
Si j'étais des ramen
Description
Introduction au livre
Avec une imagination joyeuse comme des ramen qui bout
Un poème qui réchauffe le cœur des enfants
Premier recueil de poèmes du poète Kwon Ki-deok, lauréat du prix Changbi de littérature jeunesse.
Le poète Kwon Ki-deok, qui a remporté le 9e prix Changbi du nouvel écrivain pour enfants en 2017 avec son poème « Jungle Gym » et quatre autres poèmes, a publié son premier recueil de poèmes, « Si j'étais des ramen ».
Le poète, qui a longtemps vécu parmi les enfants, capture avec un regard délicat les images colorées de leur quotidien.
Les paroles, qui abordent avec respect le cœur d'un enfant solitaire, sont chaleureuses et charmantes, et se distinguent par une imagination joyeuse et un humour tendre.
Au total, 61 œuvres, dont la pièce maîtresse « Ramen », expriment avec brio la vivacité et l'innocence de l'enfance.
Un poème qui réchauffe le cœur des enfants
Premier recueil de poèmes du poète Kwon Ki-deok, lauréat du prix Changbi de littérature jeunesse.
Le poète Kwon Ki-deok, qui a remporté le 9e prix Changbi du nouvel écrivain pour enfants en 2017 avec son poème « Jungle Gym » et quatre autres poèmes, a publié son premier recueil de poèmes, « Si j'étais des ramen ».
Le poète, qui a longtemps vécu parmi les enfants, capture avec un regard délicat les images colorées de leur quotidien.
Les paroles, qui abordent avec respect le cœur d'un enfant solitaire, sont chaleureuses et charmantes, et se distinguent par une imagination joyeuse et un humour tendre.
Au total, 61 œuvres, dont la pièce maîtresse « Ramen », expriment avec brio la vivacité et l'innocence de l'enfance.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Partie 1 : Un cercle vit à l'intérieur d'un cercle
Salle de classe éponge
salle de jeux dans la jungle
Attrape-balle
Parc Dalseong
match de football inversé
Un têtard inquiet, un papillon dans les nuages par une journée claire
patte
En fait, je vis avec des crocodiles.
Drone papillon
Bon Loup
L'escargot effrayant
corde à sauter
Aire de jeux convexe
Réalité augmentée
yeux de flet
Nom de l'enseignant de la classe de 7e, 2e année
Deuxième partie : Je suis allé à la rencontre du renard
Salle de classe fantastique
roue de vélo
Pluie de renard
ramen
Une plante appelée chaise
horloge murale
flaque
jonglerie
inclination
Je me regarde en moi-même
carnet de croquis
Parc des feuilles
Si la nourriture nous choisit
Fantôme de fourmi
poussières fines
pizza surgelée
Partie 3 La porte se déplace
Porte piétonne
Le rêve de Pinocchio
Se lier d'amitié avec les insectes
Aire de jeux en gazon
punaises de maison
Boîte froissée
Mon cœur, une fenêtre qui attend les oiseaux qui se sont envolés
Livre Guinness des records
tissu
pluriel
sucette bonbon
en cours d'exécution
développement
oignon
Partie 4 J'ai fait une promesse en m'essuyant la barbe
Exercice d'évacuation en cas de séisme
Kwon Ki-deok, Kungdeoreoreore
figures à symétrie axiale
Étrange promesse
L'ombre du coucou
Duel de barbes
éléphant
Sur le parterre de fleurs
Trajet scolaire effrayant
gants de gardien de but
pistolet
Jenga
lampadaires
Temps d'étude du matin
Au plus profond de mon cœur
Commentaire | Un poème qui embrasse, apaise et donne des ailes_Kim Je-gon
Paroles du poète | La voici, toujours, même si le temps passe
Salle de classe éponge
salle de jeux dans la jungle
Attrape-balle
Parc Dalseong
match de football inversé
Un têtard inquiet, un papillon dans les nuages par une journée claire
patte
En fait, je vis avec des crocodiles.
Drone papillon
Bon Loup
L'escargot effrayant
corde à sauter
Aire de jeux convexe
Réalité augmentée
yeux de flet
Nom de l'enseignant de la classe de 7e, 2e année
Deuxième partie : Je suis allé à la rencontre du renard
Salle de classe fantastique
roue de vélo
Pluie de renard
ramen
Une plante appelée chaise
horloge murale
flaque
jonglerie
inclination
Je me regarde en moi-même
carnet de croquis
Parc des feuilles
Si la nourriture nous choisit
Fantôme de fourmi
poussières fines
pizza surgelée
Partie 3 La porte se déplace
Porte piétonne
Le rêve de Pinocchio
Se lier d'amitié avec les insectes
Aire de jeux en gazon
punaises de maison
Boîte froissée
Mon cœur, une fenêtre qui attend les oiseaux qui se sont envolés
Livre Guinness des records
tissu
pluriel
sucette bonbon
en cours d'exécution
développement
oignon
Partie 4 J'ai fait une promesse en m'essuyant la barbe
Exercice d'évacuation en cas de séisme
Kwon Ki-deok, Kungdeoreoreore
figures à symétrie axiale
Étrange promesse
L'ombre du coucou
Duel de barbes
éléphant
Sur le parterre de fleurs
Trajet scolaire effrayant
gants de gardien de but
pistolet
Jenga
lampadaires
Temps d'étude du matin
Au plus profond de mon cœur
Commentaire | Un poème qui embrasse, apaise et donne des ailes_Kim Je-gon
Paroles du poète | La voici, toujours, même si le temps passe
Image détaillée

Avis de l'éditeur
« Si c’est des ramen, ça peut être n’importe quoi ! »
Un recueil de poèmes qui encouragent les joyeuses aventures des enfants.
