
Rien n'existe seul.
Description
Introduction au livre
«Nous faisons tous partie du monde,
« Ce lien crée un monde. »
Entre science et philosophie, le physicien Carlo Rovelli porte un regard équilibré sur le monde.
Les questions relatives au « monde connecté » imprègnent treize années de contributions, de discours, de discussions et d'entretiens.
« Rien n'existe seul » est le premier essai du physicien de renommée mondiale Carlo Rovelli.
Nous avons rassemblé des articles et des commentaires publiés dans divers médias internationaux, dont le quotidien italien Corriere della Sera.
L'auteur, qui a retracé les phénomènes physiques de l'univers à travers le temps et l'espace, se penche désormais sur les histoires de personnes vivant dans la réalité, sur la science et la philosophie qui les sous-tendent, et sur le véritable sens de l'art.
Dans ce livre, l'auteur relie l'anecdote du « Plaisir du poisson » tirée du grand classique « Zhuangzi » à la mécanique quantique, transcendant les frontières entre science et philosophie pour élargir à l'infini les questions sur le « monde connecté » qu'il explore depuis longtemps.
L'auteur, qui affirme que le monde est constitué des interactions de tous les êtres et que la « coopération » plutôt que la distinction entre soi et les autres est la vérité de la nature, présente sans cesse une vision plus optimiste du monde actuel et des générations futures.
Ce qui sous-tend « Rien n'existe seul », c'est l'affirmation que nous pouvons échapper aux erreurs du monde existant en posant des « questions sans réponses » sans nous fier à la certitude.
De Kepler et Galilée, qui ont défié le bon sens pour renverser la vision géocentrique de l'univers, à l'ontologie de Heidegger selon laquelle l'essence du « soi » n'est pas fixe mais se forme à travers les relations avec le monde, en passant par la « Missa Solemnis » de Beethoven, qui montre que la musique ne peut acquérir son propre sens que par l'appréciation, l'histoire des sciences et de l'art démontre que nous pouvons accéder à un monde nouveau lorsque nous dépassons les frontières établies.
Ne pas se contenter de croire ce que l'on croit, mais prêter attention aux découvertes qui n'ont jamais été faites auparavant.
Ce n'est pas une attitude qui n'est nécessaire que dans le domaine scientifique.
Pour relever les défis communs auxquels l'humanité est confrontée, tels que les conflits idéologiques, les inégalités profondément ancrées, les conflits de classes et les problèmes environnementaux, nous devons être ouverts à l'écoute des points de vue des autres.
Ce livre explore le parcours intellectuel remarquable d'un physicien de renommée mondiale qui recherche « un lien plus profond avec notre vie quotidienne, au-delà de la simple curiosité scientifique ».
« Ce lien crée un monde. »
Entre science et philosophie, le physicien Carlo Rovelli porte un regard équilibré sur le monde.
Les questions relatives au « monde connecté » imprègnent treize années de contributions, de discours, de discussions et d'entretiens.
« Rien n'existe seul » est le premier essai du physicien de renommée mondiale Carlo Rovelli.
Nous avons rassemblé des articles et des commentaires publiés dans divers médias internationaux, dont le quotidien italien Corriere della Sera.
L'auteur, qui a retracé les phénomènes physiques de l'univers à travers le temps et l'espace, se penche désormais sur les histoires de personnes vivant dans la réalité, sur la science et la philosophie qui les sous-tendent, et sur le véritable sens de l'art.
Dans ce livre, l'auteur relie l'anecdote du « Plaisir du poisson » tirée du grand classique « Zhuangzi » à la mécanique quantique, transcendant les frontières entre science et philosophie pour élargir à l'infini les questions sur le « monde connecté » qu'il explore depuis longtemps.
L'auteur, qui affirme que le monde est constitué des interactions de tous les êtres et que la « coopération » plutôt que la distinction entre soi et les autres est la vérité de la nature, présente sans cesse une vision plus optimiste du monde actuel et des générations futures.
Ce qui sous-tend « Rien n'existe seul », c'est l'affirmation que nous pouvons échapper aux erreurs du monde existant en posant des « questions sans réponses » sans nous fier à la certitude.
