
Royaume des créatures
Description
Introduction au livre
Cette fois, c'est un être vivant !
Au bord de l'extinction, s'interroger sur la survie
L'histoire de la vie qui se déroule juste à côté de nous, mais dont nous ignorions l'existence.
Ce livre relate une exploration intellectuelle qui retrace le parcours évolutif de la survie et nous amène à réfléchir sur la grandeur et l'émerveillement de la vie.
« Le Royaume des Créatures » explore le vaste drame de la survie qui s'est déroulé au cours des milliards d'années passées sur cette immense scène appelée Terre, où nous nous trouvons, pour poser la question : « Qu'est-ce que la vie ? »
Des oiseaux, descendants des dinosaures et maîtres des cieux, aux pingouins qui ont survécu sur la glace antarctique grâce à la coopération et à la patience, en passant par les ratels à la vitalité tenace qui résistent au poison, les paresseux terrestres qui ont survécu grâce à une stratégie unique de lenteur, et enfin les humains, les seules créatures vivantes qui tentent d'évoluer grâce à la technologie, transcendant les lois de la nature.
À travers les récits de survie de créatures diverses, ce livre rappelle aux lecteurs la loi la plus ancienne et la plus immuable du règne biologique : l’évolution.
Le livre est divisé en quatre parties, chacune suivant un grand récit qui explore la vie et l'évolution, les écosystèmes et la civilisation, et l'univers.
La première partie présente les stratégies de survie de créatures qui ont survécu de manière unique, comme les aigles, les serpents, les anguilles et les cerfs, et montre comment la nature a maintenu la vie grâce à une variété de solutions.
La deuxième partie examine la nature organique et la complexité de l'écosystème terrestre à travers des récits de changements climatiques, de bouleversements écologiques et des créatures qui s'y sont adaptées.
En particulier, les créatures qui constituent une nouvelle menace dans des environnements inconnus, comme la « grenouille chamane », amènent les lecteurs à s'interroger sur le sens de la biodiversité et de la perturbation des écosystèmes.
Dans la troisième partie, l'histoire se concentre sur l'humain.
L’humanité, qui a dompté le feu, recherché l’or, compris la foudre et cherché à percer les secrets des sens, est désormais confrontée à la question de savoir si elle peut devenir un être qui transcende la nature.
Et dans la quatrième et dernière partie, le champ d'application de la question s'étend au-delà de la Terre, jusqu'à l'espace.
L'existence possible d'une vie extraterrestre, les champs magnétiques de Mars et de Vénus, et d'autres questions encore ne relèvent pas simplement de la science-fiction, mais se concrétisent en questions scientifiques : sommes-nous vraiment les seules formes de vie dans cet univers ?
« Le Royaume des créatures » ne se contente pas de parler de la vie parce que nous sommes vivants, mais pose des questions plus profondes telles que « pourquoi avons-nous survécu ? » et « comment avons-nous survécu ? »
En fin de compte, la question se pose à l'être humain.
L'être humain est-il véritablement le « maître » de ce règne, ou n'est-il qu'un point dans le vaste réseau du vivant ? Cet ouvrage va bien au-delà d'un simple manuel scientifique.
Il s'agit d'une immense mine de réflexions qui recoupent la philosophie, la biologie, l'anthropologie et les sciences spatiales, interrogeant l'essence de la vie et la raison d'être de l'existence humaine.
« Le Royaume des Créatures » promet une chose à ses lecteurs.
Dès que vous refermerez ce livre, votre vision de la vie changera.
Et ce regard s'étendra à une compréhension plus vaste et plus profonde qui ne se concentrera plus uniquement sur les êtres humains.
Au bord de l'extinction, s'interroger sur la survie
L'histoire de la vie qui se déroule juste à côté de nous, mais dont nous ignorions l'existence.
Ce livre relate une exploration intellectuelle qui retrace le parcours évolutif de la survie et nous amène à réfléchir sur la grandeur et l'émerveillement de la vie.
« Le Royaume des Créatures » explore le vaste drame de la survie qui s'est déroulé au cours des milliards d'années passées sur cette immense scène appelée Terre, où nous nous trouvons, pour poser la question : « Qu'est-ce que la vie ? »
Des oiseaux, descendants des dinosaures et maîtres des cieux, aux pingouins qui ont survécu sur la glace antarctique grâce à la coopération et à la patience, en passant par les ratels à la vitalité tenace qui résistent au poison, les paresseux terrestres qui ont survécu grâce à une stratégie unique de lenteur, et enfin les humains, les seules créatures vivantes qui tentent d'évoluer grâce à la technologie, transcendant les lois de la nature.
