
Le livre de maths de maman
Description
Introduction au livre
« Si vous voulez que votre enfant se familiarise avec les mathématiques, vous devez d'abord vous familiariser vous-même avec les mathématiques ! »
Le savoir minimal que je ne pouvais pas transmettre à mon enfant parce que je ne le comprenais pas moi-même.
Vous est-il déjà arrivé d'être désemparée lorsque votre enfant vous pose une question de maths ? Avez-vous envie de lui expliquer les choses simplement, mais vous sentez-vous coupable de ne plus vous souvenir exactement de ce que vous avez appris à l'école ? Et si vous n'avez jamais été douée en maths, mais que vous souhaitez initier votre enfant à cette matière ? Si vous vous êtes déjà retrouvée dans une situation similaire, ce livre est un incontournable pour toutes les mères.
Il est absurde qu'une mère attende de son enfant qu'il soit un expert en mathématiques si elle-même ne connaît pas les mathématiques.
Enseignante de mathématiques depuis 14 ans et mère de jumeaux scolarisés en primaire, l'auteure a accompagné de nombreux élèves en difficulté et leurs parents. Forte de cette expérience, elle a compris que l'attitude d'un enfant envers les mathématiques ne change que lorsque sa mère s'y implique activement.
Si la confiance en soi d'une mère en matière de mathématiques augmente, son enfant n'aura pas peur des mathématiques.
L'auteur a donc décidé d'écrire un livre de mathématiques simple et convivial, compréhensible même par les mères.
Ce livre explique les concepts et principes fondamentaux du programme du collège d'une manière accessible aux mères, et rend la lecture plus agréable grâce à plus de 200 illustrations dessinées à la main.
Si l'apprentissage des mathématiques de votre enfant vous inquiète, mettez de côté la charge de lui enseigner vous-même et procurez-vous plutôt ce livre.
Un enfant ressentira et apprendra beaucoup en voyant sa mère lire un livre de mathématiques.
Le savoir minimal que je ne pouvais pas transmettre à mon enfant parce que je ne le comprenais pas moi-même.
Vous est-il déjà arrivé d'être désemparée lorsque votre enfant vous pose une question de maths ? Avez-vous envie de lui expliquer les choses simplement, mais vous sentez-vous coupable de ne plus vous souvenir exactement de ce que vous avez appris à l'école ? Et si vous n'avez jamais été douée en maths, mais que vous souhaitez initier votre enfant à cette matière ? Si vous vous êtes déjà retrouvée dans une situation similaire, ce livre est un incontournable pour toutes les mères.
Il est absurde qu'une mère attende de son enfant qu'il soit un expert en mathématiques si elle-même ne connaît pas les mathématiques.
Enseignante de mathématiques depuis 14 ans et mère de jumeaux scolarisés en primaire, l'auteure a accompagné de nombreux élèves en difficulté et leurs parents. Forte de cette expérience, elle a compris que l'attitude d'un enfant envers les mathématiques ne change que lorsque sa mère s'y implique activement.
Si la confiance en soi d'une mère en matière de mathématiques augmente, son enfant n'aura pas peur des mathématiques.
L'auteur a donc décidé d'écrire un livre de mathématiques simple et convivial, compréhensible même par les mères.
Ce livre explique les concepts et principes fondamentaux du programme du collège d'une manière accessible aux mères, et rend la lecture plus agréable grâce à plus de 200 illustrations dessinées à la main.
Si l'apprentissage des mathématiques de votre enfant vous inquiète, mettez de côté la charge de lui enseigner vous-même et procurez-vous plutôt ce livre.
Un enfant ressentira et apprendra beaucoup en voyant sa mère lire un livre de mathématiques.
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Aperçu
indice
Introduction : Pour que les résultats de l'enfant en mathématiques s'améliorent, la confiance en soi de la mère en matière de mathématiques doit s'améliorer.
Partie 1 : Aux mères qui ont poussé leurs enfants à faire de bonnes notes en mathématiques aujourd'hui
Chapitre 1 : Faire preuve d’initiative en étudiant les mathématiques au lieu de se plaindre.
Chapitre 2 : Comprendre les concepts et le contexte plutôt que de mémoriser
Chapitre 3 : Lâcher prise révèle le niveau et le regard de votre enfant
Chapitre 4 : Les mathématiques sont un langage permettant de communiquer avec le monde qui nous entoure.
Partie 2 : Nombres et opérations : Quand maman a besoin d'aide pour les chiffres
Chapitre 1 : Système de numération : Qui a dit que le système décimal était naturel ?
Chapitre 2 Les nombres premiers : Existe-t-il une matière qui crée des nombres ?
Chapitre 3 Fractions : Quels sont les nombres compris entre 0 et 1 ?
Chapitre 4 Nombres irrationnels : Existe-t-il des nombres qui ne peuvent pas être exprimés sous forme de fractions ?
Chapitre 5 Les nombres négatifs : des nombres invisibles, prisonniers des stéréotypes
Chapitre 6 : Erreurs : Le monde réel des chiffres est terminé
Partie 3 : Lettres et formules : Les mathématiques sont toujours présentes, même sans chiffres
Chapitre 1 : Nombres et lettres inconnus : Les nombres cachés derrière le voile des lettres
Chapitre 2 : Le signe égal : un symbole d'équilibre et d'harmonie dans le monde
Chapitre 3 : La « méthode » pour parler le langage des mathématiques
Chapitre 4 Équations : L’apogée de l’audace et de la résolution de problèmes
Chapitre 5 : Les problèmes binomiaux se simplifient au fur et à mesure que l’on passe aux termes suivants
Chapitre 6 : La formule racine : le secret que vous devriez connaître
Partie 4 : Formes : Le plaisir d’étirer, de rétrécir, de diviser et de superposer
Chapitre 1 : Triangles et cercles : deux ADN qui constituent le monde des formes
Chapitre 2 : Triangles spéciaux : Les trois frères célèbres du monde des triangles
Chapitre 3 Triangles rectangles et rapports trigonométriques : les triangles préférés des mathématiciens
Chapitre 4 : Pi : Le mystère du cercle qui ne sera jamais atteint
Chapitre 5 Cercles et lignes : La collaboration du rond et du droit
Chapitre 6 : Angles au centre et théorème de Thalès : Le secret de l’égalité des angles au centre sur tout le pourtour
Chapitre 7 Centre du cercle inscrit et centre du cercle circonscrit : Un triangle ordinaire devient-il spécial lorsqu’il intersecte un cercle ?
