
Mencius lut à cinquante ans
Description
Introduction au livre
- Un mot du médecin
-
Lisez Mencius avant qu'il ne soit trop tard.L'éminent penseur Mencius a harmonisé l'amour universel pour l'humanité, commencement de l'humanité, avec l'individualité, commencement de la courtoisie.
« Mencius » est à la fois un livre sur le pouvoir et un livre sur le développement personnel.
Les réflexions de Mencius sont particulièrement nécessaires aux personnes d'âge moyen qui doivent jouer un rôle central dans leurs organisations et leurs familles.
Si vous n'avez pas encore lu Mencius, commencez par ce livre.
C'est le livre idéal à ouvrir pour la nouvelle année.
14 janvier 2025. Directeur de programme en sciences humaines, Son Min-gyu
Si vous avez l'esprit ouvert, vous pouvez voir la grande route !
La puissance des 58 maximes de Mencius, qui recèlent cinquante années de sagesse et de perspicacité.
Cinquante ans, à quel point avez-vous réfléchi à vos propres sentiments au fil des années ? Je pensais devenir plus généreux et plus facile à vivre en vieillissant, mais à mesure que je travaillais à atteindre mes objectifs, mon horizon et mon cœur se sont rétrécis.
Ayant passé la moitié de ma vie, je suis assez vague quant à ce pour quoi je devrais vivre à l'avenir, mais je suis lié par l'entêtement qui s'est accumulé avec l'âge.
Mencius affirme que les personnes dans la cinquantaine ont besoin d'un « esprit magnanime ».
Plus vous ouvrez votre esprit et mangez sainement, plus vous pourrez parcourir le grand chemin même après cinquante ans.
La lecture du Mencius élargit votre perspective et votre vision, et révèle une voie plus vaste.
Le proverbe « cinquante vaut bien cent » en est un exemple représentatif.
Le roi Hui de Liang demanda à Mencius pourquoi le peuple n'augmentait pas alors qu'aucun roi ne se dévouait autant que lui à son pays.
Mencius demanda au roi : « Que se passera-t-il si un soldat qui a couru cinquante pas pendant une guerre se moque d'un soldat qui en a couru cent ? »
Le roi déclara qu'ils étaient tous deux dans la même situation, puisqu'ils étaient tous deux des fugitifs.
Mencius fit alors remarquer que le roi pensait bien faire, mais que, parce qu'il aimait la guerre, beaucoup de gens mouraient de faim dans les rues, et que s'il avait été bon, les habitants des pays voisins auraient émigré.
C'est également vrai pour nous maintenant.
Lorsque vous vous surprenez à blâmer les situations et les personnes, si vous essayez de vous mettre à leur place, vous serez capable de lâcher prise et d'éviter de vous blesser ou de les blesser.
« Lire Mencius à cinquante ans » est un livre qui sélectionne 58 histoires essentielles pour les personnes d'une cinquantaine d'années tirées de « Mencius », qui contient les paroles et les actions de Mencius, les conversations entre Mencius et le roi, et entre Mencius et ses disciples, et les mêle à des histoires de notre époque.
Nous pouvons tirer des leçons de Mencius, qui conseillait les rois de la période des Royaumes combattants il y a environ 2 300 ans sur l'état d'esprit et l'attitude qu'un gentilhomme devait adopter : comment porter des jugements judicieux, être impartial dans sa réflexion, être respecté et vivre généreusement.
Mencius était un philosophe qui possédait un « esprit inébranlable » (不動心) et une « énergie mentale et physique libre de tout obstacle dans le monde » (호연지기).
Ces deux qualités qu'un gentleman devrait posséder sont également nécessaires aux personnes quinquagénaires d'aujourd'hui.
Ce livre vous guide à travers les valeurs de Mencius que vous devez cultiver pour vivre en personne d'âge mûr avec discernement et dignité.
Mencius a suggéré la « compassion », « un cœur de honte », « un cœur de respect pour les autres », « un cœur qui discerne le bien du mal » et « un cœur de bonté ».
Ces cinq personnages ont été reconstitués pour correspondre à la situation réaliste et à l'état d'esprit d'une personne de cinquante ans.
Grâce à cela, vous développerez un esprit ouvert qui ne s'attardera pas sur les détails, une conviction qui vous permettra d'aborder les difficultés avec sagesse, et vous éviterez ainsi le stress dans vos relations interpersonnelles.
Cinquante, j'espère résoudre les problèmes difficiles du cœur grâce aux indices laissés par Mencius.
L'histoire de Mencius offrira des conseils à ceux qui ont plus de cinquante ans, les incitant à vivre en sages, comme dans un foyer confortable, et en personnes intègres, comme sur une large route.
Ainsi, vous deviendrez un adulte plus serein, vivant sans hésitation, et développant vos intentions avec dignité et une vision globale.
La puissance des 58 maximes de Mencius, qui recèlent cinquante années de sagesse et de perspicacité.
Cinquante ans, à quel point avez-vous réfléchi à vos propres sentiments au fil des années ? Je pensais devenir plus généreux et plus facile à vivre en vieillissant, mais à mesure que je travaillais à atteindre mes objectifs, mon horizon et mon cœur se sont rétrécis.
Ayant passé la moitié de ma vie, je suis assez vague quant à ce pour quoi je devrais vivre à l'avenir, mais je suis lié par l'entêtement qui s'est accumulé avec l'âge.
Mencius affirme que les personnes dans la cinquantaine ont besoin d'un « esprit magnanime ».
Plus vous ouvrez votre esprit et mangez sainement, plus vous pourrez parcourir le grand chemin même après cinquante ans.
La lecture du Mencius élargit votre perspective et votre vision, et révèle une voie plus vaste.
Le proverbe « cinquante vaut bien cent » en est un exemple représentatif.
Le roi Hui de Liang demanda à Mencius pourquoi le peuple n'augmentait pas alors qu'aucun roi ne se dévouait autant que lui à son pays.
Mencius demanda au roi : « Que se passera-t-il si un soldat qui a couru cinquante pas pendant une guerre se moque d'un soldat qui en a couru cent ? »
Le roi déclara qu'ils étaient tous deux dans la même situation, puisqu'ils étaient tous deux des fugitifs.
Mencius fit alors remarquer que le roi pensait bien faire, mais que, parce qu'il aimait la guerre, beaucoup de gens mouraient de faim dans les rues, et que s'il avait été bon, les habitants des pays voisins auraient émigré.
