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Tu n'es jamais spécial
Tu n'es jamais spécial
Description
Introduction au livre
Un nouveau livre de Jeon Mi-kyung, auteure du best-seller « Tu es plus fort que tu ne le penses ».

Brisez le cycle de dépendance à l'anxiété engendré par une fausse estime de soi.
Un cours de psychologie dispensé par un psychiatre pour vous aider à reprendre le contrôle de votre vie.


La psychiatre Jeon Mi-kyung, auteure du best-seller « Vous êtes plus fort que vous ne le pensez », est de retour avec son nouveau livre, « Vous n'êtes pas spécial du tout ».
Dans une société qui nous pousse constamment à être exceptionnels, nous nous enfermons dans l'anxiété et l'obsession, nous rendant malades à force de nous comparer aux autres et de nous surmener.
Ce livre vous guide pour vous libérer de l'obsession du succès et de la comparaison, et pour trouver votre véritable identité au cœur de la vie ordinaire.

Dans cet ouvrage, l'auteur analyse les cas de divers patients ayant fréquenté la clinique psychiatrique ainsi que les histoires de personnages de romans et de films, et établit un diagnostic selon lequel, malgré des situations et des souffrances différentes pour chaque individu, tous partagent une obsession d'être exceptionnel et une dépendance à l'anxiété découlant d'une fausse estime de soi.
Cela démontre de manière convaincante que l'on n'est pas seul à souffrir, et que ce n'est qu'en acceptant silencieusement que la douleur et l'anxiété sont une partie inévitable de la vie que l'on peut véritablement y échapper.
Pour ceux qui souhaitent réexaminer l'essence de la vie et pour ceux qui vivent encore dans l'anxiété, ce livre présentera la grande valeur de l'ordinaire.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
Prologue – Sur une vie libre, insensible au monde et aux autres

Chapitre 1 - L'illusion que vous êtes spécial
Des choses qui n'ont rien d'exceptionnel lorsqu'elles disparaissent, et moi, je ne suis rien d'exceptionnel.

Nous avons installé nous-mêmes les caméras de surveillance.
Tu n'es jamais spécial
L'avant et l'arrière de nos vies
Se retrouver dans l'illusion de la perfection
L'honnêteté ne peut pas être une arme.
Qui suis-je dans le miroir ?
À la recherche de la véritable ordinaire

Chapitre 2 - L'illusion que le malheur doit être éliminé de la vie
Bref, nous souffrons tous pour nos propres raisons.


Pourquoi cela n'arrive-t-il qu'à moi ?
Une vie qui danse au rythme du malheur
Nous sommes tous imparfaits
À propos du pouvoir de s'améliorer d'une manière ou d'une autre
La vie est incontrôlable
Se libérer de la prison de la perfection
Comment vivre dans un monde connecté
Le fantasme des jeux de survie et du malheur qui est devenu une routine

Chapitre 3 - L'illusion que les autres sont l'enfer
La vie des autres, pas la mienne, ma vie que les autres ne vivent pas.


Vous n'êtes pas le personnage principal d'un drame
Les vraies relations dans un monde de chantage
Un cadeau né d'une étrange rencontre
Le schéma du retissage des relations
Enfer auto-créé
Du courage d'accepter la douleur
Faire véritablement face à l'existence des autres

Chapitre 4 - L'illusion de la vie infinie
La vie finit de toute façon


Réflexions d'un psychiatre sur la mort
Une nouvelle perspective sur la vie
Comment accepter la mort
Ce qu'un diagnostic terminal nous a appris sur la vie
La danse du devoir à l'être
Les ginkgos et la route du Colorado

Image détaillée
Image détaillée 1

Dans le livre
Je rencontre souvent des personnes exceptionnelles dans ma clinique.
Plus précisément, ce sont des personnes qui se croient spéciales.
Au cours des conversations, ils s'efforcent de prouver qu'ils sont différents des autres en mentionnant subtilement la taille de leur appartement, les universités de leurs enfants, ou même en faisant étalage de leurs titres.
Jeffrey Young, un psychologue américain de renom, a qualifié ce phénomène de « piège du privilège ».
C'est différent de la simple confiance.
La confiance en soi saine est une fierté fondée sur ses propres accomplissements et capacités, tandis que le sentiment de droit acquis découle d'un sentiment de supériorité irréaliste.
Ils estiment mériter un traitement exceptionnel et se disent autorisés à déroger aux règles et obligations habituelles.
---「p.
28. Extrait de « You Are Never Special »

Les véritables changements dans nos vies ne commencent pas comme un fleuve puissant.
Elle provient d'un petit ruisseau.
Prenez cinq minutes avant de vous coucher pour réfléchir aux émotions que vous avez ressenties durant la journée.
Demandez-vous : « Comment me suis-je senti aujourd'hui ? Quels choix ai-je faits, et pourquoi ? »
Faites un tour dans une librairie où vous n'avez pas l'habitude d'aller pour choisir un nouveau livre, ou demandez à votre famille : « À quoi pensez-vous en ce moment ? »
Ces petites pratiques s'accumulent et nous guident sur le chemin de la réalisation de soi.
Le chemin vers la réalisation de soi ne se déroule pas par des transformations spectaculaires comme celles des protagonistes dans les films.
Dans la réalité, le changement est lent, parfois douloureux, et exige beaucoup de patience.
---「p.
49-50, extrait de « Trouver le soi dans l'illusion de la perfection »

