
Un médecin qui s'est rendu dans un musée d'art
Description
Introduction au livre
La médecine est une discipline qui répond à la souffrance des autres !
L’appréciation de l’art est un programme de formation qui favorise l’empathie, une compétence essentielle pour les professionnels de la santé.
Il y a des médecins qui passent le plus clair de leur temps dans les galeries d'art après avoir passé le plus clair de leur temps à la clinique.
Aujourd'hui encore, il enlève sa blouse blanche, quitte l'hôpital et se dirige vers la galerie d'art.
Pourquoi est-il allé au musée d'art ? La médecine et l'art, domaines apparemment contradictoires, partagent un dénominateur commun : l'humanité.
Au cœur de la médecine et de l'art se trouvent des êtres humains dont le destin est fait de naissance, de vieillissement, de maladie et de mort.
Il existe des tableaux qui dépeignent avec force des personnes souffrant de maladies, comme « La diphtérie » de Goya, tandis que d'autres explorent l'inconscient au plus profond de la psyché humaine, comme « Le Cauchemar » de Fuseli.
La « Vierge à l'Enfant avec le conseiller Joris van der Paele » de Jan van Eyck projette la maladie avec plus de détails que même les équipements médicaux les plus avancés, tels qu'un scanner.
Pour un médecin, une galerie d'art est une clinique, et les personnages sur la toile ne sont pas différents des patients qui visitent la clinique.
Les personnages du tableau souffrent de maladie, leurs corps et leurs esprits en étant rongés, et déplorent la finitude de la vie.
Et parfois, ils affrontent la maladie avec confiance et ils la vainquent.
Leurs confessions sont les histoires humaines les plus universelles car elles contiennent une souffrance existentielle humaine.
Ce livre ne se contente pas de présenter les grands tournants de la médecine, il explique également la médecine de manière simple et accessible grâce aux mots d'un charmant conteur nommé Myeong-hwa.
Depuis sa première publication il y a plus de sept ans, les experts médicaux et pédagogiques placent systématiquement « Le médecin qui est allé au musée d'art » en tête de leur liste de lectures incontournables pour l'admission en faculté de médecine, notamment pour les entretiens à choix multiples, les lettres de motivation et les dissertations médicales.
La médecine est une discipline qui répond à la souffrance des autres.
L'empathie, la capacité à communiquer avec les patients et à comprendre leur douleur, est la compétence la plus importante pour un médecin.
En ce sens, apprécier les œuvres d'art capturées par des artistes dotés d'une grande sensibilité est un bon entraînement pour développer l'empathie.
De plus, grâce à ce livre, qui interroge constamment le rôle de la médecine et des médecins, vous pouvez cultiver les vertus nécessaires aux professionnels de la santé.
L’appréciation de l’art est un programme de formation qui favorise l’empathie, une compétence essentielle pour les professionnels de la santé.
Il y a des médecins qui passent le plus clair de leur temps dans les galeries d'art après avoir passé le plus clair de leur temps à la clinique.
Aujourd'hui encore, il enlève sa blouse blanche, quitte l'hôpital et se dirige vers la galerie d'art.
Pourquoi est-il allé au musée d'art ? La médecine et l'art, domaines apparemment contradictoires, partagent un dénominateur commun : l'humanité.
Au cœur de la médecine et de l'art se trouvent des êtres humains dont le destin est fait de naissance, de vieillissement, de maladie et de mort.
Il existe des tableaux qui dépeignent avec force des personnes souffrant de maladies, comme « La diphtérie » de Goya, tandis que d'autres explorent l'inconscient au plus profond de la psyché humaine, comme « Le Cauchemar » de Fuseli.
La « Vierge à l'Enfant avec le conseiller Joris van der Paele » de Jan van Eyck projette la maladie avec plus de détails que même les équipements médicaux les plus avancés, tels qu'un scanner.
Pour un médecin, une galerie d'art est une clinique, et les personnages sur la toile ne sont pas différents des patients qui visitent la clinique.
Les personnages du tableau souffrent de maladie, leurs corps et leurs esprits en étant rongés, et déplorent la finitude de la vie.
Et parfois, ils affrontent la maladie avec confiance et ils la vainquent.
Leurs confessions sont les histoires humaines les plus universelles car elles contiennent une souffrance existentielle humaine.
Ce livre ne se contente pas de présenter les grands tournants de la médecine, il explique également la médecine de manière simple et accessible grâce aux mots d'un charmant conteur nommé Myeong-hwa.
Depuis sa première publication il y a plus de sept ans, les experts médicaux et pédagogiques placent systématiquement « Le médecin qui est allé au musée d'art » en tête de leur liste de lectures incontournables pour l'admission en faculté de médecine, notamment pour les entretiens à choix multiples, les lettres de motivation et les dissertations médicales.
La médecine est une discipline qui répond à la souffrance des autres.