À travers les récits de survie de créatures diverses, ce livre rappelle aux lecteurs la loi la plus ancienne et la plus immuable du règne biologique : l’évolution.
Le livre est divisé en quatre parties, chacune suivant un grand récit qui explore la vie et l'évolution, les écosystèmes et la civilisation, et l'univers.
La première partie présente les stratégies de survie de créatures qui ont survécu de manière unique, comme les aigles, les serpents, les anguilles et les cerfs, et montre comment la nature a maintenu la vie grâce à une variété de solutions.
La deuxième partie examine la nature organique et la complexité de l'écosystème terrestre à travers des récits de changements climatiques, de bouleversements écologiques et des créatures qui s'y sont adaptées.
En particulier, les créatures qui constituent une nouvelle menace dans des environnements inconnus, comme la « grenouille chamane », amènent les lecteurs à s'interroger sur le sens de la biodiversité et de la perturbation des écosystèmes.
Dans la troisième partie, l'histoire se concentre sur l'humain.
L’humanité, qui a dompté le feu, recherché l’or, compris la foudre et cherché à percer les secrets des sens, est désormais confrontée à la question de savoir si elle peut devenir un être qui transcende la nature.
Et dans la quatrième et dernière partie, le champ d'application de la question s'étend au-delà de la Terre, jusqu'à l'espace.
L'existence possible d'une vie extraterrestre, les champs magnétiques de Mars et de Vénus, et d'autres questions encore ne relèvent pas simplement de la science-fiction, mais se concrétisent en questions scientifiques : sommes-nous vraiment les seules formes de vie dans cet univers ?
« Le Royaume des créatures » ne se contente pas de parler de la vie parce que nous sommes vivants, mais pose des questions plus profondes telles que « pourquoi avons-nous survécu ? » et « comment avons-nous survécu ? »
En fin de compte, la question se pose à l'être humain.
L'être humain est-il véritablement le « maître » de ce règne, ou n'est-il qu'un point dans le vaste réseau du vivant ? Cet ouvrage va bien au-delà d'un simple manuel scientifique.
Il s'agit d'une immense mine de réflexions qui recoupent la philosophie, la biologie, l'anthropologie et les sciences spatiales, interrogeant l'essence de la vie et la raison d'être de l'existence humaine.
« Le Royaume des Créatures » promet une chose à ses lecteurs.
Dès que vous refermerez ce livre, votre vision de la vie changera.
Et ce regard s'étendra à une compréhension plus vaste et plus profonde qui ne se concentrera plus uniquement sur les êtres humains.
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Aperçu
indice
Recommandation
Prologue : Je croyais que YouTube ne proposait que Baby Shark...
Le vrai plaisir de questionner la science !
Partie 1 | L'évolution est vraiment injuste
01 | Rire de Venom et des Bêtes, et concevoir une grossesse : Le ratel
02 | Comment manger les aliments les plus sales et vivre la vie la plus saine : L’Aigle
03 | Pourquoi la Corée est la seule exception parmi les espèces menacées à l'échelle mondiale : Gorani
04 | Une vie de mystère : Eel, son lieu de naissance et son lieu de mort
05 | Le plus grand souverain a survécu sous la plus petite forme : l'oiseau
06 | Quand j'ai oublié la loi, j'ai pu survoler la mer : Pingouin
Partie 2 | Tout ce qui a survécu a une raison d'être.
07 | Comment les côtes sont devenues le bouclier parfait : les tortues marines
08 | Mon cousin est allé à la mer, et j'ai survécu parce que je n'avais aucun goût : la paresse
09 | La vie en Amazonie commence avec ma poussière : le désert
10 | Ma beauté devient un désastre pour le monde : La grenouille chamane
Partie 3 | Comment l'animal le plus fragile est devenu le maître de la Terre
11 | Le feu nourrissait l'esprit, et l'or engendrait la confiance : Feu et or
12 | Les vaisseaux sanguins de notre corps et la foudre dans le ciel sont-ils identiques ?
13 | Voir rouge : ce qui a fait de nous des maîtres : l'œil humain
Partie 4 | La possibilité de la vie extraterrestre : nous ne sommes pas seuls
14 | L’immensité de l’univers regorge de vie, alors pourquoi sommes-nous seuls ? : Les civilisations extraterrestres
15 | Une force imperceptible et invisible protège tout : le champ magnétique.
Une visite au royaume des créatures : la nature interroge, Lee Jeong-mo répond
Source de l'illustration
Prologue : Je croyais que YouTube ne proposait que Baby Shark...
Le vrai plaisir de questionner la science !
