
À la recherche de mon Don Quichotte
Description
Introduction au livre
Blue Forest Publishing a publié un nouvel essai, « À la recherche de mon Don Quichotte », de Kim Ho-yeon, l'auteure à succès avec 1,8 million d'exemplaires vendus, qui raconte les coulisses de l'écriture de « Inconvenient Convenience Store » et de « My Don Quixote ».
Ce livre est un essai sur le séjour de Kim Ho-yeon en Espagne avant qu'il ne devienne l'auteur du best-seller « Inconvenient Convenience Store », alors qu'il était un écrivain inconnu.
Au moment où il avait décidé d'abandonner sa vie de romancier à plein temps après 20 ans de doutes, on lui offrit l'opportunité de séjourner à Madrid, en Espagne, pendant trois mois en résidence, à condition qu'il écrive sur Don Quichotte.
Laissant derrière lui cette sombre réalité sans promesses ni garanties, il se lance dans une aventure pour poursuivre seul Don Quichotte à travers l'Espagne.
Heureusement, nous connaissons déjà la fin de cette histoire.
À son retour, il est devenu un auteur à succès international, vendant plus de 1,8 million d'exemplaires et obtenant des droits de publication dans 25 pays.
Qu'est-il arrivé à un romancier qui « était sur le point d'abandonner l'écriture » avant de publier un best-seller de renommée mondiale ? Qu'a vu et vécu l'auteur Kim Ho-yeon durant ses trois mois en Espagne qui lui a insufflé un nouvel espoir ? Ce récit de voyage relate le parcours et le destin d'un auteur méconnu qui, malgré les difficultés de son processus créatif et les inquiétudes liées à un avenir incertain, a refusé de renoncer à son rêve, à l'instar de Don Quichotte. Pour ceux qui ont renoncé à leurs rêves face au poids de la réalité, ce récit de voyage sera une source d'encouragement chaleureux et fervent, plus que tout autre chose.
Ce livre est un essai sur le séjour de Kim Ho-yeon en Espagne avant qu'il ne devienne l'auteur du best-seller « Inconvenient Convenience Store », alors qu'il était un écrivain inconnu.
Au moment où il avait décidé d'abandonner sa vie de romancier à plein temps après 20 ans de doutes, on lui offrit l'opportunité de séjourner à Madrid, en Espagne, pendant trois mois en résidence, à condition qu'il écrive sur Don Quichotte.
Laissant derrière lui cette sombre réalité sans promesses ni garanties, il se lance dans une aventure pour poursuivre seul Don Quichotte à travers l'Espagne.
Heureusement, nous connaissons déjà la fin de cette histoire.
À son retour, il est devenu un auteur à succès international, vendant plus de 1,8 million d'exemplaires et obtenant des droits de publication dans 25 pays.
Qu'est-il arrivé à un romancier qui « était sur le point d'abandonner l'écriture » avant de publier un best-seller de renommée mondiale ? Qu'a vu et vécu l'auteur Kim Ho-yeon durant ses trois mois en Espagne qui lui a insufflé un nouvel espoir ? Ce récit de voyage relate le parcours et le destin d'un auteur méconnu qui, malgré les difficultés de son processus créatif et les inquiétudes liées à un avenir incertain, a refusé de renoncer à son rêve, à l'instar de Don Quichotte. Pour ceux qui ont renoncé à leurs rêves face au poids de la réalité, ce récit de voyage sera une source d'encouragement chaleureux et fervent, plus que tout autre chose.
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Aperçu
indice
prologue
I.
Il n'y a pas de moustiques à Madrid
1. Un coup de chance
2 Don Quichotte se rencontra dans l'avion
3 Trouvez l'atelier à Madukri
4 Carré, carré et carré
5. Écrire : Être seul
II.
solitude transparente
6 Créer une routine dans une ville inconnue
7 mars à la librairie
8 La rue que j'aimais
9 Géants du Prado
Les 10 poumons de Madrid
III.
romancier sévillan
11 Quichottesque, tellement Quichottesque
12 Deux espoirs que j'ai en écrivant le roman
13 Date d'expiration de l'histoire
IV.
Cinémas, galeries d'art et universités
14 Pourquoi avons-nous besoin d'un plan B ?
15 Les Trois Mousquetaires se sont rencontrés au musée d'art
16 Une vie et une œuvre de conteur
17 Madame ! Don Quichotte
V.
