
La vie est devenue amusante après mes cinquante ans.
Description
Introduction au livre
J'ai commencé mon voyage de découverte de soi à l'âge de cinquante ans et je vis maintenant pleinement mes soixante-dix ans !
Ces dernières années ont été marquées par une période de transition, passée à vivre fidèlement mes rôles de belle-fille, d'épouse, de mère et à accomplir la tâche qui m'a été confiée.
Après avoir pris la résolution de profiter de la vie à l'âge de 50 ans, il se redécouvre à travers les voyages et trouve la valeur de la vie et du quotidien dans son livre, « La vie devient intéressante après 50 ans ».
Un voyage dans un lieu inconnu offre une parenthèse dans la routine répétitive du quotidien et constitue un moment exceptionnel.
Le chemin qui a commencé dans ma cinquantaine est devenu la plus grande source de joie et de bonheur qui m'a apporté de la joie dans ma soixante-dixième année.
Une vie heureuse est une vie remplie de bons souvenirs qui resteront gravés dans les mémoires même longtemps après !
« Je veux dire aux jeunes qui travaillent dur aujourd’hui, et à ceux qui vieillissent avec moi, de se préparer à ce qu’ils veulent faire et à ce qui leur donnera force et motivation dans leur vie. »
Ces dernières années ont été marquées par une période de transition, passée à vivre fidèlement mes rôles de belle-fille, d'épouse, de mère et à accomplir la tâche qui m'a été confiée.
Après avoir pris la résolution de profiter de la vie à l'âge de 50 ans, il se redécouvre à travers les voyages et trouve la valeur de la vie et du quotidien dans son livre, « La vie devient intéressante après 50 ans ».
Un voyage dans un lieu inconnu offre une parenthèse dans la routine répétitive du quotidien et constitue un moment exceptionnel.
Le chemin qui a commencé dans ma cinquantaine est devenu la plus grande source de joie et de bonheur qui m'a apporté de la joie dans ma soixante-dixième année.
Une vie heureuse est une vie remplie de bons souvenirs qui resteront gravés dans les mémoires même longtemps après !
« Je veux dire aux jeunes qui travaillent dur aujourd’hui, et à ceux qui vieillissent avec moi, de se préparer à ce qu’ils veulent faire et à ce qui leur donnera force et motivation dans leur vie. »
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Articles recommandés
prologue
Partie 1 : Un lieu débordant d'effervescence et d'intérêt intellectuels
Chapitre 1 : Apprécier la culture _ Angleterre et Écosse
L'Angleterre, où les histoires prennent vie | Le British Museum | La Tate Modern, Damien Hirst | Les Cotswolds, Stonehenge et autres charmantes villes près de Londres | Édimbourg, Écosse | Le Royal Mile | William Wallace, héros de l'indépendance écossaise
Chapitre 2 : Un lieu empli de chagrin et de tristesse – La Pologne
Là où repose le cœur de Chopin | Tourisme noir : Le massacre de la forêt de Katyn
Chapitre 3 : Un amour durable pour les écrivains – Édition britannique
400e anniversaire de la mort de Shakespeare
Chapitre 4 · L'aspiration à la liberté _ Cuba
Viva Cuba Libre | Le pays qu'Hemingway aimait | Artistes cubains | Le rêve de la jeunesse du monde, Che Guevara | Tout sur Cuba, Trinité-et-Tobago
Chapitre 5 : À la recherche de la littérature de classe mondiale - Russie
La ville de Dostoïevski, Saint-Pétersbourg | Le retour du fils prodigue à l'Ermitage
Chapitre 6 : L’énergie colossale qui circule dans les lieux bondés – Italie
Un dîner présenté par Milan | Arènes de Vérone
Chapitre 7 : Une vie de guérison par la vie et l’art _ Espagne
Picasso à Málaga | Valence | Guggenheim à Bilbao
Partie 2 : Témoignage du vaste monde inconnu
Chapitre 1 : Un pays mystérieux et onirique - La Turquie
Istanbul, ville de rêve et berceau des « Mille et Une Nuits » | La Cappadoce, terre de chevaux d'exception | La marche, remède à tout | Éphèse, où plane encore le parfum de l'apôtre Paul
Chapitre 2 : Bons souvenirs : la force de survivre au quotidien – Espagne
Madrid, vibrante d'esprit libre | Tolède, la ville chérie du Greco | Séville, berceau de la civilisation espagnole | Grenade, souvenirs de l'Alhambra
Chapitre 3 : Les mélodies tristes et émouvantes de la rivière Moldau - Édition tchèque
Prague ne me laissera pas partir | Printemps de Prague | Egon Schiele à Český Krumlov
Chapitre 4 : Le pays des dieux – la Grèce
Danser en Grèce | Nikos Kazantzakis | Le Classique Parfait : Athènes | Le Voyage de Paul | Corinthe | Santorin, une étoile parsemée sur la Méditerranée
Chapitre 5 : Là où les histoires médiévales s'entremêlent – Slovénie et Croatie
