
La philosophie change la fin
Description
Introduction au livre
La deuxième histoire de « La philosophie change la météo »
D'où viennent les pensées qui donnent naissance à la vie ?
Hésiter face à une fin apparemment irréversible
La raison de ce renversement qui engendre une vie précaire
Dans « La philosophie change la météo », le professeur Seo Dong-wook, qui a « offert un temps nouveau » (Phéacie de Lee Dong-jin) à des vies superficielles incapables de se poser leurs propres questions tout en cherchant le « chemin le plus court vers les réponses », rassemble à nouveau la puissance de la pensée dans son nouvel ouvrage « La philosophie change la fin ».
L'auteur, qui est le plus grand chercheur coréen sur la philosophie de Deleuze, poète et critique littéraire, brille toujours par son regard délicat.
Une vie si vulnérable, recroquevillée sous une fine membrane appelée la réponse, peut-elle vraiment affronter une phase différente ?
Chaque histoire de ce livre a une fin différente.
Les choses que nous pensions bien connaître, comme notre corps, les voyages, l'amour, la famille et la solitude, nous deviennent étrangères, et les choses pesantes, comme la honte, les études, la peur et la fin, changent légèrement d'apparence.
Il aborde des réflexions diverses qui recoupent la philosophie, la littérature, l'art et le cinéma, allant de thèmes communs à des sujets rarement traités.
« Lorsque vous devez observer la vie comme si vous regardiez un film au cinéma, comme du pop-corn que vous mettez lentement dans votre bouche », cela vous donnera le courage d'avancer vers une fin à chaque carrefour de votre vie quotidienne.
D'où viennent les pensées qui donnent naissance à la vie ?
Hésiter face à une fin apparemment irréversible
La raison de ce renversement qui engendre une vie précaire
Dans « La philosophie change la météo », le professeur Seo Dong-wook, qui a « offert un temps nouveau » (Phéacie de Lee Dong-jin) à des vies superficielles incapables de se poser leurs propres questions tout en cherchant le « chemin le plus court vers les réponses », rassemble à nouveau la puissance de la pensée dans son nouvel ouvrage « La philosophie change la fin ».
L'auteur, qui est le plus grand chercheur coréen sur la philosophie de Deleuze, poète et critique littéraire, brille toujours par son regard délicat.
Une vie si vulnérable, recroquevillée sous une fine membrane appelée la réponse, peut-elle vraiment affronter une phase différente ?
Chaque histoire de ce livre a une fin différente.
Les choses que nous pensions bien connaître, comme notre corps, les voyages, l'amour, la famille et la solitude, nous deviennent étrangères, et les choses pesantes, comme la honte, les études, la peur et la fin, changent légèrement d'apparence.
Il aborde des réflexions diverses qui recoupent la philosophie, la littérature, l'art et le cinéma, allant de thèmes communs à des sujets rarement traités.
« Lorsque vous devez observer la vie comme si vous regardiez un film au cinéma, comme du pop-corn que vous mettez lentement dans votre bouche », cela vous donnera le courage d'avancer vers une fin à chaque carrefour de votre vie quotidienne.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Prologue : Le levier de la pensée qui met la vie en mouvement
Partie 1 : Les joyaux du quotidien
L'ère du mukbang : une philosophie de l'alimentation│Des différences subtiles créent un nouveau monde│Comment naît la liberté│La honte, le grand cœur de l'homme│L'esprit d'Épicure│La solitude│Nous rencontrons les autres à travers nos corps│Voyager pour vaincre l'ennui│L'odorat│L'absurdité de la vie│La nourriture à un âge avancé
Partie 2 : L'étude de la vie
La peur, la magie noire qui dompte les humains│Que peut-on gagner à discuter ?│Érudits et politique│Esprit│Les universitaires comme destructeurs et créateurs│La philosophie orientale comme formation à la vie│L'expérience est le maître de la vie│Amour et jalousie│La famille est-elle l'ennemie de l'État ?│L'univers « correct » de Platon et de Carl Sagan│Comment les études changent-elles les gens ?