C'est également vrai pour nous maintenant.
Lorsque vous vous surprenez à blâmer les situations et les personnes, si vous essayez de vous mettre à leur place, vous serez capable de lâcher prise et d'éviter de vous blesser ou de les blesser.
« Lire Mencius à cinquante ans » est un livre qui sélectionne 58 histoires essentielles pour les personnes d'une cinquantaine d'années tirées de « Mencius », qui contient les paroles et les actions de Mencius, les conversations entre Mencius et le roi, et entre Mencius et ses disciples, et les mêle à des histoires de notre époque.
Nous pouvons tirer des leçons de Mencius, qui conseillait les rois de la période des Royaumes combattants il y a environ 2 300 ans sur l'état d'esprit et l'attitude qu'un gentilhomme devait adopter : comment porter des jugements judicieux, être impartial dans sa réflexion, être respecté et vivre généreusement.
Mencius était un philosophe qui possédait un « esprit inébranlable » (不動心) et une « énergie mentale et physique libre de tout obstacle dans le monde » (호연지기).
Ces deux qualités qu'un gentleman devrait posséder sont également nécessaires aux personnes quinquagénaires d'aujourd'hui.
Ce livre vous guide à travers les valeurs de Mencius que vous devez cultiver pour vivre en personne d'âge mûr avec discernement et dignité.
Mencius a suggéré la « compassion », « un cœur de honte », « un cœur de respect pour les autres », « un cœur qui discerne le bien du mal » et « un cœur de bonté ».
Ces cinq personnages ont été reconstitués pour correspondre à la situation réaliste et à l'état d'esprit d'une personne de cinquante ans.
Grâce à cela, vous développerez un esprit ouvert qui ne s'attardera pas sur les détails, une conviction qui vous permettra d'aborder les difficultés avec sagesse, et vous éviterez ainsi le stress dans vos relations interpersonnelles.
Cinquante, j'espère résoudre les problèmes difficiles du cœur grâce aux indices laissés par Mencius.
L'histoire de Mencius offrira des conseils à ceux qui ont plus de cinquante ans, les incitant à vivre en sages, comme dans un foyer confortable, et en personnes intègres, comme sur une large route.
Ainsi, vous deviendrez un adulte plus serein, vivant sans hésitation, et développant vos intentions avec dignité et une vision globale.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
À l'aube de cinquante ans, demandez à Mencius la voie du cœur.
Chapitre 1 : Comment vivre selon la raison ? - La rectitude du quinquagénaire
Il n'y a pas une grande différence entre eux, juste un peu mieux et un peu moins bien.
Qu'une personne soit jeune ou vieille, bonne ou mauvaise, on peut toujours apprendre quelque chose d'elle.
Si c'est facile et différent, c'est excessif. Si c'est difficile et excellent, c'est du courage.
Le résultat d'un enseignement dépend du destinataire.
Choses à éviter avec des mesures de fortune et choses à résoudre correctement
Tout le monde a des défauts, peuvent-ils être corrigés immédiatement ?
Si c'est pour le profit, c'est de la flatterie ; si c'est pour le bien, c'est de la persuasion.
Retrouver son centre, c'est retrouver son cœur perdu.
Celui qui connaît la piété filiale sait aussi distinguer le bien du mal.
Ai-je de bons amis ? Suis-je un bon ami ?
Observez si l'autre personne ouvre son cœur ou le ferme.
Les personnes qui ont des principes sont honnêtes, et les personnes honnêtes réussissent.
Chapitre 2 : Comment continuer à apprendre et à vivre ? - L'autodérision du quinquagénaire
Il est impossible que seules de bonnes choses arrivent, et il est impossible que seules de mauvaises choses arrivent.
C’est quand tout le monde me fait des éloges que je dois être le plus vigilant.
La raison pour laquelle l'arc rate la cible, c'est que je suis distrait.
Quand on pense à la mort, on ne peut pas vivre insouciant.
Les bonnes manières ne sont pas liées au statut social.
Ne soyez ni trop joyeux ni trop triste face aux personnes impolies.
Je dois d'abord m'entraîner pour que les autres puissent suivre mon exemple.
Une personne qui reconnaît ses erreurs et sait s'en excuser.
N'achète pas ton cœur avec de l'argent, et ne laisse pas l'argent acheter ton cœur.
Attention aux extrêmes
Plus vous forcez les choses, plus vous vous éloignez d'un bon résultat.
Chapitre 3 : Comment vivre modérément ? - Le Suojisim du quinquagénaire
Payer le prix d'une nuit, c'est connaître la honte.
Quand faut-il se mettre en colère ?
Tout excès est source de problèmes.
Si tu connais la justice et ta force, tu peux vaincre n'importe qui.
Si vous voulez vivre dans la dignité, ne vous comparez pas.
La branche n'est pas incassable, mais incassable.
Si je ne recherche que le bien des autres, les autres ne rechercheront que mon propre bien.
Si vous faites quoi que ce soit de manière constante, ni votre corps ni votre esprit ne changeront.
Aider les autres m'aide aussi.
Si vous voulez être bien traité, vous devez aussi savoir prendre vos responsabilités.
Il te faut une devise pour rester fort
Si tu fais semblant, ça devient drôle.
Chapitre 4 : Comment vivre généreusement ? – La compassion de cinquante ans
N'oubliez pas que lorsqu'on veut atteindre un objectif, il y a forcément de la souffrance à endurer.
Tout change avec mon état d'esprit.
Plus je ne peux pas faire ce que je veux, plus je dois l'accepter.
Étais-je le genre de personne avec qui l'autre personne voulait être ?
Les larmes et les cœurs coulent d'en haut vers en bas
Si vous vous souciez du bien-être de l'autre personne, vous pouvez devenir un véritable ami.
Quand vous vous trouverez face à la mort, comment direz-vous que vous avez vécu ?
Le parfum de la vertu se répand rapidement et dure longtemps.
D'autres développent l'estime de soi, mais moi, je développe le respect de moi-même.
Si ce n'est pas maintenant, quand ?
Une personne sincère envers les autres est une personne sincère envers elle-même.
Je ne peux pas empêcher ce qui m'arrive.
Chapitre 5 : Comment vivre sans trembler ? - Hoyeonjigi de la quinquagénaire
Trouver le cœur d'un enfant
Ne vous laissez pas intimider par les personnes qui suivent un parcours différent du vôtre.