Partie 1 | L'évolution est vraiment injuste
01 | Rire de Venom et des Bêtes, et concevoir une grossesse : Le ratel
02 | Comment manger les aliments les plus sales et vivre la vie la plus saine : L’Aigle
03 | Pourquoi la Corée est la seule exception parmi les espèces menacées à l'échelle mondiale : Gorani
04 | Une vie de mystère : Eel, son lieu de naissance et son lieu de mort
05 | Le plus grand souverain a survécu sous la plus petite forme : l'oiseau
06 | Quand j'ai oublié la loi, j'ai pu survoler la mer : Pingouin
Partie 2 | Tout ce qui a survécu a une raison d'être.
07 | Comment les côtes sont devenues le bouclier parfait : les tortues marines
08 | Mon cousin est allé à la mer, et j'ai survécu parce que je n'avais aucun goût : la paresse
09 | La vie en Amazonie commence avec ma poussière : le désert
10 | Ma beauté devient un désastre pour le monde : La grenouille chamane
Partie 3 | Comment l'animal le plus fragile est devenu le maître de la Terre
11 | Le feu nourrissait l'esprit, et l'or engendrait la confiance : Feu et or
12 | Les vaisseaux sanguins de notre corps et la foudre dans le ciel sont-ils identiques ?
13 | Voir rouge : ce qui a fait de nous des maîtres : l'œil humain
Partie 4 | La possibilité de la vie extraterrestre : nous ne sommes pas seuls
14 | L’immensité de l’univers regorge de vie, alors pourquoi sommes-nous seuls ? : Les civilisations extraterrestres
15 | Une force imperceptible et invisible protège tout : le champ magnétique.
Une visite au royaume des créatures : la nature interroge, Lee Jeong-mo répond
Source de l'illustration
Image détaillée

Dans le livre
«Chacun de nos mustélidés possède sa propre stratégie de survie. »
Ce que nous avons en commun, c'est que nous ne sommes en aucun cas des êtres faciles, malgré les apparences.
La moufette vit à sa façon et moi à la mienne.
Et nous ne nous touchons pas.
C'est ainsi que nous survivons dans ce monde impitoyable.
C'est la survie.
Les faibles ne sont que la proie des forts.
J'ai accepté cette loi.
C'est pourquoi j'ai survécu.
« Je suis un être fort. »
--- Extrait de « Honey Badger »
« Ma vie m’attend. »
Je crois au cycle céleste.
La chasse commence, la vie s'achève, et ma place est trouvée.
« J’occupe cet espace discrètement, sans faire d’histoires, mais comme une présence nécessaire. »
--- Extrait de « L'Aigle »
« Mais les chiens ne sont pas totalement inutiles en cas d’apparition d’un prédateur. »
En gros, ma stratégie consiste à fuir lorsque je rencontre un prédateur.
Ma principale stratégie de survie est de m'enfuir rapidement de la forêt.
Mais parfois, il y a des situations auxquelles on ne peut pas échapper.
Dans de tels moments, les crocs ne sont utilisés qu'en dernier recours.
Bien sûr, je le savais parfaitement.
Que les crocs ne constitueraient pas une menace suffisante pour les prédateurs.
« Nous savons très bien qu’un petit nombre ne peut pas vaincre un grand nombre. »
--- De "Gorani"
« Je vole dans le ciel maintenant. »
Je vole au gré du vent avec d'innombrables autres oiseaux.
Mes os sont légers, mes plumes fendent le vent, et mes yeux percent le monde.
Je suis vivant ici maintenant.
Que les dinosaures, formes de vie de l'ère mésozoïque, soient encore vivants et respirent aujourd'hui.
J'aimerais que les gens s'en rendent compte.
Nous ne sommes pas éteints.
Nous avons changé, nous nous sommes adaptés, nous avons survécu.
Voilà le pouvoir de l'évolution.
Les grandes choses disparaissent, mais la vie simple et flexible survit.
Nous en sommes la preuve.
--- Extrait de « Bird »
« Un problème encore plus grave est celui des déchets plastiques rejetés par les humains. »
De nombreuses bébés tortues se retrouvent piégées dans des déchets en plastique ou des bouteilles sur le chemin de la plage.
Ces amis, qui auraient pu se rendre à la mer sans aucun problème lié à la nature, se perdent et meurent à cause des déchets humains.
C’est aussi un problème que les humains doivent résoudre.
--- Extrait de « Tortue de mer »
« Je me contente d’acquiescer et de mâcher les feuilles. »
Son dos soutenait le sol, et de la mousse poussait sur mon dos.
