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Nous ne vivons pas tous dans le même monde
Nous ne vivons pas tous dans le même monde
Description
Introduction au livre
Un mot du médecin
Des dizaines de milliers de vies brillent
Vainqueur du Prix Goncourt 2019.
L'histoire d'un homme qui a travaillé comme gérant d'immeuble pendant 26 ans et qui a été emprisonné à la suite d'un accident.
À travers ce roman, l'auteur transmet la vérité de la vie que l'on apprend à travers d'innombrables échecs et rencontres fortuites avec les obstacles.
Qu'il n'y a ni douleur ni échec, et qu'il y aura certainement des moments de gloire.
6 octobre 2020. Roman/Poésie. Réalisateur : Park Hyung-wook.
Lauréat du Prix Goncourt 2019

L'écrivain national français Jean-Paul Dubois
Un réconfort chaleureux qui dissipe les préjugés sur le monde et sur moi-même.


« Not Everyone Lives the Same in the World », qui a remporté le 117e prix Goncourt en 2019, devançant Amélie Nothomb et recevant les éloges de la critique pour être « une œuvre qui possède à la fois popularité et perfection littéraire », a été publié par Changbi Publishing Co., Ltd.
Il s'agit du meilleur ouvrage de Jean-Paul Dubois, écrivain français également très apprécié en Corée pour ses romans tels que « Une vie à la française » et « Monsieur Tanet, ne plaisantez pas ».
Voici l'histoire d'un homme qui a immigré de France au Canada, a travaillé comme concierge aux appartements Lexelcior pendant vingt-six ans et a été emprisonné à la suite d'un concours de circonstances. Le choix du protagoniste de rester fidèle à lui-même, même au cœur de l'adversité, transparaît avec force.
Bien que l'intrigue puisse facilement devenir pesante, le film reste constamment calme et joyeux, comme en témoigne le commentaire du grand quotidien français Le Monde : « Jean-Paul Dubois parvient à capturer des moments d'humour pétillant même dans une histoire douloureuse. »
Cet ouvrage, qui brise les préjugés sur le monde et sur soi-même à travers le thème « nous ne vivons pas tous dans le même monde », a été très apprécié des lecteurs français au point de devenir un best-seller et d'obtenir de nombreuses certifications de lecture sur les réseaux sociaux.
L'ouvrage primé, « Not Everyone Lives the Same Life », a surmonté les craintes de perte de popularité et offrira une profonde empathie et un réconfort chaleureux aux lecteurs coréens lassés du système compétitif et des réalités liées à la pandémie.
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indice
Prison au bord de la rivière
Skagen, l'église enfouie sous le sable
Les doutes du pasteur
Au fond de la gorge
Mines de Thetford
Et l'orgue s'est arrêté
Montréal, Québec
Le castor de Winona
Juste avant que la nuit ne tombe
Avions, tracteurs et attente
Retour à Skagen

Remerciements
Note du traducteur

Dans le livre
J'ignore même dans quel état sont les organes internes de Lexelcior actuellement.
Je sais simplement que ce petit monde de 68 familles me manque énormément.
Ce monde imaginaire me manque, avec ses combinaisons infinies de pannes, d'inquiétudes et d'énigmes à résoudre.

--- p.26

Qui aurait pu imaginer que les événements se dérouleraient ainsi à Thetford Mines ? Le pasteur Hansen allait se retrouver soudainement sur un chemin inattendu, confronté à un appel d'urgence de ses employeurs en janvier 1982 : le presbytère de Québec et de Sherbrooke de la branche Montréal-Ottawa de l'Association canadienne des Églises.

--- p.141

Veuillez garder ce mot à l'esprit.
C'est un adage si simple, quelque chose que notre père nous répétait sans cesse : ne pas juger les gens sur leurs défauts.
« Tout le monde ne vit pas dans le même monde. »
--- p.161

J'ai demandé à Reed pourquoi il n'avait pas démissionné après le décès de sa mère, pourquoi il n'avait pas abandonné son poste pour reprendre son ancien métier.
Il a répondu qu'il était trop tard et qu'il n'avait pas le courage de tout recommencer à zéro.
Je savais que j'étais sur la mauvaise voie, mais j'ai dit que je la suivrais jusqu'au bout.

