
Samaah
Description
Introduction au livre
« Les femmes ne peuvent pas être chasseuses. »
Une dystopie où le sable engloutit tout
Les aventures de Samaa, une jeune fille partie à la recherche de l'Arbre de Vie dans un monde futur désertique dominé par les hommes !
Lauréat du prix Saint-Exupéry 2020 !
Un récit dystopique sur un monde où la vie a presque disparu, où le sable a tout englouti.
La « future société primitive », où seul un petit nombre de personnes vivent en tribus, est redevenue une société patriarcale où seules la survie et la force sont valorisées.
Mais ce sont deux femmes qui vont bouleverser le destin de la tribu : Samaa, douze ans, et une vieille femme nommée Langxienne qui a vécu si longtemps que personne ne connaît sa vie antérieure, comme si elle avait été une « grand-mère » depuis le début.
Ces deux-là peuvent-ils redonner vie à un monde stérile gouverné par les hommes depuis des générations ?
La question de la crise climatique bat son plein.
Les écoles ont besoin de livres sur le changement climatique faciles à comprendre pour les adolescents.
De nombreux ouvrages éducatifs traitent de ce sujet, mais les romans, faciles à lire et dotés d'une histoire intéressante, exercent également un grand attrait sur les lecteurs.
Ce livre est un roman de science-fiction qui a été salué dans le monde littéraire européen comme une fable philosophique sur les thèmes de l'environnement, de l'écologie, des femmes et du changement climatique.
Cet ouvrage possède toutes les qualités d'un roman écologique qui peut être lu ensemble par les élèves, les enseignants et les parents.
L'association d'un avenir sombre, marqué par la destruction de l'environnement et l'écologie, et d'un récit féminin qui sauve le monde, est captivante en soi, mais l'imagination et le style de l'auteur pour aborder ce sujet passionnant sont encore plus impressionnants.
Marie Pavlenko, l'auteure de ce livre, une nouvelle romancière française qui entrelace ces sujets urgents et vastes dans un récit unique et captivant, est une écrivaine dotée d'une imagination et d'un style d'écriture exceptionnels.
Avec ce livre, Samaa (2020), il a été acclamé par le monde littéraire européen et a remporté le prix Saint-Exupéry cette année-là, le prix de littérature jeunesse de la Société des Lettres de France (SGDL), le prix européen de littérature jeunesse à Utopiales, le plus grand festival de science-fiction d'Europe, et le prix Libbylit de littérature jeunesse organisé par l'International Board on Books for Young People (IBBY) en 2021.
Partout dans le monde, des jeunes de la génération Greta Thunberg agissent déjà pour lutter contre le changement climatique.
Ce livre brille d'autant plus dans le contexte actuel de crise climatique.
Une dystopie où le sable engloutit tout
Les aventures de Samaa, une jeune fille partie à la recherche de l'Arbre de Vie dans un monde futur désertique dominé par les hommes !
Lauréat du prix Saint-Exupéry 2020 !
Un récit dystopique sur un monde où la vie a presque disparu, où le sable a tout englouti.
La « future société primitive », où seul un petit nombre de personnes vivent en tribus, est redevenue une société patriarcale où seules la survie et la force sont valorisées.
Mais ce sont deux femmes qui vont bouleverser le destin de la tribu : Samaa, douze ans, et une vieille femme nommée Langxienne qui a vécu si longtemps que personne ne connaît sa vie antérieure, comme si elle avait été une « grand-mère » depuis le début.
Ces deux-là peuvent-ils redonner vie à un monde stérile gouverné par les hommes depuis des générations ?
La question de la crise climatique bat son plein.
Les écoles ont besoin de livres sur le changement climatique faciles à comprendre pour les adolescents.
De nombreux ouvrages éducatifs traitent de ce sujet, mais les romans, faciles à lire et dotés d'une histoire intéressante, exercent également un grand attrait sur les lecteurs.
Ce livre est un roman de science-fiction qui a été salué dans le monde littéraire européen comme une fable philosophique sur les thèmes de l'environnement, de l'écologie, des femmes et du changement climatique.
