
Sur la brièveté de la vie
Description
Introduction au livre
★ À notre époque où l'on vit dans le vide mais l'agitation, les paroles de Sénèque nous aident à vivre plus profondément.
★ L'essence de la philosophie de Sénèque que Nietzsche, Camus et Augustin ont découverte à un tournant de leur vie.
★ Comprend 283 commentaires approfondis et des notes de bas de page détaillées.
« Ce n’est pas qu’il n’y a pas de temps, c’est qu’il n’y a pas de vie. »
Avez-vous l'impression de manquer de temps ?
Êtes-vous toujours occupé(e), avez-vous beaucoup à faire et les journées passent-elles à toute vitesse ?
Sénèque a posé cette question il y a 2000 ans.
Et son diagnostic est choquant.
« La vie est assez longue. »
Le problème, c'est que nous ne vivons pas correctement.
Autrement dit, la vie n'est pas courte, nous la vivons simplement pendant une courte période.
« De la brièveté de la vie » n'est pas seulement un classique.
Ce livre est l'ouvrage de développement personnel philosophique le plus pertinent pour ceux qui ont perdu la notion du temps.
Sénèque s'adresse à ceux qui n'ont jamais eu une heure à vivre pour eux-mêmes, car ils sont trop occupés à courir après la richesse, le succès, des emplois du temps surchargés et les attentes des autres.
« Quelle vie menez-vous actuellement ? »
Nombreux sont ceux qui s'épuisent et se concentrent uniquement sur les affaires des autres, sans jamais se remettre en question ni se juger eux-mêmes.
Ils sacrifient le présent au profit de leurs espoirs pour l'avenir, et c'est là la plus grande perte de la vie.
Sénèque affirme que les gens gaspillent leur temps comme s'ils allaient vivre éternellement, oubliant qu'ils sont destinés à mourir.
Au final, si vous ne vivez pas votre vie de manière proactive, même si vous vivez longtemps, cela revient au même que de mourir jeune, comme un enfant.
En revanche, le sage n'a pas le sentiment de manquer de temps.
Ils sont méticuleux quant à leur temps, l'utilisant pleinement pour eux-mêmes et donnant du sens à chaque instant.
Pour le sage, passé, présent et futur existent tous comme maintenant, et il vit une vie vaste et profonde qui embrasse tout le temps.
Sénèque encourage ses lecteurs à vivre dans le moment présent, à se libérer de toutes les distractions, à rechercher la sagesse seule et à goûter à la véritable liberté.
Sénèque dit :
Une personne mue par le désir, accro à la réussite et obsédée par la célébrité finit par être quelqu'un qui « n'a jamais vécu jusqu'à sa mort ».
Mais il montre une autre possibilité.
Le temps réel commence à l'intérieur, pas à l'extérieur.
Lorsque nous explorons la sagesse, que nous nous immergeons dans le présent et que nous maîtrisons notre propre temps, nous ne sommes plus « à la poursuite du temps » mais « maîtres du temps ».
Ce livre interroge les gens modernes et occupés sur le véritable sens de la vie et éveille en eux la sagesse nécessaire pour bien utiliser leur temps et leur unique vie.
Les réflexions de Sénèque conservent encore aujourd'hui, 2000 ans plus tard, une force puissante qui nous incite à réfléchir sur nos vies et notre époque.
La série Modern Intellect Classics présente les 14 essais de Sénèque sous les numéros 67 et 68.
Intégralement traduite du latin original, cette traduction respectueuse allie profondeur philosophique et contexte moderne, permettant à chacun de savourer l'essence des classiques.
Un classique n'est pas un vieux livre, mais une idée qui reste pertinente aujourd'hui.
Les phrases de Sénèque deviendront un baume pour votre cœur, que vous pourrez lire chaque fois que vous sentirez votre être intérieur s'effondrer.
★ L'essence de la philosophie de Sénèque que Nietzsche, Camus et Augustin ont découverte à un tournant de leur vie.
★ Comprend 283 commentaires approfondis et des notes de bas de page détaillées.
« Ce n’est pas qu’il n’y a pas de temps, c’est qu’il n’y a pas de vie. »
Avez-vous l'impression de manquer de temps ?
Êtes-vous toujours occupé(e), avez-vous beaucoup à faire et les journées passent-elles à toute vitesse ?
Sénèque a posé cette question il y a 2000 ans.
Et son diagnostic est choquant.
« La vie est assez longue. »
Le problème, c'est que nous ne vivons pas correctement.
Autrement dit, la vie n'est pas courte, nous la vivons simplement pendant une courte période.
« De la brièveté de la vie » n'est pas seulement un classique.
