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Guerre civile
Guerre civile
Description
Introduction au livre
Ce qui attendait César, qui avait mené la guerre des Gaules de huit ans à la victoire, n'était pas la gloire de la victoire, mais la trahison du Sénat et de Pompée.
Devons-nous dissoudre notre armée et suivre les ordres du Sénat, ou devons-nous enfreindre la loi et risquer une guerre entre nos propres citoyens ?
César décide.

« Si je traverse ce fleuve, le monde des hommes deviendra misérable, et si je ne le traverse pas, je serai détruit. »
Allons-y, là où les dieux nous attendent, le sort en est jeté !

C’est ainsi que débuta la plus grande crise de l’histoire romaine, la guerre civile.
Et César, qui connaissait mieux que quiconque l'importance de l'opinion publique, écrivit « La Guerre civile » après « La Guerre des Gaules ».
Le chapitre sur les guerres civiles, qui débute par la conspiration du Sénat romain et de Pompée et la contre-attaque de César, ne couvre pas la fin complète de la guerre civile et se termine par une description de la guerre civile en Égypte.
Parce que César a été assassiné par des sénateurs un an seulement après la fin de la guerre civile.
Et Rome est plongée dans une nouvelle guerre civile.

La première partie de ce livre contient des textes qui décrivent la situation politique à Rome à l'époque et la vie de César, qui ne peuvent être comprises à partir des seules guerres civiles originales, ainsi qu'une image représentant la scène de l'assassinat de César.
Et, comme pour le précédent ouvrage intitulé « La Guerre des Gaules », il est conçu avec des annotations et des illustrations fidèles afin de garantir que les lecteurs de récits vieux de 2 000 ans puissent pleinement comprendre le contenu du livre.
Ce livre offre aux lecteurs qui attendaient un autre écrit de César après avoir lu « La Guerre des Gaules » la joie de retrouver César.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
introduction
Rome en crise : vers qui se tournera-t-elle ?
César, désormais traître, déclare la guerre.
César, sa vie et sa mort

Livre 1 : Le début de la guerre civile
Complot à Rome
La contre-attaque de César
Conquête de Corpinium
Pompée s'échappe de Rome
Rome entre sans effusion de sang
Des nuages ​​de guerre planent sur Massilia
Ilerda isole César
Rapport de victoire navale de Brutus
Victoire de César, bataille d'Hispéa

Volume 2 Victoire et Défaite
Siège de Massilia
Conquête finale de l'Hispanie
Massilia, hissez le drapeau blanc
La bataille de Curio en Afrique
La mort de Curio, le début de la défaite

Livre 3 : Le grand affrontement entre César et Pompée
Pompée se prépare à la guerre
Conférence d'Épire
La rébellion de Caelius
Les procès d'Antoine
Injustices macédoniennes
Bataille de Darakium
Le plan de César échoue.
César se rend en Thessalie
La poursuite de Pompée
La grande bataille de Pharsale
La fin de Pompée
Alexandrie et Cléopâtre

