
Des méchants fascinants
Description
Introduction au livre
Aujourd'hui, les vices traditionnellement connus sous le nom de sept péchés capitaux sont considérés comme des enseignements dépassés au sein de l'Église et sont donc ignorés.
Dans ce contexte, l'auteur, spécialiste de philosophie et d'éthique depuis de nombreuses années, explore en profondeur les sept vices capitaux à travers « Les vices fascinants », un ouvrage enraciné dans l'histoire, fondé sur la Bible et d'une grande utilité pastorale, puisant dans la sagesse divine transmise à travers des siècles de tradition morale chrétienne.
Ce livre répond à la question centrale : comment pouvons-nous combler le fossé entre « une vie consumée par le vice et une vie illuminée par la belle vertu » (p. 15).
L'argument central du livre est que le retour à une perspective chrétienne traditionnelle sur le vice peut aider les chrétiens et les non-chrétiens à mieux se comprendre eux-mêmes, leur culture et le monde, tout en reconstruisant les pratiques chrétiennes et en cultivant la vertu par une discipline spirituelle habituelle.
Ici, le vice est défini comme une habitude corrompue et destructrice, et la vertu comme une habitude qui aide à bien vivre en tant que bonne personne.
Les sept péchés capitaux sont la vanité, l'envie, la paresse, l'avarice, la colère, la gourmandise, la luxure et l'orgueil, et leur racine est l'orgueil.
L'auteur décrit le traitement de ces vices comme « une formation systématique à l'introspection et la promotion d'une formation spirituelle tout au long de la vie ».
L'auteur explore la signification essentielle des vices, arguant que ces vices présentent un chemin déformé qui imite subtilement et trompeusement la bonté humaine au lieu de la bonté divine.
Dans ce contexte, l'auteur, spécialiste de philosophie et d'éthique depuis de nombreuses années, explore en profondeur les sept vices capitaux à travers « Les vices fascinants », un ouvrage enraciné dans l'histoire, fondé sur la Bible et d'une grande utilité pastorale, puisant dans la sagesse divine transmise à travers des siècles de tradition morale chrétienne.
Ce livre répond à la question centrale : comment pouvons-nous combler le fossé entre « une vie consumée par le vice et une vie illuminée par la belle vertu » (p. 15).
L'argument central du livre est que le retour à une perspective chrétienne traditionnelle sur le vice peut aider les chrétiens et les non-chrétiens à mieux se comprendre eux-mêmes, leur culture et le monde, tout en reconstruisant les pratiques chrétiennes et en cultivant la vertu par une discipline spirituelle habituelle.
Ici, le vice est défini comme une habitude corrompue et destructrice, et la vertu comme une habitude qui aide à bien vivre en tant que bonne personne.
Les sept péchés capitaux sont la vanité, l'envie, la paresse, l'avarice, la colère, la gourmandise, la luxure et l'orgueil, et leur racine est l'orgueil.
L'auteur décrit le traitement de ces vices comme « une formation systématique à l'introspection et la promotion d'une formation spirituelle tout au long de la vie ».
L'auteur explore la signification essentielle des vices, arguant que ces vices présentent un chemin déformé qui imite subtilement et trompeusement la bonté humaine au lieu de la bonté divine.
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Aperçu
indice
introduction
Remerciements
Chapitre 1 : Pourquoi étudier le vice ?
Chapitre 2 : Un don du désert : les origines et l'histoire de la tradition du mal
Chapitre 3 La vanité : les apparences sont primordiales
Chapitre 4 : L'amertume de voir les autres réussir mieux
Chapitre 5 : La paresse (Arcadie) : Résistance aux exigences de l'amour
Chapitre 6 : L'avidité : propriété et contrôle
Chapitre 7 La colère : une émotion sacrée ou une émotion infernale ?
Chapitre 8 : La gourmandise : engraisser le visage et affamer l’esprit
Chapitre 9 : Luxure : La sexualité mise à nu
Chapitre 10 : Le chemin se poursuit : l’introspection, les sept péchés capitaux et la formation spirituelle
Épilogue
Remerciements
Chapitre 1 : Pourquoi étudier le vice ?
