
Le paysage qu'Anne aux pignons verts adorait
Description
Introduction au livre
L.
L'île qui a inspiré M. Montgomery et Anne Shirley,
Une destination de voyage que vous souhaitez visiter au moins une fois dans votre vie.
« Oh, cette île est l'endroit le plus fleuri au monde ! J'ai souvent entendu dire que l'Île-du-Prince-Édouard était le plus bel endroit au monde, alors j'imaginais y vivre, mais je n'aurais jamais rêvé d'y vivre réellement. »
« C’est merveilleux quand l’imagination devient réalité, n’est-ce pas ? » – Anne aux pignons verts
L., auteure d'Anne aux pignons verts
L'Île-du-Prince-Édouard, berceau de Mary Montgomery et d'Anne de Green Gables, roman qui a captivé les lecteurs du Canada et du monde entier ! Ce livre explore le passé et le présent de l'Île-du-Prince-Édouard, en s'intéressant à L.
M. Montgomery et Anne nous emmènent dans un lieu de souvenirs où ils rêvaient et jouaient à leur guise.
Et cela montre comment ce paysage a pris une nouvelle vie sous la plume de Montgomery.
Plongeons-nous dans les vies étonnamment similaires de Montgomery et Anne, passionnés par la nature et qui utilisaient leur imagination sans bornes pour surmonter les dures réalités de la vie.
Vous comprendrez plus profondément l'auteur et son œuvre, et vous l'aimerez encore davantage.
L'île qui a inspiré M. Montgomery et Anne Shirley,
Une destination de voyage que vous souhaitez visiter au moins une fois dans votre vie.
« Oh, cette île est l'endroit le plus fleuri au monde ! J'ai souvent entendu dire que l'Île-du-Prince-Édouard était le plus bel endroit au monde, alors j'imaginais y vivre, mais je n'aurais jamais rêvé d'y vivre réellement. »
« C’est merveilleux quand l’imagination devient réalité, n’est-ce pas ? » – Anne aux pignons verts
L., auteure d'Anne aux pignons verts
L'Île-du-Prince-Édouard, berceau de Mary Montgomery et d'Anne de Green Gables, roman qui a captivé les lecteurs du Canada et du monde entier ! Ce livre explore le passé et le présent de l'Île-du-Prince-Édouard, en s'intéressant à L.
M. Montgomery et Anne nous emmènent dans un lieu de souvenirs où ils rêvaient et jouaient à leur guise.
Et cela montre comment ce paysage a pris une nouvelle vie sous la plume de Montgomery.
Plongeons-nous dans les vies étonnamment similaires de Montgomery et Anne, passionnés par la nature et qui utilisaient leur imagination sans bornes pour surmonter les dures réalités de la vie.
Vous comprendrez plus profondément l'auteur et son œuvre, et vous l'aimerez encore davantage.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
1.
L'endroit le plus fleuri du monde_Introduction
2.
Les orphelines qui se ressemblent : la vie de Maud Montgomery et Anne Shirley
3.
L'endroit le plus charmant au monde : l'Île-du-Prince-Édouard, hier et aujourd'hui
4.
Quelque chose de plus poétique : l’imagination de Maud et Anne
5.
Paravent Émeraude_ Le jardin aimé de Maud et Anne
6.
Un monde avec octobre_Les quatre saisons de l'Île-du-Prince-Édouard
7.
La Grande Forêt Sacrée : La Vie de l'Auteur
Remerciements
Note du traducteur
Où trouver des informations
Source de la citation
Photo et illustration fournies
L'endroit le plus fleuri du monde_Introduction
2.
Les orphelines qui se ressemblent : la vie de Maud Montgomery et Anne Shirley
3.
L'endroit le plus charmant au monde : l'Île-du-Prince-Édouard, hier et aujourd'hui
4.
Quelque chose de plus poétique : l’imagination de Maud et Anne
5.
Paravent Émeraude_ Le jardin aimé de Maud et Anne
6.
Un monde avec octobre_Les quatre saisons de l'Île-du-Prince-Édouard
7.