Ce livre est l'ouvrage de développement personnel philosophique le plus pertinent pour ceux qui ont perdu la notion du temps.
Sénèque s'adresse à ceux qui n'ont jamais eu une heure à vivre pour eux-mêmes, car ils sont trop occupés à courir après la richesse, le succès, des emplois du temps surchargés et les attentes des autres.
« Quelle vie menez-vous actuellement ? »
Nombreux sont ceux qui s'épuisent et se concentrent uniquement sur les affaires des autres, sans jamais se remettre en question ni se juger eux-mêmes.
Ils sacrifient le présent au profit de leurs espoirs pour l'avenir, et c'est là la plus grande perte de la vie.
Sénèque affirme que les gens gaspillent leur temps comme s'ils allaient vivre éternellement, oubliant qu'ils sont destinés à mourir.
Au final, si vous ne vivez pas votre vie de manière proactive, même si vous vivez longtemps, cela revient au même que de mourir jeune, comme un enfant.
En revanche, le sage n'a pas le sentiment de manquer de temps.
Ils sont méticuleux quant à leur temps, l'utilisant pleinement pour eux-mêmes et donnant du sens à chaque instant.
Pour le sage, passé, présent et futur existent tous comme maintenant, et il vit une vie vaste et profonde qui embrasse tout le temps.
Sénèque encourage ses lecteurs à vivre dans le moment présent, à se libérer de toutes les distractions, à rechercher la sagesse seule et à goûter à la véritable liberté.
Sénèque dit :
Une personne mue par le désir, accro à la réussite et obsédée par la célébrité finit par être quelqu'un qui « n'a jamais vécu jusqu'à sa mort ».
Mais il montre une autre possibilité.
Le temps réel commence à l'intérieur, pas à l'extérieur.
Lorsque nous explorons la sagesse, que nous nous immergeons dans le présent et que nous maîtrisons notre propre temps, nous ne sommes plus « à la poursuite du temps » mais « maîtres du temps ».
Ce livre interroge les gens modernes et occupés sur le véritable sens de la vie et éveille en eux la sagesse nécessaire pour bien utiliser leur temps et leur unique vie.
Les réflexions de Sénèque conservent encore aujourd'hui, 2000 ans plus tard, une force puissante qui nous incite à réfléchir sur nos vies et notre époque.
La série Modern Intellect Classics présente les 14 essais de Sénèque sous les numéros 67 et 68.
Intégralement traduite du latin original, cette traduction respectueuse allie profondeur philosophique et contexte moderne, permettant à chacun de savourer l'essence des classiques.
Un classique n'est pas un vieux livre, mais une idée qui reste pertinente aujourd'hui.
Les phrases de Sénèque deviendront un baume pour votre cœur, que vous pourrez lire chaque fois que vous sentirez votre être intérieur s'effondrer.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Première partie | Sur la brièveté de la vie
Partie 2 | Sur une vie heureuse
Partie 3 | Sur l'isolement
Partie 4 | Sur Providence
Partie 5 | Réconforter Marcia
Partie 6 | Réconfort pour Mère Helvia
Livre 7 | Une consolation à Polybe
Commentaire | Park Moon-jae
Chronologie de Sénèque
Partie 2 | Sur une vie heureuse
Partie 3 | Sur l'isolement
Partie 4 | Sur Providence
Partie 5 | Réconforter Marcia
Partie 6 | Réconfort pour Mère Helvia
Livre 7 | Une consolation à Polybe
Commentaire | Park Moon-jae
Chronologie de Sénèque
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Dans le livre
N'est-il pas trop tard pour attendre la fin de sa vie pour commencer à vivre pleinement ? Remettre à plus tard le début d'une vie digne de ce nom jusqu'à cinquante ou soixante ans, et même alors, à un âge où l'on ignore combien d'autres survivront, n'est-ce pas là la plus grande erreur qu'une personne, confrontée à l'inéluctabilité de la mort, puisse commettre ? On constate que même les plus puissants aspirent inconsciemment à une vie de retrait et la vantent.
--- Extrait de « Partie 1 | Sur la brièveté de la vie »
Je jure que même si vous vivez mille ans, votre vie sera réduite à une période de temps très courte.
Car le temps passé à commettre le mal est du temps perdu.
Le temps passe naturellement vite, mais si vous le planifiez et l'utilisez à bon escient, vous pouvez l'allonger.
Pourtant, le temps vous file entre les doigts parce que vous n'essayez pas de le rattraper ni de ralentir son cours, mais que vous le laissez simplement passer comme si vous pouviez le remplir à tout moment.
Qui est plus insensé que ceux qui se vantent de leur intelligence et de leur habileté ? Ils s'agitent, s'occupant de toutes sortes de tâches, espérant ainsi mener une vie meilleure.