Il se tenait debout sur le monde et je m'accroche au monde.
Bien que nos façons de survivre fussent différentes, nous avions quelque chose en commun.
« Nous étions tous des créatures silencieuses. »
--- Extrait de « Le paresseux »
« Je ne reste pas au même endroit. »
Le désert est vivant.
Le désert change.
Même si, à première vue, on pourrait croire que nous nous sommes arrêtés, nos sables respirent et avancent à leur propre rythme.
Lorsque nous accumulons des ressources, nous devenons terre ; lorsque nous devenons terre, la civilisation apparaît ; et lorsque la civilisation apparaît, nous disparaissons à nouveau.
Je l'ai répété d'innombrables fois.
« Je ne suis pas la destruction, je suis la transformation. »
--- Extrait de « Désert »
« En fin de compte, nous sommes devenus, d'une certaine manière, des êtres qui provoquent des changements dans l'écosystème. »
Pour le meilleur ou pour le pire, notre existence a changé le monde.
« Moi et mes semblables, accablés par d’énormes responsabilités dans ce petit corps, continuerons à vivre en harmonie avec le monde, et dans ce processus, nous ne devons pas oublier que les humains et la nature doivent prendre encore plus soin l’un de l’autre pour maintenir l’équilibre de l’écosystème. »
--- Extrait de « La grenouille du chaman »
« Biologiquement, l’homme moderne n’est pas différent de l’Homo sapiens d’il y a 300 000 ans. »
Mais nous en savons tellement plus, nous créons tellement plus et nous dominons la planète.
L'origine de toutes ces différences, c'est le feu.
Le feu nous a permis de surmonter le changement climatique, de transformer la nuit en jour, et de conserver et de cuire les aliments.
« Au final, cela nous a rendus “humains”. »
--- Extrait de « Feu et Or »
« Lorsque la foudre traverse le corps, elle suit les zones à forte conductivité électrique, comme les vaisseaux sanguins, les nerfs et les muscles. »
Et lorsqu'il atteint la sortie, il explose.
C’est pourquoi la foudre peut causer plus de dégâts à son point de sortie qu’à l’endroit où elle frappe le corps.
Comme si la sortie d'une balle était beaucoup plus large et plus profonde que son entrée lorsqu'elle pénètre dans le corps.
Le courant circule et crée de la chaleur.
La chaleur monte de l'intérieur et jaillit au contact de l'isolant qu'est l'air.
Et les traces de cela restent sur nos corps sous forme de motifs de Lichtenberg.
La nature aime la répétition.
Les petits ruisseaux se rejoignent pour former une rivière, et les petites branches s'assemblent pour former une forêt.
Et parfois, lorsque l'électricité venue du ciel traverse un corps humain, ce corps devient lui aussi un terrain, une forêt.
Lorsqu'une marque en forme de branche apparaît sur le corps, il s'agit d'un phénomène naturel.
La seule différence, c'est que cela s'est produit sur de la chair humaine.
--- Extrait de « Lightning »
« Avant la formation des yeux, la vie n’avait pas de but. »
Je flottais simplement dans l'eau, avalant tout ce qui me tombait dans la bouche, esquivant les objets, et si je les heurtais, c'était fini.
C'était une époque où la survie était tout, sans volonté ni but.
Mais grâce au développement de la vue, la vie a pu décider de sa direction.
La vision n'est plus seulement un organe de réception d'informations, mais un sens qui crée une direction et une volonté.
L'œil humain est l'aboutissement de toute cette évolution.
Notre capacité à percevoir la lumière, à percevoir sa direction, à faire la mise au point, à distinguer les couleurs et à lire les émotions découle d'un long voyage qui a commencé il y a des centaines de millions d'années, avec une tache concave sensible à la lumière.
--- Extrait de « L'œil humain »
« L’évolution va toujours du simple au complexe. »
Les formes de vie complexes n'apparaissent pas d'emblée.
Même sur Terre, la vie primitive existait sous des formes extrêmement simples.
Il a fallu des milliards d'années aux bactéries simples et aux organismes unicellulaires pour évoluer vers des formes plus complexes.
Au cours de ce processus, l'événement accidentel de la reproduction sexuée a accéléré de manière explosive cette évolution.
En fin de compte, l'existence de la Terre et de l'humanité est le résultat d'innombrables coïncidences et mutations.
Une coïncidence similaire pourrait avoir donné naissance à une vie intelligente sur d'autres planètes ailleurs dans l'univers, mais nous n'avons aucune idée si elles nous ressembleront.
Et nous ne pouvons pas prédire quand ils apparaîtront.