--- p.198

Dès l'instant où j'ai posé les yeux sur Winona Mapache, j'ai su que cette femme, dont le père était algonquin et la mère irlandaise, était le genre de personne qui vivait chaque instant en ayant conscience que la vie était trop courte et trop précieuse pour s'attarder à faire la queue avec des problèmes mesquins.
--- p.205

Avis de l'éditeur
Lauréat du Prix Goncourt 2019
« Une œuvre qui allie popularité et perfection littéraire. »
-Bernard Pibot (Président du Jury du Prix Goncourt)

L'écrivain national français Jean-Paul Dubois
Un réconfort chaleureux qui dissipe les préjugés sur le monde et sur moi-même.


« Not Everyone Lives the Same in the World », qui a remporté le 117e prix Goncourt en 2019, devançant Amélie Nothomb et recevant les éloges de la critique pour être « une œuvre qui possède à la fois popularité et perfection littéraire », a été publié par Changbi Publishing Co., Ltd.
Il s'agit du meilleur ouvrage de Jean-Paul Dubois, écrivain français qui a également rencontré un vif succès en Corée grâce à des romans tels que « Une vie à la française » et « Monsieur Tanet, ne plaisantez pas ».
Voici l'histoire d'un homme qui a immigré de France au Canada, a travaillé comme concierge aux appartements Lexelcior pendant vingt-six ans et a été emprisonné à la suite d'un concours de circonstances. Le choix du protagoniste de rester fidèle à lui-même, même au cœur de l'adversité, transparaît avec force.
Bien que l'intrigue puisse facilement devenir pesante, le film reste constamment calme et joyeux, comme en témoigne le commentaire du Monde, un grand quotidien français, selon lequel « Jean-Paul Dubois parvient à capturer des moments d'humour pétillant même dans une histoire douloureuse ».


Cet ouvrage, qui brise les préjugés sur le monde et sur soi-même à travers le thème « nous ne vivons pas tous dans le même monde », a été très apprécié des lecteurs français au point de devenir un best-seller, avec de nombreuses certifications de lecture sur les réseaux sociaux.
L'ouvrage primé, « Not Everyone Lives the Same Life », a surmonté les craintes de perte de popularité et offrira une profonde empathie et un réconfort chaleureux aux lecteurs coréens lassés du système compétitif et de la réalité engendrée par la pandémie.


La vie d'une personne ordinaire qui a basculé dans la ruine de façon inattendue
Le choix de devenir soi-même à ce tournant de la vie


Ce roman raconte l'histoire d'une personne ordinaire qui, suite à une chute inattendue, fait des choix pour devenir elle-même.
Le père Johannes est un « homme du XIXe siècle vivant au XXe siècle ».
La mère, propriétaire d'un cinéma, s'investit pleinement dans les temps nouveaux, à commencer par la révolution de 1968, mais le père, sachant que la voie qu'il a choisie est devenue vaine, ne peut quitter le navire qui a déjà commencé à couler et disparaît peu à peu.
Mon fils Paul est un homme qui a réussi à survivre au XXe siècle mais qui ne s'est pas adapté au XXIe siècle.
La vie de Paul commence véritablement dans le Nouveau Monde, au Canada, après son départ du Vieux Monde, la France.


C'est une personne qui non seulement accomplit discrètement le travail ardu de gestion des appartements Lexelcior, mais qui trouve également satisfaction et joie à répondre aux demandes personnelles des résidents.
Mais depuis le début du millénaire, une sorte de changement de mains s'est opéré dans ce monde.
Au fur et à mesure que les locataires qui appréciaient autrefois sa valeur partent un à un, la communauté tolérante disparaît et les travailleurs acharnés comme Paul sont ignorés.
La série de malheurs qui ont frappé ses parents, l'accident de sa femme Winona alors qu'elle pilotait un hydravion, son licenciement, et même son emprisonnement, qui a débuté par un simple incident.
Mais même au milieu de cette perte et de ce malheur, Paul Hansen fait un choix différent de celui de son père, Johannes Hansen, qui s'est effondré dans le cadre qu'il s'était fixé.
À travers son parcours depuis la prison, où il se tient droit comme nul autre que lui-même, et où il réécrit même la vie de son père, les lecteurs découvriront que le succès et l'échec, tels qu'ils sont perçus selon les normes de l'époque, ne signifient rien face à la dignité humaine.


Nous ne vivons pas tous de la même manière dans le monde.