Savoir quand renoncer à l'avidité et prendre du recul
Je ne peux pas tout avoir moi-même
L'énergie d'une personne lui est donnée par une autre personne.
Une vie que je peux dire vivre avec fierté
Le moyen de ne pas perdre son cœur
Ne croyez pas qu'il est trop tard sans avoir fait le moindre pas.
Même si vous savez, restez zen. Même si vous ne savez pas, restez zen.
Ne les soumettez pas, faites-les comprendre
L'esprit peut vaciller, mais il doit aussi être capable de se corriger.
Le pouvoir de l'esprit est le pouvoir de vivre pleinement.
Chapitre 1 : Comment vivre selon la raison ? - La rectitude du quinquagénaire
Il n'y a pas une grande différence entre eux, juste un peu mieux et un peu moins bien.
Qu'une personne soit jeune ou vieille, bonne ou mauvaise, on peut toujours apprendre quelque chose d'elle.
Si c'est facile et différent, c'est excessif. Si c'est difficile et excellent, c'est du courage.
Le résultat d'un enseignement dépend du destinataire.
Choses à éviter avec des mesures de fortune et choses à résoudre correctement
Tout le monde a des défauts, peuvent-ils être corrigés immédiatement ?
Si c'est pour le profit, c'est de la flatterie ; si c'est pour le bien, c'est de la persuasion.
Retrouver son centre, c'est retrouver son cœur perdu.
Celui qui connaît la piété filiale sait aussi distinguer le bien du mal.
Ai-je de bons amis ? Suis-je un bon ami ?
Observez si l'autre personne ouvre son cœur ou le ferme.
Les personnes qui ont des principes sont honnêtes, et les personnes honnêtes réussissent.
Chapitre 2 : Comment continuer à apprendre et à vivre ? - L'autodérision du quinquagénaire
Il est impossible que seules de bonnes choses arrivent, et il est impossible que seules de mauvaises choses arrivent.
C’est quand tout le monde me fait des éloges que je dois être le plus vigilant.
La raison pour laquelle l'arc rate la cible, c'est que je suis distrait.
Quand on pense à la mort, on ne peut pas vivre insouciant.
Les bonnes manières ne sont pas liées au statut social.
Ne soyez ni trop joyeux ni trop triste face aux personnes impolies.
Je dois d'abord m'entraîner pour que les autres puissent suivre mon exemple.
Une personne qui reconnaît ses erreurs et sait s'en excuser.
N'achète pas ton cœur avec de l'argent, et ne laisse pas l'argent acheter ton cœur.
Attention aux extrêmes
Plus vous forcez les choses, plus vous vous éloignez d'un bon résultat.
Chapitre 3 : Comment vivre modérément ? - Le Suojisim du quinquagénaire
Payer le prix d'une nuit, c'est connaître la honte.
Quand faut-il se mettre en colère ?
Tout excès est source de problèmes.
Si tu connais la justice et ta force, tu peux vaincre n'importe qui.
Si vous voulez vivre dans la dignité, ne vous comparez pas.
La branche n'est pas incassable, mais incassable.
Si je ne recherche que le bien des autres, les autres ne rechercheront que mon propre bien.
Si vous faites quoi que ce soit de manière constante, ni votre corps ni votre esprit ne changeront.
Aider les autres m'aide aussi.
Si vous voulez être bien traité, vous devez aussi savoir prendre vos responsabilités.
Il te faut une devise pour rester fort
Si tu fais semblant, ça devient drôle.
Chapitre 4 : Comment vivre généreusement ? – La compassion de cinquante ans
N'oubliez pas que lorsqu'on veut atteindre un objectif, il y a forcément de la souffrance à endurer.
Tout change avec mon état d'esprit.
Plus je ne peux pas faire ce que je veux, plus je dois l'accepter.
Étais-je le genre de personne avec qui l'autre personne voulait être ?
Les larmes et les cœurs coulent d'en haut vers en bas
Si vous vous souciez du bien-être de l'autre personne, vous pouvez devenir un véritable ami.
Quand vous vous trouverez face à la mort, comment direz-vous que vous avez vécu ?
Le parfum de la vertu se répand rapidement et dure longtemps.
D'autres développent l'estime de soi, mais moi, je développe le respect de moi-même.
Si ce n'est pas maintenant, quand ?
Une personne sincère envers les autres est une personne sincère envers elle-même.
Je ne peux pas empêcher ce qui m'arrive.
Chapitre 5 : Comment vivre sans trembler ? - Hoyeonjigi de la quinquagénaire
Trouver le cœur d'un enfant
Ne vous laissez pas intimider par les personnes qui suivent un parcours différent du vôtre.
Savoir quand renoncer à l'avidité et prendre du recul
Je ne peux pas tout avoir moi-même
L'énergie d'une personne lui est donnée par une autre personne.
Une vie que je peux dire vivre avec fierté
Le moyen de ne pas perdre son cœur
Ne croyez pas qu'il est trop tard sans avoir fait le moindre pas.
Même si vous savez, restez zen. Même si vous ne savez pas, restez zen.
Ne les soumettez pas, faites-les comprendre
L'esprit peut vaciller, mais il doit aussi être capable de se corriger.
Le pouvoir de l'esprit est le pouvoir de vivre pleinement.
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Dans le livre
Je pensais devenir plus généreuse et plus facile à vivre en vieillissant, mais parfois j'ai du mal à ouvrir mon cœur, et encore moins à m'ouvrir aux autres.
Dans des moments comme ceux-ci, on ne trouve pas la réponse sur les réseaux sociaux, où l'on ne voit que ce que l'on veut voir.
C'est simplement un tranquillisant qui vous fait oublier vos soucis et votre douleur pendant un moment.
Si l'on ne peut nier les avantages des commodités modernes, elles deviennent problématiques lorsqu'on s'y fie entièrement.
À cinquante ans, lorsque votre vision et votre esprit semblent étroits, si vous vous demandez comment élargir vos perspectives et de quoi remplir votre cœur, je vous invite à trouver la réponse chez Mencius, philosophe et sage de la période des Royaumes combattants en Chine.
--- Extrait de « Cinquante, interrogeant Mencius sur la voie du cœur »
Après que sa renommée se soit largement répandue, Mencius commandait des dizaines de chars et des centaines d'hommes.
Mencius était non seulement exceptionnellement intelligent, mais semblait également avoir une personnalité généreuse et chaleureuse.
Il existe un dialogue célèbre qui nous donne un aperçu du caractère de Mencius.