Ljubljana, la ville de l'amour | Flâner dans Zagreb, la capitale de la Croatie | Le parc national des lacs de Plitvice | Split, la ville rêvée par Dioclétien | Torgir, une ville imprégnée de légendes médiévales | Dubrovnik, pour découvrir le paradis
Chapitre 6 : 5 000 ans de mystère – L’Égypte
Assouan, la perle du Nil | Louxor, la magnifique capitale antique | Une journée passée dans le désert où attendait le renard du « Petit Prince » | Contemplez le mystère de 5 000 ans d’Égypte | Le Vieux Caire, berceau du Caire copte
Partie 3 : Un voyage vers une vie plus riche grâce au repos et à la détente
Chapitre 1 : Vivre une vie condensée _ France
Voyager avec une fille | Rodin au musée d'Orsay | Deux femmes courant sur la plage au musée Picasso | Intérieur et extérieur : le Centre Pompidou | L'Opéra Bastille | Peindre des portraits à Montmartre | L'Arc de Triomphe de Remarque | Le château antique du Mont-Saint-Michel
Chapitre 2 : Le pays aux plus belles gares du monde – le Portugal
Le son du bleu, Portugal | En route pour Lisbonne | Monastère des Hiéronymites | Conserveries de sardines, villas romantiques et le bout de l'Europe | Cap Roca, promontoire rocheux | Porto, magnifique port
Chapitre 3 : La ville elle-même comme chef-d'œuvre - Italie et Autriche
Venise, Florence, Vienne | Venise, ville vibrante d'émotions | Florence, l'aube de la Renaissance | Un délicieux repas à Trévise | Vienne, ville de musique cultivée par les Habsbourg
Chapitre 4 : Un voyage de repos et de paix _ Australie
La fin de la COVID : Voyager en Australie | Sydney, ville portuaire | Le zoo de Taronga, qui abrite des animaux du monde entier | Les Montagnes Bleues, où passent les légendes aborigènes | Se perdre dans les ruelles de Melbourne, c’est permis | Adélaïde
Chapitre 5 : Le testament le plus triste jamais écrit par un homme – Les Pays-Bas
Pèlerinage au Musée d'Amsterdam | Musée Van Gogh | Musée Mauritshuis, La Haye | Porcelaine de Delft | Maison d'Anne Frank
Chapitre 6 : Dans une charmante petite ville de Provence, en France
Histoires de Provence | Nice et ses environs | Chagall à Nice | Avignon, berceau du vin du Pape | Arles, la ville de Van Gogh | Le Luberon, terre de moments inoubliables | Aix-en-Provence, l'atelier de Cézanne
prologue
Partie 1 : Un lieu débordant d'effervescence et d'intérêt intellectuels
Chapitre 1 : Apprécier la culture _ Angleterre et Écosse
L'Angleterre, où les histoires prennent vie | Le British Museum | La Tate Modern, Damien Hirst | Les Cotswolds, Stonehenge et autres charmantes villes près de Londres | Édimbourg, Écosse | Le Royal Mile | William Wallace, héros de l'indépendance écossaise
Chapitre 2 : Un lieu empli de chagrin et de tristesse – La Pologne
Là où repose le cœur de Chopin | Tourisme noir : Le massacre de la forêt de Katyn
Chapitre 3 : Un amour durable pour les écrivains – Édition britannique
400e anniversaire de la mort de Shakespeare
Chapitre 4 · L'aspiration à la liberté _ Cuba
Viva Cuba Libre | Le pays qu'Hemingway aimait | Artistes cubains | Le rêve de la jeunesse du monde, Che Guevara | Tout sur Cuba, Trinité-et-Tobago
Chapitre 5 : À la recherche de la littérature de classe mondiale - Russie
La ville de Dostoïevski, Saint-Pétersbourg | Le retour du fils prodigue à l'Ermitage
Chapitre 6 : L’énergie colossale qui circule dans les lieux bondés – Italie
Un dîner présenté par Milan | Arènes de Vérone
Chapitre 7 : Une vie de guérison par la vie et l’art _ Espagne
Picasso à Málaga | Valence | Guggenheim à Bilbao
Partie 2 : Témoignage du vaste monde inconnu
Chapitre 1 : Un pays mystérieux et onirique - La Turquie
Istanbul, ville de rêve et berceau des « Mille et Une Nuits » | La Cappadoce, terre de chevaux d'exception | La marche, remède à tout | Éphèse, où plane encore le parfum de l'apôtre Paul
Chapitre 2 : Bons souvenirs : la force de survivre au quotidien – Espagne
Madrid, vibrante d'esprit libre | Tolède, la ville chérie du Greco | Séville, berceau de la civilisation espagnole | Grenade, souvenirs de l'Alhambra
Chapitre 3 : Les mélodies tristes et émouvantes de la rivière Moldau - Édition tchèque
Prague ne me laissera pas partir | Printemps de Prague | Egon Schiele à Český Krumlov
Chapitre 4 : Le pays des dieux – la Grèce
Danser en Grèce | Nikos Kazantzakis | Le Classique Parfait : Athènes | Le Voyage de Paul | Corinthe | Santorin, une étoile parsemée sur la Méditerranée
Chapitre 5 : Là où les histoires médiévales s'entremêlent – Slovénie et Croatie
