les enfants ont l'intuition que quelque chose ne va pas et un voyant rouge s'allume.
Elle n'existe pas sous la forme d'une idée, d'une pensée, d'une conviction ou d'une exigence, mais comme une émotion très subtile, c'est-à-dire une sensation subjective.
Les enfants naissent avec ce sens.
C'est le sens du bien, la façon dont on souhaite être traité et la façon dont on devrait coexister avec les autres.
Le sentiment de ce que signifie vivre comme un être humain, c'est-à-dire vivre dans la dignité.
--- Extrait du « Chapitre 5 : À la recherche de la dignité inscrite dans l'instinct »
Lorsque les êtres humains, qui devraient être des fins en soi, sont traités comme des moyens, cela détruit le désir humain fondamental d'affection et d'appartenance, ainsi que de subjectivité et de liberté.
Étonnamment, les zones du cerveau qui s'activent lorsque nous nous trouvons dans ces environnements sont les mêmes zones qui s'activent lorsqu'un problème survient dans notre corps.
C'est littéralement une expérience « douloureuse » pour le cerveau aussi.
--- Extrait du « Chapitre 6 : Pourquoi nous devons protéger la dignité des autres »
Une personne qui vit dans la dignité, et non pas qui vit simplement comme elle le fait.
Non pas une personne qui vit sans but, mais une personne qui vit pour l'humanité.
Reconnaître sa propre dignité est le premier pas vers la liberté et le premier acte d'autonomie.
--- Extrait du « Chapitre 7 : Le début d'un voyage vers une vie forte »
Une boussole intérieure que chaque individu forge au fil de sa vie.
Une boussole pour vous aider à ne pas vous perdre face aux nombreuses exigences extérieures.
Une boussole qui vous protégera des innombrables tentations et promesses faites par les autres.
--- Extrait du « Prologue »
Devant un public d'environ 200 personnes, j'ai immédiatement posé une question au PDG d'une grande entreprise qui était assis à côté de moi dans le panel.
« On vous a donné l’opportunité de gagner beaucoup d’argent. »
Mais cette opportunité est aussi ce qui détruit sa propre dignité.
« Quel choix feriez-vous face aux avantages immédiats et à votre dignité personnelle ? » En regardant le PDG, j'ai réalisé une fois de plus à quel point une personne peut être désemparée et impuissante.
--- Extrait de « Épilogue »
La solution à ce problème réside également dans les personnes vivant dans cette société et dans celles qui continueront d'évoluer au fil des générations.
Ceci s'explique par le fait qu'il s'agit d'une capacité et d'un potentiel biologiques que les humains possèdent depuis le début.
La réponse réside dans la structure et le fonctionnement du cerveau, propres à l'être humain.
Le cerveau humain possède des conditions particulières qui lui permettent d'éveiller, voire de contraindre à éveiller, l'idée de dignité humaine en tant qu'être humain.
C’est l’immense ouverture du cerveau humain et sa plasticité qui se maintient tout au long de la vie.
--- Extrait du « Chapitre 2 : Comment la dignité est née »
Le cerveau humain se trouve désorienté lorsqu'un problème survient et que le centre émotionnel du cerveau s'active ; et lorsque l'activité cérébrale s'écarte d'un état stable, il a besoin de quelque chose pour l'aider à se stabiliser.
Au cours de ce processus, les réseaux neuronaux activés sont encore étendus et renforcés.
D'une manière générale, le cerveau est structuré en fonction des solutions découvertes lors de la recherche d'un sens important à la vie.
Si, au cours de ce processus, une personne éprouve protection et appartenance, ainsi que créativité personnelle et autonomie sur son propre corps, plus l'intensité de cette expérience est grande, plus elle s'enracine profondément dans le cerveau.
Ces besoins fondamentaux sont profondément ancrés dans le cerveau, ce qui accroît la probabilité de reconnaître sa propre dignité. — Extrait du chapitre 3 : Le cerveau profondément humain
La quantité d'énergie disponible est limitée, et nous adaptons nos méthodes de travail afin d'éviter d'en consommer davantage.
Ce problème ne se limite pas à notre cerveau.
