
Pour les jours à venir
Description
Introduction au livre
- Un mot du médecin
-
Pour vivre le reste de votre vie de manière significativeL’augmentation de l’espérance de vie n’est pas une si bonne nouvelle, compte tenu de la réalité de la société coréenne, où la pauvreté chez les personnes âgées est grave.
Outre la pauvreté matérielle, l'anxiété psychologique, le vide et le sentiment d'impuissance rendent également la vieillesse difficile.
Ce livre, écrit par le grand auteur français Pascal Bruckner, est un guide incontournable pour vivre pleinement la seconde moitié de sa vie.
23 novembre 2021. Son Min-gyu, directeur de programme en sciences humaines
Lauréat du prix Médicis, du prix Renault, du prix Montaigne et du prix Duménil
Une nouvelle œuvre du grand écrivain français Pascal Bruckner
« Le crépuscule est-il un moment de perfection ou une autre adolescence ? »
Une nouvelle philosophie du crépuscule qui vous fait rêver d'un nouveau printemps dans l'automne de la vie.
Les quinquagénaires d'aujourd'hui ressemblent à des nouveau-nés de la Renaissance.
Il y a environ 300 ans, l'espérance de vie moyenne des Européens était d'environ 30 ans ; les deux groupes sont donc similaires en ce sens qu'il leur reste en moyenne environ 30 ans à vivre.
En 1922, le lendemain de la victoire de Marcel Proust au prix Goncourt, les journaux publiaient un article intitulé « Une place pour les vieux ! », alors qu'il n'avait que 48 ans.
Qui considérerait aujourd'hui qu'on a 48 ans comme vieux ? Avant, on disait : « À 50 ans, on connaît son destin », mais de nos jours, « à 50 ans, on est au sommet de sa forme ».
Pour les hommes modernes, qui vivent plus longtemps et sont en bien meilleure santé que quiconque dans l'histoire de l'humanité, « l'âge » est moins un chiffre absolu qu'auparavant.
Pourtant, ne sommes-nous pas en train de répéter des récits d'apprentissage dépassés, en disant : « Voilà ce que tu devrais faire à un certain âge » ? Alors que les préceptes de vie transmis de génération en génération perdent peu à peu de leur force, Pascal Bruckner, intellectuel français de renommée mondiale, propose une nouvelle approche du « vieillissement » en écrivant un récit de post-croissance au lieu du roman d'apprentissage éculé.
Pourquoi avons-nous l'impression de voler le pain de la génération suivante en vieillissant ? Qu'est-ce qui nous permet de continuer à vivre des vies riches de sens ? « Pour les jours à venir » explore dix thèmes : le renoncement, le lieu, la routine, le temps, le désir, l'amour, l'opportunité, les limites, la mort et l'éternité. À travers une riche iconographie de Pascal, Montaigne, Freud et Nietzsche, cet ouvrage offre au lecteur un regard éloquent sur une pensée de renommée mondiale.
Il regorge d'histoires brillantes qui vous aideront à vous préparer à faire de la seconde moitié de votre vie une opportunité exceptionnelle, telles que : « Renoncez à abandonner », « Construisez une structure solide pour votre vie avec des routines », « Vivez comme si vous alliez mourir maintenant, mais ne mourez jamais », « Aimez jusqu'au jour de votre mort » et « Connaissez clairement vos limites et faites ce que vous pouvez ».
L'adage « Quand on est vieux, il faut abandonner » est désormais un vieux dicton.
Pour ceux d'entre vous qui sont encore dans la fleur de l'âge, écoutez cette histoire pleine de possibilités qui vous poussera à tester vos forces jusqu'au bout.
Une nouvelle œuvre du grand écrivain français Pascal Bruckner
« Le crépuscule est-il un moment de perfection ou une autre adolescence ? »
Une nouvelle philosophie du crépuscule qui vous fait rêver d'un nouveau printemps dans l'automne de la vie.
Les quinquagénaires d'aujourd'hui ressemblent à des nouveau-nés de la Renaissance.
Il y a environ 300 ans, l'espérance de vie moyenne des Européens était d'environ 30 ans ; les deux groupes sont donc similaires en ce sens qu'il leur reste en moyenne environ 30 ans à vivre.
En 1922, le lendemain de la victoire de Marcel Proust au prix Goncourt, les journaux publiaient un article intitulé « Une place pour les vieux ! », alors qu'il n'avait que 48 ans.
