★★★ Meilleure vente n°1 ★★★
★★★ N°1 des ventes sur Amazon Japon ★★★
★★★ Fortement recommandé par de grands médias tels que Chosun Ilbo, Donga Ilbo et Hankyoreh ★★★
« Comment la philosophie devient une arme pour la vie » retrouvé !

Des préoccupations quotidiennes aux stratégies d'entreprise, les cours de sciences humaines les plus utiles au monde.
« La philosophie trouvera toujours la réponse ! »

« Comment la philosophie devient une arme pour la vie », ouvrage qui s'est immédiatement hissé en tête des ventes dès sa parution en 2019 et a déclenché un véritable « syndrome philosophique », a été réédité dans une version remaniée.
Ce livre de philosophie pratique, qui enseigne comment penser philosophiquement et trouver des réponses aux questions de la vie et des affaires, est plébiscité par plus de 2 000 PDG et fortement recommandé par de grands médias tels que le Chosun Ilbo, le Dong-A Ilbo et le Hankyoreh. Il a été qualifié de « classique des sciences humaines de notre époque ». Cette nouvelle édition, au design luxueux, offre aux lecteurs la vision d’un « dictionnaire de la pensée qui renforce la capacité de réflexion ».
L'auteur, associé principal chez Conferry Hey Group, le premier cabinet de conseil en gestion et en ressources humaines au monde, est un « érudit littéraire » qui s'est spécialisé en philosophie à l'université et a étudié l'esthétique et l'histoire de l'art en études supérieures.
Bien que je n'aie jamais reçu de formation formelle en gestion, en tant que consultant, je n'ai jamais eu de difficulté à résoudre les problèmes d'entreprise dans leur ensemble.
En effet, lorsque j'analyse la situation qui se présente à moi à travers le prisme de concepts philosophiques, psychologiques ou économiques, je trouve toujours un indice menant à une solution.

L'auteur, qui réfute catégoriquement l'idée que la philosophie soit une discipline détachée du monde réel, avance que si les gens considèrent la philosophie comme inutile, c'est parce qu'ils ne savent pas comment relier philosophie et affaires.
Il affirme plutôt que l'arme la plus nécessaire pour l'homme moderne est une pensée philosophique qui pénètre l'essence même des choses et trouve la solution optimale.
« Comment la philosophie devient une arme pour la vie », qui contient 50 philosophies et idées qu'il utilise dans le monde des affaires, est le manuel d'utilisation de la philosophie le plus pratique au monde, qui jette une nouvelle lumière sur l'utilité de la philosophie.
Jetons un coup d'œil à cet ouvrage, considéré depuis cinq ans comme le « meilleur livre de sciences humaines » par les lecteurs nationaux et internationaux, qui prouve « l'utilité de la philosophie » dans tous les aspects de la vie, des préoccupations quotidiennes aux stratégies d'entreprise.

Un philosophe en classe ne peut pas changer le monde.
Nombreux sont ceux qui pourraient se sentir mal à l'aise avec ce point, compte tenu de l'influence qu'ont exercée Sartre et Marx.
Mais c'est vrai.
Ce ne sont pas ces gens-là qui dirigent le monde, ce sont des gens comme nous qui travaillons et faisons de notre mieux au quotidien.
(…) Allons-nous répéter la même tragédie que l’humanité a déjà subie ? Ou bien allons-nous devenir une humanité nouvelle, faisant preuve d’une intelligence encore plus grande, justifiant ainsi les efforts considérables déjà consentis ? — Extrait du « Prologue : Rien n’est plus dangereux qu’un expert sans formation. »

Il existe dans les Fables d'Ésope une histoire intitulée « Le Renard et les Raisins verts ».
Le renard trouva de délicieux raisins, mais malgré tous ses efforts, il ne put les attraper.
Finalement, le renard dit : « Ces raisins doivent être très acides. »
« Qui mangerait une chose pareille ? » dit-il avant de s'éloigner.
Cela illustre la réaction typique d'une personne prise au piège du ressentiment.
Le renard surmonte son ressentiment face à l'impossibilité d'atteindre les raisins en changeant d'avis et en disant : « Ces raisins sont incroyablement acides. »
Nietzsche contestait précisément ce point, soulignant que nos capacités cognitives et de jugement originelles pouvaient être déformées par le ressentiment.
---Extrait de « Observer la jalousie des autres révèle des opportunités d'affaires »

De nombreuses études empiriques ont démontré que plus les échanges d'opinions sont ouverts au sein des organisations actuelles, meilleure est la qualité des décisions prises. Mill en était déjà convaincu il y a 150 ans. (...) Dans De la liberté, il soulignait que le « mal » d'une époque peut devenir le « bien » avec le temps, citant l'exemple de Socrate et de Jésus, pourtant exécutés, aujourd'hui considérés comme de grands hommes et dont les idées sont largement acceptées.
Cela suggère, en d'autres termes, que la justesse ou l'erreur d'une idée ne dépend pas du contrôle de l'élite de l'époque, mais plutôt de la réflexion multiforme de nombreuses personnes sur une longue période.
---Extrait de « Y a-t-il quelqu'un qui soulève des objections jusqu'à la fin ? »

