
Il n'y a pas d'extinction
Description
Introduction au livre
★★Prix du journaliste scientifique de l'année 2025★★
★★Le nouveau livre à succès du professeur Baekmin Kim★★
Transition, et non extinction
À l'heure de la crise climatique, parlons d'espoir plutôt que de peur.
Ces dernières années, nous avons connu des vagues de chaleur et des épisodes de froid records.
À une époque où les catastrophes météorologiques centennales ne sont plus rares, les médias alimentent la peur et l'anxiété des gens en promouvant la « théorie apocalyptique de la crise climatique ».
Mais l’humanité est-elle vraiment vouée à l’extinction ? « La Terre pourrait être détruite d’ici 2100. » Ce slogan alarmiste classique est emblématique du discours actuel sur la crise climatique.
Cependant, le professeur Baekmin Kim, auteur de « Il n’y a pas d’extinction » et climatologue renommé, réfute catégoriquement ce récit exagéré selon lequel « crise climatique = apocalypse ».
L’horloge de la crise climatique n’est qu’un indicateur symbolique qui simplifie à l’extrême une science complexe, et la Terre ne sera pas détruite immédiatement lorsque l’horloge atteindra 0:00:00.
Il souligne également que « le message catastrophiste véhiculé par les médias donne en réalité au public un sentiment d’impuissance », et insiste sur le fait que ce dont nous avons besoin maintenant, c’est de la volonté d’agir sans baisser les bras.
L’humanité a déjà échappé au pire scénario (SSP5-8.5) et s’orientera vers un avenir durable grâce à la transformation des systèmes énergétiques et économiques.
Ce livre propose de dépasser les discours alarmistes du type « Si la température moyenne mondiale augmente de 1,5 °C, l’humanité est condamnée », et d’explorer des réponses pratiques que nous pouvons mettre en œuvre dès maintenant.
Le message que véhicule ce livre est porteur d'espoir.
Le changement climatique n'est pas une apocalypse, c'est une transition, et nos choix et nos actions détermineront notre avenir.
Le moment est venu de discuter de solutions réalistes pour la transition énergétique de l'humanité, dans une perspective d'espoir plutôt que de peur.
★★Le nouveau livre à succès du professeur Baekmin Kim★★
Transition, et non extinction
À l'heure de la crise climatique, parlons d'espoir plutôt que de peur.
Ces dernières années, nous avons connu des vagues de chaleur et des épisodes de froid records.
À une époque où les catastrophes météorologiques centennales ne sont plus rares, les médias alimentent la peur et l'anxiété des gens en promouvant la « théorie apocalyptique de la crise climatique ».
Mais l’humanité est-elle vraiment vouée à l’extinction ? « La Terre pourrait être détruite d’ici 2100. » Ce slogan alarmiste classique est emblématique du discours actuel sur la crise climatique.
Cependant, le professeur Baekmin Kim, auteur de « Il n’y a pas d’extinction » et climatologue renommé, réfute catégoriquement ce récit exagéré selon lequel « crise climatique = apocalypse ».
L’horloge de la crise climatique n’est qu’un indicateur symbolique qui simplifie à l’extrême une science complexe, et la Terre ne sera pas détruite immédiatement lorsque l’horloge atteindra 0:00:00.
Il souligne également que « le message catastrophiste véhiculé par les médias donne en réalité au public un sentiment d’impuissance », et insiste sur le fait que ce dont nous avons besoin maintenant, c’est de la volonté d’agir sans baisser les bras.
L’humanité a déjà échappé au pire scénario (SSP5-8.5) et s’orientera vers un avenir durable grâce à la transformation des systèmes énergétiques et économiques.
Ce livre propose de dépasser les discours alarmistes du type « Si la température moyenne mondiale augmente de 1,5 °C, l’humanité est condamnée », et d’explorer des réponses pratiques que nous pouvons mettre en œuvre dès maintenant.
Le message que véhicule ce livre est porteur d'espoir.
Le changement climatique n'est pas une apocalypse, c'est une transition, et nos choix et nos actions détermineront notre avenir.