Le disciple Gongsun Chu posa une question à Mencius.
« Quels sont vos points forts, professeur ? »
Mencius répondit.
« Je suis doué pour comprendre les autres et cultiver un bon sens de l’humour. »
Lorsque Gongsun Chu demanda ce qu'était le Hoyeonjigi, Mencius répondit comme suit :
« C’est difficile à expliquer, mais Hoyeonjigi est une énergie vaste, forte et directe qui emplit le ciel et la terre. »
Mencius disait qu'un gentleman devait avoir un esprit inébranlable et un cœur ferme.
Et pour avoir un esprit stable, il a dit que nous devons cultiver l'esprit de hoyeonjigi (浩然之氣), qui est « une énergie mentale et physique qui n'est pas entravée par le monde ».
Si votre esprit n'est pas agité, vous ne pourrez pas considérer les soucis comme des soucis, même lorsqu'ils surviendront.
--- Extrait de « Cinquante, interrogeant Mencius sur la voie du cœur »
Si vous avez un grief contre quelqu'un, vous devez prendre l'habitude de penser de son point de vue, et non du vôtre.
On dit que l’expression « 易地思之 » (imaginer la situation du point de vue d’une autre personne) provient de la phrase « 易地則皆然 » (imaginer la situation du point de vue d’une autre personne) du Mencius.
L'importance de prendre en compte le point de vue des autres reste inchangée, que ce soit il y a 2000 ans ou aujourd'hui.
Si nous avions un cœur empathique, il y aurait moins d'incidents malheureux dans ce monde.
Parce que je ne poursuis pas uniquement mes propres intérêts, mais que je tiens également compte de ceux des autres.
« C'est un peu mieux et un peu pire, mais il n'y a pas beaucoup de différence entre les deux. »
Mencius déplorait : « Les gens savent comment retrouver une poule ou un chien perdu, mais une fois qu’ils ont perdu leur cœur, ils ne savent pas comment le retrouver. »
Cela signifie que les gens s'inquiètent de perdre des biens matériels, mais qu'ils ne se soucient pas vraiment de se perdre eux-mêmes.
Mencius a souligné ce point :
« Il n’y a pas d’autre voie vers l’apprentissage que de retrouver l’esprit perdu. »
Il n'est pas nécessaire de considérer le monde universitaire comme quelque chose de grandiose.
Lire des livres, réfléchir et prendre conscience de ce qui m'est vraiment précieux.
Car, au final, apprendre, c'est apprendre et se poser des questions.
--- Extrait de « Trouver son centre, c'est retrouver son cœur perdu »
Wanzhang, disciple de Mencius, interrogea son maître.
« Maître, j’ose vous demander quelle est la bonne façon de se faire des amis. »
Mencius dit alors :
« C’est se faire des amis sans se vanter de son âge, sans se vanter de sa position élevée, et sans se vanter de la richesse de son frère. »
Regardez autour de vous maintenant.
Ai-je de bons amis ? Existe-t-il quelqu’un avec qui je puisse partager connaissances et sagesse, joies et peines de la vie, pour le restant de mes jours ? Si ce n’est pas le cas, je dois prendre un moment pour réfléchir à la façon dont je traite les autres.
Est-ce que j'essaie d'établir des liens avec les gens en fonction de leur âge ou de leur statut, ou est-ce que je les respecte et les apprécie en tant qu'individus ?
--- Extrait de « Ai-je de bons amis ? Suis-je un bon ami ? »
Mencius a dit :
« Une personne bienveillante est comme un archer. Un archer se corrige avant de tirer. »
« Même si le tir ne fait pas mouche, il ne blâme pas celui qui l’a vaincu, mais se tourne plutôt vers lui-même et cherche la cause du problème. »
Si votre esprit est encombré d'autres pensées, vous ne pouvez pas vous concentrer sur l'objectif.
Certaines personnes incriminent des facteurs externes, comme un objectif inapproprié ou une distraction, plutôt que leurs propres problèmes.
Ce genre d'attitude n'est pas naturel.
Chaque flèche que vous tirerez manquera la cible.
--- Extrait de « La raison pour laquelle l'arc rate la cible est que je suis distrait »
Mencius a dit :
« Si vous détestez mourir et disparaître maintenant, mais que vous aimez ce que vous ne pouvez pas faire, c’est comme détester s’enivrer et se forcer à boire. »
Si vous éprouvez en ce moment des sentiments de gratitude et d'amour (un esprit de bienveillance), pourquoi ne pas les exprimer à quelqu'un d'autre (par simple courtoisie) ? Si nous prenons conscience du peu de temps qui nous est imparti et que nous pensons que nous pourrions mourir demain, ce ne sera pas difficile.
Veuillez le faire maintenant, pas demain, après-demain, le mois prochain, l'année prochaine, ni plus tard.
--- Extrait de « On ne peut pas vivre insouciamment quand on pense à la mort »
Mencius a souligné l'importance de la générosité.
Que ce serait merveilleux de vivre avec un cœur ouvert et généreux, et des convictions inébranlables ! Une vie où l'on accueille les choses avec un esprit ouvert et où l'on a la conviction de surmonter même les défis les plus difficiles.
Vous ne vous laisserez plus absorber par les petits tracas du monde et vos relations avec les autres seront moins stressantes.
Mais tant que nous serons humains, nous ne pourrons nous empêcher d'être ébranlés.
Laissez-vous tromper par les murmures du diable.
Mencius a dit :
« Lorsqu’on cultive un esprit de bonté, il ne faut pas toujours s’y attendre, mais il ne faut pas oublier le cœur, et il ne faut pas le forcer. »
En d'autres termes, nous devons composer avec le sujet du hoyeonjigi, mais nous n'avons pas à y être prisonniers.
Cela ne signifie pas que vous deviez complètement oublier le Hoyeonjigi. Au contraire, je vous encourage à en parler régulièrement, à le laisser s'intégrer naturellement à votre vie et à le mettre en pratique.
Mencius expliqua cela facilement en utilisant l'exemple d'une personne de la dynastie Song.
Un jour, un homme de la dynastie Song s'inquiéta de la mauvaise croissance de ses pousses de riz et les arracha de force.
L'intention était bonne de vouloir le faire grandir, mais que s'est-il passé ? Il est rentré chez lui fatigué et l'a raconté à sa famille.
« Je suis très fatiguée aujourd’hui. »
« J’ai aidé les germes de riz à pousser. »
Le fils fut surpris et se rendit dans le champ pour constater que les pousses de riz avaient séché et étaient mortes.