Cet ouvrage possède toutes les qualités d'un roman écologique qui peut être lu ensemble par les élèves, les enseignants et les parents.
L'association d'un avenir sombre, marqué par la destruction de l'environnement et l'écologie, et d'un récit féminin qui sauve le monde, est captivante en soi, mais l'imagination et le style de l'auteur pour aborder ce sujet passionnant sont encore plus impressionnants.
Marie Pavlenko, l'auteure de ce livre, une nouvelle romancière française qui entrelace ces sujets urgents et vastes dans un récit unique et captivant, est une écrivaine dotée d'une imagination et d'un style d'écriture exceptionnels.
Avec ce livre, Samaa (2020), il a été acclamé par le monde littéraire européen et a remporté le prix Saint-Exupéry cette année-là, le prix de littérature jeunesse de la Société des Lettres de France (SGDL), le prix européen de littérature jeunesse à Utopiales, le plus grand festival de science-fiction d'Europe, et le prix Libbylit de littérature jeunesse organisé par l'International Board on Books for Young People (IBBY) en 2021.
Partout dans le monde, des jeunes de la génération Greta Thunberg agissent déjà pour lutter contre le changement climatique.
Ce livre brille d'autant plus dans le contexte actuel de crise climatique.
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Aperçu
Image détaillée

Dans le livre
La chasse au bois nous nourrit.
Lorsque les hommes apportent du bois, c'est-à-dire des arbres coupés, dans les grandes villes pour le vendre, ils reviennent avec de l'eau, des aliments fabriqués à la machine, des conserves, des médicaments, des bouteilles d'oxygène, ainsi que du tissu et du fil.
Nous avons tous tenu plusieurs mois avec ça.
En revanche, si les chasseurs échouent et ne parviennent pas à abattre d'arbres, nous serons très démunis.
Les côtes sont saillantes et les épaules pointues.
La respiration devient difficile et la langue gonfle au fond de la gorge, bloquant la trachée.
Et puis, nous mourons.
--- p.17~18
« Les femmes ne peuvent pas être chasseuses. »
« Je suis très agile. »
Il est rapide d'atteindre le sommet du poteau.
Vous le savez très bien, n'est-ce pas ?
C'est vrai.
Au milieu du camping se dressait un grand poteau sculpté dans des matériaux provenant de la grande ville, et je l'escaladais depuis ma plus tendre enfance.
C'est grâce à mon père qui a pris mon parti, même si ma mère et Karlo étaient mécontents.
Je suis donc meilleure que la plupart des garçons dans ce domaine.
L'énergie solaire l'emporte aussi.
Eh bien, j'ai gagné.
Je ne sais pas s'il gagnerait maintenant qu'il a beaucoup de muscles dans les bras.
--- p.35~36
Les chasseurs sont nombreux et transportent beaucoup d'équipement.
Piquets et outils pour briser les pierres.
Ils attachent également des cordes à des chariots ou à des rochers, le cas échéant, puis montent et descendent le fossé.
Mon père m'a raconté un jour l'histoire d'un groupe de chasseurs qui s'étaient retrouvés piégés dans un trou profond.
Je ne me souviens plus pourquoi j'étais isolé.
La corde s'est peut-être détachée.
Quoi qu'il en soit, ils étaient piégés et incapables de bouger.
--- p.159
Je me jette sur lui, il esquive mon épée et recule avec un air ahuri.
J'ose.
J'ai osé attaquer le chef des chasseurs.
Moi, une petite fille.
Lorsque la route s'ouvre et que les hommes somnolents gardent leurs distances, je crie.
« Sors ! Tweeda, sors ! Vite ! »
Et comme s'il avait compris ce que j'avais dit, Tweeda sauta hors du trou et se jeta rapidement du haut de la falaise.
--- p.182
Je suis reconnaissant à toutes les organisations et associations civiques qui luttent pour empêcher que le monde ne devienne un désert aride, dépourvu de beauté à cause de la cupidité et de la folie, et pour lui rendre sa gloire d'antan : un lieu éblouissant, riche, diversifié et dynamique.