La Grande Forêt Sacrée : La Vie de l'Auteur
Remerciements
Note du traducteur
Où trouver des informations
Source de la citation
Photo et illustration fournies
Image détaillée

Dans le livre
« Quand on me demande si Anne a réellement existé, je réponds toujours non, mais à chaque fois, j’éprouve un malaise, comme si je mentais, et j’hésite souvent à répondre, consciemment ou non. »
Dès le premier instant où j'ai créé Anne, elle m'a toujours paru réelle, alors dire qu'Anne n'existe que dans le domaine de l'imagination me semble être une atteinte à son existence.
Anne semble être une personne bien réelle.
Bien que je n'aie pas encore rencontré Anne, je pense que je la rencontrerai un jour.
Peut-être qu'au crépuscule, en flânant sur un chemin d'amoureux, ou sur une allée de bouleaux éclairée par la lune, ou peut-être que lorsque je lèverai soudain les yeux, je trouverai Anne à mes côtés, qu'elle soit une jeune fille ou une dame.
Quand ce moment arrivera, je ne serai pas du tout surpris.
« Parce que j’ai toujours cru qu’Anne était vivante “quelque part”. »
Pour les lecteurs d'Anne aux pignons verts, le « quelque part » le plus significatif se trouve à Montgomery.
Maud Montgomery, tout comme Anne Shirley, accordait une grande importance à l'imagination.
Comme Anne, elle aussi soulignait la beauté du monde, la percevant constamment tout en souhaitant créer un monde plus beau.
Le point commun le plus important entre ces deux personnages est peut-être qu'ils trouvent tous deux un profond réconfort et un nourrissage spirituel dans la nature.
Des fermes et des forêts aux fleurs et aux champs, en passant par l'histoire et les habitants du village, la profonde affection de Montgomery et Anne pour l'Île-du-Prince-Édouard a gravé le paysage de l'île dans le cœur des lecteurs.
--- p.29~30
Pour Montgomery et Anne, la nature était une source de beauté et d'émerveillement, et un espace spirituel.
Anne répond à Marilla, qui lui dit de prier tous les soirs :
« Quand j’ai vraiment envie de prier, je vais me promener seul dans un grand champ ouvert ou dans une forêt profonde et très profonde et je lève les yeux vers le ciel. »
Je lèverai les yeux vers l'immensité bleue du ciel, ce magnifique ciel bleu qui s'étend au-dessus de moi.
Alors vous pourrez simplement ressentir la prière. Montgomery a fait écho à ce sentiment dans son journal.
« J’ai une autre scène idéale du dimanche dont je rêve. »
Cependant, je suis trop timide pour concrétiser ce souhait et je me laisse simplement porter par le courant des conventions.
… … Le dimanche matin, j’ai envie d’échapper à ma routine quotidienne et de me plonger au cœur de la forêt.
Je veux m'asseoir seule dans un bosquet de fougères, passer du temps avec seulement les arbres et le vent qui résonne comme un hymne le long du sentier forestier sombre et moussu.
« Je peux rester seule dans la forêt pendant des heures si la nature et mon âme sont en harmonie. »
--- p.52~55
L'imagination de Maud et Anne entraînait souvent des conséquences imprévues, mais le plus souvent, elle sauvait les filles de la banalité et des déceptions du quotidien.
Lorsque mon imagination s'emballait, j'étais capable de penser positivement même dans des situations négatives.
Un jour, alors que tous les adultes sont sortis de la maison, la jeune sœur de Diana, Minnie May, commence à avoir des difficultés à respirer à cause d'une grave laryngite ; Diana court alors jusqu'à Green Gables pour demander de l'aide.
Matthew se dépêche de faire monter le médecin dans une calèche, tandis qu'Anne et Diana courent vers Minnie May.
Anne était sincèrement inquiète pour Mini May, mais en même temps, elle était brièvement grisée par le romantisme du moment.
Montgomery a décrit cette situation en des phrases très éloquentes.
« L’air nocturne était très clair et froid. »
Au sol, il n'y avait que des ombres d'un noir d'ébène et des collines argentées couvertes de neige, et au-dessus des champs silencieux, les étoiles brillaient de mille feux.
… … Quel plaisir de courir à travers ce paysage mystérieux et magnifique avec une amie proche dont je me suis éloignée pendant si longtemps.
--- p.121~122
L'hiver, ma grand-mère ne chauffait pas l'étage, si bien que chaque année, de l'automne au printemps, toute la famille devait vivre en bas.