--- Extrait de « Tout excès finit par causer des ennuis »
Mencius a dit :
« Si vous traitez les personnes âgées de votre foyer comme des personnes âgées et que vous étendez cet amour aux personnes âgées des autres foyers, et si vous aimez vos enfants comme des enfants et que vous étendez cet amour aux enfants des autres foyers, vous pouvez contrôler le monde. »
En définitive, Mencius affirmait : « Si j’accorde ma grâce, je peux suffisamment protéger les quatre mers ; si je ne le fais pas, je ne peux même pas protéger ma femme et mes enfants. »
Je pense que le fait de faire rayonner mes vertus aussi bien chez moi qu'à l'extérieur est la valeur la plus importante pour les personnes dans la cinquantaine.
Il ne s'agit pas seulement d'un acte de paix et de bonheur pour ma famille, mais aussi d'un acte de contribution à la société.
Le parfum de ces vertus se répand rapidement et longtemps.
C'est une façon de vivre sa vie plus dignement.
Si vous vous sentez impuissant ou fatigué en ce moment, pensez à vos vertus.
L'ampleur de la vertu n'a pas d'importance.
Vous pouvez l'adapter à votre situation.
La seule différence réside entre le faire et ne pas le faire.
--- Extrait de « Le parfum de la vertu se répand rapidement et dure longtemps »
Surtout lorsqu'on atteint la cinquantaine, on a soif de reconnaissance.
Car avec l'âge, notre estime de soi diminue progressivement.
C’est d’autant plus vrai que leur santé physique n’est plus ce qu’elle était et que leur esprit n’est plus aussi vif que celui de la jeune génération.
Il est facile de se sentir triste lorsqu'on travaille dur et qu'on n'est pas reconnu au travail, ou lorsqu'on fait de son mieux pour sa famille mais qu'on n'est pas reconnu.
Je commence à me demander pourquoi je travaille si dur.
Quel conseil Mencius nous donnerait-il aujourd'hui ? Voici ce qu'il a dit à un homme de la dynastie Song nommé Song Gou-cheon :
« Aimez-vous faire campagne ? Permettez-moi de vous parler un peu de ce que c'est que de faire campagne. »
« Même si l’autre personne vous reconnaît, vous devez rester détendu, et même si elle ne vous reconnaît pas, vous devez rester détendu. »
Dans des moments comme ceux-ci, on ne trouve pas la réponse sur les réseaux sociaux, où l'on ne voit que ce que l'on veut voir.
C'est simplement un tranquillisant qui vous fait oublier vos soucis et votre douleur pendant un moment.
Si l'on ne peut nier les avantages des commodités modernes, elles deviennent problématiques lorsqu'on s'y fie entièrement.
À cinquante ans, lorsque votre vision et votre esprit semblent étroits, si vous vous demandez comment élargir vos perspectives et de quoi remplir votre cœur, je vous invite à trouver la réponse chez Mencius, philosophe et sage de la période des Royaumes combattants en Chine.
--- Extrait de « Cinquante, interrogeant Mencius sur la voie du cœur »
Après que sa renommée se soit largement répandue, Mencius commandait des dizaines de chars et des centaines d'hommes.
Mencius était non seulement exceptionnellement intelligent, mais semblait également avoir une personnalité généreuse et chaleureuse.
Il existe un dialogue célèbre qui nous donne un aperçu du caractère de Mencius.
Le disciple Gongsun Chu posa une question à Mencius.
« Quels sont vos points forts, professeur ? »
Mencius répondit.
« Je suis doué pour comprendre les autres et cultiver un bon sens de l’humour. »
Lorsque Gongsun Chu demanda ce qu'était le Hoyeonjigi, Mencius répondit comme suit :
« C’est difficile à expliquer, mais Hoyeonjigi est une énergie vaste, forte et directe qui emplit le ciel et la terre. »
Mencius disait qu'un gentleman devait avoir un esprit inébranlable et un cœur ferme.
Et pour avoir un esprit stable, il a dit que nous devons cultiver l'esprit de hoyeonjigi (浩然之氣), qui est « une énergie mentale et physique qui n'est pas entravée par le monde ».
Si votre esprit n'est pas agité, vous ne pourrez pas considérer les soucis comme des soucis, même lorsqu'ils surviendront.
--- Extrait de « Cinquante, interrogeant Mencius sur la voie du cœur »
Si vous avez un grief contre quelqu'un, vous devez prendre l'habitude de penser de son point de vue, et non du vôtre.
On dit que l’expression « 易地思之 » (imaginer la situation du point de vue d’une autre personne) provient de la phrase « 易地則皆然 » (imaginer la situation du point de vue d’une autre personne) du Mencius.
L'importance de prendre en compte le point de vue des autres reste inchangée, que ce soit il y a 2000 ans ou aujourd'hui.
Si nous avions un cœur empathique, il y aurait moins d'incidents malheureux dans ce monde.
Parce que je ne poursuis pas uniquement mes propres intérêts, mais que je tiens également compte de ceux des autres.
« C'est un peu mieux et un peu pire, mais il n'y a pas beaucoup de différence entre les deux. »
Mencius déplorait : « Les gens savent comment retrouver une poule ou un chien perdu, mais une fois qu’ils ont perdu leur cœur, ils ne savent pas comment le retrouver. »
Cela signifie que les gens s'inquiètent de perdre des biens matériels, mais qu'ils ne se soucient pas vraiment de se perdre eux-mêmes.
Mencius a souligné ce point :
« Il n’y a pas d’autre voie vers l’apprentissage que de retrouver l’esprit perdu. »
Il n'est pas nécessaire de considérer le monde universitaire comme quelque chose de grandiose.
Lire des livres, réfléchir et prendre conscience de ce qui m'est vraiment précieux.
Car, au final, apprendre, c'est apprendre et se poser des questions.
--- Extrait de « Trouver son centre, c'est retrouver son cœur perdu »
Wanzhang, disciple de Mencius, interrogea son maître.
« Maître, j’ose vous demander quelle est la bonne façon de se faire des amis. »
Mencius dit alors :
« C’est se faire des amis sans se vanter de son âge, sans se vanter de sa position élevée, et sans se vanter de la richesse de son frère. »
Regardez autour de vous maintenant.