Errances extatiques
18 La ville natale du romancier
19 J'ai enfin rencontré Don Quichotte
20 mécanismes d'écriture
21 Après avoir traversé le vieux labyrinthe
22 Asta Luego
VI.
Automne 2023.
Espagne.
lucidité.
23 de Milan à Madrid
24 De nouveau, à la recherche de Don Quichotte
25 Mon Madrid fou
26 Maintenant Barcelone
Épilogue
Remerciements
I.
Il n'y a pas de moustiques à Madrid
1. Un coup de chance
2 Don Quichotte se rencontra dans l'avion
3 Trouvez l'atelier à Madukri
4 Carré, carré et carré
5. Écrire : Être seul
II.
solitude transparente
6 Créer une routine dans une ville inconnue
7 mars à la librairie
8 La rue que j'aimais
9 Géants du Prado
Les 10 poumons de Madrid
III.
romancier sévillan
11 Quichottesque, tellement Quichottesque
12 Deux espoirs que j'ai en écrivant le roman
13 Date d'expiration de l'histoire
IV.
Cinémas, galeries d'art et universités
14 Pourquoi avons-nous besoin d'un plan B ?
15 Les Trois Mousquetaires se sont rencontrés au musée d'art
16 Une vie et une œuvre de conteur
17 Madame ! Don Quichotte
V.
Errances extatiques
18 La ville natale du romancier
19 J'ai enfin rencontré Don Quichotte
20 mécanismes d'écriture
21 Après avoir traversé le vieux labyrinthe
22 Asta Luego
VI.
Automne 2023.
Espagne.
lucidité.
23 de Milan à Madrid
24 De nouveau, à la recherche de Don Quichotte
25 Mon Madrid fou
26 Maintenant Barcelone
Épilogue
Remerciements
Image détaillée

Dans le livre
Le défi, c'est la persévérance.
Un défi, n'est-ce pas littéralement un outsider qui affronte un dominant ? Le seul atout d'un outsider face à un dominant doté d'une notoriété et de compétences supérieures, c'est sa ténacité.
Avant de minimiser vos efforts en disant que cela ne fonctionnera pas, quels que soient vos efforts, vous devez vous remonter le moral.
Après tout, seul un défi relevé avec détermination peut garantir un avenir prospère.
--- p.20 Extrait du « Chapitre 1, Juste un coup de chance »
J'ai ouvert la fenêtre cintrée en bois.
En contrebas de la fenêtre, où le soleil commençait à se coucher, un magnifique jardin resplendissait de verdure.
Alors que je regardais par la fenêtre, la tête passée, j'ai soudain ressenti quelque chose d'étrange.
Il n'y avait pas de moustiquaire.
…J’ai pris une profonde inspiration et j’ai regardé une dernière fois par la fenêtre le vieux jardin.
La lumière du soleil de l'après-midi qui envahit soudainement la pièce sombre l'illumina et la réchauffa.
À ce moment-là, j'ai vaguement compris que la magie de cette terre résidait précisément dans cette lumière solaire intense.
--- pp.43-44 Extrait du « Chapitre 3, Visite du studio à Maduk-ri »
J'ai cherché Don Quichotte, mais je ne l'ai pas trouvé.
Il est toujours difficile de trouver ce que l'on cherche, et il est difficile d'atteindre là où l'on veut être.
Un moment d'irritation accompagné de folie secoua tout mon corps comme une nausée.
C'était comme si Cervantès et Don Quichotte me rejetaient.
--- p.52 Extrait du « Chapitre 4, Carré, Carré et Carré »
Un jour viendra où même les romanciers seront considérés comme retraités.
Mais tant qu'il continuera à écrire, il restera toujours un romancier.
Dès qu'il mit fin à ses aventures et retourna en La Manche, Don Quichotte redevint un simple propriétaire terrien, Alonso Quixano.
Tant que je poursuivrai mes aventures, je serai toujours Don Quichotte, et tant que je continuerai à écrire, je serai toujours un romancier.
--- p.60 Extrait du « Chapitre 5, Écrire : Être seul »
Dans son livre Cosmos, Carl Sagan affirmait que les livres sont la plus grande invention de l'humanité car ils unissent les citoyens d'époques lointaines, et qu'ils sont aussi la preuve de la magie humaine en ce qu'ils brisent les chaînes du temps.
