
Prochaine valeur à la hausse
Description
Introduction au livre
Modifier la constitution de l'économie coréenne
KOSPI 5000 n'est pas un objectif, mais un plan directeur.
Réflexions sérieuses et propositions pour l'avenir de l'économie coréenne
« Pourquoi la Korea Electric Power Corporation (KEPCO) est-elle sous-évaluée par rapport à la Kansai Electric Power Company (KEPCO) ? »
Cette question révèle un problème pour une entreprise et une vulnérabilité structurelle de l'économie coréenne.
Le marché boursier coréen reste englué dans le marécage de la « décote coréenne ».
Les cours boursiers des entreprises restent faibles par rapport à leurs performances, et le gouvernement tente de les stimuler en promouvant des politiques de valorisation à la hausse, mais la confiance du marché fait toujours défaut.
Maintenant que le KOSPI a franchi la barre des 4 000 points, est-il temps de marquer une pause ? L’auteur soutient que la sous-évaluation du marché boursier coréen n’est pas un problème propre aux entreprises individuelles, mais un « problème structurel », et propose une nouvelle approche de création de valeur que le gouvernement, les entreprises et les investisseurs doivent mettre en œuvre conjointement.
La valorisation à la hausse n'est pas une politique gouvernementale, mais une promesse du marché.
Le gouvernement devrait envoyer des signaux, mais laisser le marché évoluer de lui-même.
Les investisseurs devraient privilégier la valeur à long terme, tandis que les entreprises devraient rétablir la confiance et assurer l'avenir grâce à des réformes de gouvernance et à l'innovation en matière d'ESG.
《Next Value Up》 réexamine ce problème structurel du point de vue de l'ensemble du système économique.
Le livre entrelace d'abord divers enjeux, notamment l'offre et la demande d'énergie à l'ère de l'IA, la réponse à la crise climatique, le financement et les technologies climatiques, la stratégie d'investissement à long terme du Service national des pensions, le changement de paradigme mondial en matière d'ESG et la vision économique de l'administration Lee Jae-myung.
« Next Value Up » n'est pas simplement une mesure de stimulation du cours des actions ou une initiative gouvernementale à court terme.
Il s'agit d'une stratégie nationale qui modifie fondamentalement la structure de l'économie coréenne et sert de point de départ à la poursuite d'une croissance durable grâce à une mise en œuvre audacieuse et résolue des critères ESG.
L'alternative proposée par l'auteur se situe à la croisée des chemins entre politique et raison.
L'auteur envisage une transformation majeure du secteur de l'énergie électrique coréen et souligne que les critères ESG ne sont pas une mode passagère, mais un outil pratique pour améliorer la rentabilité des capitaux propres des entreprises.
Il est également souligné que le système national de retraite devrait fonctionner comme une « infrastructure de marché » plutôt que comme un simple fonds de retraite.
« La valorisation n’est pas une politique, mais une culture ; ce n’est pas un chiffre, mais un système. » 《Next Value-Up》 est un défi et une proposition à tous ceux qui envisagent le prochain bond en avant pour l’économie coréenne.
KOSPI 5000 n'est pas un objectif, mais un plan directeur.
Réflexions sérieuses et propositions pour l'avenir de l'économie coréenne
« Pourquoi la Korea Electric Power Corporation (KEPCO) est-elle sous-évaluée par rapport à la Kansai Electric Power Company (KEPCO) ? »
Cette question révèle un problème pour une entreprise et une vulnérabilité structurelle de l'économie coréenne.
Le marché boursier coréen reste englué dans le marécage de la « décote coréenne ».
Les cours boursiers des entreprises restent faibles par rapport à leurs performances, et le gouvernement tente de les stimuler en promouvant des politiques de valorisation à la hausse, mais la confiance du marché fait toujours défaut.
Maintenant que le KOSPI a franchi la barre des 4 000 points, est-il temps de marquer une pause ? L’auteur soutient que la sous-évaluation du marché boursier coréen n’est pas un problème propre aux entreprises individuelles, mais un « problème structurel », et propose une nouvelle approche de création de valeur que le gouvernement, les entreprises et les investisseurs doivent mettre en œuvre conjointement.
La valorisation à la hausse n'est pas une politique gouvernementale, mais une promesse du marché.
Le gouvernement devrait envoyer des signaux, mais laisser le marché évoluer de lui-même.
Les investisseurs devraient privilégier la valeur à long terme, tandis que les entreprises devraient rétablir la confiance et assurer l'avenir grâce à des réformes de gouvernance et à l'innovation en matière d'ESG.
《Next Value Up》 réexamine ce problème structurel du point de vue de l'ensemble du système économique.
Le livre entrelace d'abord divers enjeux, notamment l'offre et la demande d'énergie à l'ère de l'IA, la réponse à la crise climatique, le financement et les technologies climatiques, la stratégie d'investissement à long terme du Service national des pensions, le changement de paradigme mondial en matière d'ESG et la vision économique de l'administration Lee Jae-myung.
« Next Value Up » n'est pas simplement une mesure de stimulation du cours des actions ou une initiative gouvernementale à court terme.
Il s'agit d'une stratégie nationale qui modifie fondamentalement la structure de l'économie coréenne et sert de point de départ à la poursuite d'une croissance durable grâce à une mise en œuvre audacieuse et résolue des critères ESG.
L'alternative proposée par l'auteur se situe à la croisée des chemins entre politique et raison.
L'auteur envisage une transformation majeure du secteur de l'énergie électrique coréen et souligne que les critères ESG ne sont pas une mode passagère, mais un outil pratique pour améliorer la rentabilité des capitaux propres des entreprises.
Il est également souligné que le système national de retraite devrait fonctionner comme une « infrastructure de marché » plutôt que comme un simple fonds de retraite.
« La valorisation n’est pas une politique, mais une culture ; ce n’est pas un chiffre, mais un système. » 《Next Value-Up》 est un défi et une proposition à tous ceux qui envisagent le prochain bond en avant pour l’économie coréenne.
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Aperçu
indice
Prologue : Pourquoi le marché boursier coréen maintenant ?
Chapitre 1 : Objectif KOSPI 5000 : Corrigeons la structure
L'administration Lee Jae-myung vise la « structure », pas les « cours boursiers » / Le long tunnel de la stagnation, le marché boursier coréen profondément troublé / Devenir un invité indésirable / Le piège de la sous-évaluation, un marché paralysé pour la levée de fonds / Des entreprises prometteuses quittent la Corée, la confiance du marché s'effrite / Effondrement de la confiance dans le marché des capitaux, la « richesse coréenne » ébranlée / Concentration dans l'immobilier, déséquilibre structurel des richesses / Les pensions de retraite, de « salaires différés » à « actifs d'investissement » / Il est temps de changer le système : le début de Value-Up 2.0
Chapitre 2 : L'économie politique des kilowatts : les risques de KEPCO à l'ère de l'IA
L'IA coûte cher / L'âge d'or de l'IA, la guerre du pouvoir a commencé / Les SMR relancés par l'IA, un renversement du paradigme énergétique / Un premier échec discutable : problèmes du réseau de transport / La capacité de la Corée à résoudre les problèmes systémiques révélée par les problèmes énergétiques / Une structure de production d'électricité plus intelligente, plutôt que davantage de réseaux de transport / Répartir la demande : un nouvel équilibre créé par l'autosuffisance / Solutions pour réduire la demande de pointe et le retour des systèmes de stockage d'énergie / L'industrie énergétique coréenne prisonnière du modèle de l'ère industrielle / Une opportunité de renversement créée par l'IA / Les coulisses du problème de KEPCO : gouvernance et responsabilité des entreprises publiques / « Vendre KEPCO », c'est « Vendre la Corée »
Chapitre 3 : Angles morts de la politique climatique coréenne : l’électricité
Crise climatique : nous n’étions pas préparés / Davos mettait en garde contre les conséquences économiques du changement climatique / La clé de la lutte contre le changement climatique réside dans la refonte du secteur électrique / La réduction des émissions de carbone en Corée passe avant tout par l’électricité / RE100 : la Corée face à son plus grand défi / Comment Samsung Electronics et SK Hynix atteindront-ils l’objectif RE100 ? / Le carbone devient un tarif douanier : les barrières commerciales créées par la CBAM / CCA : le début de la course au carbone à l’américaine / Intensité des émissions de carbone : la lente transition de la Corée / Le défi de la décarbonation de la production d’électricité / Le paradoxe d’une puissance industrielle : la part des énergies renouvelables en bas du classement du G20 / L’ombre du charbon : la crise persistante engendrée par les politiques passées
Chapitre 4 : Points de départ du financement et des technologies climatiques
Triple impact du changement climatique / La finance climatique en Corée n'en est qu'à ses débuts / L'étincelle de la finance climatique privée que le capital-risque doit allumer / Le coût de la neutralité carbone : il est temps d'affronter la réalité / Énergie renouvelable PF, premier banc d'essai de la finance climatique / Technologies climatiques : au-delà de la technologie, place au business / Avertissement de la Banque de Corée : les investissements dans les technologies climatiques sont au point mort / Les investissements dans les technologies climatiques peinent à suivre le rythme mondial / Les licornes des technologies climatiques dominées par les États-Unis et la Chine / État des lieux des technologies climatiques coréennes : hydrogène et captage, utilisation et stockage du carbone (CUS) / CUS : le stockage est plus complexe que la capture / Technologies climatiques et marchés du carbone doivent coexister / Sans finance climatique, il n'y aura pas d'indice KOSPI 5000 / La prochaine licorne sera issue des technologies climatiques
Chapitre 5 : Du renforcement des droits des actionnaires à la prime coréenne
« Qui se soucie gagne », le début de l’ESG et le changement de philosophie d’investissement / ESG et capitalisme actionnarial, conflit ou évolution / Investissement de valeur et ESG, durabilité quand les fondamentaux se rejoignent / Investissement ESG, au-delà du capitalisme des parties prenantes / ESG vs.
