
Conférence du dalaï-lama sur le chemin de l'illumination
Description
Introduction au livre
La méthode de pratique idéale pour développer un bon esprit, 『Théorie de l'entrée sur la voie de la Bodhi』,
Les conférences clés du dalaï-lama sur « La voie de la bodhicitta » ont touché des personnes du monde entier.
« Pour moi, le bouddhisme n’est pas une religion, mais un mode de vie. »
« C’est la source de la sagesse, de la paix intérieure et du bonheur. »
Voici le point de vue bouddhiste du dalaï-lama, le maître spirituel de personnes du monde entier.
Il souhaite toujours la paix et le bonheur de l'humanité et met l'accent sur l'esprit d'altruisme, affirmant que le bonheur est plus grand encore lorsque nous aidons les autres.
Le bouddhisme est une religion qui nous enseigne à protéger tous les êtres vivants en éveillant en nous l'amour et la compassion.
Le dalaï-lama mène une vie de pacifisme, mettant scrupuleusement en pratique ces enseignements.
Dans le bouddhisme, la vie du dalaï-lama est appelée la « vie d'un bodhisattva ».
Un bodhisattva est une personne courageuse et croyante qui s'efforce d'atteindre l'illumination pour le bonheur de tous les êtres vivants.
Autrement dit, le bouddhisme présente la personnalité dans son intégralité, et c'est le but de la vie que nous devons tous atteindre.
La littérature qui nous aide à vivre cette vie de bodhisattva est le 『Entrer dans Bodhi Haengnon (入菩提行論)』.
Le « Traité sur la voie du bodhisattva », écrit par le moine indien Shantideva au VIIIe siècle, est le texte d'introduction le plus connu à la pratique du bodhisattva.
Elle contient la méthode pour faire émerger l'esprit d'un bodhisattva, c'est-à-dire le bon esprit en nous, et la méthode pour protéger et pratiquer fermement cet esprit sans reculer.
Le dalaï-lama a donné d'innombrables conférences sur « l'entrée sur la voie de la bodhi », et ce livre est un condensé des conférences qu'il a données à des milliers de personnes pendant une semaine en août 1991 en Dordogne, une région du sud-ouest de la France.
Bien que publié pour la première fois en Corée 28 ans plus tard, son enseignement reste si vivant que le passage du temps est totalement imperceptible.
Les conférences clés du dalaï-lama sur « La voie de la bodhicitta » ont touché des personnes du monde entier.
« Pour moi, le bouddhisme n’est pas une religion, mais un mode de vie. »
« C’est la source de la sagesse, de la paix intérieure et du bonheur. »
Voici le point de vue bouddhiste du dalaï-lama, le maître spirituel de personnes du monde entier.
Il souhaite toujours la paix et le bonheur de l'humanité et met l'accent sur l'esprit d'altruisme, affirmant que le bonheur est plus grand encore lorsque nous aidons les autres.
Le bouddhisme est une religion qui nous enseigne à protéger tous les êtres vivants en éveillant en nous l'amour et la compassion.
Le dalaï-lama mène une vie de pacifisme, mettant scrupuleusement en pratique ces enseignements.
Dans le bouddhisme, la vie du dalaï-lama est appelée la « vie d'un bodhisattva ».
Un bodhisattva est une personne courageuse et croyante qui s'efforce d'atteindre l'illumination pour le bonheur de tous les êtres vivants.
Autrement dit, le bouddhisme présente la personnalité dans son intégralité, et c'est le but de la vie que nous devons tous atteindre.
La littérature qui nous aide à vivre cette vie de bodhisattva est le 『Entrer dans Bodhi Haengnon (入菩提行論)』.
Le « Traité sur la voie du bodhisattva », écrit par le moine indien Shantideva au VIIIe siècle, est le texte d'introduction le plus connu à la pratique du bodhisattva.
Elle contient la méthode pour faire émerger l'esprit d'un bodhisattva, c'est-à-dire le bon esprit en nous, et la méthode pour protéger et pratiquer fermement cet esprit sans reculer.
