
Mur vieux de 80 ans
Description
Introduction au livre
Quand tu franchis le mur Les 20 plus belles années de votre vie vous attendent. Le secret d'une vieillesse heureuse : les conseils d'un psychiatre gériatre de renom Il existe une « bonne réponse » pour surmonter facilement les obstacles et prolonger votre espérance de vie ! De la part du plus grand expert en psychiatrie gériatrique Ce que vous devez savoir pour franchir sereinement le mur octogénaire Le « mur de 80 ans » est haut et solide, mais il existe une meilleure façon de le franchir. Cela signifie ne pas faire les choses que vous n'aimez pas et ne faire que celles que vous aimez. Contrairement à avant, la vie à partir de 80 ans est désormais bien différente, chaque choix ayant un impact direct sur la vie. Nous vous dévoilons la « bonne réponse » pour surmonter facilement les obstacles et prolonger votre espérance de vie ! ─ « Si vous avez plus de 80 ans, il vaut mieux ne pas faire de bilan de santé. » « Il vaut mieux ne pas se faire opérer d'un cancer. » « Vous pouvez manger tout ce que vous voulez. » « Vous pouvez aussi boire de l’alcool »… Ces affirmations, qui pourraient être accueillies avec des critiques comme étant absurdes, sont étonnamment formulées par un psychiatre gériatre et psychologue clinicien qui travaille dans le domaine de la psychiatrie gériatrique depuis plus de 30 ans et qui jouit de la plus haute autorité. En mai 2022, un livre publié au Japon, pays où l'espérance de vie est la plus élevée au monde, a fait sensation, atteignant la première place du classement des meilleures ventes d'Amazon. Ce livre, qui affirme que « si vous surmontez sagement la barrière des 80 ans, vous pouvez vivre les 20 années les plus heureuses de votre vie », s'est vendu à plus de 500 000 exemplaires en décembre 2022, créant une énorme sensation dans l'industrie de l'édition japonaise qui, comme la Corée, souffrait d'une récession. Ce livre, qui a changé la perception de la santé et du bonheur chez les personnes âgées, est devenu une lecture incontournable pour les lecteurs de plus de 80 ans, ainsi que pour ceux âgés de 40, 50 et 60 ans qui prennent soin de leurs parents âgés. Qu’est-ce qui a tant captivé les lecteurs dans ce livre ? |
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Aperçu
indice
Prologue _ Franchir le mur vieux de 80 ans
Chapitre 1 : Au-delà des murs des médecins, de la médecine et des hôpitaux
Si vous avez plus de 80 ans, vous n'avez pas besoin de bilan de santé.
Ne vous fiez pas aux médecins – ils n'ont pas une perspective « sanitaire ».
Le nombre de décès a diminué car les gens ne se sont pas rendus à l'hôpital.
Les personnes âgées meurent de fragilité à domicile ou en maison de retraite, et non à l'hôpital.
Non pas combattre la maladie, mais « vivre avec » – l’apprivoiser plutôt que de la combattre.
Trouvez un médecin de confiance en consultant plusieurs médecins avant de devenir un réfugié médical.
Autodétermination médicale - Choisir son propre mode de vie
Avec le coronavirus – Après 80 ans, il est préférable de choisir un médecin généraliste plutôt qu'un spécialiste dans un grand hôpital.
Choisir le bon médecin peut déterminer votre bonheur ou votre malheur durant votre vieillesse.
Évitez les médecins qui ne correspondent pas à vos besoins – trouvez votre propre «meilleur médecin».
Le problème des soins de longue durée : des soins intégrés sont nécessaires après 80 ans.
Ne prenez que la dose de médicament nécessaire – une surdose est un poison.
Il n'existe pas d'élixir de longévité - ne prenez des médicaments que lorsque vous êtes malade.
Aucun traitement préventif n'est nécessaire après l'apparition de la maladie.
Deviendrez-vous un vieillard apathique ou vivrez-vous une vie saine comme aujourd'hui ?
Si un cancer est diagnostiqué, privilégier la qualité de vie
Opérer ou non la tumeur – quelle option permettra de vivre plus longtemps ?
Le risque zéro n'existe pas ; il y a toujours une solution.
Les examens médicaux font peur, mais ils ne sont pas nécessaires après 80 ans.
Tension artérielle : Avoir une tension artérielle élevée à 80 ans, c’est normal.
Leçons tirées de la COVID-19 : Pourquoi les personnes âgées sont plus gravement malades
Le traitement du diabète accélère la maladie d'Alzheimer
La médecine est imparfaite – vivez votre vie avec conviction.