Tous les êtres vivants doivent établir un ordre et des structures internes qui minimisent la consommation d'énergie de leurs systèmes.
Parce que c'est comme ça qu'on peut survivre.
Mais ce principe fondamental engendre des problèmes dans le cerveau humain.
En effet, notre cerveau utilise déjà 20 % de son énergie disponible même au repos, c'est-à-dire lorsqu'il ne fait rien et ne pense même à rien.
Il ne s'agit en aucun cas d'une petite somme.
Même lorsque nous commençons à réfléchir, que nous sommes confrontés à un problème à résoudre, que nous nous trouvons dans une situation conflictuelle ou que nous apprenons simplement quelque chose de nouveau, notre dépense énergétique monte en flèche.
--- Extrait du « Chapitre 4 : Le cerveau social, apprendre la dignité »
Les enfants ont l'intuition que quelque chose ne va pas et un voyant rouge s'allume.
Elle n'existe pas sous la forme d'une idée, d'une pensée, d'une conviction ou d'une exigence, mais comme une émotion très subtile, c'est-à-dire une sensation subjective.
Les enfants naissent avec ce sens.
C'est le sens du bien, la façon dont on souhaite être traité et la façon dont on devrait coexister avec les autres.
Le sentiment de ce que signifie vivre comme un être humain, c'est-à-dire vivre dans la dignité.
--- Extrait du « Chapitre 5 : À la recherche de la dignité inscrite dans l'instinct »
Lorsque les êtres humains, qui devraient être des fins en soi, sont traités comme des moyens, cela détruit le désir humain fondamental d'affection et d'appartenance, ainsi que de subjectivité et de liberté.
Étonnamment, les zones du cerveau qui s'activent lorsque nous nous trouvons dans ces environnements sont les mêmes zones qui s'activent lorsqu'un problème survient dans notre corps.
C'est littéralement une expérience « douloureuse » pour le cerveau aussi.
--- Extrait du « Chapitre 6 : Pourquoi nous devons protéger la dignité des autres »
Une personne qui vit dans la dignité, et non pas qui vit simplement comme elle le fait.
Non pas une personne qui vit sans but, mais une personne qui vit pour l'humanité.
Reconnaître sa propre dignité est le premier pas vers la liberté et le premier acte d'autonomie.
--- Extrait du « Chapitre 7 : Le début d'un voyage vers une vie forte »
--- Extrait du « Chapitre 7 : Le début d'un voyage vers une vie forte »
Avis de l'éditeur
La question qui a réduit le PDG au silence : « Pouvez-vous choisir la dignité plutôt que le profit immédiat ? »
Dans un amphithéâtre où étaient rassemblées des centaines de personnes, un scientifique a soudainement posé cette question à un PDG qui siégeait parmi les intervenants.
« On vous a donné l’opportunité de réaliser un très gros profit. »
Mais cette opportunité est quelque chose qui détruit votre dignité.
« Quel choix allez-vous faire ? » Le PDG, pris au piège d'un dilemme, resta un moment sans voix.
En tant que représentant d'une entreprise, je ne pouvais pas dire que je renoncerais aux profits, mais je ne pouvais pas non plus dire que je renoncerais à ma dignité personnelle.
Aurions-nous pu, contrairement à ce PDG, choisir sans hésiter la dignité ? Vivant à une époque où seuls la victoire dans la compétition, la richesse et la célébrité sont considérées comme des gages de réussite, nous comprenons parfaitement combien ce choix est difficile.
Le protagoniste de cette conférence qui a réduit le PDG au silence n'était autre que Gerald Hütter, intellectuel et neurobiologiste de renom en Allemagne.
Il explique que lorsque les gens pensent à la « dignité », ils pensent aux droits naturels garantis par la Constitution ou à des sujets philosophiques, mais que d'un point de vue neurobiologique, la dignité est un « instinct » inné chez l'être humain et un « sens » que nous devons raviver dans la vie.
Son livre, « Wurde : Was uns stark macht - als Einzelne und als Gesellschaft », qui explique la signification de la dignité à partir d'une analyse objective du système nerveux et des capacités cognitives humaines, a eu un grand impact sur la société allemande, restant dans le top 10 de la liste des meilleures ventes d'Amazon Allemagne pendant 26 semaines consécutives au moment de sa publication.