Il se peut qu'il soit déjà éteint, ou qu'il soit simplement en transition d'une vie unicellulaire à une vie complexe.
--- Extrait de « Civilisation extraterrestre »
« Finalement, parmi les huit planètes – Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne et le Ciel –, la Terre est la seule à posséder une surface et à maintenir un champ magnétique puissant. »
Mercure est petite et froide, Vénus est trop lente et Mars s'est déjà refroidie.
D'autre part, la Terre continue de bouger activement à l'intérieur, avec une taille, une chaleur et une vitesse de rotation raisonnables.
Le noyau externe est toujours en convection, et le champ magnétique résulte constamment de sa rotation.
Ce champ magnétique bloque le vent solaire, protège la vie et assure la fiabilité du GPS et des communications par satellite.
Nous sommes des créatures qui doivent vivre sur terre.
Et parmi toutes les planètes possédant des terres émergées, seule la Terre est protégée par un champ magnétique pleinement fonctionnel.
Nous avons besoin d'eau pour vivre, d'air pour respirer et de lumière pour obtenir de l'énergie, mais à la base de tout cela se cache l'influence invisible des champs magnétiques.
Parce que cette main a constamment entouré la Terre, nous avons pu poursuivre une évolution calme mais stable.
Ce que nous avons en commun, c'est que nous ne sommes en aucun cas des êtres faciles, malgré les apparences.
La moufette vit à sa façon et moi à la mienne.
Et nous ne nous touchons pas.
C'est ainsi que nous survivons dans ce monde impitoyable.
C'est la survie.
Les faibles ne sont que la proie des forts.
J'ai accepté cette loi.
C'est pourquoi j'ai survécu.
« Je suis un être fort. »
--- Extrait de « Honey Badger »
« Ma vie m’attend. »
Je crois au cycle céleste.
La chasse commence, la vie s'achève, et ma place est trouvée.
« J’occupe cet espace discrètement, sans faire d’histoires, mais comme une présence nécessaire. »
--- Extrait de « L'Aigle »
« Mais les chiens ne sont pas totalement inutiles en cas d’apparition d’un prédateur. »
En gros, ma stratégie consiste à fuir lorsque je rencontre un prédateur.
Ma principale stratégie de survie est de m'enfuir rapidement de la forêt.
Mais parfois, il y a des situations auxquelles on ne peut pas échapper.
Dans de tels moments, les crocs ne sont utilisés qu'en dernier recours.
Bien sûr, je le savais parfaitement.
Que les crocs ne constitueraient pas une menace suffisante pour les prédateurs.
« Nous savons très bien qu’un petit nombre ne peut pas vaincre un grand nombre. »
--- De "Gorani"
« Je vole dans le ciel maintenant. »
Je vole au gré du vent avec d'innombrables autres oiseaux.
Mes os sont légers, mes plumes fendent le vent, et mes yeux percent le monde.
Je suis vivant ici maintenant.
Que les dinosaures, formes de vie de l'ère mésozoïque, soient encore vivants et respirent aujourd'hui.
J'aimerais que les gens s'en rendent compte.
Nous ne sommes pas éteints.
Nous avons changé, nous nous sommes adaptés, nous avons survécu.
Voilà le pouvoir de l'évolution.
Les grandes choses disparaissent, mais la vie simple et flexible survit.
Nous en sommes la preuve.
--- Extrait de « Bird »
« Un problème encore plus grave est celui des déchets plastiques rejetés par les humains. »
De nombreuses bébés tortues se retrouvent piégées dans des déchets en plastique ou des bouteilles sur le chemin de la plage.
Ces amis, qui auraient pu se rendre à la mer sans aucun problème lié à la nature, se perdent et meurent à cause des déchets humains.
C’est aussi un problème que les humains doivent résoudre.
--- Extrait de « Tortue de mer »
« Je me contente d’acquiescer et de mâcher les feuilles. »
Son dos soutenait le sol, et de la mousse poussait sur mon dos.
Il se tenait debout sur le monde et je m'accroche au monde.
Bien que nos façons de survivre fussent différentes, nous avions quelque chose en commun.
« Nous étions tous des créatures silencieuses. »
--- Extrait de « Le paresseux »
« Je ne reste pas au même endroit. »
Le désert est vivant.
Le désert change.
Même si, à première vue, on pourrait croire que nous nous sommes arrêtés, nos sables respirent et avancent à leur propre rythme.
Lorsque nous accumulons des ressources, nous devenons terre ; lorsque nous devenons terre, la civilisation apparaît ; et lorsque la civilisation apparaît, nous disparaissons à nouveau.
Je l'ai répété d'innombrables fois.