Ljubljana, la ville de l'amour | Flâner dans Zagreb, la capitale de la Croatie | Le parc national des lacs de Plitvice | Split, la ville rêvée par Dioclétien | Torgir, une ville imprégnée de légendes médiévales | Dubrovnik, pour découvrir le paradis
Chapitre 6 : 5 000 ans de mystère – L’Égypte
Assouan, la perle du Nil | Louxor, la magnifique capitale antique | Une journée passée dans le désert où attendait le renard du « Petit Prince » | Contemplez le mystère de 5 000 ans d’Égypte | Le Vieux Caire, berceau du Caire copte
Partie 3 : Un voyage vers une vie plus riche grâce au repos et à la détente
Chapitre 1 : Vivre une vie condensée _ France
Voyager avec une fille | Rodin au musée d'Orsay | Deux femmes courant sur la plage au musée Picasso | Intérieur et extérieur : le Centre Pompidou | L'Opéra Bastille | Peindre des portraits à Montmartre | L'Arc de Triomphe de Remarque | Le château antique du Mont-Saint-Michel
Chapitre 2 : Le pays aux plus belles gares du monde – le Portugal
Le son du bleu, Portugal | En route pour Lisbonne | Monastère des Hiéronymites | Conserveries de sardines, villas romantiques et le bout de l'Europe | Cap Roca, promontoire rocheux | Porto, magnifique port
Chapitre 3 : La ville elle-même comme chef-d'œuvre - Italie et Autriche
Venise, Florence, Vienne | Venise, ville vibrante d'émotions | Florence, l'aube de la Renaissance | Un délicieux repas à Trévise | Vienne, ville de musique cultivée par les Habsbourg
Chapitre 4 : Un voyage de repos et de paix _ Australie
La fin de la COVID : Voyager en Australie | Sydney, ville portuaire | Le zoo de Taronga, qui abrite des animaux du monde entier | Les Montagnes Bleues, où passent les légendes aborigènes | Se perdre dans les ruelles de Melbourne, c’est permis | Adélaïde
Chapitre 5 : Le testament le plus triste jamais écrit par un homme – Les Pays-Bas
Pèlerinage au Musée d'Amsterdam | Musée Van Gogh | Musée Mauritshuis, La Haye | Porcelaine de Delft | Maison d'Anne Frank
Chapitre 6 : Dans une charmante petite ville de Provence, en France
Histoires de Provence | Nice et ses environs | Chagall à Nice | Avignon, berceau du vin du Pape | Arles, la ville de Van Gogh | Le Luberon, terre de moments inoubliables | Aix-en-Provence, l'atelier de Cézanne
Image détaillée

Dans le livre
Contrairement à moi, ma mère était une personne qui a vu la lumière.
Si la mémoire est un objet, alors lorsqu'on l'éclaire, une ombre apparaît forcément, mais ma mère était du genre à fixer son regard sur la lumière.
Maman, il y a une ombre ici.
Pourquoi ignores-tu l'ombre ?
Ce qui nous tourmentait était là, flagrant, comme des ombres, mais maman fixait son regard sur la lumière, et non sur les ombres.
Quand on regarde la lumière pendant longtemps, on a l'impression que tous les maux et les souffrances vont disparaître.
J'étais curieuse en observant les autres mères.
D’où vient le regard d’une mère qui contemple la lumière ?
Je crois avoir trouvé la réponse en regardant le récit de voyage de ma mère.
En lisant le récit de la joie d'avoir pleinement profité du temps qui m'était imparti et de la façon dont j'étais absorbée par les paysages offerts par les voyages, j'ai ressenti combien ma mère aimait la vie.
Un article qui relate la passion indéfectible de vouloir voir de ses propres yeux ne serait-ce qu'une chose de plus, même si l'on a mal aux pieds et que le corps est épuisé, et l'émotion persistante après avoir été témoin de la beauté.
Ce récit de voyage était l'expression d'un désir ardent d'une vie inconnue, et une expérience qui a transformé mes espoirs en réalité.
La lumière d'une mère provient de son amour pour la vie.
C'est le témoignage d'un amour qui n'aurait pas été possible sans l'amour de la vie.
---Extrait de la section « Articles recommandés »
Une citation me vient à l'esprit : « Quel est le meilleur moyen de capturer et de s'approprier la beauté que nous voyons lors de nos voyages ? En la filmant. »
J'ai appris qu'enregistrer quelque chose, c'est tisser le temps.
J'ai sélectionné les destinations de voyage les plus mémorables parmi les 20 années de voyages effectués depuis que j'ai reçu un colis de mon père en 2005, et j'ai compilé ces récits de voyage épars dans un livre.
Les histoires créent du lien et connectent les gens.
Un voyage dans un lieu inconnu offre une parenthèse dans la routine répétitive du quotidien et constitue un moment exceptionnel.
Voyager nous offre une nouvelle perspective sur notre vie quotidienne et nous permet d'appréhender les problèmes du quotidien sous un angle nouveau.