Ce livre semble nous poser cette question à nous qui vivons à la même époque.
« Nos vies sont-elles vraiment dignes ? »
À une époque où la dignité est perdue, « Pourquoi parler maintenant d’une vie digne ? »
Depuis la légalisation de l'euthanasie aux Pays-Bas en 2000, la mort dans la dignité est devenue un enjeu mondial.
Mais assis dans un champ à Göttingen, où la pollution a décimé toutes les abeilles, Gerald Hütter soulève une question essentielle.
« Pourquoi parle-t-on d’une mort digne et honorable, mais pas d’une vie digne avant cela ? »
Gerald Hütter, en tant que neuroscientifique, identifie une à une ces conditions de vie indignes et exprime une profonde inquiétude quant aux aspects de nos vies qui se perdent et se dirigent vers la destruction.
Au cœur de la grande vague du capitalisme, tout ce que les entreprises, les sociétés et les individus ont choisi pour rivaliser et survivre nous est revenu sous forme de résultats inattendus.
Les catastrophes environnementales telles que le réchauffement climatique et la pollution atmosphérique qui menacent notre survie, la réalité du remplacement du travail par l'IA et les robots automatisés au nom de la maximisation des profits, et même la cupidité des individus qui s'est accrue face aux innombrables publicités et à la surabondance d'informations rencontrées en ligne…
Dans cette réalité, les êtres humains, qui devraient être une fin en soi, sont réduits à des objets et des outils d'évaluation, perdant leur direction et titubant.
Ce qui est intéressant, c'est que lorsque nous évoluons dans un environnement qui détruit les besoins humains fondamentaux tels que l'affection, l'appartenance, l'autonomie et la liberté, lorsque nous scannons notre cerveau avec une machine de précision, ce sont les mêmes zones qui s'activent lorsque le corps ressent de la douleur qui s'activent.
Le cerveau souffre littéralement de cette réalité indigne.
Ainsi, « Vivre dans la dignité » affirme qu’à notre époque d’humiliation qui engendre souffrance et perte de respect et de dignité, à notre époque où l’humanité s’est perdue, la tâche la plus urgente est de raviver le principe de vie appelé dignité.
La dignité d'un point de vue neurobiologique : « C'est un sens cérébral, pas un droit »
Que signifie réellement la « dignité » pour les êtres humains ? Le cerveau humain, qui consomme 20 % de son énergie même pendant le sommeil ou le repos, est déjà tellement désorganisé qu'il peine à fonctionner correctement dans la société complexe d'aujourd'hui.
En ce moment, nous avons besoin d'une boussole intérieure qui apaise la confusion et nous donne une direction cohérente, et Gerald Hütter révèle que la « dignité », un sentiment profondément enraciné dans le cerveau, joue ce rôle.
Gerald Hütter, qui s'est consacré à l'éducation du public en traduisant ses recherches sur l'anxiété et la dépression, le potentiel et la motivation en langage courant, explique dans ce livre que la dignité est un système de croyances qui influence les attitudes et les comportements humains.
Le cerveau humain est un « organe social » qui apprend et se structure grâce aux expériences vécues avec autrui, formant de nouveaux schémas de neurones qui contrôlent et dirigent la pensée et le comportement tout au long de la vie.
Cette propriété du cerveau est appelée « plasticité cérébrale », et c'est grâce à cette caractéristique propre à l'être humain que se forme le système de croyances appelé dignité.
La dignité est un sens que seuls les humains possèdent.
La proposition centrale du livre, « Un être humain qui a pris conscience de sa propre dignité n'est jamais trompé », découle précisément de ce fonctionnement du cerveau.
Les personnes qui ont pleinement expérimenté la protection, l'appartenance, la créativité et l'autonomie dans leurs relations avec autrui peuvent préserver leur vie face à toute tentation extérieure grâce à une croyance profondément ancrée en la « dignité ».
Par conséquent, la mise en œuvre d'un processus visant à aider continuellement les individus à reconnaître leur dignité au sein de diverses communautés, telles que les familles, les établissements d'enseignement et les lieux de travail, permettra un changement et un développement fondamentaux non seulement pour les individus, mais aussi pour la société.