Le dalaï-lama a donné d'innombrables conférences sur « l'entrée sur la voie de la bodhi », et ce livre est un condensé des conférences qu'il a données à des milliers de personnes pendant une semaine en août 1991 en Dordogne, une région du sud-ouest de la France.
Bien que publié pour la première fois en Corée 28 ans plus tard, son enseignement reste si vivant que le passage du temps est totalement imperceptible.
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Aperçu
indice
Entrée
Remerciements
Les traducteurs de la chanson
La voie du bodhisattva
Chapitre 1 : Les bienfaits de la bodhicitta
Chapitre 2 : Offrandes et purification
Chapitre 3 : Comprendre correctement la Bodhicitta
Chapitre 4 : La non-délibération de l'esprit de Bodhi
Chapitre 5 : La protection du droit
Chapitre 6 : La pratique de la tolérance
Chapitre 7 : La pratique de la diligence
Chapitre 8 : La pratique du zen
Chapitre 9 : La pratique de la sagesse
Chapitre 10 : Dédicace
Note du traducteur
Glossaire des termes
Références
Remerciements
Les traducteurs de la chanson
La voie du bodhisattva
Chapitre 1 : Les bienfaits de la bodhicitta
Chapitre 2 : Offrandes et purification
Chapitre 3 : Comprendre correctement la Bodhicitta
Chapitre 4 : La non-délibération de l'esprit de Bodhi
Chapitre 5 : La protection du droit
Chapitre 6 : La pratique de la tolérance
Chapitre 7 : La pratique de la diligence
Chapitre 8 : La pratique du zen
Chapitre 9 : La pratique de la sagesse
Chapitre 10 : Dédicace
Note du traducteur
Glossaire des termes
Références
Dans le livre
Pour le dalaï-lama, le bouddhisme n'est ni une doctrine ni une religion, mais un mode de vie, une source de sagesse, de paix intérieure et de bonheur.
Le bouddhisme éveille en nous l'amour et la compassion et nous enseigne à protéger tous les êtres vivants sur cette planète.
_Page 4
La voie de la compassion est celle du bodhisattva qui cultive un esprit compatissant, refusant de rester les bras croisés face à la souffrance d'autrui, et qui commence par cultiver son propre esprit afin d'apporter la paix à ceux qui souffrent.
_Page 5
Dans cet ouvrage, le dalaï-lama présente les fruits de son vaste apprentissage acquis dans les universités monastiques durant son séjour au Tibet.
Il en résulte une connaissance profonde, une compréhension extraordinaire de la condition humaine et de ce que signifie véritablement être une personne responsable et bonne.
Page 10
Tout ce que nous faisons, disons et pensons lorsque nous sommes jeunes est à l'origine du bonheur et de la souffrance que nous connaissons en vieillissant.
Page 17
La pratique d'un bodhisattva consiste en la pratique des six paramitas ou des dix paramitas.
Cela peut se résumer en trois pratiques : s’abstenir du mal, pratiquer une conduite vertueuse et œuvrer pour le bien de tous les êtres vivants.
Shantideva explique ce chemin de pratique du bodhisattva en trois étapes : l’initiation, la pratique et l’accomplissement. _Page 30
Nous finirons par nous rendre compte que beaucoup de choses que nous pensions exister jusqu'à présent n'existent en réalité pas.
C'est comme se rendre compte qu'on est pris au piège de la croyance absurde qu'une goutte d'eau durera éternellement.
Page 32
Le livre « Théorie du commencement de la bodhicitta » explique comment éveiller l'esprit de bodhicitta.
Puis, dans les trois chapitres consacrés à la non-assistance, à la cessation et à la patience, il explique comment empêcher la bodhicitta de se détériorer.
Les chapitres suivants, consacrés à la diligence, à la méditation et à la sagesse, expliquent comment développer continuellement la bodhicitta.
Page 39
Même si les bodhisattvas continuent à se réincarner, ils ne sont pas prisonniers du cycle des réincarnations.
Parce qu'ils connaissent les inconvénients de la réincarnation.
Mais, en raison de sa grande compassion, il ne demeure pas au Nirvana.