Investissement responsable : une philosophie d’investissement similaire mais différente / L’investissement ESG doit évoluer vers une création de valeur durable / L’ère de la « création de valeur en matière de gouvernance » inaugurée par la révision du Code de commerce
Chapitre 6 : Le Service national des pensions, un allié du marché : un moteur durable de croissance.
Le mur de la « 8e place asiatique » : la réalité de la gouvernance d’entreprise en Corée / L’action des actionnaires de CalPERS : un laboratoire qui a transformé les entreprises / L’éveil du Service national des pensions : suivre l’effet CalPERS / Code de bonne conduite : de la déclaration à la pratique / Investissement ESG : l’ombre du 3e plus grand fonds de pension mondial / Concurrence entre les fonds de pension coréens et japonais : pourquoi le GPIF japonais est en tête / Activisme actionnarial en Asie : la Corée aussi est en pleine mutation / Vers une « prime coréenne » : faire entendre la voix des institutions / Le fossé dans la mise en œuvre des critères ESG : la coopération entre le gouvernement et le marché est la solution
Chapitre 7 : Trump 2.0 : Le retour du risque politique et le réalignement des critères ESG
L’ESG : un marché qui a ralenti mais qui évolue / La finance durable, une nouvelle norme pour le capital mondial / Le contrecoup de l’ère Trump : le silence complice autour de l’ESG / Duopole énergétique : le pragmatisme américain à l’origine de l’expansion du pétrole et du solaire / L’énergie solaire au Texas et la quête du pragmatisme américain / L’Europe, berceau de l’ESG : l’impact du « paquet omnibus » / Le pragmatisme plutôt que la rapidité : le nouvel équilibre de l’UE / Pourquoi la Corée ne doit pas rater le tournant de l’ESG
Chapitre 8 : Politique, marché et gouvernance : le cadre triangulaire de l'économie de Lee Jae-myung
La rapidité de la réponse climatique déterminera l'issue des cinq prochaines années / Les traces de deux administrations, les leçons des politiques de transition énergétique / Un gouvernement pragmatique mis à l'épreuve par la politique climatique / La réalité et les solutions des trois grands enjeux : CDN, marché du carbone et transparence climatique / Le leadership climatique s'accomplit par l'action / Comprendre l'orientation climatique et énergétique du plan national de l'administration Lee Jae-myung / Entreprises et investisseurs : stratégies de survie à l'ère du risque climatique / « Un travail en péril » : la dure réalité des sites industriels / Mobiliser toutes les ressources, y compris les critères ESG, pour atteindre l'objectif zéro accident majeur / Le dilemme d'une superpuissance des semi-conducteurs : le débat sur la semaine de 52 heures / Trouver un équilibre entre réduction du temps de travail, flexibilité et durabilité / La gouvernance d'entreprise en Corée à un tournant, premier pas vers le rétablissement de la confiance / Des actionnaires mécontents exigent une innovation en matière de gouvernance d'entreprise / Réforme de la gouvernance, début d'une réévaluation du marché boursier coréen
Chapitre 9 : Vers la prime coréenne : la grammaire d'investissement du prochain cycle
Le potentiel des informations ESG publiées par la Corée, qui attirent l'attention des capitaux mondiaux / Le cercle vertueux de l'ESG inaugurera l'ère de la valorisation 2.0 / Valorisation 2.0 : Un plan d'action commun pour les investisseurs, les entreprises et le gouvernement / Le premier principe de l'investissement : « Ne pas lutter contre le gouvernement » / Simple mais efficace : Quatre stratégies pour dynamiser le marché
Épilogue Pourquoi, quoi et comment changeons-nous ?
Chapitre 1 : Objectif KOSPI 5000 : Corrigeons la structure
L'administration Lee Jae-myung vise la « structure », pas les « cours boursiers » / Le long tunnel de la stagnation, le marché boursier coréen profondément troublé / Devenir un invité indésirable / Le piège de la sous-évaluation, un marché paralysé pour la levée de fonds / Des entreprises prometteuses quittent la Corée, la confiance du marché s'effrite / Effondrement de la confiance dans le marché des capitaux, la « richesse coréenne » ébranlée / Concentration dans l'immobilier, déséquilibre structurel des richesses / Les pensions de retraite, de « salaires différés » à « actifs d'investissement » / Il est temps de changer le système : le début de Value-Up 2.0
Chapitre 2 : L'économie politique des kilowatts : les risques de KEPCO à l'ère de l'IA
L'IA coûte cher / L'âge d'or de l'IA, la guerre du pouvoir a commencé / Les SMR relancés par l'IA, un renversement du paradigme énergétique / Un premier échec discutable : problèmes du réseau de transport / La capacité de la Corée à résoudre les problèmes systémiques révélée par les problèmes énergétiques / Une structure de production d'électricité plus intelligente, plutôt que davantage de réseaux de transport / Répartir la demande : un nouvel équilibre créé par l'autosuffisance / Solutions pour réduire la demande de pointe et le retour des systèmes de stockage d'énergie / L'industrie énergétique coréenne prisonnière du modèle de l'ère industrielle / Une opportunité de renversement créée par l'IA / Les coulisses du problème de KEPCO : gouvernance et responsabilité des entreprises publiques / « Vendre KEPCO », c'est « Vendre la Corée »
Chapitre 3 : Angles morts de la politique climatique coréenne : l’électricité
Crise climatique : nous n’étions pas préparés / Davos mettait en garde contre les conséquences économiques du changement climatique / La clé de la lutte contre le changement climatique réside dans la refonte du secteur électrique / La réduction des émissions de carbone en Corée passe avant tout par l’électricité / RE100 : la Corée face à son plus grand défi / Comment Samsung Electronics et SK Hynix atteindront-ils l’objectif RE100 ? / Le carbone devient un tarif douanier : les barrières commerciales créées par la CBAM / CCA : le début de la course au carbone à l’américaine / Intensité des émissions de carbone : la lente transition de la Corée / Le défi de la décarbonation de la production d’électricité / Le paradoxe d’une puissance industrielle : la part des énergies renouvelables en bas du classement du G20 / L’ombre du charbon : la crise persistante engendrée par les politiques passées
Chapitre 4 : Points de départ du financement et des technologies climatiques
Triple impact du changement climatique / La finance climatique en Corée n'en est qu'à ses débuts / L'étincelle de la finance climatique privée que le capital-risque doit allumer / Le coût de la neutralité carbone : il est temps d'affronter la réalité / Énergie renouvelable PF, premier banc d'essai de la finance climatique / Technologies climatiques : au-delà de la technologie, place au business / Avertissement de la Banque de Corée : les investissements dans les technologies climatiques sont au point mort / Les investissements dans les technologies climatiques peinent à suivre le rythme mondial / Les licornes des technologies climatiques dominées par les États-Unis et la Chine / État des lieux des technologies climatiques coréennes : hydrogène et captage, utilisation et stockage du carbone (CUS) / CUS : le stockage est plus complexe que la capture / Technologies climatiques et marchés du carbone doivent coexister / Sans finance climatique, il n'y aura pas d'indice KOSPI 5000 / La prochaine licorne sera issue des technologies climatiques
Chapitre 5 : Du renforcement des droits des actionnaires à la prime coréenne
« Qui se soucie gagne », le début de l’ESG et le changement de philosophie d’investissement / ESG et capitalisme actionnarial, conflit ou évolution / Investissement de valeur et ESG, durabilité quand les fondamentaux se rejoignent / Investissement ESG, au-delà du capitalisme des parties prenantes / ESG vs.
Investissement responsable : une philosophie d’investissement similaire mais différente / L’investissement ESG doit évoluer vers une création de valeur durable / L’ère de la « création de valeur en matière de gouvernance » inaugurée par la révision du Code de commerce
Chapitre 6 : Le Service national des pensions, un allié du marché : un moteur durable de croissance.
