
Mais j'ai toujours envie de voyager
Description
Introduction au livre
J'adore voyager, je veux sortir de la routine qui consiste simplement à prendre des photos et à rentrer.
J'ai travaillé comme salarié pendant 23 ans et j'ai visité 300 villes à travers le monde sans hésiter.
Il recèle l'empathie et le charme authentique que j'ai appris et compris en voyageant seule.
Les quatre saisons et les souvenirs de la vieille ville que j'ai découverts en marchant et en regardant
Elle est dépeinte avec la sincérité et la profonde empathie de l'auteur.
Les paysages sculptés qui constituent les destinations touristiques sont des objets de désir qui captivent le cœur pour longtemps.
Quand j'en ai eu assez de la vie et que j'ai voulu renouveler mon âme, consumée par le temps perdu et les relations avec les autres, je suis partie en voyage.
L'auteur, qui a voyagé sans cesse depuis ses débuts comme salarié jusqu'à son poste de chef d'entreprise, a toujours puisé dans des lieux inconnus l'occasion de se recentrer sur lui-même et de faire le point sur sa vie.
Dans ce livre, qui présente les paysages et les histoires de 36 villes réparties dans 18 pays, l'auteur ne se contente pas de décrire les sites touristiques, la gastronomie et les paysages de chaque destination.
Entre le départ et le retour, entre familiarité et inconnu, nous partageons le sens du voyage et les souvenirs que nous partageons dans nos destinations.
Paradoxalement, le mystère du retour après un départ et la découverte de soi-même à travers l'errance dans des lieux inconnus rendent la réalité quotidienne plus claire et, ce faisant, donnent la force de vivre pleinement et avec confiance.
Qu'il s'agisse d'une pause détente ou d'une expérience nouvelle et exotique, la joie que nous procure le voyage est unique.
En écoutant le récit de l'auteur errant seul dans les ruelles d'une ville inconnue, je comprends que la vie est une nouvelle joie chaque jour, et qu'elle vaut donc la peine d'être vécue.
J'ai travaillé comme salarié pendant 23 ans et j'ai visité 300 villes à travers le monde sans hésiter.
Il recèle l'empathie et le charme authentique que j'ai appris et compris en voyageant seule.
Les quatre saisons et les souvenirs de la vieille ville que j'ai découverts en marchant et en regardant
Elle est dépeinte avec la sincérité et la profonde empathie de l'auteur.
Les paysages sculptés qui constituent les destinations touristiques sont des objets de désir qui captivent le cœur pour longtemps.
Quand j'en ai eu assez de la vie et que j'ai voulu renouveler mon âme, consumée par le temps perdu et les relations avec les autres, je suis partie en voyage.
L'auteur, qui a voyagé sans cesse depuis ses débuts comme salarié jusqu'à son poste de chef d'entreprise, a toujours puisé dans des lieux inconnus l'occasion de se recentrer sur lui-même et de faire le point sur sa vie.
Dans ce livre, qui présente les paysages et les histoires de 36 villes réparties dans 18 pays, l'auteur ne se contente pas de décrire les sites touristiques, la gastronomie et les paysages de chaque destination.
Entre le départ et le retour, entre familiarité et inconnu, nous partageons le sens du voyage et les souvenirs que nous partageons dans nos destinations.
Paradoxalement, le mystère du retour après un départ et la découverte de soi-même à travers l'errance dans des lieux inconnus rendent la réalité quotidienne plus claire et, ce faisant, donnent la force de vivre pleinement et avec confiance.
Qu'il s'agisse d'une pause détente ou d'une expérience nouvelle et exotique, la joie que nous procure le voyage est unique.
En écoutant le récit de l'auteur errant seul dans les ruelles d'une ville inconnue, je comprends que la vie est une nouvelle joie chaque jour, et qu'elle vaut donc la peine d'être vécue.
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Aperçu
indice
Prologue : J'ai toujours l'impression d'être un étranger dans les endroits que je ne connais pas.