Au final, vous essayez de construire votre vie en la gaspillant.
Ils planifient leur vie en ayant en tête un avenir lointain, mais c'est là la plus grande perte de la vie.
Lorsque nous procrastinons, nous perdons chaque jour qui se présente et nous sacrifions le présent pour l'avenir.
Le plus grand obstacle dans la vie est l'attente de l'avenir, le sacrifice d'aujourd'hui pour demain.
--- Extrait de « Partie 1 | Sur la brièveté de la vie »
Seuls ceux qui consacrent leur temps à la recherche de la sagesse vivent véritablement en oisif, et seuls eux vivent bien.
Non seulement ils préservent bien leur vie, mais ils s'approprient chaque instant et l'enrichissent.
Les fondateurs des enseignements sacrés sont des maîtres lumineux, nés pour nous et qui nous ont ouvert la voie.
Aucune époque ne nous est fermée, et nous pouvons entrer dans n'importe quelle époque.
Si, animés d'un grand cœur, nous cherchons à transcender les limitations étroites engendrées par la faiblesse humaine, un vaste espace temporel s'ouvre à nous pour en profiter.
…
Par conséquent, la vie d'un sage n'est pas liée à une seule époque, mais embrasse librement tous les temps.
Seuls les sages transcendent le cours du temps et vivent pleinement chaque instant.
Il chérit le passé comme des souvenirs, vit le présent sans gaspillage et est prêt à accueillir l'avenir.
Pour lui, le passé, le présent et le futur existent tous comme maintenant.
Ainsi, le sage embrasse tout le temps et vit une vie riche et profonde.
--- Extrait de « Partie 1 | Sur la brièveté de la vie »
La sagesse consiste à suivre les lois et les exemples de la nature sans s'écarter de la nature des choses.
Par conséquent, suivre sa propre nature est la clé d'une vie heureuse, et pour atteindre ce bonheur, il faut faire ce qui suit, il n'y a pas d'autre voie.
Premièrement, il faut avoir le bon état d'esprit et le maintenir constamment.
Ensuite, l'esprit doit être fort et énergique, capable d'endurer, de réagir de manière appropriée à toute situation et de prendre soin de son corps et de son environnement, sans toutefois tomber dans l'excès et en maintenant l'équilibre.
Enfin, nous devons examiner attentivement les autres éléments qui composent la vie, mais nous ne devons nous attacher à aucun d'eux ; et nous devons utiliser les dons que le destin nous a faits, mais nous ne devons pas en devenir dépendants.
Même sans que j'en dise plus, vous savez que lorsque nous lâchons prise sur ce qui nous excite et nous effraie, une paix et une liberté durables s'installent.
Notre nature rude provient de la faiblesse, et lorsque nous nous libérons de cette faiblesse, nous trouvons une joie immense et inébranlable à la place des plaisirs mesquins et éphémères, et avec elle une âme grande, paisible, harmonieuse et douce.
--- Extrait de « Partie 2 | Sur une vie heureuse »
Parmi les nombreuses citations célèbres laissées par mon ami Demetrius, certaines résonnent encore à mes oreilles comme si je venais de les entendre.
Il a dit ceci :
« Je ne crois pas qu’il y ait plus malheureux que celui qui n’a jamais connu l’adversité. » En effet, une telle personne n’a jamais eu la précieuse occasion de se mettre à l’épreuve.
Tout s'est peut-être déroulé sans accroc, comme il le souhaitait, voire même sans le vouloir, mais il a en réalité reçu une mauvaise appréciation des dieux.
--- Extrait de « Partie 4 | Sur la Providence »
La mort est la libération de toute souffrance et de toute douleur.
Une fois la frontière de la mort franchie, aucun malheur de ce monde ne peut nous atteindre.
La mort nous ramène à l'état paisible dans lequel nous étions avant notre naissance.
Par conséquent, si l'on a pitié des morts, il faut aussi avoir pitié de ceux qui ne sont pas encore nés.
La mort n'est ni bonne ni mauvaise.
Car seul le fait d'être en vie peut être bon ou mauvais.
La mort, qui est le néant même et qui ramène tout au néant, ne nous laisse pas sous l'emprise du destin.
Car le bien et le mal naissent toujours autour d'une entité.
Le destin ne peut contrôler ce que la nature renvoie, et ce qui n'existe pas ne peut être malheureux.
Votre fils a désormais échappé aux contraintes d'un monde où il était esclave du destin et est entré dans une paix grande et éternelle.
Là-bas, il n'y a pas de pauvreté, pas de soucis liés à la propriété.