Voyager donne de la force à la vie quotidienne en rendant plus précieuse la vie quotidienne à laquelle nous revenons.
---Extrait du « Prologue »
Le tourisme noir désigne les voyages vers des lieux marqués par un passé sombre, tels que les guerres et les massacres, ou vers des sites sinistrés.
Après Cracovie, nous avons visité Oświęcim, qui se trouve à environ 54 kilomètres.
Il est plus connu sous son nom allemand, Auschwitz.
Auschwitz.
Les lieux de tragédie, tels que [Killing Fields] et [Ground Zero], sont des ressources porteuses d'histoires et des sites éducatifs vivants.
Le passage des gens et leur sympathie contribuent à créer une destination touristique.
Je suis ici même, à Auschwitz.
On estime qu'environ 2 millions de Juifs y ont été massacrés, et que le site original a été préservé car l'armée allemande, qui s'était retirée précipitamment face à l'avancée de l'armée soviétique, n'a pas pu le détruire à temps.
À l'origine, il y avait ici un camp de prisonniers politiques, mais il semblerait que les nazis l'aient reconstruit à grande échelle pendant la Seconde Guerre mondiale pour massacrer des Juifs, des prisonniers politiques soviétiques et des Roms.
Les ruines d'Auschwitz ont été transformées en musée et sont désormais ouvertes au public.
La porte principale du camp porte l'inscription allemande « Arbeit macht frei », qui signifie « Le travail rend libre ».
Je ne pouvais cacher ma tristesse en passant devant la porte ornée de cette enseigne trompeuse.
Ah ! Quels sentiments éprouvaient les détenus en franchissant cette porte ?
--- pp.44∼45
Saint-Pétersbourg m'a fait une forte impression, conforme aux rêves que j'avais enfant.
Comme le dit l'adage, Saint-Pétersbourg est un espace symbolique qui condense chronologiquement le patrimoine spirituel et culturel de haut niveau de la Russie, et la ville elle-même est un immense musée.
La ville de Saint-Pierre, Saint-Pétersbourg, fondée par Pierre le Grand en 1703, est considérée comme un « chef-d'œuvre de la vie spirituelle russe ».
Construite sur un marais aride à l'embouchure de la mer Baltique, cette ville planifiée est un hybride entre « l'âme russe orthodoxe et la modernité européenne ».
La ville entière de Saint-Pétersbourg est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, et on dit qu'il y a plus de 500 ponts qui enjambent la rivière Neva.
Un canal serpente lentement entre de pittoresques bâtiments bas construits aux XVIIIe et XIXe siècles, surplombant la rivière.
À Saint-Pétersbourg, j'ai davantage entendu parler de Pouchkine que de Dostoïevski, et j'ai appris qu'il était un écrivain aimé de tous les Russes.
Pour moi, c'était un écrivain dont je me souviens surtout du nom depuis mon enfance, un poème que j'ai mémorisé avec beaucoup d'efforts : « Même si la vie te trompe, ne sois ni triste ni en colère. »
--- pp.72∼73
Une chose incontournable en Espagne, c'est la gastronomie.
Vous ne pouvez pas vous priver du plaisir de déguster de délicieux plats en voyage.
Région côtière, l'Andalousie est réputée pour ses plats de fruits de mer, notamment les crevettes et le poulpe.
En Espagne, chaque région possède son propre plat représentatif.
Au restaurant « El Huerto de Juan Llanas », où vous pourrez savourer un dîner romantique avec vue sur l'Alhambra, vous découvrirez véritablement la saveur si particulière de l'Andalousie, fruit du climat chaud et sec unique de l'Espagne.
Le poulpe grillé à la sauce à l'ail que j'ai dégusté au restaurant du Parador de Granada, avec vue sur le Generalife, était tout simplement fantastique.
Le gaspacho, une soupe froide de Cordoue, et la paella, un plat espagnol de riz frit, sont facilement disponibles partout.
Déguster des tapas composées d'ingrédients variés, accompagnées de sangria, un cocktail espagnol, est l'un des souvenirs inoubliables d'un voyage à Grenade.
Dîner dans un restaurant exceptionnel à deux pas de la maison d'El Greco à Tolède, ou savourer un délicieux repas et bavarder jusqu'à tard dans la nuit dans un restaurant de Séville, qui compte le plus grand nombre de restaurants d'Andalousie, sont des plaisirs que seul le voyage peut offrir.
L'histoire de l'Espagne est sans fin.
--- pp.143∼144
J'étais un peu excité car j'avais entendu dire qu'un petit renard, comme celui du Petit Prince, apparaissait de temps en temps, frappait à la tente et demandait à manger.
C’est peut-être à cause de cette attente que j’ai décidé de passer la nuit dans le désert, même si c’était inconfortable.
J'ai attendu toute la nuit dans la tente inconfortable que le petit renard du Petit Prince descende, mais je ne l'ai jamais vu.
Quand j'étais au collège, j'ai lu « Le Petit Prince » de Saint-Exupéry et j'ai été très touché par l'échange entre le prince et le renard dans le désert.
Après avoir lu Le Petit Prince, le sens du mot « apprivoiser » m’est apparu différemment.