Partie 3 : Les lois cachées du monde
Nausée philosophique│La philosophie de l'inaction│Comment comprendre la « loi de Dieu »│La tragédie des humanistes│Les jeux de société, une pratique de la démocratie│Le neveu de Ramo, la marginalité est le miroir de la société│Le sens de l'accouchement et la femme sans ombre│La partie et le tout│La guerre aérienne│La quatrième révolution industrielle est une question de jugement│Dieu est mort, et les humains aussi
Partie 4 : Notre façon de vivre
Similitude, le crabe devenu samouraï│Imitation│Le monde des serveurs│Art pur, art participatif, art laid│À la recherche du char d'or d'Olympie│La philosophie de la musique│L'amateur d'art│Le maître avant la philosophie, l'épopée│La philosophie à travers la géographie│Une plaisanterie sur le nom de Spinoza│La fleur de décembre, Noël
Épilogue : Apprendre par la douleur
principal
Partie 1 : Les joyaux du quotidien
L'ère du mukbang : une philosophie de l'alimentation│Des différences subtiles créent un nouveau monde│Comment naît la liberté│La honte, le grand cœur de l'homme│L'esprit d'Épicure│La solitude│Nous rencontrons les autres à travers nos corps│Voyager pour vaincre l'ennui│L'odorat│L'absurdité de la vie│La nourriture à un âge avancé
Partie 2 : L'étude de la vie
La peur, la magie noire qui dompte les humains│Que peut-on gagner à discuter ?│Érudits et politique│Esprit│Les universitaires comme destructeurs et créateurs│La philosophie orientale comme formation à la vie│L'expérience est le maître de la vie│Amour et jalousie│La famille est-elle l'ennemie de l'État ?│L'univers « correct » de Platon et de Carl Sagan│Comment les études changent-elles les gens ?
Partie 3 : Les lois cachées du monde
Nausée philosophique│La philosophie de l'inaction│Comment comprendre la « loi de Dieu »│La tragédie des humanistes│Les jeux de société, une pratique de la démocratie│Le neveu de Ramo, la marginalité est le miroir de la société│Le sens de l'accouchement et la femme sans ombre│La partie et le tout│La guerre aérienne│La quatrième révolution industrielle est une question de jugement│Dieu est mort, et les humains aussi
Partie 4 : Notre façon de vivre
Similitude, le crabe devenu samouraï│Imitation│Le monde des serveurs│Art pur, art participatif, art laid│À la recherche du char d'or d'Olympie│La philosophie de la musique│L'amateur d'art│Le maître avant la philosophie, l'épopée│La philosophie à travers la géographie│Une plaisanterie sur le nom de Spinoza│La fleur de décembre, Noël
Épilogue : Apprendre par la douleur
principal
Image détaillée

Dans le livre
Chacun souhaite s'arrêter un instant devant sa propre vie, prendre du recul et s'interroger sur son sens.
Mais cela est impossible.
Puisque nous sommes nous-mêmes la vie, nous ne pouvons pas nous distancier de la vie et trouver le temps de réfléchir à distance.
Quand les vagues de la vie s'écrasent, je suis comme une algue échouée sur le rivage, incapable de prendre appui sur mon dos et je tourne simplement sur moi-même.
Ce dont nous avons besoin, c'est d'une poche d'air capable de confirmer brièvement la présence de vie dans ces eaux tumultueuses.
--- Extrait du « Prologue »
Le corps est la relation à l'autre et en même temps l'écart avec l'autre.
En réalité, cet écart ne s'oppose pas à la relation avec l'autre, mais en fait partie intégrante.
À cause de ce fossé, qui crée parfois des malentendus sur les autres et transforme nos êtres les plus chers en énigmes, nous devenons « ceux qui peuvent s'immerger dans les autres », comme si nous avions trouvé un problème à résoudre.
--- Extrait du « Chapitre 1 »
Ce qui compte pour nous, c'est une expérience unique, sans aucun point commun avec quoi que ce soit d'autre.
Des choses comme l'expérience du premier amour, qui ne peut se produire que deux fois, ou l'expérience de devenir parent pour la première fois.
Et ces expériences sont généralement jalonnées d'erreurs et d'échecs.