Il n'y a pas d'assaut constant du désir, qui s'empare de l'âme avec le plaisir comme appât, ni d'envie du bonheur des autres ou de son propre bonheur.
--- Extrait de « Partie 5 | Consolation à Marcia »
Nous naissons dans des conditions qui nous permettent de vivre heureux si nous acceptons simplement notre condition innée.
La nature a fait en sorte que nous n'ayons besoin de rien de grandiose pour vivre heureux.
Chacun peut se rendre heureux.
Les choses extérieures n'ont pas d'importance et n'influencent que très peu le bonheur ou le malheur.
Un homme sage ne s'enthousiasme ni ne se décourage face à la chance.
Car l'homme sage s'efforce toujours de faire dépendre une grande partie de son bonheur de lui-même, et de faire en sorte que tous ses plaisirs viennent de lui-même.
--- Extrait de « Partie 1 | Sur la brièveté de la vie »
Je jure que même si vous vivez mille ans, votre vie sera réduite à une période de temps très courte.
Car le temps passé à commettre le mal est du temps perdu.
Le temps passe naturellement vite, mais si vous le planifiez et l'utilisez à bon escient, vous pouvez l'allonger.
Pourtant, le temps vous file entre les doigts parce que vous n'essayez pas de le rattraper ni de ralentir son cours, mais que vous le laissez simplement passer comme si vous pouviez le remplir à tout moment.
Qui est plus insensé que ceux qui se vantent de leur intelligence et de leur habileté ? Ils s'agitent, s'occupant de toutes sortes de tâches, espérant ainsi mener une vie meilleure.
Au final, vous essayez de construire votre vie en la gaspillant.
Ils planifient leur vie en ayant en tête un avenir lointain, mais c'est là la plus grande perte de la vie.
Lorsque nous procrastinons, nous perdons chaque jour qui se présente et nous sacrifions le présent pour l'avenir.
Le plus grand obstacle dans la vie est l'attente de l'avenir, le sacrifice d'aujourd'hui pour demain.
--- Extrait de « Partie 1 | Sur la brièveté de la vie »
Seuls ceux qui consacrent leur temps à la recherche de la sagesse vivent véritablement en oisif, et seuls eux vivent bien.
Non seulement ils préservent bien leur vie, mais ils s'approprient chaque instant et l'enrichissent.
Les fondateurs des enseignements sacrés sont des maîtres lumineux, nés pour nous et qui nous ont ouvert la voie.
Aucune époque ne nous est fermée, et nous pouvons entrer dans n'importe quelle époque.
Si, animés d'un grand cœur, nous cherchons à transcender les limitations étroites engendrées par la faiblesse humaine, un vaste espace temporel s'ouvre à nous pour en profiter.
…
Par conséquent, la vie d'un sage n'est pas liée à une seule époque, mais embrasse librement tous les temps.
Seuls les sages transcendent le cours du temps et vivent pleinement chaque instant.
Il chérit le passé comme des souvenirs, vit le présent sans gaspillage et est prêt à accueillir l'avenir.
Pour lui, le passé, le présent et le futur existent tous comme maintenant.
Ainsi, le sage embrasse tout le temps et vit une vie riche et profonde.
--- Extrait de « Partie 1 | Sur la brièveté de la vie »
La sagesse consiste à suivre les lois et les exemples de la nature sans s'écarter de la nature des choses.
Par conséquent, suivre sa propre nature est la clé d'une vie heureuse, et pour atteindre ce bonheur, il faut faire ce qui suit, il n'y a pas d'autre voie.
Premièrement, il faut avoir le bon état d'esprit et le maintenir constamment.
Ensuite, l'esprit doit être fort et énergique, capable d'endurer, de réagir de manière appropriée à toute situation et de prendre soin de son corps et de son environnement, sans toutefois tomber dans l'excès et en maintenant l'équilibre.
Enfin, nous devons examiner attentivement les autres éléments qui composent la vie, mais nous ne devons nous attacher à aucun d'eux ; et nous devons utiliser les dons que le destin nous a faits, mais nous ne devons pas en devenir dépendants.
Même sans que j'en dise plus, vous savez que lorsque nous lâchons prise sur ce qui nous excite et nous effraie, une paix et une liberté durables s'installent.
Notre nature rude provient de la faiblesse, et lorsque nous nous libérons de cette faiblesse, nous trouvons une joie immense et inébranlable à la place des plaisirs mesquins et éphémères, et avec elle une âme grande, paisible, harmonieuse et douce.
--- Extrait de « Partie 2 | Sur une vie heureuse »
Parmi les nombreuses citations célèbres laissées par mon ami Demetrius, certaines résonnent encore à mes oreilles comme si je venais de les entendre.