De Kepler et Galilée, qui ont défié le bon sens pour renverser la vision géocentrique de l'univers, à l'ontologie de Heidegger selon laquelle l'essence du « soi » n'est pas fixe mais se forme à travers les relations avec le monde, en passant par la « Missa Solemnis » de Beethoven, qui montre que la musique ne peut acquérir son propre sens que par l'appréciation, l'histoire des sciences et de l'art démontre que nous pouvons accéder à un monde nouveau lorsque nous dépassons les frontières établies.
Ne pas se contenter de croire ce que l'on croit, mais prêter attention aux découvertes qui n'ont jamais été faites auparavant.
Ce n'est pas une attitude qui n'est nécessaire que dans le domaine scientifique.
Pour relever les défis communs auxquels l'humanité est confrontée, tels que les conflits idéologiques, les inégalités profondément ancrées, les conflits de classes et les problèmes environnementaux, nous devons être ouverts à l'écoute des points de vue des autres.
Ce livre explore le parcours intellectuel remarquable d'un physicien de renommée mondiale qui recherche « un lien plus profond avec notre vie quotidienne, au-delà de la simple curiosité scientifique ».
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Préface à l'édition coréenne : Une toute petite curiosité qui relie le monde
Zhuangzi, Connaître la joie du poisson │ Bonne fête du Travail │ Tout a commencé dans la mer de Lesbos │ Anish Kapoor et notre somnambulisme │ Musique │ Le monde sous un même ciel │ Nous contre eux │ Hypocrisie │ Le reste de l'Afghanistan │ Réflexions sur la légitimité internationale │ Une proposition très simple pour l'humanité │ Le rêve de Kepler │ L'erreur de Galilée │ Parties de parties │ Roger Penrose │ Giorgio Parisi │ Roberto Calasso │ Gino Strada │ Liliana Cavani │ Brunetto Latini, Dante, Gauss, Einstein │ L'être de l'être │ À quelle distance se trouve le soleil ? │ Qu'est-ce qu'une pierre ? │ Petits trésors pour la jeunesse │ Survivre ensemble │ Nous sommes fragiles │ Charlatanisme │ Le transfert de richesse │ Inégalités et richesse aux États-Unis et en Italie │ La relativité générale, le grand amour │ Intrication │ Enthousiasme et doute autour du muon │ Le sens de la science pure │ Au-delà de notre fenêtre ronde │ Douleur │ Gardien, combien de temps la nuit est-elle passée ? │ Zhuangzi, connaissant la joie du poisson
Références
Zhuangzi, Connaître la joie du poisson │ Bonne fête du Travail │ Tout a commencé dans la mer de Lesbos │ Anish Kapoor et notre somnambulisme │ Musique │ Le monde sous un même ciel │ Nous contre eux │ Hypocrisie │ Le reste de l'Afghanistan │ Réflexions sur la légitimité internationale │ Une proposition très simple pour l'humanité │ Le rêve de Kepler │ L'erreur de Galilée │ Parties de parties │ Roger Penrose │ Giorgio Parisi │ Roberto Calasso │ Gino Strada │ Liliana Cavani │ Brunetto Latini, Dante, Gauss, Einstein │ L'être de l'être │ À quelle distance se trouve le soleil ? │ Qu'est-ce qu'une pierre ? │ Petits trésors pour la jeunesse │ Survivre ensemble │ Nous sommes fragiles │ Charlatanisme │ Le transfert de richesse │ Inégalités et richesse aux États-Unis et en Italie │ La relativité générale, le grand amour │ Intrication │ Enthousiasme et doute autour du muon │ Le sens de la science pure │ Au-delà de notre fenêtre ronde │ Douleur │ Gardien, combien de temps la nuit est-elle passée ? │ Zhuangzi, connaissant la joie du poisson
Références
Image détaillée

Dans le livre
La connaissance, l'esprit et le plaisir ressentis par les poissons n'existent pas en dehors de la nature.
Ce n'est pas dans un royaume lointain et inaccessible.
Ce sont des aspects normaux de la nature, les noms que nous donnons aux structures complexes de la nature, dont nous faisons partie.
