
valise perdue
Description
Introduction au livre
Le long voyage de la vie, raconté par Park Wan-seo
Un recueil de récits de voyage de Park Wan-seo, une écrivaine représentative de notre époque.
Une description saisissante du paysage qui se déploie sous vos yeux, un regard bienveillant qui perçoit l'harmonie entre la nature et l'humanité, et une philosophie profonde sur le long voyage qu'est la vie.
Tous ces éléments se conjuguent pour créer un livre qui transmet des émotions simples et de la joie.
« Il n’existe aucun autre endroit sur terre où la nature est aussi belle et charmante que celle de ce pays. »
C'est comme un jardin que Dieu a soigneusement décoré en y rassemblant toutes les bonnes choses.
« Je n’ai rien donné de trop, mais seulement en harmonie. » (Extrait du texte)
La première partie contient des écrits de l'auteur lors de ses voyages à travers son pays bien-aimé.
Les écrits que j'ai rédigés lors de mon voyage à travers Namdo, le village de Hahoe, la route des cerisiers en fleurs de la rivière Seomjin, le temple de Ssanggyesa et la région montagneuse d'Odaesan sont empreints d'admiration et de nostalgie pour la beauté de la nature.
La deuxième partie contient principalement des récits de voyage relatant les expériences personnelles de l'auteur et des événements historiques, et la troisième partie, « La vie continue », contient des comptes rendus de ses visites en Éthiopie, un pays souffrant de famine et de pauvreté, et en Indonésie, dévastée par un tsunami, alors qu'il travaillait comme ambassadeur de bonne volonté de l'UNICEF.
La quatrième partie, « Le voyage de la mer », est un pèlerinage à travers le douloureux éveil de la mer, une remise en question de sa propre existence face au pouvoir surnaturel des phénomènes extérieurs.
Il s'agit d'un recueil de récits de voyage qui transmet des émotions simples à tous ceux qui vivent à la même époque, grâce à la profonde expérience de l'auteur.
Un recueil de récits de voyage de Park Wan-seo, une écrivaine représentative de notre époque.
Une description saisissante du paysage qui se déploie sous vos yeux, un regard bienveillant qui perçoit l'harmonie entre la nature et l'humanité, et une philosophie profonde sur le long voyage qu'est la vie.
Tous ces éléments se conjuguent pour créer un livre qui transmet des émotions simples et de la joie.
« Il n’existe aucun autre endroit sur terre où la nature est aussi belle et charmante que celle de ce pays. »
C'est comme un jardin que Dieu a soigneusement décoré en y rassemblant toutes les bonnes choses.
« Je n’ai rien donné de trop, mais seulement en harmonie. » (Extrait du texte)
La première partie contient des écrits de l'auteur lors de ses voyages à travers son pays bien-aimé.
Les écrits que j'ai rédigés lors de mon voyage à travers Namdo, le village de Hahoe, la route des cerisiers en fleurs de la rivière Seomjin, le temple de Ssanggyesa et la région montagneuse d'Odaesan sont empreints d'admiration et de nostalgie pour la beauté de la nature.
La deuxième partie contient principalement des récits de voyage relatant les expériences personnelles de l'auteur et des événements historiques, et la troisième partie, « La vie continue », contient des comptes rendus de ses visites en Éthiopie, un pays souffrant de famine et de pauvreté, et en Indonésie, dévastée par un tsunami, alors qu'il travaillait comme ambassadeur de bonne volonté de l'UNICEF.
La quatrième partie, « Le voyage de la mer », est un pèlerinage à travers le douloureux éveil de la mer, une remise en question de sa propre existence face au pouvoir surnaturel des phénomènes extérieurs.
Il s'agit d'un recueil de récits de voyage qui transmet des émotions simples à tous ceux qui vivent à la même époque, grâce à la profonde expérience de l'auteur.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
1.