Chapitre 2 : Surmonter le mur du vieillissement
Soins gériatriques à l'hôpital Yokufukai : pourquoi j'en parle avec autant d'assurance
Comment vivre une vie sans regrets même si elle se termine demain : Brisez les trois « freins »
Ne vous privez pas de manger – mangez ce que vous voulez.
N'hésitez pas à aborder les sujets qui vous intéressent – soyez proactif.
Les hormones mâles sont source de santé – prenez soin de votre cerveau et de votre corps en faisant ce que vous aimez.
Stimule le lobe frontal du cerveau – faire ce que l'on veut rend le cerveau heureux et rajeuni.
N'ignorez pas vos désirs sexuels – la recherche de stimulation n'a rien à voir avec l'âge.
Le paradoxe de l'homme riche : il veut se remarier, mais il ne le permet pas.
Ne laissez pas d'argent à vos enfants – dépensez-le quand vous en avez.
Avec l'âge, nos émotions s'atténuent – non pas qu'elles déclinent, mais plutôt qu'elles s'enrichissent.
Vous pouvez consommer de l'alcool, mais avec modération.
Fumer n'est pas un problème – l'anxiété, en revanche, est nocive.
Les jeux d'argent doivent être pratiqués avec prudence – il existe un risque de devenir ingérable.
Les conducteurs plus âgés sont plus susceptibles d'éviter les tâches liées à la sécurité.
Exercice modéré - la marche est idéale
Dépression chez les personnes âgées : prévenez-la en bougeant votre corps et votre esprit.
Le sens de la vie ne se trouve pas en le cherchant, mais en l'appréciant.
Derniers préparatifs – vivre en paix jusqu’à la fin
Pour avoir l'esprit tranquille, il faut que les bonnes choses arrivent plus souvent que les mauvaises.
Ne pensez pas en termes de soustraction – penser en termes de différence est source de souffrance.
La solitude est agréable et confortable — on peut en profiter sans que personne ne s'en soucie.
Élargissez vos options plutôt que de changer d'avis
Chapitre 3 : Surmonter les obstacles liés à la démence et aux troubles cognitifs
Les idées fausses et les stéréotypes qui entourent les troubles cognitifs rendent tout le monde malheureux.
Le malheur naît de l'ignorance ; la sagesse de la vie demeure.
6 millions de personnes souffrent de troubles cognitifs – un large éventail de troubles
Même si votre mémoire vous fait défaut, vous pouvez toujours prendre des décisions – une des principales raisons pour lesquelles vous êtes facilement trompé.
Devrais-je prendre des décisions importantes tant que je suis encore sobre ?
Comment ralentir le déclin cognitif : utiliser son cerveau est plus efficace que les médicaments
Même en cas de démence, la mort reste une crainte : pourquoi les accidents sont étonnamment rares
Enfin, le moment final : vais-je rester endormi pour toujours, inconscient ?
Perte de motivation due à une réduction du lobe frontal ? Utilisez votre cerveau pour le stimuler.
Quand les troubles cognitifs s'aggravent, un visage souriant – la dernière chance de Dieu
La déficience cognitive n'est pas une fin en soi ; la sagesse et la force de vivre demeurent.
Chapitre 4 : Franchir le mur vieux de 80 ans
Est-il plus important de vivre longtemps ou de vivre pleinement le reste de sa vie ?
Conserver sa place n'est pas une fin en soi ; il est possible de faire quelque chose simplement en s'allongeant.
Acceptez le vieillissement et le déclin – faites face aux fonctions résiduelles.
Épilogue _ Franchir le mur du siècle
Chapitre 1 : Au-delà des murs des médecins, de la médecine et des hôpitaux
Si vous avez plus de 80 ans, vous n'avez pas besoin de bilan de santé.
Ne vous fiez pas aux médecins – ils n'ont pas une perspective « sanitaire ».
Le nombre de décès a diminué car les gens ne se sont pas rendus à l'hôpital.
Les personnes âgées meurent de fragilité à domicile ou en maison de retraite, et non à l'hôpital.
Non pas combattre la maladie, mais « vivre avec » – l’apprivoiser plutôt que de la combattre.
Trouvez un médecin de confiance en consultant plusieurs médecins avant de devenir un réfugié médical.
Autodétermination médicale - Choisir son propre mode de vie
Avec le coronavirus – Après 80 ans, il est préférable de choisir un médecin généraliste plutôt qu'un spécialiste dans un grand hôpital.
Choisir le bon médecin peut déterminer votre bonheur ou votre malheur durant votre vieillesse.