Chronologie de César

Dans le livre
L'erreur que commettent tous les êtres humains est d'être trop confiants et d'avoir peur de ce qu'ils ne peuvent pas voir et de ce qu'ils ne connaissent pas.
--- p.125~126
En temps de guerre, les petites choses ont tendance à dégénérer et à entraîner des conséquences étranges et graves.
En temps de guerre, les petites choses ont tendance à dégénérer et à entraîner des conséquences étranges et graves.
--- p.63
Un grand commandant ne devrait-il pas remporter de plus grandes victoires par la tactique que par la force de son épée ?
--- p.107
Les gens ont tendance à croire ce qu'ils veulent croire et souhaitent que les autres pensent de la même manière.
Les gens ont tendance à croire ce qu'ils veulent croire et souhaitent que les autres pensent de la même manière.
--- p.149
Si le ciel nous tourne le dos un instant, nous devons créer notre propre destin par nos propres efforts.
Car la défaite que nous avons subie n'était la faute de personne d'autre que la nôtre.
Si le ciel nous tourne le dos un instant, nous devons créer notre propre destin par nos propres efforts.
Car la défaite que nous avons subie n'était la faute de personne d'autre que la nôtre.
--- p.235
Pompée exhiba fièrement les deux capitaines de cavalerie qui avaient rejoint ses rangs.
Ces deux hommes étaient de noble naissance et de haut rang, et étaient particulièrement favorisés par César car ils disposaient d'une armée nombreuse et de nombreux chevaux, et étaient également réputés pour leur bravoure.
De plus, il s'agissait d'un événement spécial et sans précédent.
Jusqu'alors, on constatait quotidiennement des incidents où des soldats d'Épire, d'Étolie et d'autres régions récemment tombées aux mains de César passaient du camp de Pompée à celui de César, mais pas un seul soldat, ni d'infanterie ni de cavalerie, n'avait déserté le camp de César pour rejoindre celui de Pompée.
De plus, les deux capitaines de cavalerie savaient tout.
Ils savaient quelles parties du siège de César étaient inachevées et quelles divisions de spécialistes militaires manquaient.
Ils ont également pris note des horaires des soldats, des distances entre les avant-postes, ainsi que des différences de tempérament et de sincérité des commandants responsables de chaque avant-poste et des différences qui en résultaient dans leur niveau de vigilance.
Et il rapporta tout cela à Pompée.
Pompée exhiba fièrement les deux capitaines de cavalerie qui avaient rejoint ses rangs.
Ces deux hommes étaient de noble naissance et de haut rang, et étaient particulièrement favorisés par César car ils disposaient d'une armée nombreuse et de nombreux chevaux, et étaient également réputés pour leur bravoure.
De plus, il s'agissait d'un événement spécial et sans précédent.
Jusqu'alors, on constatait quotidiennement des incidents où des soldats d'Épire, d'Étolie et d'autres régions récemment tombées aux mains de César passaient du camp de Pompée à celui de César, mais pas un seul soldat, ni d'infanterie ni de cavalerie, n'avait déserté le camp de César pour rejoindre celui de Pompée.
De plus, les deux capitaines de cavalerie savaient tout.
Ils savaient quelles parties du siège de César étaient inachevées et quelles divisions de spécialistes militaires manquaient.
Ils ont également porté une attention particulière au calendrier des forces amies, à la distance entre les avant-postes, ainsi qu'aux différences de tempérament et de sincérité des commandants responsables de chaque avant-poste et aux différences de vigilance qui en résultaient.
Et il rapporta tout cela à Pompée.
--- p.225~226
À ce moment précis, César donna l'ordre d'avancer vers la troisième ligne de soldats qui attendaient à leurs positions.
Alors que des troupes fraîches et indemnes remplaçaient les soldats épuisés et qu'une autre force attaquait par l'arrière, l'armée de Pompée ne put plus tenir et tous se retournèrent et commencèrent à fuir.
Comme César l'avait déclaré dans son exhortation à ses soldats, la victoire ce jour-là dépendait des bataillons déployés en quatrième ligne pour bloquer la cavalerie.
Ce sont eux qui ont repoussé la cavalerie de Pompée, ce sont eux qui ont balayé les frondeurs et les archers, ce sont eux qui ont encerclé l'aile gauche de Pompée et mis en déroute l'ennemi.
Pompée, qui avait vu la cavalerie fuir et ses troupes les plus fidèles paniquer, retourna directement au camp et cria aux centurions qui montaient la garde aux portes afin que tous les soldats puissent l'entendre :
« Prenez garde à l’ennemi et défendez le camp de toutes vos forces. » Puis il retourna au quartier général et, sentant les nuages ​​sombres s’amonceler sur le champ de bataille, il attendit le dénouement.
À ce moment précis, César donna l'ordre d'avancer vers la troisième ligne de soldats qui attendaient à leurs positions.
Alors que des troupes fraîches et indemnes remplaçaient les soldats épuisés et qu'une autre force attaquait par l'arrière, l'armée de Pompée ne put plus tenir et tous se retournèrent et commencèrent à fuir.
Comme César l'avait déclaré dans son exhortation à ses soldats, la victoire ce jour-là dépendait des bataillons déployés en quatrième ligne pour bloquer la cavalerie.
Ce sont eux qui ont repoussé la cavalerie de Pompée, ce sont eux qui ont balayé les frondeurs et les archers, ce sont eux qui ont encerclé l'aile gauche de Pompée et mis en déroute l'ennemi.
Pompée, qui avait vu la cavalerie fuir et ses troupes les plus fidèles paniquer, retourna directement au camp et cria aux centurions qui montaient la garde aux portes afin que tous les soldats puissent l'entendre :
« Prenez garde à l’ennemi et défendez le camp de toutes vos forces. » Puis il retourna au quartier général et, sentant les nuages ​​sombres s’amonceler sur le champ de bataille, il attendit le dénouement.
--- p.255~256