Pour moi, c'était Don Quichotte.
Une assez longue histoire, créée par un écrivain il y a 400 ans, me donne l'impression d'être en Espagne, de déambuler dans les rues de Madrid sous un charme envoûtant.
--- pp.83-84 Extrait du « Chapitre 7, Marche vers la librairie »
C’est dans la ruelle derrière la cathédrale de Séville, où Don Quichotte a été conçu, que j’ai ressenti le plus d’émotion après être venu en Espagne à la recherche de Cervantes et de Don Quichotte.
Puis-je y arriver moi aussi ? Puis-je surmonter les innombrables revers que j'ai connus en tant que romancier, les échecs et les hauts et les bas de la vie d'écrivain, et rêver à nouveau comme Cervantès ?
--- pp.131-132 Extrait du « Chapitre 11, Quichottesque, beaucoup trop Quichottesque »
Il en va de même pour les écrivains.
Des pensées persistent toujours dans mon travail, et ces œuvres, ainsi formées, s'assemblent pour compléter la mosaïque qu'on appelle la vie.
Par conséquent, la seule façon pour un artiste de survivre est de vivre dans le cercle de son œuvre sans s'enfuir.
Je voulais raconter cette histoire.
--- p.193 Extrait du « Chapitre 17, Madre ! Don Quichotte »
Je n'ai pu distinguer que quelques noms de lieux et les noms de Don Quichotte et de Sancho.
Mais c'était à peu près tout ce que je pouvais ressentir.
J'ai fini par embrasser de tout mon être la sincérité des habitants de ma ville natale qui honoraient Don Quichotte, Cervantès qui a écrit Don Quichotte, et Cervantès qui a écrit Don Quichotte.
--- pp.210-211 Extrait du « Chapitre 19, La rencontre finale avec Don Quichotte »
L'obsession de l'auteur imprègne sa vie et le pousse constamment à réfléchir à la prochaine étape.
Trois feuilles par jour.
Même si vous n'écrivez que trois pages par jour, c'est une journée réussie.
…j’écris au moins trois pages par jour, comme je m’exerce au piano.
J'appelle ça une date limite.
--- p.225 Extrait du « Chapitre 20, Mécanisme d’écriture »
Les trois mois que j'ai passés ici m'ont inspiré à écrire à nouveau des romans.
Ce que j'ai appris en recherchant Don Quichotte, c'est son courage et sa conviction inébranlables.
Ce que j'ai ressenti en poursuivant l'œuvre de Cervantes, c'était une volonté de vivre indomptable et un désir d'écrire qui ne s'éteindraient en aucune circonstance.
Les gens hésitent à croire en des choses qu'ils ne peuvent pas voir ou en des avantages intangibles, mais au final, les nombreuses valeurs intangibles contenues dans Don Quichotte nous ont bouleversés.
Le livre est ainsi devenu un classique de l'humanité.
--- pp.236-237 Extrait du "Chapitre 22, Asta Luego"
Mais maintenant, je dois me ressaisir et vivre comme une simple romancière, Kim Ho-yeon.
Je dois terminer « Mon Don Quichotte », écrire le suivant, puis écrire le suivant.
…car telle est ma récompense pour les lecteurs, je reprendrai mes esprits comme Alonso Quixano de La Manche, mais je ne mourrai pas, je m’assiérai et continuerai à écrire.
Un défi, n'est-ce pas littéralement un outsider qui affronte un dominant ? Le seul atout d'un outsider face à un dominant doté d'une notoriété et de compétences supérieures, c'est sa ténacité.
Avant de minimiser vos efforts en disant que cela ne fonctionnera pas, quels que soient vos efforts, vous devez vous remonter le moral.
Après tout, seul un défi relevé avec détermination peut garantir un avenir prospère.
--- p.20 Extrait du « Chapitre 1, Juste un coup de chance »
J'ai ouvert la fenêtre cintrée en bois.
En contrebas de la fenêtre, où le soleil commençait à se coucher, un magnifique jardin resplendissait de verdure.
Alors que je regardais par la fenêtre, la tête passée, j'ai soudain ressenti quelque chose d'étrange.
Il n'y avait pas de moustiquaire.
…J’ai pris une profonde inspiration et j’ai regardé une dernière fois par la fenêtre le vieux jardin.
