
L'homme qui a planté un arbre
Description
Introduction au livre
Un best-seller mondial traduit en 25 langues à travers le monde.
Elle nous enseigne la voie à suivre face à une grave crise de la civilisation et de l'environnement.
Un roman émouvant et réconfortant qui change les gens et le monde !
Une édition révisée et republiée avec de magnifiques illustrations en couleur de Choi Su-yeon, l'illustratrice coréenne de renom.
Une superbe fable, débordante de saveur littéraire et de message !
Ce roman raconte l'histoire d'un homme qui, pendant des décennies, a semé l'espoir et cultivé le bonheur, transformant une terre aride et désolée en une forêt luxuriante. L'auteur a écrit une première version inspirée de sa propre expérience, qu'il a ensuite peaufinée pendant vingt ans pour achever son œuvre.
Depuis sa première publication en 1953, il a été traduit en 25 langues et est largement lu dans le monde entier.
Si une œuvre aussi courte laisse une impression et une résonance si profondes sur nous, c'est parce qu'elle transmet un message puissant, empreint d'une profonde saveur littéraire.
À une époque de destruction où l'air, l'eau et la terre se meurent et où tous les êtres vivants souffrent, voici une excellente fable qui nous enseigne la voie que devrait suivre la civilisation moderne à l'avenir, à travers l'histoire d'une personne noble qui aime et nourrit la vie.
Cet ouvrage illustre avec émotion le miracle de la façon dont l'esprit noble et la pratique d'une personne, qui s'est consacrée non pas à elle-même mais à « nous » et au bien commun, sans attendre aucune récompense ni compensation, ont changé « l'apparence de la Terre » et transformé le « monde ».
Par là, nous plantons un « arbre d’espoir » dans nos cœurs et semons les glands de demain qui deviendront de verts chênes dans nos âmes assoiffées.
Il vient d'être publié dans une magnifique édition illustrée en couleurs par Choi Su-yeon, une illustratrice représentative de notre pays.
Elle nous enseigne la voie à suivre face à une grave crise de la civilisation et de l'environnement.
Un roman émouvant et réconfortant qui change les gens et le monde !
Une édition révisée et republiée avec de magnifiques illustrations en couleur de Choi Su-yeon, l'illustratrice coréenne de renom.
Une superbe fable, débordante de saveur littéraire et de message !
Ce roman raconte l'histoire d'un homme qui, pendant des décennies, a semé l'espoir et cultivé le bonheur, transformant une terre aride et désolée en une forêt luxuriante. L'auteur a écrit une première version inspirée de sa propre expérience, qu'il a ensuite peaufinée pendant vingt ans pour achever son œuvre.
Depuis sa première publication en 1953, il a été traduit en 25 langues et est largement lu dans le monde entier.
Si une œuvre aussi courte laisse une impression et une résonance si profondes sur nous, c'est parce qu'elle transmet un message puissant, empreint d'une profonde saveur littéraire.
À une époque de destruction où l'air, l'eau et la terre se meurent et où tous les êtres vivants souffrent, voici une excellente fable qui nous enseigne la voie que devrait suivre la civilisation moderne à l'avenir, à travers l'histoire d'une personne noble qui aime et nourrit la vie.
Cet ouvrage illustre avec émotion le miracle de la façon dont l'esprit noble et la pratique d'une personne, qui s'est consacrée non pas à elle-même mais à « nous » et au bien commun, sans attendre aucune récompense ni compensation, ont changé « l'apparence de la Terre » et transformé le « monde ».
Par là, nous plantons un « arbre d’espoir » dans nos cœurs et semons les glands de demain qui deviendront de verts chênes dans nos âmes assoiffées.
Il vient d'être publié dans une magnifique édition illustrée en couleurs par Choi Su-yeon, une illustratrice représentative de notre pays.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
Avis de l'éditeur
« Un roman écrit pour encourager la plantation d'arbres »
L'importance de Jean Giono dans la littérature française est manifeste : il a reçu le prix de Monaco en 1953, a été élu membre de l'Académie Goncourt en 1954 et a même été nominé pour le prix Nobel de littérature.
La place de Giono en France se devine au fait qu'André Malraux a déclaré : « Si l'on me demandait de citer trois écrivains français du XXe siècle, je citerais Giono, Montelland et Malraux. »
Giono a souvent déclaré qu'il ne voulait pas que ses œuvres deviennent des sermons.
Toutefois, lors de la publication de cet ouvrage, il expliqua qu'il l'avait écrit « pour que les gens aiment les arbres, ou plus précisément, pour encourager la plantation d'arbres ».
Le souhait de Geono a été transmis au peuple, et ce livre est largement utilisé comme ressource pour le mouvement de verdissement de la Terre dans le monde entier.