L'empathie, la capacité à communiquer avec les patients et à comprendre leur douleur, est la compétence la plus importante pour un médecin.
En ce sens, apprécier les œuvres d'art capturées par des artistes dotés d'une grande sensibilité est un bon entraînement pour développer l'empathie.
De plus, grâce à ce livre, qui interroge constamment le rôle de la médecine et des médecins, vous pouvez cultiver les vertus nécessaires aux professionnels de la santé.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Préface à l’édition révisée : Étudier comment répondre à la souffrance d’autrui
Préface : Écouter le souffle de l'art et de la médecine avec un stéthoscope
Chapitre 1.
La maladie qui a changé le monde
01.
De toutes petites choses dangereuses qui raffolent du sang humain
Le pauvre poète, Carl Spitzbeck
02.
Cadavres ayant contribué au développement de la médecine moderne
: La leçon d'anatomie du Dr Willem van der Meer, par Michiel Jans van Miervelt
03.
La peste, une catastrophe qui a complètement bouleversé les fondements de l'Europe
Saint Sébastien plaidant pour les victimes de la peste, par José Rifférins
04.
Entre médecine et humanité
Le Docteur, Luke Fildes
05.
La gagnante de la Première Guerre mondiale, la grippe espagnole
« Famille », Egon Schiele
06.
La maladie de Hansen, favorisée par nos propres préjugés
: "Les Mendiants", Pieter Bruegel l'Ancien
07.
Un amour qui a laissé derrière lui une « fleur de chagrin »
La Mort d'Hyacinthe, Jean Broc
08.
Le cancer de l'estomac qui a mis à genoux un héros sans pareil
Napoléon dans son cabinet de travail au palais des Tuileries, Jacques-Louis David
09.
La diphtérie, qui a emporté la vie d'innombrables bébés anges
Diphtérie, Francisco Goya
Chapitre 2.
La maladie devenue le pinceau du peintre
01.
Vive la « Fée Verte » qui réconfortait les artistes et les ouvriers pauvres !
Un verre d'absinthe, Edgar Degas
02.
Les gens qui vivent dans l'obscurité
Espoir, George Frederick Watts
03.
Bon sommeil, mauvais sommeil, sommeil bizarre
« Cauchemar » de Henry Fuseli
04.
Des charlatans qui bafouent le serment d'Hippocrate
« Retirer la pierre », Jérôme Bosch
05.
Vincent van Gogh et deux docteurs
Portrait du docteur Félix Rey, Vincent van Gogh
06.
Un décès, trois points de vue contradictoires
La Mort de Marat, Jacques-Louis David
07.
L'addiction au jeu, un jeu voué à la destruction
Le joueur de cartes tricheur, Georges de La Tour
08.
Trouble de stress post-traumatique qui se développe après une catastrophe mettant la vie en danger.
« Tarquin et Lucrèce », Titien
09.
Le destin qui guette les « marcheurs nocturnes » : une maladie génétique
Cafetière, Toulouse-Lautrec
Chapitre 3.
Ordonnance trouvée sur toile
01.
Papillon sur le cou, glande thyroïde
« Roger sauvant Angélique », Jean-Auguste-Dominique Ingres
02.
Les deux visages du vin
Bacchus malade, Caravage
03.
Orientalisme et suicide, présentés de manière sensuelle et mystérieuse
La Mort de Cléopâtre, Guido Reni
04.
Le nanisme, un handicap créé par un monde qui valorise la supériorité fondée sur les caractéristiques physiques
Le Garçon aux jambes arquées, Giuseppe de Rivera
05.
Maladie du corps et de l'esprit causée par un amour indifférent
: La Visite du Docteur, Frans Van Miris
06.
Fascination à couper le souffle : le syndrome de Stendhal
: Portrait de Béatrice Cenci, Elisabetta Sirani
07.
Le premier cadeau d'une mère à son bébé, le lait maternel
: La Vierge de Rita, Léonard de Vinci
08.
La goutte qui fait mal même quand le vent souffle
: La goutte, James Gillray
09.
L'œil est la lampe du corps ; si ton œil est sain, il brillera de mille feux.
La Vierge à l'Enfant avec le conseiller Joris van der Paele, Jan van Eyck
Chapitre 4.
Mythes et religions qui ont créé un riche récit en médecine
01.
La roue tragique du destin qui a inspiré les rêves de Freud
Œdipe et le Sphinx, Gustave Moreau
02.
Le narcissisme, la jonquille qui fleurit en moi
Narcisse, Giulio Ventur
03.
Une mère sans cœur qui a tué son enfant de ses propres mains est à l'origine de la médecine.
Médée en difficulté, Anselm Feuerbach
04.
se suicider
Le suicide de Judas, James Tissot
05.
Des échos qui diagnostiquent et traitent les maladies
: Echo, Alexandre Cabanel
06.