La lumière du soleil de l'après-midi qui envahit soudainement la pièce sombre l'illumina et la réchauffa.
À ce moment-là, j'ai vaguement compris que la magie de cette terre résidait précisément dans cette lumière solaire intense.
--- pp.43-44 Extrait du « Chapitre 3, Visite du studio à Maduk-ri »
J'ai cherché Don Quichotte, mais je ne l'ai pas trouvé.
Il est toujours difficile de trouver ce que l'on cherche, et il est difficile d'atteindre là où l'on veut être.
Un moment d'irritation accompagné de folie secoua tout mon corps comme une nausée.
C'était comme si Cervantès et Don Quichotte me rejetaient.
--- p.52 Extrait du « Chapitre 4, Carré, Carré et Carré »
Un jour viendra où même les romanciers seront considérés comme retraités.
Mais tant qu'il continuera à écrire, il restera toujours un romancier.
Dès qu'il mit fin à ses aventures et retourna en La Manche, Don Quichotte redevint un simple propriétaire terrien, Alonso Quixano.
Tant que je poursuivrai mes aventures, je serai toujours Don Quichotte, et tant que je continuerai à écrire, je serai toujours un romancier.
--- p.60 Extrait du « Chapitre 5, Écrire : Être seul »
Dans son livre Cosmos, Carl Sagan affirmait que les livres sont la plus grande invention de l'humanité car ils unissent les citoyens d'époques lointaines, et qu'ils sont aussi la preuve de la magie humaine en ce qu'ils brisent les chaînes du temps.
Pour moi, c'était Don Quichotte.
Une assez longue histoire, créée par un écrivain il y a 400 ans, me donne l'impression d'être en Espagne, de déambuler dans les rues de Madrid sous un charme envoûtant.
--- pp.83-84 Extrait du « Chapitre 7, Marche vers la librairie »
C’est dans la ruelle derrière la cathédrale de Séville, où Don Quichotte a été conçu, que j’ai ressenti le plus d’émotion après être venu en Espagne à la recherche de Cervantes et de Don Quichotte.
Puis-je y arriver moi aussi ? Puis-je surmonter les innombrables revers que j'ai connus en tant que romancier, les échecs et les hauts et les bas de la vie d'écrivain, et rêver à nouveau comme Cervantès ?
--- pp.131-132 Extrait du « Chapitre 11, Quichottesque, beaucoup trop Quichottesque »
Il en va de même pour les écrivains.
Des pensées persistent toujours dans mon travail, et ces œuvres, ainsi formées, s'assemblent pour compléter la mosaïque qu'on appelle la vie.
Par conséquent, la seule façon pour un artiste de survivre est de vivre dans le cercle de son œuvre sans s'enfuir.
Je voulais raconter cette histoire.
--- p.193 Extrait du « Chapitre 17, Madre ! Don Quichotte »
Je n'ai pu distinguer que quelques noms de lieux et les noms de Don Quichotte et de Sancho.
Mais c'était à peu près tout ce que je pouvais ressentir.
J'ai fini par embrasser de tout mon être la sincérité des habitants de ma ville natale qui honoraient Don Quichotte, Cervantès qui a écrit Don Quichotte, et Cervantès qui a écrit Don Quichotte.
--- pp.210-211 Extrait du « Chapitre 19, La rencontre finale avec Don Quichotte »
L'obsession de l'auteur imprègne sa vie et le pousse constamment à réfléchir à la prochaine étape.
Trois feuilles par jour.
Même si vous n'écrivez que trois pages par jour, c'est une journée réussie.
…j’écris au moins trois pages par jour, comme je m’exerce au piano.
J'appelle ça une date limite.
--- p.225 Extrait du « Chapitre 20, Mécanisme d’écriture »
Les trois mois que j'ai passés ici m'ont inspiré à écrire à nouveau des romans.
Ce que j'ai appris en recherchant Don Quichotte, c'est son courage et sa conviction inébranlables.
Ce que j'ai ressenti en poursuivant l'œuvre de Cervantes, c'était une volonté de vivre indomptable et un désir d'écrire qui ne s'éteindraient en aucune circonstance.
Les gens hésitent à croire en des choses qu'ils ne peuvent pas voir ou en des avantages intangibles, mais au final, les nombreuses valeurs intangibles contenues dans Don Quichotte nous ont bouleversés.