Chapitre 2 : Un don du désert : les origines et l'histoire de la tradition du mal
Chapitre 3 La vanité : les apparences sont primordiales
Chapitre 4 : L'amertume de voir les autres réussir mieux
Chapitre 5 : La paresse (Arcadie) : Résistance aux exigences de l'amour
Chapitre 6 : L'avidité : propriété et contrôle
Chapitre 7 La colère : une émotion sacrée ou une émotion infernale ?
Chapitre 8 : La gourmandise : engraisser le visage et affamer l’esprit
Chapitre 9 : Luxure : La sexualité mise à nu
Chapitre 10 : Le chemin se poursuit : l’introspection, les sept péchés capitaux et la formation spirituelle
Épilogue
Dans le livre
En lisant le récit de Thomas d'Aquin sur le vice de la timidité, j'ai eu l'impression de me voir pour la première fois dans un miroir.
Cela a donné un nom à mon conflit intérieur et m'a aidé à comprendre mon anxiété et mon sentiment d'inutilité.
Dans le même temps, le récit biblique de Moïse apporte une preuve émouvante que la puissance et la grâce de Dieu peuvent transformer même nos êtres les plus vulnérables et les plus craintifs.
Ce n'est pas la timidité de Moïse qui a déterminé sa vie, mais Dieu qui l'a déterminée.
--- Extrait du « Chapitre 1 : Pourquoi étudier le vice ? »
On confond facilement la vanité avec l'orgueil, racine de tous les maux.
Ces deux vices, en particulier, ont tendance à être associés car ils se disputent souvent une place sur la liste des sept péchés capitaux.
Évagre et Cassien considéraient l'orgueil et la vanité comme des vices graves dans leur liste de huit.
Plus tard, Grégoire Ier et Thomas d'Aquin ont inclus la vanité dans leur liste officielle des sept vices capitaux, mais ils l'ont placée parmi les sept, la source ultime de tous ces vices : l'orgueil.
Cependant, les listes modernes incluent généralement l'orgueil parmi les sept principaux et ne mentionnent même pas la vanité.
L’émission télévisée « 20/20 », qui explore les sept péchés capitaux, a inclus l’orgueil dans sa liste, mais l’a défini comme de la « vanité », confondant le désir de rechercher l’excellence avec le désir d’afficher cette excellence aux autres.
--- Extrait du chapitre 3 « La vanité : l'apparence est primordiale »
Dans la première scène du film, Salieri tente de se suicider, tourmenté par la culpabilité liée à son implication dans la mort de Mozart.
Un prêtre rend visite à Salieri et entend sa confession, qui est ensuite mise en scène tout au long du film.
Lorsque la mariée arrive, le vieux Salieri joue du piano en fauteuil roulant.
Salieri révèle qu'il est compositeur et demande au confesseur s'il a déjà reçu une formation musicale.
Le prêtre répond qu'il a un peu étudié la musique à Vienne lorsqu'il était enfant, et Salieri saisit l'occasion de mettre sa réputation à l'épreuve.
Il joue ses propres compositions une à une, espérant que l'auditeur y trouvera un morceau familier.
« Cette œuvre était très populaire à l'époque », explique Salieri.
Le prêtre secoue la tête, embarrassé de ne connaître aucun d'eux, et se met en colère lorsque Salieri continue de faire étalage de son ignorance.
Salieri marque alors une pause.
« Un instant ! » dit-il, les yeux pétillants.
« Et ça ? » dit-il en jouant le premier couplet d'un morceau court et vif.
La mariée s'exclame presque aussitôt : « Oui, oui, je connais cette chanson ! » et continue de la fredonner même après que Salieri a retiré ses mains des touches.
Il sourit à Salieri et semble très soulagé.
« Oh, j'aime cette chanson ! Je l'aime vraiment beaucoup. »
Désolé.
« Je ne savais pas que vous aviez écrit cet article. » Le visage de Salieri s’assombrit, une expression malveillante s’installe et ses yeux se plissent.
« Je ne l’ai pas écrit », répond-il.
« C'était Mozart. »
--- Extrait du « Chapitre 4 : Le sentiment amer de voir les autres réussir »
Pourquoi est-il si difficile de partager ? Qu’est-ce qui nous pousse à acquérir des biens matériels et à nous y accrocher ? Thomas d’Aquin identifie deux obstacles à la générosité, nous empêchant de nous départir de nos possessions.
