
L'avant-garde de l'écriture
Description
Introduction au livre
L'édition révisée de 『The Front Line of Writing』, un livre qui « élève les lecteurs passionnés d'écriture » et les incite à « lire et écrire ensemble plutôt que seuls », a été publiée.
Elle reflète les changements apportés au cours des sept dernières années depuis sa première publication en 2015, notamment une nouvelle couverture et une réorganisation de la liste populaire « Livres lus en cours d'écriture ».
Un recueil d’essais contenant des « réflexions très profondes sur la lecture, la pensée et l’écriture », un recueil de conseils bienveillants sur les problèmes et les préoccupations auxquels est confrontée toute personne qui commence à écrire, et un journal de classe documentant les changements que vivent les étudiants avant et après un cours d’écriture.
« The Front Line of Writing » est un livre qui tend une main chaleureuse à ceux qui ont soif de « ressenti », qui veulent repousser les limites du « moi » et de la « vie », qui veulent élargir leur compréhension de l’humanité et, en d’autres termes, qui veulent changer leur vie par l’écriture.
Elle reflète les changements apportés au cours des sept dernières années depuis sa première publication en 2015, notamment une nouvelle couverture et une réorganisation de la liste populaire « Livres lus en cours d'écriture ».
Un recueil d’essais contenant des « réflexions très profondes sur la lecture, la pensée et l’écriture », un recueil de conseils bienveillants sur les problèmes et les préoccupations auxquels est confrontée toute personne qui commence à écrire, et un journal de classe documentant les changements que vivent les étudiants avant et après un cours d’écriture.
« The Front Line of Writing » est un livre qui tend une main chaleureuse à ceux qui ont soif de « ressenti », qui veulent repousser les limites du « moi » et de la « vie », qui veulent élargir leur compréhension de l’humanité et, en d’autres termes, qui veulent changer leur vie par l’écriture.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Pourquoi j'écris ?
Entrée en scène : Au premier plan de l'écriture
PARTIE 1 : L'écriture comme plaidoyer pour la vie
Devenez un défenseur de la vie
Il est temps d'affronter l'histoire d'une autre vie
Repousser les limites du « moi » et de la « vie »
Ce que j'écris, c'est moi
Écrire la douleur, un lieu de confusion et d'excès
Quiconque ne possède pas sa propre langue est faible.
Parler d'une manière qui ne peut être parlée
Alors que mon corps traverse la vie de nombreuses personnes
PARTIE 2 : Développer un corps réactif
Des livres qui nous stimulent comme le malheur
Admirer le paysage des chevaux
L'expérience poétique de l'inutilité
Pour éviter les sentiments de désespoir
La curiosité, quelque chose qui m'échappe.
Hapyeong, transformation physique de la position inverse
PARTIE 3 : Affiner vos arguments
Remettre en question l'évidence
Exprimer sa position
À quel point peut-on penser différemment ?
Écrivons quelque chose que seul moi peux écrire.
Observez le lieu où l'incident s'est produit.
Nietzsche, un livre que beaucoup devraient lire
PARTIE 4 De l'abstrait au concret
Les phrases courtes sont-elles toujours meilleures ? : Écrire des phrases courtes
Avec un corps d'écriture : copier
Écrire sur des sujets importants : trouver la motivation
De l'abstrait au concret : le contenu de l'article
À qui s'adresse mon écriture : Le positionnement de l'écriture
Écriture en constellation : La structure de l'écriture
Vous ne pouvez ni mieux ni pire écrire : lâchez prise.
L'écriture est le miroir de la vie : Conclusion
PARTIE 5 : Rédiger des reportages et des articles d'interview
Rapport sur le travail : George Orwell et la chute brutale
Il est temps de comprendre les gens, les entretiens
Un entretien est une conversation approfondie.