Le mur de la « 8e place asiatique » : la réalité de la gouvernance d’entreprise en Corée / L’action des actionnaires de CalPERS : un laboratoire qui a transformé les entreprises / L’éveil du Service national des pensions : suivre l’effet CalPERS / Code de bonne conduite : de la déclaration à la pratique / Investissement ESG : l’ombre du 3e plus grand fonds de pension mondial / Concurrence entre les fonds de pension coréens et japonais : pourquoi le GPIF japonais est en tête / Activisme actionnarial en Asie : la Corée aussi est en pleine mutation / Vers une « prime coréenne » : faire entendre la voix des institutions / Le fossé dans la mise en œuvre des critères ESG : la coopération entre le gouvernement et le marché est la solution
Chapitre 7 : Trump 2.0 : Le retour du risque politique et le réalignement des critères ESG
L’ESG : un marché qui a ralenti mais qui évolue / La finance durable, une nouvelle norme pour le capital mondial / Le contrecoup de l’ère Trump : le silence complice autour de l’ESG / Duopole énergétique : le pragmatisme américain à l’origine de l’expansion du pétrole et du solaire / L’énergie solaire au Texas et la quête du pragmatisme américain / L’Europe, berceau de l’ESG : l’impact du « paquet omnibus » / Le pragmatisme plutôt que la rapidité : le nouvel équilibre de l’UE / Pourquoi la Corée ne doit pas rater le tournant de l’ESG
Chapitre 8 : Politique, marché et gouvernance : le cadre triangulaire de l'économie de Lee Jae-myung
La rapidité de la réponse climatique déterminera l'issue des cinq prochaines années / Les traces de deux administrations, les leçons des politiques de transition énergétique / Un gouvernement pragmatique mis à l'épreuve par la politique climatique / La réalité et les solutions des trois grands enjeux : CDN, marché du carbone et transparence climatique / Le leadership climatique s'accomplit par l'action / Comprendre l'orientation climatique et énergétique du plan national de l'administration Lee Jae-myung / Entreprises et investisseurs : stratégies de survie à l'ère du risque climatique / « Un travail en péril » : la dure réalité des sites industriels / Mobiliser toutes les ressources, y compris les critères ESG, pour atteindre l'objectif zéro accident majeur / Le dilemme d'une superpuissance des semi-conducteurs : le débat sur la semaine de 52 heures / Trouver un équilibre entre réduction du temps de travail, flexibilité et durabilité / La gouvernance d'entreprise en Corée à un tournant, premier pas vers le rétablissement de la confiance / Des actionnaires mécontents exigent une innovation en matière de gouvernance d'entreprise / Réforme de la gouvernance, début d'une réévaluation du marché boursier coréen
Chapitre 9 : Vers la prime coréenne : la grammaire d'investissement du prochain cycle
Le potentiel des informations ESG publiées par la Corée, qui attirent l'attention des capitaux mondiaux / Le cercle vertueux de l'ESG inaugurera l'ère de la valorisation 2.0 / Valorisation 2.0 : Un plan d'action commun pour les investisseurs, les entreprises et le gouvernement / Le premier principe de l'investissement : « Ne pas lutter contre le gouvernement » / Simple mais efficace : Quatre stratégies pour dynamiser le marché
Épilogue Pourquoi, quoi et comment changeons-nous ?
Dans le livre
Ce livre ne traite pas des prévisions de cours boursiers ni des techniques d'investissement.
Elle se concentre plutôt sur les nouvelles crises et opportunités auxquelles la Corée du Sud est confrontée.
Le rebond du marché boursier n'est que le début.
Les questions essentielles sont de savoir comment transformer la structure économique et quelles stratégies mettre en œuvre en tenant compte des critères ESG. L'ESG n'est pas un simple outil marketing.
Il s'agit d'une solution pratique qui peut réellement augmenter le ROE d'une entreprise et diminuer son COE, faisant ainsi monter le cours de son action.
De plus, les critères ESG peuvent jouer un rôle important dans l'administration nationale.
E (environnement) la réponse au changement climatique, S (société) la protection de l'information et des droits des travailleurs, et G (gouvernance) le progrès sont les principaux enjeux de l'ESG et constituent également la mission d'un gouvernement pragmatique.
--- p.7, extrait de « Prologue : Pourquoi le marché boursier coréen maintenant ? »
Les principes de base de la répartition d'actifs sont simples.
Le rendement attendu des actifs doit être supérieur au taux d'inflation.
Si le taux de rendement est inférieur au taux d'inflation, il est en réalité négatif.
Si vous comptez trop longtemps sur ces actifs, vous vous appauvrirez de plus en plus.
La répartition des actifs des ménages coréens n'est pas stable, car il est difficile de suivre l'inflation sur le long terme.
La voie à suivre est claire.
Il est nécessaire de réduire les actifs immobiliers et d'augmenter les actifs financiers, mais au sein de ces actifs financiers, d'accroître les fonds ou d'augmenter la part des assurances et des pensions comportant une proportion plus élevée d'actifs risqués.
Les pensions sont particulièrement importantes.
Toutefois, si la crise du marché boursier coréen est structurelle et difficile à surmonter, un tel changement dans la répartition des actifs a peu de chances de se produire naturellement.
C’est précisément pourquoi il faut sauver la bourse.
--- p.26, extrait du « Chapitre 1 : Objectif KOSPI 5000, corrigeons la structure »
L'électrification n'est pas quelque chose que KEPCO peut réaliser seule.
Le remplacement de l'énergie massive issue des combustibles fossiles utilisée dans la production d'acier, de ciment et de plastique, le transport maritime et l'aviation par l'électricité représente un changement majeur dans la structure industrielle.
Il est toutefois clair que la Korea Electric Power Corporation est au cœur des préoccupations liées à l'électrification.
Les responsabilités de KEPCO comprennent le développement des énergies renouvelables, l'expansion des infrastructures nécessaires à l'ère de l'IA et le soutien au financement et au développement des technologies climatiques.
La Korea Electric Power Corporation (KEPCO), qui devrait être à la tête d'importants projets nationaux, devient désormais un obstacle.
Même si l'on ne parle pas de restructuration du secteur de l'énergie électrique, le besoin de changement au sein de la Korea Electric Power Corporation (KEPCO) et du secteur de l'énergie électrique fait l'objet de nombreux débats, notamment sur des sujets tels que les tarifs de l'électricité, la gouvernance et l'introduction de la concurrence.
Il est temps de se demander : « KEPCO ne bloque-t-elle pas la valeur ajoutée du pays ? »
Car un réseau électrique flexible mais robuste est le fondement de la compétitivité des industries du pays.
Les factures d'électricité basses et les faibles taux de coupures de courant ne doivent pas être relégués au rang de simples vantardises du passé.
--- p.71, extrait du « Chapitre 2 : Économie politique des kilowatts, risques liés à l'énergie électrique en Corée à l'ère de l'IA »
La Corée est le pays qui rencontre le plus de difficultés à mettre en œuvre le programme RE100 dans sa chaîne d'approvisionnement industrielle.
En Corée, aujourd'hui, non seulement les grandes entreprises, mais aussi les PME exportatrices subissent la pression de leurs principaux fournisseurs pour mettre en œuvre la norme RE100.
Les entreprises opérant en Corée auront des difficultés à s'approvisionner en énergie renouvelable, même si elles tentent de se conformer à l'initiative RE100 ; par conséquent, si rien n'est fait, ces entreprises pourraient décider de quitter la Corée.
Plus important encore, la Corée pourrait être exclue de la liste des candidats lorsque les principaux fournisseurs étrangers décideront des nouvelles chaînes d'approvisionnement.
C’est une triste réalité, fruit des erreurs de l’administration précédente, qui n’a pas encouragé l’énergie solaire et l’a même présentée avec dédain.
--- p.85, extrait du « Chapitre 3 Angles morts de la politique climatique de la Corée : l’électricité »
La valorisation de chaque entreprise représente la valorisation du pays.
Les programmes actuels de valorisation et les réformes de gouvernance ne suffisent pas à eux seuls à accroître la valeur nationale.
La réforme de la gouvernance progresse sans encombre sous l'administration de Lee Jae-myung.
Une étape majeure a été franchie avec la révision de la loi commerciale, et une législation complémentaire est mise en œuvre progressivement.
L'augmentation des dividendes et l'annulation d'actions sont des mesures relativement simples qui auraient dû être prises dans le cadre d'une réforme de la gouvernance.
Il pourrait y avoir quelques imprévus durant le processus, mais je m'attends à ce qu'il se déroule sans problème.
(…) Le gouvernement doit trouver des politiques qui augmentent les profits en coopération avec les entreprises, tout en s’attachant à réduire les risques d’investissement sur le marché boursier coréen.
Si nous négligeons de lutter contre le changement climatique, notre activité principale en pâtira à l'avenir.
Lorsque les entreprises souffrent, c'est finalement l'économie nationale qui en souffre.
C’est pourquoi le rôle du gouvernement est important.
La Commission des services financiers devrait être tenue responsable des rendements pour les actionnaires et de la valeur ajoutée, tandis que le gouvernement, au plus haut niveau, devrait envisager des mesures de lutte contre le changement climatique afin de préserver la « valeur ajoutée » de la Corée.
--- p.134~135, extrait du « Chapitre 4 : Point de départ du financement climatique et des technologies climatiques »
L'investissement ESG est littéralement un investissement, et non un don ou une œuvre de charité.
L'investissement ESG vise désormais à examiner attentivement comment les facteurs ESG, à la fois comme risques et opportunités pour une entreprise, se reflètent dans sa valeur avant toute décision d'investissement. Dans une perspective ESG, les risques et opportunités pour une entreprise doivent également avoir une incidence financière significative.
Ceci est défini dans la loi sur la divulgation des informations en matière de durabilité comme la matérialité financière.
L’investissement ESG est lié à l’investissement de valeur car il s’agit d’un cadre de choix financiers qui ont un impact direct sur les éléments des états financiers et les taux de rendement requis.
La croissance à valeur ajoutée du marché boursier coréen doit être durable. L'investissement ESG est le moteur de cette croissance.
Il est difficile d'inaugurer une ère de Korea Premium en se contentant de maximiser la valeur actionnariale sans tenir compte du développement durable.
Tout d’abord, la révision de la loi commerciale a permis d’entamer une grande transformation de G.
Impossible de m'arrêter.
La recherche du développement durable, avec une attention particulière aux aspects environnementaux et sociaux, est une tendance mondiale actuelle et un moyen de renforcer la compétitivité des entreprises.
--- p.148~149, extrait du « Chapitre 5 : Du renforcement des droits des actionnaires à la prime coréenne »
Pour accroître la valeur du marché boursier coréen, il est essentiel d'améliorer la gouvernance d'entreprise. Toutefois, la simple promulgation de lois ne suffit pas ; l'investissement est également nécessaire.
Les fonds de pension comme CalPERS sont des investisseurs bien placés pour mener cette initiative.
Il existe un concept appelé investisseur universel.
Désigne les grands investisseurs institutionnels qui investissent dans divers actifs sur l'ensemble du marché et qui possèdent de fait une partie de l'économie globale.