Qui considérerait aujourd'hui qu'on a 48 ans comme vieux ? Avant, on disait : « À 50 ans, on connaît son destin », mais de nos jours, « à 50 ans, on est au sommet de sa forme ».
Pour les hommes modernes, qui vivent plus longtemps et sont en bien meilleure santé que quiconque dans l'histoire de l'humanité, « l'âge » est moins un chiffre absolu qu'auparavant.
Pourtant, ne sommes-nous pas en train de répéter des récits d'apprentissage dépassés, en disant : « Voilà ce que tu devrais faire à un certain âge » ? Alors que les préceptes de vie transmis de génération en génération perdent peu à peu de leur force, Pascal Bruckner, intellectuel français de renommée mondiale, propose une nouvelle approche du « vieillissement » en écrivant un récit de post-croissance au lieu du roman d'apprentissage éculé.
Pourquoi avons-nous l'impression de voler le pain de la génération suivante en vieillissant ? Qu'est-ce qui nous permet de continuer à vivre des vies riches de sens ? « Pour les jours à venir » explore dix thèmes : le renoncement, le lieu, la routine, le temps, le désir, l'amour, l'opportunité, les limites, la mort et l'éternité. À travers une riche iconographie de Pascal, Montaigne, Freud et Nietzsche, cet ouvrage offre au lecteur un regard éloquent sur une pensée de renommée mondiale.
Il regorge d'histoires brillantes qui vous aideront à vous préparer à faire de la seconde moitié de votre vie une opportunité exceptionnelle, telles que : « Renoncez à abandonner », « Construisez une structure solide pour votre vie avec des routines », « Vivez comme si vous alliez mourir maintenant, mais ne mourez jamais », « Aimez jusqu'au jour de votre mort » et « Connaissez clairement vos limites et faites ce que vous pouvez ».
L'adage « Quand on est vieux, il faut abandonner » est désormais un vieux dicton.
Pour ceux d'entre vous qui sont encore dans la fleur de l'âge, écoutez cette histoire pleine de possibilités qui vous poussera à tester vos forces jusqu'au bout.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Prologue – Être vieux ne signifie pas qu’on a toujours le même âge
Abandonnez - abandonnez l'abandon
La vie commençait à me paraître courte.
douche d'eau froide
Relever le défi jusqu'au dernier jour de ma vie
*Désire plus que nécessaire*
Siège - Il n'est pas encore temps de partir
Je ne voulais pas prendre ma retraite
L'âge de la philosophie
La dernière adolescence de la vie
« Tu n’as pas changé du tout ! »
La routine – La simplicité du quotidien nous sauve
J'en ai marre de vivre
La splendeur du trivial
Nous mourons et nous renaissons chaque jour.
Répétition, nouveauté masquée par le déjà-vu
Le crépuscule devrait ressembler à l'aube.
Est-ce un chant du cygne ou une lueur matinale ?
La vie est un cadeau absurde et merveilleux.
*Ceux qui ont encore du sang sur la tête*
Le temps – comme si j’allais mourir maintenant, comme si je ne mourrais jamais
Vivez chaque instant comme si vous alliez mourir.
Le passé n'est pas encore révolu.
La vie est une mosaïque mouvante
Retour à l'esprit d'un enfant
Tu n'es pas assez mûr pour tes fruits.
*Pensez-vous que les grands-parents soient disponibles 24 heures sur 24 ?*
*Impossible de descendre l'échelle*
Désir - Je vis encore comme ça
Bon âge à ce jour
Évasion de l'Empire de Vénus
Même Casanova vieillit
La vie est encore pleine de possibilités.
*Le bavard et le pleurnichard*
L'amour - Si seulement je pouvais aimer jusqu'à mon dernier souffle
L'amour à la couronne blanche
Les braises se sont transformées en cendres.
Si je pouvais t'aimer jusqu'à ma mort
*La formule de rupture des vieux couples*
Opportunité - Désolé, vous êtes en retard.
Des occasions manquées
Temps mortel
J'ai toujours envie de danser
Sur la page blanche de l'au-delà
*Si vous consultez la rubrique nécrologique du journal*
*Photo de famille de trois générations*
Limites - Ce qui ne peut être fait ne peut être fait
Que puis-je faire si c'est moi ?