L'explication de l'amitié par le renard dans Le Petit Prince, une courte phrase pleine de sagesse, reste gravée dans ma mémoire.
Avez-vous déjà vu des étoiles dans le désert ? Leur beauté est véritablement époustouflante.
Je me souviens, quand j'étais petite, de m'être allongée sur le toit avec ma mère les soirs d'été à regarder les étoiles.
C'était une étoile qui semblait sur le point de se déverser en pluie.
Il me semblait que c'était la première fois depuis lors que je revoyais autant d'étoiles.
Le temps passé à contempler les innombrables étoiles qui constellaient le ciel du désert de Bahariyah avait un côté mystique, comme si l'on n'était pas de ce monde.
Je me souviens avoir frissonné d'émotion en repensant à ce dicton : « Les personnes les plus riches de ce monde ne sont ni les marchands ni les propriétaires terriens, mais celles qui ont éprouvé un puissant sentiment d'émerveillement sous les étoiles la nuit. »
--- p.214
Une petite maison qui préserve le testament de Beethoven.
Je me suis assis un instant sur la chaise devant le piano où Beethoven avait l'habitude de jouer.
Je me suis dit une fois de plus qu'il ne serait pas exagéré de dire que c'était la perte auditive qui lui avait causé un tel malheur que nous pouvions entendre une musique profonde que nous n'avions jamais pu entendre avant ni même après Beethoven.
Car les grands génies sacrifient toujours leur confort personnel et souffrent dans l'abîme de la souffrance, pour éclairer l'humanité.
Je suis parti de là et j'ai longé la promenade Beethoven jusqu'à l'endroit où se trouve sa petite statue.
On raconte que c'est en marchant le long de cette route qu'il a trouvé le motif de sa 6e symphonie, « Pastorale ».
Bien qu'il ne pût même pas entendre les cloches de l'église Saint-Michel toute proche, son esprit était à l'écoute du chant des oiseaux et du murmure du ruisseau.
À mon retour de voyage, j'ai eu du mal à dormir pendant plusieurs jours, rêvant de parcourir les ruelles d'Europe à la recherche de quelque chose.
Voyager avec les bagages était épuisant, et mes orteils étaient enflés à force de visiter tant de musées que je ne dormais pas bien la nuit, mais à mon retour, ce fut un moment de repos et de liberté presque idyllique.
Si la mémoire est un objet, alors lorsqu'on l'éclaire, une ombre apparaît forcément, mais ma mère était du genre à fixer son regard sur la lumière.
Maman, il y a une ombre ici.
Pourquoi ignores-tu l'ombre ?
Ce qui nous tourmentait était là, flagrant, comme des ombres, mais maman fixait son regard sur la lumière, et non sur les ombres.
Quand on regarde la lumière pendant longtemps, on a l'impression que tous les maux et les souffrances vont disparaître.
J'étais curieuse en observant les autres mères.
D’où vient le regard d’une mère qui contemple la lumière ?
Je crois avoir trouvé la réponse en regardant le récit de voyage de ma mère.
En lisant le récit de la joie d'avoir pleinement profité du temps qui m'était imparti et de la façon dont j'étais absorbée par les paysages offerts par les voyages, j'ai ressenti combien ma mère aimait la vie.
Un article qui relate la passion indéfectible de vouloir voir de ses propres yeux ne serait-ce qu'une chose de plus, même si l'on a mal aux pieds et que le corps est épuisé, et l'émotion persistante après avoir été témoin de la beauté.
Ce récit de voyage était l'expression d'un désir ardent d'une vie inconnue, et une expérience qui a transformé mes espoirs en réalité.
La lumière d'une mère provient de son amour pour la vie.
C'est le témoignage d'un amour qui n'aurait pas été possible sans l'amour de la vie.
---Extrait de la section « Articles recommandés »
Une citation me vient à l'esprit : « Quel est le meilleur moyen de capturer et de s'approprier la beauté que nous voyons lors de nos voyages ? En la filmant. »
J'ai appris qu'enregistrer quelque chose, c'est tisser le temps.
J'ai sélectionné les destinations de voyage les plus mémorables parmi les 20 années de voyages effectués depuis que j'ai reçu un colis de mon père en 2005, et j'ai compilé ces récits de voyage épars dans un livre.
Les histoires créent du lien et connectent les gens.
Un voyage dans un lieu inconnu offre une parenthèse dans la routine répétitive du quotidien et constitue un moment exceptionnel.
Voyager nous offre une nouvelle perspective sur notre vie quotidienne et nous permet d'appréhender les problèmes du quotidien sous un angle nouveau.
Voyager donne de la force à la vie quotidienne en rendant plus précieuse la vie quotidienne à laquelle nous revenons.
---Extrait du « Prologue »
Le tourisme noir désigne les voyages vers des lieux marqués par un passé sombre, tels que les guerres et les massacres, ou vers des sites sinistrés.
Après Cracovie, nous avons visité Oświęcim, qui se trouve à environ 54 kilomètres.
Il est plus connu sous son nom allemand, Auschwitz.
