
La pauvreté en abondance
Description
Introduction au livre
L'essence de la vie ne réside pas dans la possession de plus.
Il s'agit plutôt d'enlever, de vider et de remplir cet espace vide avec son cœur.
Le recueil de textes en prose de Lee Sang-hoon, « Abundant Poverty », est un long récit de la vie d'un homme qui témoigne de « l'abondance du vide ».
Son écriture touche aux profondeurs de l'existence humaine à travers la douce chaleur du quotidien, plutôt qu'à travers une philosophie ostentatoire ou des techniques littéraires.
Du bout des doigts, il suit lentement les fils des personnes, des objets, des souvenirs et du temps, nous confiant doucement que « la vie est finalement quelque chose à endurer avec amour et sincérité ».
Les phrases sont imprégnées du parfum terreux du début du printemps et sont marquées par les cernes des vieux arbres.
Sa prose ne fait l'éloge ni n'embellit aucun sujet en particulier.
Il s'agit plutôt d'une tentative de trouver le « modèle de l'humanité » qui circule en tous les êtres.
Il ne cherche pas à éviter la douleur, ne cache pas sa souffrance, et au lieu de porter le poids du chagrin, il en tire un parfum.
Il lit la dignité de la vie dans le visage d'une personne qui sourit malgré sa maladie, dans le bout des doigts d'une vieille mère, dans les petites fleurs sauvages qui bordent le chemin longeant la rizière et dans les chaussures usées.
C'est une beauté qui ne pourra jamais être saisie par le langage des civilisations ou des exploits les plus brillants.
L'abondance dont parle Lee Sang-hoon ne réside pas dans les possessions visibles, mais dans la productivité invisible du cœur.
Il redéfinit la norme de santé, passant de la présence ou de l'absence de douleur à la « qualité d'être en vie », et trouve le sens de la vie non pas dans les biens matériels, mais dans les relations et la sincérité.
Son style d'écriture est concis mais profond.
Comme la poésie, elle laisse une longue saveur en un court souffle, et ne perd pas la lumière du présent même dans la réminiscence.
Il affine les phrases comme s'il labourait un champ avec les mains d'un vieux fermier, et relie les paragraphes avec le souffle d'un être humain.
Quand une phrase s'achève, une sensation persiste, et quand cette sensation s'estompe, les pensées se multiplient.
Il dit.
« Vivre, c’est découvrir quelque chose de nouveau dans la répétition quotidienne et reconnaître le sacré caché dans le familier. » À la lecture de ses écrits, les lecteurs se surprennent à se remémorer des aspects de leur vie qu’ils avaient oubliés.
Des choses comme le dos de mes parents, les noms de mes amis disparus et l'odeur d'une ruelle de ma ville natale que j'ai autrefois fréquentée, reprennent lentement vie au fil des phrases.
Ce qui rend la prose de Lee Sang-hoon si particulière, c'est qu'elle ne se limite pas à un simple compte rendu de souvenirs ou d'impressions, mais qu'elle constitue plutôt une réflexion sur « l'éthique de l'existence ».
Il croit que plus une personne s'abaisse, plus elle s'approfondit, et plus elle se vide de son être, plus elle s'épanouit.
Comme l'eau qui coule de la montagne vers la mer, la loi de l'existence qui croît en descendant traverse sa vie.
Ses phrases s'enchaînent donc toujours avec fluidité et simplicité.
Le véritable sens de l'abondance réside dans le fait de privilégier la maturité au succès, la profondeur à la hauteur et le silence aux mots.
Il demande en silence.
« Où en es-tu maintenant ? Te juges-tu non pas à l'aune de ce que tu possèdes, mais à celle de ta capacité à aimer ? »
Il s'agit plutôt d'enlever, de vider et de remplir cet espace vide avec son cœur.
Le recueil de textes en prose de Lee Sang-hoon, « Abundant Poverty », est un long récit de la vie d'un homme qui témoigne de « l'abondance du vide ».
Son écriture touche aux profondeurs de l'existence humaine à travers la douce chaleur du quotidien, plutôt qu'à travers une philosophie ostentatoire ou des techniques littéraires.
Du bout des doigts, il suit lentement les fils des personnes, des objets, des souvenirs et du temps, nous confiant doucement que « la vie est finalement quelque chose à endurer avec amour et sincérité ».
Les phrases sont imprégnées du parfum terreux du début du printemps et sont marquées par les cernes des vieux arbres.
Sa prose ne fait l'éloge ni n'embellit aucun sujet en particulier.