La vie quotidienne d'aujourd'hui est rythmée par un processus constant de création et de consommation de l'image de soi.
Nous commençons notre journée en nous dirigeant vers le miroir, et cette direction se poursuit tout au long de la journée, s'étendant jusqu'au monde numérique.
Leurs comptes Instagram mettent en valeur leur quotidien parfaitement orchestré, leurs profils Facebook projettent des images de réussite et leurs profils LinkedIn renvoient à une image professionnelle.
De même que la lumière traverse un prisme et se disperse en une variété de couleurs, un seul soi se disperse en d'innombrables images, mais au sein de celles-ci, il y a toujours une obsession de paraître comme une meilleure personne.
Le visage caché à l'intérieur, notre vrai visage qui ne se reflète dans aucun miroir, est anxieux, solitaire et parfois même vide.
Lorsque vous posez votre smartphone à la fin de la journée et que vous vous retrouvez seul, pensez à ce visage inconnu et sincère que vous rencontrez soudain.
---「p.
60-61, extrait de « Qui suis-je reflété dans le miroir ? »

Face à la souffrance, nous choisissons l'une des trois approches suivantes.
La première est le dépassement.
La société moderne exige constamment le dépassement de soi.
Les expressions « tout est possible si on essaie » et « rien n'est impossible » nous entourent.
Ce type d'effort peut parfois constituer un moteur de croissance.
Mais l'être humain ne peut pas surmonter toute la souffrance.
Les tentatives pour surmonter les souffrances inévitables, telles que la mort ou la perte, et les malheurs que nous ne pouvons changer par nos propres efforts, ne font que nous enfoncer davantage dans le désespoir.
---「p.
78-79, extrait de « Pourquoi cela n'arrive-t-il qu'à moi ? »

« Quand je regarde les réseaux sociaux, j’ai l’impression que tout le monde réussit, mais je me sens à la traîne. » « Tout le monde a l’air heureux, alors pourquoi suis-je comme ça ? » Leurs paroles trahissent la peur qui leur fait défaut.
Dans un monde entouré d'images parfaites, ils se lassent de cacher leurs imperfections.
Mais au Japon, on perçoit cette imperfection différemment.
L’artisanat traditionnel appelé « Kintsugi » est exactement cela.
Cette technique de recollement des céramiques cassées avec de la laque mélangée à de la poudre d'or leur permet de briller d'or au lieu de masquer les rayures et les fissures.
De même que les lieux brisés peuvent se transformer en une beauté nouvelle, les fissures et les blessures de nos vies peuvent devenir des filons d'or qui font de nous des êtres humains plus profonds.
---「p.
91, extrait de « Une vie dansant au pas avec le malheur »

Dans les relations humaines, le port d'un masque est parfois nécessaire.
Cela pourrait s'avérer essentiel pour nous tous qui vivons à l'ère moderne.
Mais lorsque ce masque s'installe trop fermement, nous finissons par nous perdre nous-mêmes.
Le plus effrayant, c'est de perdre tout intérêt pour les autres.
Tout comme Soojin l'a fait avec ses collègues, nous avons tendance à donner des réponses appropriées plutôt qu'à écouter véritablement ce que les autres ont à dire, et nous avons tendance à donner des réponses superficielles plutôt qu'à faire preuve d'empathie envers les sentiments des autres.
Le désir de lui convenir, de se conformer aveuglément à ses souhaits tout en dissimulant ses propres pensées, a également engendré d'autres problèmes pour Soo-jin.
Je suis devenue la personne la plus vulnérable en nourrissant le désir impossible de paraître parfaite aux yeux des autres.
---「p.
De 1998 à 1999, « Nous sommes tous imparfaits »

Le psychologue David Elkind décrit les caractéristiques psychologiques prédominantes à l'adolescence comme étant celles d'un « public imaginaire » et d'une « fable personnelle ».
L'expression « public imaginaire » désigne la tendance à être excessivement conscient, par exemple, d'avoir les cheveux légèrement décoiffés en allant à l'école, comme si tout le monde allait le remarquer.
La fable personnelle est la conviction d'être « spécial », que ses expériences et ses pensées sont uniques et différentes de celles des autres, et que son existence est unique au monde.
Si ces concepts ne sont pas surmontés durant le processus de construction de soi à l'adolescence, même à l'âge adulte, ils tomberont dans le piège de se laisser influencer par le regard des autres ou de se surestimer.
---「p.
144-145, extrait de « Vous n'êtes pas le personnage principal d'une pièce de théâtre »