Ai-je de bons amis ? Existe-t-il quelqu’un avec qui je puisse partager connaissances et sagesse, joies et peines de la vie, pour le restant de mes jours ? Si ce n’est pas le cas, je dois prendre un moment pour réfléchir à la façon dont je traite les autres.
Est-ce que j'essaie d'établir des liens avec les gens en fonction de leur âge ou de leur statut, ou est-ce que je les respecte et les apprécie en tant qu'individus ?
--- Extrait de « Ai-je de bons amis ? Suis-je un bon ami ? »
Mencius a dit :
« Une personne bienveillante est comme un archer. Un archer se corrige avant de tirer. »
« Même si le tir ne fait pas mouche, il ne blâme pas celui qui l’a vaincu, mais se tourne plutôt vers lui-même et cherche la cause du problème. »
Si votre esprit est encombré d'autres pensées, vous ne pouvez pas vous concentrer sur l'objectif.
Certaines personnes incriminent des facteurs externes, comme un objectif inapproprié ou une distraction, plutôt que leurs propres problèmes.
Ce genre d'attitude n'est pas naturel.
Chaque flèche que vous tirerez manquera la cible.
--- Extrait de « La raison pour laquelle l'arc rate la cible est que je suis distrait »
Mencius a dit :
« Si vous détestez mourir et disparaître maintenant, mais que vous aimez ce que vous ne pouvez pas faire, c’est comme détester s’enivrer et se forcer à boire. »
Si vous éprouvez en ce moment des sentiments de gratitude et d'amour (un esprit de bienveillance), pourquoi ne pas les exprimer à quelqu'un d'autre (par simple courtoisie) ? Si nous prenons conscience du peu de temps qui nous est imparti et que nous pensons que nous pourrions mourir demain, ce ne sera pas difficile.
Veuillez le faire maintenant, pas demain, après-demain, le mois prochain, l'année prochaine, ni plus tard.
--- Extrait de « On ne peut pas vivre insouciamment quand on pense à la mort »
Mencius a souligné l'importance de la générosité.
Que ce serait merveilleux de vivre avec un cœur ouvert et généreux, et des convictions inébranlables ! Une vie où l'on accueille les choses avec un esprit ouvert et où l'on a la conviction de surmonter même les défis les plus difficiles.
Vous ne vous laisserez plus absorber par les petits tracas du monde et vos relations avec les autres seront moins stressantes.
Mais tant que nous serons humains, nous ne pourrons nous empêcher d'être ébranlés.
Laissez-vous tromper par les murmures du diable.
Mencius a dit :
« Lorsqu’on cultive un esprit de bonté, il ne faut pas toujours s’y attendre, mais il ne faut pas oublier le cœur, et il ne faut pas le forcer. »
En d'autres termes, nous devons composer avec le sujet du hoyeonjigi, mais nous n'avons pas à y être prisonniers.
Cela ne signifie pas que vous deviez complètement oublier le Hoyeonjigi. Au contraire, je vous encourage à en parler régulièrement, à le laisser s'intégrer naturellement à votre vie et à le mettre en pratique.
Mencius expliqua cela facilement en utilisant l'exemple d'une personne de la dynastie Song.
Un jour, un homme de la dynastie Song s'inquiéta de la mauvaise croissance de ses pousses de riz et les arracha de force.
L'intention était bonne de vouloir le faire grandir, mais que s'est-il passé ? Il est rentré chez lui fatigué et l'a raconté à sa famille.
« Je suis très fatiguée aujourd’hui. »
« J’ai aidé les germes de riz à pousser. »
Le fils fut surpris et se rendit dans le champ pour constater que les pousses de riz avaient séché et étaient mortes.
--- Extrait de « Tout excès finit par causer des ennuis »
Mencius a dit :
« Si vous traitez les personnes âgées de votre foyer comme des personnes âgées et que vous étendez cet amour aux personnes âgées des autres foyers, et si vous aimez vos enfants comme des enfants et que vous étendez cet amour aux enfants des autres foyers, vous pouvez contrôler le monde. »
En définitive, Mencius affirmait : « Si j’accorde ma grâce, je peux suffisamment protéger les quatre mers ; si je ne le fais pas, je ne peux même pas protéger ma femme et mes enfants. »
Je pense que le fait de faire rayonner mes vertus aussi bien chez moi qu'à l'extérieur est la valeur la plus importante pour les personnes dans la cinquantaine.
Il ne s'agit pas seulement d'un acte de paix et de bonheur pour ma famille, mais aussi d'un acte de contribution à la société.
Le parfum de ces vertus se répand rapidement et longtemps.
C'est une façon de vivre sa vie plus dignement.
Si vous vous sentez impuissant ou fatigué en ce moment, pensez à vos vertus.
L'ampleur de la vertu n'a pas d'importance.
Vous pouvez l'adapter à votre situation.
La seule différence réside entre le faire et ne pas le faire.
--- Extrait de « Le parfum de la vertu se répand rapidement et dure longtemps »
Surtout lorsqu'on atteint la cinquantaine, on a soif de reconnaissance.
Car avec l'âge, notre estime de soi diminue progressivement.
C’est d’autant plus vrai que leur santé physique n’est plus ce qu’elle était et que leur esprit n’est plus aussi vif que celui de la jeune génération.
Il est facile de se sentir triste lorsqu'on travaille dur et qu'on n'est pas reconnu au travail, ou lorsqu'on fait de son mieux pour sa famille mais qu'on n'est pas reconnu.
Je commence à me demander pourquoi je travaille si dur.
Quel conseil Mencius nous donnerait-il aujourd'hui ? Voici ce qu'il a dit à un homme de la dynastie Song nommé Song Gou-cheon :
« Aimez-vous faire campagne ? Permettez-moi de vous parler un peu de ce que c'est que de faire campagne. »
« Même si l’autre personne vous reconnaît, vous devez rester détendu, et même si elle ne vous reconnaît pas, vous devez rester détendu. »
--- Extrait de « Soyez détendu même si vous savez, soyez détendu même si vous ne savez pas »
Avis de l'éditeur
« De quoi remplirai-je ma vie future ? »
L'histoire du cœur de Mencius qui détient la clé de cinquante
À l'âge de cinquante ans, il aurait atteint l'âge de l'illumination, n'étant plus dans l'erreur et capable de comprendre la volonté du ciel.
Avec le recul, ceux qui avaient la cinquantaine ont vécu une époque que la génération actuelle n'a jamais connue, marquée par des changements sociaux et une crise économique.