Lorsque le printemps arriva enfin et que le temps commença à se réchauffer, Montgomery put regagner sa chambre à l'étage.
Les saisons avaient un effet si direct et si intense sur les émotions de Montgomery qu'elle oscillait souvent « entre bonheur et malheur » au gré des saisons.
Les douces journées de printemps étaient une période heureuse pour Montgomery, car elle pouvait aller dans le jardin et passer du temps dans sa chambre à l'étage.
« Quand je n’étais pas au jardin, je passais le plus clair de mon temps dans ma chambre, à l’étage. » Montgomery se frayait lentement un chemin vers la célébrité grâce à ses activités créatives et complémentaires que sont le jardinage et l’écriture.
« Oh, comme j’étais heureuse cet été grâce au jardin ! J’étais complètement absorbée par les fleurs. »
Des dizaines de roses étaient en pleine floraison, si magnifiques.
Quelle bande de joyeux lurons ! Cette année, pour la toute première fois, mes rosiers ont doublé de volume et ont explosé de fleurs, débordant de la douceur qu'ils accumulaient depuis trois ans.
J'ai un vase rempli de roses sur la table devant moi.
Derrière, des vases sont remplis de ravissants pois de senteur, de pavots jaunes et de lotus parfumés qui évoquent le souffle des flammes.
Ah, quelle main sage de Dieu qui a insufflé la vie au jardin !
--- p.161~162
Encouragé par ce paiement, Montgomery intensifia son écriture et ses soumissions.
Après avoir terminé ses études au Halifax Women's College, elle a passé deux ans à enseigner aux enfants de l'école, tout en écrivant des dizaines de romans, dont la plupart ont paru dans des publications d'école du dimanche ou des périodiques pour enfants.
Montgomery a inclus dans son autobiographie un journal intime qu'il a tenu durant cette période.
« J’ai écrit assidûment tout l’été. »
Même par une telle chaleur, j'avais peur que mes os ne fondent et que mon cerveau ne s'épuise à force de travailler dur à l'écriture de romans et de poèmes.
Mais j'adore mon travail ! J'aime tisser des histoires, m'asseoir près de ma fenêtre, déployer mes ailes et transformer mes rêveries envolées en poésie.
Les premières années de Montgomery, consacrées à l'écriture, l'ont non seulement conduite vers les paysages et la littérature sur lesquels elle s'appuierait tout au long de sa vie, mais ont également nourri en elle la volonté et la discipline nécessaires pour écrire même dans des circonstances difficiles et indépendantes de sa volonté.
--- p.239
Au printemps suivant, l'écriture trouvée près du corps de Montgomery, décédée d'une overdose, devint la dernière page de son journal intime.
« Je deviens fou, comme si j’étais sous un sort. »
Je ne vois pas ce qu'il faudrait faire pour briser ce sort.
J'espère que Dieu me pardonnera, et j'espère que tous les autres me pardonneront, même s'ils ne me comprennent pas.
Je suis tellement fatiguée que je n'en peux plus, mais personne ne le sait.
« J’ai fait beaucoup d’erreurs, mais j’ai vécu pleinement ma vie, et je n’arrive pas à croire qu’elle se termine ainsi. » – Lucy Maud Montgomery : Le Don des Ailes, une biographie de Montgomery par Mary Henry Rubio
« L’ascension n’a pas été facile », écrit Montgomery dans le dernier chapitre de son autobiographie, « mais même dans les moments les plus difficiles, il y avait une joie et une passion que seuls ceux qui aspirent aux sommets peuvent ressentir. »
Mais je n'ai jamais retrouvé ce sentiment d'accomplissement que j'avais ressenti à cette époque.
Dès le premier instant où j'ai créé Anne, elle m'a toujours paru réelle, alors dire qu'Anne n'existe que dans le domaine de l'imagination me semble être une atteinte à son existence.
Anne semble être une personne bien réelle.
Bien que je n'aie pas encore rencontré Anne, je pense que je la rencontrerai un jour.
Peut-être qu'au crépuscule, en flânant sur un chemin d'amoureux, ou sur une allée de bouleaux éclairée par la lune, ou peut-être que lorsque je lèverai soudain les yeux, je trouverai Anne à mes côtés, qu'elle soit une jeune fille ou une dame.