Il est également largement lu comme un outil d'éducation spirituelle (morale) pour les jeunes, au-delà d'être simplement une œuvre littéraire majeure.
Le récit émouvant d'un homme dévoué à « nous » et au bien commun.
Une zone montagneuse de la région provençale.
Autrefois, cet endroit était recouvert d'épaisses forêts et abritait un village où les gens vivaient ensemble.
Cependant, des gens obsédés par l'égoïsme et la cupidité se disputaient tout et abattaient les arbres sans discernement pour gagner de l'argent, transformant la région en un désert aride où soufflait seul un vent violent.
Finalement, les gens, les oiseaux et les animaux ont tous quitté les lieux.
Un vieux berger, constatant que la terre était aride et dépourvue d'arbres, pénétra dans cette région montagneuse et se mit à planter des arbres.
Cet homme, dont la femme et le fils unique étaient décédés, vivait seul dans les montagnes, plantant chaque jour des glands et des bouleaux.
Après 40 ans de plantation d'arbres continue, un événement miraculeux s'est produit : la terre autrefois aride s'est recouverte d'une magnifique et vaste forêt.
L'eau coula de nouveau sur la terre desséchée, d'innombrables fleurs s'épanouirent en compétition, et les oiseaux revinrent chanter.
Les gens reviennent ici un par un, et des rires joyeux retentissent.
Le désert devint une terre où la vie s'épanouissait.
Cela a démontré que l'esprit noble et la pratique d'une personne qui abandonne l'égoïsme et se sacrifie pour œuvrer au bien commun sans attendre de récompense peuvent produire des résultats miraculeux.
Un ouvrage peaufiné et achevé sur une période de 20 ans, fondé sur l'expérience de l'auteur.
Cette nouvelle a été écrite par Jean Giono d'après ses propres expériences.
Lors d'un voyage en Haute-Provence, Jean Giono a fait une rencontre marquante.
C'était un berger solitaire qui plantait sans cesse des arbres pour donner vie à cette terre aride.
L'auteur fut tellement impressionné par cela qu'il écrivit la première ébauche de cet ouvrage, qu'il a ensuite peaufinée au cours des 20 années suivantes.
Le protagoniste de cette œuvre, Elzéard Bouffier, insuffle l'espoir et la confiance que chacun peut créer un « miracle » s'il a une volonté sainte et la met en pratique.
Cela nous montre que n'importe qui peut transformer une « vie ordinaire » en une « vie extraordinaire ».
Cela nous rappelle aussi qui sont les véritables héros que nous devrions respecter.
Cela nous rappelle que ceux qui changent véritablement le monde et le rendent plus beau ne sont pas ceux qui jouissent du pouvoir, de la richesse ou de la célébrité, mais ceux qui œuvrent en silence pour les autres, ceux qui pratiquent dans le silence.
Cela nous fait prendre conscience que nous sommes des personnes qui accomplissent de bonnes actions sans parler, sans se presser, sans vénérer la vitesse, sans se sacrifier et sans plier.
Parallèlement, cette œuvre a également été adaptée en film d'animation et a provoqué un énorme buzz dans le monde entier.
Le film d'animation du même nom, illustré par l'artiste de renommée mondiale Frédéric Beck et produit par la Société Radio-Canada, a remporté l'Oscar du meilleur court métrage d'animation, ainsi que des prix dans de nombreux festivals de cinéma, dont ceux d'Annecy, de Los Angeles, de Royan, d'Hiroshima, de Valladolid et d'Ottawa.
Si ses romans restent si populaires au fil du temps, c'est parce que les idées naturalistes de Giono brillent d'autant plus face à la crise de la civilisation moderne, qui vénère les choses matérielles.
Ceci s'explique par le fait que l'ancienne vision du monde qui a maintenu la civilisation moderne jusqu'à nos jours a atteint ses limites en raison de la pollution environnementale, de la destruction de la terre, de la dévastation de l'esprit humain et de la matérialisation de l'humanité.
C’est pourquoi on considère « L’Homme qui plantait des arbres » de Jean Giono comme une méditation qui purifie nos âmes et nous ouvre à nouveau les yeux face à la crise de la civilisation actuelle et à la corruption d’une civilisation matérielle en déclin.
L'importance de Jean Giono dans la littérature française est manifeste : il a reçu le prix de Monaco en 1953, a été élu membre de l'Académie Goncourt en 1954 et a même été nominé pour le prix Nobel de littérature.
La place de Giono en France se devine au fait qu'André Malraux a déclaré : « Si l'on me demandait de citer trois écrivains français du XXe siècle, je citerais Giono, Montelland et Malraux. »
Giono a souvent déclaré qu'il ne voulait pas que ses œuvres deviennent des sermons.