Avis de l'éditeur
La plus grande crise de l'histoire romaine,
Pompée a trahi César, et César a franchi le Rubicon et est devenu un traître.
Un récit saisissant de la guerre civile romaine, écrit par César lui-même au cœur des combats.


« Si nous franchissons ce fleuve, le monde des humains deviendra misérable. »
Si je ne traverse pas, je suis fichu.

Allons de l'avant, là où les dieux nous attendent.

« Le sort en est jeté ! » – César

César, debout devant le Rubicon, écrit un livre.
Le livre « Guerres civiles », écrit par César lui-même à propos de la guerre civile romaine qui a commencé lorsqu'il a franchi le Rubicon à cheval en 49 av. J.-C., a été publié par un éditeur.

Un livre contenant une variété de documents visuels difficiles à trouver.
En particulier, l'ouvrage récemment publié « Guerre civile » est riche en documents visuels rares, tels qu'une peinture qui capture l'instant et l'exprime en quatre images consécutives, une scène de l'assassinat de Pompée et une peinture représentant…
De plus, il comprend des cartes illustrant la situation des combats à l'époque, des images de Rome avant Jésus-Christ et des armes de l'armée romaine, permettant aux lecteurs d'avoir un aperçu de cette histoire vivante.


Le chef-d'œuvre de César, qui ne pose jamais son pinceau, même sur le champ de bataille.
Ce livre est la traduction d'un ouvrage écrit par César lui-même durant la guerre civile et publié il y a deux mille ans. César n'était pas seulement un guerrier, mais aussi le plus grand écrivain de son temps, faisant preuve d'un talent d'écriture exceptionnel et ne cessant jamais d'écrire, même sur le champ de bataille.
César a écrit de nombreux ouvrages, mais seuls deux nous sont parvenus : « La Guerre des Gaules » et « La Guerre civile ». « La Guerre des Gaules » relate l’histoire de César menant l’armée romaine à la conquête de la Gaule, région de l’actuelle Europe occidentale, sur une période de huit ans, à partir de 58 av. J.-C. Cet ouvrage est considéré comme un classique de la littérature de guerre mondiale pour son récit objectif, son analyse lucide et son style sobre.
En Corée, il a été lancé par un éditeur en juillet de cette année et a connu un succès constant, avec 5 000 exemplaires vendus en un mois et demi.


C'est terminé.
Mais maintenant, c'est le cas.
La fin de la Guerre des Gaules et le début de la Guerre civile sont intimement liés. La Guerre des Gaules s'achève avec César, qui, après avoir quitté Rome et mené une guerre acharnée contre les barbares, est sur le point de remporter la victoire lorsqu'il apprend l'existence d'un complot ourdi au sein même de Rome pour lui nuire.
La guerre civile commence alors avec la conspiration du Sénat romain et de Pompée, et la contre-attaque de César en réponse.
Par conséquent, ces deux livres, écrits dans l'ordre chronologique, peuvent être considérés comme une préquelle et une suite plutôt que comme des ouvrages indépendants et distincts.
Finalement, une autre guerre attend César, ne lui laissant aucun répit.
Mais cette fois, c'est elle qu'il faut payer.