Mon projet d'autobiographie populaire
L'importance des petites choses insignifiantes
Interview d'une grand-mère centenaire devenue aphasique
PARTIE 6 ANNEXE
Rapport sur le travail : Le travail de nuit de Hyo-ju / Récit de trois mois de travail à temps partiel chez McDonald's (Kang Hyo-ju)
Interview 1 : « J’allais bien, même si j’étais alitée et que j’avais besoin d’uriner et de déféquer. » / Le syndrome de la princesse : le récit d’une mère surmontant la dépression (Park Seon-mi)
Entretien 2 : « Monsieur Jangsu » / Lui et moi (Sa-eun) n’existons que dans le registre familial
Ouvrages de référence : Livres lus en cours d’écriture
Coming out : La tristesse sauve la tristesse
Entrée en scène : Au premier plan de l'écriture
PARTIE 1 : L'écriture comme plaidoyer pour la vie
Devenez un défenseur de la vie
Il est temps d'affronter l'histoire d'une autre vie
Repousser les limites du « moi » et de la « vie »
Ce que j'écris, c'est moi
Écrire la douleur, un lieu de confusion et d'excès
Quiconque ne possède pas sa propre langue est faible.
Parler d'une manière qui ne peut être parlée
Alors que mon corps traverse la vie de nombreuses personnes
PARTIE 2 : Développer un corps réactif
Des livres qui nous stimulent comme le malheur
Admirer le paysage des chevaux
L'expérience poétique de l'inutilité
Pour éviter les sentiments de désespoir
La curiosité, quelque chose qui m'échappe.
Hapyeong, transformation physique de la position inverse
PARTIE 3 : Affiner vos arguments
Remettre en question l'évidence
Exprimer sa position
À quel point peut-on penser différemment ?
Écrivons quelque chose que seul moi peux écrire.
Observez le lieu où l'incident s'est produit.
Nietzsche, un livre que beaucoup devraient lire
PARTIE 4 De l'abstrait au concret
Les phrases courtes sont-elles toujours meilleures ? : Écrire des phrases courtes
Avec un corps d'écriture : copier
Écrire sur des sujets importants : trouver la motivation
De l'abstrait au concret : le contenu de l'article
À qui s'adresse mon écriture : Le positionnement de l'écriture
Écriture en constellation : La structure de l'écriture
Vous ne pouvez ni mieux ni pire écrire : lâchez prise.
L'écriture est le miroir de la vie : Conclusion
PARTIE 5 : Rédiger des reportages et des articles d'interview
Rapport sur le travail : George Orwell et la chute brutale
Il est temps de comprendre les gens, les entretiens
Un entretien est une conversation approfondie.
Mon projet d'autobiographie populaire
L'importance des petites choses insignifiantes
Interview d'une grand-mère centenaire devenue aphasique
PARTIE 6 ANNEXE
Rapport sur le travail : Le travail de nuit de Hyo-ju / Récit de trois mois de travail à temps partiel chez McDonald's (Kang Hyo-ju)
Interview 1 : « J’allais bien, même si j’étais alitée et que j’avais besoin d’uriner et de déféquer. » / Le syndrome de la princesse : le récit d’une mère surmontant la dépression (Park Seon-mi)
Entretien 2 : « Monsieur Jangsu » / Lui et moi (Sa-eun) n’existons que dans le registre familial
Ouvrages de référence : Livres lus en cours d’écriture
Coming out : La tristesse sauve la tristesse
Image détaillée

Dans le livre
« Alors que nos vies deviennent plus précaires et que le monde s’enfonce dans une plus grande misère, je crois que l’écriture devrait être un moyen de parler à ma vie qui s’échappe sans cesse, de saisir la vraie nature des choses, de donner vie aux êtres vivants et de contempler la dignité humaine. »
--- p.23
« Comme pour tout dans la vie, écrire ne change rien au fond. »
Mais tout change.
« C’est en ce sens que nous devenons des “défenseurs de la vie”, qui avons le sentiment que la vie ne s’aggrave pas, qui sommes capables de maintenir notre dignité même lorsqu’elle se détériore, et qui nous efforçons d’être attentifs à l’être que nous rencontrons à chaque instant. »
--- p.42
« L’écriture est un art qui permet de comprendre la vie, et elle exige une pratique constante. »
Il s'agit de développer une conscience de ce qui bouillonne en soi, la capacité logique et émotionnelle d'exprimer ses désirs et ses droits, ainsi que les connaissances et la perspective nécessaires pour comprendre le monde.