Le livre est ainsi devenu un classique de l'humanité.
--- pp.236-237 Extrait du "Chapitre 22, Asta Luego"
Mais maintenant, je dois me ressaisir et vivre comme une simple romancière, Kim Ho-yeon.
Je dois terminer « Mon Don Quichotte », écrire le suivant, puis écrire le suivant.
…car telle est ma récompense pour les lecteurs, je reprendrai mes esprits comme Alonso Quixano de La Manche, mais je ne mourrai pas, je m’assiérai et continuerai à écrire.
--- p.285 Extrait du « Chapitre 26, Barcelone maintenant »
Avis de l'éditeur
Un best-seller qui a captivé le monde,
Comment sont nés « The Inconvenient Convenience Store » et « My Don Quichotte » ?
Écrivain avec 20 ans d'expérience, auteur de quatre romans.
Et un écrivain inconnu qui a décidé de ne plus vivre de l'écriture de romans.
Kim Ho-yeon, romancière qui était sur le point d'abandonner son rêve de devenir romancière, bénéficie d'un coup de chance à ce moment précis.
Une invitation au Musée de la littérature espagnole pour trois mois.
Et de Madrid, où il s'était enfui, il revient avec un souvenir.
C'était le courage de réessayer.
À l'instar de Don Quichotte, qui court après son rêve sans faire de compromis.
En Espagne, où il est parti, l'auteur Kim Ho-yeon ne suit pas le beau et romantique voyage auquel on s'attend.
Il devait écrire trois pages par jour de manuscrits qui n'avaient même pas de contrat d'édition, il devait économiser chaque centime et il était complètement seul.
Mais l'Espagne qu'il découvrit était magnifique.
Le soleil espagnol, le patrimoine culturel espagnol, la gastronomie espagnole et le peuple espagnol.
L'auteur Kim Ho-yeon y a créé un café régulier qui offre une boisson gratuite si vous collectez 10 tampons sur un coupon, et il a l'habitude de prendre le bus numéro 147.
J'ai aussi erré dans les librairies à la recherche de la version originale de Don Quichotte.
Je prends même le train et pars en voyage pour trouver l'inspiration.
Là-bas, l'auteur Kim Ho-yeon n'était pas un simple voyageur asiatique, mais un écrivain qui écrivait obstinément ce qu'il avait à écrire, même si personne n'était au courant.
L'Espagne, le pays du soleil, l'a donné aux fatigués,
Courage chaleureux
Qu'est-ce qui a donc poussé cet écrivain, au bord du désespoir, à reprendre l'écriture ? Qu'a vécu Kim Ho-yeon entre son abandon et le succès ? En Espagne, où il s'est réfugié, Kim Ho-yeon n'a rien accompli de spectaculaire.
Je marche, je lis, je regarde et je parle, suivant les traces et l'inspiration de Don Quichotte.
La raison pour laquelle je devais écrire à nouveau un roman m'est apparue naturellement au milieu de ma vie quotidienne ordinaire, dans une ville inconnue.
Lorsque nous poursuivons nos rêves, nous devenons les rêves eux-mêmes.
L'auteure Kim Ho-yeon prend conscience d'une chose.
« J’ai toujours, toujours envie d’écrire. » Le fait de suivre les traces de Don Quichotte a fait de lui « Don Quichotte ».
Après son retour en Corée, l'auteure Kim Ho-yeon s'est remise à écrire.
Durant cette période de solitude et de difficulté où les gens s'isolaient les uns des autres en raison de la COVID-19, nous avons recommencé à nous parler.
C’est ainsi que le manuscrit devint finalement le roman « L’épicerie de quartier inconfortable », qui apporta du réconfort à tous.
L’auteure Kim Ho-yeon déclare : « Tant que je poursuivrai mes aventures, je serai toujours Don Quichotte, et tant que je continuerai à écrire, je serai toujours romancière. »
Ce livre démontre clairement qu'il n'a pas réussi uniquement grâce à un courage téméraire.
Le courage de se lancer à nouveau des défis pour réaliser ses rêves, l'attitude de ne jamais abandonner et de toujours chercher des solutions.
Cet aspect de l'auteur découle avant tout de sa pureté et de sa sincérité.