Sachant qu'il existe des problèmes des deux côtés, les bodhisattvas aspirent à un éveil qui transcende les deux.
Page 36
La suspension doit s'appliquer à toutes nos actions, et nous devons constamment nous examiner, en observant toujours ce qui est bien et ce qui est mal.
En agissant ainsi, l'esprit, semblable à un éléphant, violent et enivré par les trois poisons de l'avidité, de la colère et de la folie, est attaché au pilier des bonnes actions par la corde de la répression, et est gouverné par le crochet du calme.
Page 85
Un domestique qui n'obéit pas aux ordres ne recevra jamais son salaire.
Si les ouvriers d'usine ne font pas leur travail, ils ne seront pas payés et ils seront licenciés.
Mais notre corps ne nous obéit pas comme nous le souhaiterions, même si nous l'avons nourri, habillé et que nous avons déployé tous nos efforts.
Même si vous leur dites de ne pas vieillir, ils vieillissent quand même, et même si vous leur dites de ne pas tomber malades, ils tombent quand même malades.
L'obsession du corps est totalement erronée.
Page 90
Shantideva explique que si nous n'avons pas une compassion pure dans nos cœurs et si nous n'avons pas pleinement réalisé le vide, il n'est pas juste de donner nos corps, tous nos biens et tous nos mérites.
Nous devons protéger notre corps afin de pouvoir pratiquer des actions altruistes tout en purifiant toutes les pensées égoïstes.
Page 95
Chacun a des tendances altruistes.
Mais cet altruisme atteint trop vite ses limites.
L'esprit qui cultive l'altruisme jusqu'à ce que le vœu d'aider les autres atteigne l'infini est appelé bodhicitta.
Les principaux obstacles à la culture de cet état d'esprit sont le désir de nuire aux autres, le ressentiment et la colère.
Page 110
Si nous voulons vraiment progresser, il n'y a pas de pratique plus importante que l'humilité.
On ne peut se prétendre praticien sans pratiquer la compassion.
Page 131
Efforçons-nous de surmonter leurs souffrances et les nôtres.
Si tous les êtres désirent également le bonheur, pourquoi serions-nous les seuls à être heureux ? Pourquoi devrions-nous nous protéger de la souffrance tout en laissant les autres à leur sort ? (pp. 186-187)
Nous ne désirons pas la souffrance, et nous savons que la racine de la souffrance est un esprit indiscipliné.
Parce que l'esprit perçoit et comprend mal les phénomènes, des souffrances surgissent et la paix ne peut être trouvée.
Voilà pourquoi nous souffrons.
Pour éviter cela, nous devons cultiver un esprit capable de voir juste et la sagesse de percevoir la véritable nature des phénomènes.
Page 223
Le bouddhisme éveille en nous l'amour et la compassion et nous enseigne à protéger tous les êtres vivants sur cette planète.
_Page 4
La voie de la compassion est celle du bodhisattva qui cultive un esprit compatissant, refusant de rester les bras croisés face à la souffrance d'autrui, et qui commence par cultiver son propre esprit afin d'apporter la paix à ceux qui souffrent.
_Page 5
Dans cet ouvrage, le dalaï-lama présente les fruits de son vaste apprentissage acquis dans les universités monastiques durant son séjour au Tibet.
Il en résulte une connaissance profonde, une compréhension extraordinaire de la condition humaine et de ce que signifie véritablement être une personne responsable et bonne.
Page 10
Tout ce que nous faisons, disons et pensons lorsque nous sommes jeunes est à l'origine du bonheur et de la souffrance que nous connaissons en vieillissant.
Page 17
La pratique d'un bodhisattva consiste en la pratique des six paramitas ou des dix paramitas.
Cela peut se résumer en trois pratiques : s’abstenir du mal, pratiquer une conduite vertueuse et œuvrer pour le bien de tous les êtres vivants.
Shantideva explique ce chemin de pratique du bodhisattva en trois étapes : l’initiation, la pratique et l’accomplissement. _Page 30
Nous finirons par nous rendre compte que beaucoup de choses que nous pensions exister jusqu'à présent n'existent en réalité pas.