La vie humaine est faite d'expériences uniques, qui ne sont communes à rien d'autre, et non d'expériences scientifiques naturelles universelles.
--- Extrait du chapitre 2
Personne n'était là pour conseiller Abraham et savoir si ce qu'il avait entendu était un véritable ordre de Dieu ou une hallucination ; Abraham devait en décider par lui-même.
Que ce fardeau de la liberté de décision est lourd ! Pourtant, la loi de Dieu, le commandement de Dieu, ne s'adressent à l'homme qu'avec cette lourde liberté.
Car la liberté implique aussi la responsabilité de désobéir aux ordres, la responsabilité du péché.
Voici l'image d'un être humain se tenant seul devant la loi de Dieu.
--- Extrait du chapitre 3
La liberté et l'initiative seules ne peuvent nous permettre de ressentir la douleur de nos voisins souffrants et de commencer à agir pour eux.
Le mouvement du cœur vers les autres ne commence pas par une décision libre, comme lorsqu'on planifie sa propre vie, mais trouve plutôt son étincelle initiale dans la douleur qui transperce le cœur.
Mon cœur souffre à cause de la souffrance des autres, même si je ne le veux pas.
Être consumé par la passion d'être blessé.
Dieu nous a enseigné l'importance de cette souffrance en devenant humain.
Noël est donc le jour le plus lumineux.
--- Extrait du chapitre 4
Tous ces soucis qui m'accablaient n'étaient-ils pas, au final, une façon de survivre plutôt qu'une façon de mourir ? La douleur est un réveil honnête qui ne sonne fort qu'au cœur de la vie, et la vie ne fait que s'efforcer d'être fidèle à elle-même.
Je suis un tambourin dans une salle de karaoké où la vie vibre et résonne.
Même si nous nous plaignons constamment et que nous contemplons la mort, au final, l'endroit où nous nous trouvons, c'est la vie.
Mais cela est impossible.
Puisque nous sommes nous-mêmes la vie, nous ne pouvons pas nous distancier de la vie et trouver le temps de réfléchir à distance.
Quand les vagues de la vie s'écrasent, je suis comme une algue échouée sur le rivage, incapable de prendre appui sur mon dos et je tourne simplement sur moi-même.
Ce dont nous avons besoin, c'est d'une poche d'air capable de confirmer brièvement la présence de vie dans ces eaux tumultueuses.
--- Extrait du « Prologue »
Le corps est la relation à l'autre et en même temps l'écart avec l'autre.
En réalité, cet écart ne s'oppose pas à la relation avec l'autre, mais en fait partie intégrante.
À cause de ce fossé, qui crée parfois des malentendus sur les autres et transforme nos êtres les plus chers en énigmes, nous devenons « ceux qui peuvent s'immerger dans les autres », comme si nous avions trouvé un problème à résoudre.
--- Extrait du « Chapitre 1 »
Ce qui compte pour nous, c'est une expérience unique, sans aucun point commun avec quoi que ce soit d'autre.
Des choses comme l'expérience du premier amour, qui ne peut se produire que deux fois, ou l'expérience de devenir parent pour la première fois.
Et ces expériences sont généralement jalonnées d'erreurs et d'échecs.
La vie humaine est faite d'expériences uniques, qui ne sont communes à rien d'autre, et non d'expériences scientifiques naturelles universelles.
--- Extrait du chapitre 2
Personne n'était là pour conseiller Abraham et savoir si ce qu'il avait entendu était un véritable ordre de Dieu ou une hallucination ; Abraham devait en décider par lui-même.
Que ce fardeau de la liberté de décision est lourd ! Pourtant, la loi de Dieu, le commandement de Dieu, ne s'adressent à l'homme qu'avec cette lourde liberté.
Car la liberté implique aussi la responsabilité de désobéir aux ordres, la responsabilité du péché.
Voici l'image d'un être humain se tenant seul devant la loi de Dieu.
--- Extrait du chapitre 3
La liberté et l'initiative seules ne peuvent nous permettre de ressentir la douleur de nos voisins souffrants et de commencer à agir pour eux.