Le fait d'en parler et d'acquérir des connaissances à leur sujet est aussi un aspect de la nature.
--- p.17, « Zhuangzi, Connaître la joie du poisson »
Les formes et les textures sont interprétées et associées par notre cerveau.
Cela résonne.
Tout ce que nous voyons résonne en nous.
Quand on voit une chaise, on sait que c'est une chaise, et cette chaise évoque les fonctions qu'on lui connaît, ainsi que d'innombrables souvenirs liés à d'autres chaises que nous avons utilisées.
Il n'existe pas de chose « juste une chose ».
--- p.38, « Annish Kapoor et notre somnambulisme »
La Terre est petite, l'humanité est fragile et nous sommes confrontés à un grave danger.
(…) Le moment est venu pour l’humanité de s’efforcer de le faire à l’échelle mondiale.
La montée récente de la mondialisation a été coûteuse et problématique, mais elle a également ouvert des perspectives extraordinaires.
C'est la coopération mondiale.
Il est temps de recentrer le débat public sur les énormes avantages qui ne peuvent être obtenus que par la coopération, et non par la compétition.
J'espère que les hommes politiques entendront cela et orienteront l'ordre mondial dans cette direction.
--- p.107~108, « Une suggestion très simple pour l'humanité »
Les efforts extrêmes de Galilée pour renverser ce qui est tenu pour acquis constituent le cœur poignant de ce livre monumental, et à mon avis, le noyau le plus brillant de la science.
Il s'agit de nous donner un regard neuf et plus profond sur le monde.
C'est la même chose aujourd'hui.
La meilleure science affronte l'évidence et surmonte les difficultés.
Galilée a ouvert la voie.
Et tout cela provient d'un livre qui est fondamentalement et totalement erroné d'un point de vue scientifique.
--- p.123, « L'erreur de Galilée »
La philosophie a toujours été une merveilleuse source d'idées et de perspectives.
Par prudence, je pense que la limite de nombreuses philosophies réside dans la confusion entre perspectives individuelles et perspectives fondamentales, et dans la recherche d'une certitude et d'un fondement ultimes.
Peut-être est-ce l'ambition de trouver un point de départ absolu, que la génération suivante remet ensuite en question.
Je ne trouve pas intéressant de chercher le fondement ultime.
Que signifie exactement le terme « fondamental » ? Cela dépend du point de vue.
--- p.177, « L’existence de l’être »
La seule stratégie dont nous disposons pour nous défendre contre cette crise est de renforcer la coopération mondiale.
Dans tous les domaines, y compris la politique, l'économie et les sciences.
La pandémie n'est pas terminée et ce ne sera pas la dernière crise grave à laquelle l'humanité sera confrontée.
D'autres avertissements ont déjà été lancés, notamment concernant le risque de pandémie.
Si la politique mondiale privilégie l'ouverture, la coopération et la résolution commune des problèmes de l'humanité, nous pourrons surmonter cette crise.
Mais si nous nous isolons et sommes gouvernés par la logique destructrice du « nous d'abord », nous nous ferons du mal.
--- p.219~220, « Ensemble, nous survivons »
La pensée de Zhuangzi apporte une réponse importante à l'opinion apparemment décevante de Bohr selon laquelle « la physique ne concerne pas le monde, mais ce que nous pouvons dire du monde ».
La réponse se trouve dans la question elle-même.
« Quelle est la différence ? » Ce que nous pouvons dire du monde n’est-il pas un aspect du monde lui-même ?
Ce n'est pas dans un royaume lointain et inaccessible.
Ce sont des aspects normaux de la nature, les noms que nous donnons aux structures complexes de la nature, dont nous faisons partie.
Le fait d'en parler et d'acquérir des connaissances à leur sujet est aussi un aspect de la nature.
--- p.17, « Zhuangzi, Connaître la joie du poisson »
Les formes et les textures sont interprétées et associées par notre cerveau.
Cela résonne.
Tout ce que nous voyons résonne en nous.
Quand on voit une chaise, on sait que c'est une chaise, et cette chaise évoque les fonctions qu'on lui connaît, ainsi que d'innombrables souvenirs liés à d'autres chaises que nous avons utilisées.
