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Feu : Sagesse qui apaise les flammes du cœur
Feu : Sagesse qui apaise les flammes du cœur
Description
Introduction au livre
Le film « Feu » de Thich Nhat Hanh est réédité après 20 ans.
En ce qui concerne Thich Nhat Hanh, son livre 『Le Feu』 (première édition 2002)
4. 3) Ce livre a profondément marqué les lecteurs coréens, au point de rappeler…
Il est toutefois regrettable que la couleur originelle, c'est-à-dire l'identité bouddhiste, ait été oubliée lors de sa traduction dans un style et une terminologie populaires.
À titre d'exemple, le terme « insouciance » du texte original est un concept central des enseignements de Thich Nhat Hanh et est généralement traduit par « pleine conscience » ou « conscience », mais ici, il est traduit par « conscience ».
Cette traduction a été entreprise en partant d'un constat de problème et s'est basée sur une traduction approfondie du texte original.
Autrement dit, nous avons porté une attention particulière à chaque phrase et à chaque mot du texte original lors de la traduction, et au cours de ce processus, nous avons également reçu l'aide de moines coréens pratiquant au village des pruniers.
On peut donc affirmer que cette traduction contient intégralement les enseignements que Thich Nhat Hanh souhaitait transmettre.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
Introduction 7

Chapitre 1 : Consommation du feu 19
Chapitre 2 : Éteindre les flammes du feu 31
Chapitre 3 : Paroles d'amour véritable 57
Chapitre 4 Changement 77
Chapitre 5 : Communication bienveillante 101
Chapitre 6 Votre Sutra du Cœur 121
Chapitre 7 : Pas d'ennemis 139
Chapitre 8 David et Angelina : 159
La colère est une énergie habituelle.
Chapitre 9 : Apprivoiser la colère par la pleine conscience 175
Chapitre 10 Respiration consciente 193
Chapitre 11 : Restauration de la Terre Pure 205

Appendice
Annexe A 221
Annexe B : Cinq pratiques de pleine conscience 225
Annexe C : Un regard approfondi sur la colère 233
Méditation guidée pour la libération
Annexe D : Relaxation profonde 241

Avis de l'éditeur
L'homme moderne vit dans une société qui déclenche et encourage la « colère », tant sur le plan personnel que social.
Derrière cela se cachent le matérialisme, l'égoïsme et une compétition sans fin, qui alimentent les désirs humains.
Néanmoins, les êtres humains ont le droit d'être heureux et de vivre en quête du bonheur.
Comment devenir heureux ? Thich Nhat Hanh répond à cette question.

« Dans les enseignements du Bouddha, la condition fondamentale du bonheur est la liberté. »
La liberté dont nous parlons ici n'est pas la liberté politique, mais la liberté face à l'agression mentale telle que la colère, le désespoir, la jalousie et l'illusion.
Bouddha qualifiait cette activité mentale de poison.
« Nous ne pouvons être heureux tant que ces poisons sont dans nos cœurs. »

Ainsi, ce livre nous apprend à échapper à la colère, au désespoir et à la frustration, et à nous rendre heureux nous-mêmes et les autres.
Et cela ne nécessite ni études théoriques difficiles ou approfondies, ni pratique extrême.
Il suffit de pratiquer la pleine conscience.
Pour se libérer de la « colère », il faut d'abord connaître la « colère ».
Le moine estime que la colère est un phénomène mental et psychologique, mais qu'elle est aussi étroitement liée à des facteurs biologiques et biochimiques.
Autrement dit, le corps et l'esprit ne sont pas séparés ; le corps est l'esprit et l'esprit est le corps.


Par conséquent, la racine de la colère se trouve non seulement dans l'esprit mais aussi dans le corps, et finalement, on nous dit de pratiquer une « alimentation consciente » dans notre vie quotidienne, notamment dans la façon dont nous mangeons, buvons, consommons et traitons notre corps.
Le moine introduit ce livre d'une manière surprenante (?) en abordant d'abord le problème du contrôle du corps et de son essence même : le problème de l'alimentation.
Cela montre également que la vie quotidienne et la pratique ne sont pas des choses séparées.
Le moine considère la colère comme quelque chose dont il faut prendre soin, comme un enfant.
Nous devons donc devenir des mères qui écoutent les cris de leurs bébés.
Allant plus loin, nous considérons la « colère » comme faisant partie intégrante de nous-mêmes.
Lorsqu'une douleur se manifeste n'importe où dans le corps, nous portons d'abord notre attention sur la zone douloureuse et nous en prenons soin.