Le mouvement du cœur vers les autres ne commence pas par une décision libre, comme lorsqu'on planifie sa propre vie, mais trouve plutôt son étincelle initiale dans la douleur qui transperce le cœur.
Mon cœur souffre à cause de la souffrance des autres, même si je ne le veux pas.
Être consumé par la passion d'être blessé.
Dieu nous a enseigné l'importance de cette souffrance en devenant humain.
Noël est donc le jour le plus lumineux.
--- Extrait du chapitre 4
Tous ces soucis qui m'accablaient n'étaient-ils pas, au final, une façon de survivre plutôt qu'une façon de mourir ? La douleur est un réveil honnête qui ne sonne fort qu'au cœur de la vie, et la vie ne fait que s'efforcer d'être fidèle à elle-même.
Je suis un tambourin dans une salle de karaoké où la vie vibre et résonne.
Même si nous nous plaignons constamment et que nous contemplons la mort, au final, l'endroit où nous nous trouvons, c'est la vie.
--- Extrait de « Épilogue »
Avis de l'éditeur
Le nouveau livre du professeur Seo Dong-wook, « Cheolhak change la météo » !
Entre le quotidien et les événements, le non-sens et le sens
Au cœur de la vie, on ne peut l'ignorer.
Moments de possibilité saisis par un philosophe
Les destins d'Épicure et de Socrate, deux philosophes grecs antiques qui ont suivi des chemins opposés tout au long de leur vie, se rejoignent face à la mort.
Épicure, hédoniste ne croyant pas à l'immortalité de l'âme, change le cours de ses souffrances en se remémorant une conversation avec ses amis sur la tranquillité face à une maladie incurable.
Socrate, condamné à mort, change le cours de sa propre vie en témoignant de l'immortalité de l'âme auprès de ses amis venus lui rendre visite en prison.
La suite de « La philosophie change le temps », saluée comme « un livre d’éveil qui bouleverse la vie et un modèle d’essais philosophiques » (critique Lee Dong-jin), intitulée « La philosophie change la fin », a été publiée.
Dans ce livre, le professeur Seo Dong-wook, un « philosophe qui change le cours des choses », parle du pouvoir des pensées qui modifient le destin.
Des réflexions sur des émotions comme la honte, la jalousie et le plaisir aux perspectives sur des communautés comme la naissance, la famille et la démocratie, ce livre égaye le quotidien épuisant en rendant l'ennuyeux et l'inconnu plus accessibles et le lourd plus légers.
Le levier de la pensée est à portée de main.
Dans la première partie, nous découvrons des trésors cachés dans les choses du quotidien qui composent la vie.
Par exemple, « manger » est un acte qui va au-delà de la simple expérience gustative et qui touche à la philosophie de l'existence, de la forme de la vie au vivre-ensemble.
Dans « Le Plaisir », ouvrage qui se garde bien de toute extravagance, nous montrons comment la philosophie hédoniste d'Épicure a conduit à la philosophie de Marx, et nous découvrons l'esprit de liberté et de tranquillité.
La deuxième partie aborde les expériences qui servent de leçons de vie.
De l'avis de l'auteur, un autre mot pour désigner l'expérience qui fait grandir une personne est « déception ».
Aussi amère que cela puisse être, seule l'expérience peut nous révéler nos capacités et nous faire prendre conscience de nos propres limites.
L'affirmation de ce livre selon laquelle « la philosophie change la fin » n'est ni une métaphore ni de l'optimisme.
C'est une déclaration selon laquelle nous allons changer le cours de notre vie, qui semble être déterminé par la pensée, et que la philosophie peut devenir une compétence pour la vie.
Comme deux philosophes qui ont mené des vies tumultueuses face à une fin précaire.
Lorsque la vie soulève des questions et nous oblige à y répondre, nous commençons à philosopher en réponse à ces questions.
En résumé, la philosophie n'est rien d'autre que la « pratique de la vie », l'entraînement à la vie.
La philosophie n'est pas une pratique de mort, un abandon du chaos de la vie pour la connaissance éternelle qui brille seule dans le vide, figée sur place.