« Si j'étais des ramen » est le premier recueil de poèmes du poète Kwon Ki-deok, qui compile l'univers poétique qu'il chérit depuis longtemps.
La poétesse, qui a fait ses débuts sous les éloges selon lesquels « sa vision du monde lumineuse et positive réchauffe le cœur des lecteurs », a, dans ce recueil de poèmes, examiné la réalité à laquelle sont confrontés les enfants avec une perspective aiguisée et a créé un espace poétique où ils peuvent exprimer librement leur imagination.
Les poèmes décrivant une salle de classe remplie de pupitres en mousse moelleuse au lieu de pupitres carrés et durs (« Salle de classe en mousse ») et une cour de récréation convexe comme le dos d'un chameau (« Cour de récréation convexe ») offrent la joie de l'imagination et de la subversion qui brise les normes existantes.
L'ouvrage intitulé « Ramen » utilise un jeu de mots pour juxtaposer le ramen, un aliment familier aux jeunes lecteurs, avec la terminaison « ~ramen », qui présuppose un certain fait, afin d'encourager les enfants à croire qu'ils peuvent devenir tout ce qu'ils veulent.
Si j'étais des ramen // Quand je fais du sport, je serais un gorille / Quand j'ai envie de danser, je serais un kangourou / Quand j'ai besoin de parler, je serais un perroquet / Quand j'ai envie de nager, je serais un phoque / Quand j'ai besoin de coopérer, je serais une fourmi / Quand j'ai envie de voyager, je serais une hirondelle / Quand je dois marcher sur une route sombre, je serais un hibou / Quand je veux aider un ami, je serais un crocodile // Je veux être le ramen le plus populaire au monde _「Ramen」
Réconforter le cœur des enfants solitaires
L'étreinte lumineuse et ronde du vent
Dans « Si j'étais des ramen », un enfant qui passe beaucoup de temps seul apparaît souvent.
Le poète reste aux côtés d'un enfant qui rentre seul de l'école lorsqu'il se met soudain à pleuvoir et écoute ses souhaits secrets tout en regardant un match de football battre son plein.
Je suis allé à la maison du vent.
Vous pouviez entrer sans sonner à la porte ni être invité par un ami.
Les fenêtres étaient toujours ouvertes, donc ce n'était pas effrayant.
section « Jungle Gym »
Le narrateur de « Jungle Gym », qui joue seul dans une aire de jeux vide, appelle la structure de jeux, qui n'a qu'une ossature sans murs ni toit, une « maison-fenêtre » et explore différents endroits de cette maison-fenêtre, où « les fenêtres sont toujours ouvertes ».
Cependant, plus il grimpe et descend de la structure de jeux, plus il se sent seul plutôt qu'heureux, et le poète ne manque pas de saisir le moment où le cœur de l'enfant s'assombrit tandis qu'il contemple le coucher du soleil du haut de la structure.
Tel le vent qui caresse chaque recoin du cœur solitaire d'un enfant, le poète lit le véritable « souhait » de l'enfant avec un lyrisme délicat et le réconforte afin que son cœur endurci puisse « s'arrondir peu à peu ».
On peut y aller même sans invitation. On peut entendre le bruissement des fleurs sauvages et voir les araignées s'affairer à construire leurs nids. //(…)//Parfois, un géant solitaire s'accroupit et nous regarde avec envie. Imaginez notre excitation ! //Cet endroit regorge de rondeurs. Chacun devient de plus en plus rond sans même se rendre compte que le soleil se couche. _Extrait de « L'aire de jeux d'herbe »
Un regard qui nous éveille à la préciosité des petits êtres
Le regard du poète Kwon Ki-deok atteint même les petits êtres qui sont juste à côté de nous mais que nous avons négligés.
Même un petit escargot d'apparence fragile reçoit un avertissement mignon selon lequel il possède en réalité dix mille dents effrayantes (« L'escargot effrayant »), et un mouchoir jeté négligemment est admiré comme un aimant blanc auquel « les larmes collent/les narines collent/les fesses collent » (« Mouchoir »).
En lisant des poèmes qui élèvent le langage délicat même à partir de sujets triviaux, les lecteurs seront capables de « mieux protéger les petites choses » (extrait de la « Note du poète »), comme le souhaite le poète.