Lorsque les hommes apportent du bois, c'est-à-dire des arbres coupés, dans les grandes villes pour le vendre, ils reviennent avec de l'eau, des aliments fabriqués à la machine, des conserves, des médicaments, des bouteilles d'oxygène, ainsi que du tissu et du fil.
Nous avons tous tenu plusieurs mois avec ça.
En revanche, si les chasseurs échouent et ne parviennent pas à abattre d'arbres, nous serons très démunis.
Les côtes sont saillantes et les épaules pointues.
La respiration devient difficile et la langue gonfle au fond de la gorge, bloquant la trachée.
Et puis, nous mourons.
--- p.17~18
« Les femmes ne peuvent pas être chasseuses. »
« Je suis très agile. »
Il est rapide d'atteindre le sommet du poteau.
Vous le savez très bien, n'est-ce pas ?
C'est vrai.
Au milieu du camping se dressait un grand poteau sculpté dans des matériaux provenant de la grande ville, et je l'escaladais depuis ma plus tendre enfance.
C'est grâce à mon père qui a pris mon parti, même si ma mère et Karlo étaient mécontents.
Je suis donc meilleure que la plupart des garçons dans ce domaine.
L'énergie solaire l'emporte aussi.
Eh bien, j'ai gagné.
Je ne sais pas s'il gagnerait maintenant qu'il a beaucoup de muscles dans les bras.
--- p.35~36
Les chasseurs sont nombreux et transportent beaucoup d'équipement.
Piquets et outils pour briser les pierres.
Ils attachent également des cordes à des chariots ou à des rochers, le cas échéant, puis montent et descendent le fossé.
Mon père m'a raconté un jour l'histoire d'un groupe de chasseurs qui s'étaient retrouvés piégés dans un trou profond.
Je ne me souviens plus pourquoi j'étais isolé.
La corde s'est peut-être détachée.
Quoi qu'il en soit, ils étaient piégés et incapables de bouger.
--- p.159
Je me jette sur lui, il esquive mon épée et recule avec un air ahuri.
J'ose.
J'ai osé attaquer le chef des chasseurs.
Moi, une petite fille.
Lorsque la route s'ouvre et que les hommes somnolents gardent leurs distances, je crie.
« Sors ! Tweeda, sors ! Vite ! »
Et comme s'il avait compris ce que j'avais dit, Tweeda sauta hors du trou et se jeta rapidement du haut de la falaise.
--- p.182
Je suis reconnaissant à toutes les organisations et associations civiques qui luttent pour empêcher que le monde ne devienne un désert aride, dépourvu de beauté à cause de la cupidité et de la folie, et pour lui rendre sa gloire d'antan : un lieu éblouissant, riche, diversifié et dynamique.
--- Extrait de la note de l'auteur, p. 199
Avis de l'éditeur
★ Lauréat du Prix Saint-Exupéry 2020 ! ★
« Les femmes ne peuvent pas être chasseuses. »
Une dystopie où le sable engloutit tout
Un monde futur stérile dominé par les hommes,
Les aventures de Samaa, une jeune fille partie à la recherche de l'Arbre de Vie !
Prix Libirit 2021 du Conseil international du livre pour la jeunesse (IBBY) pour les jeunes
Prix de littérature jeunesse de la Société des écrivains de France 2020, Prix européen de littérature jeunesse Utopia 2020
Un « livre incontournable » recommandé par l’ancien vice-président du GIEC, lauréat du prix Nobel de la paix.
« J’ai gobé cette fable écologique » – Yan Bertrand (photographe, militant écologiste)
Deux femmes non conformes, Samaa et Langsien
Samaa, douze ans, vit dans une dystopie qui pourrait bientôt devenir notre avenir moderne.
Un monde où la vie a presque disparu de la Terre, un monde où le sable a tout englouti.
La tribu nomade Sama survit grâce à la chasse.
Mais il ne s'agit pas de la chasse à laquelle nous pensons.
Dans un monde où tous les animaux ont disparu, les chasseurs traquent les derniers arbres survivants, les abattent et les vendent à la ville pour fournir eau, air et nourriture.
Samaa veut devenir chasseur, suivant les traces de son père qui a perdu la vie à la chasse, mais il ne le peut pas.
Car la chasse est absolument le domaine de l'homme.