Chapitre 8 : Centre de gravité : Comment trouver le centre de gravité sans trembler dans le monde des formes
Partie 5 : Fonctions et plan cartésien : représentation numérique de l'espace et de la position
Chapitre 1 : Le système de coordonnées cartésiennes : visualiser la continuité des nombres réels
Chapitre 2 Coordonnées polaires : À quelle distance et dans quelle direction ?
Chapitre 3 Fonctions et plan cartésien : Représentons des expressions mathématiques
Chapitre 4 : La loi des degrés : comment exprimer les angles sous forme de nombres réels sans unité
Partie 6 : Géométrie : Une tour construite grâce à la pensée mathématique et à la logique
Chapitre 1 Géométrie : La géométrie commence par l'arpentage
Chapitre 2 : Les fondements de la géométrie : vrais sur les plans, faux sur les surfaces courbes
Chapitre 3 Géométrie euclidienne : Les débuts de la démonstration mathématique
Chapitre 4 Postulats : Les fondements des propositions géométriques qui ne peuvent jamais être niés
Chapitre 5 : La règle sans graduation et le compas : les seuls outils du monde géométrique
Chapitre 6 : Propositions de la géométrie euclidienne : une tour de la logique bâtie sur des postulats
Chapitre 7 Le théorème de Pythagore : démonstration à la manière d’Euclide
Partie 7 : Probabilités et statistiques : l’arme ultime pour des décisions rationnelles
Chapitre 1 : Probabilités et mathématiques : Comment le lancer de pièces est devenu une science mathématique
Chapitre 2 Valeur espérée : Est-il plus rentable de croire en Dieu que d'acheter des billets de loterie ?
Chapitre 3 : Le piège des moyennes : un moyen insidieux de déformer la vérité
Chapitre 4 Variance et écart type : des chiffres qui expliquent un monde incertain
Chapitre 5 : Corrélation : Perspectives au-delà des statistiques
En conclusion : Se lancer dans les mathématiques sans crainte
Partie 1 : Aux mères qui ont poussé leurs enfants à faire de bonnes notes en mathématiques aujourd'hui
Chapitre 1 : Faire preuve d’initiative en étudiant les mathématiques au lieu de se plaindre.
Chapitre 2 : Comprendre les concepts et le contexte plutôt que de mémoriser
Chapitre 3 : Lâcher prise révèle le niveau et le regard de votre enfant
Chapitre 4 : Les mathématiques sont un langage permettant de communiquer avec le monde qui nous entoure.
Partie 2 : Nombres et opérations : Quand maman a besoin d'aide pour les chiffres
Chapitre 1 : Système de numération : Qui a dit que le système décimal était naturel ?
Chapitre 2 Les nombres premiers : Existe-t-il une matière qui crée des nombres ?
Chapitre 3 Fractions : Quels sont les nombres compris entre 0 et 1 ?
Chapitre 4 Nombres irrationnels : Existe-t-il des nombres qui ne peuvent pas être exprimés sous forme de fractions ?
Chapitre 5 Les nombres négatifs : des nombres invisibles, prisonniers des stéréotypes
Chapitre 6 : Erreurs : Le monde réel des chiffres est terminé
Partie 3 : Lettres et formules : Les mathématiques sont toujours présentes, même sans chiffres
Chapitre 1 : Nombres et lettres inconnus : Les nombres cachés derrière le voile des lettres
Chapitre 2 : Le signe égal : un symbole d'équilibre et d'harmonie dans le monde
Chapitre 3 : La « méthode » pour parler le langage des mathématiques
Chapitre 4 Équations : L’apogée de l’audace et de la résolution de problèmes
Chapitre 5 : Les problèmes binomiaux se simplifient au fur et à mesure que l’on passe aux termes suivants
Chapitre 6 : La formule racine : le secret que vous devriez connaître
Partie 4 : Formes : Le plaisir d’étirer, de rétrécir, de diviser et de superposer
Chapitre 1 : Triangles et cercles : deux ADN qui constituent le monde des formes
Chapitre 2 : Triangles spéciaux : Les trois frères célèbres du monde des triangles
Chapitre 3 Triangles rectangles et rapports trigonométriques : les triangles préférés des mathématiciens
Chapitre 4 : Pi : Le mystère du cercle qui ne sera jamais atteint
Chapitre 5 Cercles et lignes : La collaboration du rond et du droit
Chapitre 6 : Angles au centre et théorème de Thalès : Le secret de l’égalité des angles au centre sur tout le pourtour
Chapitre 7 Centre du cercle inscrit et centre du cercle circonscrit : Un triangle ordinaire devient-il spécial lorsqu’il intersecte un cercle ?
Chapitre 8 : Centre de gravité : Comment trouver le centre de gravité sans trembler dans le monde des formes
Partie 5 : Fonctions et plan cartésien : représentation numérique de l'espace et de la position
Chapitre 1 : Le système de coordonnées cartésiennes : visualiser la continuité des nombres réels
Chapitre 2 Coordonnées polaires : À quelle distance et dans quelle direction ?
Chapitre 3 Fonctions et plan cartésien : Représentons des expressions mathématiques
Chapitre 4 : La loi des degrés : comment exprimer les angles sous forme de nombres réels sans unité
Partie 6 : Géométrie : Une tour construite grâce à la pensée mathématique et à la logique
Chapitre 1 Géométrie : La géométrie commence par l'arpentage
Chapitre 2 : Les fondements de la géométrie : vrais sur les plans, faux sur les surfaces courbes
Chapitre 3 Géométrie euclidienne : Les débuts de la démonstration mathématique
Chapitre 4 Postulats : Les fondements des propositions géométriques qui ne peuvent jamais être niés
Chapitre 5 : La règle sans graduation et le compas : les seuls outils du monde géométrique
Chapitre 6 : Propositions de la géométrie euclidienne : une tour de la logique bâtie sur des postulats
Chapitre 7 Le théorème de Pythagore : démonstration à la manière d’Euclide
Partie 7 : Probabilités et statistiques : l’arme ultime pour des décisions rationnelles
Chapitre 1 : Probabilités et mathématiques : Comment le lancer de pièces est devenu une science mathématique
Chapitre 2 Valeur espérée : Est-il plus rentable de croire en Dieu que d'acheter des billets de loterie ?