Un grand soldat, un homme politique et un écrivain de génie,
Il devint un héros national en éradiquant les pirates et en conquérant l'Orient.
Deux héros sur scène, lequel survivra et régnera sur Rome ?

César, devenu un héros grâce à ses guerres contre les étrangers, est craint par Rome.
La victoire de César lors de la guerre des Gaules a permis à Rome de dépasser son statut de cité-État et de bâtir un vaste empire.
Mais à Rome, on essaie de le faire reconnaître comme tel.
À la fin de la guerre des Gaules, le Sénat romain et les opposants de César publièrent un décret ordonnant à César de dissoudre son armée, de rendre son commandement militaire et de rentrer seul à Rome avant une date fixée, afin d'isoler César, qui tentait de renverser le système sénatorial.


« César doit dissoudre son armée avant la date fixée. »

« Si l’armée n’est pas dissoute, cela sera considéré comme de la trahison. » (Page 42)

Autrement dit, ils ont tenté de destituer et de rappeler César, qui était censé gagner la guerre et organiser un cortège triomphal.
Rome en crise, vers qui le Sénat se tournera-t-il ?
Pompée tourne le dos, trahissant la confiance de César.
Dans le même temps, ils approchèrent Pompée, qui avait formé un triumvirat avec César et était marié à la fille de César, devenant ainsi son gendre, et le tentèrent de trahir César et de s'allier au Sénat pour le chasser du pouvoir.
Le Sénat, se sentant menacé par le succès de César, mit une épée dans la main de Pompée.
Finalement, Pompée, qui détenait le pouvoir militaire et politique, trahit César.
César se rend compte qu'un complot visant à lui nuire est en cours.



◈ César hésitant devant le Rubicon,
Devons-nous vraiment faire la guerre à notre propre peuple… ?

Les recommandations finales du Sénat ne sont promulguées qu'en cas d'urgence nationale, et le refus de s'y conformer est considéré comme un acte de trahison.
Lorsque César fait franchir le Rubicon à son armée, il devient alors un .
Il se tient devant.
Et hésitez.

« Si nous franchissons ce fleuve, le monde des humains deviendra misérable. »
« Si je ne traverse pas, je suis fichu. »

Le passage du fleuve par César signifie qu'il y aura une guerre civile.
Mais il ne s'agit pas seulement de la tragique réalité de la guerre, mais aussi des longues séquelles de ressentiment, de haine, de méfiance et de trahison qui découlent de la division d'un même peuple en deux.
Alors, devait-il éviter de franchir le Rubicon pour éviter la guerre civile ? Ou devait-il risquer la guerre civile pour protéger ses propres droits légitimes et ceux du peuple romain, pour renverser le système républicain sénatorial dirigé par une minorité et pour réformer l’État ? C’est finalement César qui tranche.
Le sort en est jeté.

«Allons de l’avant, là où les dieux nous attendent. »
Là où nous attend l'ennemi qui a terni notre honneur.
Les dés sont jetés.

Le 12 janvier 49 avant J.-C., en plein hiver, alors que César avait 50 ans, il franchit enfin le Rubicon.
Historiquement, c'est ainsi que cela se passe.



◈ La guerre civile commence véritablement, avec une série d'évasions et de poursuites.

César contre la marche sur Rome.
Pompée fuit Rome
Après avoir franchi le Rubicon, César se dirige vers Rome.
Les rumeurs de l'avancée de César s'étaient déjà répandues à Rome, poussant Pompée et la plupart des hauts fonctionnaires à fuir la ville.
César les poursuit ensuite jusqu'en Espagne et en Grèce actuelles.
En chemin, il attaqua l'Espagne et l'Afrique du Nord, qui étaient défendues par des généraux sous les ordres de Pompée.