Alors, vous deviendrez peut-être maître de votre vie, ou peut-être pas, mais vous pourrez vivre sans que votre situation ne s'aggrave.
--- p.43
« L’écriture doit commencer par un dépassement des limites du “moi” et de la “vie”. »
La «vie» est une répétition ennuyeuse de la même routine jour après jour.
La succession d'événements, grands et petits, qui apportent joie et chagrin ne représente qu'une infime partie de la vie.
La portée du « je » ne se limite pas non plus au corps physique de chair et de sang.
C'est la somme de mes pensées et de mes relations. Je suis fait de choses qui ne me définissent pas. Prenons le langage que j'utilise. C'est la somme des mots des livres que j'ai lus, des médias que j'ai découverts, de la famille avec laquelle j'ai vécu, des amours que j'ai vécues et des amis avec qui j'ai joué.
--- p.53
« Vouloir écrire et écrire réellement, c’est la même chose. Ce sont deux mondes complètement différents. L’un procure du bien-être, l’autre épuise le corps. »
(...)? Je vois souvent autour de moi des gens qui veulent écrire mais qui n'ont pas écrit un seul article depuis des années.
« Il faut faire la distinction entre avoir envie d’écrire et apprécier la sensation que procure cette envie. »
--- pp.55~56
« Ce que j’écris, c’est moi. »
Même si cela peut paraître insuffisant, c'est ce que vous êtes maintenant.
J'aime écrire parce que cela me permet de me révéler et de m'accepter telle que je suis, et parce que je m'améliore petit à petit grâce à mes échecs.
Le processus constant d'écriture, de déception, puis de reprise de l'écriture est très similaire à la vie elle-même.
Comme le dit le poème de Kim Su-yeong « Aejeongjidun », « La vie est infinie » et l'écriture l'est aussi.
--- p.58
« Écrire sur la douleur, c’est écrire sur la lutte. »
C'est une lutte contre l'illusion de soi créée par le regard des autres, une lutte entre les possibilités utilisables et celles qui ne le sont pas, une lutte pour choisir les mots qui surgissent à chaque instant d'un lieu de confusion et d'excès.
Après ce combat acharné, même s'il ne s'agit que d'une mesquine affirmation de soi ou d'une timide vengeance contre la vie, cela a du sens.
--- p.64
« Presque tous les bons écrivains ont lu de bons livres. »
Lire et écrire sont des actes différents, mais leur contenu est étroitement lié.
La lecture devient le fondement et l'écriture fait germer les feuilles.
La lecture de livres élargit votre perspective sur le monde et développe votre capacité à comprendre les gens.
Découvrez comment est le monde.
«Apprenez à maîtriser l’usage, la construction et la puissance expressive de votre langue maternelle.»
--- p.82
« Un poème qui n’est pas utile et donc pas oppressif. »
Un poème considéré comme inutile de nos jours.
Un poème qui trouble l'esprit par son étrange combinaison de mots.
« Au fur et à mesure qu’ils parcourent les poèmes les plus simples, les érudits prennent conscience de l’oppression dont ils sont victimes. »
--- p.95
« Même si c’est simple et brut, étudier, c’est lire de la poésie et s’efforcer de l’expliquer avec ses propres sentiments et pensées. »
Voilà le vrai plaisir de la lecture.
Ne vous soumettez pas à l'autorité (de l'érudit), mais concentrez-vous sur (vos propres) sentiments.
L'essence de la poésie n'est pas d'accroître la connaissance, mais de déployer à l'infini la trame de la vie.
Quelle que soit la difficulté du poème, j'ai conseillé aux lecteurs de ne pas consulter d'ouvrages de référence lors de leur première lecture.
--- pp.100~101
« Un bon texte pose des questions. »
Avant de dire aux gens d'être de bons citoyens, de bonnes mères et de bons élèves, demandons-leur leur définition.
Qui décide ce qu'est une bonne mère ? De quel point de vue est-ce une bonne mère ? Est-ce la paix dans la famille, ou le bonheur de la femme ?