C'est comme se rendre compte qu'on est pris au piège de la croyance absurde qu'une goutte d'eau durera éternellement.
Page 32
Le livre « Théorie du commencement de la bodhicitta » explique comment éveiller l'esprit de bodhicitta.
Puis, dans les trois chapitres consacrés à la non-assistance, à la cessation et à la patience, il explique comment empêcher la bodhicitta de se détériorer.
Les chapitres suivants, consacrés à la diligence, à la méditation et à la sagesse, expliquent comment développer continuellement la bodhicitta.
Page 39
Même si les bodhisattvas continuent à se réincarner, ils ne sont pas prisonniers du cycle des réincarnations.
Parce qu'ils connaissent les inconvénients de la réincarnation.
Mais, en raison de sa grande compassion, il ne demeure pas au Nirvana.
Sachant qu'il existe des problèmes des deux côtés, les bodhisattvas aspirent à un éveil qui transcende les deux.
Page 36
La suspension doit s'appliquer à toutes nos actions, et nous devons constamment nous examiner, en observant toujours ce qui est bien et ce qui est mal.
En agissant ainsi, l'esprit, semblable à un éléphant, violent et enivré par les trois poisons de l'avidité, de la colère et de la folie, est attaché au pilier des bonnes actions par la corde de la répression, et est gouverné par le crochet du calme.
Page 85
Un domestique qui n'obéit pas aux ordres ne recevra jamais son salaire.
Si les ouvriers d'usine ne font pas leur travail, ils ne seront pas payés et ils seront licenciés.
Mais notre corps ne nous obéit pas comme nous le souhaiterions, même si nous l'avons nourri, habillé et que nous avons déployé tous nos efforts.
Même si vous leur dites de ne pas vieillir, ils vieillissent quand même, et même si vous leur dites de ne pas tomber malades, ils tombent quand même malades.
L'obsession du corps est totalement erronée.
Page 90
Shantideva explique que si nous n'avons pas une compassion pure dans nos cœurs et si nous n'avons pas pleinement réalisé le vide, il n'est pas juste de donner nos corps, tous nos biens et tous nos mérites.
Nous devons protéger notre corps afin de pouvoir pratiquer des actions altruistes tout en purifiant toutes les pensées égoïstes.
Page 95
Chacun a des tendances altruistes.
Mais cet altruisme atteint trop vite ses limites.
L'esprit qui cultive l'altruisme jusqu'à ce que le vœu d'aider les autres atteigne l'infini est appelé bodhicitta.
Les principaux obstacles à la culture de cet état d'esprit sont le désir de nuire aux autres, le ressentiment et la colère.
Page 110
Si nous voulons vraiment progresser, il n'y a pas de pratique plus importante que l'humilité.
On ne peut se prétendre praticien sans pratiquer la compassion.
Page 131
Efforçons-nous de surmonter leurs souffrances et les nôtres.
Si tous les êtres désirent également le bonheur, pourquoi serions-nous les seuls à être heureux ? Pourquoi devrions-nous nous protéger de la souffrance tout en laissant les autres à leur sort ? (pp. 186-187)
Nous ne désirons pas la souffrance, et nous savons que la racine de la souffrance est un esprit indiscipliné.
Parce que l'esprit perçoit et comprend mal les phénomènes, des souffrances surgissent et la paix ne peut être trouvée.
Voilà pourquoi nous souffrons.
Pour éviter cela, nous devons cultiver un esprit capable de voir juste et la sagesse de percevoir la véritable nature des phénomènes.
Page 223
--- Extrait du texte
Avis de l'éditeur
Cela nous aide aussi à révéler et à mettre en œuvre notre bonté naturelle.
La sagesse est nécessaire
« Tous les êtres désirent le bonheur de la même manière, alors pourquoi est-ce que je le désire seul ? »
Pourquoi devrions-nous nous protéger de la souffrance tout en laissant les autres souffrir ?
C’est la question que nous pose le dalaï-lama, qui met l’accent sur l’altruisme.