Le moment est venu de discuter de solutions réalistes pour la transition énergétique de l'humanité, dans une perspective d'espoir plutôt que de peur.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
prologue
Partie 1 : Analyse de l'absurdité du « jour du jugement dernier climatique »
Chapitre 1 Arrêter le compte à rebours de la terreur
La crise climatique mènera-t-elle finalement à l'extinction de l'humanité ?
La vérité sur l'horloge et les points de basculement de la crise climatique
Pourquoi l'extinction à 6 °C est irréaliste
Nous évitons déjà le pire des scénarios.
Chapitre 2 : Le temps s'est déchaîné, mais l'humanité est devenue plus forte
Les phénomènes météorologiques extrêmes constituent-ils véritablement un phénomène « sans précédent » ?
Une époque où les phénomènes météorologiques extrêmes sont devenus la nouvelle norme.
Les phénomènes météorologiques violents menacent-ils l'humanité ?
Chapitre 3 : Sensibiliser le public à la crise climatique
Terminologie liée au climat
L'étrange terme « climat anormal »
L'utilisation inexacte et abusive de la terminologie en obscurcit l'essence.
Deuxième partie : La grande transformation, le seul espoir de l'humanité
Chapitre 4 : Réécrire l’histoire de la civilisation humaine grâce à l’énergie
Les stades de la civilisation sont déterminés par la densité énergétique.
La croissance rapide et inattendue de l'énergie solaire
Les émissions mondiales approchent d'un pic.
Chapitre 5 : La géopolitique de la transition énergétique
Les différents rêves des grandes puissances
Le paradoxe vert de la Chine
Une nouvelle guerre énergétique déclenchée par la révolution de l'IA
Troisième partie : Comment l’humanité devrait-elle réagir face à la crise climatique ?
Chapitre 6 : Les compétences de survie sont plus urgentes que la réduction
Le rêve vacillant de la neutralité carbone
La Corée du Sud, en première ligne face à la crise climatique, donne la priorité à l'adaptation.
La crise climatique menace-t-elle notre approvisionnement alimentaire ?
Chapitre 7 Qu’y a-t-il de plus important que l’« autoroute de l’énergie » ?
Un pays ne peut survivre que s'il dispose d'électricité.
Le problème est d'ordre logiciel et non matériel.
Le rêve d'indépendance énergétique de la Corée du Sud
Chapitre 8 : La magie des points de bascule positifs
Le piège de la « responsabilité personnelle »
Utilisez le mécanisme de la catastrophe à votre avantage.
Comment gérer le scepticisme rationnel face au climatoscepticisme
Comment transformer le « problème » du changement climatique en une « opportunité »
Épilogue
Amériques
Partie 1 : Analyse de l'absurdité du « jour du jugement dernier climatique »
Chapitre 1 Arrêter le compte à rebours de la terreur
La crise climatique mènera-t-elle finalement à l'extinction de l'humanité ?
La vérité sur l'horloge et les points de basculement de la crise climatique
Pourquoi l'extinction à 6 °C est irréaliste
Nous évitons déjà le pire des scénarios.
Chapitre 2 : Le temps s'est déchaîné, mais l'humanité est devenue plus forte
Les phénomènes météorologiques extrêmes constituent-ils véritablement un phénomène « sans précédent » ?
Une époque où les phénomènes météorologiques extrêmes sont devenus la nouvelle norme.
Les phénomènes météorologiques violents menacent-ils l'humanité ?
Chapitre 3 : Sensibiliser le public à la crise climatique
Terminologie liée au climat
L'étrange terme « climat anormal »
L'utilisation inexacte et abusive de la terminologie en obscurcit l'essence.
Deuxième partie : La grande transformation, le seul espoir de l'humanité
Chapitre 4 : Réécrire l’histoire de la civilisation humaine grâce à l’énergie
Les stades de la civilisation sont déterminés par la densité énergétique.
La croissance rapide et inattendue de l'énergie solaire
Les émissions mondiales approchent d'un pic.