Évitez les médecins qui ne correspondent pas à vos besoins – trouvez votre propre «meilleur médecin».
Le problème des soins de longue durée : des soins intégrés sont nécessaires après 80 ans.
Ne prenez que la dose de médicament nécessaire – une surdose est un poison.
Il n'existe pas d'élixir de longévité - ne prenez des médicaments que lorsque vous êtes malade.
Aucun traitement préventif n'est nécessaire après l'apparition de la maladie.
Deviendrez-vous un vieillard apathique ou vivrez-vous une vie saine comme aujourd'hui ?
Si un cancer est diagnostiqué, privilégier la qualité de vie
Opérer ou non la tumeur – quelle option permettra de vivre plus longtemps ?
Le risque zéro n'existe pas ; il y a toujours une solution.
Les examens médicaux font peur, mais ils ne sont pas nécessaires après 80 ans.
Tension artérielle : Avoir une tension artérielle élevée à 80 ans, c’est normal.
Leçons tirées de la COVID-19 : Pourquoi les personnes âgées sont plus gravement malades
Le traitement du diabète accélère la maladie d'Alzheimer
La médecine est imparfaite – vivez votre vie avec conviction.
Chapitre 2 : Surmonter le mur du vieillissement
Soins gériatriques à l'hôpital Yokufukai : pourquoi j'en parle avec autant d'assurance
Comment vivre une vie sans regrets même si elle se termine demain : Brisez les trois « freins »
Ne vous privez pas de manger – mangez ce que vous voulez.
N'hésitez pas à aborder les sujets qui vous intéressent – soyez proactif.
Les hormones mâles sont source de santé – prenez soin de votre cerveau et de votre corps en faisant ce que vous aimez.
Stimule le lobe frontal du cerveau – faire ce que l'on veut rend le cerveau heureux et rajeuni.
N'ignorez pas vos désirs sexuels – la recherche de stimulation n'a rien à voir avec l'âge.
Le paradoxe de l'homme riche : il veut se remarier, mais il ne le permet pas.
Ne laissez pas d'argent à vos enfants – dépensez-le quand vous en avez.
Avec l'âge, nos émotions s'atténuent – non pas qu'elles déclinent, mais plutôt qu'elles s'enrichissent.
Vous pouvez consommer de l'alcool, mais avec modération.
Fumer n'est pas un problème – l'anxiété, en revanche, est nocive.
Les jeux d'argent doivent être pratiqués avec prudence – il existe un risque de devenir ingérable.
Les conducteurs plus âgés sont plus susceptibles d'éviter les tâches liées à la sécurité.
Exercice modéré - la marche est idéale
Dépression chez les personnes âgées : prévenez-la en bougeant votre corps et votre esprit.
Le sens de la vie ne se trouve pas en le cherchant, mais en l'appréciant.
Derniers préparatifs – vivre en paix jusqu’à la fin
Pour avoir l'esprit tranquille, il faut que les bonnes choses arrivent plus souvent que les mauvaises.
Ne pensez pas en termes de soustraction – penser en termes de différence est source de souffrance.
La solitude est agréable et confortable — on peut en profiter sans que personne ne s'en soucie.
Élargissez vos options plutôt que de changer d'avis
Chapitre 3 : Surmonter les obstacles liés à la démence et aux troubles cognitifs
Les idées fausses et les stéréotypes qui entourent les troubles cognitifs rendent tout le monde malheureux.
Le malheur naît de l'ignorance ; la sagesse de la vie demeure.
6 millions de personnes souffrent de troubles cognitifs – un large éventail de troubles
Même si votre mémoire vous fait défaut, vous pouvez toujours prendre des décisions – une des principales raisons pour lesquelles vous êtes facilement trompé.
Devrais-je prendre des décisions importantes tant que je suis encore sobre ?
Comment ralentir le déclin cognitif : utiliser son cerveau est plus efficace que les médicaments
Même en cas de démence, la mort reste une crainte : pourquoi les accidents sont étonnamment rares
Enfin, le moment final : vais-je rester endormi pour toujours, inconscient ?
Perte de motivation due à une réduction du lobe frontal ? Utilisez votre cerveau pour le stimuler.
Quand les troubles cognitifs s'aggravent, un visage souriant – la dernière chance de Dieu
La déficience cognitive n'est pas une fin en soi ; la sagesse et la force de vivre demeurent.
Chapitre 4 : Franchir le mur vieux de 80 ans
Est-il plus important de vivre longtemps ou de vivre pleinement le reste de sa vie ?
Conserver sa place n'est pas une fin en soi ; il est possible de faire quelque chose simplement en s'allongeant.