L'image simple et petite-bourgeoise de l'écrivain Kim Ho-yeon que nous découvrons dans cet essai est une version « réaliste » des personnages chaleureux qu'il a dépeints jusqu'à présent dans ses histoires.
Si vous avez été touché par le style chaleureux et réconfortant qui caractérise l'auteur Kim Ho-yeon, vous serez également touché par le parcours de l'auteur à la poursuite de son précieux rêve dans cet essai.
Elle n'est accordée qu'à ceux qui vont de l'avant sans jamais abandonner.
La joie que nous rencontrerons au bout de ce chemin
Ce livre raconte à la fois la genèse et les recherches qui ont mené à l'écriture du roman « Mon Don Quichotte ».
Ainsi, bien qu'il s'agisse d'un essai, le livre recèle des procédés intéressants que seuls les lecteurs ayant apprécié le roman pourront déceler.
Comme chacun le sait déjà, la fin de « À la recherche de mon Don Quichotte » est une « fin heureuse et sans ambiguïté ».
Le pauvre écrivain inconnu nous est apparu comme un écrivain vedette.
Son histoire est source de réconfort et de courage, comme pour dire que nous aussi pouvons connaître une fin heureuse si nous ne renonçons pas à nos rêves.
En particulier, l'esprit et l'humour uniques de l'écrivain Kim Ho-yeon, qui avait déjà fait étalage de son charme singulier dans ses œuvres précédentes, rendent cette histoire, qui pourrait facilement être perçue comme une « histoire de souffrance », chaleureuse.
Il y a chez les gens un certain courage joyeux et chaleureux qui se dégage de ceux qui vivent avec quelque chose.
Quelle que soit la difficulté de la situation, l'attitude de Kim Ho-yeon, qui consiste à aller de l'avant sans perdre son sourire, à l'image de ses romans, donne à ceux qui sont las de la dure réalité la force de se lancer à nouveau des défis.
Après son succès, au lieu de savourer les fruits de son travail, l'auteur Kim Ho-yeon prend un moment pour rencontrer son lui du passé.
Et là, je fais à nouveau un nouveau rêve.
Mon rêve est de continuer à écrire sans m'arrêter ici.
Il affirme que beaucoup de choses ont changé depuis son succès, mais qu'en même temps, beaucoup de choses n'ont pas changé.
On lui demande désormais sans cesse comment il a réussi à faire de ses romans des succès, mais la réponse de Kim Ho-yeon est toujours la même.
« Même si rien n’était garanti, je l’ai quand même écrit. »
Comment sont nés « The Inconvenient Convenience Store » et « My Don Quichotte » ?
Écrivain avec 20 ans d'expérience, auteur de quatre romans.
Et un écrivain inconnu qui a décidé de ne plus vivre de l'écriture de romans.
Kim Ho-yeon, romancière qui était sur le point d'abandonner son rêve de devenir romancière, bénéficie d'un coup de chance à ce moment précis.
Une invitation au Musée de la littérature espagnole pour trois mois.
Et de Madrid, où il s'était enfui, il revient avec un souvenir.
C'était le courage de réessayer.
À l'instar de Don Quichotte, qui court après son rêve sans faire de compromis.
En Espagne, où il est parti, l'auteur Kim Ho-yeon ne suit pas le beau et romantique voyage auquel on s'attend.
Il devait écrire trois pages par jour de manuscrits qui n'avaient même pas de contrat d'édition, il devait économiser chaque centime et il était complètement seul.
Mais l'Espagne qu'il découvrit était magnifique.
Le soleil espagnol, le patrimoine culturel espagnol, la gastronomie espagnole et le peuple espagnol.
L'auteur Kim Ho-yeon y a créé un café régulier qui offre une boisson gratuite si vous collectez 10 tampons sur un coupon, et il a l'habitude de prendre le bus numéro 147.
J'ai aussi erré dans les librairies à la recherche de la version originale de Don Quichotte.
Je prends même le train et pars en voyage pour trouver l'inspiration.
Là-bas, l'auteur Kim Ho-yeon n'était pas un simple voyageur asiatique, mais un écrivain qui écrivait obstinément ce qu'il avait à écrire, même si personne n'était au courant.
L'Espagne, le pays du soleil, l'a donné aux fatigués,
Courage chaleureux
Qu'est-ce qui a donc poussé cet écrivain, au bord du désespoir, à reprendre l'écriture ? Qu'a vécu Kim Ho-yeon entre son abandon et le succès ? En Espagne, où il s'est réfugié, Kim Ho-yeon n'a rien accompli de spectaculaire.
