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La forêt n'est pas tranquille
La forêt n'est pas tranquille
Description
Introduction au livre
Une conversation de la nature qui résonne dans la forêt silencieuse !
Savourez la joie et l'émerveillement d'être en vie !


Tous les animaux et les plantes vivant sur Terre communiquent entre eux de diverses manières.
Alors pourquoi, comment et avec qui communiquons-nous ? Est-il vrai que les plantes peuvent entendre et les champignons voir ? La vantardise et la tromperie habile sont-elles des caractéristiques exclusivement humaines ? Non.
Les oiseaux, les poissons et même les escargots, à certains égards, sont bien plus doués pour la communication que les humains.

Dans ce livre, nous découvrons les capacités de communication de certaines des créatures les plus extraordinaires, du molly atlantique (un poisson qui donne naissance à des petits vivants plutôt qu'à des œufs par fécondation interne), à ​​la grive qui transmet des codes pour tromper ses prédateurs, aux racines de maïs qui changent de direction en réponse à des fréquences spécifiques, aux lapins qui partagent des informations en utilisant des toilettes publiques, jusqu'à la planaire qui utilise des cellules au lieu d'yeux pour recevoir des informations visuelles.

La communication n'est pas une invention humaine.
Elle relie toute vie sur Terre depuis le commencement de la vie.
Les fleurs « savent » assurément que si elles émettent certains signaux visuels, elles ont plus de chances d'être pollinisées.
Cette compréhension du « langage de la nature » nous apportera des révélations surprenantes après la lecture de ce livre.
N'oubliez pas.
Panta Ray ! (Du grec « tout coule »)


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indice
La forêt de l'écriture de l'écrivain ne devrait pas être silencieuse.
Le secret de la vie
Introduction Toute vie parle

Partie 1 : Comment les informations sont-elles échangées ?
Chapitre 1 La vie se transmet
Coloré et éblouissant | L'orchestre de la nature | Un monde de senteurs

Chapitre 2 La vie est une réception
À la santé de vos yeux ! | Écoutez et admirez | Priorisez toujours vos cellules olfactives

Partie 2 : Qui, avec qui et pourquoi l’échange d’informations a-t-il lieu ?
Chapitre 3 : Organismes unicellulaires : communication dans un espace minimal
Manger et être mangé | Les bactéries mangent des bactéries

Chapitre 4 Organismes multicellulaires : Le langage des champignons et des plantes
Juste un petit avant-goût ! | Stratégies de défense des plantes basées sur le goût | Reproduction sexuée ou asexuée | Aimez votre voisin

Chapitre 5 Organismes multicellulaires : Communication de type animal
Vivre ou mourir | On ne sait jamais quand ni où quelque chose peut surgir | Veux-tu venir par ici, ou dois-je aller par là ? | Deux, trois, plusieurs : Communication en groupe

Partie 3 : Et si tout changeait ?
Chapitre 6 Quand les animaux quittèrent la forêt
Le croisement des indices boursiers et des lapins | La morale de l'histoire ?

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Dans le livre
Le plus grand organisme vivant connu à ce jour est le champignon souterrain Armillaria ostoyae.
Ce champignon recouvre plus de 950 hectares de nature sauvage dans l'Oregon, aux États-Unis – une superficie supérieure à 678 terrains de football.
D'après les estimations des scientifiques, ce champignon serait vieux de 2 400 ans.
Le plus petit organisme vivant, quant à lui, est une archée appelée Nanoarchaeum equitans, dont le diamètre n'est que de 350 à 500 nanomètres.
Son nom latin se traduit approximativement par « nain primitif à cheval ».
Ce n'est pas juste un nom humoristique.
Ce nain primitif se déplace en réalité sur le « dos » d'un organisme unicellulaire appelé « Ignicoccus hospitalis ».
Pour ce qui est du « déplacement », j'aimerais ajouter que la capacité de se déplacer est une autre caractéristique de la vie.
Même les champignons et les plantes qui semblent immobiles au premier abord possèdent ces caractéristiques.
--- Extrait de « Toute la vie converse »