Acceptez le vieillissement et le déclin – faites face aux fonctions résiduelles.
Épilogue _ Franchir le mur du siècle
Image détaillée

Dans le livre
Après 80 ans, les choses sont complètement différentes de ce qu'elles étaient à 70 ans.
Nous sommes confrontés à d'innombrables situations où ce qui était possible hier ne l'est plus aujourd'hui.
On constate également une augmentation des cas de mauvaise condition physique.
Il est également facile de développer des maladies potentiellement mortelles telles que le cancer, l'infarctus cérébral, l'infarctus du myocarde et la pneumonie.
Il peut arriver que vous perdiez confiance en vous en vous demandant : « Est-ce de la démence ? »
Le décès d'un conjoint ou d'un proche peut engendrer un sentiment de solitude ou de désespoir.
Le grand mur de la naissance, du vieillissement, de la maladie et de la mort s'abat comme une vague déchaînée.
Ce livre propose diverses pistes pour surmonter l'immense obstacle qui se dresse devant nous, mais en fin de compte, tout se résume à une seule conclusion.
C'est une attitude face à la vie qui accepte le vieillissement et valorise ce que l'on peut faire maintenant.
C’est ce critère qui permet de distinguer une « vieillesse heureuse » d’une « vieillesse malheureuse ».
Le « bonheur » est subjectif.
Autrement dit, cela dépend de votre ressenti.
Par exemple, il y a des gens qui déplorent le vieillissement et passent leur vie à répéter : « Je ne peux plus faire ceci, je ne peux plus faire cela », et il y a des gens qui acceptent le vieillissement et vivent leur vie en chérissant : « Je peux encore faire ceci, je peux encore faire cela. »
Qui est le plus heureux ? Seul l'individu connaît la réponse, mais d'après mon expérience clinique, ceux qui adoptent une attitude de « j'ai, j'ai » semblent plus heureux et apprécient souvent de passer du temps avec leur famille et leurs amis.
---Extrait du « Prologue »
Si vous avez plus de 80 ans, vous n'avez pas besoin de bilan de santé.
Bien que je sois médecin, je suis quelque peu sceptique à l'égard de la médecine moderne.
J'expliquerai la raison en détail plus tard, mais en résumé, c'est parce que je pense que beaucoup de médecins « ne regardent que les chiffres et ne voient pas les patients ».
Un exemple typique est un bilan de santé.
(Omission) Étant donné que la plupart des entreprises effectuent des bilans de santé réguliers, la proportion d'hommes bénéficiant de ces bilans était par le passé nettement plus élevée.
Si les examens médicaux permettaient d'allonger l'espérance de vie, celle des hommes et des femmes se serait inversée ; or, au contraire, l'écart entre les deux sexes s'est creusé.
En conclusion, cela signifie que les bilans de santé n'ont pas été très utiles.
Bien sûr, les bilans de santé peuvent aussi contribuer à détecter un cancer à un stade précoce.
Le dépistage peut sauver la vie de certaines personnes (même si d'autres peuvent tomber malades).
Il est toutefois permis de douter que les « valeurs normales » qui servent de référence pour les bilans de santé soient véritablement « normales ».
Parce que ce qui est normal varie d'une personne à l'autre.
---Extrait du « Chapitre 1 : Au-delà des murs des médecins, de la médecine et des hôpitaux »
Je crois qu'après 80 ans, le chemin du bonheur consiste à accepter le vieillissement plutôt qu'à le combattre.
Comme nous l'avons évoqué précédemment, les autopsies de personnes décédées après l'âge de 85 ans révèlent souvent un cancer dans le corps, des lésions cérébrales de type Alzheimer et une artériosclérose des vaisseaux sanguins.
Cependant, nombreuses sont les personnes qui ignoraient ce fait de leur vivant.
Avec l'âge, nous ne pouvons faire autrement que de vivre avec plusieurs « germes de maladie » dans notre corps.
Il est impossible de savoir quand les germes de la maladie vont germer.
Même si vous êtes en bonne santé aujourd'hui, vous pouvez tomber malade demain.
Il y a aussi des cas de mort subite.
Cela peut paraître dur, mais c'est une réalité que nous devons accepter.
Le genre de vie que je vous recommande pour vos vieux jours est celui où vous acceptez la réalité telle qu'elle est et où vous passez votre temps de manière à n'avoir aucun regret, même si votre vie s'achève demain.
« Ne pas endurer ni en faire trop » est un moyen important de se créer des journées sans regrets.