Mais l'état d'esprit actuel d'une personne de cinquante ans n'est pas proportionnel à son âge.
Je pensais qu'en vieillissant, mon esprit deviendrait naturellement plus généreux et plus facile à vivre, mais au contraire, je suis devenue plus réservée et plus étroite d'esprit.
J'ai couru après le seul objectif de gagner ma vie, mais ma vision semble s'être rétrécie, et je me demande maintenant de quoi remplir mon cœur.
Il est donc conseillé de lire 『Mencius』 vers le milieu de sa vie.
Mencius était l'un des cents courants de pensée d'il y a 2 300 ans et un philosophe qui défendait « l'esprit de bienveillance » de Confucius.
Durant la période des Royaumes combattants, il parcourut le monde et conseilla aux rois de gouverner leurs pays avec vertu, défendant la théorie selon laquelle la nature humaine est bonne.
Mencius affirmait notamment qu'il fallait posséder un esprit inébranlable et un sens de la grandeur affranchi des contraintes du monde.
Ces deux choses proviennent des quatre indices de la théorie de la bonté de la nature humaine : l'esprit qui sait juger le bien et le mal (是非之心), l'esprit qui sait être humble et céder (辭讓之心), l'esprit qui éprouve de la honte d'être injuste et déteste être mauvais (수오지심), et l'esprit qui éprouve de la pitié pour les gens (惻隱之心).
Mencius conseille à ceux qui n'ont lutté que pour atteindre leurs objectifs de vivre sagement en ayant une vision plus large des choses.
Lorsque votre esprit est ouvert et détendu, vous pouvez entrevoir un chemin plus large et plus prometteur.
Mencius disait que si l'on recherche un esprit ouvert, on l'obtiendra, et que plus on le pratique avec son corps, plus on éprouvera de joie.
Voici Hoyeonjigi.
Si vous nourrissez et guidez votre esprit et votre vie selon les enseignements de Mencius, vous pourrez parcourir le grand chemin après cinquante ans.
« Il faut avoir l’esprit ouvert pour voir la grande route ! »
Les conseils de Mencius sur la transmission de cinquante ans de vision et de sagesse
Je projetais de construire un palais et il me fallait trouver une grande pièce de bois.
Le roi était ravi et pensait que c'était l'homme idéal pour le poste.
Mais lorsque le charpentier coupa le grand arbre en petits morceaux, le roi se mit en colère et pensa qu'il était incapable d'accomplir son devoir.
Le roi, méfiant envers les hommes, confia le jade à l'artisan et lui dit d'abandonner tout ce qu'il avait appris et de l'écouter.
Que se passerait-il si un artisan du jade se contentait d'obéir aux ordres du roi et de polir son jade ? Mencius disait que plus il doutait des autres, donnait des conseils inutiles et s'entêterait, plus il causerait de problèmes.
Le navire est censé aller en mer, mais il finit par se retrouver en montagne.
Jusqu'à mes cinquante ans, j'avais perdu et gagné beaucoup de choses.
Avec l'expérience, l'entêtement se renforce et la position se consolide.
Avez-vous déjà fait confiance à quelqu'un, l'avez soutenu, puis retiré votre confiance, êtes devenu méfiant et avez-vous commencé à dicter votre conduite simplement parce que vous ne l'aimiez pas ? Si vous ne parvenez pas à vous défaire de votre entêtement et de votre arrogance à la cinquantaine, une période de profonds changements non seulement dans vos relations mais aussi dans votre vie en général, vous n'accomplirez jamais de grandes choses, vous n'attirerez jamais de meilleures personnes ni n'obtiendrez de meilleurs résultats, et votre vie après cinquante ans sera source de frustration.
« Celui qui a vu la mer ne peut s'intéresser à aucun fleuve, et celui qui a étudié auprès d'un sage ne peut s'intéresser à aucune parole. » Ce dicton de Mencius peut être interprété comme signifiant que celui qui a une vision et une ouverture d'esprit plus larges ne se laissera pas influencer par les futilités et suivra la voie de la sagesse.
À partir de cinquante ans, on peut bien vivre si l'on vise un bien supérieur.
« Vivez comme dans une maison confortable, comme sur une large route. »
Comment vivre avec dignité et ouverture d'esprit après cinquante ans
Après que sa renommée se soit largement répandue, Mencius a parcouru le monde avec des dizaines de chars et des centaines de disciples.
Bien que le roi n'ait pu mettre ses conseils en pratique, Mencius continua de prêcher l'esprit de bienveillance et le principe de gouverner par la vertu.
La détermination et le courage que Mencius a mis en avant sont des qualités que même les personnes dans la cinquantaine doivent posséder.
Et les quatre aspects de la théorie de la nature humaine sont les vertus qui peuvent vous aider à vivre après cinquante ans en une personne sage comme une maison confortable et en une personne juste comme une large route.
« Lire Mencius à cinquante ans » parle des quatre esprits qui doivent être remplis à cinquante ans, dans l’ordre suivant : « un esprit du bien et du mal », « un esprit d’introspection », « un esprit de honte » et « un esprit de compassion ».
La lecture des 58 nouvelles sélectionnées parmi celles de Mencius et des récits de notre époque révélera le chemin du cœur.
Vous pouvez acquérir la sagesse de Mencius, qui juge selon la raison, continue d'apprendre, vit avec modération et générosité.
Ainsi, vous pourrez vivre sereinement et sans hésitation, tout en développant vos projets avec dignité et une vision d'ensemble.
Il y a 2 300 ans, Mencius s'adressa à un homme d'une cinquantaine d'années qui luttait contre les difficultés de la vie et n'avait pas été en mesure de prendre soin de son propre esprit, lui adressant des paroles à la fois froides et chaleureuses.
Les paroles de Mencius nous offrent la liberté d'élargir notre esprit, d'élargir nos perspectives et d'acquérir une sagesse plus profonde.
Ce livre vous permettra de développer un esprit ouvert, détaché des futilités, et une perspective qui vous permettra d'aborder les choses difficiles avec sagesse.
Vous pourrez également éviter le stress dans vos relations interpersonnelles.
À cinquante ans, j'espère changer ma vie en pratiquant le 『Mencius』 avec mon corps et mon esprit.
L'histoire du cœur de Mencius qui détient la clé de cinquante
À l'âge de cinquante ans, il aurait atteint l'âge de l'illumination, n'étant plus dans l'erreur et capable de comprendre la volonté du ciel.