Son père, Johannes Hansen, a vécu toute sa vie comme un pasteur fidèle, mais a fini sa vie dans le déshonneur à cause de sa compulsion à jouer.
Son fils, Paul Hansen, malgré une vie honnête et droite, finit par devenir un criminel car il ne parvient pas à surmonter son malheur personnel et sa haine envers le représentant des locataires.
Le compagnon de cellule de Paul, Patrick, a lui aussi un côté humain : il s'inquiète de rendre visite à sa mère, il est passionné par ce qu'il aime et il réconforte les autres quand ils pleurent.
M. Reed, souvent sollicité pour calculer les indemnisations après chaque accident grave et souvent critiqué par la famille endeuillée, est très affectueux et dévoué à Paul.
Ainsi, chacun recèle quelque chose d'inattendu.
Ce qui est vraiment effrayant, c'est de juger sans se pencher sur le contexte.
Aux yeux du monde, ce sont des « joueurs », des « meurtriers en herbe » et des « experts en sinistres sans cœur », mais si l'on examine leur véritable nature, on ne peut les juger aussi facilement et l'on constate qu'ils ont en réalité vécu de manière plus honnête et plus assidue que la moyenne des gens.
Vous réalisez aussi qu'il y a assurément des moments exceptionnels dans leur vie.
Cet ouvrage soulève l'importante proposition selon laquelle « nous ne vivons pas tous dans le même monde », et nous amène à réfléchir sur notre regard sur les autres et, surtout, sur nous-mêmes.


Les préjugés et la discrimination dans le monde à l'encontre des travailleurs honnêtes

Paul Hansen, qui travaillait de longues heures aux appartements Lexelcior, répondant aux demandes personnelles des résidents en plus de ses fonctions de gestion, est réduit au rang de bouc émissaire par le nouveau représentant des locataires qui ne parle que de « réduction des coûts ».
Le monde transformé étend progressivement le champ de la discrimination à l'encontre de Paul et Winona, qui déclarent : « Nous avons fait le travail, pas notre argent », soulignant qu'ils sont « différents » des résidents.
Les règlements de gestion des immeubles d'habitation deviennent de plus en plus mesquins et sophistiqués, justifiant ainsi l'exploitation et les abus des usagers.
La réduction des coûts et la maximisation des profits finissent par enfermer tout le monde dans une société bureaucratique, voire despotique.
Et ce n'est pas tout.
Comme le montre la chute mortelle d'un employé d'un sous-traitant affecté au projet de maintenance de Lexelsior, la baisse de la valeur du travail et l'externalisation des risques vont de pair.
Si la personne venue réparer ma maison meurt et que cela ne me coûte rien, alors ce n'est rien.
À travers le microcosme des appartements Lexelcior, le roman nous rappelle que la valeur humaine reste constante quoi que nous fassions, et dénonce la réalité qui traite les gens qui travaillent dur comme de stupides « esclaves » qui ne savent même pas comment fonctionne le monde.


Une marque qui a établi une norme pour la fiction française moderne.
La réponse de Jean-Paul Dubois à la question « Comment vivre »


Jean-Paul Dubois, à qui l'on attribue la création d'un nouveau genre dans le roman français moderne, s'intéresse toujours à la question du « comment vivre » dans ses œuvres.
La vie qu'il dépeint n'est pas si belle que ça.
Une série de conflits, provoqués par des malentendus entre membres de la famille, la mort d'amis proches, la perte et une vie stigmatisée comme un échec, se déroulent.
Mais l'auteur ne s'arrête pas là, et dans cet ouvrage, il apporte une réponse à la question : « Comment surmonter les malheurs de la vie et devenir soi-même ? »
La façon dont nous percevons et vivons les pertes et les malheurs auxquels chaque être humain est confronté dans la vie est une clé importante pour répondre à la question « comment vivre ».
La raison pour laquelle les romans de Jean-Paul Dubois, qui réconfortent la vie de ceux qui vivent différemment et souffrent pour leurs propres raisons, et qui suggèrent un chemin vers la vie, sont considérés comme des « romans de vie » et sont si appréciés, se trouve probablement là.


[Note du traducteur]

Tout le monde ne peut pas s'adapter aux règles du nouveau monde.
À quoi ressemble le monde en 2020, où les mots « pandémie » et « nouvelle normalité » sont entendus plusieurs fois par jour ?
Pourtant, certaines personnes feront ce choix au péril de leur dignité, soit parce qu'elles n'ont appris que cette compétence, soit en raison d'un attachement lié à leurs aptitudes et à leur personnalité.
Ainsi, certains retourneront à leurs racines ancestrales, comme les cieux de leurs ancêtres ou les « confins de la terre » du Vieux Continent où vivent les géants.

— Lee Se-jin
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 5 octobre 2020
Nombre de pages, poids, dimensions : 308 pages | 344 g | 128 × 190 × 30 mm
- ISBN13 : 9788936478223
- ISBN10 : 8936478222

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