Un pays qui me manque quand j'y pense
La nature donne naissance à de grandes âmes - Un voyage dans la province du Sud
Un voyage dans le temps - Visite du village de Hahoe
Une terre qui me manque quand j'y pense - Un voyage à travers la rivière Seomjin
Voyage de fin d'automne - Parcours dans les montagnes d'Odaesan
2.
valise perdue
valise perdue
L'impression d'y être - Un voyage au Vatican
Ah, quel endroit merveilleux pour pleurer ! - Un voyage au mont Baekdu en Chine
Un lien avec Shanghai - Un récit de voyage à Shanghai
3.
Mais la vie continue
Un voyage en Éthiopie : le pays qui ne respire pas
La vie continue - Un voyage en Indonésie
4.
Le voyage de Haeo
Profanation - Un voyage à travers le Tibet
La Cité des Dieux - Carnet de voyage à Katmandou
Un pays qui me manque quand j'y pense
La nature donne naissance à de grandes âmes - Un voyage dans la province du Sud
Un voyage dans le temps - Visite du village de Hahoe
Une terre qui me manque quand j'y pense - Un voyage à travers la rivière Seomjin
Voyage de fin d'automne - Parcours dans les montagnes d'Odaesan
2.
valise perdue
valise perdue
L'impression d'y être - Un voyage au Vatican
Ah, quel endroit merveilleux pour pleurer ! - Un voyage au mont Baekdu en Chine
Un lien avec Shanghai - Un récit de voyage à Shanghai
3.
Mais la vie continue
Un voyage en Éthiopie : le pays qui ne respire pas
La vie continue - Un voyage en Indonésie
4.
Le voyage de Haeo
Profanation - Un voyage à travers le Tibet
La Cité des Dieux - Carnet de voyage à Katmandou
Dans le livre
Un ami à moi, qui avait de vastes connaissances, connaissait le moine Yeoyeon, qui gardait l'ermitage, grâce à une relation ; nous avions donc décidé de passer la nuit dans cet ermitage.
En repensant à la nuit précédente, passée chez le prêtre à Gwangju, je n'ai pas pu m'empêcher de rire.
Bien qu'on l'appelât résidence d'un prêtre, il ne s'agissait pas d'une maison ressemblant à une demeure de riche comme les grandes résidences de prêtres qui fleurissent à Séoul, mais d'un petit appartement de deux pièces.
Le prêtre était justement absent, célébrant la messe dans une église rurale, j'avais donc une soirée de libre et, grâce à un ami d'un ami, j'ai pu passer la nuit sur place.
Ce fut un voyage sans nourriture, car non seulement je n'ai pas dormi, mais j'ai aussi fouillé dans le bac à riz et le réfrigérateur pour me préparer du riz le matin avant de partir.
Bien sûr, j'étais déterminé à obtenir ce que je voulais et à bien vivre à Iljiam.
En repensant à la nuit précédente, passée chez le prêtre à Gwangju, je n'ai pas pu m'empêcher de rire.
Bien qu'on l'appelât résidence d'un prêtre, il ne s'agissait pas d'une maison ressemblant à une demeure de riche comme les grandes résidences de prêtres qui fleurissent à Séoul, mais d'un petit appartement de deux pièces.
Le prêtre était justement absent, célébrant la messe dans une église rurale, j'avais donc une soirée de libre et, grâce à un ami d'un ami, j'ai pu passer la nuit sur place.
Ce fut un voyage sans nourriture, car non seulement je n'ai pas dormi, mais j'ai aussi fouillé dans le bac à riz et le réfrigérateur pour me préparer du riz le matin avant de partir.
Bien sûr, j'étais déterminé à obtenir ce que je voulais et à bien vivre à Iljiam.
---p.15
Les ventes aux enchères dont parle Tournier ne visent pas de tels profits importants ni la curiosité du public, mais plutôt des ventes aux enchères extrêmement triviales, agréables et de bon sens.