Il n'existe pas de chose « juste une chose ».
--- p.38, « Annish Kapoor et notre somnambulisme »
La Terre est petite, l'humanité est fragile et nous sommes confrontés à un grave danger.
(…) Le moment est venu pour l’humanité de s’efforcer de le faire à l’échelle mondiale.
La montée récente de la mondialisation a été coûteuse et problématique, mais elle a également ouvert des perspectives extraordinaires.
C'est la coopération mondiale.
Il est temps de recentrer le débat public sur les énormes avantages qui ne peuvent être obtenus que par la coopération, et non par la compétition.
J'espère que les hommes politiques entendront cela et orienteront l'ordre mondial dans cette direction.
--- p.107~108, « Une suggestion très simple pour l'humanité »
Les efforts extrêmes de Galilée pour renverser ce qui est tenu pour acquis constituent le cœur poignant de ce livre monumental, et à mon avis, le noyau le plus brillant de la science.
Il s'agit de nous donner un regard neuf et plus profond sur le monde.
C'est la même chose aujourd'hui.
La meilleure science affronte l'évidence et surmonte les difficultés.
Galilée a ouvert la voie.
Et tout cela provient d'un livre qui est fondamentalement et totalement erroné d'un point de vue scientifique.
--- p.123, « L'erreur de Galilée »
La philosophie a toujours été une merveilleuse source d'idées et de perspectives.
Par prudence, je pense que la limite de nombreuses philosophies réside dans la confusion entre perspectives individuelles et perspectives fondamentales, et dans la recherche d'une certitude et d'un fondement ultimes.
Peut-être est-ce l'ambition de trouver un point de départ absolu, que la génération suivante remet ensuite en question.
Je ne trouve pas intéressant de chercher le fondement ultime.
Que signifie exactement le terme « fondamental » ? Cela dépend du point de vue.
--- p.177, « L’existence de l’être »
La seule stratégie dont nous disposons pour nous défendre contre cette crise est de renforcer la coopération mondiale.
Dans tous les domaines, y compris la politique, l'économie et les sciences.
La pandémie n'est pas terminée et ce ne sera pas la dernière crise grave à laquelle l'humanité sera confrontée.
D'autres avertissements ont déjà été lancés, notamment concernant le risque de pandémie.
Si la politique mondiale privilégie l'ouverture, la coopération et la résolution commune des problèmes de l'humanité, nous pourrons surmonter cette crise.
Mais si nous nous isolons et sommes gouvernés par la logique destructrice du « nous d'abord », nous nous ferons du mal.
--- p.219~220, « Ensemble, nous survivons »
La pensée de Zhuangzi apporte une réponse importante à l'opinion apparemment décevante de Bohr selon laquelle « la physique ne concerne pas le monde, mais ce que nous pouvons dire du monde ».
La réponse se trouve dans la question elle-même.
« Quelle est la différence ? » Ce que nous pouvons dire du monde n’est-il pas un aspect du monde lui-même ?
--- p.305, « Encore une fois, Zhuangzi, Connaître la joie du poisson »
Avis de l'éditeur
L'exploration passionnée de Carlo Rovelli dans de nouveaux mondes
« Aux confins d’une connaissance jamais vue auparavant,
« Ce voyage audacieux est la meilleure des sciences. »
Le physicien théoricien de renommée mondiale Carlo Rovelli a entraîné de nombreux lecteurs dans le monde fascinant de la science grâce à sa perspective globale, sa curiosité sans bornes et son style littéraire élégant, à travers plusieurs best-sellers, dont « Le monde tel que nous le voyons n'est pas réel », « Le temps ne passe pas » et « Le monde n'existerait pas sans moi ».
La force de l'écriture de Rovelli ne réside pas dans la connaissance scientifique elle-même, mais dans son profond souci d'examiner nos vies à travers le prisme de la science.
Dans ce nouvel ouvrage, les préoccupations et la curiosité de l'auteur s'étendent au-delà des sciences pour englober divers domaines d'études, dont la philosophie, l'art, l'histoire et la linguistique.
Je vous ai rencontré en tant que « scientifique » à travers plusieurs livres.