L'être humain est le seul être conscient de sa propre mort, et cette conscience engendre une angoisse insupportable.
Nous mettons donc en place un « système de défense culturelle » pour atténuer cette anxiété.
Ils recherchent une « immortalité symbolique » en croyant en la religion, en accomplissant de grandes choses ou en créant de belles œuvres d'art.
La société moderne confine la mort à des espaces isolés comme les hôpitaux, les maisons de retraite et les pompes funèbres, et atténue la réalité de la mort par des expressions comme « décédé paisiblement ».
Cette idéalisation est un mécanisme de défense sociale visant à réduire la peur de la mort.
Mais la mort est le plus souvent paisible.
C'est un processus complexe qui mêle lutte contre la maladie, rêves inassouvis et séparation d'avec les êtres chers.
---「p.
204, extrait de « Réflexions d’un psychiatre sur la mort »

Avis de l'éditeur
« Ce n'est pas grave si tu ne deviens pas exceptionnel. Tu es parfait tel que tu es. »
Comment se libérer de l'obsession du succès et de la comparaison et trouver sa véritable identité dans la vie ordinaire.


Jeon Mi-kyung, auteure à succès et psychiatre, revient avec un nouveau livre, « Vous n'êtes pas spécial », qui aborde le problème de la fausse estime de soi et de la dépendance à l'anxiété qui en découle.
Pour celles et ceux qui en ont assez de la pression sociale pour être « meilleurs », ce livre délivre un message à la fois doux et ferme : il est normal de ne pas être exceptionnel.

Aujourd'hui, on nous demande constamment d'être « spéciaux ».
De la compétition pour les notes qui commence dès l'enfance, aux examens d'entrée à l'université, en passant par la guerre des emplois et même la création d'une image à travers les médias sociaux, nos vies sont remplies de comparaisons incessantes, de demandes de preuves et de l'obsession de « devenir une meilleure version de soi-même ».
La conviction qu'il faut être exceptionnel pour être aimé nous conduit finalement à l'anxiété, au vide et au dégoût de soi.

Dans ce livre, l'auteur explique à ceux qui se laissent influencer par le regard des autres et qui sont las de la compétition qu'il est normal de ne pas être exceptionnel, et que l'essence de la vie réside dans cette simplicité.
À travers des études de cas avec des clients, une analyse pointue des phénomènes sociaux et des concepts issus de la philosophie et de la psychologie, l'auteur identifie le vrai visage de nous-mêmes, que nous devons retrouver en cette « époque où l'on se perd ».

« Les malheurs de la vie se déroulent de la même manière pour tout le monde. »
Une vie véritablement libre seulement lorsque nous acceptons la douleur et le malheur sans les fuir.


Les chapitres 1 et 2 de ce livre abordent l'attitude face à la souffrance et la finitude de l'existence humaine.
L'auteur affirme : « La douleur est une composante inévitable de la vie, et le malheur frappe tout le monde de la même manière. »
Ce n'est que lorsque nous acceptons la douleur et le malheur comme une partie de la vie à accueillir et à vivre, plutôt que comme quelque chose à surmonter ou à éliminer, que nous pouvons atteindre la paix intérieure.
Par conséquent, accepter de ne pas être exceptionnel peut être un exercice pour accepter les imperfections de la vie et un point de départ pour la croissance personnelle.

Les chapitres 3 et 4 abordent également la question de la perte et de la mort, l'une des plus grandes souffrances que l'être humain puisse connaître.
À travers son expérience personnelle et celle de psychiatre face à la mort, l'auteur nous amène à reconsidérer cette vérité évidente : « nous mourons tous un jour ».
C’est par la mort que nous prenons conscience du caractère fini de la vie, et que nous pouvons ainsi ressentir la beauté et la valeur du quotidien.
L'expérience de l'auteur face à la mort de ses parents et de ses patients amène les lecteurs à se poser des questions philosophiques sur la façon dont ils devraient envisager la vie.

Face à l'immense question de la mort, nous ne pouvons plus nous laisser influencer par les attentes des autres ni par les normes sociales.
Ce qui compte, c'est la question intérieure de la vie que je désire vraiment et du genre de personne que je veux qu'on se souvienne de moi.
Ce livre aide les lecteurs à trouver leurs propres réponses à cette question.

Pour tous ceux qui vivent des temps angoissants
Le regard chaleureux et le réconfort apaisant d'un psychiatre


L'auteur dit à tous ceux qui lisent ce livre : « Vous êtes ordinaires, et c'est pourquoi vous êtes beaux. »
Ce livre nous convainc, par des phrases calmes mais fermes, que nous n'avons pas besoin de lutter pour être exceptionnels ; que notre existence même est significative et suffisante, et que la vie est suffisamment profonde et riche simplement en la vivant ainsi.

Les changements que ce livre espère voir se concrétiser ne sont pas spectaculaires.
En ce moment même où je suis en vie, j'espère m'accepter tel que je suis et vivre à mon propre rythme, sans me soucier des normes des autres.
Ce sera finalement le point de départ qui nous permettra d'avancer vers une société plus saine et plus libre.
« Vous n'êtes jamais spécial » est un livre qui offre des encouragements chaleureux à tous les gens ordinaires qui vivent aujourd'hui, et leur redonne le courage de vivre à nouveau leur vie quotidienne.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 20 mai 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 248 pages | 392 g | 140 × 204 × 16 mm
- ISBN13 : 9788901295312
- ISBN10 : 8901295318

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