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Le musée d'art bizarre
Le musée d'art bizarre
Description
Introduction au livre
« Une porte vers le mystère ouverte par un magnifique tableau »
Histoires cachées de tableaux célèbres, racontées par Jin Byeong-gwan, interprète culturel agréé français

Et si un artiste avait légué un tableau par testament ? Et si un tableau surnommé la « Mona Lisa américaine » avait été considéré comme pornographique à l’époque de sa création ? Et si Hitler possédait onze tableaux d’un artiste ? Et si un peintre s’était décapité et avait peint son portrait ?

Il y a toujours une histoire cachée derrière les tableaux célèbres que nous connaissons bien.
Un tableau si bien dessiné qu'il portait malheur, un tableau qui renfermait le secret de l'artiste, un secret qu'il ne pouvait révéler à personne, un tableau réalisé pour se venger de ceux qui l'avaient raillé et repoussé...

« Le Musée Bizarre » est un recueil fascinant de mystères au sein de tableaux célèbres, décryptés par Jin Byeong-gwan, commentateur culturel français reconnu et auteur à succès.
En suivant son récit intelligent et captivant à travers plus de 100 chefs-d'œuvre, vous pourrez apprécier l'art tout en acquérant des connaissances générales.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
prologue.
Entre l'image visible et l'histoire invisible

Salle 1.
La Chambre du Destin

Le visage derrière le masque : James Ensor, L'entrée du Christ à Bruxelles
[Lecture approfondie] Ce que symbolise le hibou
L'enfant qui ne sort jamais : Édouard Manet, Le Balcon
[Lecture approfondie des tableaux] Œuvres inspirées
Testament en peinture : Felix Nussbaum, Le Triomphe de la mort
De la pornographie du XIXe siècle à la Joconde américaine : John Singer Sargent, Portrait de Madame X

2e étage.
Chambre noire

Le plus beau noir : Odilon Redon, l'araignée pleureuse
Une vie difficile qu'on ne peut cacher même avec des fleurs : Diego Rivera, le vendeur de fleurs
[Lecture approfondie des tableaux] Diego Rivera et Frida Kahlo
Autoportrait avec sa propre tête coupée : Michelangelo Merisi da Caravaggio, David tenant la tête de Goliath
[Lecture approfondie de la peinture] La naissance du ténébrisme
Tous partent pour l'Île des Morts : Arnold Böcklin, Autoportrait avec la Mort jouant du violon

3e étage.
Chambre enchantée

Une vengeance élégante contre ses ennemis : James Abbott McNeill Whistler, Nocturne en noir et or
Un génie né trop tôt : Léonard de Vinci, La Vierge aux rochers
Un portrait révolutionnaire qui fit rire l'empereur : Giuseppe Arcimboldo, Les Quatre Saisons
Le plus grand drame du XVIIIe siècle : William Hogarth, « Le mariage selon la mode »
[Lecture approfondie des images] Une autre série satirique sur le temps

4ème salle.
Chambre de choix

L'héritage de l'amour inassouvi : Edvard Munch, « Le Vampire »
[Lecture approfondie des tableaux] Œuvres exposées à l'exposition d'art décadent
La ruine d'un portrait trop bien peint : Hans Holbein, Portrait d'Anne de Clèves
D'autant plus beau qu'il est dangereux : Egon Schiele, Double autoportrait
Pourquoi je peignais des fleurs onze heures par jour : John Everett Millais, « Ophélie »

5e étage.
Chambre des souvenirs

Le tableau le plus politique du monde : Jacques-Louis David, La Mort de Marat
Un secret que personne n'a percé à jour : le portrait du couple Arnolfini par Jan Van Eyck
Pourquoi pleure-t-elle ? : Pablo Picasso, La Femme qui pleure
[Lecture approfondie] Dessiner l'inversion et la paix
Un tableau d'un réalisme saisissant : Rosa Bonheur, Le Labourage dans le Nivernais

Références

Image détaillée
Image détaillée 1

Dans le livre
Depuis le Moyen Âge, les Européens croient que danser dans un cimetière comme si l'on était possédé peut leur permettre de communiquer spirituellement avec les défunts.
Lors d'épidémies comme la peste, on réalisait des peintures représentant des cadavres et des squelettes sortant de leurs tombes et dansant avec les vivants.
Cela nous rappelle combien la vie et la mort sont proches, combien la gloire de ce monde est éphémère, et comment nous devrions vivre.
Ainsi, le tableau représentant la « danse macabre » était une allégorie destinée à enseigner une leçon à l'humanité.