Violence du regard, voyeurisme
Lady Godiva, John Collier
07.
Redécouvrir le sommeil, cette chose inutile et incomprise de la vie
Le sommeil et la mort de son frère, John William Waterhouse
08.
Le don de Prométhée à l'humanité avant le feu
: Prométhée, Giuseppe de Ribera
09.
Atlas soutenant la tête humaine, un « petit univers du corps humain »
Atlas et les Hespérides, John Singer Sargent
Recherche d'œuvres/Recherche de personnes
Préface : Écouter le souffle de l'art et de la médecine avec un stéthoscope
Chapitre 1.
La maladie qui a changé le monde
01.
De toutes petites choses dangereuses qui raffolent du sang humain
Le pauvre poète, Carl Spitzbeck
02.
Cadavres ayant contribué au développement de la médecine moderne
: La leçon d'anatomie du Dr Willem van der Meer, par Michiel Jans van Miervelt
03.
La peste, une catastrophe qui a complètement bouleversé les fondements de l'Europe
Saint Sébastien plaidant pour les victimes de la peste, par José Rifférins
04.
Entre médecine et humanité
Le Docteur, Luke Fildes
05.
La gagnante de la Première Guerre mondiale, la grippe espagnole
« Famille », Egon Schiele
06.
La maladie de Hansen, favorisée par nos propres préjugés
: "Les Mendiants", Pieter Bruegel l'Ancien
07.
Un amour qui a laissé derrière lui une « fleur de chagrin »
La Mort d'Hyacinthe, Jean Broc
08.
Le cancer de l'estomac qui a mis à genoux un héros sans pareil
Napoléon dans son cabinet de travail au palais des Tuileries, Jacques-Louis David
09.
La diphtérie, qui a emporté la vie d'innombrables bébés anges
Diphtérie, Francisco Goya
Chapitre 2.
La maladie devenue le pinceau du peintre
01.
Vive la « Fée Verte » qui réconfortait les artistes et les ouvriers pauvres !
Un verre d'absinthe, Edgar Degas
02.
Les gens qui vivent dans l'obscurité
Espoir, George Frederick Watts
03.
Bon sommeil, mauvais sommeil, sommeil bizarre
« Cauchemar » de Henry Fuseli
04.
Des charlatans qui bafouent le serment d'Hippocrate
« Retirer la pierre », Jérôme Bosch
05.
Vincent van Gogh et deux docteurs
Portrait du docteur Félix Rey, Vincent van Gogh
06.
Un décès, trois points de vue contradictoires
La Mort de Marat, Jacques-Louis David
07.
L'addiction au jeu, un jeu voué à la destruction
Le joueur de cartes tricheur, Georges de La Tour
08.
Trouble de stress post-traumatique qui se développe après une catastrophe mettant la vie en danger.
« Tarquin et Lucrèce », Titien
09.
Le destin qui guette les « marcheurs nocturnes » : une maladie génétique
Cafetière, Toulouse-Lautrec
Chapitre 3.
Ordonnance trouvée sur toile
01.
Papillon sur le cou, glande thyroïde
« Roger sauvant Angélique », Jean-Auguste-Dominique Ingres
02.
Les deux visages du vin
Bacchus malade, Caravage
03.
Orientalisme et suicide, présentés de manière sensuelle et mystérieuse
La Mort de Cléopâtre, Guido Reni
04.
Le nanisme, un handicap créé par un monde qui valorise la supériorité fondée sur les caractéristiques physiques
Le Garçon aux jambes arquées, Giuseppe de Rivera
05.
Maladie du corps et de l'esprit causée par un amour indifférent
: La Visite du Docteur, Frans Van Miris
06.
Fascination à couper le souffle : le syndrome de Stendhal
: Portrait de Béatrice Cenci, Elisabetta Sirani
07.
Le premier cadeau d'une mère à son bébé, le lait maternel
: La Vierge de Rita, Léonard de Vinci
08.
La goutte qui fait mal même quand le vent souffle
: La goutte, James Gillray
09.
L'œil est la lampe du corps ; si ton œil est sain, il brillera de mille feux.
La Vierge à l'Enfant avec le conseiller Joris van der Paele, Jan van Eyck
Chapitre 4.
Mythes et religions qui ont créé un riche récit en médecine
01.
La roue tragique du destin qui a inspiré les rêves de Freud
Œdipe et le Sphinx, Gustave Moreau
02.
Le narcissisme, la jonquille qui fleurit en moi
Narcisse, Giulio Ventur
03.
Une mère sans cœur qui a tué son enfant de ses propres mains est à l'origine de la médecine.
Médée en difficulté, Anselm Feuerbach
04.
se suicider
Le suicide de Judas, James Tissot
05.
Des échos qui diagnostiquent et traitent les maladies
: Echo, Alexandre Cabanel
06.