Comment restaurer la dignité : « Celui qui reconnaît la dignité n'est jamais trompé. »
Les enfants ont l'intuition que quelque chose ne va pas et un voyant rouge s'allume.
Même s'ils n'ont pas encore franchi l'étape de la formation d'un système de croyances, les enfants possèdent déjà, dès la naissance, un sens de la dignité qui se manifeste par des émotions très subtiles.
Selon les recherches de Gerald Hütter sur les premières étapes de la formation du cerveau humain, la tâche la plus importante de l'éducation est de sensibiliser constamment les enfants à la dignité.
Dans une société excessivement compétitive, nos enfants sont inévitablement confrontés à des situations où ils deviennent l'objet des objectifs, des attentes, voire des ordres d'autrui, et ils perdent progressivement la dignité qui leur est inhérente.
Pour éviter la douleur de perdre leur dignité, les enfants cherchent des solutions, comme celle de traiter les autres comme un moyen d'arriver à leurs fins, ou de se soumettre eux-mêmes au jugement des autres.
Cependant, un enfant qui a confiance en sa propre dignité ne sera pas beaucoup blessé par le comportement grossier des autres.
Ils sont curieux et passionnés, et ils étudient non pas pour gagner des concours et être reconnus, mais parce qu'ils sont ouverts d'esprit et trouvent tout intéressant.
Lorsqu'on lui donne suffisamment de temps pour apprendre ce qui est le plus important dans la vie et ce que signifie être humain, le cerveau humain peut atteindre son plein potentiel en pensant et en agissant de manière plus cohérente et efficace.
C'est comme quelqu'un qui ne saurait pas faire de vélo sans aide, mais qui, après quelques répétitions, s'habitue à pédaler et finit par aller plus loin.
L'affirmation de Gerald Hütter selon laquelle, par la dignité, chaque individu peut éveiller son potentiel et renaître en tant qu'être libre est un encouragement chaleureux pour nous qui sommes las de courir uniquement pour la compétition.
Pour les individus et les sociétés qui aspirent à un plus grand bonheur par la dignité, au-delà de la compétition.
Même dans les horribles camps de concentration juifs où les instincts humains étaient anéantis, des êtres humains ont tenté de préserver leur dignité.
Comme l'a dit le Dr Viktor Frankl : « La liberté spirituelle inaliénable qui nous pousse à trouver des moyens de donner plus de sens à notre vie, jusqu'à notre dernier souffle », la dignité est la force qui nous donne l'espoir de revivre dans le dernier bastion de la vie.
Même au milieu des innombrables incidents qui ont secoué la société coréenne, notamment la toxicomanie, les violences sexuelles, le harcèlement scolaire et diverses autres formes de corruption, les histoires de ceux qui tendent la main aux plus démunis afin de défendre le principe de dignité brillent d'autant plus.
Ce livre, qui rassemble les réflexions tirées des recherches menées toute une vie par Gerald Hütter sur la question « Qu'est-ce qu'une vie humaine, une vie digne ? », donnera à la société coréenne, qui traverse une période de troubles, le courage de rechercher la possibilité et le potentiel d'un plus grand bonheur.
Dans un amphithéâtre où étaient rassemblées des centaines de personnes, un scientifique a soudainement posé cette question à un PDG qui siégeait parmi les intervenants.
« On vous a donné l’opportunité de réaliser un très gros profit. »
Mais cette opportunité est quelque chose qui détruit votre dignité.
« Quel choix allez-vous faire ? » Le PDG, pris au piège d'un dilemme, resta un moment sans voix.
En tant que représentant d'une entreprise, je ne pouvais pas dire que je renoncerais aux profits, mais je ne pouvais pas non plus dire que je renoncerais à ma dignité personnelle.
Aurions-nous pu, contrairement à ce PDG, choisir sans hésiter la dignité ? Vivant à une époque où seuls la victoire dans la compétition, la richesse et la célébrité sont considérées comme des gages de réussite, nous comprenons parfaitement combien ce choix est difficile.