Chapitre 2 (page 144)
« Il existe des différences subtiles entre les différents mondes. »
Une vie précaire, une pensée qui s'épanouit à sa lisière
À propos de petites pratiques qui changent la fin de la vie quotidienne
Deux routes se séparaient dans les bois.
Ce vers célèbre du poème de Frost « La route non prise » est une métaphore de la vie, où un seul choix peut mener à un monde complètement différent.
Ce livre explique que le « choix unique » réside en réalité dans les différences subtiles.
Partant de la théorie des mondes possibles de Leibniz, l'auteur se demande si les rencontres fortuites font réellement de l'un des innombrables mondes possibles une réalité.
Ainsi, le « Messie » que nous attendons pourrait aussi provenir de « subtiles différences ».
Ce livre bouleverse la logique habituelle grâce à une nuance subtile appelée « pensée ».
La troisième partie explore les rouages de ce monde qui se cache derrière les détails crus.
Par exemple, la nausée, bien que douloureuse, est un symbole et un enseignement selon lequel « mon existence peut être libérée à tout moment du contrôle du sujet que l’on appelle moi ».
Souvent, la « partie » est considérée comme étant au service du « tout », mais en s’appuyant sur le concept de Deleuze du « corps sans organes », l’auteur explore une nouvelle relation entre « le tout placé aux côtés des parties » et « le tout comme effet des parties ».
Ce raisonnement pourrait constituer une avancée majeure pour la démocratie, qui traverse aujourd'hui une crise.
La quatrième partie raconte l'histoire de la découverte de notre mode de vie et des vertus que nous poursuivons dans des lieux qui semblent sans rapport avec le fait de « gagner sa vie ».
L'auteur interprète la légende du crabe japonais à tête de samouraï non comme un simple conte absurde, mais comme un « fil conducteur reliant les peuples du monde disparu à ceux du présent », faisant écho à nos vies.
Je considère l'exercice physique, comme le sport, comme l'aboutissement de vertus qu'on ne peut jamais acquérir assis à un bureau : l'honnêteté, la patience, la tempérance, le courage, la coopération, etc.
Avec ce genre de renversement de perspective qui révèle des différences subtiles, pourquoi ne pas essayer nous aussi de concrétiser le monde possible au sein de la « joie, de la transaction et du monde qui existent déjà » ?
De petites différences transforment le monde séculier en un monde messianique.
(…) La philosophie se dresse là, telle une structure froide et inexorable, mais cela n'empêche pas les gens d'y puiser l'inspiration.
L'idée est que, grâce à des différences subtiles et à de petites pratiques, il est possible de faire exister un seul monde à partir de tous les mondes possibles qui flottent dans notre esprit.
Chapitre 1 (Page 36)
« Même lorsque nous sommes seuls, nous sommes ensemble. »
La fin inconnue de chaque histoire
Taper et penser vers l'extérieur
L'indice qui permet de déjouer le retournement de situation vient de la dactylo.
Ce livre soutient qu'il est possible de se sentir seul et d'avoir parfois l'impression de se reposer en regardant des émissions culinaires ou en mangeant seul, car nous sommes en compagnie d'autres personnes.
Ce « corps » ne m’appartient pas uniquement.
Pour l’auteur, le corps est « l’espace que nous sommes », grâce auquel nous sommes acceptés par le monde, percevons le monde et devenons « capables de nous immerger dans les autres ».
Ce livre cite les mots de Levinas : « Accueillir l’autre, c’est remettre en question sa liberté », et affirme que même la « liberté », qui semble être le seul choix de l’individu, est créée par l’autre.
Nous voulons que la fin de notre vie ressemble à un film.
Ce livre suggère de trouver l'idée d'un renversement dans « quelque chose d'autre que moi » et de réécrire la fin grâce à la force de cette idée.
On dit que lorsqu'une philosophie change de conclusion, elle ne s'accomplit pas par la pensée solitaire, mais par la coexistence avec les autres.
Spinoza apparaît fréquemment dans ce livre, suggérant que la philosophie est toujours un mélange des genres, et que son essence réside dans l'ouverture et la liberté qui protègent les citoyens du monde.