César, vaincu, fait face à une crise
César ne se vante pas d'une série de victoires pendant la guerre civile comme il l'avait fait pendant la guerre des Gaules.
Il rencontre des difficultés en raison de l'infériorité numérique de ses soldats et de sa stratégie immature.
Ses généraux subalternes meurent également pendant la guerre civile.
Voici une comparaison de ses forces avec celles de Pompée :
L'âge des commandants en chef était similaire : Pompée avait 58 ans et César 52 ans.
Cependant, le camp de Pompée avait l'avantage en termes de forces terrestres, de puissance navale, de ressources financières et de proportion d'officiers supérieurs.
Cependant, l'armée de César avait l'avantage grâce à la grande expérience de ses soldats au combat.
César a entamé la guerre avec pour seuls atouts l'enthousiasme et l'expérience de ses soldats.


Bataille d'Ilerda : une série de retournements de situation
César, qui combattait l'armée de Pompée en Hispanie (l'Espagne actuelle), fut bloqué par une averse torrentielle soudaine.
À cette vue, le camp de Pompée exulta et envoya précipitamment à Rome un rapport annonçant la victoire.
En apprenant cette nouvelle, la plupart des sénateurs qui n'avaient pas encore décidé quel camp rejoindre se rallièrent à Pompée.
À cette époque, Cicéron décida lui aussi de se ranger du côté de Pompée.
Cependant, César changea le cours du fleuve en construisant un canal, isolant ainsi l'ennemi.
Finalement, il accepte la reddition de l'armée de Pompée et prend le contrôle de la Méditerranée occidentale.


L'officier déserteur de César divulgue une grande quantité d'informations.
César arrive également en Grèce, à la poursuite de Pompée, qui quitte l'Italie pour Dyrrachium en Grèce.
Cependant, deux capitaines de cavalerie sous les ordres de César font défection et désertent, rejoignant le camp de Pompée.
Grâce à eux, une grande quantité d'informations militaires concernant le siège de Dyrrachium a fuité, et l'armée de César a été impitoyablement anéantie.
En une seule journée de combat, César perdit plus de 1 000 soldats, 32 officiers et centurions, et 33 porte-étendards.
(pages 225-233)

De plus, César, un général exceptionnel qui avait combattu à ses côtés pendant 13 ans lors de la guerre des Gaules, ne franchit pas le Rubicon avec lui.
Il fut tenté par le camp de Pompée, trahit César, rejoignit leur camp et devint un ennemi de César durant la guerre civile, lui infligeant une défaite fatale.
De plus, les partisans de Pompée ont finalement rejeté toutes les négociations de paix proposées par César.

« N’évoquons plus la question de l’accord. »
« Il ne peut y avoir de paix avant que la tête de César ne vous soit apportée. » (p. 187)

Le grand affrontement entre Pompée et César,
Après sa cuisante défaite au siège de Dyrrachium, César entra en Thessalie, en Grèce, et choisit une plaine pour y affronter Pompée lors d'une bataille décisive.
Cette plaine est devenue célèbre dans l'histoire car elle fut le théâtre de la plus grande bataille entre les deux hommes.
Malgré leur infériorité numérique, l'armée de César lança une attaque préventive, repoussant la cavalerie de Pompée contre une haie humaine et la mettant hors de combat, ce qui lui permit finalement de remporter la victoire.
(Page 245)
Pompée, qui observait cette bataille, pressentit la défaite et s'enfuit rapidement à Alexandrie, en Égypte, se cachant sur un navire chargé de céréales.
Cette bataille, livrée le 9 août 48 av. J.-C., se solda par une victoire complète pour César et jeta les bases de sa victoire dans la guerre civile.