Le protagoniste de cette conférence qui a réduit le PDG au silence n'était autre que Gerald Hütter, intellectuel et neurobiologiste de renom en Allemagne.
Il explique que lorsque les gens pensent à la « dignité », ils pensent aux droits naturels garantis par la Constitution ou à des sujets philosophiques, mais que d'un point de vue neurobiologique, la dignité est un « instinct » inné chez l'être humain et un « sens » que nous devons raviver dans la vie.
Son livre, « Wurde : Was uns stark macht - als Einzelne und als Gesellschaft », qui explique la signification de la dignité à partir d'une analyse objective du système nerveux et des capacités cognitives humaines, a eu un grand impact sur la société allemande, restant dans le top 10 de la liste des meilleures ventes d'Amazon Allemagne pendant 26 semaines consécutives au moment de sa publication.
Ce livre semble nous poser cette question à nous qui vivons à la même époque.
« Nos vies sont-elles vraiment dignes ? »
À une époque où la dignité est perdue, « Pourquoi parler maintenant d’une vie digne ? »
Depuis la légalisation de l'euthanasie aux Pays-Bas en 2000, la mort dans la dignité est devenue un enjeu mondial.
Mais assis dans un champ à Göttingen, où la pollution a décimé toutes les abeilles, Gerald Hütter soulève une question essentielle.
« Pourquoi parle-t-on d’une mort digne et honorable, mais pas d’une vie digne avant cela ? »
Gerald Hütter, en tant que neuroscientifique, identifie une à une ces conditions de vie indignes et exprime une profonde inquiétude quant aux aspects de nos vies qui se perdent et se dirigent vers la destruction.
Au cœur de la grande vague du capitalisme, tout ce que les entreprises, les sociétés et les individus ont choisi pour rivaliser et survivre nous est revenu sous forme de résultats inattendus.
Les catastrophes environnementales telles que le réchauffement climatique et la pollution atmosphérique qui menacent notre survie, la réalité du remplacement du travail par l'IA et les robots automatisés au nom de la maximisation des profits, et même la cupidité des individus qui s'est accrue face aux innombrables publicités et à la surabondance d'informations rencontrées en ligne…
Dans cette réalité, les êtres humains, qui devraient être une fin en soi, sont réduits à des objets et des outils d'évaluation, perdant leur direction et titubant.
Ce qui est intéressant, c'est que lorsque nous évoluons dans un environnement qui détruit les besoins humains fondamentaux tels que l'affection, l'appartenance, l'autonomie et la liberté, lorsque nous scannons notre cerveau avec une machine de précision, ce sont les mêmes zones qui s'activent lorsque le corps ressent de la douleur qui s'activent.
Le cerveau souffre littéralement de cette réalité indigne.
Ainsi, « Vivre dans la dignité » affirme qu’à notre époque d’humiliation qui engendre souffrance et perte de respect et de dignité, à notre époque où l’humanité s’est perdue, la tâche la plus urgente est de raviver le principe de vie appelé dignité.
La dignité d'un point de vue neurobiologique : « C'est un sens cérébral, pas un droit »
Que signifie réellement la « dignité » pour les êtres humains ? Le cerveau humain, qui consomme 20 % de son énergie même pendant le sommeil ou le repos, est déjà tellement désorganisé qu'il peine à fonctionner correctement dans la société complexe d'aujourd'hui.
En ce moment, nous avons besoin d'une boussole intérieure qui apaise la confusion et nous donne une direction cohérente, et Gerald Hütter révèle que la « dignité », un sentiment profondément enraciné dans le cerveau, joue ce rôle.
Gerald Hütter, qui s'est consacré à l'éducation du public en traduisant ses recherches sur l'anxiété et la dépression, le potentiel et la motivation en langage courant, explique dans ce livre que la dignité est un système de croyances qui influence les attitudes et les comportements humains.
Le cerveau humain est un « organe social » qui apprend et se structure grâce aux expériences vécues avec autrui, formant de nouveaux schémas de neurones qui contrôlent et dirigent la pensée et le comportement tout au long de la vie.
Cette propriété du cerveau est appelée « plasticité cérébrale », et c'est grâce à cette caractéristique propre à l'être humain que se forme le système de croyances appelé dignité.