Une prise de conscience radicale peut-elle devenir un événement quotidien ? La version finale n’est pas encore écrite.
Où se trouve la liberté ? La liberté réside dans la possibilité de donner ou de ne pas donner ce que l'on a en poche.
Avant cela, il n'y avait pas de liberté, seulement l'arbitraire.
Ce n'est qu'avec l'apparition de l'autre que la liberté, en tant que possibilité de péché, voit le jour.
Chapitre 1 (Page 44)
Entre le quotidien et les événements, le non-sens et le sens
Au cœur de la vie, on ne peut l'ignorer.
Moments de possibilité saisis par un philosophe
Les destins d'Épicure et de Socrate, deux philosophes grecs antiques qui ont suivi des chemins opposés tout au long de leur vie, se rejoignent face à la mort.
Épicure, hédoniste ne croyant pas à l'immortalité de l'âme, change le cours de ses souffrances en se remémorant une conversation avec ses amis sur la tranquillité face à une maladie incurable.
Socrate, condamné à mort, change le cours de sa propre vie en témoignant de l'immortalité de l'âme auprès de ses amis venus lui rendre visite en prison.
La suite de « La philosophie change le temps », saluée comme « un livre d’éveil qui bouleverse la vie et un modèle d’essais philosophiques » (critique Lee Dong-jin), intitulée « La philosophie change la fin », a été publiée.
Dans ce livre, le professeur Seo Dong-wook, un « philosophe qui change le cours des choses », parle du pouvoir des pensées qui modifient le destin.
Des réflexions sur des émotions comme la honte, la jalousie et le plaisir aux perspectives sur des communautés comme la naissance, la famille et la démocratie, ce livre égaye le quotidien épuisant en rendant l'ennuyeux et l'inconnu plus accessibles et le lourd plus légers.
Le levier de la pensée est à portée de main.
Dans la première partie, nous découvrons des trésors cachés dans les choses du quotidien qui composent la vie.
Par exemple, « manger » est un acte qui va au-delà de la simple expérience gustative et qui touche à la philosophie de l'existence, de la forme de la vie au vivre-ensemble.
Dans « Le Plaisir », ouvrage qui se garde bien de toute extravagance, nous montrons comment la philosophie hédoniste d'Épicure a conduit à la philosophie de Marx, et nous découvrons l'esprit de liberté et de tranquillité.
La deuxième partie aborde les expériences qui servent de leçons de vie.
De l'avis de l'auteur, un autre mot pour désigner l'expérience qui fait grandir une personne est « déception ».
Aussi amère que cela puisse être, seule l'expérience peut nous révéler nos capacités et nous faire prendre conscience de nos propres limites.
L'affirmation de ce livre selon laquelle « la philosophie change la fin » n'est ni une métaphore ni de l'optimisme.
C'est une déclaration selon laquelle nous allons changer le cours de notre vie, qui semble être déterminé par la pensée, et que la philosophie peut devenir une compétence pour la vie.
Comme deux philosophes qui ont mené des vies tumultueuses face à une fin précaire.
Lorsque la vie soulève des questions et nous oblige à y répondre, nous commençons à philosopher en réponse à ces questions.
En résumé, la philosophie n'est rien d'autre que la « pratique de la vie », l'entraînement à la vie.
La philosophie n'est pas une pratique de mort, un abandon du chaos de la vie pour la connaissance éternelle qui brille seule dans le vide, figée sur place.
Chapitre 2 (page 144)
« Il existe des différences subtiles entre les différents mondes. »
Une vie précaire, une pensée qui s'épanouit à sa lisière
À propos de petites pratiques qui changent la fin de la vie quotidienne
Deux routes se séparaient dans les bois.
Ce vers célèbre du poème de Frost « La route non prise » est une métaphore de la vie, où un seul choix peut mener à un monde complètement différent.
Ce livre explique que le « choix unique » réside en réalité dans les différences subtiles.
Partant de la théorie des mondes possibles de Leibniz, l'auteur se demande si les rencontres fortuites font réellement de l'un des innombrables mondes possibles une réalité.