Quand ce moment arrivera, je ne serai pas du tout surpris.
« Parce que j’ai toujours cru qu’Anne était vivante “quelque part”. »
Pour les lecteurs d'Anne aux pignons verts, le « quelque part » le plus significatif se trouve à Montgomery.
Maud Montgomery, tout comme Anne Shirley, accordait une grande importance à l'imagination.
Comme Anne, elle aussi soulignait la beauté du monde, la percevant constamment tout en souhaitant créer un monde plus beau.
Le point commun le plus important entre ces deux personnages est peut-être qu'ils trouvent tous deux un profond réconfort et un nourrissage spirituel dans la nature.
Des fermes et des forêts aux fleurs et aux champs, en passant par l'histoire et les habitants du village, la profonde affection de Montgomery et Anne pour l'Île-du-Prince-Édouard a gravé le paysage de l'île dans le cœur des lecteurs.
--- p.29~30
Pour Montgomery et Anne, la nature était une source de beauté et d'émerveillement, et un espace spirituel.
Anne répond à Marilla, qui lui dit de prier tous les soirs :
« Quand j’ai vraiment envie de prier, je vais me promener seul dans un grand champ ouvert ou dans une forêt profonde et très profonde et je lève les yeux vers le ciel. »
Je lèverai les yeux vers l'immensité bleue du ciel, ce magnifique ciel bleu qui s'étend au-dessus de moi.
Alors vous pourrez simplement ressentir la prière. Montgomery a fait écho à ce sentiment dans son journal.
« J’ai une autre scène idéale du dimanche dont je rêve. »
Cependant, je suis trop timide pour concrétiser ce souhait et je me laisse simplement porter par le courant des conventions.
… … Le dimanche matin, j’ai envie d’échapper à ma routine quotidienne et de me plonger au cœur de la forêt.
Je veux m'asseoir seule dans un bosquet de fougères, passer du temps avec seulement les arbres et le vent qui résonne comme un hymne le long du sentier forestier sombre et moussu.
« Je peux rester seule dans la forêt pendant des heures si la nature et mon âme sont en harmonie. »
--- p.52~55
L'imagination de Maud et Anne entraînait souvent des conséquences imprévues, mais le plus souvent, elle sauvait les filles de la banalité et des déceptions du quotidien.
Lorsque mon imagination s'emballait, j'étais capable de penser positivement même dans des situations négatives.
Un jour, alors que tous les adultes sont sortis de la maison, la jeune sœur de Diana, Minnie May, commence à avoir des difficultés à respirer à cause d'une grave laryngite ; Diana court alors jusqu'à Green Gables pour demander de l'aide.
Matthew se dépêche de faire monter le médecin dans une calèche, tandis qu'Anne et Diana courent vers Minnie May.
Anne était sincèrement inquiète pour Mini May, mais en même temps, elle était brièvement grisée par le romantisme du moment.
Montgomery a décrit cette situation en des phrases très éloquentes.
« L’air nocturne était très clair et froid. »
Au sol, il n'y avait que des ombres d'un noir d'ébène et des collines argentées couvertes de neige, et au-dessus des champs silencieux, les étoiles brillaient de mille feux.
… … Quel plaisir de courir à travers ce paysage mystérieux et magnifique avec une amie proche dont je me suis éloignée pendant si longtemps.
--- p.121~122
L'hiver, ma grand-mère ne chauffait pas l'étage, si bien que chaque année, de l'automne au printemps, toute la famille devait vivre en bas.
Lorsque le printemps arriva enfin et que le temps commença à se réchauffer, Montgomery put regagner sa chambre à l'étage.
Les saisons avaient un effet si direct et si intense sur les émotions de Montgomery qu'elle oscillait souvent « entre bonheur et malheur » au gré des saisons.
Les douces journées de printemps étaient une période heureuse pour Montgomery, car elle pouvait aller dans le jardin et passer du temps dans sa chambre à l'étage.
« Quand je n’étais pas au jardin, je passais le plus clair de mon temps dans ma chambre, à l’étage. » Montgomery se frayait lentement un chemin vers la célébrité grâce à ses activités créatives et complémentaires que sont le jardinage et l’écriture.