À première vue, cela peut ressembler à un manuel de morale, mais lorsqu'il sort de la bouche du maître spirituel, le dalaï-lama, il prend une tout autre dimension.
Combien de fois pensons-nous aux « autres » lorsque nous vivons ?
Combien de fois avez-vous essayé d'aider quelqu'un, pour finalement avoir l'impression d'y avoir perdu, ou vous êtes-vous plaint que vos bonnes actions n'aient même pas été reconnues ?
Chacun a des tendances altruistes.
Mais cet altruisme atteint trop vite ses limites.
Le dalaï-lama affirme donc qu'un bon cœur qui aide les autres requiert assurément de la « sagesse ».
On dit qu'il faut de la sagesse pour dépasser l'orgueil, la haine et la colère qui découlent du fait de se vanter d'aider les autres, pour faire face à la souffrance d'autrui telle qu'elle est et examiner ce dont ils ont réellement besoin.
« Le Livre du Quadruple Sentier » est un texte qui traite précisément de cette sagesse.
Elle vise à acquérir la sagesse nécessaire pour cultiver un bon cœur, c'est-à-dire l'altruisme envers autrui.
Le livre « Théorie de l'altruisme » explique comment développer l'altruisme.
Et cela nous explique aussi comment empêcher cet esprit de se détériorer.
Une méthode de pratique représentative est appelée les Six Perfections.
Cette méthode de pratique des six paramita, qui fait référence aux six types d'aumône – les préceptes, la patience, la diligence, la méditation et la sagesse – est une pratique que les bodhisattvas qui souhaitent cultiver l'esprit d'altruisme doivent pratiquer.
Le dalaï-lama possède un contenu magnifique et plein de sagesse.
Ipborihaengron, ému aux larmes
Le dalaï-lama dirige le gouvernement tibétain en exil et a maintenu une politique stricte de non-violence.
Même si je suis la victime, je ne ressens pas de colère, mais plutôt de l'inquiétude pour l'auteur de cet acte malveillant.
Car je pense que leurs péchés impardonnables découlent de leur folie.
Le haut niveau d'altruisme mentionné dans l'『Ipbolihaengron』 vise à discipliner même les auteurs de méfaits et à les transformer en bonnes personnes.
Le dalaï-lama dit :
« La joie dont semble jouir mon ennemi en ce moment n’est en réalité qu’une vague dans le cycle sans fin de la vie. »
Ainsi, plutôt que d'être jaloux ou en colère face au bonheur de ceux qui commettent aujourd'hui des actes maléfiques, nous devrions y voir une occasion de cultiver la compassion.
Le dalaï-lama utilise ainsi sa propre vie comme exemple pour illustrer une manière simple mais émouvante de communiquer la vérité dans le contexte des enseignements bouddhistes traditionnels.
Cet enseignement nous enseigne que ce n'est qu'en comprenant l'origine du karma, dont la compassion est la source, et en élargissant le champ du bonheur par la pratique de la compassion au moyen de moyens appropriés, que nous pouvons atteindre la pratique du bodhisattva.
Il est également dit que la bonne nature qui est en nous ne peut être altérée par personne, et que l'esprit peut s'étendre à l'infini.
J'espère expliquer la nature humaine en termes concis et sincères, et éveiller, même modestement, le pouvoir latent d'amour et d'affection qui est en nous.
Dans cette optique, nous trouverons des moyens de devenir une personne bienveillante au quotidien et nous les expliquerons de manière simple.
Cet enseignement représente la direction et le sens de la vie que nous devons poursuivre.
Le dalaï-lama, qui a donné des conférences sur le « Traité sur le commencement du chemin de la bodhi » à d'innombrables personnes, serait encore ému par ces enseignements et verserait parfois des larmes.
Ceci est probablement dû au fait qu'ils acceptent et suivent sincèrement les enseignements de l'『Ipboli Haengnon』.
L'émotion de la métaphore poétique,
Le chemin vers le véritable éveil est facile et confortable.
« Le Livre de la pratique du bodhisattva » est un ouvrage d'introduction destiné à ceux qui ont fait vœu de devenir bodhisattva.