01 Le bonheur, il faut le voir pour le croire
Où se trouve le bonheur ? : Istanbul, Turquie
Il faut une virgule avant le point : Amsterdam, Pays-Bas
Le bonheur vient toujours de l'intérieur : Gand, Belgique
Une âme lasse trouve refuge : Montagnola, Suisse
Vendre le bonheur de la lenteur : Orvieto, Italie
J'ai décidé de ne pas envier la vie des autres : Monte Carlo, Monaco
02 Tout le monde a des moments difficiles.
Tout le monde a des moments où l'on a envie de s'asseoir et de pleurer : Ségovie, Espagne
Les épreuves d'aujourd'hui sont l'espoir de demain : Matera, Italie
Un homme ne souffre que dans la mesure où il peut supporter : Vianden, Luxembourg
La vie dessine une courbe sinusoïdale : les Cinque Terre, Italie
Le pouvoir de surmonter la douleur réside en moi : Zermatt, Suisse
Là où la terre s'arrête, la mer commence : Porto, Portugal
Cette douleur aussi est passée : Paris, France
Où serait le présent sans le passé ? Budapest, Hongrie
03 La perte est un autre nom pour la croissance
Si tu luttes contre la vague, tu ne peux pas la vaincre : Nazaré, Portugal
L'illusion que ça doit être moi : Alberobello, Italie
Les cicatrices de l'histoire nourries par Dieu : Lucerne, Suisse
Tomber, c'est normal, il suffit de se relever : Bologne, Italie
Pourquoi sommes-nous influencés par les paroles des autres ? : Marseille, France
À la recherche du leader idéal : Grenade, Espagne
Moi aussi, j'ai été un enfant retranché dans sa forteresse : Nice, France
Sept couleurs s'unissent pour former un arc-en-ciel : La Valette, Malte
04 Miroir de mon cœur
Comment combler le fossé entre les attentes et la réalité : le Luxembourg
Nous sommes en plein pique-nique sur Terre : Gilgen et Hallstatt, en Autriche
Vivre au quotidien comme en voyage : Palerme, Sicile
Sur les attitudes face aux ruptures : Zagreb, Croatie
Le visage de l'autre est le miroir de mon cœur : Šibenik, Croatie
Il existe une petite, mais grande différence, qui jouit d'un grand respect : Londres, Angleterre.
05 Je pars quand même
Pourquoi je voyage seule : Mykonos, Grèce
Mon véritable ennemi est en moi : Cefalù, Sicile
Accident fatal contre
Métacognition : Delphes grec
Le rythmeur du marathon de la vie : Coimbra, Portugal
Si hier et aujourd'hui sont identiques, l'avenir le sera aussi : Cap Sounion, Grèce
Ce pour quoi nous vivons : Malaga, Espagne
Vivre selon mes convictions est ce qui me fait avancer : Santorin, Grèce
Avez-vous déjà vécu dans un tel désespoir : Würzburg, en Allemagne ?
Épilogue : Un voyage qui ne finira jamais, ~ing
01 Le bonheur, il faut le voir pour le croire
Où se trouve le bonheur ? : Istanbul, Turquie
Il faut une virgule avant le point : Amsterdam, Pays-Bas
Le bonheur vient toujours de l'intérieur : Gand, Belgique
Une âme lasse trouve refuge : Montagnola, Suisse
Vendre le bonheur de la lenteur : Orvieto, Italie
J'ai décidé de ne pas envier la vie des autres : Monte Carlo, Monaco
02 Tout le monde a des moments difficiles.
Tout le monde a des moments où l'on a envie de s'asseoir et de pleurer : Ségovie, Espagne
Les épreuves d'aujourd'hui sont l'espoir de demain : Matera, Italie
Un homme ne souffre que dans la mesure où il peut supporter : Vianden, Luxembourg
La vie dessine une courbe sinusoïdale : les Cinque Terre, Italie
Le pouvoir de surmonter la douleur réside en moi : Zermatt, Suisse
Là où la terre s'arrête, la mer commence : Porto, Portugal
Cette douleur aussi est passée : Paris, France
Où serait le présent sans le passé ? Budapest, Hongrie
03 La perte est un autre nom pour la croissance
Si tu luttes contre la vague, tu ne peux pas la vaincre : Nazaré, Portugal
L'illusion que ça doit être moi : Alberobello, Italie
Les cicatrices de l'histoire nourries par Dieu : Lucerne, Suisse
Tomber, c'est normal, il suffit de se relever : Bologne, Italie
Pourquoi sommes-nous influencés par les paroles des autres ? : Marseille, France
À la recherche du leader idéal : Grenade, Espagne
Moi aussi, j'ai été un enfant retranché dans sa forteresse : Nice, France
Sept couleurs s'unissent pour former un arc-en-ciel : La Valette, Malte
04 Miroir de mon cœur
Comment combler le fossé entre les attentes et la réalité : le Luxembourg
Nous sommes en plein pique-nique sur Terre : Gilgen et Hallstatt, en Autriche
Vivre au quotidien comme en voyage : Palerme, Sicile
Sur les attitudes face aux ruptures : Zagreb, Croatie
Le visage de l'autre est le miroir de mon cœur : Šibenik, Croatie
Il existe une petite, mais grande différence, qui jouit d'un grand respect : Londres, Angleterre.