« Oh, comme j’étais heureuse cet été grâce au jardin ! J’étais complètement absorbée par les fleurs. »
Des dizaines de roses étaient en pleine floraison, si magnifiques.
Quelle bande de joyeux lurons ! Cette année, pour la toute première fois, mes rosiers ont doublé de volume et ont explosé de fleurs, débordant de la douceur qu'ils accumulaient depuis trois ans.
J'ai un vase rempli de roses sur la table devant moi.
Derrière, des vases sont remplis de ravissants pois de senteur, de pavots jaunes et de lotus parfumés qui évoquent le souffle des flammes.
Ah, quelle main sage de Dieu qui a insufflé la vie au jardin !
--- p.161~162
Encouragé par ce paiement, Montgomery intensifia son écriture et ses soumissions.
Après avoir terminé ses études au Halifax Women's College, elle a passé deux ans à enseigner aux enfants de l'école, tout en écrivant des dizaines de romans, dont la plupart ont paru dans des publications d'école du dimanche ou des périodiques pour enfants.
Montgomery a inclus dans son autobiographie un journal intime qu'il a tenu durant cette période.
« J’ai écrit assidûment tout l’été. »
Même par une telle chaleur, j'avais peur que mes os ne fondent et que mon cerveau ne s'épuise à force de travailler dur à l'écriture de romans et de poèmes.
Mais j'adore mon travail ! J'aime tisser des histoires, m'asseoir près de ma fenêtre, déployer mes ailes et transformer mes rêveries envolées en poésie.
Les premières années de Montgomery, consacrées à l'écriture, l'ont non seulement conduite vers les paysages et la littérature sur lesquels elle s'appuierait tout au long de sa vie, mais ont également nourri en elle la volonté et la discipline nécessaires pour écrire même dans des circonstances difficiles et indépendantes de sa volonté.
--- p.239
Au printemps suivant, l'écriture trouvée près du corps de Montgomery, décédée d'une overdose, devint la dernière page de son journal intime.
« Je deviens fou, comme si j’étais sous un sort. »
Je ne vois pas ce qu'il faudrait faire pour briser ce sort.
J'espère que Dieu me pardonnera, et j'espère que tous les autres me pardonneront, même s'ils ne me comprennent pas.
Je suis tellement fatiguée que je n'en peux plus, mais personne ne le sait.
« J’ai fait beaucoup d’erreurs, mais j’ai vécu pleinement ma vie, et je n’arrive pas à croire qu’elle se termine ainsi. » – Lucy Maud Montgomery : Le Don des Ailes, une biographie de Montgomery par Mary Henry Rubio
« L’ascension n’a pas été facile », écrit Montgomery dans le dernier chapitre de son autobiographie, « mais même dans les moments les plus difficiles, il y avait une joie et une passion que seuls ceux qui aspirent aux sommets peuvent ressentir. »
Mais je n'ai jamais retrouvé ce sentiment d'accomplissement que j'avais ressenti à cette époque.
--- p.253
Avis de l'éditeur
« Oh, cette île est l'endroit le plus fleuri du monde ! »
« Pourrait-il exister un endroit plus beau que celui-ci ? »
Le premier jour de son séjour à l'Île-du-Prince-Édouard, Anne se trouvait dans la calèche de Matthew en direction de Green Gables, et elle était captivée par le magnifique paysage qui se déroulait sous ses yeux, incapable de le quitter des yeux ne serait-ce qu'un instant.
Les magnifiques endroits qu'Anne aimait tant, tels que « La Maison aux pignons verts », « Le Lac aux eaux scintillantes », « L'Allée des amoureux » et « La Forêt hantée », sont des lieux réels chers à l'auteure Lucy Maud Montgomery.
Ce livre emmène les lecteurs au cœur même des paysages qui ont tant inspiré Montgomery et Anne.
L’Île-du-Prince-Édouard, située dans le golfe du Saint-Laurent, dans l’est du Canada, est une île magnifique qui attire les voyageurs grâce à la beauté de sa mer environnante et à l’atmosphère paisible qui y règne.
Bien que la haute latitude implique de longs hivers, en été, lorsque le Gulf Stream approche, l'eau de mer est suffisamment chaude pour la baignade, les longues plages invitent à la détente et les dunes de sable blanc et rouge créent une atmosphère idyllique.