« Je ne suis pas la destruction, je suis la transformation. »
--- Extrait de « Désert »
« En fin de compte, nous sommes devenus, d'une certaine manière, des êtres qui provoquent des changements dans l'écosystème. »
Pour le meilleur ou pour le pire, notre existence a changé le monde.
« Moi et mes semblables, accablés par d’énormes responsabilités dans ce petit corps, continuerons à vivre en harmonie avec le monde, et dans ce processus, nous ne devons pas oublier que les humains et la nature doivent prendre encore plus soin l’un de l’autre pour maintenir l’équilibre de l’écosystème. »
--- Extrait de « La grenouille du chaman »
« Biologiquement, l’homme moderne n’est pas différent de l’Homo sapiens d’il y a 300 000 ans. »
Mais nous en savons tellement plus, nous créons tellement plus et nous dominons la planète.
L'origine de toutes ces différences, c'est le feu.
Le feu nous a permis de surmonter le changement climatique, de transformer la nuit en jour, et de conserver et de cuire les aliments.
« Au final, cela nous a rendus “humains”. »
--- Extrait de « Feu et Or »
« Lorsque la foudre traverse le corps, elle suit les zones à forte conductivité électrique, comme les vaisseaux sanguins, les nerfs et les muscles. »
Et lorsqu'il atteint la sortie, il explose.
C’est pourquoi la foudre peut causer plus de dégâts à son point de sortie qu’à l’endroit où elle frappe le corps.
Comme si la sortie d'une balle était beaucoup plus large et plus profonde que son entrée lorsqu'elle pénètre dans le corps.
Le courant circule et crée de la chaleur.
La chaleur monte de l'intérieur et jaillit au contact de l'isolant qu'est l'air.
Et les traces de cela restent sur nos corps sous forme de motifs de Lichtenberg.
La nature aime la répétition.
Les petits ruisseaux se rejoignent pour former une rivière, et les petites branches s'assemblent pour former une forêt.
Et parfois, lorsque l'électricité venue du ciel traverse un corps humain, ce corps devient lui aussi un terrain, une forêt.
Lorsqu'une marque en forme de branche apparaît sur le corps, il s'agit d'un phénomène naturel.
La seule différence, c'est que cela s'est produit sur de la chair humaine.
--- Extrait de « Lightning »
« Avant la formation des yeux, la vie n’avait pas de but. »
Je flottais simplement dans l'eau, avalant tout ce qui me tombait dans la bouche, esquivant les objets, et si je les heurtais, c'était fini.
C'était une époque où la survie était tout, sans volonté ni but.
Mais grâce au développement de la vue, la vie a pu décider de sa direction.
La vision n'est plus seulement un organe de réception d'informations, mais un sens qui crée une direction et une volonté.
L'œil humain est l'aboutissement de toute cette évolution.
Notre capacité à percevoir la lumière, à percevoir sa direction, à faire la mise au point, à distinguer les couleurs et à lire les émotions découle d'un long voyage qui a commencé il y a des centaines de millions d'années, avec une tache concave sensible à la lumière.
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« L’évolution va toujours du simple au complexe. »
Les formes de vie complexes n'apparaissent pas d'emblée.
Même sur Terre, la vie primitive existait sous des formes extrêmement simples.
Il a fallu des milliards d'années aux bactéries simples et aux organismes unicellulaires pour évoluer vers des formes plus complexes.
Au cours de ce processus, l'événement accidentel de la reproduction sexuée a accéléré de manière explosive cette évolution.
En fin de compte, l'existence de la Terre et de l'humanité est le résultat d'innombrables coïncidences et mutations.
Une coïncidence similaire pourrait avoir donné naissance à une vie intelligente sur d'autres planètes ailleurs dans l'univers, mais nous n'avons aucune idée si elles nous ressembleront.
Et nous ne pouvons pas prédire quand ils apparaîtront.
Il se peut qu'il soit déjà éteint, ou qu'il soit simplement en transition d'une vie unicellulaire à une vie complexe.
--- Extrait de « Civilisation extraterrestre »
« Finalement, parmi les huit planètes – Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne et le Ciel –, la Terre est la seule à posséder une surface et à maintenir un champ magnétique puissant. »
Mercure est petite et froide, Vénus est trop lente et Mars s'est déjà refroidie.
D'autre part, la Terre continue de bouger activement à l'intérieur, avec une taille, une chaleur et une vitesse de rotation raisonnables.
Le noyau externe est toujours en convection, et le champ magnétique résulte constamment de sa rotation.
Ce champ magnétique bloque le vent solaire, protège la vie et assure la fiabilité du GPS et des communications par satellite.