Les trois visages de la liberté
La porte s'ouvre sur l'inconnu
Ne réussissez pas complètement
Ce qui ne peut être fait est ce qui ne peut être fait.
Qui utilise encore ce genre de mots de nos jours ?
La mort - Néanmoins
Les scélérats qui nous rongent et nous brisent
la mort de la mort
Tu as de la chance de pouvoir mourir
Aime ce que tu ne reverras plus jamais.
J'ai peur de mourir
Le zombie qui sommeille en nous
*Vieil enfant et jeune vieillard*
Éternité - Mortels immortels
Ce que la maladie nous apprend
Hiérarchie de la douleur
Mauvais confort
Monsieur Mangnani, veuillez patienter encore un peu.
L'éternité est là maintenant.
*Techniques réconfortantes pour éviter les absurdités logiques*
Épilogue - Amour, Louange, Service
principal
Abandonnez - abandonnez l'abandon
La vie commençait à me paraître courte.
douche d'eau froide
Relever le défi jusqu'au dernier jour de ma vie
*Désire plus que nécessaire*
Siège - Il n'est pas encore temps de partir
Je ne voulais pas prendre ma retraite
L'âge de la philosophie
La dernière adolescence de la vie
« Tu n’as pas changé du tout ! »
La routine – La simplicité du quotidien nous sauve
J'en ai marre de vivre
La splendeur du trivial
Nous mourons et nous renaissons chaque jour.
Répétition, nouveauté masquée par le déjà-vu
Le crépuscule devrait ressembler à l'aube.
Est-ce un chant du cygne ou une lueur matinale ?
La vie est un cadeau absurde et merveilleux.
*Ceux qui ont encore du sang sur la tête*
Le temps – comme si j’allais mourir maintenant, comme si je ne mourrais jamais
Vivez chaque instant comme si vous alliez mourir.
Le passé n'est pas encore révolu.
La vie est une mosaïque mouvante
Retour à l'esprit d'un enfant
Tu n'es pas assez mûr pour tes fruits.
*Pensez-vous que les grands-parents soient disponibles 24 heures sur 24 ?*
*Impossible de descendre l'échelle*
Désir - Je vis encore comme ça
Bon âge à ce jour
Évasion de l'Empire de Vénus
Même Casanova vieillit
La vie est encore pleine de possibilités.
*Le bavard et le pleurnichard*
L'amour - Si seulement je pouvais aimer jusqu'à mon dernier souffle
L'amour à la couronne blanche
Les braises se sont transformées en cendres.
Si je pouvais t'aimer jusqu'à ma mort
*La formule de rupture des vieux couples*
Opportunité - Désolé, vous êtes en retard.
Des occasions manquées
Temps mortel
J'ai toujours envie de danser
Sur la page blanche de l'au-delà
*Si vous consultez la rubrique nécrologique du journal*
*Photo de famille de trois générations*
Limites - Ce qui ne peut être fait ne peut être fait
Que puis-je faire si c'est moi ?
Les trois visages de la liberté
La porte s'ouvre sur l'inconnu
Ne réussissez pas complètement
Ce qui ne peut être fait est ce qui ne peut être fait.
Qui utilise encore ce genre de mots de nos jours ?
La mort - Néanmoins
Les scélérats qui nous rongent et nous brisent
la mort de la mort
Tu as de la chance de pouvoir mourir
Aime ce que tu ne reverras plus jamais.
J'ai peur de mourir
Le zombie qui sommeille en nous
*Vieil enfant et jeune vieillard*
Éternité - Mortels immortels
Ce que la maladie nous apprend
Hiérarchie de la douleur
Mauvais confort
Monsieur Mangnani, veuillez patienter encore un peu.
L'éternité est là maintenant.
*Techniques réconfortantes pour éviter les absurdités logiques*
Épilogue - Amour, Louange, Service
principal
Image détaillée

Dans le livre
Les humains, comme les animaux, ont l'impression qu'ils ne vieilliront jamais et qu'ils vivront des milliers d'années jusqu'à l'âge de 30 ans.
Pour lui, les anniversaires ne sont qu'une formalité amusante, un signe inoffensif.
Ensuite, les années 30, 40 et 50 se succèdent par tranches de 10 ans.
Vieillir, c'est être intégré au calendrier, devenir une personne d'une époque révolue.