Dans le bouddhisme, un bodhisattva est décrit comme un être doté d'un esprit altruiste, au point d'être décrit comme « un pratiquant qui a fait vœu de ne jamais entrer dans le nirvana tant que tous les êtres souffrants ne seront pas sauvés ».
L'esprit qui fait vœu de devenir un bodhisattva est appelé « Bodhicitta (菩提心) », et le livre qui traite de « la méthode pratique pour développer cette Bodhicitta » est « Théorie de l'entrée dans Bodhi Haengnon ».
Ce traité a été écrit vers le VIIIe siècle par le moine indien Shantideva, vénéré comme un saint, et est considéré comme le meilleur texte expliquant la pratique d'un bodhisattva.
Il s'agit d'un traité très vénéré par les maîtres de toutes les écoles du bouddhisme tibétain, et plus d'une centaine de maîtres éminents ont écrit des commentaires à son sujet.
Il se compose d'un total de 10 chapitres, et la méthode de pratique centrale est celle des six paramitas.
Le chapitre 1 fait l'éloge de la Bodhicitta, le chapitre 2 traite des trois refuges et du repentir, le chapitre 3 du vœu de Bodhicitta, le chapitre 4 de la manière de respecter ce vœu, le chapitre 5 de la protection de la connaissance juste, le chapitre 6 de la patience, le chapitre 7 de la diligence, le chapitre 8 de la méditation, le chapitre 9 de la sagesse, et le dernier chapitre, le 10, est consacré à l'éloge de tous les Bouddhas et Bodhisattvas [retour au passé], concluant ainsi le contenu.
Parmi celles-ci, les six paramitas sont contenues dans le chapitre 2, et les chapitres 5 à 9 expliquent la pratique des six paramitas dans l'ordre des préceptes, de la patience, de la diligence, de la méditation et de la sagesse.
Boshi désigne l'acte d'aider les autres mentalement et matériellement sans rien attendre en retour ; jikji désigne les règles à suivre lors de la pratique ; et inyok désigne l'esprit qui endure et tolère toute insulte.
La diligence consiste à poursuivre tous ces efforts sans relâche, et la méditation consiste à concentrer son esprit et à entrer dans un état où il ne peut être ébranlé en aucune circonstance.
Finalement, la sagesse est le fruit de toutes ces pratiques, et désigne l'état d'avoir atteint la sagesse nécessaire pour percevoir correctement la réalité du monde.
Autrement dit, cela signifie s'éveiller à la vérité et avoir atteint l'illumination.
Ce traité, qui exprime dans une poésie fluide tout ce qu'un bodhisattva doit posséder, y compris la bodhicitta, les six paramitas et la pratique du dévouement, se caractérise également par sa capacité à rendre faciles à mémoriser des doctrines bouddhistes complexes et étendues.
Autrement dit, on peut dire que la doctrine a été transformée en de magnifiques paroles de chanson.
Aujourd'hui encore, des moines tibétains et de nombreux bouddhistes à travers le monde récitent ce verset et suivent la voie du bodhisattva.
Comme une étoile, un mirage ou un feu d'artifice,
Comme une illusion magique, de la rosée ou une bulle,
Comme un rêve, un éclair ou un nuage,
Tout ce qui a été accompli doit être considéré sous cet angle.
Page 13
Pour ceux qui souhaitent toucher la terre, elle devient une île.
Pour ceux qui cherchent la lumière, c'est une lampe,
Ce sera un refuge pour ceux qui ont besoin d'un endroit pour se reposer.
Puis-je être au service de ceux qui ont besoin d'un serviteur ?
Page 66
Tout devient familier quand on s'y habitue.
[C'est] de plus en plus facile à supporter.
En s'habituant aux petites douleurs
Vous serez capable d'endurer une grande douleur.
Page 108
La sagesse est nécessaire
« Tous les êtres désirent le bonheur de la même manière, alors pourquoi est-ce que je le désire seul ? »
Pourquoi devrions-nous nous protéger de la souffrance tout en laissant les autres souffrir ?
C’est la question que nous pose le dalaï-lama, qui met l’accent sur l’altruisme.