Un jour, Sama, un homme têtu et déterminé, enfreint le tabou de sa tribu et poursuit secrètement des chasseurs.
Mais lorsqu'ils se perdent dans le désert aux mille visages et se retrouvent confrontés à une vérité qu'ils n'auraient jamais imaginée, le destin de leur tribu prend finalement une tournure complètement différente.
Les deux thèmes centraux de ce livre sont l'écologie et les récits de femmes.
Dans un monde où la civilisation et les écosystèmes ont quasiment disparu, ne laissant que peu de survivants, les arbres sont synonymes de survie, et la vie humaine, revenue à sa forme primitive, est redevenue une société patriarcale où seules la survie et la force comptent.
Ironie du sort, ce sont deux femmes qui vont renverser le destin de la tribu.
Une vieille femme nommée Young Sama et Langxien, qui a vécu si longtemps que personne ne connaît sa vie antérieure, comme si elle avait été grand-mère depuis toujours.
Sama et Langsien ont tous deux un caractère bien trempé et ne sont pas toujours très appréciés au sein de la tribu.
Samaa est toujours détestée pour son imagination débordante et ses actions extravagantes en matière de chasse, un domaine tabou, et Langsien est méprisé par les hommes pour sa colère incontrôlable à l'idée de ne jamais abattre d'arbres.
Mais lorsque les hommes partis chercher du bois reviennent bredouilles, une famine brutale frappe la tribu et les gens commencent à mourir.
Langsien plaide inlassablement pour que les arbres soient sauvés si l'on veut que la vie puisse à nouveau s'épanouir sur cette terre aride, mais comme toujours, la prospérité à long terme prime sur la survie immédiate.
Samaa, éveille-toi à un nouveau monde où tout est connecté.
L'histoire commence véritablement lorsque Samaa perd la trace des chasseurs et se retrouve isolé au milieu du désert.
Pris dans une tempête de sable, Samaah chute dans un profond ravin cerné de falaises et manque de se noyer. Blessé, il découvre alors une proie de taille : des arbres qui se cachent dans des cavités profondes pour échapper aux regards humains.
Le monde dans lequel vit Sama est un monde où même les noms des animaux et des plantes ont été presque oubliés, et où les êtres vivants sont simplement des « bêtes », des arbres ou des « buissons ».
Beaucoup de femmes, dont Samaa, n'ont jamais vu d'arbre vivant, à l'exception du bois que les chasseurs rapportent.
Au lieu de boire de l'eau en bouteille, ils ne boivent que de l'eau gélatineuse qu'ils achètent sur les arbres de la ville, et ils achètent même de l'air à boire pour survivre aux tempêtes de sable arides.
Mais le monde à l'intérieur du trou est différent.
Un petit écosystème étroitement lié gravite autour de ce bel arbre.
Parce qu'il y a des arbres, il y a une source, et parce qu'il y a des arbres et une source, des insectes et des petits animaux y vivent aussi.
Quand il y a des insectes, les oiseaux volent aussi.
Les arbres portent des fruits, et à l'intérieur des fruits se trouvent des graines.
Au fur et à mesure que Samaa découvre les harmonies et les principes mystérieux de la nature qu'elle n'a jamais vus ni imaginés de sa vie, elle commence à pressentir que quelque chose cloche sérieusement dans leur mode de vie.
Cependant, Samaah, incapable d'escalader la haute falaise avec son corps blessé, survit difficilement grâce à des barres protéinées, de l'eau de source, des plantes aquatiques et de l'écorce d'arbre rapportée du camp. Alors qu'il est sur le point d'abandonner, à bout de forces, les hommes de la tribu partis chercher du bois descendent pour le secourir.
Cependant, ces sauveurs révèlent clairement leur véritable identité de destructeurs qui piétinent sans pitié le nouvel écosystème du trou que Samaa a « découvert ».
Une fable écologique qui dénonce l'ère de la crise climatique
Ce livre dépeint symboliquement la relation entre l'homme et la nature, à la manière d'une fable philosophique.