Parfois, la morale n'est rien de plus qu'un artifice bon marché pour protéger des institutions du monde réel comme la famille et l'école.
Elle forme des individus dociles qui vivent en se conformant systématiquement à la moyenne de la vie quotidienne.
Mais il n'existe pas de vie moyenne ni de code moral établi.
« S’il y a mille vies, il doit y avoir mille morales. »
--- p.118
« Prendre conscience du problème n’est ni grandiose ni difficile. »
C'est un intérêt pour des choses auxquelles les gens ne prêtent pas attention.
C'est discutable.
« Il s’agit de se concentrer sur les situations et les émotions, de les observer et de les questionner, comme le flux naturel du monde comme s’il avait toujours été là, comme une mère qui se réveille chaque jour pour cuisiner, un employé de supermarché qui adresse un salut mécanique ou un sentiment de malaise sans raison apparente. »
--- pp.137~138
« Les personnes qui ont beaucoup de questions en tête sont plus susceptibles d’écrire de bons articles. »
Car vous serez déclenché et inspiré par le moindre stimulus.
À un moment donné, ce point d'interrogation se transforme en point d'exclamation, et à mesure que vous traversez une autre phase de votre vie, ce point d'exclamation redevient un point d'interrogation.
J'ai commencé à penser que ce n'était peut-être pas tout ce en quoi je croyais.
« La répétition et la circulation de ces points d’interrogation et d’exclamation font naître nos propres pensées. »
--- p.23
« Comme pour tout dans la vie, écrire ne change rien au fond. »
Mais tout change.
« C’est en ce sens que nous devenons des “défenseurs de la vie”, qui avons le sentiment que la vie ne s’aggrave pas, qui sommes capables de maintenir notre dignité même lorsqu’elle se détériore, et qui nous efforçons d’être attentifs à l’être que nous rencontrons à chaque instant. »
--- p.42
« L’écriture est un art qui permet de comprendre la vie, et elle exige une pratique constante. »
Il s'agit de développer une conscience de ce qui bouillonne en soi, la capacité logique et émotionnelle d'exprimer ses désirs et ses droits, ainsi que les connaissances et la perspective nécessaires pour comprendre le monde.
Alors, vous deviendrez peut-être maître de votre vie, ou peut-être pas, mais vous pourrez vivre sans que votre situation ne s'aggrave.
--- p.43
« L’écriture doit commencer par un dépassement des limites du “moi” et de la “vie”. »
La «vie» est une répétition ennuyeuse de la même routine jour après jour.
La succession d'événements, grands et petits, qui apportent joie et chagrin ne représente qu'une infime partie de la vie.
La portée du « je » ne se limite pas non plus au corps physique de chair et de sang.
C'est la somme de mes pensées et de mes relations. Je suis fait de choses qui ne me définissent pas. Prenons le langage que j'utilise. C'est la somme des mots des livres que j'ai lus, des médias que j'ai découverts, de la famille avec laquelle j'ai vécu, des amours que j'ai vécues et des amis avec qui j'ai joué.
--- p.53
« Vouloir écrire et écrire réellement, c’est la même chose. Ce sont deux mondes complètement différents. L’un procure du bien-être, l’autre épuise le corps. »
(...)? Je vois souvent autour de moi des gens qui veulent écrire mais qui n'ont pas écrit un seul article depuis des années.
« Il faut faire la distinction entre avoir envie d’écrire et apprécier la sensation que procure cette envie. »
--- pp.55~56
« Ce que j’écris, c’est moi. »
Même si cela peut paraître insuffisant, c'est ce que vous êtes maintenant.
J'aime écrire parce que cela me permet de me révéler et de m'accepter telle que je suis, et parce que je m'améliore petit à petit grâce à mes échecs.
Le processus constant d'écriture, de déception, puis de reprise de l'écriture est très similaire à la vie elle-même.
Comme le dit le poème de Kim Su-yeong « Aejeongjidun », « La vie est infinie » et l'écriture l'est aussi.