Auschwitz.
Les lieux de tragédie, tels que [Killing Fields] et [Ground Zero], sont des ressources porteuses d'histoires et des sites éducatifs vivants.
Le passage des gens et leur sympathie contribuent à créer une destination touristique.
Je suis ici même, à Auschwitz.
On estime qu'environ 2 millions de Juifs y ont été massacrés, et que le site original a été préservé car l'armée allemande, qui s'était retirée précipitamment face à l'avancée de l'armée soviétique, n'a pas pu le détruire à temps.
À l'origine, il y avait ici un camp de prisonniers politiques, mais il semblerait que les nazis l'aient reconstruit à grande échelle pendant la Seconde Guerre mondiale pour massacrer des Juifs, des prisonniers politiques soviétiques et des Roms.
Les ruines d'Auschwitz ont été transformées en musée et sont désormais ouvertes au public.
La porte principale du camp porte l'inscription allemande « Arbeit macht frei », qui signifie « Le travail rend libre ».
Je ne pouvais cacher ma tristesse en passant devant la porte ornée de cette enseigne trompeuse.
Ah ! Quels sentiments éprouvaient les détenus en franchissant cette porte ?
--- pp.44∼45
Saint-Pétersbourg m'a fait une forte impression, conforme aux rêves que j'avais enfant.
Comme le dit l'adage, Saint-Pétersbourg est un espace symbolique qui condense chronologiquement le patrimoine spirituel et culturel de haut niveau de la Russie, et la ville elle-même est un immense musée.
La ville de Saint-Pierre, Saint-Pétersbourg, fondée par Pierre le Grand en 1703, est considérée comme un « chef-d'œuvre de la vie spirituelle russe ».
Construite sur un marais aride à l'embouchure de la mer Baltique, cette ville planifiée est un hybride entre « l'âme russe orthodoxe et la modernité européenne ».
La ville entière de Saint-Pétersbourg est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, et on dit qu'il y a plus de 500 ponts qui enjambent la rivière Neva.
Un canal serpente lentement entre de pittoresques bâtiments bas construits aux XVIIIe et XIXe siècles, surplombant la rivière.
À Saint-Pétersbourg, j'ai davantage entendu parler de Pouchkine que de Dostoïevski, et j'ai appris qu'il était un écrivain aimé de tous les Russes.
Pour moi, c'était un écrivain dont je me souviens surtout du nom depuis mon enfance, un poème que j'ai mémorisé avec beaucoup d'efforts : « Même si la vie te trompe, ne sois ni triste ni en colère. »
--- pp.72∼73
Une chose incontournable en Espagne, c'est la gastronomie.
Vous ne pouvez pas vous priver du plaisir de déguster de délicieux plats en voyage.
Région côtière, l'Andalousie est réputée pour ses plats de fruits de mer, notamment les crevettes et le poulpe.
En Espagne, chaque région possède son propre plat représentatif.
Au restaurant « El Huerto de Juan Llanas », où vous pourrez savourer un dîner romantique avec vue sur l'Alhambra, vous découvrirez véritablement la saveur si particulière de l'Andalousie, fruit du climat chaud et sec unique de l'Espagne.
Le poulpe grillé à la sauce à l'ail que j'ai dégusté au restaurant du Parador de Granada, avec vue sur le Generalife, était tout simplement fantastique.
Le gaspacho, une soupe froide de Cordoue, et la paella, un plat espagnol de riz frit, sont facilement disponibles partout.
Déguster des tapas composées d'ingrédients variés, accompagnées de sangria, un cocktail espagnol, est l'un des souvenirs inoubliables d'un voyage à Grenade.
Dîner dans un restaurant exceptionnel à deux pas de la maison d'El Greco à Tolède, ou savourer un délicieux repas et bavarder jusqu'à tard dans la nuit dans un restaurant de Séville, qui compte le plus grand nombre de restaurants d'Andalousie, sont des plaisirs que seul le voyage peut offrir.
L'histoire de l'Espagne est sans fin.
--- pp.143∼144
J'étais un peu excité car j'avais entendu dire qu'un petit renard, comme celui du Petit Prince, apparaissait de temps en temps, frappait à la tente et demandait à manger.
C’est peut-être à cause de cette attente que j’ai décidé de passer la nuit dans le désert, même si c’était inconfortable.
J'ai attendu toute la nuit dans la tente inconfortable que le petit renard du Petit Prince descende, mais je ne l'ai jamais vu.
Quand j'étais au collège, j'ai lu « Le Petit Prince » de Saint-Exupéry et j'ai été très touché par l'échange entre le prince et le renard dans le désert.
Après avoir lu Le Petit Prince, le sens du mot « apprivoiser » m’est apparu différemment.
L'explication de l'amitié par le renard dans Le Petit Prince, une courte phrase pleine de sagesse, reste gravée dans ma mémoire.
Avez-vous déjà vu des étoiles dans le désert ? Leur beauté est véritablement époustouflante.
Je me souviens, quand j'étais petite, de m'être allongée sur le toit avec ma mère les soirs d'été à regarder les étoiles.