La tribu décrite dans le roman est fermement convaincue de n'avoir d'autre choix que d'abattre et de vendre des arbres pour survivre, mais en réalité, tuer les quelques arbres restants est un acte suicidaire qui mènera l'humanité restante à sa perte, et les seuls à jouir encore de ce privilège sont les habitants des grandes villes qui vivent dans les hautes tours.
Ces générations futures ignorantes, dont il ne reste qu'une poignée d'individus, comprennent totalement mal les conditions de survie et continuent de détruire les quelques vies restantes, s'autodétruisant ainsi de la même manière que leurs ancêtres déjà disparus.
Sous les apparences de la science-fiction et de la dystopie, ce livre expose avec force la folie et la violence de notre génération vivant à l'ère de la crise climatique.
Seule, bravant la chaleur torride du midi et le froid de la nuit, Samaa subit un rite de passage intérieur et extérieur très particulier, semblable à la cérémonie d'initiation d'une ancienne tribu indienne. Ce processus de transformation ardu est décrit avec une précision et une finesse remarquables.
Puis, lorsque nous arrivons soudainement à la scène où le sanctuaire sacré de Sama et de ses amis de la nature est détruit, la réalité de la violence contraste avec les changements intérieurs et extérieurs dramatiques et profonds que subit Sama.
Un message d'espoir pour notre génération qui rêve d'utopie.
Il est très significatif qu'une autre personne jouant un rôle crucial dans la reconstruction de la forêt dans ce monde aride soit Lancien.
Bien que le cadre soit quelque peu mystérieux, Lancien est le seul personnage du roman à avoir connu la civilisation moderne et à appartenir à « notre époque ».
Non seulement Langsien prêche l'évangile de la vie, endurant toutes sortes de ridicules comme un prophète criant dans le désert, mais il enseigne aussi à Samaah comment planter des arbres et en prendre soin.
À travers Lancien, qui tient la main du jeune Sama, et l'utopie future qui a retrouvé ses forêts, son eau et son air, l'auteur nous laisse, à nous, la génération plus âgée, un message d'espoir et un lourd devoir à faire.
En faisant de Samaa, le protagoniste, une enfant de douze ans, l'auteur ne suggère-t-il pas en fin de compte que le destin du monde futur repose entre les mains de nos enfants, la génération Greta Thunberg ?
Bien qu'elle traite d'un monde post-apocalyptique, il s'agit également d'une fable écologique très sophistiquée.
-Le Monde (principal quotidien français)
Quelle histoire merveilleuse !
La voix de Marie Pavlenko est captivante, et après avoir tourné la dernière page, votre regard sur « L’Arbre » sera transformé ! – Page des librairies
Le style d'écriture est étonnamment délicat.
C'est une histoire si élégante, et la lire procure un véritable petit bonheur.
-France Inter (radio publique française)
Ce livre explore les tendances en pleine expansion que sont l'écologie, la prospective et la réflexion sur le monde actuel, et raconte l'histoire de femmes qui forgent leur propre destin tout en écoutant celles des autres.
-France Bleu (radio publique régionale française)
C'est un excellent livre à lire avec vos enfants adolescents.
Car, comme Marie Pavlenko, nous croyons fermement à l'émergence de cette génération Greta Thunberg.
-Gazelle (magazine féminin français)
Comment expliquer au mieux la crise climatique aux jeunes générations ? Marie Pavlenko semble avoir trouvé la réponse.
-France 5 (chaîne de télévision publique)
« Les femmes ne peuvent pas être chasseuses. »
Une dystopie où le sable engloutit tout
Un monde futur stérile dominé par les hommes,
Les aventures de Samaa, une jeune fille partie à la recherche de l'Arbre de Vie !
Prix Libirit 2021 du Conseil international du livre pour la jeunesse (IBBY) pour les jeunes
Prix de littérature jeunesse de la Société des écrivains de France 2020, Prix européen de littérature jeunesse Utopia 2020
Un « livre incontournable » recommandé par l’ancien vice-président du GIEC, lauréat du prix Nobel de la paix.
« J’ai gobé cette fable écologique » – Yan Bertrand (photographe, militant écologiste)
Deux femmes non conformes, Samaa et Langsien
Samaa, douze ans, vit dans une dystopie qui pourrait bientôt devenir notre avenir moderne.