---Extrait du « Chapitre 2 : Surmonter le mur du vieillissement »
On considère généralement qu'il est important de détecter précocement les troubles cognitifs.
Mais au niveau de la médecine moderne, il n'existe que des médicaments qui peuvent avoir un « léger effet ».
Autrement dit, même si elle est découverte tôt, la médecine ne peut rien y faire.
Mais comme je l'ai souligné précédemment, dès l'instant où l'on vous diagnostique une déficience cognitive, les gens autour de vous changent d'attitude ou prennent votre place.
Par conséquent, si vous en êtes au stade où les oublis commencent à peine, il est peut-être préférable de ne pas consulter de médecin.
L'enjeu n'est pas de diagnostiquer les troubles cognitifs, mais d'en ralentir la progression.
Alors, que faire ? Le moyen le plus efficace de ralentir la progression du déclin cognitif est de solliciter constamment son esprit et de bouger son corps.
---Extrait du « Chapitre 3 : Surmonter le mur de la démence et des troubles cognitifs »
Rien ne garantit qu'une personne qui marche sainement aujourd'hui en fera autant dans un an.
Cependant, si vous continuez à vivre sans marcher, vous ne pourrez plus jamais marcher.
La réalité effrayante pour les personnes âgées de plus de 80 ans est que si elles n'utilisent pas leurs capacités restantes, elles s'affaibliront rapidement.
Certaines personnes deviennent rapidement fragiles vers l'âge de 82 ou 83 ans, et il s'agit généralement de personnes qui ont cessé de travailler beaucoup vers l'âge de 80 ans.
Alors que certaines personnes sont contraintes de quitter leur emploi pour cause de maladie ou de blessure, beaucoup sont bloquées chez elles sans raison apparente.
Vous renoncez à ce que vous pouvez encore faire et vous devenez incapable de tout faire.
Quel dommage !
À partir de maintenant, je présenterai 44 « conseils pour quitter les fonctions résiduelles ».
Vous n'êtes pas obligé de tout pratiquer.
Si vous avez ne serait-ce qu'une ou deux choses en tête, alors essayez-les.
Nous sommes confrontés à d'innombrables situations où ce qui était possible hier ne l'est plus aujourd'hui.
On constate également une augmentation des cas de mauvaise condition physique.
Il est également facile de développer des maladies potentiellement mortelles telles que le cancer, l'infarctus cérébral, l'infarctus du myocarde et la pneumonie.
Il peut arriver que vous perdiez confiance en vous en vous demandant : « Est-ce de la démence ? »
Le décès d'un conjoint ou d'un proche peut engendrer un sentiment de solitude ou de désespoir.
Le grand mur de la naissance, du vieillissement, de la maladie et de la mort s'abat comme une vague déchaînée.
Ce livre propose diverses pistes pour surmonter l'immense obstacle qui se dresse devant nous, mais en fin de compte, tout se résume à une seule conclusion.
C'est une attitude face à la vie qui accepte le vieillissement et valorise ce que l'on peut faire maintenant.
C’est ce critère qui permet de distinguer une « vieillesse heureuse » d’une « vieillesse malheureuse ».
Le « bonheur » est subjectif.
Autrement dit, cela dépend de votre ressenti.
Par exemple, il y a des gens qui déplorent le vieillissement et passent leur vie à répéter : « Je ne peux plus faire ceci, je ne peux plus faire cela », et il y a des gens qui acceptent le vieillissement et vivent leur vie en chérissant : « Je peux encore faire ceci, je peux encore faire cela. »
Qui est le plus heureux ? Seul l'individu connaît la réponse, mais d'après mon expérience clinique, ceux qui adoptent une attitude de « j'ai, j'ai » semblent plus heureux et apprécient souvent de passer du temps avec leur famille et leurs amis.
---Extrait du « Prologue »
Si vous avez plus de 80 ans, vous n'avez pas besoin de bilan de santé.
Bien que je sois médecin, je suis quelque peu sceptique à l'égard de la médecine moderne.
J'expliquerai la raison en détail plus tard, mais en résumé, c'est parce que je pense que beaucoup de médecins « ne regardent que les chiffres et ne voient pas les patients ».
Un exemple typique est un bilan de santé.
(Omission) Étant donné que la plupart des entreprises effectuent des bilans de santé réguliers, la proportion d'hommes bénéficiant de ces bilans était par le passé nettement plus élevée.
Si les examens médicaux permettaient d'allonger l'espérance de vie, celle des hommes et des femmes se serait inversée ; or, au contraire, l'écart entre les deux sexes s'est creusé.
En conclusion, cela signifie que les bilans de santé n'ont pas été très utiles.