L'âge nous fait compatir au passage du temps, mais il le rend aussi tragique.
Il est triste d'être liés par des conditions communes et d'être influencés par elles.
Ce n'est pas parce que je suis plus âgé que j'ai cet âge-là.
Je parle de l'écart entre mon âge officiel et mon âge perçu.
De nos jours, cet écart est trop important.
--- p.14~15
Une nouvelle catégorie démographique a émergé entre les personnes d'âge mûr et les personnes âgées.
Une génération en bonne santé physique et disposant de plus de ressources que le reste de la population, que l'on peut qualifier de « senior », d'après le mot latin.
Aujourd'hui, beaucoup de gens ont élevé leurs enfants, rempli leurs devoirs conjugaux et choisissent de divorcer ou de se remarier.
Ces changements ne se limitent pas aux sociétés occidentales.
En Asie, en Afrique et en Amérique du Sud, le déclin des taux de natalité et le vieillissement des populations progressent également, mais les conditions matérielles de cette situation ne sont pas suffisamment prises en compte.
--- p.22
Si la population dépasse les 100 ans, les personnes septuagénaires risquent d'être traitées comme des enfants gâtés.
Ah, de nos jours, les jeunes ne savent plus ce qu'est le respect !
--- p.26
Le fait que des groupes d'âge entiers de notre société aient cessé de travailler depuis la Seconde Guerre mondiale — c'est-à-dire qu'ils ne font que consommer et ne produisent plus — est un désastre engendré par les meilleures intentions.
L'expérience et la perspicacité s'acquièrent généralement avec l'âge.
En continuant d'exercer leurs anciens emplois ou en en trouvant de nouveaux, les personnes âgées renouent des relations, font du bénévolat et deviennent des participants pleinement actifs.
Alors disparaîtra le préjugé qui considère les personnes âgées comme des parasites qu'il faut éliminer rapidement.
--- p.47
Samuel Butler a dit : « La vie, c'est comme apprendre le violon en jouant le concerto pour violon. »
Nous continuerons à nous entraîner jusqu'au dernier jour, en jouant chaque note maladroitement.
--- p.119
La vie est une très longue lettre écrite en petits caractères.
Le voyage de la vie est parfois incroyablement dangereux, mais il est aussi véritablement merveilleux.
Pierre Weil, un penseur français qui a réfléchi à la tolérance avant Voltaire, a plaidé pour « le droit de la conscience à errer ».
Plutôt que d'être contraints d'accepter une certaine vérité ou croyance, nous avons besoin du droit de nous tromper et de réfléchir à notre propre jugement.
En ce sens, nous sommes tous des âmes errantes, vivant au jour le jour au gré des envies.
Nous prenons notre temps, en évitant les obstacles et en empruntant des détours pittoresques pour atteindre l'arrivée.
Il faut aborder la descente de la vie comme la montée.
--- p.123~124
Aimer, c'est se réjouir de l'existence de l'autre et le lui dire chaque jour par sa simple présence.
Si vous voulez goûter aux joies de la vie, échapper à la futilité de chaque jour et rompre la stagnation du quotidien, ces deux éléments sont parfaits.
Qu'as-tu fait aujourd'hui ? Même si tu n'as rien fait de particulier, il y a une énorme différence entre raconter en détail les événements de la journée avec un être cher à tes côtés et les ruminer seul.
À tout moment, nous avons besoin de quelqu'un qui écoute avec bienveillance nos peines et nos malheurs.
Nous pouvons à tout moment être ceux qui écoutent les autres et leur offrent réconfort et conseils.
--- p.170
La diversité des destins est toujours liée aux rencontres avec les autres.
Sans rencontres, nous n'y gagnerions aucune profondeur.
Vieillir, c'est reconnaître et chérir cette dette infinie.
Les autres personnes que nous avons rencontrées ont contribué à faire de nous ce que nous sommes aujourd'hui.
Chacun d'entre nous est une œuvre collective appelée « moi ».
--- p.219
Quand nous sommes jeunes, notre corps est davantage comme un ami, ou plutôt comme un serviteur.
Il se rétablit tout seul sans que nous ayons à nous en occuper séparément et se déplace à notre guise.
Parfois, notre corps nous surprend par des capacités et des aptitudes qui dépassent nos attentes.