05 Je pars quand même
Pourquoi je voyage seule : Mykonos, Grèce
Mon véritable ennemi est en moi : Cefalù, Sicile
Accident fatal contre
Métacognition : Delphes grec
Le rythmeur du marathon de la vie : Coimbra, Portugal
Si hier et aujourd'hui sont identiques, l'avenir le sera aussi : Cap Sounion, Grèce
Ce pour quoi nous vivons : Malaga, Espagne
Vivre selon mes convictions est ce qui me fait avancer : Santorin, Grèce
Avez-vous déjà vécu dans un tel désespoir : Würzburg, en Allemagne ?
Épilogue : Un voyage qui ne finira jamais, ~ing
Image détaillée

Dans le livre
« Suis-je heureux ? » N'ai-je pas moi aussi fui pour oublier la réalité ?
La personne que j'avais laissée derrière moi dans la réalité me manquait.
Je me demande si je n'ai pas poursuivi aveuglément la vie que les autres enviaient, pensant que le bonheur et le succès étaient la vie que je désirais vraiment…
Ai-je accordé suffisamment d'attention à mon propre bonheur… .
Tard dans la nuit, je n'arrivais pas à dormir car les pensées qui tourbillonnaient dans ma tête me donnaient la nausée.
--- p.21
Avant, je détestais vraiment le mot « endurer ».
Car il n'y a rien de plus pénible que de traverser des périodes difficiles.
Il y a une chose que j'ai comprise au cours de ma vie.
Il n'y a rien au monde qui puisse être obtenu gratuitement.
J'ai dû payer un prix pour obtenir ce que je voulais.
Plus grandes étaient les épreuves et la douleur, plus grande était la joie qui m'attendait ensuite.
Il faut payer un prix pour obtenir ce que l'on veut, et parfois c'est douloureux.
--- p.82
Au fil de notre vie, il arrive que des vagues inattendues s'abattent sur nous, comme si elles allaient nous engloutir.
Plutôt que de lutter contre ces vagues, me laisser porter par le courant est le meilleur moyen de protéger ma vie.
Ce n'est ni la capitulation ni l'abandon, c'est la sagesse.
Parfois, l'attente et l'observation peuvent être une arme redoutable.
Il est inutile de vous épuiser pour des choses que vous ne pouvez pas contrôler.
Face à de fortes vagues, le plus important est de me protéger.
--- p.130
La joie d'attendre quelque chose de quelqu'un est susceptible d'engendrer une douleur plus grande.
Accepter que les sentiments de l'autre personne ne soient pas les mêmes que les vôtres est le seul moyen de se libérer d'une relation.
Surtout dans les relations sociales qui se forment à travers les responsabilités professionnelles et les transactions commerciales, n'est-ce pas un gaspillage d'émotions que de s'attarder sur la quantité d'émotions ?
Nous devons comprendre que l'essence de la relation ne réside pas dans l'échange d'émotions, mais dans la coopération et la réalisation d'un objectif commun.
--- p.185
Le voir suivre son propre chemin avec diligence, sans hésitation et sans s'arrêter un seul instant, me rappelle la fable d'Ésope, « La Tortue et le Lièvre ».
Je réfléchis lentement à moi-même pour voir si j'ai déjà abandonné sans même essayer vraiment, par une vague crainte que ce soit impossible, ou si j'ai déjà eu envie de fuir même lorsque les choses étaient juste un peu difficiles.
La personne que j'avais laissée derrière moi dans la réalité me manquait.
Je me demande si je n'ai pas poursuivi aveuglément la vie que les autres enviaient, pensant que le bonheur et le succès étaient la vie que je désirais vraiment…
Ai-je accordé suffisamment d'attention à mon propre bonheur… .
Tard dans la nuit, je n'arrivais pas à dormir car les pensées qui tourbillonnaient dans ma tête me donnaient la nausée.
--- p.21
Avant, je détestais vraiment le mot « endurer ».
Car il n'y a rien de plus pénible que de traverser des périodes difficiles.
Il y a une chose que j'ai comprise au cours de ma vie.
Il n'y a rien au monde qui puisse être obtenu gratuitement.
J'ai dû payer un prix pour obtenir ce que je voulais.