La première chose, c'est que nous transpirons pour l'obtenir.
Si nous avons gagné quelque chose par nos propres efforts, il sera plus difficile de donner.
Les enfants peuvent prendre plaisir à déposer de l'argent dans le tronc de l'église avec leurs parents ou à utiliser les cartes de crédit de leurs parents pour acheter de nouveaux vêtements pour l'école.
Mais une fois qu'on devient adolescent et qu'on commence à partager le peu qu'on a gagné, on devient soudain beaucoup moins enthousiaste à l'idée de donner.
Nous justifions nos actions en pensant que donner un peu avec nos faibles revenus ne fera pas une grande différence, ou que nous devrions d'abord économiser ou dépenser suffisamment et ensuite donner ce qui reste.
Bien sûr, cette rationalisation néglige le but du don, qui est de guérir l'obsession intérieure de l'avidité.
L’objectif de ces dons et de ces partages va au-delà de l’aide aux plus démunis ; il s’agit de corriger nos désirs et notre vision à court terme de la provenance et de l’utilisation de l’argent.
Dieu ne nous demande pas de donner sans discernement, mais plutôt de lui faire confiance.
Nos dons réguliers cultivent la liberté et la confiance en Dieu dans nos cœurs.
--- Extrait du « Chapitre 6 : L'avidité : possession et domination »
Willard affirme : « Les émotions sont de bons serviteurs, à quelques exceptions près. »
« Mais les émotions sont aussi de terribles maîtres. » Nous jugeons la pertinence d'une expression de colère selon qu'elle atteigne efficacement les objectifs de la justice ou qu'elle détruise tout sur son passage.
La vertu grecque sophrosunā, difficile à traduire mais dont le sens se rapproche de « maîtrise de soi » ou « possession de soi », décrit une personne dont les émotions s'intègrent et soutiennent une image globale du bien.
En revanche, les personnes en colère ou manquant de maîtrise de soi sont submergées par la colère, leur vision du bien se rétrécit et elles voient le monde en rouge.
La colère prend le contrôle, le commandant autoproclamé suprême.
--- Extrait du chapitre 7, La colère : une émotion sacrée ou une passion infernale ?
Lorsque nous utilisons quelque chose de manière inappropriée et habituelle, nous avons tendance à perdre la capacité d'en reconnaître la véritable valeur.
Comme pour la gourmandise, plus nous poursuivons quelque chose avec ardeur et persistance pour obtenir du plaisir, moins il est probable que notre désir de plaisir soit satisfait.
La masturbation sexuelle perd progressivement de son attrait.
Ce qui était autrefois source d'extase finit par devenir monotone et ennuyeux.
Le visionnage de pornographie est un parfait exemple de cette dynamique, et l'organisation antidrogue Fight the New Drug en fournit une documentation abondante.
Ces données montrent que le visionnage de pornographie (remarquez comment nous parlons de cette activité d'un point de vue consumériste) augmente à un rythme alarmant.
Les personnes qui regardent régulièrement de la pornographie augmentent rapidement la fréquence de leurs visionnages au point que cela interfère avec leur vie et la domine.
Parallèlement, le niveau de contenu érotique et novateur nécessaire pour susciter leur intérêt augmente rapidement, au point de choquer même les adultes les plus blasés. À l'instar des trafiquants de drogue, l'industrie conçoit soigneusement les expériences et l'exposition afin de maximiser cette dynamique progressive.
--- Extrait du « Chapitre 9 : Luxure : Sexualité dénudée »
John Stott a dit un jour : « La sainteté n'est pas un état que l'on atteint par accident. »
L'un de mes dessins animés préférés est « Café avec Jésus ».
Dans un épisode, le personnage principal, Carl, dit avec éloquence à Jésus :
« Jésus, j’aime croire en toi. »
« Tu es vraiment un bon ami. »
« Je suis heureux que tu sois croyant, Carl ! » répond Jésus.
« Mais j’aimerais que tu deviennes mon disciple. »
« Quelle est la différence ? » demande Carl.
Jésus répond.
« C’est un entraînement. »
Cela a donné un nom à mon conflit intérieur et m'a aidé à comprendre mon anxiété et mon sentiment d'inutilité.