Chapitre 5 : La géopolitique de la transition énergétique
Les différents rêves des grandes puissances
Le paradoxe vert de la Chine
Une nouvelle guerre énergétique déclenchée par la révolution de l'IA
Troisième partie : Comment l’humanité devrait-elle réagir face à la crise climatique ?
Chapitre 6 : Les compétences de survie sont plus urgentes que la réduction
Le rêve vacillant de la neutralité carbone
La Corée du Sud, en première ligne face à la crise climatique, donne la priorité à l'adaptation.
La crise climatique menace-t-elle notre approvisionnement alimentaire ?
Chapitre 7 Qu’y a-t-il de plus important que l’« autoroute de l’énergie » ?
Un pays ne peut survivre que s'il dispose d'électricité.
Le problème est d'ordre logiciel et non matériel.
Le rêve d'indépendance énergétique de la Corée du Sud
Chapitre 8 : La magie des points de bascule positifs
Le piège de la « responsabilité personnelle »
Utilisez le mécanisme de la catastrophe à votre avantage.
Comment gérer le scepticisme rationnel face au climatoscepticisme
Comment transformer le « problème » du changement climatique en une « opportunité »
Épilogue
Amériques
Dans le livre
Le principal problème de l'horloge de la crise climatique est qu'elle réduit une réalité complexe à un simple compte à rebours.
Cela crée l'illusion que si seulement les chiffres qui décomptent comme une bombe à retardement s'arrêtaient, tout serait résolu.
La réalité est tout autre.
Même si l'horloge atteint zéro et s'arrête, votre vie quotidienne ne s'effondrera pas subitement ce jour-là.
--- p.41~42
Imputer toutes les catastrophes uniquement aux gaz à effet de serre occulte l'essence du problème et sous-estime la puissance du vaste système qu'est la nature.
Nous devons faire face à la crise provoquée par l'homme, mais nous ne devons pas oublier la terreur inhérente aux phénomènes météorologiques extrêmes.
--- p.70
On utilise souvent indifféremment les termes « réchauffement climatique » et « changement climatique ».
Le réchauffement climatique désigne le phénomène par lequel la température moyenne de la Terre augmente.
Le changement climatique, en revanche, est un concept global qui englobe les changements à long terme de l'ensemble du système terrestre, incluant non seulement la température, mais aussi les régimes de précipitations, le niveau de la mer, le vent et l'humidité.
C'est comme la différence entre une « forte fièvre » et un « rhume ». Si le réchauffement climatique n'est qu'un symptôme de fièvre, alors le changement climatique est comme un rhume.
--- p.103
La crise climatique est désormais une réalité concrète qui se déploie sur notre territoire, et notre réponse doit être adaptée à nos réalités locales. Les études mondiales, comme le rapport du GIEC, constituent un outil essentiel pour comprendre les grandes tendances de la crise climatique, mais elles ne peuvent à elles seules empêcher les inondations dans nos quartiers.
Parce que les modèles climatiques mondiaux ne nous montrent que des cartes du monde à basse résolution, ce dont nous avons réellement besoin, ce sont des cartes à haute résolution qui détaillent jusqu'aux rues de nos villes.
--- p.185
Si la « neutralité carbone » est un devoir et une tâche qui nous sont imposés par la communauté internationale, « l'indépendance énergétique » est une aspiration et un désir national de longue date de la République de Corée, qui perdure depuis des décennies.
Le fardeau géopolitique d'être une nation pauvre en énergie a été un frein à l'économie sud-coréenne au cours du dernier demi-siècle, et un talon d'Achille menaçant la sécurité nationale dans un contexte international en constante évolution.
--- p.230
Le dioxyde de carbone est invisible, mais nos actions le sont.
Chaque arbre que nous plantons, chaque panneau solaire que nous installons, chaque transport en commun et chaque produit à faible émission de carbone que nous choisissons, et chaque vote que nous exprimons pour un monde meilleur, tout cela contribue à créer un espoir visible.