À première vue, cela peut ressembler à un manuel de morale, mais lorsqu'il sort de la bouche du maître spirituel, le dalaï-lama, il prend une tout autre dimension.
Combien de fois pensons-nous aux « autres » lorsque nous vivons ?
Combien de fois avez-vous essayé d'aider quelqu'un, pour finalement avoir l'impression d'y avoir perdu, ou vous êtes-vous plaint que vos bonnes actions n'aient même pas été reconnues ?
Chacun a des tendances altruistes.
Mais cet altruisme atteint trop vite ses limites.
Le dalaï-lama affirme donc qu'un bon cœur qui aide les autres requiert assurément de la « sagesse ».
On dit qu'il faut de la sagesse pour dépasser l'orgueil, la haine et la colère qui découlent du fait de se vanter d'aider les autres, pour faire face à la souffrance d'autrui telle qu'elle est et examiner ce dont ils ont réellement besoin.
« Le Livre du Quadruple Sentier » est un texte qui traite précisément de cette sagesse.
Elle vise à acquérir la sagesse nécessaire pour cultiver un bon cœur, c'est-à-dire l'altruisme envers autrui.
Le livre « Théorie de l'altruisme » explique comment développer l'altruisme.
Et cela nous explique aussi comment empêcher cet esprit de se détériorer.
Une méthode de pratique représentative est appelée les Six Perfections.
Cette méthode de pratique des six paramita, qui fait référence aux six types d'aumône – les préceptes, la patience, la diligence, la méditation et la sagesse – est une pratique que les bodhisattvas qui souhaitent cultiver l'esprit d'altruisme doivent pratiquer.
Le dalaï-lama possède un contenu magnifique et plein de sagesse.
Ipborihaengron, ému aux larmes
Le dalaï-lama dirige le gouvernement tibétain en exil et a maintenu une politique stricte de non-violence.
Même si je suis la victime, je ne ressens pas de colère, mais plutôt de l'inquiétude pour l'auteur de cet acte malveillant.
Car je pense que leurs péchés impardonnables découlent de leur folie.
Le haut niveau d'altruisme mentionné dans l'『Ipbolihaengron』 vise à discipliner même les auteurs de méfaits et à les transformer en bonnes personnes.
Le dalaï-lama dit :
« La joie dont semble jouir mon ennemi en ce moment n’est en réalité qu’une vague dans le cycle sans fin de la vie. »
Ainsi, plutôt que d'être jaloux ou en colère face au bonheur de ceux qui commettent aujourd'hui des actes maléfiques, nous devrions y voir une occasion de cultiver la compassion.
Le dalaï-lama utilise ainsi sa propre vie comme exemple pour illustrer une manière simple mais émouvante de communiquer la vérité dans le contexte des enseignements bouddhistes traditionnels.
Cet enseignement nous enseigne que ce n'est qu'en comprenant l'origine du karma, dont la compassion est la source, et en élargissant le champ du bonheur par la pratique de la compassion au moyen de moyens appropriés, que nous pouvons atteindre la pratique du bodhisattva.
Il est également dit que la bonne nature qui est en nous ne peut être altérée par personne, et que l'esprit peut s'étendre à l'infini.
J'espère expliquer la nature humaine en termes concis et sincères, et éveiller, même modestement, le pouvoir latent d'amour et d'affection qui est en nous.
Dans cette optique, nous trouverons des moyens de devenir une personne bienveillante au quotidien et nous les expliquerons de manière simple.
Cet enseignement représente la direction et le sens de la vie que nous devons poursuivre.
Le dalaï-lama, qui a donné des conférences sur le « Traité sur le commencement du chemin de la bodhi » à d'innombrables personnes, serait encore ému par ces enseignements et verserait parfois des larmes.
Ceci est probablement dû au fait qu'ils acceptent et suivent sincèrement les enseignements de l'『Ipboli Haengnon』.
L'émotion de la métaphore poétique,
Le chemin vers le véritable éveil est facile et confortable.
« Le Livre de la pratique du bodhisattva » est un ouvrage d'introduction destiné à ceux qui ont fait vœu de devenir bodhisattva.