Le vent emporte les parfums et les bruits de la mer jusqu'aux vallées profondes, loin des côtes, et les sentiers en pente douce sur les collines, les mouettes glissant tranquillement au-dessus de la mer, le fracas des vagues et le craquement des navires ancrés évoquent encore l'époque d'Anne.
En visitant la maison natale de Montgomery, ainsi que l'ancienne demeure de Cavendish où elle a vécu plus de la moitié de sa vie et écrit Anne aux pignons verts, et d'autres magnifiques lieux du roman, vous vous retrouverez bientôt à vous promener dans une forêt d'épicéas recouverte de fougères avec Anne, un bouquet de fleurs de mai dans les bras.
L.
La trame et la chaîne des vies de M. Montgomery et Anne Shirley
Un essai pittoresque
À sa sortie en 1908, le roman Anne de Green Gables connut un succès si fulgurant que l'éditeur et l'auteur en furent stupéfaits.
Aujourd'hui encore, plus d'un siècle après la publication de la première édition, la popularité d'Anne ne montre aucun signe de déclin.
Anne Shirley, une adorable jeune fille, trouve la beauté dans la vie même dans les situations les plus désespérées, tire des leçons de chaque malheur et appréhende la réalité avec une imagination sans bornes. La vie d'Anne est une histoire de l'auteur L.
Cela ressemble à la vie de M. Montgomery.
Montgomery a tenu un journal intime depuis son enfance et tout au long de sa vie, et les huit premières années de ce journal, qui subsistent encore aujourd'hui, ont servi de cadre historique à Anne de Green Gables.
Les sujets qu'elle décrit avec le plus de poésie dans son journal ne sont ni les vêtements, ni les amis, ni la décoration intérieure, ni les salles de classe, ni les prétendants, mais les paysages naturels.
Dès que nous tournons notre regard vers la nature, la vie quotidienne ordinaire disparaît peu à peu et de puissantes phrases esthétiques commencent à prendre sa place.
Les nuances subtiles du coucher de soleil, les couleurs sans cesse changeantes de l'automne et les paysages hivernaux laissés par les traîneaux tirés par des chevaux prennent tous une nouvelle signification à travers les yeux de Montgomery et d'Anne.
L'auteur de ce livre a entremêlé le journal intime de Montgomery, son autobiographie et les mots d'Anne tirés du roman, comme la trame et la chaîne, pour créer un essai pittoresque.
Anne Shirley, une orpheline dont on se souviendra à jamais dans l'histoire littéraire !
Au cœur du paysage qui a nourri la beauté et la force intérieure d'Anne !
L.
En créant Anne Shirley, M. Montgomery a ajouté une autre orpheline aux annales littéraires.
Jane Eyre, Tom Sawyer, Huckleberry Finn, et même Oliver Twist et David Copperfield de Charles Dickens sont tous orphelins.
Ils sont constamment mis à l'épreuve dans un monde dur créé par des adultes cruels, mais ils parviennent tous à surmonter l'adversité et à créer un monde meilleur.
Cependant, la manière dont Anne conquiert le cœur de ceux qui l'entourent est assez différente de celle des orphelins dans d'autres œuvres littéraires.
Les décors spatiaux, tels que les étendues sauvages britanniques, le fleuve Mississippi aux États-Unis et les taudis de Londres, étaient des cadres nécessaires pour plonger les orphelins susmentionnés dans l'adversité.
À l'inverse, l'environnement naturel de l'Île-du-Prince-Édouard dépasse la simple fonction de décor spatial et constitue une force essentielle pour nourrir la beauté et la force intérieure d'Anne.
Anne puisait son réconfort dans la nature chaque fois qu'elle avait besoin de nourrir son âme, et elle s'en servait comme modèle pour définir le sens de la beauté et l'espoir de la vie.
Montgomery montre comment les magnifiques paysages d'Avonlea enflamment l'imagination d'une jeune fille et comment cette imagination transforme la rousse peu attirante en une belle jeune femme.
Rédigé à partir de données et d'archives exhaustives
Approfondissez votre compréhension de l'auteur et de son œuvre !