Chaque année en janvier, la compagnie aérienne allemande Lufthansa organise une vente aux enchères publique des bagages perdus et non réclamés.
C'est intrigant de ne pas savoir ce qu'il y a à l'intérieur, mais les chances que cela contienne quelque chose de grande valeur sont minces.
Quiconque a déjà voyagé sait qu'il arrive parfois, par suite d'une erreur du propriétaire ou de la compagnie aérienne, que les bagages n'arrivent pas à l'aéroport en même temps que leur propriétaire. Cependant, même avec un simple indice attaché au bagage ou une déclaration de la personne qui l'a perdu, il est possible de le retrouver et de le restituer à son propriétaire rapidement.
Les ventes aux enchères dont parle Tournier ne visent pas de tels profits importants ni la curiosité du public, mais plutôt des ventes aux enchères extrêmement triviales, agréables et de bon sens.
Chaque année en janvier, la compagnie aérienne allemande Lufthansa organise une vente aux enchères publique des bagages perdus et non réclamés.
C'est intrigant de ne pas savoir ce qu'il y a à l'intérieur, mais les chances que cela contienne quelque chose de grande valeur sont minces.
Quiconque a déjà voyagé sait qu'il arrive parfois, par suite d'une erreur du propriétaire ou de la compagnie aérienne, que les bagages n'arrivent pas à l'aéroport en même temps que leur propriétaire. Cependant, même avec un simple indice attaché au bagage ou une déclaration de la personne qui l'a perdu, il est possible de le retrouver et de le restituer à son propriétaire rapidement.
Chaque année en janvier, la compagnie aérienne allemande Lufthansa organise une vente aux enchères publique des bagages perdus et non réclamés.
C'est intrigant de ne pas savoir ce qu'il y a à l'intérieur, mais les chances que cela contienne quelque chose de grande valeur sont minces.
Quiconque a déjà voyagé sait qu'il arrive parfois, par suite d'une erreur du propriétaire ou de la compagnie aérienne, que les bagages n'arrivent pas à l'aéroport en même temps que leur propriétaire. Cependant, même avec un simple indice attaché au bagage ou une déclaration de la personne qui l'a perdu, il est possible de le retrouver et de le restituer à son propriétaire rapidement.
Les ventes aux enchères dont parle Tournier ne visent pas de tels profits importants ni la curiosité du public, mais plutôt des ventes aux enchères extrêmement triviales, agréables et de bon sens.
Chaque année en janvier, la compagnie aérienne allemande Lufthansa organise une vente aux enchères publique des bagages perdus et non réclamés.
C'est intrigant de ne pas savoir ce qu'il y a à l'intérieur, mais les chances que cela contienne quelque chose de grande valeur sont minces.
Quiconque a déjà voyagé sait qu'il arrive parfois, par suite d'une erreur du propriétaire ou de la compagnie aérienne, que les bagages n'arrivent pas à l'aéroport en même temps que leur propriétaire. Cependant, même avec un simple indice attaché au bagage ou une déclaration de la personne qui l'a perdu, il est possible de le retrouver et de le restituer à son propriétaire rapidement.
---p.57~58
Avis de l'éditeur
Un recueil de récits de voyage empreints de profonde réflexion
Dans les paysages peints par l'artiste, se reflètent le pays où il est né, les personnes qu'il aimait et les livres qu'il appréciait lire, et la somme de ses expériences transparaît clairement.
Le paysage saisissant qui se déroule sous vos yeux, et les vérités cachées révélées une à une, sont les émotions joyeuses que seule l'écriture de Park Wan-seo peut procurer.
Chacune des 12 histoires de voyage, courtes mais longues à la fois, recèle la profonde philosophie du moine taoïste, mais surtout, c'est une lecture agréable et universellement accessible à tous, quel que soit l'âge ou le sexe.
« Il n’existe aucun autre endroit sur terre où la nature est aussi belle et charmante que celle de ce pays. »
C'est comme un jardin que Dieu a soigneusement décoré en y rassemblant toutes les bonnes choses.