Violence du regard, voyeurisme
Lady Godiva, John Collier
07.
Redécouvrir le sommeil, cette chose inutile et incomprise de la vie
Le sommeil et la mort de son frère, John William Waterhouse
08.
Le don de Prométhée à l'humanité avant le feu
: Prométhée, Giuseppe de Ribera
09.
Atlas soutenant la tête humaine, un « petit univers du corps humain »
Atlas et les Hespérides, John Singer Sargent
Recherche d'œuvres/Recherche de personnes
Image détaillée

Avis de l'éditeur
Pourquoi un médecin est-il allé dans un musée d'art ?
Il y a des médecins qui passent le plus clair de leur temps dans les galeries d'art après avoir passé le plus clair de leur temps à la clinique.
Aujourd'hui encore, il enlève sa blouse blanche, quitte l'hôpital et se dirige vers la galerie d'art.
Pourquoi est-il allé au musée d'art ? La médecine et l'art, domaines apparemment contradictoires, partagent un dénominateur commun : l'humanité.
Au cœur de la médecine et de l'art se trouvent des êtres humains qui font l'expérience de la naissance, du vieillissement, de la maladie et de la mort.
Il existe des tableaux qui dépeignent avec force des personnes souffrant de maladies, comme « La diphtérie » de Goya, tandis que d'autres explorent l'inconscient au plus profond de la psyché humaine, comme « Le Cauchemar » de Fuseli.
La « Vierge à l'Enfant avec le conseiller Joris van der Paele » de Jan van Eyck projette la maladie avec plus de détails que même les équipements médicaux les plus avancés, tels qu'un scanner.
Pour les professionnels de la santé, l'art est un « témoignage de l'humanité » qui aspire à la perfection du corps et de l'esprit, c'est-à-dire un « témoignage de toute une vie » des efforts humains pour vivre en bonne santé.
Si vous tendez l'oreille à la toile avec un stéthoscope, vous pourrez entendre l'histoire d'un être humain se tenant quelque part entre la vie et la mort.
Écoutez le souffle des tableaux célèbres et de la médecine à travers un stéthoscope !
La naissance, le vieillissement, la maladie et la mort constituent la « trajectoire de vie » que tous les êtres humains portent en eux comme leur destin.
La trajectoire de la vie d'une personne peut être clairement perçue à travers quelques tableaux célèbres.
Napoléon, mort en 1821, est une figure constamment entourée de théories du complot concernant les causes de sa mort, notamment la théorie de l'« empoisonnement » et celle de l'« empoisonnement à l'arsenic ».
La clé pour résoudre le mystère de la signature de Napoléon se trouve au musée d'art.
Les trois célèbres portraits de Napoléon, peints au fil du temps, illustrent de manière concise la vie, le vieillissement, la maladie et la mort de Napoléon.
Dans le tableau de David, représentant Napoléon dans son cabinet de travail au palais des Tuileries, on peut voir les premiers symptômes du cancer de l'estomac dont souffrait Napoléon.
Sur le tableau, on voit Napoléon déboutonner quelques boutons de son gilet et glisser sa main droite à l'intérieur.
Cette pose, que l'on retrouve fréquemment dans les œuvres d'autres artistes représentant Napoléon, fut adoptée pour soulager les douleurs de la région pubienne.
Napoléon mourut six ans plus tard en exil sur l'île de Sainte-Hélène, après une vie mêlée de gloire et de honte.
Le tableau de Vernet, « Napoléon sur son lit de mort », qui représente les derniers instants de Napoléon, corrobore également la théorie selon laquelle la cause du décès serait un cancer de l'estomac.
Napoléon, sur le tableau, est émacié et desséché.
Cela contraste fortement avec la figure ventrue du Napoléon Bonaparte à Fontainebleau de Delaroche, qui le représente quelques mois avant son exil.
Le cancer gastrique s’accompagne de symptômes tels que la perte de poids, la perte d’appétit et la fonte des tissus adipeux et musculaires (p. 90).
Observer un chef-d'œuvre sous un angle médical ouvre une nouvelle perspective d'interprétation !
Pour un médecin, une galerie d'art est une clinique, et les personnages sur la toile ne sont pas différents des patients qui visitent la clinique.
Les personnages du tableau souffrent d'une maladie qui les consume corps et esprit, et déplorent la finitude de la vie.
Et parfois, ils affrontent la maladie avec confiance et ils la vainquent.
Leurs confessions sont les histoires humaines les plus universelles car elles contiennent une souffrance existentielle humaine.
Dans le tableau de Caravage intitulé « Bacchus malade », Bacchus semble, au premier abord, très malade.
Le visage du jeune Bacchus, qui devrait rayonner de vie, est pâle et ses lèvres sont blanches.
Quand je regarde ses yeux, le blanc de ses yeux est jaunâtre.