Chapitre 3 : Le piège des moyennes : un moyen insidieux de déformer la vérité
Chapitre 4 Variance et écart type : des chiffres qui expliquent un monde incertain
Chapitre 5 : Corrélation : Perspectives au-delà des statistiques
En conclusion : Se lancer dans les mathématiques sans crainte
Image détaillée

Dans le livre
Comprendre les concepts et le contexte plutôt que de mémoriser.
Comment comprendre les règles ? La réponse est simple.
Je demande pourquoi cette règle a été instaurée.
Lorsque vous ouvrez un livre de mathématiques, vous ne devriez pas vous contenter de mémoriser les formules, mais aussi écouter les histoires des mathématiciens qui ont créé ces formules.
Avant de mémoriser « Pi vaut 3,1415926… », il convient de se souvenir de la détermination d’Archimède, qui a déclaré « Ne détruisez pas mon cercle » même au moment où il était tué par des soldats ennemis.
Avant de mémoriser le jeu de mots selon lequel « un nombre irrationnel est un nombre qui n'est pas rationnel », nous devrions compatir à l'injustice ressentie par Hippase, assassiné pour avoir évoqué la possibilité de nombres irrationnels.
Aucun concept mathématique n'a existé depuis la nuit des temps.
Ce sont des choses qui ont été définies ou découvertes par quelqu'un.
Ne devrions-nous pas leur demander au moins une fois pourquoi ils ont instauré cette règle ?
--- pp.
25~26
Qui a dit que le système décimal allait de soi ?
Le système sexagésimal des Babyloniens démontre sa puissance en matière de division.
Par exemple, vous pouvez le constater en comparant une boîte de pommes contenant 10 pommes à une boîte de pommes contenant 60 pommes.
Si vous ouvrez une boîte de pommes et que vous les répartissez entre plusieurs personnes, il est difficile d'en diviser 10, mais il est facile d'en diviser 60.
Par exemple, si vous imaginez une situation où vous partagez quelque chose entre 4 personnes, vous devrez partager un paquet de 10 à 2,5 personnes chacune, mais vous pouvez partager un paquet de 60 à 15 personnes chacune.
Bien sûr, si vous connaissez la notion de fractions, vous pouvez couper une pomme et la partager.
Mais en réalité, les fractions ne sont pas faciles.
Je connais mes limites, mais j'ai renoncé à partager la pomme en deux entre ma fille et mon fils.
Peu importe comment on le répartit, ce n'est pas juste.
--- pp.
38~39
Existe-t-il un matériau capable de produire des nombres ?
Toute personne intéressée par la nourriture sera forcément curieuse des ingrédients et des recettes.
Il en va de même pour les mathématiciens.
Ce qui m'intriguait après la découverte du « nombre », c'était la matière.
De quoi sont faits les nombres ? Si on les décompose sans cesse, n’existe-t-il pas des éléments qu’on ne peut plus décomposer ? Les nombres fondamentaux de tout nombre sont les « nombres premiers ».
Les nombres premiers étant fondamentaux, ils ne peuvent être divisés davantage.
Pour exprimer l'expression « indivisible » de manière un peu plus mathématique, on dit « elle n'est divisible par rien d'autre que 1 et par elle-même ».
Par exemple, 2 est un nombre premier car il n'est divisible que par 1 et par lui-même.
En revanche, 4 est divisible par 1 et par lui-même, mais il est aussi divisible par 2, donc ce n'est pas un nombre premier.
Autrement dit, si 2 est un ingrédient d'un plat, alors 4 est comme un plat préparé en utilisant 2 comme ingrédient.
Les ingrédients sont des nombres premiers, et les plats sont des nombres composés.
--- pp.
43~44
Des lettres remplacent les chiffres non identifiés
L'alphabet compte 26 lettres, alors pourquoi le x est-il devenu le symbole des nombres inconnus ? Le premier à utiliser le x fut René Descartes, en France, vers 1600.
Il est célèbre pour sa citation célèbre : « Je pense, donc je suis. »
Un jour, Descartes se rendit chez l'imprimeur pour soumettre ses travaux mathématiques.
L'imprimeur qui a reçu le document a été perplexe de voir une feuille de mathématiques avec plus de lettres que de chiffres.
« C’est un sujet de maths, mais il y a beaucoup de caractères ? »
« C’est parce que vous écrivez un nombre inconnu en lettres. »
"d'accord.
« Alors, puis-je remplacer cette lettre par un x ? »
« Pourquoi es-tu comme ça ? »
« Je pense que le nombre de caractères sera insuffisant car les mêmes caractères sont utilisés sans cesse. »
« Il me reste x à l'imprimante. Est-ce correct de représenter un nombre inconnu par x ? »
--- pp.
87~88
Les équations sont ennuyeuses depuis 3 800 ans.
On dit que plus de la moitié de l'enseignement des mathématiques est consacrée aux équations.
Parce que les équations sont omniprésentes dans le programme scolaire.
Même les élèves de CP apprennent les équations.
Car les problèmes comme « Si je donne deux pommes à mon ami et qu'il lui en reste trois, combien en avait-il au départ ? » sont tous des équations.
Il est surprenant de constater que les problèmes d'équations d'il y a environ 3 800 ans étaient tout aussi artificiels qu'aujourd'hui.
J'ignore quel est le but des inscriptions sur cette tablette d'argile.
Il aurait pu s'agir d'un manuel scolaire de l'époque, ou bien d'un objet fabriqué par les nobles pour impressionner leurs esclaves.
Ce qui est certain, c'est que les équations ont paru farfelues et inutiles pendant très longtemps.
--- pp.
115~119
Un secret que vous seul devriez connaître
Même si vous avez obtenu votre diplôme il y a longtemps, vous vous souvenez probablement de la formule des racines d'une équation du second degré.
Car, durant ma scolarité, je devais vivre en le récitant comme s'il s'agissait d'un poème.
Ce n'était pas un poème avec une rime particulièrement belle.
La formule des racines d'une équation du second degré a une histoire assez longue.
On dit que les solutions aux équations du second degré étaient déjà discutées dans l'ancienne Babylonie.
En anglais, une équation du second degré est appelée « équation quadratique », et si vous consultez le dictionnaire, « quadratique » est un terme lié aux carrés.
Comme son nom l'indique, les problèmes liés à l'aire d'un rectangle sont souvent exprimés sous forme d'équations quadratiques.