Dans le même temps, le récit biblique de Moïse apporte une preuve émouvante que la puissance et la grâce de Dieu peuvent transformer même nos êtres les plus vulnérables et les plus craintifs.
Ce n'est pas la timidité de Moïse qui a déterminé sa vie, mais Dieu qui l'a déterminée.
--- Extrait du « Chapitre 1 : Pourquoi étudier le vice ? »
On confond facilement la vanité avec l'orgueil, racine de tous les maux.
Ces deux vices, en particulier, ont tendance à être associés car ils se disputent souvent une place sur la liste des sept péchés capitaux.
Évagre et Cassien considéraient l'orgueil et la vanité comme des vices graves dans leur liste de huit.
Plus tard, Grégoire Ier et Thomas d'Aquin ont inclus la vanité dans leur liste officielle des sept vices capitaux, mais ils l'ont placée parmi les sept, la source ultime de tous ces vices : l'orgueil.
Cependant, les listes modernes incluent généralement l'orgueil parmi les sept principaux et ne mentionnent même pas la vanité.
L’émission télévisée « 20/20 », qui explore les sept péchés capitaux, a inclus l’orgueil dans sa liste, mais l’a défini comme de la « vanité », confondant le désir de rechercher l’excellence avec le désir d’afficher cette excellence aux autres.
--- Extrait du chapitre 3 « La vanité : l'apparence est primordiale »
Dans la première scène du film, Salieri tente de se suicider, tourmenté par la culpabilité liée à son implication dans la mort de Mozart.
Un prêtre rend visite à Salieri et entend sa confession, qui est ensuite mise en scène tout au long du film.
Lorsque la mariée arrive, le vieux Salieri joue du piano en fauteuil roulant.
Salieri révèle qu'il est compositeur et demande au confesseur s'il a déjà reçu une formation musicale.
Le prêtre répond qu'il a un peu étudié la musique à Vienne lorsqu'il était enfant, et Salieri saisit l'occasion de mettre sa réputation à l'épreuve.
Il joue ses propres compositions une à une, espérant que l'auditeur y trouvera un morceau familier.
« Cette œuvre était très populaire à l'époque », explique Salieri.
Le prêtre secoue la tête, embarrassé de ne connaître aucun d'eux, et se met en colère lorsque Salieri continue de faire étalage de son ignorance.
Salieri marque alors une pause.
« Un instant ! » dit-il, les yeux pétillants.
« Et ça ? » dit-il en jouant le premier couplet d'un morceau court et vif.
La mariée s'exclame presque aussitôt : « Oui, oui, je connais cette chanson ! » et continue de la fredonner même après que Salieri a retiré ses mains des touches.
Il sourit à Salieri et semble très soulagé.
« Oh, j'aime cette chanson ! Je l'aime vraiment beaucoup. »
Désolé.
« Je ne savais pas que vous aviez écrit cet article. » Le visage de Salieri s’assombrit, une expression malveillante s’installe et ses yeux se plissent.
« Je ne l’ai pas écrit », répond-il.
« C'était Mozart. »
--- Extrait du « Chapitre 4 : Le sentiment amer de voir les autres réussir »
Pourquoi est-il si difficile de partager ? Qu’est-ce qui nous pousse à acquérir des biens matériels et à nous y accrocher ? Thomas d’Aquin identifie deux obstacles à la générosité, nous empêchant de nous départir de nos possessions.
La première chose, c'est que nous transpirons pour l'obtenir.
Si nous avons gagné quelque chose par nos propres efforts, il sera plus difficile de donner.
Les enfants peuvent prendre plaisir à déposer de l'argent dans le tronc de l'église avec leurs parents ou à utiliser les cartes de crédit de leurs parents pour acheter de nouveaux vêtements pour l'école.
Mais une fois qu'on devient adolescent et qu'on commence à partager le peu qu'on a gagné, on devient soudain beaucoup moins enthousiaste à l'idée de donner.
Nous justifions nos actions en pensant que donner un peu avec nos faibles revenus ne fera pas une grande différence, ou que nous devrions d'abord économiser ou dépenser suffisamment et ensuite donner ce qui reste.
Bien sûr, cette rationalisation néglige le but du don, qui est de guérir l'obsession intérieure de l'avidité.