Les investisseurs universels diversifient leurs placements dans un large éventail d'actifs, ce qui permet à leur performance de refléter les tendances économiques générales.
De par ces caractéristiques, ils ne se concentrent pas uniquement sur les profits à court terme, mais prennent également en compte les externalités positives telles que le risque systémique, la durabilité à long terme, l'équité et la stabilité du marché, ainsi que la valeur des biens publics.
L'investisseur universel en Corée est sans aucun doute le Service national des pensions.
--- p.158, extrait du « Chapitre 6 La pension nationale, un allié du marché : moteur durable de la croissance quantique »
On dit que les cours boursiers précèdent la performance et évoluent de concert avec les anticipations.
Cela signifie que les cours boursiers reflètent les attentes du secteur.
Les actions des entreprises du secteur des énergies renouvelables réagissent de manière sensible aux futures politiques énergétiques du gouvernement.
Depuis l'entrée en fonction du président Trump pour un second mandat, les actions du secteur nucléaire ont fortement progressé, mais les actions liées à la transition énergétique, notamment l'énergie solaire, ont également affiché des performances relativement bonnes.
Durant les quatre années de mandat de Trump (avec une évaluation à mi-mandat encore à venir), les politiques contradictoires deviendront probablement plus fréquentes qu'elles ne le sont actuellement.
La prédiction selon laquelle « la réélection de Trump signifiera la fin de la lutte contre le changement climatique » s'avérera probablement erronée.
--- p.189, extrait du « Chapitre 7 Trump 2.0, Le retour du risque politique et le réalignement des critères ESG »
Les investisseurs doivent examiner attentivement les changements de politique et les modifications qui en résultent dans le comportement des entreprises lorsqu'ils choisissent leurs cibles d'investissement.
Il nous faut éviter les entreprises dont les performances devraient baisser en raison de l'augmentation des coûts de transition, et privilégier celles qui peuvent véritablement tirer profit de la croissance future grâce aux technologies climatiques.
En Corée, le coût de la transition énergétique a été minime jusqu'à présent.
Imaginez les obligations de divulgation de portée 3, la mise en place de réglementations sur les émissions financières et l'augmentation du coût des émissions de carbone.
Les technologies climatiques représentent un nouveau domaine d'opportunités, mais le processus d'identification des entreprises prometteuses reste non systématique.
Par conséquent, une analyse et une étude approfondies de ce domaine sont nécessaires.
Les candidats comprennent des entreprises bien placées pour prospérer dans un contexte de mutations de la gouvernance de l'électricité, des chaînes d'approvisionnement en énergies renouvelables englobant la fabrication et les opérations liées à l'expansion de la feuille de route en matière d'énergies renouvelables et à la création de complexes industriels RE100, ainsi que des entreprises financières et technologiques à la pointe du financement de la transition ou de la décarbonation.
Aucune entreprise phare destinée à devenir un acteur majeur des technologies climatiques n'a encore émergé.
Pour les investisseurs, crises et opportunités émergent discrètement.
--- p.212~213, extrait du « Chapitre 8 Politique, marché, gouvernance, le cadre triangulaire de l’économie de Lee Jae-myung »
L’administration de Lee Jae-myung semble bien placée pour devenir le point central de la mise en relation du cycle ESG.
Le plan national de gouvernance du gouvernement sert de boussole. La finance ESG est promue au même titre que l'IA et le capital-risque ! De plus, des plans concrets sont en cours d'élaboration pour chacun des secteurs E, S et G, et leur mise en œuvre progresse rapidement.
Cette caractéristique réside dans le lien entre la gouvernance G et le marché boursier.
Dans l'obscurité, le cercle vertueux des critères ESG vacille faiblement.
L'objectif de faire atteindre 5 000 points à l'indice KOSPI est une promesse de campagne du président Lee Jae-myung.
Dès le début de son mandat, le président a fait preuve d'une ferme volonté d'améliorer les conditions d'investissement sur le marché boursier.
Le président a mis un terme définitif au débat sur les taxes sur les transferts d'actions, qui constituait un sujet sensible au sein du parti au pouvoir.
La prime coréenne a également été mise en avant dans le plan politique national.
Le plan du gouvernement de Lee Jae-myung vise à améliorer la gouvernance tout en faisant monter les cours boursiers.
Elle se concentre plutôt sur les nouvelles crises et opportunités auxquelles la Corée du Sud est confrontée.
Le rebond du marché boursier n'est que le début.
Les questions essentielles sont de savoir comment transformer la structure économique et quelles stratégies mettre en œuvre en tenant compte des critères ESG. L'ESG n'est pas un simple outil marketing.
Il s'agit d'une solution pratique qui peut réellement augmenter le ROE d'une entreprise et diminuer son COE, faisant ainsi monter le cours de son action.
De plus, les critères ESG peuvent jouer un rôle important dans l'administration nationale.
E (environnement) la réponse au changement climatique, S (société) la protection de l'information et des droits des travailleurs, et G (gouvernance) le progrès sont les principaux enjeux de l'ESG et constituent également la mission d'un gouvernement pragmatique.
--- p.7, extrait de « Prologue : Pourquoi le marché boursier coréen maintenant ? »
Les principes de base de la répartition d'actifs sont simples.
Le rendement attendu des actifs doit être supérieur au taux d'inflation.
Si le taux de rendement est inférieur au taux d'inflation, il est en réalité négatif.
Si vous comptez trop longtemps sur ces actifs, vous vous appauvrirez de plus en plus.
La répartition des actifs des ménages coréens n'est pas stable, car il est difficile de suivre l'inflation sur le long terme.
La voie à suivre est claire.
Il est nécessaire de réduire les actifs immobiliers et d'augmenter les actifs financiers, mais au sein de ces actifs financiers, d'accroître les fonds ou d'augmenter la part des assurances et des pensions comportant une proportion plus élevée d'actifs risqués.
Les pensions sont particulièrement importantes.
Toutefois, si la crise du marché boursier coréen est structurelle et difficile à surmonter, un tel changement dans la répartition des actifs a peu de chances de se produire naturellement.
C’est précisément pourquoi il faut sauver la bourse.
--- p.26, extrait du « Chapitre 1 : Objectif KOSPI 5000, corrigeons la structure »
L'électrification n'est pas quelque chose que KEPCO peut réaliser seule.
Le remplacement de l'énergie massive issue des combustibles fossiles utilisée dans la production d'acier, de ciment et de plastique, le transport maritime et l'aviation par l'électricité représente un changement majeur dans la structure industrielle.
Il est toutefois clair que la Korea Electric Power Corporation est au cœur des préoccupations liées à l'électrification.
Les responsabilités de KEPCO comprennent le développement des énergies renouvelables, l'expansion des infrastructures nécessaires à l'ère de l'IA et le soutien au financement et au développement des technologies climatiques.
La Korea Electric Power Corporation (KEPCO), qui devrait être à la tête d'importants projets nationaux, devient désormais un obstacle.
Même si l'on ne parle pas de restructuration du secteur de l'énergie électrique, le besoin de changement au sein de la Korea Electric Power Corporation (KEPCO) et du secteur de l'énergie électrique fait l'objet de nombreux débats, notamment sur des sujets tels que les tarifs de l'électricité, la gouvernance et l'introduction de la concurrence.
Il est temps de se demander : « KEPCO ne bloque-t-elle pas la valeur ajoutée du pays ? »
Car un réseau électrique flexible mais robuste est le fondement de la compétitivité des industries du pays.
Les factures d'électricité basses et les faibles taux de coupures de courant ne doivent pas être relégués au rang de simples vantardises du passé.
--- p.71, extrait du « Chapitre 2 : Économie politique des kilowatts, risques liés à l'énergie électrique en Corée à l'ère de l'IA »
La Corée est le pays qui rencontre le plus de difficultés à mettre en œuvre le programme RE100 dans sa chaîne d'approvisionnement industrielle.
En Corée, aujourd'hui, non seulement les grandes entreprises, mais aussi les PME exportatrices subissent la pression de leurs principaux fournisseurs pour mettre en œuvre la norme RE100.
Les entreprises opérant en Corée auront des difficultés à s'approvisionner en énergie renouvelable, même si elles tentent de se conformer à l'initiative RE100 ; par conséquent, si rien n'est fait, ces entreprises pourraient décider de quitter la Corée.
Plus important encore, la Corée pourrait être exclue de la liste des candidats lorsque les principaux fournisseurs étrangers décideront des nouvelles chaînes d'approvisionnement.
C’est une triste réalité, fruit des erreurs de l’administration précédente, qui n’a pas encouragé l’énergie solaire et l’a même présentée avec dédain.
--- p.85, extrait du « Chapitre 3 Angles morts de la politique climatique de la Corée : l’électricité »
La valorisation de chaque entreprise représente la valorisation du pays.
Les programmes actuels de valorisation et les réformes de gouvernance ne suffisent pas à eux seuls à accroître la valeur nationale.
La réforme de la gouvernance progresse sans encombre sous l'administration de Lee Jae-myung.
Une étape majeure a été franchie avec la révision de la loi commerciale, et une législation complémentaire est mise en œuvre progressivement.
L'augmentation des dividendes et l'annulation d'actions sont des mesures relativement simples qui auraient dû être prises dans le cadre d'une réforme de la gouvernance.
Il pourrait y avoir quelques imprévus durant le processus, mais je m'attends à ce qu'il se déroule sans problème.
(…) Le gouvernement doit trouver des politiques qui augmentent les profits en coopération avec les entreprises, tout en s’attachant à réduire les risques d’investissement sur le marché boursier coréen.
Si nous négligeons de lutter contre le changement climatique, notre activité principale en pâtira à l'avenir.