Nous sommes des créatures qui doivent vivre sur terre.
Et parmi toutes les planètes possédant des terres émergées, seule la Terre est protégée par un champ magnétique pleinement fonctionnel.
Nous avons besoin d'eau pour vivre, d'air pour respirer et de lumière pour obtenir de l'énergie, mais à la base de tout cela se cache l'influence invisible des champs magnétiques.
Parce que cette main a constamment entouré la Terre, nous avons pu poursuivre une évolution calme mais stable.
--- Extrait de « Champ magnétique »
Avis de l'éditeur
◆ Un nouveau livre sensationnel du principal communicateur scientifique de Corée, 'Tteolbogwanjang' !
◆ Hébergement des émissions « Science View » et « Science Gathering » totalisant 1,2 milliard de vues et 2,6 millions d'abonnés
◆ Fortement recommandé par Kim Beom-jun et Galois !
« Toute vie est le produit d’un hasard imprévisible et
« C’est le fruit d’efforts incessants pour survivre. »
Le drame de la survie des êtres vivants se poursuit encore en ce moment même !
« Kingdom of Creatures » n’est pas simplement un livre qui énumère les victoires des « survivants ».
Tout le contraire.
Ce livre pose sans cesse la question : « À quoi avez-vous renoncé et quelles stratégies avez-vous adoptées pour survivre ? »
Ce livre démontre clairement que la survie n'est pas un processus qui profite aux plus forts, mais à ceux qui font les choix les plus judicieux.
L'évolution n'est pas le progrès.
C'est le résultat d'une adaptation constante à l'environnement et aux conditions.
Le voyage guidé par 『Kingdom of Creatures』 est un drame de la vie inscrit dans les 4,6 milliards d'années d'histoire de la Terre.
Le monde que nous connaissions était un immense royaume.
En son sein, d'innombrables êtres vivants ont fait des choix pour survivre de différentes manières.
Ce livre retrace étape par étape l'histoire de ce choix.
Par exemple, les oiseaux, forme ultime de l'évolution des dinosaures, ont choisi le ciel, et les serpents ont perdu leurs pattes et acquis un corps plus flexible.
Les aigles ont des habitudes alimentaires extrêmes, avalant leur corps entier pour économiser de l'énergie, et les anguilles traversent les océans par des moyens encore inconnus pour trouver leurs lieux de reproduction.
Le ratel est un guerrier redoutable que personne n'intimide et qui a développé un système immunitaire immunisé contre les poisons, tandis que le manchot, qui a enduré le froid extrême de l'Antarctique, a choisi de vivre dans la mer plutôt que de renoncer à voler.
Chacun de ces êtres est un être qui a mis en œuvre la seule loi de la survie : « le choix de s'adapter au changement ».
Mais ce livre ne se contente pas de recenser des exemples biologiques intéressants.
« Le Royaume des créatures » nous amène à porter un regard lucide sur la condition humaine.
Nous avons l'impression d'être au sommet du royaume.
Cependant, le simple fait d'utiliser la technologie comme une arme ne fait pas de nous de véritables survivants.
Un être humain qui a acquis le feu, l'or et la foudre, a remodelé ses sens et tente d'aller au-delà du ciel pour atteindre l'espace.
Mais, ce faisant, comprenons-nous les lois de la nature et de la vie, ou nous trompons-nous à leur sujet ?
Ce livre répond par un silence résolu à la question humaine arrogante : « Pouvons-nous évoluer grâce à la technologie ? »
Ce livre transmet, avec discrétion mais fermeté, le message que la technologie peut contribuer à la survie, mais ne peut en aucun cas constituer l'essence même de la vie.
Le dernier chapitre de « Kingdom of Creatures » s'étend au-delà de la Terre.
De la possibilité d'une vie extraterrestre à la disparition des champs magnétiques de Mars et de Vénus, en passant par la possibilité d'une civilisation sur Terre, un point minuscule dans cet univers, ce livre franchit librement les frontières entre fait scientifique et imagination, emmenant les lecteurs au cœur de l'univers.
Ainsi, le règne de la vie s'étend au-delà de la Terre, dans l'ordre cosmique plus vaste.
« La survie n’est pas un combat. »
C'est l'art de la sélection et de l'adaptation.
La véritable valeur de ce livre réside dans sa capacité à changer notre perspective sur la vie.
Cela nous fait dépasser la perspective anthropocentrique et nous fait prendre conscience que nous ne sommes qu'un point dans le vaste réseau de la vie.
La vie n'est pas le résultat de la guerre.