J'espère que 『If I Were Ramen』 sera longtemps apprécié comme un recueil de poèmes empreints d'une imagination enfantine et fantaisiste, et d'un cœur poétique tendre qui embrasse les petits êtres.
Un recueil de poèmes qui encouragent les joyeuses aventures des enfants.
« Si j'étais des ramen » est le premier recueil de poèmes du poète Kwon Ki-deok, qui compile l'univers poétique qu'il chérit depuis longtemps.
La poétesse, qui a fait ses débuts sous les éloges selon lesquels « sa vision du monde lumineuse et positive réchauffe le cœur des lecteurs », a, dans ce recueil de poèmes, examiné la réalité à laquelle sont confrontés les enfants avec une perspective aiguisée et a créé un espace poétique où ils peuvent exprimer librement leur imagination.
Les poèmes décrivant une salle de classe remplie de pupitres en mousse moelleuse au lieu de pupitres carrés et durs (« Salle de classe en mousse ») et une cour de récréation convexe comme le dos d'un chameau (« Cour de récréation convexe ») offrent la joie de l'imagination et de la subversion qui brise les normes existantes.
L'ouvrage intitulé « Ramen » utilise un jeu de mots pour juxtaposer le ramen, un aliment familier aux jeunes lecteurs, avec la terminaison « ~ramen », qui présuppose un certain fait, afin d'encourager les enfants à croire qu'ils peuvent devenir tout ce qu'ils veulent.
Si j'étais des ramen // Quand je fais du sport, je serais un gorille / Quand j'ai envie de danser, je serais un kangourou / Quand j'ai besoin de parler, je serais un perroquet / Quand j'ai envie de nager, je serais un phoque / Quand j'ai besoin de coopérer, je serais une fourmi / Quand j'ai envie de voyager, je serais une hirondelle / Quand je dois marcher sur une route sombre, je serais un hibou / Quand je veux aider un ami, je serais un crocodile // Je veux être le ramen le plus populaire au monde _「Ramen」
Réconforter le cœur des enfants solitaires
L'étreinte lumineuse et ronde du vent
Dans « Si j'étais des ramen », un enfant qui passe beaucoup de temps seul apparaît souvent.
Le poète reste aux côtés d'un enfant qui rentre seul de l'école lorsqu'il se met soudain à pleuvoir et écoute ses souhaits secrets tout en regardant un match de football battre son plein.
Je suis allé à la maison du vent.
Vous pouviez entrer sans sonner à la porte ni être invité par un ami.
Les fenêtres étaient toujours ouvertes, donc ce n'était pas effrayant.
section « Jungle Gym »
Le narrateur de « Jungle Gym », qui joue seul dans une aire de jeux vide, appelle la structure de jeux, qui n'a qu'une ossature sans murs ni toit, une « maison-fenêtre » et explore différents endroits de cette maison-fenêtre, où « les fenêtres sont toujours ouvertes ».
Cependant, plus il grimpe et descend de la structure de jeux, plus il se sent seul plutôt qu'heureux, et le poète ne manque pas de saisir le moment où le cœur de l'enfant s'assombrit tandis qu'il contemple le coucher du soleil du haut de la structure.
Tel le vent qui caresse chaque recoin du cœur solitaire d'un enfant, le poète lit le véritable « souhait » de l'enfant avec un lyrisme délicat et le réconforte afin que son cœur endurci puisse « s'arrondir peu à peu ».
On peut y aller même sans invitation. On peut entendre le bruissement des fleurs sauvages et voir les araignées s'affairer à construire leurs nids. //(…)//Parfois, un géant solitaire s'accroupit et nous regarde avec envie. Imaginez notre excitation ! //Cet endroit regorge de rondeurs. Chacun devient de plus en plus rond sans même se rendre compte que le soleil se couche. _Extrait de « L'aire de jeux d'herbe »
Un regard qui nous éveille à la préciosité des petits êtres
Le regard du poète Kwon Ki-deok atteint même les petits êtres qui sont juste à côté de nous mais que nous avons négligés.
Même un petit escargot d'apparence fragile reçoit un avertissement mignon selon lequel il possède en réalité dix mille dents effrayantes (« L'escargot effrayant »), et un mouchoir jeté négligemment est admiré comme un aimant blanc auquel « les larmes collent/les narines collent/les fesses collent » (« Mouchoir »).
En lisant des poèmes qui élèvent le langage délicat même à partir de sujets triviaux, les lecteurs seront capables de « mieux protéger les petites choses » (extrait de la « Note du poète »), comme le souhaite le poète.
J'espère que 『If I Were Ramen』 sera longtemps apprécié comme un recueil de poèmes empreints d'une imagination enfantine et fantaisiste, et d'un cœur poétique tendre qui embrasse les petits êtres.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 3 septembre 2021
Nombre de pages, poids, dimensions : 136 pages | 238 g | 151 × 207 × 8 mm
- ISBN13 : 9788936448073
- ISBN10 : 8936448072
- Certification KC : Type de certification : Confirmation de conformité
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