Dans ces moments-là, on se sent invincible.
Les choses changent après 30 ans, et votre corps réclame une attention constante.
Le serviteur se transforme en maître exigeant, nous harcelant jour après jour, nous laissant perplexes quant à savoir s'il s'agit d'une simple remarque ou d'une véritable inquiétude.
Dois-je me mettre sur mes gardes maintenant, ou est-ce que j'ai tout simplement trop peur ?
Pour lui, les anniversaires ne sont qu'une formalité amusante, un signe inoffensif.
Ensuite, les années 30, 40 et 50 se succèdent par tranches de 10 ans.
Vieillir, c'est être intégré au calendrier, devenir une personne d'une époque révolue.
L'âge nous fait compatir au passage du temps, mais il le rend aussi tragique.
Il est triste d'être liés par des conditions communes et d'être influencés par elles.
Ce n'est pas parce que je suis plus âgé que j'ai cet âge-là.
Je parle de l'écart entre mon âge officiel et mon âge perçu.
De nos jours, cet écart est trop important.
--- p.14~15
Une nouvelle catégorie démographique a émergé entre les personnes d'âge mûr et les personnes âgées.
Une génération en bonne santé physique et disposant de plus de ressources que le reste de la population, que l'on peut qualifier de « senior », d'après le mot latin.
Aujourd'hui, beaucoup de gens ont élevé leurs enfants, rempli leurs devoirs conjugaux et choisissent de divorcer ou de se remarier.
Ces changements ne se limitent pas aux sociétés occidentales.
En Asie, en Afrique et en Amérique du Sud, le déclin des taux de natalité et le vieillissement des populations progressent également, mais les conditions matérielles de cette situation ne sont pas suffisamment prises en compte.
--- p.22
Si la population dépasse les 100 ans, les personnes septuagénaires risquent d'être traitées comme des enfants gâtés.
Ah, de nos jours, les jeunes ne savent plus ce qu'est le respect !
--- p.26
Le fait que des groupes d'âge entiers de notre société aient cessé de travailler depuis la Seconde Guerre mondiale — c'est-à-dire qu'ils ne font que consommer et ne produisent plus — est un désastre engendré par les meilleures intentions.
L'expérience et la perspicacité s'acquièrent généralement avec l'âge.
En continuant d'exercer leurs anciens emplois ou en en trouvant de nouveaux, les personnes âgées renouent des relations, font du bénévolat et deviennent des participants pleinement actifs.
Alors disparaîtra le préjugé qui considère les personnes âgées comme des parasites qu'il faut éliminer rapidement.
--- p.47
Samuel Butler a dit : « La vie, c'est comme apprendre le violon en jouant le concerto pour violon. »
Nous continuerons à nous entraîner jusqu'au dernier jour, en jouant chaque note maladroitement.
--- p.119
La vie est une très longue lettre écrite en petits caractères.
Le voyage de la vie est parfois incroyablement dangereux, mais il est aussi véritablement merveilleux.
Pierre Weil, un penseur français qui a réfléchi à la tolérance avant Voltaire, a plaidé pour « le droit de la conscience à errer ».
Plutôt que d'être contraints d'accepter une certaine vérité ou croyance, nous avons besoin du droit de nous tromper et de réfléchir à notre propre jugement.
En ce sens, nous sommes tous des âmes errantes, vivant au jour le jour au gré des envies.
Nous prenons notre temps, en évitant les obstacles et en empruntant des détours pittoresques pour atteindre l'arrivée.
Il faut aborder la descente de la vie comme la montée.
--- p.123~124
Aimer, c'est se réjouir de l'existence de l'autre et le lui dire chaque jour par sa simple présence.
Si vous voulez goûter aux joies de la vie, échapper à la futilité de chaque jour et rompre la stagnation du quotidien, ces deux éléments sont parfaits.
Qu'as-tu fait aujourd'hui ? Même si tu n'as rien fait de particulier, il y a une énorme différence entre raconter en détail les événements de la journée avec un être cher à tes côtés et les ruminer seul.
À tout moment, nous avons besoin de quelqu'un qui écoute avec bienveillance nos peines et nos malheurs.
Nous pouvons à tout moment être ceux qui écoutent les autres et leur offrent réconfort et conseils.
--- p.170
La diversité des destins est toujours liée aux rencontres avec les autres.