C'était une étoile qui semblait sur le point de se déverser en pluie.
Il me semblait que c'était la première fois depuis lors que je revoyais autant d'étoiles.
Le temps passé à contempler les innombrables étoiles qui constellaient le ciel du désert de Bahariyah avait un côté mystique, comme si l'on n'était pas de ce monde.
Je me souviens avoir frissonné d'émotion en repensant à ce dicton : « Les personnes les plus riches de ce monde ne sont ni les marchands ni les propriétaires terriens, mais celles qui ont éprouvé un puissant sentiment d'émerveillement sous les étoiles la nuit. »
--- p.214
Une petite maison qui préserve le testament de Beethoven.
Je me suis assis un instant sur la chaise devant le piano où Beethoven avait l'habitude de jouer.
Je me suis dit une fois de plus qu'il ne serait pas exagéré de dire que c'était la perte auditive qui lui avait causé un tel malheur que nous pouvions entendre une musique profonde que nous n'avions jamais pu entendre avant ni même après Beethoven.
Car les grands génies sacrifient toujours leur confort personnel et souffrent dans l'abîme de la souffrance, pour éclairer l'humanité.
Je suis parti de là et j'ai longé la promenade Beethoven jusqu'à l'endroit où se trouve sa petite statue.
On raconte que c'est en marchant le long de cette route qu'il a trouvé le motif de sa 6e symphonie, « Pastorale ».
Bien qu'il ne pût même pas entendre les cloches de l'église Saint-Michel toute proche, son esprit était à l'écoute du chant des oiseaux et du murmure du ruisseau.
À mon retour de voyage, j'ai eu du mal à dormir pendant plusieurs jours, rêvant de parcourir les ruelles d'Europe à la recherche de quelque chose.
Voyager avec les bagages était épuisant, et mes orteils étaient enflés à force de visiter tant de musées que je ne dormais pas bien la nuit, mais à mon retour, ce fut un moment de repos et de liberté presque idyllique.
--- p.286
Avis de l'éditeur
L'âge de cinquante ans, qui marque un tournant dans la vie
Lorsque l'écrivain a eu cinquante ans, il a reçu un colis de son père.
Ce sont l'Ancien et le Nouveau Testament que mon père avait personnellement recopiés.
Mon père a imprimé la Bible qu'il avait copiée et l'a envoyée chez ses enfants, accompagnée de photos et de documents commémoratifs.
Il s'agissait ni plus ni moins que de l'histoire de la vie de mon père, qui a duré plus de 80 ans.
J'ai mené une vie trépidante, me concentrant sur mon mari, mes enfants et le travail qui m'était confié plutôt que de vivre pleinement ma vie, et avant même de m'en rendre compte, j'avais la cinquantaine.
À l'aube de mes cinquante ans, je m'engage à vivre la seconde moitié de ma vie entièrement pour moi-même, et pour personne d'autre.
Chacun possède des motivations internes qui lui donnent force et dynamisme dans sa vie.
Quel que soit son âge, il existe aussi un désir de se redécouvrir et de s'épanouir.
Cinquante ans est un bon âge pour réfléchir sur soi-même et marquer un tournant dans la pratique de ce que l'on aime.
Pour cet écrivain, qui a maintenant plus de soixante-dix ans et vit la seconde moitié de sa vie, ce qui le rend le plus heureux, ce sont les voyages et l'écriture.
Je souhaite donc combiner les deux pour parfaire le fruit de la vie.
Voyager, c'est s'évader du quotidien, vivre une vie différente et se redécouvrir.
On dit que la clé du bonheur réside dans le fait d'éprouver fréquemment des émotions positives, de la joie et du plaisir.
Voyager procure joie et plaisir, donc pour l'écrivain, voyager est le bonheur même.
Premier essai d'un « voyageur de soixante-dix ans » qui se redécouvre et vit une vie d'épanouissement !
Après avoir eu 50 ans, j'ai commencé à avoir plus de temps pour moi et j'ai commencé à planifier et à voyager activement.
En réalité, l'excitation et les préparatifs avant un voyage peuvent procurer un plus grand bonheur que le voyage lui-même.
Le plaisir que je prends à imaginer et à m'enthousiasmer en consultant des documents et des livres sur le thème du voyage me procure un plus grand bonheur mental et émotionnel.
Je prépare les lieux à visiter lors de mon voyage en me remémorant les arts tels que la littérature, la peinture et la musique que j'ai appris et lus depuis mon enfance.
Le fait d'avoir soixante-dix ans m'a permis de voyager dans davantage d'endroits, rendant la vie plus amusante et plus épanouissante.
À soixante-dix ans, j'ai compris, grâce à mes voyages, que la réponse à la vie n'était pas d'avoir plus de temps, mais plutôt de ralentir un peu et de simplifier sa vie autour de ce qui compte le plus.
Bien sûr, pour faire tout cela à soixante-dix ans, il faut du temps, de l'argent et surtout, une bonne santé.
Aux jeunes et à ceux qui vieillissent, qui vivent aujourd'hui avec plus d'ardeur que quiconque, je tiens à souligner que même en menant une vie difficile, ils doivent se préparer à ce qu'ils veulent faire et à ce qui leur donnera force et motivation dans leur vie.