(…) Cependant, contrairement à ses prédécesseurs, le peintre n’a laissé aucune leçon dans ses tableaux de la mort.
Tout en bas à droite de la photo, (…) la signature « Felix Nussbaum, 18 avril 1944 » est visible.
La date à laquelle l'artiste a achevé le tableau et sa signature.
Peut-être que Nussbaum le savait.
Que cette œuvre devienne son testament.
---Extrait de « Le dernier testament pictural : Felix Nussbaum, Le Triomphe de la Mort »

La femme représentée sur le tableau est agenouillée, la tête baissée, portant sur son dos un panier de fleurs qui semble plus grand que son corps.
Mais comme si soulever seule le lourd panier lui était difficile, un homme dont on aperçoit les mains, les pieds et une partie de la tête derrière le panier l'aide.
La femme sortira bientôt dans la rue pour vendre des fleurs, portant un lourd panier.
Au premier regard, ce sont les couleurs magnifiques et chatoyantes qui attirent l'attention, et l'on contemple longuement le tableau. Mais lorsqu'on découvre la femme qui porte le panier, on prend davantage conscience du poids de sa vie que de la beauté des fleurs.

« La marchande de fleurs » de Diego Rivera est une œuvre ironique, à la fois belle et difficile, à l'image de la vie du peintre Rivera.
---« Une vie difficile qu'on ne peut cacher même avec des fleurs : Diego Rivera, extrait de "La Marchande de fleurs" »

Avant les progrès de la médecine, la mort était un événement courant.
Puisque la mort était un phénomène naturel, il était naturel de chanter et de représenter la mort.
Mais nous ne parlons plus de la mort dans notre vie quotidienne.
Même si nous sommes tristes de la mort d'autrui, nous agissons comme si cela ne nous concernait pas.
Mais les peintures de Böcklin nous interrogent sans cesse : la mort n'est-elle pas loin ? Quand nous emportera-t-elle ? Et comment affronterons-nous ce moment ?
---« Tous partent pour l’île de la mort : Arnold Böcklin, extrait de « La Mort et Autoportrait jouant du violon » »

Le révolutionnaire, qui ne pouvait interrompre son travail même lorsqu'il prenait un bain pour soulager de violentes démangeaisons, et la figure héroïque tenant une plume et du papier même au moment de sa mort, ne présentaient aucun signe de maladie de peau.
Le dessous du drap de baignoire porte des traces d'un chiffon non pelucheux, témoignant subtilement de la propreté de Mara.
La table en bois, semblable à une pierre tombale, porte l'inscription « À Marat, David, l'AN DEUX, 1793 », et la poignée de l'épée utilisée pour tuer Marat (bien qu'elle fût en réalité noire) est peinte en blanc pour maximiser le sang du héros.

David s'était effectivement rendu chez Mara la veille de son meurtre et l'avait rencontrée.
C’est pourquoi je savais comment il travaillait habituellement, et je savais comment il a affronté la mort après son assassinat.
Mais ce fait n'avait aucune importance.
Marat, dans le tableau, devait rester représenté comme Jésus-Christ, martyr de la révolution.
Extrait de « Le tableau le plus politique du monde : Jacques-Louis David, La Mort de Marat »

Avis de l'éditeur
***Existe-t-il un peintre qui a laissé un testament dans ses tableaux ?***
***Le tableau surnommé la Joconde américaine a en réalité été traité comme de la pornographie ?***
***L'artiste a-t-il un autoportrait dessiné avec ses propres cheveux coupés ?***