Chez les mollys de l'Atlantique, certaines espèces vivent à la lumière du soleil à l'extérieur des grottes, tandis que d'autres vivent dans l'obscurité à l'intérieur des grottes.
Les mâles du molly atlantique vivant hors des grottes possèdent des nageoires orange distinctives, ce qui les rend facilement distinguables des femelles moins colorées.
Le molly de l'Atlantique, qui vit dans une grotte obscure, est dépourvu de cette couleur, ce qui confirme l'adage : « La nuit, tous les chats sont gris. »
Non seulement les poissons des cavernes sont incolores, mais leurs yeux sont également gravement dégénérés, ce qui limite considérablement leurs fonctionnalités.
Leur couleur blanchâtre et leurs yeux dégénérés donnent aux poissons des cavernes l'apparence de fantômes des enfers.
Les poissons cavernicoles sont un exemple frappant de l'économie de la nature.
La nature, soit ne produit pas de choses inutiles dès le départ, soit les réduit à l'usage prévu.
Si l'on ne peut de toute façon pas communiquer par la lumière visible, pourquoi investir du temps et de l'énergie dans le développement de la vue ? S'il n'y a pas de ligne téléphonique à la maison, à quoi bon un téléphone coûteux ?
--- Extrait de « La vie est une réception »

Les arthropodes, comme les insectes, reçoivent les ondes sonores grâce à des parties de leur corps telles que des poils ou des antennes.
Les mécanorécepteurs des insectes vibrent ensemble à différentes longueurs d'onde en fonction de la dureté et de la longueur de ces simples « récepteurs ».
Par exemple, la plupart des papillons et des mites possèdent des poils corporels qui vibrent à la même longueur d'onde que les informations auditives émises par les prédateurs.
Même les récepteurs auditifs du moustique mâle, situés sur ses antennes, ne réagissent qu'aux vibrations produites par le vol de la femelle !
Les grillons et les cigales possèdent une ouïe supérieure à celle de nombreux autres insectes, égale à la longueur de leurs pattes.
Ceci s'explique par le fait que les organes tympaniques sont situés dans leurs membres antérieurs.
Cet organe tympanique est une sorte de sac d'air recouvert d'une membrane, qui fonctionne comme notre tympan et résonne des variations de pression du milieu extérieur.
--- Extrait de « La vie est une réception »

Avis de l'éditeur
Trouvez-vous la forêt calme ?
Alors vous n'avez pas encore bien écouté !


Tous les animaux et les plantes vivant sur Terre communiquent entre eux de diverses manières.
Alors pourquoi, comment et avec qui communiquons-nous ? Est-il vrai que les plantes peuvent entendre et les champignons voir ? La vantardise et la tromperie habile sont-elles des caractéristiques exclusivement humaines ? Non.
Les oiseaux, les poissons et même les escargots, à certains égards, sont bien plus doués pour la communication que les humains.
Pour survivre, la vie doit connaître précisément le type d'environnement qui l'entoure.
Des informations telles que l'emplacement de la lumière et de l'eau, le chemin à suivre sans trébucher sur des pierres, la direction où se trouvent la nourriture et celle où se trouvent les prédateurs sont directement liées à la survie.
La communication est, bien entendu, essentielle pour obtenir ces informations.
L'écosystème, ce vaste ensemble auquel appartiennent les humains, se forme grâce à l'échange intense d'informations entre les êtres vivants et leurs interactions avec l'environnement inanimé.
Les êtres vivants utilisent fondamentalement des informations visuelles telles que la couleur, la forme et le mouvement pour communiquer, mais la plupart des créatures non humaines, à l'exception des caméléons et des calmars, ne peuvent pas envoyer de signaux en utilisant des informations visuelles.
Par conséquent, les êtres vivants n'ont d'autre choix que de communiquer de manière unique et très colorée.
Ils utilisent l'énergie électronique ou des pigments, et transmettent même des informations chimiques par l'odorat.
Dans ce livre, la biologiste comportementale allemande Madeleine Tschige parle de biocommunication.
Bio, qui vient du grec, signifie « vie », et communication, qui vient du latin, signifie « message ».
En termes simples, la biocommunication est le « transfert actif d'informations entre les êtres vivants ».

Les êtres humains ne font pas exception à la règle en ce qui concerne le besoin de communication.
Les êtres humains perçoivent et reçoivent constamment une quantité incalculable d'informations environnementales.
Cependant, même si vous parlez la même langue, cela peut être interprété de manières totalement différentes selon l'autre personne, et dans ce cas, la réponse sera également totalement différente.
De ce point de vue, le langage humain ne peut être considéré comme précis.
Comparé à la façon dont les créatures naturelles communiquent.
C’est pourquoi les humains ressentent souvent les limites de l’échange d’informations dans leur vie quotidienne.
Madeleine Chiguet dit à ce sujet :
Le secret de la communication entre les créatures apparaissant dans ce livre sera la clé pour le résoudre.
Dans ce livre, nous découvrons les capacités de communication de certaines des créatures les plus extraordinaires, du molly atlantique (un poisson qui donne naissance à des petits vivants plutôt qu'à des œufs par fécondation interne), à ​​la grive qui transmet des codes pour tromper ses prédateurs, aux racines de maïs qui changent de direction en réponse à des fréquences spécifiques, aux lapins qui partagent des informations en utilisant des toilettes publiques, jusqu'à la planaire qui utilise des cellules au lieu d'yeux pour recevoir des informations visuelles.