Cela crée l'illusion que si seulement les chiffres qui décomptent comme une bombe à retardement s'arrêtaient, tout serait résolu.
La réalité est tout autre.
Même si l'horloge atteint zéro et s'arrête, votre vie quotidienne ne s'effondrera pas subitement ce jour-là.
--- p.41~42
Imputer toutes les catastrophes uniquement aux gaz à effet de serre occulte l'essence du problème et sous-estime la puissance du vaste système qu'est la nature.
Nous devons faire face à la crise provoquée par l'homme, mais nous ne devons pas oublier la terreur inhérente aux phénomènes météorologiques extrêmes.
--- p.70
On utilise souvent indifféremment les termes « réchauffement climatique » et « changement climatique ».
Le réchauffement climatique désigne le phénomène par lequel la température moyenne de la Terre augmente.
Le changement climatique, en revanche, est un concept global qui englobe les changements à long terme de l'ensemble du système terrestre, incluant non seulement la température, mais aussi les régimes de précipitations, le niveau de la mer, le vent et l'humidité.
C'est comme la différence entre une « forte fièvre » et un « rhume ». Si le réchauffement climatique n'est qu'un symptôme de fièvre, alors le changement climatique est comme un rhume.
--- p.103
La crise climatique est désormais une réalité concrète qui se déploie sur notre territoire, et notre réponse doit être adaptée à nos réalités locales. Les études mondiales, comme le rapport du GIEC, constituent un outil essentiel pour comprendre les grandes tendances de la crise climatique, mais elles ne peuvent à elles seules empêcher les inondations dans nos quartiers.
Parce que les modèles climatiques mondiaux ne nous montrent que des cartes du monde à basse résolution, ce dont nous avons réellement besoin, ce sont des cartes à haute résolution qui détaillent jusqu'aux rues de nos villes.
--- p.185
Si la « neutralité carbone » est un devoir et une tâche qui nous sont imposés par la communauté internationale, « l'indépendance énergétique » est une aspiration et un désir national de longue date de la République de Corée, qui perdure depuis des décennies.
Le fardeau géopolitique d'être une nation pauvre en énergie a été un frein à l'économie sud-coréenne au cours du dernier demi-siècle, et un talon d'Achille menaçant la sécurité nationale dans un contexte international en constante évolution.
--- p.230
Le dioxyde de carbone est invisible, mais nos actions le sont.
Chaque arbre que nous plantons, chaque panneau solaire que nous installons, chaque transport en commun et chaque produit à faible émission de carbone que nous choisissons, et chaque vote que nous exprimons pour un monde meilleur, tout cela contribue à créer un espoir visible.
--- p.278~279
Avis de l'éditeur
Au-delà de la réduction des émissions de carbone,
L'indépendance énergétique comme vision nationale
La crise climatique est un défi universel qui nécessite une coopération mondiale pour être résolu, et c'est un enjeu stratégique qui détermine la survie et la compétitivité de chaque pays.
Depuis l'Accord de Paris, 195 pays se sont engagés à réduire leurs émissions de carbone. Si le Pacte vert pour l'Europe, la politique de croissance verte de la Chine, la loi britannique sur la neutralité carbone et le modèle économique de décarbonation du Costa Rica promeuvent ostensiblement la réalisation de valeurs humaines universelles, ils sont en réalité le fruit d'une concurrence acharnée pour la défense des intérêts nationaux.
L'humanité a bâti sa civilisation en alternant les sources d'énergie, du bois au charbon, puis du charbon au pétrole et au gaz naturel. Dans ce processus, les pays qui ont su anticiper ces changements ont en quelque sorte accaparé richesses et influence.
Avec l'avènement de l'intelligence artificielle, l'électricité s'impose comme la ressource la plus cruciale pour les capacités nationales. Afin de garantir la consommation énergétique massive des infrastructures d'IA, produire une électricité bon marché, fiable et durable est devenu un élément clé de la stratégie industrielle nationale.
Le pays qui prendra la tête de cette initiative fera d'une pierre trois coups : la neutralité carbone, la sécurité énergétique et la suprématie en matière de technologie d'IA.