--- p.58
« Écrire sur la douleur, c’est écrire sur la lutte. »
C'est une lutte contre l'illusion de soi créée par le regard des autres, une lutte entre les possibilités utilisables et celles qui ne le sont pas, une lutte pour choisir les mots qui surgissent à chaque instant d'un lieu de confusion et d'excès.
Après ce combat acharné, même s'il ne s'agit que d'une mesquine affirmation de soi ou d'une timide vengeance contre la vie, cela a du sens.
--- p.64
« Presque tous les bons écrivains ont lu de bons livres. »
Lire et écrire sont des actes différents, mais leur contenu est étroitement lié.
La lecture devient le fondement et l'écriture fait germer les feuilles.
La lecture de livres élargit votre perspective sur le monde et développe votre capacité à comprendre les gens.
Découvrez comment est le monde.
«Apprenez à maîtriser l’usage, la construction et la puissance expressive de votre langue maternelle.»
--- p.82
« Un poème qui n’est pas utile et donc pas oppressif. »
Un poème considéré comme inutile de nos jours.
Un poème qui trouble l'esprit par son étrange combinaison de mots.
« Au fur et à mesure qu’ils parcourent les poèmes les plus simples, les érudits prennent conscience de l’oppression dont ils sont victimes. »
--- p.95
« Même si c’est simple et brut, étudier, c’est lire de la poésie et s’efforcer de l’expliquer avec ses propres sentiments et pensées. »
Voilà le vrai plaisir de la lecture.
Ne vous soumettez pas à l'autorité (de l'érudit), mais concentrez-vous sur (vos propres) sentiments.
L'essence de la poésie n'est pas d'accroître la connaissance, mais de déployer à l'infini la trame de la vie.
Quelle que soit la difficulté du poème, j'ai conseillé aux lecteurs de ne pas consulter d'ouvrages de référence lors de leur première lecture.
--- pp.100~101
« Un bon texte pose des questions. »
Avant de dire aux gens d'être de bons citoyens, de bonnes mères et de bons élèves, demandons-leur leur définition.
Qui décide ce qu'est une bonne mère ? De quel point de vue est-ce une bonne mère ? Est-ce la paix dans la famille, ou le bonheur de la femme ?
Parfois, la morale n'est rien de plus qu'un artifice bon marché pour protéger des institutions du monde réel comme la famille et l'école.
Elle forme des individus dociles qui vivent en se conformant systématiquement à la moyenne de la vie quotidienne.
Mais il n'existe pas de vie moyenne ni de code moral établi.
« S’il y a mille vies, il doit y avoir mille morales. »
--- p.118
« Prendre conscience du problème n’est ni grandiose ni difficile. »
C'est un intérêt pour des choses auxquelles les gens ne prêtent pas attention.
C'est discutable.
« Il s’agit de se concentrer sur les situations et les émotions, de les observer et de les questionner, comme le flux naturel du monde comme s’il avait toujours été là, comme une mère qui se réveille chaque jour pour cuisiner, un employé de supermarché qui adresse un salut mécanique ou un sentiment de malaise sans raison apparente. »
--- pp.137~138
« Les personnes qui ont beaucoup de questions en tête sont plus susceptibles d’écrire de bons articles. »
Car vous serez déclenché et inspiré par le moindre stimulus.
À un moment donné, ce point d'interrogation se transforme en point d'exclamation, et à mesure que vous traversez une autre phase de votre vie, ce point d'exclamation redevient un point d'interrogation.
J'ai commencé à penser que ce n'était peut-être pas tout ce en quoi je croyais.
« La répétition et la circulation de ces points d’interrogation et d’exclamation font naître nos propres pensées. »
--- p.138
Avis de l'éditeur
★ Auteur de l'année 2015 sélectionné par les employés de Yes24
★ Sélectionné comme Auteur de l'année 2016 par SisaIN
★ Auteur de l'année 2017 du Chosun Ilbo
★ « Je recommande ce livre sans hésitation à ceux qui ont remis l'écriture à plus tard. » - Hong Se-hwa
★ « Une réflexion très profonde sur la lecture, la pensée et l'écriture » - Hwang Hyeon-san
★ « Bien plus que de simples conseils d'écriture, un reportage riche en récits de vie » - 〈Sisa IN〉
★ Le livre le plus prescrit de la saison 1 de « Librairie privée »
1.