L’objectif de ces dons et de ces partages va au-delà de l’aide aux plus démunis ; il s’agit de corriger nos désirs et notre vision à court terme de la provenance et de l’utilisation de l’argent.
Dieu ne nous demande pas de donner sans discernement, mais plutôt de lui faire confiance.
Nos dons réguliers cultivent la liberté et la confiance en Dieu dans nos cœurs.
--- Extrait du « Chapitre 6 : L'avidité : possession et domination »
Willard affirme : « Les émotions sont de bons serviteurs, à quelques exceptions près. »
« Mais les émotions sont aussi de terribles maîtres. » Nous jugeons la pertinence d'une expression de colère selon qu'elle atteigne efficacement les objectifs de la justice ou qu'elle détruise tout sur son passage.
La vertu grecque sophrosunā, difficile à traduire mais dont le sens se rapproche de « maîtrise de soi » ou « possession de soi », décrit une personne dont les émotions s'intègrent et soutiennent une image globale du bien.
En revanche, les personnes en colère ou manquant de maîtrise de soi sont submergées par la colère, leur vision du bien se rétrécit et elles voient le monde en rouge.
La colère prend le contrôle, le commandant autoproclamé suprême.
--- Extrait du chapitre 7, La colère : une émotion sacrée ou une passion infernale ?
Lorsque nous utilisons quelque chose de manière inappropriée et habituelle, nous avons tendance à perdre la capacité d'en reconnaître la véritable valeur.
Comme pour la gourmandise, plus nous poursuivons quelque chose avec ardeur et persistance pour obtenir du plaisir, moins il est probable que notre désir de plaisir soit satisfait.
La masturbation sexuelle perd progressivement de son attrait.
Ce qui était autrefois source d'extase finit par devenir monotone et ennuyeux.
Le visionnage de pornographie est un parfait exemple de cette dynamique, et l'organisation antidrogue Fight the New Drug en fournit une documentation abondante.
Ces données montrent que le visionnage de pornographie (remarquez comment nous parlons de cette activité d'un point de vue consumériste) augmente à un rythme alarmant.
Les personnes qui regardent régulièrement de la pornographie augmentent rapidement la fréquence de leurs visionnages au point que cela interfère avec leur vie et la domine.
Parallèlement, le niveau de contenu érotique et novateur nécessaire pour susciter leur intérêt augmente rapidement, au point de choquer même les adultes les plus blasés. À l'instar des trafiquants de drogue, l'industrie conçoit soigneusement les expériences et l'exposition afin de maximiser cette dynamique progressive.
--- Extrait du « Chapitre 9 : Luxure : Sexualité dénudée »
John Stott a dit un jour : « La sainteté n'est pas un état que l'on atteint par accident. »
L'un de mes dessins animés préférés est « Café avec Jésus ».
Dans un épisode, le personnage principal, Carl, dit avec éloquence à Jésus :
« Jésus, j’aime croire en toi. »
« Tu es vraiment un bon ami. »
« Je suis heureux que tu sois croyant, Carl ! » répond Jésus.
« Mais j’aimerais que tu deviennes mon disciple. »
« Quelle est la différence ? » demande Carl.
Jésus répond.
« C’est un entraînement. »
--- Extrait du « Chapitre 10 : Le reste du voyage : l’introspection, les sept péchés fondamentaux et la formation spirituelle »
Avis de l'éditeur
Ce livre comporte un total de 10 chapitres.
Le premier chapitre présente cinq raisons pour lesquelles nous devons encore étudier le vice aujourd'hui.
Le chapitre 2 retrace les origines de la tradition de la vertu et du vice, d'Évagre le Pontique à Thomas d'Aquin, et examine son développement.
L'auteur soutient que les sept péchés capitaux se substituent aux véritables désirs des êtres humains, lesquels ne peuvent être comblés que par un Dieu infini et bon.
Une compréhension plus approfondie des sept péchés capitaux nous amène à rechercher la connaissance de soi et à introduire des « disciplines de grâce » que nous pouvons pratiquer quotidiennement en nous appuyant sur la grâce de Dieu pour devenir plus semblables à Jésus-Christ.