Des organismes unicellulaires aux champignons, aux plantes et aux animaux
L'orchestre de la nature résonne dans la forêt silencieuse !

Tous les êtres vivants, des organismes unicellulaires aux animaux, possèdent des récepteurs capables de recevoir des informations.
Ces récepteurs servent à détecter les informations environnementales de leur habitat et à échanger des informations avec d'autres organismes.
Nous captons l'énergie électrique grâce à des cellules sensorielles comme nos yeux sensibles à la lumière, nous obtenons des informations acoustiques grâce à nos oreilles et nos cellules olfactives obtiennent des informations à partir des odeurs.
La vie existe partout sur Terre et dans les conditions les plus extrêmes.
Les organismes unicellulaires tels que les algues vertes, qui ne peuvent pas effectuer la photosynthèse par eux-mêmes, doivent dépendre d'autres organismes pour se nourrir.
Ils se livrent donc parfois à des comportements similaires à ceux des espions, comme les écoutes téléphoniques.


Les organismes unicellulaires comme les vers paramécies figurent en tête du régime alimentaire de nombreux organismes vivants.
Mais eux aussi avaient mis au point une stratégie pour éviter d'être mangés simplement en restant assis là.
L'ennemi naturel du coléoptère des pailles est capturé avec l'intention de le tuer, sans même s'en rendre compte.
Parce qu'elles transmettent des informations chimiques.
La surface du coléoptère paramécie possède des récepteurs qui détectent les informations chimiques provenant de ses ennemis naturels.
Ces organismes unicellulaires peuvent donc réagir immédiatement lorsque les molécules odorantes de leurs ennemis naturels atteignent leurs récepteurs.
Par exemple, lorsqu'une punaise paramécie détecte la présence d'un insecte fouisseur, elle réagit en tirant une flèche appelée « trichocyste ».
Si le scorpion découvre son agresseur trop tard et l'a déjà rencontré, il tire cette flèche pour faire demi-tour et battre en retraite.
Cette stratégie de fuite donne du temps au charançon.

- Extrait de « Manger et être mangé »

Dans les situations où leur survie est menacée, les animaux peuvent se battre, s'enfuir ou même faire le mort, mais les plantes, de par leur nature sessile, ne peuvent que choisir de se battre.
Les plantes savent donc comment se protéger des prédateurs grâce à des épines, des toxines ou des signaux chimiques.
Les plantes communiquent également entre elles en envoyant leurs racines sous terre, évitant ainsi le regard humain.
Le nombre de substances chimiques émises actuellement dépasse la centaine.
Mais leurs conversations ne sont pas toujours paisibles.

Le champignon écailleux du pin est un champignon mycorhizien particulièrement intéressant du point de vue de la biocommunication, car il parle le langage exact de sa plante hôte.
Le champignon écailleux du pin forme une relation symbiotique avec les arbres des forêts mixtes et de conifères, et l'épicéa en fait partie.
Des microbiologistes de l'université d'Iéna ont découvert que ce champignon produit une substance chimique appelée acide indole-3-acétique, tout comme les arbres.
Les plantes produisent également cette substance chimique pour la croissance cellulaire.
Les champignons matsutake libèrent de l'acide indole-3-acétique chaque fois qu'ils veulent « persuader » leurs partenaires arboricoles de faire croître des cellules.
Plus les cellules végétales sont nombreuses, plus les champignons peuvent se connecter étroitement avec leurs partenaires symbiotiques, ce qui leur permet de consommer davantage de nutriments.
- Extrait de « Juste un petit goût ! »