La vie donne naissance à l'écriture, et l'écriture nourrit la vie.
« L’écriture comme défense de la vie » de l’auteure Eunyu
L'édition révisée de 『The Front Line of Writing』, un livre qui « élève les lecteurs passionnés d'écriture » et les incite à « lire et écrire ensemble plutôt que seuls », a été publiée.
Elle reflète les changements apportés au cours des sept dernières années depuis sa première publication en 2015, notamment une nouvelle couverture et une réorganisation de la liste populaire « Livres lus en cours d'écriture ».
Eun-yu, une écrivaine qui rêvait d'une vie d'écriture depuis l'âge de quinze ans, a travaillé comme employée dans une société de valeurs mobilières et comme femme au foyer avant de se lancer dans le monde de l'écriture au milieu de la trentaine.
En même temps, j'ai étudié les sciences humaines parce que je voulais avoir des mots pour me décrire et un langage pour me comprendre.
Dès lors, j'ai lu, écrit et réfléchi presque à chaque instant.
L'écriture n'a pas fait grande différence.
Mais j'ai le sentiment que ma vie ne va pas empirer, et que même si elle empire, je pourrai encore préserver ma dignité.
Si Jeon Tae-il, une ouvrière qui travaillait sur une machine à coudre à Cheonggyecheon, n'avait pas tenu de journal, y aurait-il aujourd'hui une Jeon Tae-il ?
Jusqu'à ce que la femme de ménage avoue percevoir les 900 wons d'indemnités de repas mensuelles, ils étaient comme des fantômes invisibles.
Lorsque nous pourrons affirmer de notre propre voix que les jeunes ont des droits humains et que les personnes âgées ont des désirs sexuels, alors seulement les jeunes et les personnes âgées seront reconnus comme des êtres vivants et des individus avec du sang qui coule dans leurs veines.
Un texte écrit avec tout mon cœur, en première ligne de la vie.
Seuls ces récits poignants et saisissants peuvent offrir un refuge à ceux qui sont exilés de cette société.
Voici ce que signifie cette métaphore : « Pourquoi tout le monde devrait écrire. »
« Ma bonté peut-elle être liée à la bonté des autres ? »
Ce livre était cette petite expérience.
Lorsque j'étais prise dans les complexités de la vie, j'agissais souvent comme une personne en colère, mais l'écriture m'aidait à retrouver mon calme et à traverser une nouvelle journée.
En passant en revue ce qui s'était passé, en examinant mes émotions et en organisant mes pensées et opinions confuses, je suis devenue moins en colère.
Bien vivre est difficile, et pour moi, qui souhaitais vivre dans la bienveillance, c'était comme un rêve devenu réalité.
J'ai ouvert un atelier d'écriture parce que je pensais que ce serait du gâchis si j'étais la seule à l'apprécier, et j'ai relaté ce parcours et publié 『The Front Line of Writing』.
Des lecteurs ayant lu ce livre l'ont avoué.
J'ai commencé à écrire avec courage, j'ai appris la vie en apprenant à écrire, et je l'ai offert à quelqu'un que j'aime.
J'écris ceci en tissant ensemble les expériences de ceux qui ont fait la paix avec eux-mêmes grâce à l'écriture.
« La vie donne naissance à l’écriture, et l’écriture nourrit la vie. » – Note de l’auteur
2.
À propos de la lecture, de la réflexion et de l'écriture
Il s'agit d'un recueil de textes en prose aux réflexions très profondes.
Lorsque nous commençons à écrire, nous sommes tous confrontés à ce problème.
Un guide utile sur les problèmes et les préoccupations
Ce livre est un recueil d'essais qui contient des « réflexions très profondes sur la lecture, la pensée et l'écriture », un guide utile sur les problèmes et les préoccupations auxquels est confrontée toute personne qui commence à écrire, et un journal de classe qui consigne les changements que vivent les étudiants avant et après un cours d'écriture.