Pour écrire ce livre, l'auteur a séjourné sur l'Île-du-Prince-Édouard, suivant les traces de Montgomery et se plongeant dans sa vie et son œuvre à travers une grande quantité de documents, notamment les journaux intimes, les autobiographies, les albums et plusieurs romans de Montgomery, dont Anne de Green Gables.
Grâce à cela, les lecteurs peuvent pleinement ressentir les émotions complexes et nuancées de Montgomery, sa passion inébranlable pour l'écriture et son amour profond pour l'Île-du-Prince-Édouard.
Des illustrations tirées de l'édition de 1908 d'Anne de Green Gables, des photographies en noir et blanc prises et colorisées par Montgomery elle-même, et des photographies actuelles de l'Île-du-Prince-Édouard se conjuguent pour transcender le passé et le présent de l'Île-du-Prince-Édouard.
En particulier, l'auteur cite directement les écrits de Montgomery pour décrire le paysage naturel, capturant ainsi l'essence de la beauté de l'Île-du-Prince-Édouard dans le livre.
Chaque phrase dans laquelle Montgomery décrit le paysage est empreinte d'un langage sensuel que seul quelqu'un qui connaît intimement la nature et qui aime véritablement tout ce qu'il y trouve peut exprimer.
Observons les photographies saisissantes de Montgomery représentant des fleurs, des arbres, la mer, et même une simple fougère dans la forêt, ainsi que ses descriptions des paysages, et savourons les nuances de lumière et d'ombre, de couleur et de saisons, de jour et de nuit que seul Montgomery peut percevoir et exprimer.
« Pourrait-il exister un endroit plus beau que celui-ci ? »
Le premier jour de son séjour à l'Île-du-Prince-Édouard, Anne se trouvait dans la calèche de Matthew en direction de Green Gables, et elle était captivée par le magnifique paysage qui se déroulait sous ses yeux, incapable de le quitter des yeux ne serait-ce qu'un instant.
Les magnifiques endroits qu'Anne aimait tant, tels que « La Maison aux pignons verts », « Le Lac aux eaux scintillantes », « L'Allée des amoureux » et « La Forêt hantée », sont des lieux réels chers à l'auteure Lucy Maud Montgomery.
Ce livre emmène les lecteurs au cœur même des paysages qui ont tant inspiré Montgomery et Anne.
L’Île-du-Prince-Édouard, située dans le golfe du Saint-Laurent, dans l’est du Canada, est une île magnifique qui attire les voyageurs grâce à la beauté de sa mer environnante et à l’atmosphère paisible qui y règne.
Bien que la haute latitude implique de longs hivers, en été, lorsque le Gulf Stream approche, l'eau de mer est suffisamment chaude pour la baignade, les longues plages invitent à la détente et les dunes de sable blanc et rouge créent une atmosphère idyllique.
Le vent emporte les parfums et les bruits de la mer jusqu'aux vallées profondes, loin des côtes, et les sentiers en pente douce sur les collines, les mouettes glissant tranquillement au-dessus de la mer, le fracas des vagues et le craquement des navires ancrés évoquent encore l'époque d'Anne.
En visitant la maison natale de Montgomery, ainsi que l'ancienne demeure de Cavendish où elle a vécu plus de la moitié de sa vie et écrit Anne aux pignons verts, et d'autres magnifiques lieux du roman, vous vous retrouverez bientôt à vous promener dans une forêt d'épicéas recouverte de fougères avec Anne, un bouquet de fleurs de mai dans les bras.
L.
La trame et la chaîne des vies de M. Montgomery et Anne Shirley
Un essai pittoresque
À sa sortie en 1908, le roman Anne de Green Gables connut un succès si fulgurant que l'éditeur et l'auteur en furent stupéfaits.
Aujourd'hui encore, plus d'un siècle après la publication de la première édition, la popularité d'Anne ne montre aucun signe de déclin.
Anne Shirley, une adorable jeune fille, trouve la beauté dans la vie même dans les situations les plus désespérées, tire des leçons de chaque malheur et appréhende la réalité avec une imagination sans bornes. La vie d'Anne est une histoire de l'auteur L.
Cela ressemble à la vie de M. Montgomery.
Montgomery a tenu un journal intime depuis son enfance et tout au long de sa vie, et les huit premières années de ce journal, qui subsistent encore aujourd'hui, ont servi de cadre historique à Anne de Green Gables.