La mort de Pompée, la fin du premier acte de la guerre civile.
Cependant, Pompée trouve la mort dans des circonstances inattendues.
Pompée, sentant de sombres nuages ​​s'amonceler au-dessus de la bataille de Pharsale, s'enfuit précipitamment à Alexandrie, en Égypte, avec seulement quelques-uns de ses hommes.
Cependant, il y est assassiné par des généraux égyptiens, sa tête tranchée sur le navire.
(Figure pages 266-267)

La tête tranchée de Pompée est remise à César, qui était entré à Alexandrie à la poursuite de Pompée.
César le transmet à la femme de Pompée.
Lorsque César apprit la mort de Pompée, son plus grand rival de son vivant, il décrivit sa mort en une seule phrase :
Bien qu'il fût le plus grand statique, il ne se réjouit pas face à la mort.
Il se sent plutôt triste.
Je réprime mon chagrin en consignant sa mort en une seule phrase.
Ainsi, la guerre civile qui commença en 49 av. J.-C. et dura jusqu'en 48 av. J.-C. s'achève dans le premier acte avec la mort de Pompée.

César, subjugué par le charme de Cléopâtre, et la guerre d'Alexandrie
À son arrivée à Alexandrie, César intervient dans la guerre civile qui oppose Cléopâtre à son frère pour le trône d'Égypte.
En soutenant Cléopâtre, il s'est impliqué dans la guerre civile égyptienne, où il a combattu lors de la guerre d'Alexandrie.
Selon l'histoire, César, subjugué par le charme de Cléopâtre, intervint dans la guerre d'Alexandrie malgré la guerre civile à Rome et l'aida à accéder au trône.
On dit aussi que 『La Guerre civile』 a été écrite lors d'un voyage en Égypte avec Cléopâtre après la guerre.
César eut avec elle un fils, Césarion, et après la fin de la guerre civile, il les rappela à Rome.


◈ Fin de la guerre civile
L'ère spartiate prit fin avec la mort de Pompée, mais la guerre civile, les vestiges de la faction de Pompée étant dispersés dans toutes les directions après la bataille de Pharsale, se poursuivit jusqu'en 45 av. J.-C.

Cependant, les « Guerres civiles » de César ne relatent pas ce qui s'est passé par la suite, comme , , etc.
On sait que ses subordonnés ont écrit sur la guerre qui a suivi, mais on ignore exactement qui ils étaient.
On lui reproche toutefois d'être moins littéraire que les écrits de César et de ne pas fournir une description claire.


◈ Le chef-d'œuvre de César, « Guerres civiles »
Dans ses propres Guerres civiles, César ne relate que la guerre civile de 49 av. J.-C. à 48 av. J.-C.
À proprement parler, la guerre civile s'est terminée en 45 av. J.-C., mais César a achevé sa rédaction après la mort de Pompée et son entrée à Alexandrie.

Peut-être César voulait-il aussi consigner les guerres qu'il a menées par la suite.
C’est peut-être pourquoi cela se termine par .
Mais l'histoire ne lui a pas permis d'écrire davantage.
Parce qu'il a été assassiné un an après la fin de la guerre civile.
Cependant, ce livre, ainsi que « La Guerre des Gaules », est considéré comme l'une de ses œuvres représentatives et permet de bien comprendre la situation au moment de la guerre civile.

◈ « Brutus, toi aussi ! » La mort tragique de César
Moins d'un an après la fin de la guerre civile, César connut une mort brutale le 15 mars 44 av. J.-C., poignardé 23 fois dans la salle du Sénat, sous une statue de son rival politique, Pompée.
Parmi les assassins figuraient ses officiers subalternes qui avaient combattu à ses côtés lors des guerres gauloises et de la guerre civile, notamment Marcus Brutus, Gaius Trebonius, Decius Brutus et Manucius Basilus.
Finalement, son corps est destiné à être emporté seul par ses trois esclaves.
(Figure pages 36-37).
Ainsi s'acheva sa vie de 56 ans, et Rome fut plongée dans une nouvelle guerre civile suite à l'effondrement du système républicain.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 7 septembre 2005
Nombre de pages, poids, dimensions : 283 pages | 468 g | 153 × 224 × 20 mm
- ISBN13 : 9788995671313
- ISBN10 : 8995671319

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