Il a dit ceci :
« Je ne crois pas qu’il y ait plus malheureux que celui qui n’a jamais connu l’adversité. » En effet, une telle personne n’a jamais eu la précieuse occasion de se mettre à l’épreuve.
Tout s'est peut-être déroulé sans accroc, comme il le souhaitait, voire même sans le vouloir, mais il a en réalité reçu une mauvaise appréciation des dieux.
--- Extrait de « Partie 4 | Sur la Providence »
La mort est la libération de toute souffrance et de toute douleur.
Une fois la frontière de la mort franchie, aucun malheur de ce monde ne peut nous atteindre.
La mort nous ramène à l'état paisible dans lequel nous étions avant notre naissance.
Par conséquent, si l'on a pitié des morts, il faut aussi avoir pitié de ceux qui ne sont pas encore nés.
La mort n'est ni bonne ni mauvaise.
Car seul le fait d'être en vie peut être bon ou mauvais.
La mort, qui est le néant même et qui ramène tout au néant, ne nous laisse pas sous l'emprise du destin.
Car le bien et le mal naissent toujours autour d'une entité.
Le destin ne peut contrôler ce que la nature renvoie, et ce qui n'existe pas ne peut être malheureux.
Votre fils a désormais échappé aux contraintes d'un monde où il était esclave du destin et est entré dans une paix grande et éternelle.
Là-bas, il n'y a pas de pauvreté, pas de soucis liés à la propriété.
Il n'y a pas d'assaut constant du désir, qui s'empare de l'âme avec le plaisir comme appât, ni d'envie du bonheur des autres ou de son propre bonheur.
--- Extrait de « Partie 5 | Consolation à Marcia »
Nous naissons dans des conditions qui nous permettent de vivre heureux si nous acceptons simplement notre condition innée.
La nature a fait en sorte que nous n'ayons besoin de rien de grandiose pour vivre heureux.
Chacun peut se rendre heureux.
Les choses extérieures n'ont pas d'importance et n'influencent que très peu le bonheur ou le malheur.
Un homme sage ne s'enthousiasme ni ne se décourage face à la chance.
Car l'homme sage s'efforce toujours de faire dépendre une grande partie de son bonheur de lui-même, et de faire en sorte que tous ses plaisirs viennent de lui-même.
--- Extrait de « Partie 6 | Réconforter Mère Helvia »
Avis de l'éditeur
Je vis avec les mots qui me disent que je suis occupée
Une ordonnance pour votre cœur vide
Nous sommes toujours occupés.
Nous vivons en nous enchaînant sans cesse réunions, rendez-vous, notifications de messages et travail.
Mais quand on y réfléchit, on se rend compte que notre esprit est vide et qu'on a très peu de temps pour soi.
Dire que je suis occupé est devenu une habitude, mais cela ne reflète pas ma vie.
Sénèque nous reproche d'affirmer que c'est là la véritable raison pour laquelle la vie est si courte.
Selon lui, les gens sont exceptionnellement attachés à leurs possessions, mais incroyablement indifférents au temps.
Nous gaspillons notre temps à satisfaire les exigences des autres sans aucune récompense, et nos journées sont consumées par des soucis inutiles, des plaisirs futiles, des ambitions démesurées et des espoirs vains.
Et pourtant, ils disent toujours : « Il n’y a pas assez de temps. »
Mais ce manque n'est pas dû à des conditions réelles, mais plutôt à une mauvaise utilisation du temps.
Sénèque souligne que le véritable problème n'est pas que « la vie est courte », mais que « nous vivons la vie de quelqu'un d'autre ».
Influencée par les désirs et les regards des autres, contrainte de formuler des exigences auxquelles on ne peut résister, et incapable de se ménager du temps pour soi-même, la vie finit par s'écouler en vain.
Sans même pouvoir nous poser la question « Pour quoi vivons-nous ? », un jour, nous atteignons soudainement la fin des temps.
Dans ce livre, Sénèque affirme : « Seuls les sages peuvent maîtriser leur temps. »
Il s'agit d'interagir avec les grands esprits du passé et de se réapproprier le temps.
Il s'approprie chaque instant de sa vie, ne laissant pas le temps passer mais le reconstruisant grâce à la sagesse accumulée.
Le passé est un souvenir propice à la réflexion, l'avenir un plan de préparation, et le présent est vécu comme la vie subjective la plus épanouissante.
Dans le silence philosophique, il vit véritablement dans le temps.
« De la brièveté de la vie » n’est pas qu’une leçon ancienne.
Pour les personnes modernes qui perdent leur temps, voici un livre de techniques pour « reprendre ma vie en main » et un bouton de réinitialisation intérieure.