Quand on pense à une superficie, qu'est-ce qui nous vient à l'esprit en premier ? La terre.
Dans la société agricole où la terre avait une grande valeur, le problème du calcul de la superficie des terres est devenu une préoccupation importante, et des méthodes de résolution des équations quadratiques ont naturellement émergé.
--- pp.
131~132
Le théorème de Thalès réduit les ardeurs
Le théorème de Thalès découle de la loi selon laquelle l'angle au centre est la moitié de l'angle au centre.
L'angle au centre d'un demi-cercle est de 180°, donc l'angle circonférentiel d'un demi-cercle est de 90°.
Il s'agit du théorème de Thalès.
Le théorème de Thalès est un excellent moyen d'apprendre aux enfants à couper en deux des objets ronds.
Je parle de choses comme le popcorn rond.
Si votre enfant s'interroge sur la demi-houppette, essayez de lui montrer un objet aux coins droits, comme un cahier.
Si le cahier touche le pop-corn à trois endroits : les deux extrémités et la partie ronde, le pop-corn est coupé exactement en deux.
Sinon, si une extrémité du pop-corn ne touche pas l'autre extrémité ou si le coin du cahier ne touche pas la partie arrondie, ce n'est pas exactement un demi-pop-corn.
--- p.
178
Embrasser les enfants avec un cœur qui ressemble à un cercle
Découvrir une valeur extraordinaire au sein d'un triangle ordinaire, c'est l'essence même du centre du cercle inscrit et du centre du cercle circonscrit.
Les triangles aigus et obtus courants étaient difficiles à caractériser, ce qui les rendait peu intéressants pour les mathématiciens. Cependant, leur rencontre avec les cercles leur révéla une valeur nouvelle et insoupçonnée.
Qui aurait cru qu'on trouverait autant de triangles rectangles à l'intérieur d'un triangle ordinaire ?
C'est presque comme le processus d'éducation de nos enfants.
Tous les parents souhaiteraient que leur enfant possède des talents particuliers.
Il est donc vrai que je commence à m'impatienter.
Si vous ne faites pas preuve du talent attendu, vous serez déçu.
Mais dans de tels cas, tout ce que les parents peuvent faire, c'est enlacer leurs enfants avec un cœur chaleureux et écouter ce qu'ils ont à dire.
Alors les enfants découvriront leur propre valeur particulière.
Il n'y a pas un enfant au monde qui ne possède quelque chose de spécial.
--- pp.
187~188
Le seul outil du monde géométrique
Le jour de l'épreuve de géométrie, si vous donnez un problème qui consiste à trouver la longueur d'une figure, il y aura toujours un élève comme ça.
Commencez par déchirer l'extrémité de la feuille de test dans le sens de la longueur.
Et par-dessus le marché, nous dessinons au crayon les motifs les plus élaborés qu'un être humain puisse réaliser.
Ensuite, placez-le sur le papier test et mesurez directement sa longueur.
Ce sont des élèves véritablement créatifs, capables de résoudre des problèmes intuitivement même sans connaître les propriétés des triangles ou des cercles.
Ici, les élèves plus avancés peuvent facilement résoudre les problèmes qui portent sur les angles.
Pliez le coin de la feuille de test pour en faire un « rapporteur d'angle ».
Les élèves qui ont appliqué le fait que les coins de la feuille de test sont des angles droits et la similitude des formes.
Les stratégies de ces étudiants sont plutôt efficaces.
--- pp.
261~262
Des chiffres pour expliquer un monde incertain
La moyenne et la variance peuvent être interprétées différemment comme « espérance » et « incertitude ».
Prenons à nouveau l'exemple de deux restaurants.
Les magasins A et B avaient tous deux une note moyenne de 3 étoiles.
Cela signifie que le goût des aliments que nous attendons des deux magasins est de 3 étoiles.
Cependant, le magasin A, qui présente une grande variance, a une large distribution de variance, de sorte que le goût est également aléatoire.
Vous pourriez vous attendre à une note de 3 étoiles, mais un jour vous pourriez obtenir une note de 5 étoiles, et un autre jour une note d'1 étoile.
En revanche, le magasin B, qui présente une faible variance, a peu de chances de s'écarter significativement du goût attendu.
La variance peut donc être définie comme « l’incertitude » concernant le degré attendu (moyenne).
Comment comprendre les règles ? La réponse est simple.
Je demande pourquoi cette règle a été instaurée.
Lorsque vous ouvrez un livre de mathématiques, vous ne devriez pas vous contenter de mémoriser les formules, mais aussi écouter les histoires des mathématiciens qui ont créé ces formules.
Avant de mémoriser « Pi vaut 3,1415926… », il convient de se souvenir de la détermination d’Archimède, qui a déclaré « Ne détruisez pas mon cercle » même au moment où il était tué par des soldats ennemis.
Avant de mémoriser le jeu de mots selon lequel « un nombre irrationnel est un nombre qui n'est pas rationnel », nous devrions compatir à l'injustice ressentie par Hippase, assassiné pour avoir évoqué la possibilité de nombres irrationnels.
Aucun concept mathématique n'a existé depuis la nuit des temps.
Ce sont des choses qui ont été définies ou découvertes par quelqu'un.
Ne devrions-nous pas leur demander au moins une fois pourquoi ils ont instauré cette règle ?
--- pp.
25~26
Qui a dit que le système décimal allait de soi ?
Le système sexagésimal des Babyloniens démontre sa puissance en matière de division.
Par exemple, vous pouvez le constater en comparant une boîte de pommes contenant 10 pommes à une boîte de pommes contenant 60 pommes.
Si vous ouvrez une boîte de pommes et que vous les répartissez entre plusieurs personnes, il est difficile d'en diviser 10, mais il est facile d'en diviser 60.
Par exemple, si vous imaginez une situation où vous partagez quelque chose entre 4 personnes, vous devrez partager un paquet de 10 à 2,5 personnes chacune, mais vous pouvez partager un paquet de 60 à 15 personnes chacune.
Bien sûr, si vous connaissez la notion de fractions, vous pouvez couper une pomme et la partager.
Mais en réalité, les fractions ne sont pas faciles.
Je connais mes limites, mais j'ai renoncé à partager la pomme en deux entre ma fille et mon fils.
Peu importe comment on le répartit, ce n'est pas juste.
--- pp.
38~39
Existe-t-il un matériau capable de produire des nombres ?