Selon Levin, une organisation ayant une façon de penser ou de se comporter fixe change par le processus d’« action-confusion-regel ».
Il est important de noter ici que ce processus commence par une « décongélation ».
Ceci s'explique par le fait que le mot « Haedong » contient la signification de « fin ».
Lorsque nous essayons quelque chose de nouveau, nous nous concentrons uniquement sur le « démarrage ».
C'est une évidence.
Cependant, le propos de Kurt Lewin nous rappelle que la première chose à faire lorsqu'on entreprend quelque chose de nouveau est d'oublier la façon dont les choses ont été faites jusqu'à présent, c'est-à-dire de « mettre fin » à l'ancienne méthode.
---Extrait de « L'innovation ne commence pas par de nouvelles tentatives, mais par un adieu au passé »

Bien que nous apprécions toujours les enfants qui comprennent vite, nous avons la mauvaise habitude d'abandonner ceux qui ne progressent pas très rapidement.
Cela s'explique par le fait que le coût de l'éducation n'est pas infini.
Cela reste vrai, qu'il s'agisse d'un investissement dans la formation au sein d'une entreprise ou d'une opportunité éducative constituant un capital social.
Nous avons tendance à concentrer nos investissements éducatifs sur les enfants dont l'éducation est la plus rentable.
En fonction des résultats scolaires précoces, les enfants les plus performants se voient offrir de meilleures opportunités, ce qui se traduit par de meilleures notes.
En revanche, un enfant qui ne réussit pas bien lors de sa première apparition au bâton risque d'être confronté à des situations de plus en plus difficiles.
Si cela continue, seuls les enfants débrouillards seront acceptés dans l'organisation, et les enfants qui prennent le temps de devenir compétents mais qui essaient essentiellement de comprendre les choses, c'est-à-dire ceux qui peuvent proposer des idées qui deviendront les germes de l'innovation, seront exclus.
Extrait de « Les pauvres s'appauvrissent et les riches s'enrichissent »

Dans le monde d'aujourd'hui, où la pensée logique domine la recherche de la solution optimale, l'attitude « Je ne sais pas quelle est la bonne réponse, je déciderai au fur et à mesure » peut être perçue comme un « abandon ».
Du point de vue de la gestion, la capacité à réfléchir par soi-même et en profondeur peut être considérée comme une vertu.
Il y a probablement peu de gens qui considéreraient comme insensé de ne penser qu'avec la tête.
Mais n’est-ce pas faire preuve d’arrogance intellectuelle que de penser que nous pouvons trouver par nous-mêmes toutes les réponses optimales ? (...) Dans la société moderne, où les interrelations entre tous les événements et toutes les situations deviennent de plus en plus complexes et dynamiques, l’attitude consistant à croire que nous pouvons atteindre des solutions optimales en nous appuyant sur une pensée logique et descendante semble ridicule.
Nous vivons à une époque qui exige de la flexibilité pour rechercher de manière heuristique une « solution satisfaisante » plutôt que de simplement chercher la solution optimale avec l'approche optimale.
---Extrait de « Il y a une limite à la façon optimale de penser avec sa tête »

Même si nous faisons certains choix inconsciemment et sans but précis, une préférence se crée en « choisissant » certaines choses et en « ne choisissant pas » d'autres.
Nul ne peut échapper à cette vérité gênante, et Baudrillard soulignait que nous vivons dans un enfer de signes.

À l'inverse, cela signifie également que les produits et services qui n'ont aucune valeur symbolique, ou qui, s'ils en ont une, sont faibles et de peu de valeur, auront du mal à survivre sur le marché.
La consommation d'accomplissement de soi apparaît généralement dans la phase finale de la croissance du marché.
Toutefois, si la réalisation de soi n'est pas définie volontairement, mais plutôt comme une « différence par rapport aux autres », comme dans le langage, il sera difficile de développer des produits et services performants à moins d'être conscients des différences que chaque produit et service définit.
---Extrait de « Les gens dépensent de l'argent non pas parce qu'ils en ont besoin, mais pour paraître différents »

Quelle importance revêt donc pour nous, à l'ère moderne, la compréhension de l'épochè de Husserl ? L'épochè est une perspective aux implications multiples, mais je voudrais souligner qu'elle nous permet de reconnaître la « difficulté de comprendre autrui ».
(…) Ce dont je suis sûr, c’est qu’en agissant ainsi, le champ des possibles s’est élargi.
Lorsque nous ne nous comprenons pas, le monde que nous percevons et celui que l'autre personne perçoit peuvent être très différents.
Si les deux parties ont des convictions fortes quant à leur propre vision du monde, les chances que leurs différends soient résolus sont minces.
(…) Notre vision du monde est forcément subjective dès le départ.
L'Epoch adopte une position neutre qui marque une pause temporaire, une mesure dite intermédiaire, sans pour autant confirmer ni abandonner la vision du monde.
Cette époque n'est-elle donc pas une attitude intellectuelle encore plus nécessaire de nos jours ?

---Extrait de « Parfois, il est utile de s'abstenir de juger »