Ce n'est pas que nous manquions de temps, c'est juste que nous ne prenons pas le temps de regarder en arrière pour voir à qui et à quoi nous consacrons notre temps.
Ce livre commence précisément par cette question.
Et, dit-il, ce moment précis pourrait être le véritable début de votre vie.
Pourquoi je n'ai pas pu vivre mon temps
« Sur la brièveté de la vie » submerge le lecteur dès les premières lignes, par une seule phrase.
« La vie n’est pas courte. »
Nous faisons simplement court.
Cette phrase n'est pas qu'un simple avertissement.
C'est un signal d'alarme pour nous qui menons des vies trépidantes mais qui ne sommes pas vraiment maîtres de notre destin.
Dans cet essai, Sénèque nous exhorte à passer d'une vie où l'on « dépense » son temps à une vie où l'on « vit » son temps.
Je ne dis pas simplement de ralentir.
Elle remet fondamentalement en question l'équilibre entre travail et repos, entre mondanité et philosophie, entre agitation et immersion.
Cette lettre, qu'il a envoyée à Paulinus, est la lettre d'un intellectuel qui avait démissionné d'une haute fonction publique et s'était retiré dans une «retraite philosophique».
Pour Sénèque, la réclusion n'est pas une forme d'évitement passif, mais le choix le plus courageux pour se confronter à soi-même.
Cela ressemble à ce que visent aujourd'hui les expressions « équilibre vie professionnelle-vie privée » et « routine rituelle ».
Le repos n'est pas un simple moment de détente, mais un temps pour revenir à l'essence de la vie et à un entraînement intérieur qui me recentre.
« Du bonheur » est la réponse directe de Sénèque à la critique selon laquelle « les philosophes riches sont des hypocrites ».
Il affirme que même les philosophes peuvent posséder des richesses, et que la richesse matérielle ne nuit pas à la liberté si elle n'entrave pas l'esprit.
Aux hommes modernes qui se débattent avec le choix binaire entre « gagner de l'argent ou se contenter de gagner moins », Sénèque conseille de maintenir un « sens philosophique de l'équilibre » entre la rigueur du stoïcisme et la flexibilité de la réalité.
Son intuition selon laquelle on peut concilier modération et liberté, confort et autonomie, reste pertinente pour ceux d'entre nous qui hésitent entre minimalisme et YOLO.
« Du retrait » est une œuvre dans laquelle Sénèque, qui s'est retiré de la politique sous la tyrannie de Néron, réinterprète le sens philosophique du « retrait ».
Il perçoit l'isolement non comme un échec mais comme un choix mûr, et explique comment le silence et la distance peuvent nous rapprocher de l'essence de la vie.
Par ailleurs, « Sur la Providence » et les trois poèmes réconfortants suggèrent une attitude face au destin et à la perte.
Il transmet le principe central de la philosophie stoïcienne, qui accepte même la souffrance et le chagrin comme faisant partie de l'ordre cosmique, et souligne le pouvoir d'« interpréter et d'accepter » différemment la souffrance humaine, plutôt que d'y être insensible ou cynique.
Les écrits de Sénèque brillent d'autant plus pour ceux qui cherchent à comprendre le « pourquoi » de la vie, plutôt que pour ceux qui s'interrogent sur le « comment » de la vie.
Et les sept essais réunis dans ce livre constituent un guide pour un voyage philosophique qui répond à cette question.
Ses phrases nous parlent encore aujourd'hui.
«Le temps vous appartient.»
La question est : à qui allons-nous le confier ?
Vivre pleinement, même avec peu :
Comment s'approprier pleinement sa vie, selon Sénèque
La collection Modern Intellect Classics présente la traduction intégrale des 14 essais de Sénèque en deux volumes.
Les subtilités du texte latin original ont été préservées, mais méticuleusement affinées pour permettre aux lecteurs d'en savourer l'essence.
Sénèque considérait la philosophie comme « l'art de vivre », et cet art résidait dans la manière dont on perçoit et utilise le temps.
Ce livre ne se contente pas de vous conseiller de « gagner du temps », il explique comment « faire de votre temps le vôtre ».
Voici les points de basculement philosophiques soulevés par ce livre.
1.
D'une vie où l'on laisse le temps passer à une vie où l'on « vit » le temps
Ce livre ne traite pas seulement de la gestion du temps ; il vise à vous aider à reprendre le contrôle de votre vie.
Il s'agit d'éliminer les contraintes horaires inutiles, de se libérer des attentes des autres et de réorienter ma vie pour passer du temps « pour moi-même ».
Libérez-vous de cette « vie trépidante mais vide » et apprenez à vous concentrer sur ce que vous désirez vraiment.