Les sujets qu'elle décrit avec le plus de poésie dans son journal ne sont ni les vêtements, ni les amis, ni la décoration intérieure, ni les salles de classe, ni les prétendants, mais les paysages naturels.
Dès que nous tournons notre regard vers la nature, la vie quotidienne ordinaire disparaît peu à peu et de puissantes phrases esthétiques commencent à prendre sa place.
Les nuances subtiles du coucher de soleil, les couleurs sans cesse changeantes de l'automne et les paysages hivernaux laissés par les traîneaux tirés par des chevaux prennent tous une nouvelle signification à travers les yeux de Montgomery et d'Anne.
L'auteur de ce livre a entremêlé le journal intime de Montgomery, son autobiographie et les mots d'Anne tirés du roman, comme la trame et la chaîne, pour créer un essai pittoresque.
Anne Shirley, une orpheline dont on se souviendra à jamais dans l'histoire littéraire !
Au cœur du paysage qui a nourri la beauté et la force intérieure d'Anne !
L.
En créant Anne Shirley, M. Montgomery a ajouté une autre orpheline aux annales littéraires.
Jane Eyre, Tom Sawyer, Huckleberry Finn, et même Oliver Twist et David Copperfield de Charles Dickens sont tous orphelins.
Ils sont constamment mis à l'épreuve dans un monde dur créé par des adultes cruels, mais ils parviennent tous à surmonter l'adversité et à créer un monde meilleur.
Cependant, la manière dont Anne conquiert le cœur de ceux qui l'entourent est assez différente de celle des orphelins dans d'autres œuvres littéraires.
Les décors spatiaux, tels que les étendues sauvages britanniques, le fleuve Mississippi aux États-Unis et les taudis de Londres, étaient des cadres nécessaires pour plonger les orphelins susmentionnés dans l'adversité.
À l'inverse, l'environnement naturel de l'Île-du-Prince-Édouard dépasse la simple fonction de décor spatial et constitue une force essentielle pour nourrir la beauté et la force intérieure d'Anne.
Anne puisait son réconfort dans la nature chaque fois qu'elle avait besoin de nourrir son âme, et elle s'en servait comme modèle pour définir le sens de la beauté et l'espoir de la vie.
Montgomery montre comment les magnifiques paysages d'Avonlea enflamment l'imagination d'une jeune fille et comment cette imagination transforme la rousse peu attirante en une belle jeune femme.
Rédigé à partir de données et d'archives exhaustives
Approfondissez votre compréhension de l'auteur et de son œuvre !
Pour écrire ce livre, l'auteur a séjourné sur l'Île-du-Prince-Édouard, suivant les traces de Montgomery et se plongeant dans sa vie et son œuvre à travers une grande quantité de documents, notamment les journaux intimes, les autobiographies, les albums et plusieurs romans de Montgomery, dont Anne de Green Gables.
Grâce à cela, les lecteurs peuvent pleinement ressentir les émotions complexes et nuancées de Montgomery, sa passion inébranlable pour l'écriture et son amour profond pour l'Île-du-Prince-Édouard.
Des illustrations tirées de l'édition de 1908 d'Anne de Green Gables, des photographies en noir et blanc prises et colorisées par Montgomery elle-même, et des photographies actuelles de l'Île-du-Prince-Édouard se conjuguent pour transcender le passé et le présent de l'Île-du-Prince-Édouard.
En particulier, l'auteur cite directement les écrits de Montgomery pour décrire le paysage naturel, capturant ainsi l'essence de la beauté de l'Île-du-Prince-Édouard dans le livre.
Chaque phrase dans laquelle Montgomery décrit le paysage est empreinte d'un langage sensuel que seul quelqu'un qui connaît intimement la nature et qui aime véritablement tout ce qu'il y trouve peut exprimer.
Observons les photographies saisissantes de Montgomery représentant des fleurs, des arbres, la mer, et même une simple fougère dans la forêt, ainsi que ses descriptions des paysages, et savourons les nuances de lumière et d'ombre, de couleur et de saisons, de jour et de nuit que seul Montgomery peut percevoir et exprimer.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 5 juin 2019
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 280 pages | 758 g | 170 × 230 × 20 mm
- ISBN13 : 9791187936299
- ISBN10 : 1187936294
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Langue coréenne
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