Sans rencontres, nous n'y gagnerions aucune profondeur.
Vieillir, c'est reconnaître et chérir cette dette infinie.
Les autres personnes que nous avons rencontrées ont contribué à faire de nous ce que nous sommes aujourd'hui.
Chacun d'entre nous est une œuvre collective appelée « moi ».
--- p.219
Quand nous sommes jeunes, notre corps est davantage comme un ami, ou plutôt comme un serviteur.
Il se rétablit tout seul sans que nous ayons à nous en occuper séparément et se déplace à notre guise.
Parfois, notre corps nous surprend par des capacités et des aptitudes qui dépassent nos attentes.
Dans ces moments-là, on se sent invincible.
Les choses changent après 30 ans, et votre corps réclame une attention constante.
Le serviteur se transforme en maître exigeant, nous harcelant jour après jour, nous laissant perplexes quant à savoir s'il s'agit d'une simple remarque ou d'une véritable inquiétude.
Dois-je me mettre sur mes gardes maintenant, ou est-ce que j'ai tout simplement trop peur ?
--- p.276
Avis de l'éditeur
Meilleure vente sur Amazon France
Des critiques dithyrambiques dans les principaux médias français, dont Le Monde, Le Figaro et Le Point.
Après avoir lu ce livre, vous vous rendrez compte à quel point votre vieillesse est en réalité « jeune » ! – Le poète Jeong Ho-seung
« Comment vais-je vieillir ? »
- De Montaigne à Sartre, les réponses les plus éloquentes aux incertitudes de la vie.
Pascal Bruckner, romancier et philosophe lauréat de nombreux prix littéraires français prestigieux et reconnu pour son talent littéraire exceptionnel, nous offre un univers de réflexion splendide sur le thème potentiellement solitaire du « vieillissement ».
Le style d'écriture sophistiqué de l'auteur, qui passe aisément de la littérature à la philosophie en passant par la culture populaire tout en exprimant ses pensées avec fluidité, rend le livre très agréable à lire.
L'auteur entrelace diverses références, parmi lesquelles Maupassant, Frost, Sartre, Montaigne et Sénèque, pour aboutir à une brillante réflexion sur le vieillissement.
Quels que soient les progrès de la médecine et de la technologie, l'incertitude quant à l'avenir n'a pas diminué depuis le XVIIe siècle, et la fugacité de chaque jour n'a pas été réduite le moins du monde.
Avec l'allongement de la vie, un paradoxe apparaît : nous devons endurer des périodes d'anxiété plus longues.
Le rôle de la philosophie est de fournir une boussole face à cette incertitude même de la vie.
Montaigne disait : « La philosophie, c’est apprendre à mourir », et dans le même esprit, l’auteur affirme : « La philosophie, c’est apprendre à vivre, et surtout apprendre à revivre à l’horizon du fini. »
Si la vie connaît le printemps et l'été caniculaire, l'automne et l'hiver, dans quelle saison vivons-nous actuellement ? Dans « Pour les jours à venir », nous découvrons une philosophie du crépuscule qui nous permet de vivre une vie emplie de l'énergie d'un nouveau printemps, même lorsque l'automne et l'hiver arrivent.
« Aimez, travaillez et dansez jusqu’au dernier jour de votre vie ! »
L'auteur controversé de « Bitter Moon » revient à la philosophie du désir.
L'auteur de ce livre, Pascal Brückner, est bien connu en Corée comme le romancier de Bitter Moon.
Le roman « Lune amère », également adapté au cinéma sous le même titre, fut une œuvre controversée qui dépeignait avec audace le caractère destructeur du désir et qui fit sensation dans le monde littéraire français des années 1990.
Les personnages du roman se précipitent hardiment vers leur propre destruction pour assouvir leurs désirs, et cette attitude reste présente dans la vision de la vie de l'auteur, qui a aujourd'hui plus de soixante-dix ans.
Revenant à son rôle de philosophe, il déclare :
« Nous devons comprendre que seul le désir peut régénérer l’âme et l’esprit. »
« Le désir nous réinvente sans cesse. » (p. 165) « En vieillissant, nous devons garder notre cœur jeune, en entretenant notre désir pour le monde, notre joie et notre curiosité pour la génération suivante. » (p. 95) Selon lui, le moyen de ralentir le cours de la vie est de rester dans le « dynamisme du désir ».