« Je n’ai rien donné de trop, mais seulement en harmonie. » (Extrait du texte)
La première partie contient des écrits de l'auteur lors de ses voyages à travers son pays bien-aimé.
Les écrits que j'ai rédigés lors de mon voyage à travers Namdo, le village de Hahoe, la route des cerisiers en fleurs de la rivière Seomjin, le temple de Ssanggyesa et la région montagneuse d'Odaesan sont empreints d'admiration et de nostalgie pour la beauté de la nature.
Nous lisons les histoires de ceux qui ont vécu dans l'anonymat, et nous ressentons la trace des grandes âmes qui sont devenues l'esprit de la nature et l'ont fait rayonner.
Comme le dit l'auteur, « La nature sans rythme n'est rien de plus qu'un décor », le regard délicat qui perçoit la communication entre la nature et les humains est à la fois chaleureux et mélancolique.
La deuxième partie contient principalement des récits de voyage relatant les expériences personnelles de l'auteur et des événements historiques.
« La valise perdue » est un texte qui invite à la réflexion sur le long parcours de la vie, évoquant la perte d'une valise il y a longtemps. Il comprend également « L'émotion d'être là – Récit de voyage au Vatican », écrit après avoir assisté aux funérailles du pape Jean-Paul II, « Ah ! Quel endroit merveilleux pour pleurer – Récit de voyage en Chine et au mont Baekdu », qui relate la visite de sites du mouvement d'indépendance chinois et du mont Baekdu en compagnie des historiens Lee I-hwa et Song Woo-hye, et « Récit de voyage à Shanghai », qui explore un lien particulier avec cette ville.
La troisième partie, « La vie continue », relate mon voyage en Éthiopie, un pays souffrant de la faim et de la pauvreté, et en Indonésie, dévastée par un tsunami, alors que je travaillais comme ambassadeur de bonne volonté de l'UNICEF.
La réalité selon laquelle des enfants innocents souffrent des erreurs des adultes est une honte que nous préférons ignorer, mais la grande vitalité des êtres humains qui « continuent de vivre » nous touche profondément.
La quatrième partie, « Le voyage du soleil », est un pèlerinage au cœur d’une douloureuse illumination, une remise en question de sa propre existence face au pouvoir surnaturel des phénomènes extérieurs.
Au Tibet et au Népal, à travers une nature immaculée, des populations pures, des modes de vie sains et des terres où même les déchets sont entièrement recyclés, nous nous interrogeons sur les conditions essentielles de la vie, alors même que nous sommes pris dans le tourbillon de la civilisation moderne.
Il peut paraître blasphématoire pour un étranger d'interpréter les atrocités de ceux qui pratiquent l'ascétisme sur des montagnes enneigées et des champs de gravier par des prosternations, mais le récit de voyage au Tibet et au Népal, qui dépeint avec une qualité picturale et contemplative le ciel d'un bleu fou et les nuages cotonneux que l'on aurait pu rencontrer dans une vie antérieure, la terre invaincue et les sourires innocents des habitants, les momies de Bouddha et de lamas, et même le silence de la tempête de sable, est un paysage du sacré et du profane peint par l'exceptionnel réaliste Jian.
Il s'agit d'un recueil de récits de voyage qui transmet des émotions simples à tous ceux qui vivent à la même époque, grâce à la profonde expérience de l'auteur.
Dans les paysages peints par l'artiste, se reflètent le pays où il est né, les personnes qu'il aimait et les livres qu'il appréciait lire, et la somme de ses expériences transparaît clairement.
Le paysage saisissant qui se déroule sous vos yeux, et les vérités cachées révélées une à une, sont les émotions joyeuses que seule l'écriture de Park Wan-seo peut procurer.