Il s'agit plutôt d'une tentative de trouver le « modèle de l'humanité » qui circule en tous les êtres.
Il ne cherche pas à éviter la douleur, ne cache pas sa souffrance, et au lieu de porter le poids du chagrin, il en tire un parfum.
Il lit la dignité de la vie dans le visage d'une personne qui sourit malgré sa maladie, dans le bout des doigts d'une vieille mère, dans les petites fleurs sauvages qui bordent le chemin longeant la rizière et dans les chaussures usées.
C'est une beauté qui ne pourra jamais être saisie par le langage des civilisations ou des exploits les plus brillants.
L'abondance dont parle Lee Sang-hoon ne réside pas dans les possessions visibles, mais dans la productivité invisible du cœur.
Il redéfinit la norme de santé, passant de la présence ou de l'absence de douleur à la « qualité d'être en vie », et trouve le sens de la vie non pas dans les biens matériels, mais dans les relations et la sincérité.
Son style d'écriture est concis mais profond.
Comme la poésie, elle laisse une longue saveur en un court souffle, et ne perd pas la lumière du présent même dans la réminiscence.
Il affine les phrases comme s'il labourait un champ avec les mains d'un vieux fermier, et relie les paragraphes avec le souffle d'un être humain.
Quand une phrase s'achève, une sensation persiste, et quand cette sensation s'estompe, les pensées se multiplient.
Il dit.
« Vivre, c’est découvrir quelque chose de nouveau dans la répétition quotidienne et reconnaître le sacré caché dans le familier. » À la lecture de ses écrits, les lecteurs se surprennent à se remémorer des aspects de leur vie qu’ils avaient oubliés.
Des choses comme le dos de mes parents, les noms de mes amis disparus et l'odeur d'une ruelle de ma ville natale que j'ai autrefois fréquentée, reprennent lentement vie au fil des phrases.
Ce qui rend la prose de Lee Sang-hoon si particulière, c'est qu'elle ne se limite pas à un simple compte rendu de souvenirs ou d'impressions, mais qu'elle constitue plutôt une réflexion sur « l'éthique de l'existence ».
Il croit que plus une personne s'abaisse, plus elle s'approfondit, et plus elle se vide de son être, plus elle s'épanouit.
Comme l'eau qui coule de la montagne vers la mer, la loi de l'existence qui croît en descendant traverse sa vie.
Ses phrases s'enchaînent donc toujours avec fluidité et simplicité.
Le véritable sens de l'abondance réside dans le fait de privilégier la maturité au succès, la profondeur à la hauteur et le silence aux mots.
Il demande en silence.
« Où en es-tu maintenant ? Te juges-tu non pas à l'aune de ce que tu possèdes, mais à celle de ta capacité à aimer ? »
indice
Au fur et à mesure que vous entrez
Partie 1.
Le paysage intérieur de moi
J'ai 15 ans
Nom 20
Productivité dans la vie 23
Fleur 28
Angle de vision 35
Renouvellement 39
La signification des larmes 43
Comme une goutte d'eau 47
Aperçu de Mind 50
Riz 53
Les origines du capitalisme 57
Gestes de la nature 60
femme mince de 64 ans
67 Loisirs à ne pas faire
Réconciliation 70
Le chemin du retour 74
Cette nuit-là, 79
Quand le silence ouvre la bouche 83
Vacances d'études 87
91. Le dernier cadeau que mon fils m'a fait. 97.
Partie 2.
Souffle des saisons
Printemps 103
Le retour du journal 107
Agenouillez-vous devant le centre de santé 110
Parfum de patate douce 113
L'agriculture monétaire 117
Monika Ajimae 121
La tyrannie de la vie quotidienne 126
Éclosion et chute comme une fleur 131
Virus 135
KF94 140
Kimbap 142
Mains chaudes 147
Poids du riz 150
Cactus 153
Choix 157
Seul au monde 164
Œuf 167
Si vous connaissez 170
Pic 173
Exposition 177
181 par jour
Partie 3.
La lumière laissée par le départ
Année 189
Chambre vacante 192
Couleur 195
Deux Arbres 200
Souvenirs de Jinbatgol 204
Chocheong Nurungji 209
Cicatrice 213
217 dans la saison de la perte de force
Parfum 220
Vache 223
Séoul 230
Juge Cho 233
Odeur 236
Partie 4.