Il s'agit d'un symptôme de jaunisse que l'on peut observer chez les patients atteints d'hépatite.
La bilirubine est un pigment jaune produit lorsque les globules rouges morts sont décomposés dans le foie, et est excrété par le foie avec les globules rouges morts dans la bile.
Cependant, en cas de maladie du foie, la bilirubine n'est pas excrétée, ce qui entraîne une jaunisse.
« Bacchus malade » est un autoportrait de Caravage, qui souffrait d’une hépatite causée par un alcoolisme aigu après avoir été incapable de manger correctement et avoir compté sur l’alcool pour ses repas (p. 224).
On y voit une photo d'un homme qui peine à soutenir un ciel immense.
Il s'agit d'Atlas, puni par la colère de Zeus et contraint de porter le ciel.
L'« Atlas et les Hespérides » de Sargent représente une scène de la mythologie gréco-romaine, mais pour un médecin, elle n'est pas différente d'une radiographie de notre corps.
Le nom de l'os situé en haut de la colonne vertébrale (la première vertèbre cervicale) qui soutient la tête, qui pèse de 4 à 7 kg, soit plus lourd qu'une pastèque, est « atlas ».
Pour les gens modernes, le ciel représenté par Atlas se compose d'appareils numériques comme les smartphones.
À cause des appareils numériques que nous gardons entre nos mains 24 heures sur 24, l’atlas à l’intérieur de notre corps se transforme en col roulé (page 400).
Il y a un tableau représentant une cafetière à bec court, dessiné avec des coups de pinceau grossiers.
La forme de la cafetière, avec son corps imposant et ses pieds fins et courts, paraît étrange.
Ce tableau, intitulé « Cafetière », n'est pas une nature morte.
Autoportrait d'un homme qui savait décrire avec esprit son handicap en disant : « Mon corps a la forme d'une cafetière avec un bec trop grand. »
Avec des jambes courtes qui avaient cessé de grandir à cause d’une maladie génétique, une tête disproportionnée et un corps dodu, Lautrec se dessinait sur la toile en utilisant la forme d’une cafetière (p. 198).
Des fléaux qui ont décimé des civilisations aux cicatrices de nos cœurs.
Histoires médicales tirées de tableaux célèbres rencontrées aux abords de la clinique
Lee Jung-seob, ayant perdu son fils à cause de la diphtérie, se réveilla et peignit un tableau.
Lorsque le poète l'interrogea sur le tableau, il répondit ceci.
« J’ai dessiné des amis pour que notre bébé ne s’ennuie pas sur le chemin du paradis. »
« J’ai aussi dessiné une pêche pour qu’il n’ait pas faim. » Lee Jung-seob a enterré le corps de son fils et le tableau ensemble dans un petit cercueil en bois (page 106).
Lautrec, qui souffrait d’une maladie osseuse congénitale appelée dysostose pycnotique, a déclaré : « Si mes jambes avaient été un peu plus longues, je n’aurais jamais peint » (p. 211).
Les maladies dont souffraient les peintres et les images de personnes atteintes de ces maladies sont devenues les « pinceaux » qui ont servi d'accoucheuses à de nombreux chefs-d'œuvre.
Des épidémies mortelles comme la peste et la grippe espagnole ont changé le cours de l'histoire humaine, accélérant le déclin et la chute des civilisations.
Le monde tragique ravagé par l'épidémie a été dépeint sur la toile avec plus de vivacité que n'importe quel document médical.
Certaines maladies représentées dans les peintures anciennes, comme l'hépatite, la goutte, le pied bot et le complexe de Médée, constituent encore une menace aujourd'hui.
À travers des tableaux célèbres, ce livre explique les tournants clés de la médecine, notamment les épidémies mortelles qui ont ravagé l'humanité, l'émergence des chirurgiens, le développement des antibiotiques et des vaccins, la naissance de la psychanalyse et l'apparition d'équipements médicaux de pointe comme l'échographie.
Lectures incontournables pour la préparation aux entretiens multiples (MMI), aux lettres de motivation et aux dissertations médicales en faculté de médecine
L'admission en faculté de médecine évalue non seulement les aptitudes académiques du candidat, mais aussi les qualités non cognitives nécessaires à la profession de médecin, et ce, sous différents angles.
L’une des méthodes d’évaluation représentatives est l’« Entretien à mini-manipulations multiples (EMM) », qui évalue l’empathie, les compétences en communication et la conscience situationnelle. L’EMM présente aux candidats diverses situations facultatives qu’ils pourraient rencontrer dans le domaine médical et leur demande comment ils les géreraient.
Les activités de lecture consignées dans le carnet de suivi de l'élève (carnet de vie) sont également très importantes pour l'admission en faculté de médecine, car les qualités nécessaires à un médecin, telles que l'empathie et les compétences en communication, sont proportionnelles au niveau d'alphabétisation.