2.
Le pouvoir de ne pas se laisser influencer par l'anxiété : construire une « zone de sécurité intérieure »
Sénèque affirme que le bonheur est déterminé par notre attitude intérieure, et non par les conditions extérieures.
D'une vie rythmée par l'argent, la gloire et le succès, à une vie de contentement avec des possessions modestes ! Pour ceux qui cherchent à retrouver leur équilibre, ce livre propose une approche nuancée entre modération et immersion.
Au lieu d'avoir plus, vous pouvez concevoir une vie moins angoissante.
3.
La force d'endurer la douleur : Renforcer sa résilience
Si nul ne peut éviter la souffrance, nous devons changer notre rapport à la souffrance.
Sénèque dit :
« La douleur n’est pas quelque chose à éliminer, mais plutôt quelque chose à rendre gérable. » Au lieu de vous effondrer face à la déception, à la perte ou à l’injustice, apprenez à gérer vos émotions grâce à une prise de recul philosophique et aux compétences nécessaires pour vous protéger.
Ce livre peut vous aider à développer votre résilience émotionnelle.
Une ordonnance pour votre cœur vide
Nous sommes toujours occupés.
Nous vivons en nous enchaînant sans cesse réunions, rendez-vous, notifications de messages et travail.
Mais quand on y réfléchit, on se rend compte que notre esprit est vide et qu'on a très peu de temps pour soi.
Dire que je suis occupé est devenu une habitude, mais cela ne reflète pas ma vie.
Sénèque nous reproche d'affirmer que c'est là la véritable raison pour laquelle la vie est si courte.
Selon lui, les gens sont exceptionnellement attachés à leurs possessions, mais incroyablement indifférents au temps.
Nous gaspillons notre temps à satisfaire les exigences des autres sans aucune récompense, et nos journées sont consumées par des soucis inutiles, des plaisirs futiles, des ambitions démesurées et des espoirs vains.
Et pourtant, ils disent toujours : « Il n’y a pas assez de temps. »
Mais ce manque n'est pas dû à des conditions réelles, mais plutôt à une mauvaise utilisation du temps.
Sénèque souligne que le véritable problème n'est pas que « la vie est courte », mais que « nous vivons la vie de quelqu'un d'autre ».
Influencée par les désirs et les regards des autres, contrainte de formuler des exigences auxquelles on ne peut résister, et incapable de se ménager du temps pour soi-même, la vie finit par s'écouler en vain.
Sans même pouvoir nous poser la question « Pour quoi vivons-nous ? », un jour, nous atteignons soudainement la fin des temps.
Dans ce livre, Sénèque affirme : « Seuls les sages peuvent maîtriser leur temps. »
Il s'agit d'interagir avec les grands esprits du passé et de se réapproprier le temps.
Il s'approprie chaque instant de sa vie, ne laissant pas le temps passer mais le reconstruisant grâce à la sagesse accumulée.
Le passé est un souvenir propice à la réflexion, l'avenir un plan de préparation, et le présent est vécu comme la vie subjective la plus épanouissante.
Dans le silence philosophique, il vit véritablement dans le temps.
« De la brièveté de la vie » n’est pas qu’une leçon ancienne.
Pour les personnes modernes qui perdent leur temps, voici un livre de techniques pour « reprendre ma vie en main » et un bouton de réinitialisation intérieure.
Ce n'est pas que nous manquions de temps, c'est juste que nous ne prenons pas le temps de regarder en arrière pour voir à qui et à quoi nous consacrons notre temps.
Ce livre commence précisément par cette question.
Et, dit-il, ce moment précis pourrait être le véritable début de votre vie.
Pourquoi je n'ai pas pu vivre mon temps
« Sur la brièveté de la vie » submerge le lecteur dès les premières lignes, par une seule phrase.
« La vie n’est pas courte. »
Nous faisons simplement court.
Cette phrase n'est pas qu'un simple avertissement.
C'est un signal d'alarme pour nous qui menons des vies trépidantes mais qui ne sommes pas vraiment maîtres de notre destin.
Dans cet essai, Sénèque nous exhorte à passer d'une vie où l'on « dépense » son temps à une vie où l'on « vit » son temps.
Je ne dis pas simplement de ralentir.
Elle remet fondamentalement en question l'équilibre entre travail et repos, entre mondanité et philosophie, entre agitation et immersion.
Cette lettre, qu'il a envoyée à Paulinus, est la lettre d'un intellectuel qui avait démissionné d'une haute fonction publique et s'était retiré dans une «retraite philosophique».
Pour Sénèque, la réclusion n'est pas une forme d'évitement passif, mais le choix le plus courageux pour se confronter à soi-même.