La dignité est un sens que seuls les humains possèdent.
La proposition centrale du livre, « Un être humain qui a pris conscience de sa propre dignité n'est jamais trompé », découle précisément de ce fonctionnement du cerveau.
Les personnes qui ont pleinement expérimenté la protection, l'appartenance, la créativité et l'autonomie dans leurs relations avec autrui peuvent préserver leur vie face à toute tentation extérieure grâce à une croyance profondément ancrée en la « dignité ».
Par conséquent, la mise en œuvre d'un processus visant à aider continuellement les individus à reconnaître leur dignité au sein de diverses communautés, telles que les familles, les établissements d'enseignement et les lieux de travail, permettra un changement et un développement fondamentaux non seulement pour les individus, mais aussi pour la société.
Comment restaurer la dignité : « Celui qui reconnaît la dignité n'est jamais trompé. »
Les enfants ont l'intuition que quelque chose ne va pas et un voyant rouge s'allume.
Même s'ils n'ont pas encore franchi l'étape de la formation d'un système de croyances, les enfants possèdent déjà, dès la naissance, un sens de la dignité qui se manifeste par des émotions très subtiles.
Selon les recherches de Gerald Hütter sur les premières étapes de la formation du cerveau humain, la tâche la plus importante de l'éducation est de sensibiliser constamment les enfants à la dignité.
Dans une société excessivement compétitive, nos enfants sont inévitablement confrontés à des situations où ils deviennent l'objet des objectifs, des attentes, voire des ordres d'autrui, et ils perdent progressivement la dignité qui leur est inhérente.
Pour éviter la douleur de perdre leur dignité, les enfants cherchent des solutions, comme celle de traiter les autres comme un moyen d'arriver à leurs fins, ou de se soumettre eux-mêmes au jugement des autres.
Cependant, un enfant qui a confiance en sa propre dignité ne sera pas beaucoup blessé par le comportement grossier des autres.
Ils sont curieux et passionnés, et ils étudient non pas pour gagner des concours et être reconnus, mais parce qu'ils sont ouverts d'esprit et trouvent tout intéressant.
Lorsqu'on lui donne suffisamment de temps pour apprendre ce qui est le plus important dans la vie et ce que signifie être humain, le cerveau humain peut atteindre son plein potentiel en pensant et en agissant de manière plus cohérente et efficace.
C'est comme quelqu'un qui ne saurait pas faire de vélo sans aide, mais qui, après quelques répétitions, s'habitue à pédaler et finit par aller plus loin.
L'affirmation de Gerald Hütter selon laquelle, par la dignité, chaque individu peut éveiller son potentiel et renaître en tant qu'être libre est un encouragement chaleureux pour nous qui sommes las de courir uniquement pour la compétition.
Pour les individus et les sociétés qui aspirent à un plus grand bonheur par la dignité, au-delà de la compétition.
Même dans les horribles camps de concentration juifs où les instincts humains étaient anéantis, des êtres humains ont tenté de préserver leur dignité.
Comme l'a dit le Dr Viktor Frankl : « La liberté spirituelle inaliénable qui nous pousse à trouver des moyens de donner plus de sens à notre vie, jusqu'à notre dernier souffle », la dignité est la force qui nous donne l'espoir de revivre dans le dernier bastion de la vie.
Même au milieu des innombrables incidents qui ont secoué la société coréenne, notamment la toxicomanie, les violences sexuelles, le harcèlement scolaire et diverses autres formes de corruption, les histoires de ceux qui tendent la main aux plus démunis afin de défendre le principe de dignité brillent d'autant plus.
Ce livre, qui rassemble les réflexions tirées des recherches menées toute une vie par Gerald Hütter sur la question « Qu'est-ce qu'une vie humaine, une vie digne ? », donnera à la société coréenne, qui traverse une période de troubles, le courage de rechercher la possibilité et le potentiel d'un plus grand bonheur.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 17 mai 2019
Nombre de pages, poids, dimensions : 230 pages | 336 g | 135 × 195 × 18 mm
- ISBN13 : 9791189995072
- ISBN10 : 1189995077
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Langue coréenne
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