Je marche, je lis, je regarde et je parle, suivant les traces et l'inspiration de Don Quichotte.
La raison pour laquelle je devais écrire à nouveau un roman m'est apparue naturellement au milieu de ma vie quotidienne ordinaire, dans une ville inconnue.
Lorsque nous poursuivons nos rêves, nous devenons les rêves eux-mêmes.
L'auteure Kim Ho-yeon prend conscience d'une chose.
« J’ai toujours, toujours envie d’écrire. » Le fait de suivre les traces de Don Quichotte a fait de lui « Don Quichotte ».
Après son retour en Corée, l'auteure Kim Ho-yeon s'est remise à écrire.
Durant cette période de solitude et de difficulté où les gens s'isolaient les uns des autres en raison de la COVID-19, nous avons recommencé à nous parler.
C’est ainsi que le manuscrit devint finalement le roman « L’épicerie de quartier inconfortable », qui apporta du réconfort à tous.
L’auteure Kim Ho-yeon déclare : « Tant que je poursuivrai mes aventures, je serai toujours Don Quichotte, et tant que je continuerai à écrire, je serai toujours romancière. »
Ce livre démontre clairement qu'il n'a pas réussi uniquement grâce à un courage téméraire.
Le courage de se lancer à nouveau des défis pour réaliser ses rêves, l'attitude de ne jamais abandonner et de toujours chercher des solutions.
Cet aspect de l'auteur découle avant tout de sa pureté et de sa sincérité.
L'image simple et petite-bourgeoise de l'écrivain Kim Ho-yeon que nous découvrons dans cet essai est une version « réaliste » des personnages chaleureux qu'il a dépeints jusqu'à présent dans ses histoires.
Si vous avez été touché par le style chaleureux et réconfortant qui caractérise l'auteur Kim Ho-yeon, vous serez également touché par le parcours de l'auteur à la poursuite de son précieux rêve dans cet essai.
Elle n'est accordée qu'à ceux qui vont de l'avant sans jamais abandonner.
La joie que nous rencontrerons au bout de ce chemin
Ce livre raconte à la fois la genèse et les recherches qui ont mené à l'écriture du roman « Mon Don Quichotte ».
Ainsi, bien qu'il s'agisse d'un essai, le livre recèle des procédés intéressants que seuls les lecteurs ayant apprécié le roman pourront déceler.
Comme chacun le sait déjà, la fin de « À la recherche de mon Don Quichotte » est une « fin heureuse et sans ambiguïté ».
Le pauvre écrivain inconnu nous est apparu comme un écrivain vedette.
Son histoire est source de réconfort et de courage, comme pour dire que nous aussi pouvons connaître une fin heureuse si nous ne renonçons pas à nos rêves.
En particulier, l'esprit et l'humour uniques de l'écrivain Kim Ho-yeon, qui avait déjà fait étalage de son charme singulier dans ses œuvres précédentes, rendent cette histoire, qui pourrait facilement être perçue comme une « histoire de souffrance », chaleureuse.
Il y a chez les gens un certain courage joyeux et chaleureux qui se dégage de ceux qui vivent avec quelque chose.
Quelle que soit la difficulté de la situation, l'attitude de Kim Ho-yeon, qui consiste à aller de l'avant sans perdre son sourire, à l'image de ses romans, donne à ceux qui sont las de la dure réalité la force de se lancer à nouveau des défis.
Après son succès, au lieu de savourer les fruits de son travail, l'auteur Kim Ho-yeon prend un moment pour rencontrer son lui du passé.
Et là, je fais à nouveau un nouveau rêve.
Mon rêve est de continuer à écrire sans m'arrêter ici.
Il affirme que beaucoup de choses ont changé depuis son succès, mais qu'en même temps, beaucoup de choses n'ont pas changé.
On lui demande désormais sans cesse comment il a réussi à faire de ses romans des succès, mais la réponse de Kim Ho-yeon est toujours la même.
« Même si rien n’était garanti, je l’ai quand même écrit. »
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 18 mars 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 292 pages | 300 g | 126 × 188 × 18 mm
- ISBN13 : 9791172540500
- ISBN10 : 1172540500
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