Si le monde a jusqu'à présent nié l'existence même des désirs chez les personnes âgées, ce livre nous exhorte à cultiver nos vies en nous efforçant de préserver nos désirs physiques et mentaux, de peur que nos vies ne deviennent stériles dans notre vieillesse.
Rêvez-vous d'une vie où la passion brille et où votre âme et votre cœur brûlent d'une flamme intense malgré les années ? Adoptez cette nouvelle philosophie du vieillissement, réconciliez « romance » et « rides », abandonnez-vous volontiers à la tempête des émotions et vivez avec « l'amour couronné de cheveux blancs ».
« Mon été n’est pas encore terminé ! »
- Comment réussir brillamment la seconde moitié de sa vie
Dans quelle mesure mon âge me définit-il en tant que personne ? L’espérance de vie moyenne était de 30 à 35 ans au XIXe siècle, mais elle était passée à 45-50 ans au XXe siècle, et elle augmente aujourd’hui d’environ trois mois par an.
Avec l'augmentation de l'espérance de vie, nous ne vivons pas seulement plus longtemps ; notre rapport à la vie se transforme fondamentalement.
Les valeurs concernant l'éducation, la carrière, la famille et l'amour ne sont-elles pas déjà sensiblement différentes de celles des générations précédentes ?
À mesure que notre ère du papier devient de moins en moins précise pour décrire qui nous sommes, nous devons trouver notre propre façon de vivre les jours à venir.
N'avez-vous jamais entendu quelqu'un dire : « Pourquoi une personne de votre âge se comporte-t-elle comme ça ? »
Il fut un temps où l'âge était synonyme de limitations et de restrictions, et ne pas être digne de son âge était honteux.
En vieillissant, la liste des choses que je ne devrais pas faire et de celles auxquelles je devrais renoncer n'a fait que s'allonger.
À contre-courant de cette idée reçue, ce livre propose une nouvelle perspective sur le « vieillissement » et affirme avec audace : « N’abandonnez pas. »
Pourquoi devrions-nous passer notre temps à nous organiser, à faire des compromis et à renoncer alors que la vie bat son plein ? Posons-nous cette question en suivant les dix nouvelles de l’auteur, qui abordent des thèmes comme le statut social, le désir, l’amour et la mort.
Souhaitez-vous vivre longtemps ou intensément ? Comment supporterez-vous la fatigue de l’existence et la mélancolie du crépuscule ? Qu’est-ce qui vous anime et vous pousse à vivre avec une telle ferveur ? En fin de compte, c’est à nous de faire des jours à venir des moments d’anticipation et d’enthousiasme.
Des critiques dithyrambiques dans les principaux médias français, dont Le Monde, Le Figaro et Le Point.
Après avoir lu ce livre, vous vous rendrez compte à quel point votre vieillesse est en réalité « jeune » ! – Le poète Jeong Ho-seung
« Comment vais-je vieillir ? »
- De Montaigne à Sartre, les réponses les plus éloquentes aux incertitudes de la vie.
Pascal Bruckner, romancier et philosophe lauréat de nombreux prix littéraires français prestigieux et reconnu pour son talent littéraire exceptionnel, nous offre un univers de réflexion splendide sur le thème potentiellement solitaire du « vieillissement ».
Le style d'écriture sophistiqué de l'auteur, qui passe aisément de la littérature à la philosophie en passant par la culture populaire tout en exprimant ses pensées avec fluidité, rend le livre très agréable à lire.
L'auteur entrelace diverses références, parmi lesquelles Maupassant, Frost, Sartre, Montaigne et Sénèque, pour aboutir à une brillante réflexion sur le vieillissement.
Quels que soient les progrès de la médecine et de la technologie, l'incertitude quant à l'avenir n'a pas diminué depuis le XVIIe siècle, et la fugacité de chaque jour n'a pas été réduite le moins du monde.
Avec l'allongement de la vie, un paradoxe apparaît : nous devons endurer des périodes d'anxiété plus longues.
Le rôle de la philosophie est de fournir une boussole face à cette incertitude même de la vie.