Cela ressemble à ce que visent aujourd'hui les expressions « équilibre vie professionnelle-vie privée » et « routine rituelle ».
Le repos n'est pas un simple moment de détente, mais un temps pour revenir à l'essence de la vie et à un entraînement intérieur qui me recentre.
« Du bonheur » est la réponse directe de Sénèque à la critique selon laquelle « les philosophes riches sont des hypocrites ».
Il affirme que même les philosophes peuvent posséder des richesses, et que la richesse matérielle ne nuit pas à la liberté si elle n'entrave pas l'esprit.
Aux hommes modernes qui se débattent avec le choix binaire entre « gagner de l'argent ou se contenter de gagner moins », Sénèque conseille de maintenir un « sens philosophique de l'équilibre » entre la rigueur du stoïcisme et la flexibilité de la réalité.
Son intuition selon laquelle on peut concilier modération et liberté, confort et autonomie, reste pertinente pour ceux d'entre nous qui hésitent entre minimalisme et YOLO.
« Du retrait » est une œuvre dans laquelle Sénèque, qui s'est retiré de la politique sous la tyrannie de Néron, réinterprète le sens philosophique du « retrait ».
Il perçoit l'isolement non comme un échec mais comme un choix mûr, et explique comment le silence et la distance peuvent nous rapprocher de l'essence de la vie.
Par ailleurs, « Sur la Providence » et les trois poèmes réconfortants suggèrent une attitude face au destin et à la perte.
Il transmet le principe central de la philosophie stoïcienne, qui accepte même la souffrance et le chagrin comme faisant partie de l'ordre cosmique, et souligne le pouvoir d'« interpréter et d'accepter » différemment la souffrance humaine, plutôt que d'y être insensible ou cynique.
Les écrits de Sénèque brillent d'autant plus pour ceux qui cherchent à comprendre le « pourquoi » de la vie, plutôt que pour ceux qui s'interrogent sur le « comment » de la vie.
Et les sept essais réunis dans ce livre constituent un guide pour un voyage philosophique qui répond à cette question.
Ses phrases nous parlent encore aujourd'hui.
«Le temps vous appartient.»
La question est : à qui allons-nous le confier ?
Vivre pleinement, même avec peu :
Comment s'approprier pleinement sa vie, selon Sénèque
La collection Modern Intellect Classics présente la traduction intégrale des 14 essais de Sénèque en deux volumes.
Les subtilités du texte latin original ont été préservées, mais méticuleusement affinées pour permettre aux lecteurs d'en savourer l'essence.
Sénèque considérait la philosophie comme « l'art de vivre », et cet art résidait dans la manière dont on perçoit et utilise le temps.
Ce livre ne se contente pas de vous conseiller de « gagner du temps », il explique comment « faire de votre temps le vôtre ».
Voici les points de basculement philosophiques soulevés par ce livre.
1.
D'une vie où l'on laisse le temps passer à une vie où l'on « vit » le temps
Ce livre ne traite pas seulement de la gestion du temps ; il vise à vous aider à reprendre le contrôle de votre vie.
Il s'agit d'éliminer les contraintes horaires inutiles, de se libérer des attentes des autres et de réorienter ma vie pour passer du temps « pour moi-même ».
Libérez-vous de cette « vie trépidante mais vide » et apprenez à vous concentrer sur ce que vous désirez vraiment.
2.
Le pouvoir de ne pas se laisser influencer par l'anxiété : construire une « zone de sécurité intérieure »
Sénèque affirme que le bonheur est déterminé par notre attitude intérieure, et non par les conditions extérieures.
D'une vie rythmée par l'argent, la gloire et le succès, à une vie de contentement avec des possessions modestes ! Pour ceux qui cherchent à retrouver leur équilibre, ce livre propose une approche nuancée entre modération et immersion.
Au lieu d'avoir plus, vous pouvez concevoir une vie moins angoissante.
3.
La force d'endurer la douleur : Renforcer sa résilience
Si nul ne peut éviter la souffrance, nous devons changer notre rapport à la souffrance.
Sénèque dit :
« La douleur n’est pas quelque chose à éliminer, mais plutôt quelque chose à rendre gérable. » Au lieu de vous effondrer face à la déception, à la perte ou à l’injustice, apprenez à gérer vos émotions grâce à une prise de recul philosophique et aux compétences nécessaires pour vous protéger.
Ce livre peut vous aider à développer votre résilience émotionnelle.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 1er août 2025
- Nombre de pages, poids, dimensions : 336 pages | 150 × 225 × 30 mm
- ISBN13 : 9791139725636
- ISBN10 : 1139725637
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Langue coréenne
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