Lorsque les entreprises souffrent, c'est finalement l'économie nationale qui en souffre.
C’est pourquoi le rôle du gouvernement est important.
La Commission des services financiers devrait être tenue responsable des rendements pour les actionnaires et de la valeur ajoutée, tandis que le gouvernement, au plus haut niveau, devrait envisager des mesures de lutte contre le changement climatique afin de préserver la « valeur ajoutée » de la Corée.
--- p.134~135, extrait du « Chapitre 4 : Point de départ du financement climatique et des technologies climatiques »
L'investissement ESG est littéralement un investissement, et non un don ou une œuvre de charité.
L'investissement ESG vise désormais à examiner attentivement comment les facteurs ESG, à la fois comme risques et opportunités pour une entreprise, se reflètent dans sa valeur avant toute décision d'investissement. Dans une perspective ESG, les risques et opportunités pour une entreprise doivent également avoir une incidence financière significative.
Ceci est défini dans la loi sur la divulgation des informations en matière de durabilité comme la matérialité financière.
L’investissement ESG est lié à l’investissement de valeur car il s’agit d’un cadre de choix financiers qui ont un impact direct sur les éléments des états financiers et les taux de rendement requis.
La croissance à valeur ajoutée du marché boursier coréen doit être durable. L'investissement ESG est le moteur de cette croissance.
Il est difficile d'inaugurer une ère de Korea Premium en se contentant de maximiser la valeur actionnariale sans tenir compte du développement durable.
Tout d’abord, la révision de la loi commerciale a permis d’entamer une grande transformation de G.
Impossible de m'arrêter.
La recherche du développement durable, avec une attention particulière aux aspects environnementaux et sociaux, est une tendance mondiale actuelle et un moyen de renforcer la compétitivité des entreprises.
--- p.148~149, extrait du « Chapitre 5 : Du renforcement des droits des actionnaires à la prime coréenne »
Pour accroître la valeur du marché boursier coréen, il est essentiel d'améliorer la gouvernance d'entreprise. Toutefois, la simple promulgation de lois ne suffit pas ; l'investissement est également nécessaire.
Les fonds de pension comme CalPERS sont des investisseurs bien placés pour mener cette initiative.
Il existe un concept appelé investisseur universel.
Désigne les grands investisseurs institutionnels qui investissent dans divers actifs sur l'ensemble du marché et qui possèdent de fait une partie de l'économie globale.
Les investisseurs universels diversifient leurs placements dans un large éventail d'actifs, ce qui permet à leur performance de refléter les tendances économiques générales.
De par ces caractéristiques, ils ne se concentrent pas uniquement sur les profits à court terme, mais prennent également en compte les externalités positives telles que le risque systémique, la durabilité à long terme, l'équité et la stabilité du marché, ainsi que la valeur des biens publics.
L'investisseur universel en Corée est sans aucun doute le Service national des pensions.
--- p.158, extrait du « Chapitre 6 La pension nationale, un allié du marché : moteur durable de la croissance quantique »
On dit que les cours boursiers précèdent la performance et évoluent de concert avec les anticipations.
Cela signifie que les cours boursiers reflètent les attentes du secteur.
Les actions des entreprises du secteur des énergies renouvelables réagissent de manière sensible aux futures politiques énergétiques du gouvernement.
Depuis l'entrée en fonction du président Trump pour un second mandat, les actions du secteur nucléaire ont fortement progressé, mais les actions liées à la transition énergétique, notamment l'énergie solaire, ont également affiché des performances relativement bonnes.
Durant les quatre années de mandat de Trump (avec une évaluation à mi-mandat encore à venir), les politiques contradictoires deviendront probablement plus fréquentes qu'elles ne le sont actuellement.
La prédiction selon laquelle « la réélection de Trump signifiera la fin de la lutte contre le changement climatique » s'avérera probablement erronée.
--- p.189, extrait du « Chapitre 7 Trump 2.0, Le retour du risque politique et le réalignement des critères ESG »
Les investisseurs doivent examiner attentivement les changements de politique et les modifications qui en résultent dans le comportement des entreprises lorsqu'ils choisissent leurs cibles d'investissement.
Il nous faut éviter les entreprises dont les performances devraient baisser en raison de l'augmentation des coûts de transition, et privilégier celles qui peuvent véritablement tirer profit de la croissance future grâce aux technologies climatiques.
En Corée, le coût de la transition énergétique a été minime jusqu'à présent.
Imaginez les obligations de divulgation de portée 3, la mise en place de réglementations sur les émissions financières et l'augmentation du coût des émissions de carbone.
Les technologies climatiques représentent un nouveau domaine d'opportunités, mais le processus d'identification des entreprises prometteuses reste non systématique.
Par conséquent, une analyse et une étude approfondies de ce domaine sont nécessaires.
Les candidats comprennent des entreprises bien placées pour prospérer dans un contexte de mutations de la gouvernance de l'électricité, des chaînes d'approvisionnement en énergies renouvelables englobant la fabrication et les opérations liées à l'expansion de la feuille de route en matière d'énergies renouvelables et à la création de complexes industriels RE100, ainsi que des entreprises financières et technologiques à la pointe du financement de la transition ou de la décarbonation.
Aucune entreprise phare destinée à devenir un acteur majeur des technologies climatiques n'a encore émergé.
Pour les investisseurs, crises et opportunités émergent discrètement.
--- p.212~213, extrait du « Chapitre 8 Politique, marché, gouvernance, le cadre triangulaire de l’économie de Lee Jae-myung »
L’administration de Lee Jae-myung semble bien placée pour devenir le point central de la mise en relation du cycle ESG.
Le plan national de gouvernance du gouvernement sert de boussole. La finance ESG est promue au même titre que l'IA et le capital-risque ! De plus, des plans concrets sont en cours d'élaboration pour chacun des secteurs E, S et G, et leur mise en œuvre progresse rapidement.
Cette caractéristique réside dans le lien entre la gouvernance G et le marché boursier.
Dans l'obscurité, le cercle vertueux des critères ESG vacille faiblement.
L'objectif de faire atteindre 5 000 points à l'indice KOSPI est une promesse de campagne du président Lee Jae-myung.
Dès le début de son mandat, le président a fait preuve d'une ferme volonté d'améliorer les conditions d'investissement sur le marché boursier.
Le président a mis un terme définitif au débat sur les taxes sur les transferts d'actions, qui constituait un sujet sensible au sein du parti au pouvoir.
La prime coréenne a également été mise en avant dans le plan politique national.
Le plan du gouvernement de Lee Jae-myung vise à améliorer la gouvernance tout en faisant monter les cours boursiers.
--- p.234, extrait du « Chapitre 9 : Vers la prime coréenne, grammaire d’investissement pour le prochain cycle »
Avis de l'éditeur
« KOSPI 5000 n’est pas un chiffre, mais une unité de confiance. »
« La sous-évaluation de l’économie coréenne n’est pas un problème d’entreprise, mais un problème systémique. »
« Le pays qui maîtrise le climat est, en fin de compte, celui qui maîtrise l’électricité. »
« La revalorisation n’est pas une politique visant à faire monter le cours des actions, mais une réforme pour restaurer la confiance. »
« Si les pensions de retraite ne progressent pas, l’économie coréenne ne progressera jamais. »
« Les critères ESG ne sont pas un langage moral, c’est un langage d’investissement. »
« La confiance devient du capital. »
« Le Service national des pensions n’est plus un investisseur, mais un souverain du marché. »
« La politique climatique n’est pas une question environnementale, mais une question de survie industrielle. »
« À l’ère de Trump 2.0, les critères ESG ne disparaissent pas. »
« Ça devient de plus en plus intelligent. »
« La prime coréenne n’est pas une prime liée au cours de l’action, mais une prime de confiance. »
Voici les mots qui me viennent à l'esprit après avoir lu « Next Value Up ».
《Next Value Up》 n’est pas simplement un livre sur « la hausse des cours boursiers ».
Il s'agit d'une proposition visant à reconstruire le « système de valeurs » de l'économie coréenne.
Surtout, elle présente une vision visant à repenser l'économie coréenne en un système fondé sur la confiance.
Le « KOSPI 5000 » proposé par l'administration de Lee Jae-myung n'est pas un objectif chiffré, mais symbolise plutôt une réorganisation des politiques, du marché et de la gouvernance.
L'auteur explore les causes profondes de la « décote coréenne » sous différents angles, notamment la méfiance envers le marché des capitaux, une gouvernance inefficace, une structure d'actifs axée sur l'immobilier et une gestion passive des fonds de pension.
Et l’alternative proposée est « Value Up 2.0 ».
Il ne s'agit pas d'augmenter le cours des actions, mais plutôt de créer une augmentation structurelle de la valeur de l'entreprise, c'est-à-dire une structure institutionnelle pour augmenter le ROE (rendement des capitaux propres) et réduire le COE (coût des capitaux propres).
Dans le contexte d'une ère marquée par l'IA, la crise climatique et la transition énergétique, l'ouvrage analyse le triple risque auquel est confronté le marché des capitaux coréen : l'électricité, le climat et la finance.
En analysant la structure de la dette de KEPCO, la rigidité des tarifs d'électricité, les goulets d'étranglement dans le domaine des énergies renouvelables et l'absence de financement climatique, ce rapport met en lumière le fait qu'« un pays qui maîtrise le climat est un pays qui maîtrise l'électricité ».
En outre, il présente un modèle coréen de « démocratie de marché » à travers la gestion du Service national des pensions, la transparence des informations ESG, le renforcement des droits des actionnaires et le développement des investissements responsables par les fonds de pension.
Le point commun à tout cela est une « société où la confiance devient capital ».