Le chapitre 3 établit une distinction entre l'orgueil, en tant que désir de statut, et la vanité, en tant que désir de reconnaissance et de bonne réputation.
Ces deux vices sont un substitut désordonné au désir humain de gloire, c'est-à-dire au désir humain d'être connu et accepté de Dieu.
Le chapitre 4 définit l'envie comme une cousine de l'avidité, c'est-à-dire un amour qui désire ce que possède un autre.
La jalousie est fondamentalement opposée à l'amour du prochain.
Pour combattre l'envie, nous avons besoin d'une conviction ferme en l'amour inconditionnel de Dieu, qui nous permet de reconnaître les dons des autres sans nous sentir menacés ou inférieurs.
Le chapitre 5 traite du vice de la paresse (Arcadie), caractérisé par la résistance aux exigences transformatrices de l'amour de Dieu.
L'auteur met en garde contre un repos illusoire et souligne la subjectivité morale de vivre chaque jour dans la quête de son identité en Christ.
Le chapitre 6 traite de l'avidité, de notre obsession intérieure pour l'argent et les possessions.
Les attachements désordonnés indiquent un désir de se substituer à Dieu et sont l'opposé de la générosité.
Les dons réguliers libèrent de l'avidité et inculquent aux gens une attitude de dépendance envers Dieu.
Le chapitre 7 décrit la colère comme une expression de rage désordonnée, contraire à l'humilité.
L'objet de la colère doit être la justice, et sa racine est l'amour.
La colère biblique doit exprimer la passion et l'amour pour notre prochain.
Le chapitre 8 explique en détail comment la gourmandise, la recherche excessive du plaisir de manger, peut conduire à un émoussement de l'appréciation du Créateur qui a conçu la nourriture et le plaisir de manger.
L'auteur soutient que manger devrait avoir une fonction spirituelle en tant qu'expression de l'humanité, et suggère le jeûne régulier comme remède à la gourmandise.
Le chapitre 9 introduit la luxure, qui est liée au désir et au plaisir sexuels désordonnés.
L'auteur soutient que la sexualité humaine est un don précieux de Dieu, permettant de construire des relations amoureuses bénéfiques à l'existence humaine.
La luxure détruit l'amour entre les êtres humains, rompt la relation avec Dieu et plonge les gens dans la honte et l'isolement.
Dans le dernier chapitre, l'auteur compare le péché à un arbre, dont l'orgueil est la racine des branches et les sept péchés capitaux, les branches portant des fruits caractéristiques.
L’orgueil, principale source des sept péchés capitaux, remplace Dieu, notre bien suprême, par nous-mêmes.
Lorsque nous reconnaissons correctement nos mauvais désirs et leurs effets, nous pouvons aller de l'avant par la confession et le repentir, fortifiés par le Saint-Esprit, vers un nouveau modèle de comportement global, précis et communautaire.
Ce livre, à la fois expérientiel et pratique, offre d'innombrables récits vivants, des exemples concrets, des témoignages pertinents sur le plan culturel, des pratiques personnelles et des exercices concrets, permettant aux lecteurs d'échapper au piège du péché et d'entrevoir l'espoir glorieux du salut complet en Christ.
Cet ouvrage constitue une contribution fascinante et opportune au domaine de la formation spirituelle, notamment dans un contexte d'intérêt croissant pour la transformation de la vie afin de lutter contre la sécularisation et l'apathie éthique de l'Église.
Par conséquent, ce livre sera très utile pour inviter les pasteurs et tous les chrétiens à s'engager plus intentionnellement dans un changement permanent dans le contexte de l'Église coréenne, qui a traditionnellement mis l'accent sur la justification par la foi et la grâce seules.
Je recommande vivement ce livre aux chrétiens qui réfléchissent profondément à l'essence du discipulat chrétien.
Le premier chapitre présente cinq raisons pour lesquelles nous devons encore étudier le vice aujourd'hui.
Le chapitre 2 retrace les origines de la tradition de la vertu et du vice, d'Évagre le Pontique à Thomas d'Aquin, et examine son développement.
L'auteur soutient que les sept péchés capitaux se substituent aux véritables désirs des êtres humains, lesquels ne peuvent être comblés que par un Dieu infini et bon.