Une vie préservée par des choses simples
Patate douce 241
Œuf au plat 245
Le Chemin du Cœur 248
Chanson 251
Abondante privation 255
Distance entre parents et enseignants 259
Pique-nique de printemps 262
Vote populaire : 267
Attention indifférente 270
Main 273
En conclusion 276
Partie 1.
Le paysage intérieur de moi
J'ai 15 ans
Nom 20
Productivité dans la vie 23
Fleur 28
Angle de vision 35
Renouvellement 39
La signification des larmes 43
Comme une goutte d'eau 47
Aperçu de Mind 50
Riz 53
Les origines du capitalisme 57
Gestes de la nature 60
femme mince de 64 ans
67 Loisirs à ne pas faire
Réconciliation 70
Le chemin du retour 74
Cette nuit-là, 79
Quand le silence ouvre la bouche 83
Vacances d'études 87
91. Le dernier cadeau que mon fils m'a fait. 97.
Partie 2.
Souffle des saisons
Printemps 103
Le retour du journal 107
Agenouillez-vous devant le centre de santé 110
Parfum de patate douce 113
L'agriculture monétaire 117
Monika Ajimae 121
La tyrannie de la vie quotidienne 126
Éclosion et chute comme une fleur 131
Virus 135
KF94 140
Kimbap 142
Mains chaudes 147
Poids du riz 150
Cactus 153
Choix 157
Seul au monde 164
Œuf 167
Si vous connaissez 170
Pic 173
Exposition 177
181 par jour
Partie 3.
La lumière laissée par le départ
Année 189
Chambre vacante 192
Couleur 195
Deux Arbres 200
Souvenirs de Jinbatgol 204
Chocheong Nurungji 209
Cicatrice 213
217 dans la saison de la perte de force
Parfum 220
Vache 223
Séoul 230
Juge Cho 233
Odeur 236
Partie 4.
Une vie préservée par des choses simples
Patate douce 241
Œuf au plat 245
Le Chemin du Cœur 248
Chanson 251
Abondante privation 255
Distance entre parents et enseignants 259
Pique-nique de printemps 262
Vote populaire : 267
Attention indifférente 270
Main 273
En conclusion 276
Avis de l'éditeur
« La pauvreté des riches » n'est pas simplement une œuvre littéraire.
C'est le témoignage du cœur d'un être humain qui a consumé toute sa vie en phrases, un témoignage qui a traversé les âges.
Nous vivons aujourd'hui dans une période de pauvreté extrême au milieu de l'abondance.
Au milieu de ce déluge d'informations et de documents, de cette rapidité et de cette commodité, ce qui s'est perdu, c'est le cap de l'esprit.
Les écrits de Lee Sang-hoon nous ramènent à cette direction perdue.
Il ravive la température corporelle humaine déclinante grâce à un langage du cœur qui se comprend sans mots.
Ses phrases sont à la fois douces et fermes, chaleureuses et incisives.
C'est le regard de quelqu'un qui n'a jamais tourné le dos au monde, et la voix de quelqu'un qui n'a pas renoncé à son humanité même au cœur de la souffrance.
« La productivité vient de l’esprit », écrit-il.
Cette simple phrase constitue la critique la plus douce et pourtant la plus féroce d'une époque qui juge le monde uniquement sur la base du capital et de l'efficacité.
Sans avoir honte de son corps malade, il interprète les mains de sa vieille mère comme « la productivité de la vie » et perçoit le cycle de la vie même dans la mort d'une poule.
Son regard ne dissimule pas les méandres de la réalité.
Mais même au milieu de ces rebondissements, subsiste cette foi humaine tenace qui permet de trouver la lumière.
Lire ce livre, c'est comme se retrouver face à une vieille table à manger.
Au lieu de mets raffinés, on trouve un bol de pâte de soja au parfum terreux et empreint de sincérité.
Chaque phrase réchauffe le cœur comme du riz chaud.
Le lecteur regarde le tableau et s'en rend compte.
L'abondance ne se mesure pas à l'argent et aux possessions matérielles, mais à la transparence de votre cœur.
D'un point de vue littéraire, 『Affluent Poverty』 est un recueil de prose rare qui s'inscrit dans la tradition des essais coréens, mais où confession, réflexion, expérience et philosophie se croisent naturellement.
Les phrases ont un rythme, et les paragraphes ont une fin.
Ces nœuds s'unissent pour former une seule vie.
Il ne cherche pas à donner de leçon au lecteur.
Il montre simplement le chemin qu'il a emprunté et dit : « Il y avait un chemin ici aussi. »
Cette confiance tranquille touche le lecteur, et ce langage sincère reste gravé dans les mémoires.