Alors que les investisseurs mondiaux commencent à s'intéresser au système de divulgation des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) de la Corée (KSSB), le prochain bond en avant de l'économie coréenne repose sur la confiance institutionnelle dans la transparence, l'équité et la cohérence.
« Next Value Up » est une « économie de la confiance » qui combine capital, climat et politique dans un langage unique, et constitue un manifeste pratique concevant le prochain cycle du marché des capitaux coréen.
● L’objectif d’atteindre KOSPI 5000 est possible ! Comment ? Comment ?
Pourquoi le marché boursier coréen est-il prisonnier de la sous-évaluation ? Cet ouvrage dépasse le simple débat sur le cours des actions et s’attaque de front aux limites structurelles de l’économie coréenne.
Le programme « KOSPI 5000 » de l'administration Lee Jae-myung n'est pas une ambition chiffrée, mais une déclaration visant à « corriger les structures ».
Au début des années 2020, alors que les capitaux étrangers fuyaient et que même les investisseurs nationaux se détournaient du marché, la bourse coréenne était un « invité indésirable » sur la scène mondiale.
Les sociétés de capital-risque se sont tournées vers le marché américain car elles n'étaient pas correctement valorisées, et les introductions en bourse, principale source de financement des entreprises, ont perdu en crédibilité.
Le dysfonctionnement du marché des capitaux a entraîné un fléchissement de la richesse nationale.
Une société où les pensions de retraite ne sont qu'au niveau des rendements des dépôts, et où la plupart des actifs sont investis dans l'immobilier.
La Corée est devenue un pays d'« argent dormant » plutôt que d'« argent actif ».
L'auteur propose une transformation des systèmes politiques, financiers et sociaux pour briser ce cercle vicieux.
La raison pour laquelle le gouvernement devrait cibler la « structure de gouvernance » plutôt que les cours boursiers réside dans le point de départ de la tentative d'étendre le devoir de loyauté des administrateurs envers les actionnaires par le biais de révisions de la loi commerciale et de transformer les pensions de retraite en « actifs d'investissement » plutôt qu'en « salaires différés ».
« Restaurer la confiance est plus important que la hausse de l’indice. » Ce n’est que lorsque les capitaux provenant de l’immobilier seront réorientés vers l’industrie, de la spéculation à court terme vers la création de valeur à long terme, et d’une gouvernance d’entreprise opaque vers des marchés de capitaux ouverts que le « KOSPI 5000 » deviendra une réalité.
Le risque lié à l'électricité en Corée : le risque appelé « KEPCO »
La compétition à l'ère de l'IA n'est plus une bataille de données.
C'est une guerre de pouvoir.
L'auteur examine les risques structurels auxquels est confrontée la Korea Electric Power Corporation (KEPCO) à l'intersection de l'IA, des semi-conducteurs et du réseau électrique. L'IA bouleversant le paradigme industriel, une nouvelle « économie politique du kilowatt » a émergé. Les centres de données dédiés à l'IA consomment d'énormes quantités d'énergie, et sans un réseau de transport d'électricité stable, la compétitivité nationale ne peut être maintenue.
Cependant, la Corée reste encore engluée dans le système de pouvoir centralisé de l'ère industrielle.
Les principaux obstacles à la transition énergétique, tels que la saturation du réseau, les freins à l'adoption des énergies renouvelables et les problèmes d'autorisation auprès des collectivités locales, sont concentrés chez KEPCO. Alors que le secteur de l'électricité connaît une véritable renaissance grâce à l'intelligence artificielle, KEPCO freine en réalité le changement.
La réalité de KEPCO reste engluée dans l'inertie du passé.
Le système de tarification de l'électricité est resté inchangé depuis 20 ans, et l'octroi des licences pour le réseau de transport est bloqué par un conflit entre les autorités locales et les résidents.
Si la Korea Electric Power Corporation ne parvient pas à la fois à la « marchandisation de l'électricité » et à « l'équilibre du secteur public », elle pourrait devenir le plus grand obstacle à l'avènement de l'ère de l'IA.
L'échec de la transition énergétique entraînera bientôt un effondrement de la compétitivité nationale.
Pour parvenir à une création de valeur durable, KEPCO doit se libérer de son ancien cadre et produire une « électricité plus intelligente », et non pas simplement « plus d'électricité ».
C’est un avertissement : il n’est jamais trop tard : « Si nous ne comprenons pas l’avenir de l’électricité, il n’y a pas d’avenir pour notre pays. »
●Parler du climat dans le langage de l'économie
2023 et 2024 ont été des années où la Terre a connu des températures record.
Moins de dix ans après l'Accord de Paris, la communauté internationale s'inquiète déjà de l'incapacité à atteindre l'objectif de 1,5 °C.
Cependant, la Corée n'arrive toujours pas à se détacher de sa structure énergétique centrée sur le charbon, et sa feuille de route vers la neutralité carbone perd de son efficacité.
Pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, la part de l'électricité dans l'énergie finale doit doubler ou tripler par rapport au niveau actuel, mais le taux d'électrification reste aux alentours de 20 %.
La transition dans les secteurs à forte consommation d'énergie tels que les transports, le chauffage et l'industrie est retardée, et les plans du gouvernement restent au stade de déclarations.
L'ouvrage identifie la rigidité de la politique énergétique coréenne et l'absence d'infrastructures d'énergies renouvelables comme des faiblesses de la réponse de la Corée au changement climatique.
Bien que le secteur de l'énergie soit responsable de 35 % des émissions totales de gaz à effet de serre, les réductions de la production d'électricité à partir du charbon par le secteur privé sont minimes et le développement des énergies renouvelables est lent.
L'ouvrage met également en lumière les changements intervenus dans l'ordre commercial international, tels que RE100 (Énergie renouvelable à 100 %) et le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (CBAM).
Des entreprises mondiales telles que Samsung Electronics et SK Hynix s'efforcent déjà de sécuriser leur approvisionnement en énergie renouvelable en concluant des accords d'achat d'électricité (AAE) à l'étranger, mais les barrières institutionnelles sur le marché intérieur de l'électricité restent élevées.
Face à la dure réalité du « pas d’électricité, pas d’exportations », la Corée se trouve au seuil d’un monde où le carbone deviendra bientôt une taxe.
Pour que la politique climatique de la Corée évolue véritablement vers une création de valeur ajoutée, elle doit repenser le secteur de l'électricité et réinventer l'ensemble du système énergétique.
La politique climatique ne doit pas être considérée simplement comme un programme environnemental, mais comme une stratégie économique fondamentale pour la compétitivité nationale.
La réforme du secteur de l'électricité est la réponse à la crise climatique, et c'est le seul moyen pour la Corée de surmonter « l'ère du carbone ».
ESG : Un nouveau principe actionnarial alliant profit et éthique
La sous-évaluation de l'économie coréenne est appelée « décote coréenne ».
L’auteur soutient que pour résoudre ce problème séculaire, nous devons créer « un marché où les actionnaires sont respectés et une structure de capital qui instaure la confiance ».
La clé réside dans le « renforcement des droits des actionnaires ».
Le capitalisme actionnarial est un modèle traditionnel qui maximise les profits des actionnaires, mais l'ESG est une « forme évoluée de gestion des risques » qui prend en compte à la fois la durabilité de l'entreprise et la responsabilité sociale.
Aujourd'hui, les investisseurs avisés commencent à considérer l'éthique et la durabilité comme faisant partie intégrante de la valeur d'une entreprise, et non plus seulement comme un gage de rentabilité financière.
Next Value Up définit l'ESG comme « une nouvelle philosophie actionnariale qui allie profit et éthique ».
En d'autres termes, les critères ESG ne représentent pas un coût, mais une gestion des risques, et constituent le langage de la création de valeur à long terme.
Dans le même esprit, les principaux fonds de pension mondiaux adoptent les Principes pour l'investissement responsable (PRI) et les entreprises renforcent la publication d'informations non financières.
L'auteur souligne également la généralisation de « l'investissement activiste » et des « codes de gouvernance ».
À mesure que les fonds de pension et les investisseurs institutionnels s'impliquent plus directement dans la gestion ESG de leurs sociétés en portefeuille, l'ère de « l'actionnariat actif » se lève sur le marché coréen.
En conséquence, les politiques de retour aux actionnaires telles que les rachats et annulations d'actions, ainsi que les augmentations de dividendes, connaissent une croissance explosive.
Dès le premier semestre 2025, l'ampleur des annulations d'actions propres a déjà dépassé le total de l'année précédente.
Il ne s'agit pas d'un simple événement de marché, mais d'un signal indiquant que le marché des capitaux coréen est entré dans une phase de confiance.
●Hosiwoobo du Service national des pensions
L’adoption par le Service national des pensions du Code de bonne conduite, ou « principes de responsabilité fiduciaire », en 2018, était une déclaration.
Dès lors, le Service national des pensions a commencé à se transformer d’un « fonds de pension qui détient des actions » en un « fonds de pension qui surveille la viabilité des entreprises ».
Bien que certains aient critiqué le système en le qualifiant de « socialisme des retraites », le Service national des pensions a développé son rôle d'observateur du marché en l'analysant avec la vigilance d'un tigre et la discrétion d'un bœuf.
La proportion d'actionnaires internes dans les entreprises coréennes est d'environ 40 %, et les actions propres ainsi que les actions détenues par des parties liées restent importantes.
Dans ce cadre, le Service national des pensions fonctionne comme « l’axe de la démocratie de marché », représentant un grand nombre d’actionnaires externes.
Désormais, un simple vote des membres du Service national des pensions n'est plus seulement un droit de vote, mais un signal qui détermine l'orientation du capital national.