Un monde où la vie a presque disparu de la Terre, un monde où le sable a tout englouti.
La tribu nomade Sama survit grâce à la chasse.
Mais il ne s'agit pas de la chasse à laquelle nous pensons.
Dans un monde où tous les animaux ont disparu, les chasseurs traquent les derniers arbres survivants, les abattent et les vendent à la ville pour fournir eau, air et nourriture.
Samaa veut devenir chasseur, suivant les traces de son père qui a perdu la vie à la chasse, mais il ne le peut pas.
Car la chasse est absolument le domaine de l'homme.
Un jour, Sama, un homme têtu et déterminé, enfreint le tabou de sa tribu et poursuit secrètement des chasseurs.
Mais lorsqu'ils se perdent dans le désert aux mille visages et se retrouvent confrontés à une vérité qu'ils n'auraient jamais imaginée, le destin de leur tribu prend finalement une tournure complètement différente.
Les deux thèmes centraux de ce livre sont l'écologie et les récits de femmes.
Dans un monde où la civilisation et les écosystèmes ont quasiment disparu, ne laissant que peu de survivants, les arbres sont synonymes de survie, et la vie humaine, revenue à sa forme primitive, est redevenue une société patriarcale où seules la survie et la force comptent.
Ironie du sort, ce sont deux femmes qui vont renverser le destin de la tribu.
Une vieille femme nommée Young Sama et Langxien, qui a vécu si longtemps que personne ne connaît sa vie antérieure, comme si elle avait été grand-mère depuis toujours.
Sama et Langsien ont tous deux un caractère bien trempé et ne sont pas toujours très appréciés au sein de la tribu.
Samaa est toujours détestée pour son imagination débordante et ses actions extravagantes en matière de chasse, un domaine tabou, et Langsien est méprisé par les hommes pour sa colère incontrôlable à l'idée de ne jamais abattre d'arbres.
Mais lorsque les hommes partis chercher du bois reviennent bredouilles, une famine brutale frappe la tribu et les gens commencent à mourir.
Langsien plaide inlassablement pour que les arbres soient sauvés si l'on veut que la vie puisse à nouveau s'épanouir sur cette terre aride, mais comme toujours, la prospérité à long terme prime sur la survie immédiate.
Samaa, éveille-toi à un nouveau monde où tout est connecté.
L'histoire commence véritablement lorsque Samaa perd la trace des chasseurs et se retrouve isolé au milieu du désert.
Pris dans une tempête de sable, Samaah chute dans un profond ravin cerné de falaises et manque de se noyer. Blessé, il découvre alors une proie de taille : des arbres qui se cachent dans des cavités profondes pour échapper aux regards humains.
Le monde dans lequel vit Sama est un monde où même les noms des animaux et des plantes ont été presque oubliés, et où les êtres vivants sont simplement des « bêtes », des arbres ou des « buissons ».
Beaucoup de femmes, dont Samaa, n'ont jamais vu d'arbre vivant, à l'exception du bois que les chasseurs rapportent.
Au lieu de boire de l'eau en bouteille, ils ne boivent que de l'eau gélatineuse qu'ils achètent sur les arbres de la ville, et ils achètent même de l'air à boire pour survivre aux tempêtes de sable arides.
Mais le monde à l'intérieur du trou est différent.
Un petit écosystème étroitement lié gravite autour de ce bel arbre.
Parce qu'il y a des arbres, il y a une source, et parce qu'il y a des arbres et une source, des insectes et des petits animaux y vivent aussi.
Quand il y a des insectes, les oiseaux volent aussi.
Les arbres portent des fruits, et à l'intérieur des fruits se trouvent des graines.
Au fur et à mesure que Samaa découvre les harmonies et les principes mystérieux de la nature qu'elle n'a jamais vus ni imaginés de sa vie, elle commence à pressentir que quelque chose cloche sérieusement dans leur mode de vie.
Cependant, Samaah, incapable d'escalader la haute falaise avec son corps blessé, survit difficilement grâce à des barres protéinées, de l'eau de source, des plantes aquatiques et de l'écorce d'arbre rapportée du camp. Alors qu'il est sur le point d'abandonner, à bout de forces, les hommes de la tribu partis chercher du bois descendent pour le secourir.