«Veuillez accueillir votre colère avec beaucoup de douceur.»
La colère n'est pas votre ennemie, c'est votre bébé.
C'est comme votre estomac ou vos poumons.
Nous ne voulons pas le jeter à chaque fois que nous avons un problème avec nos poumons ou notre estomac.
« Ta colère est la même. »

Ainsi, la colère n'est ni quelque chose que nous devrions repousser, ni quelque chose que nous devrions combattre et surmonter.
Il nous suffit de prendre conscience de la colère telle qu'elle est, de l'accepter et de lui sourire.
Ce dont nous avons besoin ici, c'est de la pratique de la pleine conscience.

« Le Bouddha nous a donné un outil très efficace pour éteindre la flamme qui brûle dans nos cœurs. »
Il s'agit d'apprendre à pratiquer la respiration et la marche en pleine conscience, à accepter la colère, à examiner en profondeur la nature de notre perception des choses…

Un bon enseignement devrait pouvoir s'appliquer directement à nos vies et transformer nos souffrances.
La pratique de la pleine conscience n'est pas réservée aux êtres exceptionnels.
Moi, toi, nous pouvons tous le faire.
La colère existe en nous sous forme de graines, et les graines de l'amour et de la compassion existent également au même endroit.
L'entraînement consiste à arroser les graines positives, pas les graines négatives.
On appelle cela « l'arrosage sélectif ».

Parfois, des idées reçues erronées sur la colère peuvent devenir problématiques.
Certains affirment que la solution consiste à exprimer sa colère, mais c'est une idée très dangereuse.
Lorsque vous exprimez votre colère, vous lui fournissez une énergie qui l'alimente, et par conséquent, plus vous exprimez votre colère, plus vous faites germer les graines de la colère.
Personne ne peut éviter de se mettre en colère.
L'essentiel est de savoir si vous laissez libre cours à votre colère et la déversez sur l'autre personne, ou si vous reconnaissez cette colère sur le moment, l'acceptez et souriez.
Et cela dépend de la pratique de la pleine conscience.

Ainsi, la pleine conscience ne consiste pas à réprimer la colère, mais à la remarquer.
La pleine conscience consiste à approcher, reconnaître, accueillir et embrasser, sans lutter ni réprimer.
Le rôle de la pleine conscience est comparable à celui d'une mère qui tient et apaise un enfant malade.
La colère qui est en nous est comme un enfant dont nous devons prendre grand soin.
Un praticien est celui qui sait comment prendre soin de la colère et de la souffrance dès leur apparition.
En revanche, ceux qui ne pratiquent pas sont facilement submergés et dominés par la colère lorsque celle-ci se manifeste.

La principale cause de notre souffrance et de notre malheur ne vient pas des autres, mais des germes de colère qui sommeillent en nous.
Il n'est donc pas nécessaire de blâmer les autres pour votre souffrance.
L'adversaire n'est qu'un facteur secondaire.
Si vous êtes prisonnier de quelque chose — colère, frustration, désespoir, voire amour —, vous n'êtes pas libre.
Pour vivre pleinement, pour être véritablement heureux, pour vivre pleinement en tant que protagoniste de sa propre vie, il faut devenir une personne libre.
Et la voie à suivre réside dans la pratique de la pleine conscience.
À travers ce livre, j'espère comprendre la nature de la « colère » et m'en libérer, afin que non seulement moi-même, mais aussi ceux qui ont besoin de mon aide, puissions nous rapprocher du bonheur.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 26 août 2024
Nombre de pages, poids, dimensions : 252 pages | 400 g | 141 × 210 × 15 mm
- ISBN13 : 9788957467848
- ISBN10 : 895746784X

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