Il se peut donc que certains d'entre vous trouvent mes histoires un peu étranges.
Mais ce livre ne change rien au fait que je suis un scientifique.
Les sujets abordés dépassent désormais la simple curiosité scientifique et présentent des liens plus profonds avec notre vie quotidienne.
_Extrait de la préface de l'édition coréenne
« Rien n’existe seul » commence par un passage du grand classique de la pensée orientale, « Zhuangzi ».
Un homme riche, se promenant le long de la rivière, aperçoit un poisson qui se prélasse tranquillement et dit : « Voilà la joie des poissons. »
Lorsque la personne qui l'accompagnait lui demanda comment il connaissait les pensées du poisson, Jangja répondit.
« Tu savais que je connaissais l’esprit d’un poisson. »
Je le savais ici, au bord de la rivière. Cette conversation énigmatique marque un remarquable passage de « la joie des poissons » à « la nature de la conscience ».
Le plaisir de la pêche et l'observation des intestins, l'esprit ou la connaissance, c'est-à-dire la « conscience », ne sont pas extérieurs à la nature.
Cette perspective mystique s'étend également à la mécanique quantique.
La pensée de Zhuangzi et la mécanique quantique envisagent un « monde connecté », qui constitue un outil précieux pour comprendre la réalité du monde.
Comme l’a commenté le quotidien italien Corriere della Sera, Nothing Exists Alone contient « les thèmes de recherche fondamentaux de Carlo Rovelli ».
Ce livre constitue la première étape de l'auteur dans l'expansion de son univers.
Le cri passionné d'un scientifique sortant du laboratoire
« Puissions-nous, qui sommes différents les uns des autres, nous rencontrer dans un seul monde. »
De la mécanique quantique au Zhuangzi, quelles perspectives ouvre le « monde connecté » dont parle Carlo Rovelli ? Comme l'illustre l'anecdote du Zhuangzi, l'idée que « la connaissance, l'esprit et la joie ressentie par les poissons ne se situent pas dans un royaume lointain et inaccessible, extérieur à la nature, mais en sont des aspects et des parties intégrantes » nous permet de dépasser « l'impossibilité de connaître l'esprit d'autrui ».
On ne peut pas entrer dans l'esprit de quelqu'un, mais on peut se rapprocher de lui.
Le thème central de ce livre est que le monde repose sur la communication et l'harmonie comme principes fondamentaux.
L'auteur critique toutefois le fait que l'humanité se comporte aujourd'hui d'une manière bien éloignée de la communication et de l'harmonie.
Les grandes puissances ne s'intéressent qu'au renforcement de leur puissance militaire, à l'affirmation de leur propre ordre mondial et au calcul de la victoire qui leur sera profitable.
Les crises mondiales semblent parfois lointaines, créant l'illusion que nous vivons en paix.
Mais l'ombre de la violence, qui menace de bouleverser le quotidien, plane désormais sur le monde.
L'auteur affirme que nous devons prendre conscience de la crise et la surmonter.
Notre compréhension du monde influence directement notre façon de vivre.
(…) Lorsque nous prenons conscience que nous faisons partie du monde et que nous reconnaissons notre lien avec tous les êtres, nous pouvons vivre des vies plus empathiques et responsables.
_Extrait de la préface de l'édition coréenne
Il fut un temps où je croyais en l'existence d'une « vérité certaine ».
En matière de foi, de philosophie et même de science, l'humanité a cherché à maintenir la certitude, mais toutes ces tentatives ont échoué.
Comme le dit l'auteur, le moment où la puissance de la science brille véritablement est celui où elle détruit l'illusion d'une vérité certaine.
L'auteur situe la voie que l'humanité devrait emprunter dans l'harmonie, l'unité et la solidarité.
Et elle présente une vision de rébellion contre le faux ordre auquel nous avons toujours cru et d'établissement d'un nouvel ordre pour tous les êtres.
Dans ce livre, l'auteur révèle son profond engagement en faveur d'une pratique pacifique, « afin que sa modeste voix puisse contribuer d'une manière ou d'une autre ».
Dans un avenir proche, nous envisageons un jour où chacun pourra échapper à ses propres pressions et jouir de la liberté et du bonheur.