Bien sûr, les bilans de santé peuvent aussi contribuer à détecter un cancer à un stade précoce.
Le dépistage peut sauver la vie de certaines personnes (même si d'autres peuvent tomber malades).
Il est toutefois permis de douter que les « valeurs normales » qui servent de référence pour les bilans de santé soient véritablement « normales ».
Parce que ce qui est normal varie d'une personne à l'autre.
---Extrait du « Chapitre 1 : Au-delà des murs des médecins, de la médecine et des hôpitaux »
Je crois qu'après 80 ans, le chemin du bonheur consiste à accepter le vieillissement plutôt qu'à le combattre.
Comme nous l'avons évoqué précédemment, les autopsies de personnes décédées après l'âge de 85 ans révèlent souvent un cancer dans le corps, des lésions cérébrales de type Alzheimer et une artériosclérose des vaisseaux sanguins.
Cependant, nombreuses sont les personnes qui ignoraient ce fait de leur vivant.
Avec l'âge, nous ne pouvons faire autrement que de vivre avec plusieurs « germes de maladie » dans notre corps.
Il est impossible de savoir quand les germes de la maladie vont germer.
Même si vous êtes en bonne santé aujourd'hui, vous pouvez tomber malade demain.
Il y a aussi des cas de mort subite.
Cela peut paraître dur, mais c'est une réalité que nous devons accepter.
Le genre de vie que je vous recommande pour vos vieux jours est celui où vous acceptez la réalité telle qu'elle est et où vous passez votre temps de manière à n'avoir aucun regret, même si votre vie s'achève demain.
« Ne pas endurer ni en faire trop » est un moyen important de se créer des journées sans regrets.
---Extrait du « Chapitre 2 : Surmonter le mur du vieillissement »
On considère généralement qu'il est important de détecter précocement les troubles cognitifs.
Mais au niveau de la médecine moderne, il n'existe que des médicaments qui peuvent avoir un « léger effet ».
Autrement dit, même si elle est découverte tôt, la médecine ne peut rien y faire.
Mais comme je l'ai souligné précédemment, dès l'instant où l'on vous diagnostique une déficience cognitive, les gens autour de vous changent d'attitude ou prennent votre place.
Par conséquent, si vous en êtes au stade où les oublis commencent à peine, il est peut-être préférable de ne pas consulter de médecin.
L'enjeu n'est pas de diagnostiquer les troubles cognitifs, mais d'en ralentir la progression.
Alors, que faire ? Le moyen le plus efficace de ralentir la progression du déclin cognitif est de solliciter constamment son esprit et de bouger son corps.
---Extrait du « Chapitre 3 : Surmonter le mur de la démence et des troubles cognitifs »
Rien ne garantit qu'une personne qui marche sainement aujourd'hui en fera autant dans un an.
Cependant, si vous continuez à vivre sans marcher, vous ne pourrez plus jamais marcher.
La réalité effrayante pour les personnes âgées de plus de 80 ans est que si elles n'utilisent pas leurs capacités restantes, elles s'affaibliront rapidement.
Certaines personnes deviennent rapidement fragiles vers l'âge de 82 ou 83 ans, et il s'agit généralement de personnes qui ont cessé de travailler beaucoup vers l'âge de 80 ans.
Alors que certaines personnes sont contraintes de quitter leur emploi pour cause de maladie ou de blessure, beaucoup sont bloquées chez elles sans raison apparente.
Vous renoncez à ce que vous pouvez encore faire et vous devenez incapable de tout faire.
Quel dommage !
À partir de maintenant, je présenterai 44 « conseils pour quitter les fonctions résiduelles ».
Vous n'êtes pas obligé de tout pratiquer.
Si vous avez ne serait-ce qu'une ou deux choses en tête, alors essayez-les.
---Extrait du « Chapitre 4 : Franchir le mur vieux de 80 ans »
Avis de l'éditeur
Des choses qui ne veulent plus rien dire à 80 ans
L'argument de l'auteur dans son nouveau livre, « Le mur de 80 ans », est simple mais clair.
L'obsession de « vivre longtemps et en bonne santé » fait en réalité surgir le mur des 80 ans.
L'obsession et la cupidité excessives exercent une pression sur soi-même et conduisent à une autodiscipline déraisonnable, ce qui finit par créer une vie ni heureuse ni saine.
À titre d'exemple, l'auteur parle du « cancer », une maladie qui fait peur à beaucoup de gens.
« Toute personne de plus de 80 ans a un cancer dans son corps. »
Nombreuses sont les personnes qui vivent sans le savoir.