Depuis plus de sept ans que la première édition a été publiée, les experts médicaux et pédagogiques n'ont pas hésité à placer « Le médecin-chercheur qui est allé au musée d'art » en tête de leur liste de lectures incontournables pour l'admission en faculté de médecine, notamment pour les entretiens à choix multiples, les lettres de motivation et les dissertations médicales.
La médecine est une discipline qui répond à la souffrance des autres.
Car l'objet de la médecine, ce sont les êtres humains qui souffrent des douleurs de la maladie.
L'empathie, la capacité à communiquer avec les patients et à comprendre leur douleur, est la compétence la plus importante pour un médecin.
En ce sens, apprécier les œuvres de l'artiste, qui capturent avec une grande sensibilité tout, des maladies infectieuses aux émotions brutes du cœur, est un bon entraînement pour développer l'empathie.
De plus, cet ouvrage, qui remet constamment en question le rôle de la médecine et des médecins, constitue un excellent manuel pour cultiver les vertus nécessaires aux professionnels de la santé.
ㆍLe « massacreur » qui a tué le plus de personnes en 200 000 ans est toujours parmi nous !
Le portrait de Napoléon par David détient la clé pour résoudre le mystère de la cause de la mort de Napoléon !
Quelle maladie Jan van Eyck a-t-il projetée sur sa toile avec plus de clarté que n'importe quel équipement de diagnostic de pointe ?
Van Gogh est une victime d'erreur médicale qui a perdu la vie à cause de la négligence du Dr Gachet !
ㆍLe Bacchus du Caravage souffre d'une « hépatite due à un alcoolisme aigu » !
• Pourquoi Léonard de Vinci, qui connaissait parfaitement l'anatomie, a-t-il dessiné les seins de la Vierge Marie plus haut que là où ils devraient être en réalité ?
• Pourquoi les pointures de chaussures sont-elles différentes dans le Portrait de Charles Quint, empereur du Saint-Empire romain germanique, par Titien ?
« Quelle est l’erreur fatale dans le livre de Prométhée, qui décrit de manière si vivante la souffrance de Prométhée dont le foie est dévoré par un aigle ? »
« La peste qui a dévoré un tiers de la population européenne a commencé avec un seul cadavre que les Mongols ont jeté dans un château à l'aide d'une catapulte ! »
- Lors de la rédaction de ma lettre de motivation pour l'Université nationale de Séoul, j'ai utilisé ce livre, qui associe sciences de la vie et art, pour démontrer mon adéquation avec cette filière.
_ Kim** (Faculté de médecine de l'Université nationale de Séoul, promotion 2019)
Il y a des médecins qui passent le plus clair de leur temps dans les galeries d'art après avoir passé le plus clair de leur temps à la clinique.
Aujourd'hui encore, il enlève sa blouse blanche, quitte l'hôpital et se dirige vers la galerie d'art.
Pourquoi est-il allé au musée d'art ? La médecine et l'art, domaines apparemment contradictoires, partagent un dénominateur commun : l'humanité.
Au cœur de la médecine et de l'art se trouvent des êtres humains qui font l'expérience de la naissance, du vieillissement, de la maladie et de la mort.
Il existe des tableaux qui dépeignent avec force des personnes souffrant de maladies, comme « La diphtérie » de Goya, tandis que d'autres explorent l'inconscient au plus profond de la psyché humaine, comme « Le Cauchemar » de Fuseli.
La « Vierge à l'Enfant avec le conseiller Joris van der Paele » de Jan van Eyck projette la maladie avec plus de détails que même les équipements médicaux les plus avancés, tels qu'un scanner.
Pour les professionnels de la santé, l'art est un « témoignage de l'humanité » qui aspire à la perfection du corps et de l'esprit, c'est-à-dire un « témoignage de toute une vie » des efforts humains pour vivre en bonne santé.
Si vous tendez l'oreille à la toile avec un stéthoscope, vous pourrez entendre l'histoire d'un être humain se tenant quelque part entre la vie et la mort.
Écoutez le souffle des tableaux célèbres et de la médecine à travers un stéthoscope !
La naissance, le vieillissement, la maladie et la mort constituent la « trajectoire de vie » que tous les êtres humains portent en eux comme leur destin.
La trajectoire de la vie d'une personne peut être clairement perçue à travers quelques tableaux célèbres.
Napoléon, mort en 1821, est une figure constamment entourée de théories du complot concernant les causes de sa mort, notamment la théorie de l'« empoisonnement » et celle de l'« empoisonnement à l'arsenic ».
La clé pour résoudre le mystère de la signature de Napoléon se trouve au musée d'art.
Les trois célèbres portraits de Napoléon, peints au fil du temps, illustrent de manière concise la vie, le vieillissement, la maladie et la mort de Napoléon.