Avec le recul, ceux qui avaient la cinquantaine ont vécu une époque que la génération actuelle n'a jamais connue, marquée par des changements sociaux et une crise économique.
Mais l'état d'esprit actuel d'une personne de cinquante ans n'est pas proportionnel à son âge.
Je pensais qu'en vieillissant, mon esprit deviendrait naturellement plus généreux et plus facile à vivre, mais au contraire, je suis devenue plus réservée et plus étroite d'esprit.
J'ai couru après le seul objectif de gagner ma vie, mais ma vision semble s'être rétrécie, et je me demande maintenant de quoi remplir mon cœur.
Il est donc conseillé de lire 『Mencius』 vers le milieu de sa vie.
Mencius était l'un des cents courants de pensée d'il y a 2 300 ans et un philosophe qui défendait « l'esprit de bienveillance » de Confucius.
Durant la période des Royaumes combattants, il parcourut le monde et conseilla aux rois de gouverner leurs pays avec vertu, défendant la théorie selon laquelle la nature humaine est bonne.
Mencius affirmait notamment qu'il fallait posséder un esprit inébranlable et un sens de la grandeur affranchi des contraintes du monde.
Ces deux choses proviennent des quatre indices de la théorie de la bonté de la nature humaine : l'esprit qui sait juger le bien et le mal (是非之心), l'esprit qui sait être humble et céder (辭讓之心), l'esprit qui éprouve de la honte d'être injuste et déteste être mauvais (수오지심), et l'esprit qui éprouve de la pitié pour les gens (惻隱之心).
Mencius conseille à ceux qui n'ont lutté que pour atteindre leurs objectifs de vivre sagement en ayant une vision plus large des choses.
Lorsque votre esprit est ouvert et détendu, vous pouvez entrevoir un chemin plus large et plus prometteur.
Mencius disait que si l'on recherche un esprit ouvert, on l'obtiendra, et que plus on le pratique avec son corps, plus on éprouvera de joie.
Voici Hoyeonjigi.
Si vous nourrissez et guidez votre esprit et votre vie selon les enseignements de Mencius, vous pourrez parcourir le grand chemin après cinquante ans.
« Il faut avoir l’esprit ouvert pour voir la grande route ! »
Les conseils de Mencius sur la transmission de cinquante ans de vision et de sagesse
Je projetais de construire un palais et il me fallait trouver une grande pièce de bois.
Le roi était ravi et pensait que c'était l'homme idéal pour le poste.
Mais lorsque le charpentier coupa le grand arbre en petits morceaux, le roi se mit en colère et pensa qu'il était incapable d'accomplir son devoir.
Le roi, méfiant envers les hommes, confia le jade à l'artisan et lui dit d'abandonner tout ce qu'il avait appris et de l'écouter.
Que se passerait-il si un artisan du jade se contentait d'obéir aux ordres du roi et de polir son jade ? Mencius disait que plus il doutait des autres, donnait des conseils inutiles et s'entêterait, plus il causerait de problèmes.
Le navire est censé aller en mer, mais il finit par se retrouver en montagne.
Jusqu'à mes cinquante ans, j'avais perdu et gagné beaucoup de choses.
Avec l'expérience, l'entêtement se renforce et la position se consolide.
Avez-vous déjà fait confiance à quelqu'un, l'avez soutenu, puis retiré votre confiance, êtes devenu méfiant et avez-vous commencé à dicter votre conduite simplement parce que vous ne l'aimiez pas ? Si vous ne parvenez pas à vous défaire de votre entêtement et de votre arrogance à la cinquantaine, une période de profonds changements non seulement dans vos relations mais aussi dans votre vie en général, vous n'accomplirez jamais de grandes choses, vous n'attirerez jamais de meilleures personnes ni n'obtiendrez de meilleurs résultats, et votre vie après cinquante ans sera source de frustration.
« Celui qui a vu la mer ne peut s'intéresser à aucun fleuve, et celui qui a étudié auprès d'un sage ne peut s'intéresser à aucune parole. » Ce dicton de Mencius peut être interprété comme signifiant que celui qui a une vision et une ouverture d'esprit plus larges ne se laissera pas influencer par les futilités et suivra la voie de la sagesse.
À partir de cinquante ans, on peut bien vivre si l'on vise un bien supérieur.
« Vivez comme dans une maison confortable, comme sur une large route. »
Comment vivre avec dignité et ouverture d'esprit après cinquante ans
Après que sa renommée se soit largement répandue, Mencius a parcouru le monde avec des dizaines de chars et des centaines de disciples.
Bien que le roi n'ait pu mettre ses conseils en pratique, Mencius continua de prêcher l'esprit de bienveillance et le principe de gouverner par la vertu.
La détermination et le courage que Mencius a mis en avant sont des qualités que même les personnes dans la cinquantaine doivent posséder.
Et les quatre aspects de la théorie de la nature humaine sont les vertus qui peuvent vous aider à vivre après cinquante ans en une personne sage comme une maison confortable et en une personne juste comme une large route.
« Lire Mencius à cinquante ans » parle des quatre esprits qui doivent être remplis à cinquante ans, dans l’ordre suivant : « un esprit du bien et du mal », « un esprit d’introspection », « un esprit de honte » et « un esprit de compassion ».
La lecture des 58 nouvelles sélectionnées parmi celles de Mencius et des récits de notre époque révélera le chemin du cœur.
Vous pouvez acquérir la sagesse de Mencius, qui juge selon la raison, continue d'apprendre, vit avec modération et générosité.
Ainsi, vous pourrez vivre sereinement et sans hésitation, tout en développant vos projets avec dignité et une vision d'ensemble.
Il y a 2 300 ans, Mencius s'adressa à un homme d'une cinquantaine d'années qui luttait contre les difficultés de la vie et n'avait pas été en mesure de prendre soin de son propre esprit, lui adressant des paroles à la fois froides et chaleureuses.
Les paroles de Mencius nous offrent la liberté d'élargir notre esprit, d'élargir nos perspectives et d'acquérir une sagesse plus profonde.
Ce livre vous permettra de développer un esprit ouvert, détaché des futilités, et une perspective qui vous permettra d'aborder les choses difficiles avec sagesse.
Vous pourrez également éviter le stress dans vos relations interpersonnelles.
À cinquante ans, j'espère changer ma vie en pratiquant le 『Mencius』 avec mon corps et mon esprit.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 7 janvier 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 328 pages | 490 g | 142 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9791171830800
- ISBN10 : 1171830807
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