Ce livre est comme une main chaleureuse tendue à ceux qui ont soif de « ressentir », qui veulent repousser les limites du « moi » et de la « vie », qui veulent élargir leur compréhension de l'humanité et qui veulent changer leur vie par l'écriture.
Le cours d'écriture métaphorique, qui intègre la « lecture », vise à développer la sensibilité et la capacité à éprouver de l'empathie pour la souffrance d'autrui grâce à des méthodes uniques telles que la récitation et la mémorisation de poèmes, la lecture, la critique de groupe et les entretiens.
Les personnes qui souhaitent suivre des cours d'écriture sont âgées de vingt à cinquante ans et comprennent des écrivains en herbe, des femmes au foyer, des employés de bureau, des enseignants et des étudiants.
La plupart des gens, tout en menant leur vie quotidienne fidèle à leurs rôles sociaux, viennent souvent ici avec l'intention de surmonter le sentiment d'être perdus dans l'expression de soi ou la solitude de l'aliénation.
Ils passent plusieurs mois à lire des livres ensemble, à réciter de la poésie et à critiquer leurs écrits respectifs, vivant ainsi une transformation intérieure avant et après l'écriture.
À mesure que chacun devient capable d’« inventer son propre langage », puisant dans sa propre vie, il apprend également à comprendre la vie des autres et à consigner le monde.
En effet, une fois l'introspection et l'organisation de soi accomplies, un espace se crée dans l'esprit pour écouter les histoires des autres.
La métaphore suggère que la « rédaction de rapports et d'entretiens » constitue la meilleure méthode d'étude pour cultiver la sensibilité à la douleur et mieux comprendre l'humanité.
Traduire la vie des autres dans mon propre langage, c'est comme une autre « leçon de vie ».
★ Sélectionné comme Auteur de l'année 2016 par SisaIN
★ Auteur de l'année 2017 du Chosun Ilbo
★ « Je recommande ce livre sans hésitation à ceux qui ont remis l'écriture à plus tard. » - Hong Se-hwa
★ « Une réflexion très profonde sur la lecture, la pensée et l'écriture » - Hwang Hyeon-san
★ « Bien plus que de simples conseils d'écriture, un reportage riche en récits de vie » - 〈Sisa IN〉
★ Le livre le plus prescrit de la saison 1 de « Librairie privée »
1.
La vie donne naissance à l'écriture, et l'écriture nourrit la vie.
« L’écriture comme défense de la vie » de l’auteure Eunyu
L'édition révisée de 『The Front Line of Writing』, un livre qui « élève les lecteurs passionnés d'écriture » et les incite à « lire et écrire ensemble plutôt que seuls », a été publiée.
Elle reflète les changements apportés au cours des sept dernières années depuis sa première publication en 2015, notamment une nouvelle couverture et une réorganisation de la liste populaire « Livres lus en cours d'écriture ».
Eun-yu, une écrivaine qui rêvait d'une vie d'écriture depuis l'âge de quinze ans, a travaillé comme employée dans une société de valeurs mobilières et comme femme au foyer avant de se lancer dans le monde de l'écriture au milieu de la trentaine.
En même temps, j'ai étudié les sciences humaines parce que je voulais avoir des mots pour me décrire et un langage pour me comprendre.
Dès lors, j'ai lu, écrit et réfléchi presque à chaque instant.
L'écriture n'a pas fait grande différence.
Mais j'ai le sentiment que ma vie ne va pas empirer, et que même si elle empire, je pourrai encore préserver ma dignité.
Si Jeon Tae-il, une ouvrière qui travaillait sur une machine à coudre à Cheonggyecheon, n'avait pas tenu de journal, y aurait-il aujourd'hui une Jeon Tae-il ?
Jusqu'à ce que la femme de ménage avoue percevoir les 900 wons d'indemnités de repas mensuelles, ils étaient comme des fantômes invisibles.
Lorsque nous pourrons affirmer de notre propre voix que les jeunes ont des droits humains et que les personnes âgées ont des désirs sexuels, alors seulement les jeunes et les personnes âgées seront reconnus comme des êtres vivants et des individus avec du sang qui coule dans leurs veines.