Dans le tableau de David, représentant Napoléon dans son cabinet de travail au palais des Tuileries, on peut voir les premiers symptômes du cancer de l'estomac dont souffrait Napoléon.
Sur le tableau, on voit Napoléon déboutonner quelques boutons de son gilet et glisser sa main droite à l'intérieur.
Cette pose, que l'on retrouve fréquemment dans les œuvres d'autres artistes représentant Napoléon, fut adoptée pour soulager les douleurs de la région pubienne.
Napoléon mourut six ans plus tard en exil sur l'île de Sainte-Hélène, après une vie mêlée de gloire et de honte.
Le tableau de Vernet, « Napoléon sur son lit de mort », qui représente les derniers instants de Napoléon, corrobore également la théorie selon laquelle la cause du décès serait un cancer de l'estomac.
Napoléon, sur le tableau, est émacié et desséché.
Cela contraste fortement avec la figure ventrue du Napoléon Bonaparte à Fontainebleau de Delaroche, qui le représente quelques mois avant son exil.
Le cancer gastrique s’accompagne de symptômes tels que la perte de poids, la perte d’appétit et la fonte des tissus adipeux et musculaires (p. 90).
Observer un chef-d'œuvre sous un angle médical ouvre une nouvelle perspective d'interprétation !
Pour un médecin, une galerie d'art est une clinique, et les personnages sur la toile ne sont pas différents des patients qui visitent la clinique.
Les personnages du tableau souffrent d'une maladie qui les consume corps et esprit, et déplorent la finitude de la vie.
Et parfois, ils affrontent la maladie avec confiance et ils la vainquent.
Leurs confessions sont les histoires humaines les plus universelles car elles contiennent une souffrance existentielle humaine.
Dans le tableau de Caravage intitulé « Bacchus malade », Bacchus semble, au premier abord, très malade.
Le visage du jeune Bacchus, qui devrait rayonner de vie, est pâle et ses lèvres sont blanches.
Quand je regarde ses yeux, le blanc de ses yeux est jaunâtre.
Il s'agit d'un symptôme de jaunisse que l'on peut observer chez les patients atteints d'hépatite.
La bilirubine est un pigment jaune produit lorsque les globules rouges morts sont décomposés dans le foie, et est excrété par le foie avec les globules rouges morts dans la bile.
Cependant, en cas de maladie du foie, la bilirubine n'est pas excrétée, ce qui entraîne une jaunisse.
« Bacchus malade » est un autoportrait de Caravage, qui souffrait d’une hépatite causée par un alcoolisme aigu après avoir été incapable de manger correctement et avoir compté sur l’alcool pour ses repas (p. 224).
On y voit une photo d'un homme qui peine à soutenir un ciel immense.
Il s'agit d'Atlas, puni par la colère de Zeus et contraint de porter le ciel.
L'« Atlas et les Hespérides » de Sargent représente une scène de la mythologie gréco-romaine, mais pour un médecin, elle n'est pas différente d'une radiographie de notre corps.
Le nom de l'os situé en haut de la colonne vertébrale (la première vertèbre cervicale) qui soutient la tête, qui pèse de 4 à 7 kg, soit plus lourd qu'une pastèque, est « atlas ».
Pour les gens modernes, le ciel représenté par Atlas se compose d'appareils numériques comme les smartphones.
À cause des appareils numériques que nous gardons entre nos mains 24 heures sur 24, l’atlas à l’intérieur de notre corps se transforme en col roulé (page 400).
Il y a un tableau représentant une cafetière à bec court, dessiné avec des coups de pinceau grossiers.
La forme de la cafetière, avec son corps imposant et ses pieds fins et courts, paraît étrange.
Ce tableau, intitulé « Cafetière », n'est pas une nature morte.
Autoportrait d'un homme qui savait décrire avec esprit son handicap en disant : « Mon corps a la forme d'une cafetière avec un bec trop grand. »
Avec des jambes courtes qui avaient cessé de grandir à cause d’une maladie génétique, une tête disproportionnée et un corps dodu, Lautrec se dessinait sur la toile en utilisant la forme d’une cafetière (p. 198).
Des fléaux qui ont décimé des civilisations aux cicatrices de nos cœurs.
Histoires médicales tirées de tableaux célèbres rencontrées aux abords de la clinique
Lee Jung-seob, ayant perdu son fils à cause de la diphtérie, se réveilla et peignit un tableau.
Lorsque le poète l'interrogea sur le tableau, il répondit ceci.
« J’ai dessiné des amis pour que notre bébé ne s’ennuie pas sur le chemin du paradis. »
« J’ai aussi dessiné une pêche pour qu’il n’ait pas faim. » Lee Jung-seob a enterré le corps de son fils et le tableau ensemble dans un petit cercueil en bois (page 106).