Toute personne intéressée par la nourriture sera forcément curieuse des ingrédients et des recettes.
Il en va de même pour les mathématiciens.
Ce qui m'intriguait après la découverte du « nombre », c'était la matière.
De quoi sont faits les nombres ? Si on les décompose sans cesse, n’existe-t-il pas des éléments qu’on ne peut plus décomposer ? Les nombres fondamentaux de tout nombre sont les « nombres premiers ».
Les nombres premiers étant fondamentaux, ils ne peuvent être divisés davantage.
Pour exprimer l'expression « indivisible » de manière un peu plus mathématique, on dit « elle n'est divisible par rien d'autre que 1 et par elle-même ».
Par exemple, 2 est un nombre premier car il n'est divisible que par 1 et par lui-même.
En revanche, 4 est divisible par 1 et par lui-même, mais il est aussi divisible par 2, donc ce n'est pas un nombre premier.
Autrement dit, si 2 est un ingrédient d'un plat, alors 4 est comme un plat préparé en utilisant 2 comme ingrédient.
Les ingrédients sont des nombres premiers, et les plats sont des nombres composés.
--- pp.
43~44
Des lettres remplacent les chiffres non identifiés
L'alphabet compte 26 lettres, alors pourquoi le x est-il devenu le symbole des nombres inconnus ? Le premier à utiliser le x fut René Descartes, en France, vers 1600.
Il est célèbre pour sa citation célèbre : « Je pense, donc je suis. »
Un jour, Descartes se rendit chez l'imprimeur pour soumettre ses travaux mathématiques.
L'imprimeur qui a reçu le document a été perplexe de voir une feuille de mathématiques avec plus de lettres que de chiffres.
« C’est un sujet de maths, mais il y a beaucoup de caractères ? »
« C’est parce que vous écrivez un nombre inconnu en lettres. »
"d'accord.
« Alors, puis-je remplacer cette lettre par un x ? »
« Pourquoi es-tu comme ça ? »
« Je pense que le nombre de caractères sera insuffisant car les mêmes caractères sont utilisés sans cesse. »
« Il me reste x à l'imprimante. Est-ce correct de représenter un nombre inconnu par x ? »
--- pp.
87~88
Les équations sont ennuyeuses depuis 3 800 ans.
On dit que plus de la moitié de l'enseignement des mathématiques est consacrée aux équations.
Parce que les équations sont omniprésentes dans le programme scolaire.
Même les élèves de CP apprennent les équations.
Car les problèmes comme « Si je donne deux pommes à mon ami et qu'il lui en reste trois, combien en avait-il au départ ? » sont tous des équations.
Il est surprenant de constater que les problèmes d'équations d'il y a environ 3 800 ans étaient tout aussi artificiels qu'aujourd'hui.
J'ignore quel est le but des inscriptions sur cette tablette d'argile.
Il aurait pu s'agir d'un manuel scolaire de l'époque, ou bien d'un objet fabriqué par les nobles pour impressionner leurs esclaves.
Ce qui est certain, c'est que les équations ont paru farfelues et inutiles pendant très longtemps.
--- pp.
115~119
Un secret que vous seul devriez connaître
Même si vous avez obtenu votre diplôme il y a longtemps, vous vous souvenez probablement de la formule des racines d'une équation du second degré.
Car, durant ma scolarité, je devais vivre en le récitant comme s'il s'agissait d'un poème.
Ce n'était pas un poème avec une rime particulièrement belle.
La formule des racines d'une équation du second degré a une histoire assez longue.
On dit que les solutions aux équations du second degré étaient déjà discutées dans l'ancienne Babylonie.
En anglais, une équation du second degré est appelée « équation quadratique », et si vous consultez le dictionnaire, « quadratique » est un terme lié aux carrés.
Comme son nom l'indique, les problèmes liés à l'aire d'un rectangle sont souvent exprimés sous forme d'équations quadratiques.
Quand on pense à une superficie, qu'est-ce qui nous vient à l'esprit en premier ? La terre.
Dans la société agricole où la terre avait une grande valeur, le problème du calcul de la superficie des terres est devenu une préoccupation importante, et des méthodes de résolution des équations quadratiques ont naturellement émergé.
--- pp.
131~132
Le théorème de Thalès réduit les ardeurs
Le théorème de Thalès découle de la loi selon laquelle l'angle au centre est la moitié de l'angle au centre.
L'angle au centre d'un demi-cercle est de 180°, donc l'angle circonférentiel d'un demi-cercle est de 90°.
Il s'agit du théorème de Thalès.
Le théorème de Thalès est un excellent moyen d'apprendre aux enfants à couper en deux des objets ronds.
Je parle de choses comme le popcorn rond.
Si votre enfant s'interroge sur la demi-houppette, essayez de lui montrer un objet aux coins droits, comme un cahier.
Si le cahier touche le pop-corn à trois endroits : les deux extrémités et la partie ronde, le pop-corn est coupé exactement en deux.
Sinon, si une extrémité du pop-corn ne touche pas l'autre extrémité ou si le coin du cahier ne touche pas la partie arrondie, ce n'est pas exactement un demi-pop-corn.
--- p.
178
Embrasser les enfants avec un cœur qui ressemble à un cercle
Découvrir une valeur extraordinaire au sein d'un triangle ordinaire, c'est l'essence même du centre du cercle inscrit et du centre du cercle circonscrit.
Les triangles aigus et obtus courants étaient difficiles à caractériser, ce qui les rendait peu intéressants pour les mathématiciens. Cependant, leur rencontre avec les cercles leur révéla une valeur nouvelle et insoupçonnée.
Qui aurait cru qu'on trouverait autant de triangles rectangles à l'intérieur d'un triangle ordinaire ?
C'est presque comme le processus d'éducation de nos enfants.
Tous les parents souhaiteraient que leur enfant possède des talents particuliers.
Il est donc vrai que je commence à m'impatienter.
Si vous ne faites pas preuve du talent attendu, vous serez déçu.
Mais dans de tels cas, tout ce que les parents peuvent faire, c'est enlacer leurs enfants avec un cœur chaleureux et écouter ce qu'ils ont à dire.
Alors les enfants découvriront leur propre valeur particulière.
Il n'y a pas un enfant au monde qui ne possède quelque chose de spécial.
--- pp.
187~188
Le seul outil du monde géométrique
Le jour de l'épreuve de géométrie, si vous donnez un problème qui consiste à trouver la longueur d'une figure, il y aura toujours un élève comme ça.