J'aimerais intituler ce livre « Le lent battement de cœur de notre époque ».
Dans un monde qui évolue à un rythme effréné, seules les phrases lentes peuvent perdurer.
L'écriture de Lee Sang-hoon est posée, sans exagération, et chaque phrase est soigneusement élaborée.
C'est le récit sincère de toute une vie d'un homme, écrit comme s'il la cousait lui-même.
« La pauvreté des riches » nous pose de nouvelles questions.
« Qu’est-ce que tu perds maintenant, et pour quoi vis-tu ? » Face à cette question, le lecteur se surprend bientôt à ressentir un sentiment de privation plus profond dans son cœur que l’abondance entre ses mains.
Et dès que vous recouvrez la phrase, vous commencez à penser :
La pauvreté n'est pas un malheur, mais le plus ancien moyen de retrouver son humanité.
Voici un livre sur la restauration de l'esprit que notre époque se doit de lire.
C'est le témoignage du cœur d'un être humain qui a consumé toute sa vie en phrases, un témoignage qui a traversé les âges.
Nous vivons aujourd'hui dans une période de pauvreté extrême au milieu de l'abondance.
Au milieu de ce déluge d'informations et de documents, de cette rapidité et de cette commodité, ce qui s'est perdu, c'est le cap de l'esprit.
Les écrits de Lee Sang-hoon nous ramènent à cette direction perdue.
Il ravive la température corporelle humaine déclinante grâce à un langage du cœur qui se comprend sans mots.
Ses phrases sont à la fois douces et fermes, chaleureuses et incisives.
C'est le regard de quelqu'un qui n'a jamais tourné le dos au monde, et la voix de quelqu'un qui n'a pas renoncé à son humanité même au cœur de la souffrance.
« La productivité vient de l’esprit », écrit-il.
Cette simple phrase constitue la critique la plus douce et pourtant la plus féroce d'une époque qui juge le monde uniquement sur la base du capital et de l'efficacité.
Sans avoir honte de son corps malade, il interprète les mains de sa vieille mère comme « la productivité de la vie » et perçoit le cycle de la vie même dans la mort d'une poule.
Son regard ne dissimule pas les méandres de la réalité.
Mais même au milieu de ces rebondissements, subsiste cette foi humaine tenace qui permet de trouver la lumière.
Lire ce livre, c'est comme se retrouver face à une vieille table à manger.
Au lieu de mets raffinés, on trouve un bol de pâte de soja au parfum terreux et empreint de sincérité.
Chaque phrase réchauffe le cœur comme du riz chaud.
Le lecteur regarde le tableau et s'en rend compte.
L'abondance ne se mesure pas à l'argent et aux possessions matérielles, mais à la transparence de votre cœur.
D'un point de vue littéraire, 『Affluent Poverty』 est un recueil de prose rare qui s'inscrit dans la tradition des essais coréens, mais où confession, réflexion, expérience et philosophie se croisent naturellement.
Les phrases ont un rythme, et les paragraphes ont une fin.
Ces nœuds s'unissent pour former une seule vie.
Il ne cherche pas à donner de leçon au lecteur.
Il montre simplement le chemin qu'il a emprunté et dit : « Il y avait un chemin ici aussi. »
Cette confiance tranquille touche le lecteur, et ce langage sincère reste gravé dans les mémoires.
J'aimerais intituler ce livre « Le lent battement de cœur de notre époque ».
Dans un monde qui évolue à un rythme effréné, seules les phrases lentes peuvent perdurer.
L'écriture de Lee Sang-hoon est posée, sans exagération, et chaque phrase est soigneusement élaborée.
C'est le récit sincère de toute une vie d'un homme, écrit comme s'il la cousait lui-même.
« La pauvreté des riches » nous pose de nouvelles questions.
« Qu’est-ce que tu perds maintenant, et pour quoi vis-tu ? » Face à cette question, le lecteur se surprend bientôt à ressentir un sentiment de privation plus profond dans son cœur que l’abondance entre ses mains.
Et dès que vous recouvrez la phrase, vous commencez à penser :
La pauvreté n'est pas un malheur, mais le plus ancien moyen de retrouver son humanité.
Voici un livre sur la restauration de l'esprit que notre époque se doit de lire.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 21 novembre 2025
- Nombre de pages, poids, dimensions : 280 pages | 148 × 210 × 17 mm
- ISBN13 : 9791191604610
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Langue coréenne
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