Plus grandes étaient les épreuves et la douleur, plus grande était la joie qui m'attendait ensuite.
Il faut payer un prix pour obtenir ce que l'on veut, et parfois c'est douloureux.
--- p.82
Au fil de notre vie, il arrive que des vagues inattendues s'abattent sur nous, comme si elles allaient nous engloutir.
Plutôt que de lutter contre ces vagues, me laisser porter par le courant est le meilleur moyen de protéger ma vie.
Ce n'est ni la capitulation ni l'abandon, c'est la sagesse.
Parfois, l'attente et l'observation peuvent être une arme redoutable.
Il est inutile de vous épuiser pour des choses que vous ne pouvez pas contrôler.
Face à de fortes vagues, le plus important est de me protéger.
--- p.130
La joie d'attendre quelque chose de quelqu'un est susceptible d'engendrer une douleur plus grande.
Accepter que les sentiments de l'autre personne ne soient pas les mêmes que les vôtres est le seul moyen de se libérer d'une relation.
Surtout dans les relations sociales qui se forment à travers les responsabilités professionnelles et les transactions commerciales, n'est-ce pas un gaspillage d'émotions que de s'attarder sur la quantité d'émotions ?
Nous devons comprendre que l'essence de la relation ne réside pas dans l'échange d'émotions, mais dans la coopération et la réalisation d'un objectif commun.
--- p.185
Le voir suivre son propre chemin avec diligence, sans hésitation et sans s'arrêter un seul instant, me rappelle la fable d'Ésope, « La Tortue et le Lièvre ».
Je réfléchis lentement à moi-même pour voir si j'ai déjà abandonné sans même essayer vraiment, par une vague crainte que ce soit impossible, ou si j'ai déjà eu envie de fuir même lorsque les choses étaient juste un peu difficiles.
--- p.265
Avis de l'éditeur
Un salarié ordinaire voyage dans 300 villes à travers le monde.
Comme beaucoup d'employés de bureau coréens, l'auteur s'est consacré à son entreprise et a bâti sa carrière à la vitesse d'un coureur de 100 mètres.
J'ai à peine réussi à supporter les nombreuses difficultés et le stress auxquels j'étais confrontée au travail en voyageant, en me reposant et en me ressourçant.
J'ai donc voyagé à travers le monde pendant 23 ans et visité 300 villes.
Durant cette période, j'ai acquis de l'expérience, je suis devenu manager et mon attitude envers les voyages a changé.
Maintenant, je peux dire que j'ai appris la vie en voyageant.
Au cours de mes voyages, j'ai médité sur des thèmes tels que la planification et l'improvisation, la nécessité et le hasard, le bonheur et le malheur, le succès et l'échec, et j'ai acquis sagesse et une certaine vision de la vie.
Ce livre présente 36 villes issues de 18 pays.
J'ai rencontré d'innombrables personnes sur la route, et j'ai découvert des paysages et des expériences uniques et palpitantes, mais ce que j'ai retiré de tous ces voyages, c'est une « perspective sur moi-même » et une « attitude face à la vie ».
« Ralentissez et profitez de la vie. »
Quand on va trop vite, ce n'est pas seulement le paysage qu'on rate.
« Vous ne saurez même pas où vous allez ni pourquoi. »
Comme l'a dit un auteur, j'ai commencé à réfléchir plus profondément à l'idée de partir et de rester, de direction et de raison.
Ce livre est un recueil soigneusement rédigé de fragments de l'illumination qui ne peuvent être facilement expliqués par quelques lieux et scènes.
La chose la plus surprenante que j'ai rencontrée dans un endroit inconnu était
C'était moi.
Plutôt que de simplement survoler différents pays, le style de voyage de l'auteur consiste à séjourner dans un seul pays pendant une certaine période et à explorer en profondeur ses petites villes.
En restant ainsi, on voit extérieurement les gens et le paysage, mais intérieurement on pense à l'endroit d'où l'on vient, aux gens qui y vivaient et à sa propre vie là-bas.
La raison pour laquelle l'auteur a dû partir était un inexplicable sentiment de doute, né d'une longue carrière et de limites qui s'étaient imposées à lui sans qu'il s'en rende compte.
Au fil du temps, l'écart entre ce que je devais faire et ce que je pouvais faire s'est creusé de plus en plus, et j'ai commencé à avoir l'impression de prendre du retard.
Je suis parti en voyage avec l'espoir que ce serait un tournant dans ma vie.