Commencez par déchirer l'extrémité de la feuille de test dans le sens de la longueur.
Et par-dessus le marché, nous dessinons au crayon les motifs les plus élaborés qu'un être humain puisse réaliser.
Ensuite, placez-le sur le papier test et mesurez directement sa longueur.
Ce sont des élèves véritablement créatifs, capables de résoudre des problèmes intuitivement même sans connaître les propriétés des triangles ou des cercles.
Ici, les élèves plus avancés peuvent facilement résoudre les problèmes qui portent sur les angles.
Pliez le coin de la feuille de test pour en faire un « rapporteur d'angle ».
Les élèves qui ont appliqué le fait que les coins de la feuille de test sont des angles droits et la similitude des formes.
Les stratégies de ces étudiants sont plutôt efficaces.
--- pp.
261~262
Des chiffres pour expliquer un monde incertain
La moyenne et la variance peuvent être interprétées différemment comme « espérance » et « incertitude ».
Prenons à nouveau l'exemple de deux restaurants.
Les magasins A et B avaient tous deux une note moyenne de 3 étoiles.
Cela signifie que le goût des aliments que nous attendons des deux magasins est de 3 étoiles.
Cependant, le magasin A, qui présente une grande variance, a une large distribution de variance, de sorte que le goût est également aléatoire.
Vous pourriez vous attendre à une note de 3 étoiles, mais un jour vous pourriez obtenir une note de 5 étoiles, et un autre jour une note d'1 étoile.
En revanche, le magasin B, qui présente une faible variance, a peu de chances de s'écarter significativement du goût attendu.
La variance peut donc être définie comme « l’incertitude » concernant le degré attendu (moyenne).
--- p.
312
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Avis de l'éditeur
« Mon enfant est plutôt doué pour résoudre les problèmes de base, mais il a toujours du mal avec les problèmes appliqués. »
« Mon voisin a déjà terminé sa deuxième année de lycée, alors que dois-je faire pour mon enfant ? »
« À qui mon enfant tient-il pour détester autant les maths ? J'ai toujours eu des difficultés avec cette matière, mais j'espère que mon enfant développera un intérêt pour elle. »
L'auteure, professeure de mathématiques forte de 14 ans d'expérience et mère de jumeaux scolarisés en primaire, a tiré une conclusion de ses conseils prodigués à d'innombrables élèves en difficulté et à leurs mères dans le domaine de l'éducation.
Il est absurde qu'une mère attende de son enfant qu'il soit un expert en mathématiques si elle-même ne connaît pas les mathématiques.
Si un enfant passe son temps à mémoriser des formules et à résoudre des problèmes, entouré d'une mère qui fronce les sourcils à la simple mention du mot « nombre » en mathématiques, il ne parviendra jamais à se familiariser avec les mathématiques.
L'auteur donne donc toujours ce conseil aux mères soucieuses de l'apprentissage des mathématiques de leurs enfants.
Si une mère fait le premier pas vers les mathématiques, l'attitude de l'enfant envers les mathématiques changera.
Mais chaque fois que cela se produisait, les mères se réunissaient et se plaignaient.
« J’aimerais qu’il existe un livre de mathématiques convivial, que même les mères qui ont terminé leurs études secondaires il y a des années puissent facilement comprendre. »
« Plus c'est amusant, mieux c'est ! »
L'auteure a donc décidé d'écrire elle-même un livre de mathématiques pour les mères.
Les concepts essentiels à maîtriser pour suivre le programme du collège, tels que les nombres et les opérations, les lettres et les formules, les formes, les fonctions et les plans cartésiens, la géométrie, les probabilités et les statistiques, etc., sont expliqués à un niveau adapté aux mères.
J'ai demandé à mon mari, qui a le dessin comme passe-temps, de m'aider avec des supports visuels pour faciliter ma compréhension.
Les plus de 200 illustrations ainsi réalisées ajoutent au plaisir de la lecture, et le professeur Choi Young-ki, du département de didactique des mathématiques de l'université nationale de Séoul, a été impressionné, déclarant : « J'ai souri à plusieurs reprises en lisant ce livre grâce aux codes humoristiques dissimulés dans les jolis dessins à la main. »
Si une mère n'a pas peur des mathématiques, cette confiance sera transmise à son enfant, qui pourra aborder les mathématiques avec aisance.
En ce sens, ce livre représente « la première étape de l’apprentissage des mathématiques que les mères devraient lire en priorité pour aider leurs enfants à développer une relation saine avec cette discipline » (p. 15). Si vous êtes une mère qui se sent étouffée lorsque son enfant pose des questions sur un problème de maths et que vous souhaitez le lui expliquer de manière adaptée à son niveau, mais que vous éprouvez de la frustration et de la compassion car votre enfant ne se souvient de rien de ce qu’il a appris à l’école, si vous êtes une mère qui a poussé son enfant, sans discernement, à résoudre des problèmes pour améliorer ses résultats, je vous recommande vivement de lire ce livre.
Améliorer la confiance en soi des mamans en mathématiques
Conférences spéciales essentielles pour aider votre enfant à exceller en mathématiques
La raison pour laquelle les enfants qui étaient bons en mathématiques à l'école primaire ont des difficultés au collège et au lycée est qu'ils se préoccupent davantage de mémoriser et de résoudre des problèmes que de comprendre les concepts et les formules.
Les mathématiques supérieures sont un processus de connexion et d'application de concepts de base (page 16), mais sans une compréhension appropriée, vous ne deviendrez qu'une machine à résoudre des problèmes.
L'enfant perd alors tout intérêt pour les mathématiques.
C’est un problème auquel de nombreuses mères ont été confrontées durant leurs années d’école.
Cependant, « aucun concept mathématique n’existe depuis la nuit des temps ; il a été défini ou découvert par quelqu’un. »
Par conséquent, lorsque vous ouvrez un livre de mathématiques, plutôt que de mémoriser les formules, vous devriez écouter les histoires des mathématiciens qui ont créé les formules et chercher à comprendre pourquoi ces concepts ont vu le jour (page 25).
Plutôt que de simplement mémoriser et résoudre des problèmes, les aborder à travers le contexte et les histoires qui se cachent derrière la création des formules, des épisodes de la vie de mathématiciens de renommée mondiale et des histoires mathématiques rencontrées dans la vie quotidienne vous permettra de comprendre plus profondément les concepts essentiels et les principes fondamentaux et d'appréhender une perspective plus large.