Quelle stratégie la Corée du Sud, qui se trouve à la croisée des chemins, devrait-elle adopter pour réagir ?
La crise climatique est un domaine qui exige une réponse systématique au niveau national, au-delà des actions individuelles.
Nous devons renforcer nos capacités d'analyse climatique, notamment l'observation météorologique et la modélisation climatique, afin de permettre des prévisions plus précises et de garantir des systèmes alimentaires et des chaînes d'approvisionnement énergétique préparés aux changements climatiques.
Avant tout, nous devons établir une « souveraineté scientifique sur le climat » en développant des capacités d'analyse et de collecte de données climatiques adaptées à la République de Corée et en les intégrant dans les politiques et les systèmes.
Ce n’est que lorsqu’elle sera soutenue par des investissements audacieux et des innovations technologiques de la part de l’industrie, par des recherches fondamentales et appliquées continues menées par les universités et les organismes de recherche, et par un consensus et une participation du public que la transition énergétique pourra véritablement devenir un moteur national.
En mettant en commun leurs capacités nationales autour de l'objectif commun d'« indépendance énergétique », la Corée du Sud peut transformer l'immense défi de la crise climatique en une opportunité de croissance et de progrès.
L'indépendance énergétique comme vision nationale
La crise climatique est un défi universel qui nécessite une coopération mondiale pour être résolu, et c'est un enjeu stratégique qui détermine la survie et la compétitivité de chaque pays.
Depuis l'Accord de Paris, 195 pays se sont engagés à réduire leurs émissions de carbone. Si le Pacte vert pour l'Europe, la politique de croissance verte de la Chine, la loi britannique sur la neutralité carbone et le modèle économique de décarbonation du Costa Rica promeuvent ostensiblement la réalisation de valeurs humaines universelles, ils sont en réalité le fruit d'une concurrence acharnée pour la défense des intérêts nationaux.
L'humanité a bâti sa civilisation en alternant les sources d'énergie, du bois au charbon, puis du charbon au pétrole et au gaz naturel. Dans ce processus, les pays qui ont su anticiper ces changements ont en quelque sorte accaparé richesses et influence.
Avec l'avènement de l'intelligence artificielle, l'électricité s'impose comme la ressource la plus cruciale pour les capacités nationales. Afin de garantir la consommation énergétique massive des infrastructures d'IA, produire une électricité bon marché, fiable et durable est devenu un élément clé de la stratégie industrielle nationale.
Le pays qui prendra la tête de cette initiative fera d'une pierre trois coups : la neutralité carbone, la sécurité énergétique et la suprématie en matière de technologie d'IA.
Quelle stratégie la Corée du Sud, qui se trouve à la croisée des chemins, devrait-elle adopter pour réagir ?
La crise climatique est un domaine qui exige une réponse systématique au niveau national, au-delà des actions individuelles.
Nous devons renforcer nos capacités d'analyse climatique, notamment l'observation météorologique et la modélisation climatique, afin de permettre des prévisions plus précises et de garantir des systèmes alimentaires et des chaînes d'approvisionnement énergétique préparés aux changements climatiques.
Avant tout, nous devons établir une « souveraineté scientifique sur le climat » en développant des capacités d'analyse et de collecte de données climatiques adaptées à la République de Corée et en les intégrant dans les politiques et les systèmes.
Ce n’est que lorsqu’elle sera soutenue par des investissements audacieux et des innovations technologiques de la part de l’industrie, par des recherches fondamentales et appliquées continues menées par les universités et les organismes de recherche, et par un consensus et une participation du public que la transition énergétique pourra véritablement devenir un moteur national.
En mettant en commun leurs capacités nationales autour de l'objectif commun d'« indépendance énergétique », la Corée du Sud peut transformer l'immense défi de la crise climatique en une opportunité de croissance et de progrès.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 19 novembre 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 288 pages | 504 g | 152 × 226 × 17 mm
- ISBN13 : 9791194508632
- ISBN10 : 1194508634
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Langue coréenne
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