Voyager m'a apporté des expériences et des connaissances qui ne peuvent être mesurées en argent.
Parmi elles, la prise de conscience la plus précieuse a été de découvrir que j'étais le protagoniste de ma propre vie et d'acquérir de nouvelles perspectives sur le monde.
L'auteur affirme que « le voyage est l'expérience ultime qui apporte le bonheur ».
L'auteur est devenu un maître dans l'art de savourer la richesse de la vie à travers les voyages.
C’est aussi grâce à mes voyages que je me suis découverte et que j’ai rêvé de changer de vie.
Ce qui rend le voyage vraiment beau, c'est qu'on reste un certain temps puis qu'on repart.
Le sens du voyage réside simplement dans la possibilité d'oublier la réalité un instant, d'échapper à l'espace étouffant et de s'immerger pleinement dans le moment présent.
Une autre raison pour laquelle les voyages peuvent être magnifiques, c'est qu'il y a un endroit où revenir, une vie quotidienne.
Partir, changer, et revenir vivre à nouveau.
Voyager, c'est répéter l'expérience.
Vous vous retrouvez face à vous-même dans un lieu inconnu, vous découvrez une nouvelle facette de vous-même et vous retournez à l'endroit que vous aviez quitté pour commencer une nouvelle vie.
Pourquoi les employés de bureau ordinaires voyagent-ils dès qu'ils ont du temps libre ?
L'auteur n'est pas un voyageur professionnel.
Je ne suis pas un aventurier.
Je suis juste un employé de bureau ordinaire.
J'ai relié les moments épars de ma vie quotidienne, j'ai économisé chaque centime et je suis partie en voyage.
Grâce à mes voyages, j'ai pris conscience du sens et du but de la vie, j'ai emprunté une nouvelle voie et j'ai été confrontée à une version méconnue de moi-même avant de reprendre le cours de ma vie quotidienne.
Voyager n'était pas un luxe, mais une nécessité vitale, un réveil qui me tirait de ma torpeur.
Goethe a dit ceci :
« Le but de mes voyages est de me découvrir moi-même. » L’auteur est parti prendre un moment pour s’arrêter et se concentrer uniquement sur lui-même, pour avoir une conversation approfondie avec son for intérieur, pour porter un regard complet sur qui il est.
Ce fut la période la plus importante de ma vie : parcourir autant de villes que possible et rencontrer autant de personnes que possible.
C'était parce que je voulais observer ma vie objectivement, depuis le monde extérieur, découvrir un nouveau monde et réfléchir profondément à la direction que je devais donner à ma vie.
Découvrir de nouveaux paysages et des mets exotiques est l'un des grands plaisirs du voyage.
En général, les gens voyagent à l'étranger pour échapper au train-train quotidien, pour se reposer et se ressourcer, et pour ressentir un sentiment de liberté.
Cependant, un voyage entrepris dans le but de réfléchir sur soi-même et d'acquérir de nouvelles perspectives sur la vie est plus sérieux et plus significatif.
Se réaliser soi-même, devenir une nouvelle personne et revivre.
Ce que l'auteur a véritablement retiré de ses voyages allait bien au-delà de la simple découverte de nouvelles choses.
Comme beaucoup d'employés de bureau coréens, l'auteur s'est consacré à son entreprise et a bâti sa carrière à la vitesse d'un coureur de 100 mètres.
J'ai à peine réussi à supporter les nombreuses difficultés et le stress auxquels j'étais confrontée au travail en voyageant, en me reposant et en me ressourçant.
J'ai donc voyagé à travers le monde pendant 23 ans et visité 300 villes.
Durant cette période, j'ai acquis de l'expérience, je suis devenu manager et mon attitude envers les voyages a changé.
Maintenant, je peux dire que j'ai appris la vie en voyageant.
Au cours de mes voyages, j'ai médité sur des thèmes tels que la planification et l'improvisation, la nécessité et le hasard, le bonheur et le malheur, le succès et l'échec, et j'ai acquis sagesse et une certaine vision de la vie.
Ce livre présente 36 villes issues de 18 pays.
J'ai rencontré d'innombrables personnes sur la route, et j'ai découvert des paysages et des expériences uniques et palpitantes, mais ce que j'ai retiré de tous ces voyages, c'est une « perspective sur moi-même » et une « attitude face à la vie ».
« Ralentissez et profitez de la vie. »
Quand on va trop vite, ce n'est pas seulement le paysage qu'on rate.