Chacune des 12 histoires de voyage, courtes mais longues à la fois, recèle la profonde philosophie du moine taoïste, mais surtout, c'est une lecture agréable et universellement accessible à tous, quel que soit l'âge ou le sexe.
« Il n’existe aucun autre endroit sur terre où la nature est aussi belle et charmante que celle de ce pays. »
C'est comme un jardin que Dieu a soigneusement décoré en y rassemblant toutes les bonnes choses.
« Je n’ai rien donné de trop, mais seulement en harmonie. » (Extrait du texte)
La première partie contient des écrits de l'auteur lors de ses voyages à travers son pays bien-aimé.
Les écrits que j'ai rédigés lors de mon voyage à travers Namdo, le village de Hahoe, la route des cerisiers en fleurs de la rivière Seomjin, le temple de Ssanggyesa et la région montagneuse d'Odaesan sont empreints d'admiration et de nostalgie pour la beauté de la nature.
Nous lisons les histoires de ceux qui ont vécu dans l'anonymat, et nous ressentons la trace des grandes âmes qui sont devenues l'esprit de la nature et l'ont fait rayonner.
Comme le dit l'auteur, « La nature sans rythme n'est rien de plus qu'un décor », le regard délicat qui perçoit la communication entre la nature et les humains est à la fois chaleureux et mélancolique.
La deuxième partie contient principalement des récits de voyage relatant les expériences personnelles de l'auteur et des événements historiques.
« La valise perdue » est un texte qui invite à la réflexion sur le long parcours de la vie, évoquant la perte d'une valise il y a longtemps. Il comprend également « L'émotion d'être là – Récit de voyage au Vatican », écrit après avoir assisté aux funérailles du pape Jean-Paul II, « Ah ! Quel endroit merveilleux pour pleurer – Récit de voyage en Chine et au mont Baekdu », qui relate la visite de sites du mouvement d'indépendance chinois et du mont Baekdu en compagnie des historiens Lee I-hwa et Song Woo-hye, et « Récit de voyage à Shanghai », qui explore un lien particulier avec cette ville.
La troisième partie, « La vie continue », relate mon voyage en Éthiopie, un pays souffrant de la faim et de la pauvreté, et en Indonésie, dévastée par un tsunami, alors que je travaillais comme ambassadeur de bonne volonté de l'UNICEF.
La réalité selon laquelle des enfants innocents souffrent des erreurs des adultes est une honte que nous préférons ignorer, mais la grande vitalité des êtres humains qui « continuent de vivre » nous touche profondément.
La quatrième partie, « Le voyage du soleil », est un pèlerinage au cœur d’une douloureuse illumination, une remise en question de sa propre existence face au pouvoir surnaturel des phénomènes extérieurs.
Au Tibet et au Népal, à travers une nature immaculée, des populations pures, des modes de vie sains et des terres où même les déchets sont entièrement recyclés, nous nous interrogeons sur les conditions essentielles de la vie, alors même que nous sommes pris dans le tourbillon de la civilisation moderne.
Il peut paraître blasphématoire pour un étranger d'interpréter les atrocités de ceux qui pratiquent l'ascétisme sur des montagnes enneigées et des champs de gravier par des prosternations, mais le récit de voyage au Tibet et au Népal, qui dépeint avec une qualité picturale et contemplative le ciel d'un bleu fou et les nuages cotonneux que l'on aurait pu rencontrer dans une vie antérieure, la terre invaincue et les sourires innocents des habitants, les momies de Bouddha et de lamas, et même le silence de la tempête de sable, est un paysage du sacré et du profane peint par l'exceptionnel réaliste Jian.
Il s'agit d'un recueil de récits de voyage qui transmet des émotions simples à tous ceux qui vivent à la même époque, grâce à la profonde expérience de l'auteur.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 22 décembre 2005
Nombre de pages, poids, dimensions : 256 pages | 416 g | 153 × 195 × 20 mm
- ISBN13 : 9788939205314
- ISBN10 : 8939205316
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