Montaigne disait : « La philosophie, c’est apprendre à mourir », et dans le même esprit, l’auteur affirme : « La philosophie, c’est apprendre à vivre, et surtout apprendre à revivre à l’horizon du fini. »
Si la vie connaît le printemps et l'été caniculaire, l'automne et l'hiver, dans quelle saison vivons-nous actuellement ? Dans « Pour les jours à venir », nous découvrons une philosophie du crépuscule qui nous permet de vivre une vie emplie de l'énergie d'un nouveau printemps, même lorsque l'automne et l'hiver arrivent.
« Aimez, travaillez et dansez jusqu’au dernier jour de votre vie ! »
L'auteur controversé de « Bitter Moon » revient à la philosophie du désir.
L'auteur de ce livre, Pascal Brückner, est bien connu en Corée comme le romancier de Bitter Moon.
Le roman « Lune amère », également adapté au cinéma sous le même titre, fut une œuvre controversée qui dépeignait avec audace le caractère destructeur du désir et qui fit sensation dans le monde littéraire français des années 1990.
Les personnages du roman se précipitent hardiment vers leur propre destruction pour assouvir leurs désirs, et cette attitude reste présente dans la vision de la vie de l'auteur, qui a aujourd'hui plus de soixante-dix ans.
Revenant à son rôle de philosophe, il déclare :
« Nous devons comprendre que seul le désir peut régénérer l’âme et l’esprit. »
« Le désir nous réinvente sans cesse. » (p. 165) « En vieillissant, nous devons garder notre cœur jeune, en entretenant notre désir pour le monde, notre joie et notre curiosité pour la génération suivante. » (p. 95) Selon lui, le moyen de ralentir le cours de la vie est de rester dans le « dynamisme du désir ».
Si le monde a jusqu'à présent nié l'existence même des désirs chez les personnes âgées, ce livre nous exhorte à cultiver nos vies en nous efforçant de préserver nos désirs physiques et mentaux, de peur que nos vies ne deviennent stériles dans notre vieillesse.
Rêvez-vous d'une vie où la passion brille et où votre âme et votre cœur brûlent d'une flamme intense malgré les années ? Adoptez cette nouvelle philosophie du vieillissement, réconciliez « romance » et « rides », abandonnez-vous volontiers à la tempête des émotions et vivez avec « l'amour couronné de cheveux blancs ».
« Mon été n’est pas encore terminé ! »
- Comment réussir brillamment la seconde moitié de sa vie
Dans quelle mesure mon âge me définit-il en tant que personne ? L’espérance de vie moyenne était de 30 à 35 ans au XIXe siècle, mais elle était passée à 45-50 ans au XXe siècle, et elle augmente aujourd’hui d’environ trois mois par an.
Avec l'augmentation de l'espérance de vie, nous ne vivons pas seulement plus longtemps ; notre rapport à la vie se transforme fondamentalement.
Les valeurs concernant l'éducation, la carrière, la famille et l'amour ne sont-elles pas déjà sensiblement différentes de celles des générations précédentes ?
À mesure que notre ère du papier devient de moins en moins précise pour décrire qui nous sommes, nous devons trouver notre propre façon de vivre les jours à venir.
N'avez-vous jamais entendu quelqu'un dire : « Pourquoi une personne de votre âge se comporte-t-elle comme ça ? »
Il fut un temps où l'âge était synonyme de limitations et de restrictions, et ne pas être digne de son âge était honteux.
En vieillissant, la liste des choses que je ne devrais pas faire et de celles auxquelles je devrais renoncer n'a fait que s'allonger.
À contre-courant de cette idée reçue, ce livre propose une nouvelle perspective sur le « vieillissement » et affirme avec audace : « N’abandonnez pas. »
Pourquoi devrions-nous passer notre temps à nous organiser, à faire des compromis et à renoncer alors que la vie bat son plein ? Posons-nous cette question en suivant les dix nouvelles de l’auteur, qui abordent des thèmes comme le statut social, le désir, l’amour et la mort.
Souhaitez-vous vivre longtemps ou intensément ? Comment supporterez-vous la fatigue de l’existence et la mélancolie du crépuscule ? Qu’est-ce qui vous anime et vous pousse à vivre avec une telle ferveur ? En fin de compte, c’est à nous de faire des jours à venir des moments d’anticipation et d’enthousiasme.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 12 novembre 2021
Nombre de pages, poids, dimensions : 320 pages | 476 g | 138 × 205 × 30 mm
- ISBN13 : 9791168340039
- ISBN10 : 1168340039
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Langue coréenne
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