« Vous ne saurez même pas où vous allez ni pourquoi. »
Comme l'a dit un auteur, j'ai commencé à réfléchir plus profondément à l'idée de partir et de rester, de direction et de raison.
Ce livre est un recueil soigneusement rédigé de fragments de l'illumination qui ne peuvent être facilement expliqués par quelques lieux et scènes.
La chose la plus surprenante que j'ai rencontrée dans un endroit inconnu était
C'était moi.
Plutôt que de simplement survoler différents pays, le style de voyage de l'auteur consiste à séjourner dans un seul pays pendant une certaine période et à explorer en profondeur ses petites villes.
En restant ainsi, on voit extérieurement les gens et le paysage, mais intérieurement on pense à l'endroit d'où l'on vient, aux gens qui y vivaient et à sa propre vie là-bas.
La raison pour laquelle l'auteur a dû partir était un inexplicable sentiment de doute, né d'une longue carrière et de limites qui s'étaient imposées à lui sans qu'il s'en rende compte.
Au fil du temps, l'écart entre ce que je devais faire et ce que je pouvais faire s'est creusé de plus en plus, et j'ai commencé à avoir l'impression de prendre du retard.
Je suis parti en voyage avec l'espoir que ce serait un tournant dans ma vie.
Voyager m'a apporté des expériences et des connaissances qui ne peuvent être mesurées en argent.
Parmi elles, la prise de conscience la plus précieuse a été de découvrir que j'étais le protagoniste de ma propre vie et d'acquérir de nouvelles perspectives sur le monde.
L'auteur affirme que « le voyage est l'expérience ultime qui apporte le bonheur ».
L'auteur est devenu un maître dans l'art de savourer la richesse de la vie à travers les voyages.
C’est aussi grâce à mes voyages que je me suis découverte et que j’ai rêvé de changer de vie.
Ce qui rend le voyage vraiment beau, c'est qu'on reste un certain temps puis qu'on repart.
Le sens du voyage réside simplement dans la possibilité d'oublier la réalité un instant, d'échapper à l'espace étouffant et de s'immerger pleinement dans le moment présent.
Une autre raison pour laquelle les voyages peuvent être magnifiques, c'est qu'il y a un endroit où revenir, une vie quotidienne.
Partir, changer, et revenir vivre à nouveau.
Voyager, c'est répéter l'expérience.
Vous vous retrouvez face à vous-même dans un lieu inconnu, vous découvrez une nouvelle facette de vous-même et vous retournez à l'endroit que vous aviez quitté pour commencer une nouvelle vie.
Pourquoi les employés de bureau ordinaires voyagent-ils dès qu'ils ont du temps libre ?
L'auteur n'est pas un voyageur professionnel.
Je ne suis pas un aventurier.
Je suis juste un employé de bureau ordinaire.
J'ai relié les moments épars de ma vie quotidienne, j'ai économisé chaque centime et je suis partie en voyage.
Grâce à mes voyages, j'ai pris conscience du sens et du but de la vie, j'ai emprunté une nouvelle voie et j'ai été confrontée à une version méconnue de moi-même avant de reprendre le cours de ma vie quotidienne.
Voyager n'était pas un luxe, mais une nécessité vitale, un réveil qui me tirait de ma torpeur.
Goethe a dit ceci :
« Le but de mes voyages est de me découvrir moi-même. » L’auteur est parti prendre un moment pour s’arrêter et se concentrer uniquement sur lui-même, pour avoir une conversation approfondie avec son for intérieur, pour porter un regard complet sur qui il est.
Ce fut la période la plus importante de ma vie : parcourir autant de villes que possible et rencontrer autant de personnes que possible.
C'était parce que je voulais observer ma vie objectivement, depuis le monde extérieur, découvrir un nouveau monde et réfléchir profondément à la direction que je devais donner à ma vie.
Découvrir de nouveaux paysages et des mets exotiques est l'un des grands plaisirs du voyage.
En général, les gens voyagent à l'étranger pour échapper au train-train quotidien, pour se reposer et se ressourcer, et pour ressentir un sentiment de liberté.
Cependant, un voyage entrepris dans le but de réfléchir sur soi-même et d'acquérir de nouvelles perspectives sur la vie est plus sérieux et plus significatif.
Se réaliser soi-même, devenir une nouvelle personne et revivre.
Ce que l'auteur a véritablement retiré de ses voyages allait bien au-delà de la simple découverte de nouvelles choses.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 15 mai 2025
- Nombre de pages, poids, dimensions : 296 pages | 140 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9791158492724
- ISBN10 : 1158492723
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