Voici quelques-uns des épisodes inclus dans le livre.
Lisons ensemble et discutons-en avec les mères et les enfants.
Le partage d'histoires mathématiques uniques, plutôt que de simples notes et feuilles d'exercices, sera un cadeau précieux qui conduira les mères et les enfants vers le monde plus passionnant des mathématiques.
Le premier pas pour devenir un excellent élève en mathématiques commence ici.
Les problèmes d'équations sont-ils « ennuyeux » depuis 3 800 ans ?
Les problèmes d'équations sont tous aussi farfelus, comme trouver la vitesse de Cheolsu et Yeonghee marchant dans des directions différentes à travers un parc, ou trouver la superficie d'un terrain en fonction des récoltes de l'année dernière et de cette année.
Mais ce qui est surprenant, c'est que ce genre de problème « banal » ait également été retrouvé sur une ancienne tablette d'argile babylonienne datant d'environ 3 800 ans.
Néanmoins, la raison pour laquelle nous apprenons les équations est que les équations sont le meilleur moyen d’améliorer nos « compétences en résolution de problèmes » (p. 117).
Pourquoi la lettre « x », parmi les 26 lettres de l'alphabet, est-elle devenue la représentante du nombre inconnu ?
Le philosophe français René Descartes, célèbre pour sa citation « Je pense, donc je suis », était également un grand mathématicien.
Il se rendit chez un imprimeur pour faire imprimer son document de mathématiques, qui s'avéra contenir plus de lettres que de chiffres.
Ceci s'explique par le fait que le « nombre inconnu », ou quantité inconnue, est exprimé par des lettres.
L'imprimeur utilisa la lettre « x » pour désigner la quantité inconnue, car c'était le caractère le plus abondant en stock, et dès lors, le « x » inconnu commença à être largement utilisé. (p. 86)
• Quel est le contexte de la façon dont la formule de la racine est devenue un moyen de s'enrichir et de devenir célèbre pour les mathématiciens ?
En Europe, à la Renaissance, les mathématiciens qui connaissaient la formule quadratique étaient très populaires car ils pouvaient calculer les intérêts composés et les taxes commerciales ; les cours particuliers de mathématiques pour les enfants de marchands étaient également très prisés.
De ce fait, pour les mathématiciens de l'époque, la formule des racines était comme un trésor et une arme pouvant leur apporter richesse et gloire, et des concours de résolution d'équations cubiques étaient même organisés entre eux. (p. 132)
Comment le lancer de pièces est-il devenu une branche des mathématiques ?
Un livre écrit par le mathématicien italien Luca Pacioli en 1494 raconte l'histoire d'un lancer de pièce interrompu en plein pari.
Le mathématicien du XVIIe siècle, Blaise Pascal, a correspondu avec son contemporain, Fermat, au sujet de la solution à ce jeu suspendu.
Ce contenu a par la suite constitué le fondement de la naissance de la théorie des probabilités, marquant le moment où les probabilités ont quitté le monde des jeux de hasard pour entrer dans celui des mathématiques. (p. 283)
Quel mathématicien a accordé plus de valeur à un cercle tracé au sol qu'à sa propre vie ?
Vers 200 avant J.-C., Archimède tenta de calculer la circonférence d'un cercle à partir du périmètre d'un polygone.
En effet, plus un polygone possède d'angles qui touchent un cercle, plus la plage de circonférence peut être étroite, et plus l'approximation obtenue est précise.
Il parvint ainsi à calculer jusqu'à 96 polygones.
Puis Rome envahit sa ville natale, et les soldats romains pillèrent même sa maison.
Lorsqu'un soldat romain piétina le cercle qu'il avait tracé au sol, Archimède s'écria : « Ne détruisez pas mon cercle ! » Le soldat, furieux, le décapita sur-le-champ. (p. 161) Ce fut une mort tragique pour un grand mathématicien, mais on peut aussi y voir une mort héroïque qui souligna sa détermination à protéger ses recherches.
« Mon voisin a déjà terminé sa deuxième année de lycée, alors que dois-je faire pour mon enfant ? »
« À qui mon enfant tient-il pour détester autant les maths ? J'ai toujours eu des difficultés avec cette matière, mais j'espère que mon enfant développera un intérêt pour elle. »
L'auteure, professeure de mathématiques forte de 14 ans d'expérience et mère de jumeaux scolarisés en primaire, a tiré une conclusion de ses conseils prodigués à d'innombrables élèves en difficulté et à leurs mères dans le domaine de l'éducation.
Il est absurde qu'une mère attende de son enfant qu'il soit un expert en mathématiques si elle-même ne connaît pas les mathématiques.
Si un enfant passe son temps à mémoriser des formules et à résoudre des problèmes, entouré d'une mère qui fronce les sourcils à la simple mention du mot « nombre » en mathématiques, il ne parviendra jamais à se familiariser avec les mathématiques.
L'auteur donne donc toujours ce conseil aux mères soucieuses de l'apprentissage des mathématiques de leurs enfants.
Si une mère fait le premier pas vers les mathématiques, l'attitude de l'enfant envers les mathématiques changera.
Mais chaque fois que cela se produisait, les mères se réunissaient et se plaignaient.
« J’aimerais qu’il existe un livre de mathématiques convivial, que même les mères qui ont terminé leurs études secondaires il y a des années puissent facilement comprendre. »
« Plus c'est amusant, mieux c'est ! »
L'auteure a donc décidé d'écrire elle-même un livre de mathématiques pour les mères.
Les concepts essentiels à maîtriser pour suivre le programme du collège, tels que les nombres et les opérations, les lettres et les formules, les formes, les fonctions et les plans cartésiens, la géométrie, les probabilités et les statistiques, etc., sont expliqués à un niveau adapté aux mères.
J'ai demandé à mon mari, qui a le dessin comme passe-temps, de m'aider avec des supports visuels pour faciliter ma compréhension.
Les plus de 200 illustrations ainsi réalisées ajoutent au plaisir de la lecture, et le professeur Choi Young-ki, du département de didactique des mathématiques de l'université nationale de Séoul, a été impressionné, déclarant : « J'ai souri à plusieurs reprises en lisant ce livre grâce aux codes humoristiques dissimulés dans les jolis dessins à la main. »
Si une mère n'a pas peur des mathématiques, cette confiance sera transmise à son enfant, qui pourra aborder les mathématiques avec aisance.