Toutefois, lors de la publication de cet ouvrage, il expliqua qu'il l'avait écrit « pour que les gens aiment les arbres, ou plus précisément, pour encourager la plantation d'arbres ».
Le souhait de Geono a été transmis au peuple, et ce livre est largement utilisé comme ressource pour le mouvement de verdissement de la Terre dans le monde entier.
Il est également largement lu comme un outil d'éducation spirituelle (morale) pour les jeunes, au-delà d'être simplement une œuvre littéraire majeure.
Le récit émouvant d'un homme dévoué à « nous » et au bien commun.
Une zone montagneuse de la région provençale.
Autrefois, cet endroit était recouvert d'épaisses forêts et abritait un village où les gens vivaient ensemble.
Cependant, des gens obsédés par l'égoïsme et la cupidité se disputaient tout et abattaient les arbres sans discernement pour gagner de l'argent, transformant la région en un désert aride où soufflait seul un vent violent.
Finalement, les gens, les oiseaux et les animaux ont tous quitté les lieux.
Un vieux berger, constatant que la terre était aride et dépourvue d'arbres, pénétra dans cette région montagneuse et se mit à planter des arbres.
Cet homme, dont la femme et le fils unique étaient décédés, vivait seul dans les montagnes, plantant chaque jour des glands et des bouleaux.
Après 40 ans de plantation d'arbres continue, un événement miraculeux s'est produit : la terre autrefois aride s'est recouverte d'une magnifique et vaste forêt.
L'eau coula de nouveau sur la terre desséchée, d'innombrables fleurs s'épanouirent en compétition, et les oiseaux revinrent chanter.
Les gens reviennent ici un par un, et des rires joyeux retentissent.
Le désert devint une terre où la vie s'épanouissait.
Cela a démontré que l'esprit noble et la pratique d'une personne qui abandonne l'égoïsme et se sacrifie pour œuvrer au bien commun sans attendre de récompense peuvent produire des résultats miraculeux.
Un ouvrage peaufiné et achevé sur une période de 20 ans, fondé sur l'expérience de l'auteur.
Cette nouvelle a été écrite par Jean Giono d'après ses propres expériences.
Lors d'un voyage en Haute-Provence, Jean Giono a fait une rencontre marquante.
C'était un berger solitaire qui plantait sans cesse des arbres pour donner vie à cette terre aride.
L'auteur fut tellement impressionné par cela qu'il écrivit la première ébauche de cet ouvrage, qu'il a ensuite peaufinée au cours des 20 années suivantes.
Le protagoniste de cette œuvre, Elzéard Bouffier, insuffle l'espoir et la confiance que chacun peut créer un « miracle » s'il a une volonté sainte et la met en pratique.
Cela nous montre que n'importe qui peut transformer une « vie ordinaire » en une « vie extraordinaire ».
Cela nous rappelle aussi qui sont les véritables héros que nous devrions respecter.
Cela nous rappelle que ceux qui changent véritablement le monde et le rendent plus beau ne sont pas ceux qui jouissent du pouvoir, de la richesse ou de la célébrité, mais ceux qui œuvrent en silence pour les autres, ceux qui pratiquent dans le silence.
Cela nous fait prendre conscience que nous sommes des personnes qui accomplissent de bonnes actions sans parler, sans se presser, sans vénérer la vitesse, sans se sacrifier et sans plier.
Parallèlement, cette œuvre a également été adaptée en film d'animation et a provoqué un énorme buzz dans le monde entier.
Le film d'animation du même nom, illustré par l'artiste de renommée mondiale Frédéric Beck et produit par la Société Radio-Canada, a remporté l'Oscar du meilleur court métrage d'animation, ainsi que des prix dans de nombreux festivals de cinéma, dont ceux d'Annecy, de Los Angeles, de Royan, d'Hiroshima, de Valladolid et d'Ottawa.
Si ses romans restent si populaires au fil du temps, c'est parce que les idées naturalistes de Giono brillent d'autant plus face à la crise de la civilisation moderne, qui vénère les choses matérielles.
Ceci s'explique par le fait que l'ancienne vision du monde qui a maintenu la civilisation moderne jusqu'à nos jours a atteint ses limites en raison de la pollution environnementale, de la destruction de la terre, de la dévastation de l'esprit humain et de la matérialisation de l'humanité.
C’est pourquoi on considère « L’Homme qui plantait des arbres » de Jean Giono comme une méditation qui purifie nos âmes et nous ouvre à nouveau les yeux face à la crise de la civilisation actuelle et à la corruption d’une civilisation matérielle en déclin.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 10 mars 2018
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 104 pages | 312 g | 150 × 190 × 20 mm
- ISBN13 : 9788974431143
- ISBN10 : 8974431149
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