C'est le fruit d'innombrables sacrifices, de stratégies exquises et de choix constants.
Et ce choix perdure encore aujourd'hui.
La survie n'est pas seulement une question de survie ; c'est la question la plus fondamentale de savoir comment vivre.
Cette question est aussi une question relative à la direction que prennent nos vies.
Et les indices permettant de répondre à cette question sont dissimulés tout au long de ce livre.
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« Toute vie est le produit d’un hasard imprévisible et
« C’est le fruit d’efforts incessants pour survivre. »
Le drame de la survie des êtres vivants se poursuit encore en ce moment même !
« Kingdom of Creatures » n’est pas simplement un livre qui énumère les victoires des « survivants ».
Tout le contraire.
Ce livre pose sans cesse la question : « À quoi avez-vous renoncé et quelles stratégies avez-vous adoptées pour survivre ? »
Ce livre démontre clairement que la survie n'est pas un processus qui profite aux plus forts, mais à ceux qui font les choix les plus judicieux.
L'évolution n'est pas le progrès.
C'est le résultat d'une adaptation constante à l'environnement et aux conditions.
Le voyage guidé par 『Kingdom of Creatures』 est un drame de la vie inscrit dans les 4,6 milliards d'années d'histoire de la Terre.
Le monde que nous connaissions était un immense royaume.
En son sein, d'innombrables êtres vivants ont fait des choix pour survivre de différentes manières.
Ce livre retrace étape par étape l'histoire de ce choix.
Par exemple, les oiseaux, forme ultime de l'évolution des dinosaures, ont choisi le ciel, et les serpents ont perdu leurs pattes et acquis un corps plus flexible.
Les aigles ont des habitudes alimentaires extrêmes, avalant leur corps entier pour économiser de l'énergie, et les anguilles traversent les océans par des moyens encore inconnus pour trouver leurs lieux de reproduction.
Le ratel est un guerrier redoutable que personne n'intimide et qui a développé un système immunitaire immunisé contre les poisons, tandis que le manchot, qui a enduré le froid extrême de l'Antarctique, a choisi de vivre dans la mer plutôt que de renoncer à voler.
Chacun de ces êtres est un être qui a mis en œuvre la seule loi de la survie : « le choix de s'adapter au changement ».
Mais ce livre ne se contente pas de recenser des exemples biologiques intéressants.
« Le Royaume des créatures » nous amène à porter un regard lucide sur la condition humaine.
Nous avons l'impression d'être au sommet du royaume.
Cependant, le simple fait d'utiliser la technologie comme une arme ne fait pas de nous de véritables survivants.
Un être humain qui a acquis le feu, l'or et la foudre, a remodelé ses sens et tente d'aller au-delà du ciel pour atteindre l'espace.
Mais, ce faisant, comprenons-nous les lois de la nature et de la vie, ou nous trompons-nous à leur sujet ?
Ce livre répond par un silence résolu à la question humaine arrogante : « Pouvons-nous évoluer grâce à la technologie ? »
Ce livre transmet, avec discrétion mais fermeté, le message que la technologie peut contribuer à la survie, mais ne peut en aucun cas constituer l'essence même de la vie.
Le dernier chapitre de « Kingdom of Creatures » s'étend au-delà de la Terre.
De la possibilité d'une vie extraterrestre à la disparition des champs magnétiques de Mars et de Vénus, en passant par la possibilité d'une civilisation sur Terre, un point minuscule dans cet univers, ce livre franchit librement les frontières entre fait scientifique et imagination, emmenant les lecteurs au cœur de l'univers.
Ainsi, le règne de la vie s'étend au-delà de la Terre, dans l'ordre cosmique plus vaste.
« La survie n’est pas un combat. »
C'est l'art de la sélection et de l'adaptation.
La véritable valeur de ce livre réside dans sa capacité à changer notre perspective sur la vie.
Cela nous fait dépasser la perspective anthropocentrique et nous fait prendre conscience que nous ne sommes qu'un point dans le vaste réseau de la vie.
La vie n'est pas le résultat de la guerre.
C'est le fruit d'innombrables sacrifices, de stratégies exquises et de choix constants.
Et ce choix perdure encore aujourd'hui.
La survie n'est pas seulement une question de survie ; c'est la question la plus fondamentale de savoir comment vivre.
Cette question est aussi une question relative à la direction que prennent nos vies.
Et les indices permettant de répondre à cette question sont dissimulés tout au long de ce livre.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 4 juillet 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 306 pages | 584 g | 155 × 225 × 19 mm
- ISBN13 : 9791199327801
- ISBN10 : 1199327808
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Langue coréenne
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