En ce sens, ce livre représente « la première étape de l’apprentissage des mathématiques que les mères devraient lire en priorité pour aider leurs enfants à développer une relation saine avec cette discipline » (p. 15). Si vous êtes une mère qui se sent étouffée lorsque son enfant pose des questions sur un problème de maths et que vous souhaitez le lui expliquer de manière adaptée à son niveau, mais que vous éprouvez de la frustration et de la compassion car votre enfant ne se souvient de rien de ce qu’il a appris à l’école, si vous êtes une mère qui a poussé son enfant, sans discernement, à résoudre des problèmes pour améliorer ses résultats, je vous recommande vivement de lire ce livre.
Améliorer la confiance en soi des mamans en mathématiques
Conférences spéciales essentielles pour aider votre enfant à exceller en mathématiques
La raison pour laquelle les enfants qui étaient bons en mathématiques à l'école primaire ont des difficultés au collège et au lycée est qu'ils se préoccupent davantage de mémoriser et de résoudre des problèmes que de comprendre les concepts et les formules.
Les mathématiques supérieures sont un processus de connexion et d'application de concepts de base (page 16), mais sans une compréhension appropriée, vous ne deviendrez qu'une machine à résoudre des problèmes.
L'enfant perd alors tout intérêt pour les mathématiques.
C’est un problème auquel de nombreuses mères ont été confrontées durant leurs années d’école.
Cependant, « aucun concept mathématique n’existe depuis la nuit des temps ; il a été défini ou découvert par quelqu’un. »
Par conséquent, lorsque vous ouvrez un livre de mathématiques, plutôt que de mémoriser les formules, vous devriez écouter les histoires des mathématiciens qui ont créé les formules et chercher à comprendre pourquoi ces concepts ont vu le jour (page 25).
Plutôt que de simplement mémoriser et résoudre des problèmes, les aborder à travers le contexte et les histoires qui se cachent derrière la création des formules, des épisodes de la vie de mathématiciens de renommée mondiale et des histoires mathématiques rencontrées dans la vie quotidienne vous permettra de comprendre plus profondément les concepts essentiels et les principes fondamentaux et d'appréhender une perspective plus large.
Voici quelques-uns des épisodes inclus dans le livre.
Lisons ensemble et discutons-en avec les mères et les enfants.
Le partage d'histoires mathématiques uniques, plutôt que de simples notes et feuilles d'exercices, sera un cadeau précieux qui conduira les mères et les enfants vers le monde plus passionnant des mathématiques.
Le premier pas pour devenir un excellent élève en mathématiques commence ici.
Les problèmes d'équations sont-ils « ennuyeux » depuis 3 800 ans ?
Les problèmes d'équations sont tous aussi farfelus, comme trouver la vitesse de Cheolsu et Yeonghee marchant dans des directions différentes à travers un parc, ou trouver la superficie d'un terrain en fonction des récoltes de l'année dernière et de cette année.
Mais ce qui est surprenant, c'est que ce genre de problème « banal » ait également été retrouvé sur une ancienne tablette d'argile babylonienne datant d'environ 3 800 ans.
Néanmoins, la raison pour laquelle nous apprenons les équations est que les équations sont le meilleur moyen d’améliorer nos « compétences en résolution de problèmes » (p. 117).
Pourquoi la lettre « x », parmi les 26 lettres de l'alphabet, est-elle devenue la représentante du nombre inconnu ?
Le philosophe français René Descartes, célèbre pour sa citation « Je pense, donc je suis », était également un grand mathématicien.
Il se rendit chez un imprimeur pour faire imprimer son document de mathématiques, qui s'avéra contenir plus de lettres que de chiffres.
Ceci s'explique par le fait que le « nombre inconnu », ou quantité inconnue, est exprimé par des lettres.
L'imprimeur utilisa la lettre « x » pour désigner la quantité inconnue, car c'était le caractère le plus abondant en stock, et dès lors, le « x » inconnu commença à être largement utilisé. (p. 86)
• Quel est le contexte de la façon dont la formule de la racine est devenue un moyen de s'enrichir et de devenir célèbre pour les mathématiciens ?
En Europe, à la Renaissance, les mathématiciens qui connaissaient la formule quadratique étaient très populaires car ils pouvaient calculer les intérêts composés et les taxes commerciales ; les cours particuliers de mathématiques pour les enfants de marchands étaient également très prisés.
De ce fait, pour les mathématiciens de l'époque, la formule des racines était comme un trésor et une arme pouvant leur apporter richesse et gloire, et des concours de résolution d'équations cubiques étaient même organisés entre eux. (p. 132)
Comment le lancer de pièces est-il devenu une branche des mathématiques ?
Un livre écrit par le mathématicien italien Luca Pacioli en 1494 raconte l'histoire d'un lancer de pièce interrompu en plein pari.
Le mathématicien du XVIIe siècle, Blaise Pascal, a correspondu avec son contemporain, Fermat, au sujet de la solution à ce jeu suspendu.
Ce contenu a par la suite constitué le fondement de la naissance de la théorie des probabilités, marquant le moment où les probabilités ont quitté le monde des jeux de hasard pour entrer dans celui des mathématiques. (p. 283)
Quel mathématicien a accordé plus de valeur à un cercle tracé au sol qu'à sa propre vie ?
Vers 200 avant J.-C., Archimède tenta de calculer la circonférence d'un cercle à partir du périmètre d'un polygone.
En effet, plus un polygone possède d'angles qui touchent un cercle, plus la plage de circonférence peut être étroite, et plus l'approximation obtenue est précise.
Il parvint ainsi à calculer jusqu'à 96 polygones.
Puis Rome envahit sa ville natale, et les soldats romains pillèrent même sa maison.
Lorsqu'un soldat romain piétina le cercle qu'il avait tracé au sol, Archimède s'écria : « Ne détruisez pas mon cercle ! » Le soldat, furieux, le décapita sur-le-champ. (p. 161) Ce fut une mort tragique pour un grand mathématicien, mais on peut aussi y voir une mort héroïque qui souligna sa détermination à protéger ses recherches.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 28 février 2022
Nombre de pages, poids, dimensions : 324 pages | 440 g | 148 × 210 × 17 mm
- ISBN13 : 9788960519107
- ISBN10 : 8960519103
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