L'hôpital Yokufukai, où j'ai longtemps travaillé, est un hôpital spécialisé en gériatrie, et chaque année, les restes d'une centaine de personnes y sont disséqués et étudiés.
Par conséquent, nous avons appris qu'il existe de nombreux cas où des personnes sont décédées d'autres maladies sans savoir qu'elles étaient atteintes de maladies graves.
En résumé, cela signifie qu'il existe des maladies dont on ne prend conscience qu'à la toute fin.
Le cancer en est un.
Les autopsies pratiquées sur des personnes de plus de 85 ans révèlent un cancer chez la quasi-totalité d'entre elles.
Autrement dit, toute personne de plus de 80 ans a un cancer dans son corps.
Beaucoup de gens ont peur du cancer et tentent désespérément de l'éviter, mais il est préférable de l'accepter comme un phénomène naturel lié à l'âge.
L'auteur avance ensuite une affirmation révolutionnaire selon laquelle les actions suivantes sont en train de lever la barrière vieille de 80 ans :
En fait, j'ai envie d'en manger, mais je me retiens parce que c'est mauvais pour ma santé.
· Il est difficile de bouger, mais vous faites de l'exercice pour votre santé.
Évitez les cigarettes et l'alcool, même si vous les appréciez, car ils sont nocifs pour votre santé.
Il y a des choses que j'aimerais faire, mais je me retiens en me disant : « À cet âge-là. »
· Même s’ils n’en ressentent aucun effet, ils continuent à prendre le médicament dans l’espoir de « vivre plus longtemps ».
Ce sont des choses que les gens font dans le but de vivre longtemps et en bonne santé, et pour les personnes de plus de 80 ans, il n'y a pas besoin de s'en abstenir ni d'en faire trop.
L'auteur soutient que l'expression « vivre jusqu'à 100 ans » relève en réalité la barre des 80 ans, et que puisque nous avons vécu avec diligence jusqu'à présent, nous devrions agir pour notre propre plaisir à partir de 80 ans.
L'auteur a averti que de nombreuses choses que la plupart des gens considèrent comme relevant du « bon sens » et qu'ils pratiquent peuvent en réalité être sans rapport avec la « longévité », voire même lui être préjudiciables, et les personnes âgées au Japon, pays où l'espérance de vie est la plus élevée au monde, ont réagi vivement.
* Numéro 1 des ventes sur Amazon immédiatement après sa publication !
* Les ventes cumulées dépassent les 500 000 exemplaires ! (Au 10 décembre 2022)
* Le film qui a fait le plus parler de lui en 2022 et qui a changé notre perception de la vie à un âge avancé !
Comment franchir le cap des 80 ans et profiter des 20 années les plus heureuses de sa vie
Un autre atout du nouveau livre, « Le mur de 80 ans », est qu'il ne se contente pas de briser les idées reçues et les préjugés sur la « méthode pour une longue vie heureuse », mais présente des moyens concrets et pratiques de surmonter ce mur.
L'auteur distingue trois obstacles auxquels se heurtent les personnes approchant l'âge de 80 ans : « l'obstacle des médecins, des médicaments et des hôpitaux », « l'obstacle du vieillissement » et « l'obstacle de la démence et des troubles cognitifs », qu'il illustre par divers exemples. Enfin, dans le dernier chapitre (le 4), il propose « 44 conseils pour préserver ses capacités résiduelles ».
L'auteur a tiré cette leçon de ses nombreuses rencontres avec des retraités heureux. En fin de compte, accepter de vieillir est une façon de préserver et de prolonger ses capacités.
9 ans pour les hommes, 12 ans pour les femmes.
La durée moyenne pendant laquelle une personne âgée est alitée en raison d'une maladie ou d'une déficience cognitive, ou vit sous la tutelle d'une autre personne.
C'est quelque chose que personne ne souhaite, mais c'est quelque chose qui se produira inévitablement un jour.
Mais le secret d'une vieillesse belle et heureuse réside dans l'acceptation du vieillissement et le fait de chérir ce que l'on peut encore faire.
J'espère que ce livre aidera chacun à franchir plus facilement et avec plus de joie ce mur vieux de 80 ans.
L'argument de l'auteur dans son nouveau livre, « Le mur de 80 ans », est simple mais clair.
L'obsession de « vivre longtemps et en bonne santé » fait en réalité surgir le mur des 80 ans.
L'obsession et la cupidité excessives exercent une pression sur soi-même et conduisent à une autodiscipline déraisonnable, ce qui finit par créer une vie ni heureuse ni saine.