La suite du livre d'art à succès de 2021, *The Bizarre Museum*.
« Lorsque vous lisez une histoire passionnante, une image se forme dans votre esprit. »

En 2021, les galeries d'art, qui étaient autrefois faciles à visiter, sont devenues plus difficiles à trouver qu'auparavant.
« Le Musée Bizarre » a immédiatement connu un grand succès commercial et a été considéré comme le meilleur livre dans le domaine de l'art dès sa publication.
« The Bizarre Museum » est la suite qui revient avec des œuvres nouvellement découvertes et une narration encore plus puissante.

Le « Balcon » d'Édouard Manet, qui ne révéla un enfant voilé qu'à la veille de sa mort, après avoir gardé l'existence de cet enfant secrète toute sa vie ; l'« Ophélie » de John Everett Millais, qui exigea onze heures de travail par jour pendant cinq mois pour saisir la beauté de la nature ; le « Triomphe de la Mort » de Felix Nussbaum, peint comme un testament avant de monter à bord du dernier train pour Auschwitz…
Dès que vous franchirez la porte de ce musée aux histoires secrètes, vous serez plongé dans un monde de chefs-d'œuvre inoubliables.


« La raison pour laquelle je suis attiré par les peintures qui montrent l'autre côté de la vie à travers l'obscurité et les ombres est… »
Parce que nos vies ne sont pas toujours brillantes ou sombres.

Beaucoup de gens recherchent de beaux tableaux.
Et la beauté elle-même procure de la joie.
Mais nos vies ne peuvent pas toujours être brillantes.
Il ne peut plus faire simplement sombre.
Ainsi, les tableaux qui pénètrent l'essence de la vie, c'est-à-dire les tableaux qui montrent l'autre facette de la vie avec ses ténèbres et ses ombres, finissent par devenir des tableaux célèbres, aimés de beaucoup.

Alors que l'auteur à succès Jin Byeong-gwan traitait principalement d'œuvres relativement populaires dans son précédent ouvrage, « The Strange Museum », dans « The Strange Museum », il a cherché à présenter des œuvres intéressantes mais relativement méconnues, telles que les histoires cachées de peintres célèbres ou de nouvelles histoires de peintres peu connus.

Le musée d'art est divisé en cinq salles.
La salle 1, la « Salle du Destin », présente des œuvres qui ont changé le monde et la vie de certaines personnes ; la salle 2, la « Salle des Ténèbres », rassemble des œuvres qui révèlent la beauté et la lumière de la vie à travers l’obscurité et l’ombre ; la salle 3, la « Salle de l’Enchantement », est remplie d’œuvres d’artistes visionnaires et d’œuvres novatrices ; la salle 4, la « Salle du Choix », présente des œuvres à la frontière entre réalité et art, vie et mort ; et enfin, la salle 5, la « Salle de la Mémoire », sélectionne des œuvres qui resteront longtemps gravées dans l’histoire de l’art.
Dans les cas où une compréhension plus approfondie de la vie de l'artiste est nécessaire pour acquérir une compréhension plus approfondie de l'œuvre ou lorsque des connaissances de base sont nécessaires, nous abordons ce sujet plus en détail à travers [Lire les peintures en profondeur].
Les connaissances générales relatives à l'œuvre, notamment son histoire, son actualité, ses styles picturaux et ses techniques, sont abordées, ce qui en fera une expérience de visionnage satisfaisante tant sur le plan du plaisir que sur celui de l'apprentissage.


Chaque œuvre du Musée Bizarre recèle son propre mystère.
Après avoir lu le livre, vous pourrez imaginer des histoires cachées que l'auteur n'a pas mentionnées et y ajouter votre propre interprétation, ce qui offrira une expérience de visionnage optimale.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 11 septembre 2024
Nombre de pages, poids, dimensions : 300 pages | 510 g | 146 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9791194033172
- ISBN10 : 1194033172

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