Les activités de gestion du Service national des pensions se concrétisent d'année en année.
Des sujets susceptibles d'entraîner des changements concrets dans le comportement des entreprises, tels que l'augmentation des dividendes, l'ajustement des plafonds de rémunération des dirigeants, les risques de violation de la loi, la lutte contre le changement climatique, la sécurité industrielle et la limitation des investissements dans la sortie progressive du charbon, ont été inscrits à la « table de dialogue » du Service national des pensions.
Au-delà du simple exercice des droits de vote, ils sont devenus des « investisseurs responsables » qui gèrent les risques climatiques et la structure de gouvernance de l'entreprise.
L'auteur propose une orientation pour le Service national des pensions en le comparant au GPIF (Fonds d'investissement des pensions gouvernementales) du Japon.
De même que le Japon a été pionnier dans l'adoption du code de bonne gouvernance et a mené l'innovation en matière de gouvernance d'entreprise, le Service national des pensions de Corée doit désormais devenir un « chef de file de la réforme du marché », et non un simple « suiveur ».
Le Service national des pensions gère actuellement plus de 1 000 billions de wons d’actifs, dont 700 billions de wons d’actifs d’investissement responsable à eux seuls.
C’est cette force qui établira bientôt les normes éthiques du marché des capitaux coréen.
L’ère Trump 2.0 : Réaligner l’ESG
Alors que le monde s'oriente vers une transition écologique, l'Amérique, sous la présidence de Trump 2.0, est revenue à son « double pragmatisme » consistant à développer simultanément le pétrole, le schiste bitumineux et l'énergie solaire.
L'auteur analyse de près comment cette évolution engendre des fissures sur le marché mondial des critères ESG.
Le retour de Trump n'est pas simplement un événement politique.
Cela signifie « le retour du risque lié à la politique ».
Alors que le consensus mondial en faveur de la neutralité carbone et des critères ESG s'effrite, les multinationales et le capital mondial passent de l'« écoblanchiment » au « silence écologique », une stratégie de survie qui consiste à refuser de prendre en compte les critères ESG.
Cependant, cet ouvrage affirme qu'il ne s'agit pas d'un « recul de l'ESG » mais d'un « réalignement de l'ESG ».
La vitesse a diminué, mais la direction n'a pas changé.
La crise climatique et la transition énergétique sont désormais des tendances structurelles irréversibles de l'économie mondiale, et la finance durable demeure le langage commun du capital mondial.
Les plus grands gestionnaires d'actifs de Wall Street continuent de gérer des fonds ESG, et les banques centrales européennes intègrent le risque carbone dans leurs politiques monétaires.
Ce qui est intéressant, c'est la nouvelle interprétation du pragmatisme américain.
Au Texas, le pétrole et l'énergie solaire coexistent, et l'IA et les centres de données sont devenus les plus gros consommateurs d'énergie renouvelable.
Le paradoxe de l’ère Trump ne réside pas dans un « conservatisme qui ignore l’environnement », mais dans un « pragmatisme qui redirige l’énergie vers la politique ».
《Next Value Up》 conclut comme suit :
« Les critères ESG ne vont pas disparaître. »
« C’est simplement un compromis avec la réalité et une évolution vers un langage plus stratégique. » L’ère Trump 2.0 ne représente pas une régression en matière d’ESG, mais un test décisif qui vérifie la véritable durabilité.
« La sous-évaluation de l’économie coréenne n’est pas un problème d’entreprise, mais un problème systémique. »
« Le pays qui maîtrise le climat est, en fin de compte, celui qui maîtrise l’électricité. »
« La revalorisation n’est pas une politique visant à faire monter le cours des actions, mais une réforme pour restaurer la confiance. »
« Si les pensions de retraite ne progressent pas, l’économie coréenne ne progressera jamais. »
« Les critères ESG ne sont pas un langage moral, c’est un langage d’investissement. »
« La confiance devient du capital. »
« Le Service national des pensions n’est plus un investisseur, mais un souverain du marché. »
« La politique climatique n’est pas une question environnementale, mais une question de survie industrielle. »
« À l’ère de Trump 2.0, les critères ESG ne disparaissent pas. »
« Ça devient de plus en plus intelligent. »
« La prime coréenne n’est pas une prime liée au cours de l’action, mais une prime de confiance. »
Voici les mots qui me viennent à l'esprit après avoir lu « Next Value Up ».
《Next Value Up》 n’est pas simplement un livre sur « la hausse des cours boursiers ».
Il s'agit d'une proposition visant à reconstruire le « système de valeurs » de l'économie coréenne.
Surtout, elle présente une vision visant à repenser l'économie coréenne en un système fondé sur la confiance.
Le « KOSPI 5000 » proposé par l'administration de Lee Jae-myung n'est pas un objectif chiffré, mais symbolise plutôt une réorganisation des politiques, du marché et de la gouvernance.
L'auteur explore les causes profondes de la « décote coréenne » sous différents angles, notamment la méfiance envers le marché des capitaux, une gouvernance inefficace, une structure d'actifs axée sur l'immobilier et une gestion passive des fonds de pension.
Et l’alternative proposée est « Value Up 2.0 ».
Il ne s'agit pas d'augmenter le cours des actions, mais plutôt de créer une augmentation structurelle de la valeur de l'entreprise, c'est-à-dire une structure institutionnelle pour augmenter le ROE (rendement des capitaux propres) et réduire le COE (coût des capitaux propres).
Dans le contexte d'une ère marquée par l'IA, la crise climatique et la transition énergétique, l'ouvrage analyse le triple risque auquel est confronté le marché des capitaux coréen : l'électricité, le climat et la finance.
En analysant la structure de la dette de KEPCO, la rigidité des tarifs d'électricité, les goulets d'étranglement dans le domaine des énergies renouvelables et l'absence de financement climatique, ce rapport met en lumière le fait qu'« un pays qui maîtrise le climat est un pays qui maîtrise l'électricité ».
En outre, il présente un modèle coréen de « démocratie de marché » à travers la gestion du Service national des pensions, la transparence des informations ESG, le renforcement des droits des actionnaires et le développement des investissements responsables par les fonds de pension.
Le point commun à tout cela est une « société où la confiance devient capital ».
Alors que les investisseurs mondiaux commencent à s'intéresser au système de divulgation des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) de la Corée (KSSB), le prochain bond en avant de l'économie coréenne repose sur la confiance institutionnelle dans la transparence, l'équité et la cohérence.
« Next Value Up » est une « économie de la confiance » qui combine capital, climat et politique dans un langage unique, et constitue un manifeste pratique concevant le prochain cycle du marché des capitaux coréen.
● L’objectif d’atteindre KOSPI 5000 est possible ! Comment ? Comment ?
Pourquoi le marché boursier coréen est-il prisonnier de la sous-évaluation ? Cet ouvrage dépasse le simple débat sur le cours des actions et s’attaque de front aux limites structurelles de l’économie coréenne.
Le programme « KOSPI 5000 » de l'administration Lee Jae-myung n'est pas une ambition chiffrée, mais une déclaration visant à « corriger les structures ».
Au début des années 2020, alors que les capitaux étrangers fuyaient et que même les investisseurs nationaux se détournaient du marché, la bourse coréenne était un « invité indésirable » sur la scène mondiale.
Les sociétés de capital-risque se sont tournées vers le marché américain car elles n'étaient pas correctement valorisées, et les introductions en bourse, principale source de financement des entreprises, ont perdu en crédibilité.
Le dysfonctionnement du marché des capitaux a entraîné un fléchissement de la richesse nationale.
Une société où les pensions de retraite ne sont qu'au niveau des rendements des dépôts, et où la plupart des actifs sont investis dans l'immobilier.
La Corée est devenue un pays d'« argent dormant » plutôt que d'« argent actif ».
L'auteur propose une transformation des systèmes politiques, financiers et sociaux pour briser ce cercle vicieux.
La raison pour laquelle le gouvernement devrait cibler la « structure de gouvernance » plutôt que les cours boursiers réside dans le point de départ de la tentative d'étendre le devoir de loyauté des administrateurs envers les actionnaires par le biais de révisions de la loi commerciale et de transformer les pensions de retraite en « actifs d'investissement » plutôt qu'en « salaires différés ».
« Restaurer la confiance est plus important que la hausse de l’indice. » Ce n’est que lorsque les capitaux provenant de l’immobilier seront réorientés vers l’industrie, de la spéculation à court terme vers la création de valeur à long terme, et d’une gouvernance d’entreprise opaque vers des marchés de capitaux ouverts que le « KOSPI 5000 » deviendra une réalité.
Le risque lié à l'électricité en Corée : le risque appelé « KEPCO »
La compétition à l'ère de l'IA n'est plus une bataille de données.
C'est une guerre de pouvoir.
L'auteur examine les risques structurels auxquels est confrontée la Korea Electric Power Corporation (KEPCO) à l'intersection de l'IA, des semi-conducteurs et du réseau électrique. L'IA bouleversant le paradigme industriel, une nouvelle « économie politique du kilowatt » a émergé. Les centres de données dédiés à l'IA consomment d'énormes quantités d'énergie, et sans un réseau de transport d'électricité stable, la compétitivité nationale ne peut être maintenue.
Cependant, la Corée reste encore engluée dans le système de pouvoir centralisé de l'ère industrielle.
Les principaux obstacles à la transition énergétique, tels que la saturation du réseau, les freins à l'adoption des énergies renouvelables et les problèmes d'autorisation auprès des collectivités locales, sont concentrés chez KEPCO. Alors que le secteur de l'électricité connaît une véritable renaissance grâce à l'intelligence artificielle, KEPCO freine en réalité le changement.