Lautrec, qui souffrait d’une maladie osseuse congénitale appelée dysostose pycnotique, a déclaré : « Si mes jambes avaient été un peu plus longues, je n’aurais jamais peint » (p. 211).
Les maladies dont souffraient les peintres et les images de personnes atteintes de ces maladies sont devenues les « pinceaux » qui ont servi d'accoucheuses à de nombreux chefs-d'œuvre.
Des épidémies mortelles comme la peste et la grippe espagnole ont changé le cours de l'histoire humaine, accélérant le déclin et la chute des civilisations.
Le monde tragique ravagé par l'épidémie a été dépeint sur la toile avec plus de vivacité que n'importe quel document médical.
Certaines maladies représentées dans les peintures anciennes, comme l'hépatite, la goutte, le pied bot et le complexe de Médée, constituent encore une menace aujourd'hui.
À travers des tableaux célèbres, ce livre explique les tournants clés de la médecine, notamment les épidémies mortelles qui ont ravagé l'humanité, l'émergence des chirurgiens, le développement des antibiotiques et des vaccins, la naissance de la psychanalyse et l'apparition d'équipements médicaux de pointe comme l'échographie.
Lectures incontournables pour la préparation aux entretiens multiples (MMI), aux lettres de motivation et aux dissertations médicales en faculté de médecine
L'admission en faculté de médecine évalue non seulement les aptitudes académiques du candidat, mais aussi les qualités non cognitives nécessaires à la profession de médecin, et ce, sous différents angles.
L’une des méthodes d’évaluation représentatives est l’« Entretien à mini-manipulations multiples (EMM) », qui évalue l’empathie, les compétences en communication et la conscience situationnelle. L’EMM présente aux candidats diverses situations facultatives qu’ils pourraient rencontrer dans le domaine médical et leur demande comment ils les géreraient.
Les activités de lecture consignées dans le carnet de suivi de l'élève (carnet de vie) sont également très importantes pour l'admission en faculté de médecine, car les qualités nécessaires à un médecin, telles que l'empathie et les compétences en communication, sont proportionnelles au niveau d'alphabétisation.
Depuis plus de sept ans que la première édition a été publiée, les experts médicaux et pédagogiques n'ont pas hésité à placer « Le médecin-chercheur qui est allé au musée d'art » en tête de leur liste de lectures incontournables pour l'admission en faculté de médecine, notamment pour les entretiens à choix multiples, les lettres de motivation et les dissertations médicales.
La médecine est une discipline qui répond à la souffrance des autres.
Car l'objet de la médecine, ce sont les êtres humains qui souffrent des douleurs de la maladie.
L'empathie, la capacité à communiquer avec les patients et à comprendre leur douleur, est la compétence la plus importante pour un médecin.
En ce sens, apprécier les œuvres de l'artiste, qui capturent avec une grande sensibilité tout, des maladies infectieuses aux émotions brutes du cœur, est un bon entraînement pour développer l'empathie.
De plus, cet ouvrage, qui remet constamment en question le rôle de la médecine et des médecins, constitue un excellent manuel pour cultiver les vertus nécessaires aux professionnels de la santé.
ㆍLe « massacreur » qui a tué le plus de personnes en 200 000 ans est toujours parmi nous !
Le portrait de Napoléon par David détient la clé pour résoudre le mystère de la cause de la mort de Napoléon !
Quelle maladie Jan van Eyck a-t-il projetée sur sa toile avec plus de clarté que n'importe quel équipement de diagnostic de pointe ?
Van Gogh est une victime d'erreur médicale qui a perdu la vie à cause de la négligence du Dr Gachet !
ㆍLe Bacchus du Caravage souffre d'une « hépatite due à un alcoolisme aigu » !
• Pourquoi Léonard de Vinci, qui connaissait parfaitement l'anatomie, a-t-il dessiné les seins de la Vierge Marie plus haut que là où ils devraient être en réalité ?
• Pourquoi les pointures de chaussures sont-elles différentes dans le Portrait de Charles Quint, empereur du Saint-Empire romain germanique, par Titien ?
« Quelle est l’erreur fatale dans le livre de Prométhée, qui décrit de manière si vivante la souffrance de Prométhée dont le foie est dévoré par un aigle ? »
« La peste qui a dévoré un tiers de la population européenne a commencé avec un seul cadavre que les Mongols ont jeté dans un château à l'aide d'une catapulte ! »
- Lors de la rédaction de ma lettre de motivation pour l'Université nationale de Séoul, j'ai utilisé ce livre, qui associe sciences de la vie et art, pour démontrer mon adéquation avec cette filière.
_ Kim** (Faculté de médecine de l'Université nationale de Séoul, promotion 2019)
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 5 septembre 2024
Nombre de pages, poids, dimensions : 424 pages | 712 g | 150 × 210 × 25 mm
- ISBN13 : 9791192229430
- ISBN10 : 1192229436
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Langue coréenne
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