Ainsi, le « Messie » que nous attendons pourrait aussi provenir de « subtiles différences ».
Ce livre bouleverse la logique habituelle grâce à une nuance subtile appelée « pensée ».
La troisième partie explore les rouages de ce monde qui se cache derrière les détails crus.
Par exemple, la nausée, bien que douloureuse, est un symbole et un enseignement selon lequel « mon existence peut être libérée à tout moment du contrôle du sujet que l’on appelle moi ».
Souvent, la « partie » est considérée comme étant au service du « tout », mais en s’appuyant sur le concept de Deleuze du « corps sans organes », l’auteur explore une nouvelle relation entre « le tout placé aux côtés des parties » et « le tout comme effet des parties ».
Ce raisonnement pourrait constituer une avancée majeure pour la démocratie, qui traverse aujourd'hui une crise.
La quatrième partie raconte l'histoire de la découverte de notre mode de vie et des vertus que nous poursuivons dans des lieux qui semblent sans rapport avec le fait de « gagner sa vie ».
L'auteur interprète la légende du crabe japonais à tête de samouraï non comme un simple conte absurde, mais comme un « fil conducteur reliant les peuples du monde disparu à ceux du présent », faisant écho à nos vies.
Je considère l'exercice physique, comme le sport, comme l'aboutissement de vertus qu'on ne peut jamais acquérir assis à un bureau : l'honnêteté, la patience, la tempérance, le courage, la coopération, etc.
Avec ce genre de renversement de perspective qui révèle des différences subtiles, pourquoi ne pas essayer nous aussi de concrétiser le monde possible au sein de la « joie, de la transaction et du monde qui existent déjà » ?
De petites différences transforment le monde séculier en un monde messianique.
(…) La philosophie se dresse là, telle une structure froide et inexorable, mais cela n'empêche pas les gens d'y puiser l'inspiration.
L'idée est que, grâce à des différences subtiles et à de petites pratiques, il est possible de faire exister un seul monde à partir de tous les mondes possibles qui flottent dans notre esprit.
Chapitre 1 (Page 36)
« Même lorsque nous sommes seuls, nous sommes ensemble. »
La fin inconnue de chaque histoire
Taper et penser vers l'extérieur
L'indice qui permet de déjouer le retournement de situation vient de la dactylo.
Ce livre soutient qu'il est possible de se sentir seul et d'avoir parfois l'impression de se reposer en regardant des émissions culinaires ou en mangeant seul, car nous sommes en compagnie d'autres personnes.
Ce « corps » ne m’appartient pas uniquement.
Pour l’auteur, le corps est « l’espace que nous sommes », grâce auquel nous sommes acceptés par le monde, percevons le monde et devenons « capables de nous immerger dans les autres ».
Ce livre cite les mots de Levinas : « Accueillir l’autre, c’est remettre en question sa liberté », et affirme que même la « liberté », qui semble être le seul choix de l’individu, est créée par l’autre.
Nous voulons que la fin de notre vie ressemble à un film.
Ce livre suggère de trouver l'idée d'un renversement dans « quelque chose d'autre que moi » et de réécrire la fin grâce à la force de cette idée.
On dit que lorsqu'une philosophie change de conclusion, elle ne s'accomplit pas par la pensée solitaire, mais par la coexistence avec les autres.
Spinoza apparaît fréquemment dans ce livre, suggérant que la philosophie est toujours un mélange des genres, et que son essence réside dans l'ouverture et la liberté qui protègent les citoyens du monde.
Une prise de conscience radicale peut-elle devenir un événement quotidien ? La version finale n’est pas encore écrite.
Où se trouve la liberté ? La liberté réside dans la possibilité de donner ou de ne pas donner ce que l'on a en poche.
Avant cela, il n'y avait pas de liberté, seulement l'arbitraire.
Ce n'est qu'avec l'apparition de l'autre que la liberté, en tant que possibilité de péché, voit le jour.
Chapitre 1 (Page 44)
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 30 octobre 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 376 pages | 480 g | 145 × 215 × 22 mm
- ISBN13 : 9791173323959
- ISBN10 : 1173323953
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