La réalité de KEPCO reste engluée dans l'inertie du passé.
Le système de tarification de l'électricité est resté inchangé depuis 20 ans, et l'octroi des licences pour le réseau de transport est bloqué par un conflit entre les autorités locales et les résidents.
Si la Korea Electric Power Corporation ne parvient pas à la fois à la « marchandisation de l'électricité » et à « l'équilibre du secteur public », elle pourrait devenir le plus grand obstacle à l'avènement de l'ère de l'IA.
L'échec de la transition énergétique entraînera bientôt un effondrement de la compétitivité nationale.
Pour parvenir à une création de valeur durable, KEPCO doit se libérer de son ancien cadre et produire une « électricité plus intelligente », et non pas simplement « plus d'électricité ».
C’est un avertissement : il n’est jamais trop tard : « Si nous ne comprenons pas l’avenir de l’électricité, il n’y a pas d’avenir pour notre pays. »
●Parler du climat dans le langage de l'économie
2023 et 2024 ont été des années où la Terre a connu des températures record.
Moins de dix ans après l'Accord de Paris, la communauté internationale s'inquiète déjà de l'incapacité à atteindre l'objectif de 1,5 °C.
Cependant, la Corée n'arrive toujours pas à se détacher de sa structure énergétique centrée sur le charbon, et sa feuille de route vers la neutralité carbone perd de son efficacité.
Pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, la part de l'électricité dans l'énergie finale doit doubler ou tripler par rapport au niveau actuel, mais le taux d'électrification reste aux alentours de 20 %.
La transition dans les secteurs à forte consommation d'énergie tels que les transports, le chauffage et l'industrie est retardée, et les plans du gouvernement restent au stade de déclarations.
L'ouvrage identifie la rigidité de la politique énergétique coréenne et l'absence d'infrastructures d'énergies renouvelables comme des faiblesses de la réponse de la Corée au changement climatique.
Bien que le secteur de l'énergie soit responsable de 35 % des émissions totales de gaz à effet de serre, les réductions de la production d'électricité à partir du charbon par le secteur privé sont minimes et le développement des énergies renouvelables est lent.
L'ouvrage met également en lumière les changements intervenus dans l'ordre commercial international, tels que RE100 (Énergie renouvelable à 100 %) et le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (CBAM).
Des entreprises mondiales telles que Samsung Electronics et SK Hynix s'efforcent déjà de sécuriser leur approvisionnement en énergie renouvelable en concluant des accords d'achat d'électricité (AAE) à l'étranger, mais les barrières institutionnelles sur le marché intérieur de l'électricité restent élevées.
Face à la dure réalité du « pas d’électricité, pas d’exportations », la Corée se trouve au seuil d’un monde où le carbone deviendra bientôt une taxe.
Pour que la politique climatique de la Corée évolue véritablement vers une création de valeur ajoutée, elle doit repenser le secteur de l'électricité et réinventer l'ensemble du système énergétique.
La politique climatique ne doit pas être considérée simplement comme un programme environnemental, mais comme une stratégie économique fondamentale pour la compétitivité nationale.
La réforme du secteur de l'électricité est la réponse à la crise climatique, et c'est le seul moyen pour la Corée de surmonter « l'ère du carbone ».
ESG : Un nouveau principe actionnarial alliant profit et éthique
La sous-évaluation de l'économie coréenne est appelée « décote coréenne ».
L’auteur soutient que pour résoudre ce problème séculaire, nous devons créer « un marché où les actionnaires sont respectés et une structure de capital qui instaure la confiance ».
La clé réside dans le « renforcement des droits des actionnaires ».
Le capitalisme actionnarial est un modèle traditionnel qui maximise les profits des actionnaires, mais l'ESG est une « forme évoluée de gestion des risques » qui prend en compte à la fois la durabilité de l'entreprise et la responsabilité sociale.
Aujourd'hui, les investisseurs avisés commencent à considérer l'éthique et la durabilité comme faisant partie intégrante de la valeur d'une entreprise, et non plus seulement comme un gage de rentabilité financière.
Next Value Up définit l'ESG comme « une nouvelle philosophie actionnariale qui allie profit et éthique ».
En d'autres termes, les critères ESG ne représentent pas un coût, mais une gestion des risques, et constituent le langage de la création de valeur à long terme.
Dans le même esprit, les principaux fonds de pension mondiaux adoptent les Principes pour l'investissement responsable (PRI) et les entreprises renforcent la publication d'informations non financières.
L'auteur souligne également la généralisation de « l'investissement activiste » et des « codes de gouvernance ».
À mesure que les fonds de pension et les investisseurs institutionnels s'impliquent plus directement dans la gestion ESG de leurs sociétés en portefeuille, l'ère de « l'actionnariat actif » se lève sur le marché coréen.
En conséquence, les politiques de retour aux actionnaires telles que les rachats et annulations d'actions, ainsi que les augmentations de dividendes, connaissent une croissance explosive.
Dès le premier semestre 2025, l'ampleur des annulations d'actions propres a déjà dépassé le total de l'année précédente.
Il ne s'agit pas d'un simple événement de marché, mais d'un signal indiquant que le marché des capitaux coréen est entré dans une phase de confiance.
●Hosiwoobo du Service national des pensions
L’adoption par le Service national des pensions du Code de bonne conduite, ou « principes de responsabilité fiduciaire », en 2018, était une déclaration.
Dès lors, le Service national des pensions a commencé à se transformer d’un « fonds de pension qui détient des actions » en un « fonds de pension qui surveille la viabilité des entreprises ».
Bien que certains aient critiqué le système en le qualifiant de « socialisme des retraites », le Service national des pensions a développé son rôle d'observateur du marché en l'analysant avec la vigilance d'un tigre et la discrétion d'un bœuf.
La proportion d'actionnaires internes dans les entreprises coréennes est d'environ 40 %, et les actions propres ainsi que les actions détenues par des parties liées restent importantes.
Dans ce cadre, le Service national des pensions fonctionne comme « l’axe de la démocratie de marché », représentant un grand nombre d’actionnaires externes.
Désormais, un simple vote des membres du Service national des pensions n'est plus seulement un droit de vote, mais un signal qui détermine l'orientation du capital national.
Les activités de gestion du Service national des pensions se concrétisent d'année en année.
Des sujets susceptibles d'entraîner des changements concrets dans le comportement des entreprises, tels que l'augmentation des dividendes, l'ajustement des plafonds de rémunération des dirigeants, les risques de violation de la loi, la lutte contre le changement climatique, la sécurité industrielle et la limitation des investissements dans la sortie progressive du charbon, ont été inscrits à la « table de dialogue » du Service national des pensions.
Au-delà du simple exercice des droits de vote, ils sont devenus des « investisseurs responsables » qui gèrent les risques climatiques et la structure de gouvernance de l'entreprise.
L'auteur propose une orientation pour le Service national des pensions en le comparant au GPIF (Fonds d'investissement des pensions gouvernementales) du Japon.
De même que le Japon a été pionnier dans l'adoption du code de bonne gouvernance et a mené l'innovation en matière de gouvernance d'entreprise, le Service national des pensions de Corée doit désormais devenir un « chef de file de la réforme du marché », et non un simple « suiveur ».
Le Service national des pensions gère actuellement plus de 1 000 billions de wons d’actifs, dont 700 billions de wons d’actifs d’investissement responsable à eux seuls.
C’est cette force qui établira bientôt les normes éthiques du marché des capitaux coréen.
L’ère Trump 2.0 : Réaligner l’ESG
Alors que le monde s'oriente vers une transition écologique, l'Amérique, sous la présidence de Trump 2.0, est revenue à son « double pragmatisme » consistant à développer simultanément le pétrole, le schiste bitumineux et l'énergie solaire.
L'auteur analyse de près comment cette évolution engendre des fissures sur le marché mondial des critères ESG.
Le retour de Trump n'est pas simplement un événement politique.
Cela signifie « le retour du risque lié à la politique ».
Alors que le consensus mondial en faveur de la neutralité carbone et des critères ESG s'effrite, les multinationales et le capital mondial passent de l'« écoblanchiment » au « silence écologique », une stratégie de survie qui consiste à refuser de prendre en compte les critères ESG.
Cependant, cet ouvrage affirme qu'il ne s'agit pas d'un « recul de l'ESG » mais d'un « réalignement de l'ESG ».
La vitesse a diminué, mais la direction n'a pas changé.
La crise climatique et la transition énergétique sont désormais des tendances structurelles irréversibles de l'économie mondiale, et la finance durable demeure le langage commun du capital mondial.
Les plus grands gestionnaires d'actifs de Wall Street continuent de gérer des fonds ESG, et les banques centrales européennes intègrent le risque carbone dans leurs politiques monétaires.
Ce qui est intéressant, c'est la nouvelle interprétation du pragmatisme américain.
Au Texas, le pétrole et l'énergie solaire coexistent, et l'IA et les centres de données sont devenus les plus gros consommateurs d'énergie renouvelable.
Le paradoxe de l’ère Trump ne réside pas dans un « conservatisme qui ignore l’environnement », mais dans un « pragmatisme qui redirige l’énergie vers la politique ».
《Next Value Up》 conclut comme suit :
« Les critères ESG ne vont pas disparaître. »
« C’est simplement un compromis avec la réalité et une évolution vers un langage plus stratégique. » L’ère Trump 2.0 ne représente pas une régression en matière d’ESG, mais un test décisif qui vérifie la véritable durabilité.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 14 novembre 2025
- Nombre de pages, poids, dimensions : 256 pages | 143 × 221 × 20 mm
- ISBN13 : 9791157064861
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Langue coréenne
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