Cependant, ces sauveurs révèlent clairement leur véritable identité de destructeurs qui piétinent sans pitié le nouvel écosystème du trou que Samaa a « découvert ».
Une fable écologique qui dénonce l'ère de la crise climatique
Ce livre dépeint symboliquement la relation entre l'homme et la nature, à la manière d'une fable philosophique.
La tribu décrite dans le roman est fermement convaincue de n'avoir d'autre choix que d'abattre et de vendre des arbres pour survivre, mais en réalité, tuer les quelques arbres restants est un acte suicidaire qui mènera l'humanité restante à sa perte, et les seuls à jouir encore de ce privilège sont les habitants des grandes villes qui vivent dans les hautes tours.
Ces générations futures ignorantes, dont il ne reste qu'une poignée d'individus, comprennent totalement mal les conditions de survie et continuent de détruire les quelques vies restantes, s'autodétruisant ainsi de la même manière que leurs ancêtres déjà disparus.
Sous les apparences de la science-fiction et de la dystopie, ce livre expose avec force la folie et la violence de notre génération vivant à l'ère de la crise climatique.
Seule, bravant la chaleur torride du midi et le froid de la nuit, Samaa subit un rite de passage intérieur et extérieur très particulier, semblable à la cérémonie d'initiation d'une ancienne tribu indienne. Ce processus de transformation ardu est décrit avec une précision et une finesse remarquables.
Puis, lorsque nous arrivons soudainement à la scène où le sanctuaire sacré de Sama et de ses amis de la nature est détruit, la réalité de la violence contraste avec les changements intérieurs et extérieurs dramatiques et profonds que subit Sama.
Un message d'espoir pour notre génération qui rêve d'utopie.
Il est très significatif qu'une autre personne jouant un rôle crucial dans la reconstruction de la forêt dans ce monde aride soit Lancien.
Bien que le cadre soit quelque peu mystérieux, Lancien est le seul personnage du roman à avoir connu la civilisation moderne et à appartenir à « notre époque ».
Non seulement Langsien prêche l'évangile de la vie, endurant toutes sortes de ridicules comme un prophète criant dans le désert, mais il enseigne aussi à Samaah comment planter des arbres et en prendre soin.
À travers Lancien, qui tient la main du jeune Sama, et l'utopie future qui a retrouvé ses forêts, son eau et son air, l'auteur nous laisse, à nous, la génération plus âgée, un message d'espoir et un lourd devoir à faire.
En faisant de Samaa, le protagoniste, une enfant de douze ans, l'auteur ne suggère-t-il pas en fin de compte que le destin du monde futur repose entre les mains de nos enfants, la génération Greta Thunberg ?
Bien qu'elle traite d'un monde post-apocalyptique, il s'agit également d'une fable écologique très sophistiquée.
-Le Monde (principal quotidien français)
Quelle histoire merveilleuse !
La voix de Marie Pavlenko est captivante, et après avoir tourné la dernière page, votre regard sur « L’Arbre » sera transformé ! – Page des librairies
Le style d'écriture est étonnamment délicat.
C'est une histoire si élégante, et la lire procure un véritable petit bonheur.
-France Inter (radio publique française)
Ce livre explore les tendances en pleine expansion que sont l'écologie, la prospective et la réflexion sur le monde actuel, et raconte l'histoire de femmes qui forgent leur propre destin tout en écoutant celles des autres.
-France Bleu (radio publique régionale française)
C'est un excellent livre à lire avec vos enfants adolescents.
Car, comme Marie Pavlenko, nous croyons fermement à l'émergence de cette génération Greta Thunberg.
-Gazelle (magazine féminin français)
Comment expliquer au mieux la crise climatique aux jeunes générations ? Marie Pavlenko semble avoir trouvé la réponse.
-France 5 (chaîne de télévision publique)
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 25 janvier 2022
Nombre de pages, poids, dimensions : 200 pages | 272 g | 140 × 205 × 13 mm
- ISBN13 : 9788972970224
- ISBN10 : 8972970220
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