À titre d'exemple, l'auteur parle du « cancer », une maladie qui fait peur à beaucoup de gens.
« Toute personne de plus de 80 ans a un cancer dans son corps. »
Nombreuses sont les personnes qui vivent sans le savoir.
L'hôpital Yokufukai, où j'ai longtemps travaillé, est un hôpital spécialisé en gériatrie, et chaque année, les restes d'une centaine de personnes y sont disséqués et étudiés.
Par conséquent, nous avons appris qu'il existe de nombreux cas où des personnes sont décédées d'autres maladies sans savoir qu'elles étaient atteintes de maladies graves.
En résumé, cela signifie qu'il existe des maladies dont on ne prend conscience qu'à la toute fin.
Le cancer en est un.
Les autopsies pratiquées sur des personnes de plus de 85 ans révèlent un cancer chez la quasi-totalité d'entre elles.
Autrement dit, toute personne de plus de 80 ans a un cancer dans son corps.
Beaucoup de gens ont peur du cancer et tentent désespérément de l'éviter, mais il est préférable de l'accepter comme un phénomène naturel lié à l'âge.
L'auteur avance ensuite une affirmation révolutionnaire selon laquelle les actions suivantes sont en train de lever la barrière vieille de 80 ans :
En fait, j'ai envie d'en manger, mais je me retiens parce que c'est mauvais pour ma santé.
· Il est difficile de bouger, mais vous faites de l'exercice pour votre santé.
Évitez les cigarettes et l'alcool, même si vous les appréciez, car ils sont nocifs pour votre santé.
Il y a des choses que j'aimerais faire, mais je me retiens en me disant : « À cet âge-là. »
· Même s’ils n’en ressentent aucun effet, ils continuent à prendre le médicament dans l’espoir de « vivre plus longtemps ».
Ce sont des choses que les gens font dans le but de vivre longtemps et en bonne santé, et pour les personnes de plus de 80 ans, il n'y a pas besoin de s'en abstenir ni d'en faire trop.
L'auteur soutient que l'expression « vivre jusqu'à 100 ans » relève en réalité la barre des 80 ans, et que puisque nous avons vécu avec diligence jusqu'à présent, nous devrions agir pour notre propre plaisir à partir de 80 ans.
L'auteur a averti que de nombreuses choses que la plupart des gens considèrent comme relevant du « bon sens » et qu'ils pratiquent peuvent en réalité être sans rapport avec la « longévité », voire même lui être préjudiciables, et les personnes âgées au Japon, pays où l'espérance de vie est la plus élevée au monde, ont réagi vivement.
* Numéro 1 des ventes sur Amazon immédiatement après sa publication !
* Les ventes cumulées dépassent les 500 000 exemplaires ! (Au 10 décembre 2022)
* Le film qui a fait le plus parler de lui en 2022 et qui a changé notre perception de la vie à un âge avancé !
Comment franchir le cap des 80 ans et profiter des 20 années les plus heureuses de sa vie
Un autre atout du nouveau livre, « Le mur de 80 ans », est qu'il ne se contente pas de briser les idées reçues et les préjugés sur la « méthode pour une longue vie heureuse », mais présente des moyens concrets et pratiques de surmonter ce mur.
L'auteur distingue trois obstacles auxquels se heurtent les personnes approchant l'âge de 80 ans : « l'obstacle des médecins, des médicaments et des hôpitaux », « l'obstacle du vieillissement » et « l'obstacle de la démence et des troubles cognitifs », qu'il illustre par divers exemples. Enfin, dans le dernier chapitre (le 4), il propose « 44 conseils pour préserver ses capacités résiduelles ».
L'auteur a tiré cette leçon de ses nombreuses rencontres avec des retraités heureux. En fin de compte, accepter de vieillir est une façon de préserver et de prolonger ses capacités.
9 ans pour les hommes, 12 ans pour les femmes.
La durée moyenne pendant laquelle une personne âgée est alitée en raison d'une maladie ou d'une déficience cognitive, ou vit sous la tutelle d'une autre personne.
C'est quelque chose que personne ne souhaite, mais c'est quelque chose qui se produira inévitablement un jour.
Mais le secret d'une vieillesse belle et heureuse réside dans l'acceptation du vieillissement et le fait de chérir ce que l'on peut encore faire.
J'espère que ce livre aidera chacun à franchir plus facilement et avec plus de joie ce mur vieux de 80 ans.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 21 décembre 2022
Nombre de pages, poids, dimensions : 224 pages | 320 g | 135 × 195 × 14 mm
- ISBN13 : 9791160078671
- ISBN10 : 116007867X
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Langue coréenne
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