Une compréhension plus approfondie des sept péchés capitaux nous amène à rechercher la connaissance de soi et à introduire des « disciplines de grâce » que nous pouvons pratiquer quotidiennement en nous appuyant sur la grâce de Dieu pour devenir plus semblables à Jésus-Christ.
Le chapitre 3 établit une distinction entre l'orgueil, en tant que désir de statut, et la vanité, en tant que désir de reconnaissance et de bonne réputation.
Ces deux vices sont un substitut désordonné au désir humain de gloire, c'est-à-dire au désir humain d'être connu et accepté de Dieu.
Le chapitre 4 définit l'envie comme une cousine de l'avidité, c'est-à-dire un amour qui désire ce que possède un autre.
La jalousie est fondamentalement opposée à l'amour du prochain.
Pour combattre l'envie, nous avons besoin d'une conviction ferme en l'amour inconditionnel de Dieu, qui nous permet de reconnaître les dons des autres sans nous sentir menacés ou inférieurs.
Le chapitre 5 traite du vice de la paresse (Arcadie), caractérisé par la résistance aux exigences transformatrices de l'amour de Dieu.
L'auteur met en garde contre un repos illusoire et souligne la subjectivité morale de vivre chaque jour dans la quête de son identité en Christ.
Le chapitre 6 traite de l'avidité, de notre obsession intérieure pour l'argent et les possessions.
Les attachements désordonnés indiquent un désir de se substituer à Dieu et sont l'opposé de la générosité.
Les dons réguliers libèrent de l'avidité et inculquent aux gens une attitude de dépendance envers Dieu.
Le chapitre 7 décrit la colère comme une expression de rage désordonnée, contraire à l'humilité.
L'objet de la colère doit être la justice, et sa racine est l'amour.
La colère biblique doit exprimer la passion et l'amour pour notre prochain.
Le chapitre 8 explique en détail comment la gourmandise, la recherche excessive du plaisir de manger, peut conduire à un émoussement de l'appréciation du Créateur qui a conçu la nourriture et le plaisir de manger.
L'auteur soutient que manger devrait avoir une fonction spirituelle en tant qu'expression de l'humanité, et suggère le jeûne régulier comme remède à la gourmandise.
Le chapitre 9 introduit la luxure, qui est liée au désir et au plaisir sexuels désordonnés.
L'auteur soutient que la sexualité humaine est un don précieux de Dieu, permettant de construire des relations amoureuses bénéfiques à l'existence humaine.
La luxure détruit l'amour entre les êtres humains, rompt la relation avec Dieu et plonge les gens dans la honte et l'isolement.
Dans le dernier chapitre, l'auteur compare le péché à un arbre, dont l'orgueil est la racine des branches et les sept péchés capitaux, les branches portant des fruits caractéristiques.
L’orgueil, principale source des sept péchés capitaux, remplace Dieu, notre bien suprême, par nous-mêmes.
Lorsque nous reconnaissons correctement nos mauvais désirs et leurs effets, nous pouvons aller de l'avant par la confession et le repentir, fortifiés par le Saint-Esprit, vers un nouveau modèle de comportement global, précis et communautaire.
Ce livre, à la fois expérientiel et pratique, offre d'innombrables récits vivants, des exemples concrets, des témoignages pertinents sur le plan culturel, des pratiques personnelles et des exercices concrets, permettant aux lecteurs d'échapper au piège du péché et d'entrevoir l'espoir glorieux du salut complet en Christ.
Cet ouvrage constitue une contribution fascinante et opportune au domaine de la formation spirituelle, notamment dans un contexte d'intérêt croissant pour la transformation de la vie afin de lutter contre la sécularisation et l'apathie éthique de l'Église.
Par conséquent, ce livre sera très utile pour inviter les pasteurs et tous les chrétiens à s'engager plus intentionnellement dans un changement permanent dans le contexte de l'Église coréenne, qui a traditionnellement mis l'accent sur la justification par la foi et la grâce seules.
Je recommande vivement ce livre aux chrétiens qui réfléchissent profondément à l'essence du discipulat chrétien.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 6 septembre 2024
- Nombre de pages, poids, dimensions : 508 pages | 152 × 225 × 35 mm
- ISBN13 : 9791161292892
- ISBN10 : 1161292896
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Langue coréenne
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