Cela montre que si vous vous préparez bien pour la seconde moitié de votre vie, vous pouvez vivre une seconde moitié de vie beaucoup plus heureuse et agréable que la première.
« La vie est devenue amusante après mes 50 ans » est le premier essai d'un auteur de 70 ans.
On dit qu'il n'est jamais trop tard pour commencer quelque chose.
L'auteur de ce livre le démontre précisément.
Cela fait près de vingt ans que j'ai décidé de vivre ma vie pleinement à l'âge de cinquante ans, et ce rêve s'est enfin réalisé. Après avoir franchi ce cap, je suis peu à peu devenue une adulte qui sait apprécier la vie et ressentir le bonheur, et même à soixante-dix ans, je poursuis une vie d'épanouissement et de découverte de soi.
On le ressent pleinement à travers ce livre.
Lorsque l'écrivain a eu cinquante ans, il a reçu un colis de son père.
Ce sont l'Ancien et le Nouveau Testament que mon père avait personnellement recopiés.
Mon père a imprimé la Bible qu'il avait copiée et l'a envoyée chez ses enfants, accompagnée de photos et de documents commémoratifs.
Il s'agissait ni plus ni moins que de l'histoire de la vie de mon père, qui a duré plus de 80 ans.
J'ai mené une vie trépidante, me concentrant sur mon mari, mes enfants et le travail qui m'était confié plutôt que de vivre pleinement ma vie, et avant même de m'en rendre compte, j'avais la cinquantaine.
À l'aube de mes cinquante ans, je m'engage à vivre la seconde moitié de ma vie entièrement pour moi-même, et pour personne d'autre.
Chacun possède des motivations internes qui lui donnent force et dynamisme dans sa vie.
Quel que soit son âge, il existe aussi un désir de se redécouvrir et de s'épanouir.
Cinquante ans est un bon âge pour réfléchir sur soi-même et marquer un tournant dans la pratique de ce que l'on aime.
Pour cet écrivain, qui a maintenant plus de soixante-dix ans et vit la seconde moitié de sa vie, ce qui le rend le plus heureux, ce sont les voyages et l'écriture.
Je souhaite donc combiner les deux pour parfaire le fruit de la vie.
Voyager, c'est s'évader du quotidien, vivre une vie différente et se redécouvrir.
On dit que la clé du bonheur réside dans le fait d'éprouver fréquemment des émotions positives, de la joie et du plaisir.
Voyager procure joie et plaisir, donc pour l'écrivain, voyager est le bonheur même.
Premier essai d'un « voyageur de soixante-dix ans » qui se redécouvre et vit une vie d'épanouissement !
Après avoir eu 50 ans, j'ai commencé à avoir plus de temps pour moi et j'ai commencé à planifier et à voyager activement.
En réalité, l'excitation et les préparatifs avant un voyage peuvent procurer un plus grand bonheur que le voyage lui-même.
Le plaisir que je prends à imaginer et à m'enthousiasmer en consultant des documents et des livres sur le thème du voyage me procure un plus grand bonheur mental et émotionnel.
Je prépare les lieux à visiter lors de mon voyage en me remémorant les arts tels que la littérature, la peinture et la musique que j'ai appris et lus depuis mon enfance.
Le fait d'avoir soixante-dix ans m'a permis de voyager dans davantage d'endroits, rendant la vie plus amusante et plus épanouissante.
À soixante-dix ans, j'ai compris, grâce à mes voyages, que la réponse à la vie n'était pas d'avoir plus de temps, mais plutôt de ralentir un peu et de simplifier sa vie autour de ce qui compte le plus.
Bien sûr, pour faire tout cela à soixante-dix ans, il faut du temps, de l'argent et surtout, une bonne santé.
Aux jeunes et à ceux qui vieillissent, qui vivent aujourd'hui avec plus d'ardeur que quiconque, je tiens à souligner que même en menant une vie difficile, ils doivent se préparer à ce qu'ils veulent faire et à ce qui leur donnera force et motivation dans leur vie.
Cela montre que si vous vous préparez bien pour la seconde moitié de votre vie, vous pouvez vivre une seconde moitié de vie beaucoup plus heureuse et agréable que la première.
« La vie est devenue amusante après mes 50 ans » est le premier essai d'un auteur de 70 ans.
On dit qu'il n'est jamais trop tard pour commencer quelque chose.
L'auteur de ce livre le démontre précisément.
Cela fait près de vingt ans que j'ai décidé de vivre ma vie pleinement à l'âge de cinquante ans, et ce rêve s'est enfin réalisé. Après avoir franchi ce cap, je suis peu à peu devenue une adulte qui sait apprécier la vie et ressentir le bonheur, et même à soixante-dix ans, je poursuis une vie d'épanouissement et de découverte de soi.
On le ressent pleinement à travers ce livre.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 31 octobre 2024
Nombre de pages, poids, dimensions : 340 pages | 560 g | 140 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9791192788296
- ISBN10 : 119278829X
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Langue coréenne
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