En matière de communication chez les êtres vivants, les araignées sont des voleuses hors pair, et les lucioles de Nouvelle-Zélande émettent même de faux signaux lumineux pour attraper leurs proies.
Il est bien connu que les baleines communiquent par ultrasons.
Cependant, chez les orques, les groupes qui préfèrent des proies comme les phoques, les otaries et les dauphins et ceux qui préfèrent le saumon présentent des styles de communication différents.
Des proies comme les dauphins et les otaries peuvent entendre les cris des orques à des kilomètres de distance.
C’est pourquoi les orques qui recherchent ce type de nourriture s’approchent en nageant le plus silencieusement possible.
Il s'agit d'une technique de communication complètement différente de celle utilisée pour la chasse au saumon, qui a une mauvaise ouïe.
Il n'est en aucun cas facile pour les êtres vivants de survivre ensemble en société.
Lorsque des êtres vivants différents se rencontrent ou même partagent un même espace, un conflit est inévitable.
Chez les animaux, il s'agit d'un combat pour la nourriture ou un partenaire.
Pour qu'une communication entre organismes vivants soit considérée comme réussie, l'information doit parvenir avec précision à l'organisme récepteur, et le réseau d'information entre organismes vivants est fortement influencé par l'environnement.
Que se passe-t-il lorsque les conditions environnementales changent ? Une condition cruciale pour la survie des organismes vivants est leur capacité à s’adapter à un environnement changeant, ce qui conduit finalement à l’évolution.


Un nouveau monde de biocommunication éveillé par la science.
« Tout ce qui vit échange des informations ! »

Grâce à des méthodes scientifiques de plus en plus précises, l'homme peut désormais observer clairement le monde de la biocommunication, qui lui était auparavant inconnu.
Par exemple, l'homme moderne peut désormais suivre les réactions des organismes recevant des informations olfactives jusqu'au niveau cellulaire.
Les naturalistes du XVIIIe siècle classaient les champignons comme des minéraux inanimés.
Mais aujourd'hui, nous savons même que les champignons possèdent certaines capacités de communication !
Les meilleurs exemples de communication utile dont nous pouvons nous inspirer sont les créatures qui vivent autour de nous.
Leur survie dépend de leur capacité à communiquer et à vivre en harmonie avec les innombrables autres êtres vivants qui peuplent le même espace.
La communication réduit « l'ignorance » par l'envoi et la réception d'informations.
Autrement dit, après avoir discuté avec quelqu'un, vous en savez plus qu'avant.
Par conséquent, grâce à la communication avec nos collègues, nous pouvons acquérir de nouvelles informations, c'est-à-dire des connaissances utiles, et les appliquer aux décisions auxquelles nous sommes confrontés dans notre vie quotidienne.
La communication n'est pas une invention humaine.
Elle relie toute vie sur Terre depuis le commencement de la vie.
Les fleurs « savent » assurément que si elles émettent certains signaux visuels, elles ont plus de chances d'être pollinisées.
Cette compréhension du « langage de la nature » nous apportera des révélations surprenantes après la lecture de ce livre.
N'oubliez pas.
Panta Ray ! (Du grec « tout coule »)


Un livre fascinant pour tous ceux qui souhaitent maintenir un lien fort avec la vie sur Terre !
-Umweltnetz-schweiz.ch (Fondation suisse pour l'environnement)

Madeleine Chigue, une brillante biologiste, explique en termes simples les méthodes incroyablement ingénieuses de communication des bactéries, la façon dont les lapins sauvages parviennent à des accords ou comment les blaireaux utilisent les latrines frontalières pour avertir leurs partenaires.
Le champignon tend un piège, le poisson ment, et le renard et le sapin se disent bonne nuit.
De la nourriture pour le cerveau qui illumine votre esprit !
- 《OON (Journal d'Autriche du Nord)》

J'ai été captivé au premier regard.
Les conversations silencieuses entre amis de la forêt sont étonnamment faciles et intéressantes !
- 《Kurier (Vienne, journal local autrichien)》

Un livre que vous pouvez lire avec le sourire et de l'admiration !
- 《Radioeins Rbb (Radio Berlin-Brandebourg)》

La biologiste féministe Madeleine Chiguet a exploré un sujet surprenant.
Lisez ce livre.
Ça vaut vraiment le coup.

- 《Actualités (magazine allemand)》

Dans la forêt et dans votre jardin, tout est calme et paisible.
Tout comme Madeleine Chiguet utilise ses incroyables connaissances scientifiques de manière légère et amusante.

- 《Kronen Zeitung (journal autrichien)》

Après la parution de ce livre, la communication entre les animaux et les plantes sera complètement réexaminée.

- 《ZDF (chaîne de télévision publique allemande)》
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 23 avril 2021
Nombre de pages, poids, dimensions : 320 pages | 442 g | 140 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9788965964377
- ISBN 10 : 8965964377

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