Dans le bouddhisme, un bodhisattva est décrit comme un être doté d'un esprit altruiste, au point d'être décrit comme « un pratiquant qui a fait vœu de ne jamais entrer dans le nirvana tant que tous les êtres souffrants ne seront pas sauvés ».
L'esprit qui fait vœu de devenir un bodhisattva est appelé « Bodhicitta (菩提心) », et le livre qui traite de « la méthode pratique pour développer cette Bodhicitta » est « Théorie de l'entrée dans Bodhi Haengnon ».
Ce traité a été écrit vers le VIIIe siècle par le moine indien Shantideva, vénéré comme un saint, et est considéré comme le meilleur texte expliquant la pratique d'un bodhisattva.
Il s'agit d'un traité très vénéré par les maîtres de toutes les écoles du bouddhisme tibétain, et plus d'une centaine de maîtres éminents ont écrit des commentaires à son sujet.
Il se compose d'un total de 10 chapitres, et la méthode de pratique centrale est celle des six paramitas.
Le chapitre 1 fait l'éloge de la Bodhicitta, le chapitre 2 traite des trois refuges et du repentir, le chapitre 3 du vœu de Bodhicitta, le chapitre 4 de la manière de respecter ce vœu, le chapitre 5 de la protection de la connaissance juste, le chapitre 6 de la patience, le chapitre 7 de la diligence, le chapitre 8 de la méditation, le chapitre 9 de la sagesse, et le dernier chapitre, le 10, est consacré à l'éloge de tous les Bouddhas et Bodhisattvas [retour au passé], concluant ainsi le contenu.
Parmi celles-ci, les six paramitas sont contenues dans le chapitre 2, et les chapitres 5 à 9 expliquent la pratique des six paramitas dans l'ordre des préceptes, de la patience, de la diligence, de la méditation et de la sagesse.
Boshi désigne l'acte d'aider les autres mentalement et matériellement sans rien attendre en retour ; jikji désigne les règles à suivre lors de la pratique ; et inyok désigne l'esprit qui endure et tolère toute insulte.
La diligence consiste à poursuivre tous ces efforts sans relâche, et la méditation consiste à concentrer son esprit et à entrer dans un état où il ne peut être ébranlé en aucune circonstance.
Finalement, la sagesse est le fruit de toutes ces pratiques, et désigne l'état d'avoir atteint la sagesse nécessaire pour percevoir correctement la réalité du monde.
Autrement dit, cela signifie s'éveiller à la vérité et avoir atteint l'illumination.
Ce traité, qui exprime dans une poésie fluide tout ce qu'un bodhisattva doit posséder, y compris la bodhicitta, les six paramitas et la pratique du dévouement, se caractérise également par sa capacité à rendre faciles à mémoriser des doctrines bouddhistes complexes et étendues.
Autrement dit, on peut dire que la doctrine a été transformée en de magnifiques paroles de chanson.
Aujourd'hui encore, des moines tibétains et de nombreux bouddhistes à travers le monde récitent ce verset et suivent la voie du bodhisattva.
Comme une étoile, un mirage ou un feu d'artifice,
Comme une illusion magique, de la rosée ou une bulle,
Comme un rêve, un éclair ou un nuage,
Tout ce qui a été accompli doit être considéré sous cet angle.
Page 13
Pour ceux qui souhaitent toucher la terre, elle devient une île.
Pour ceux qui cherchent la lumière, c'est une lampe,
Ce sera un refuge pour ceux qui ont besoin d'un endroit pour se reposer.
Puis-je être au service de ceux qui ont besoin d'un serviteur ?
Page 66
Tout devient familier quand on s'y habitue.
[C'est] de plus en plus facile à supporter.
En s'habituant aux petites douleurs
Vous serez capable d'endurer une grande douleur.
Page 108
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 27 février 2019
Nombre de pages, poids, dimensions : 248 pages | 322 g | 140 × 215 × 20 mm
- ISBN13 : 9788974796570
- ISBN10 : 8974796570
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Langue coréenne
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