Un texte écrit avec tout mon cœur, en première ligne de la vie.
Seuls ces récits poignants et saisissants peuvent offrir un refuge à ceux qui sont exilés de cette société.
Voici ce que signifie cette métaphore : « Pourquoi tout le monde devrait écrire. »
« Ma bonté peut-elle être liée à la bonté des autres ? »
Ce livre était cette petite expérience.
Lorsque j'étais prise dans les complexités de la vie, j'agissais souvent comme une personne en colère, mais l'écriture m'aidait à retrouver mon calme et à traverser une nouvelle journée.
En passant en revue ce qui s'était passé, en examinant mes émotions et en organisant mes pensées et opinions confuses, je suis devenue moins en colère.
Bien vivre est difficile, et pour moi, qui souhaitais vivre dans la bienveillance, c'était comme un rêve devenu réalité.
J'ai ouvert un atelier d'écriture parce que je pensais que ce serait du gâchis si j'étais la seule à l'apprécier, et j'ai relaté ce parcours et publié 『The Front Line of Writing』.
Des lecteurs ayant lu ce livre l'ont avoué.
J'ai commencé à écrire avec courage, j'ai appris la vie en apprenant à écrire, et je l'ai offert à quelqu'un que j'aime.
J'écris ceci en tissant ensemble les expériences de ceux qui ont fait la paix avec eux-mêmes grâce à l'écriture.
« La vie donne naissance à l’écriture, et l’écriture nourrit la vie. » – Note de l’auteur
2.
À propos de la lecture, de la réflexion et de l'écriture
Il s'agit d'un recueil de textes en prose aux réflexions très profondes.
Lorsque nous commençons à écrire, nous sommes tous confrontés à ce problème.
Un guide utile sur les problèmes et les préoccupations
Ce livre est un recueil d'essais qui contient des « réflexions très profondes sur la lecture, la pensée et l'écriture », un guide utile sur les problèmes et les préoccupations auxquels est confrontée toute personne qui commence à écrire, et un journal de classe qui consigne les changements que vivent les étudiants avant et après un cours d'écriture.
Ce livre est comme une main chaleureuse tendue à ceux qui ont soif de « ressentir », qui veulent repousser les limites du « moi » et de la « vie », qui veulent élargir leur compréhension de l'humanité et qui veulent changer leur vie par l'écriture.
Le cours d'écriture métaphorique, qui intègre la « lecture », vise à développer la sensibilité et la capacité à éprouver de l'empathie pour la souffrance d'autrui grâce à des méthodes uniques telles que la récitation et la mémorisation de poèmes, la lecture, la critique de groupe et les entretiens.
Les personnes qui souhaitent suivre des cours d'écriture sont âgées de vingt à cinquante ans et comprennent des écrivains en herbe, des femmes au foyer, des employés de bureau, des enseignants et des étudiants.
La plupart des gens, tout en menant leur vie quotidienne fidèle à leurs rôles sociaux, viennent souvent ici avec l'intention de surmonter le sentiment d'être perdus dans l'expression de soi ou la solitude de l'aliénation.
Ils passent plusieurs mois à lire des livres ensemble, à réciter de la poésie et à critiquer leurs écrits respectifs, vivant ainsi une transformation intérieure avant et après l'écriture.
À mesure que chacun devient capable d’« inventer son propre langage », puisant dans sa propre vie, il apprend également à comprendre la vie des autres et à consigner le monde.
En effet, une fois l'introspection et l'organisation de soi accomplies, un espace se crée dans l'esprit pour écouter les histoires des autres.
La métaphore suggère que la « rédaction de rapports et d'entretiens » constitue la meilleure méthode d'étude pour cultiver la sensibilité à la douleur et mieux comprendre l'humanité.
Traduire la vie des autres dans mon propre langage, c'est comme une autre « leçon de vie ».
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 1er novembre 2022
Nombre de pages, poids, dimensions : 272 pages | 362 g | 145 × 210 × 11 mm
- ISBN13 : 9791192099118
- ISBN10 : 1192099117
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Langue coréenne
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