Ne vivez pas dans l'insatisfaction, les rêves inassouvis, les plaintes ou l'anxiété concernant un avenir qui dépend des autres.
Prenez votre avenir en main.
Au lieu de nous opposer, nous vivons ensemble.
Changer le monde est la plus belle des aventures.
La vie est belle quand elle brûle et brille.
_Extrait du texte
« Aux confins d’une connaissance jamais vue auparavant,
« Ce voyage audacieux est la meilleure des sciences. »
Le physicien théoricien de renommée mondiale Carlo Rovelli a entraîné de nombreux lecteurs dans le monde fascinant de la science grâce à sa perspective globale, sa curiosité sans bornes et son style littéraire élégant, à travers plusieurs best-sellers, dont « Le monde tel que nous le voyons n'est pas réel », « Le temps ne passe pas » et « Le monde n'existerait pas sans moi ».
La force de l'écriture de Rovelli ne réside pas dans la connaissance scientifique elle-même, mais dans son profond souci d'examiner nos vies à travers le prisme de la science.
Dans ce nouvel ouvrage, les préoccupations et la curiosité de l'auteur s'étendent au-delà des sciences pour englober divers domaines d'études, dont la philosophie, l'art, l'histoire et la linguistique.
Je vous ai rencontré en tant que « scientifique » à travers plusieurs livres.
Il se peut donc que certains d'entre vous trouvent mes histoires un peu étranges.
Mais ce livre ne change rien au fait que je suis un scientifique.
Les sujets abordés dépassent désormais la simple curiosité scientifique et présentent des liens plus profonds avec notre vie quotidienne.
_Extrait de la préface de l'édition coréenne
« Rien n’existe seul » commence par un passage du grand classique de la pensée orientale, « Zhuangzi ».
Un homme riche, se promenant le long de la rivière, aperçoit un poisson qui se prélasse tranquillement et dit : « Voilà la joie des poissons. »
Lorsque la personne qui l'accompagnait lui demanda comment il connaissait les pensées du poisson, Jangja répondit.
« Tu savais que je connaissais l’esprit d’un poisson. »
Je le savais ici, au bord de la rivière. Cette conversation énigmatique marque un remarquable passage de « la joie des poissons » à « la nature de la conscience ».
Le plaisir de la pêche et l'observation des intestins, l'esprit ou la connaissance, c'est-à-dire la « conscience », ne sont pas extérieurs à la nature.
Cette perspective mystique s'étend également à la mécanique quantique.
La pensée de Zhuangzi et la mécanique quantique envisagent un « monde connecté », qui constitue un outil précieux pour comprendre la réalité du monde.
Comme l’a commenté le quotidien italien Corriere della Sera, Nothing Exists Alone contient « les thèmes de recherche fondamentaux de Carlo Rovelli ».
Ce livre constitue la première étape de l'auteur dans l'expansion de son univers.
Le cri passionné d'un scientifique sortant du laboratoire
« Puissions-nous, qui sommes différents les uns des autres, nous rencontrer dans un seul monde. »
De la mécanique quantique au Zhuangzi, quelles perspectives ouvre le « monde connecté » dont parle Carlo Rovelli ? Comme l'illustre l'anecdote du Zhuangzi, l'idée que « la connaissance, l'esprit et la joie ressentie par les poissons ne se situent pas dans un royaume lointain et inaccessible, extérieur à la nature, mais en sont des aspects et des parties intégrantes » nous permet de dépasser « l'impossibilité de connaître l'esprit d'autrui ».
On ne peut pas entrer dans l'esprit de quelqu'un, mais on peut se rapprocher de lui.
Le thème central de ce livre est que le monde repose sur la communication et l'harmonie comme principes fondamentaux.
L'auteur critique toutefois le fait que l'humanité se comporte aujourd'hui d'une manière bien éloignée de la communication et de l'harmonie.
Les grandes puissances ne s'intéressent qu'au renforcement de leur puissance militaire, à l'affirmation de leur propre ordre mondial et au calcul de la victoire qui leur sera profitable.
Les crises mondiales semblent parfois lointaines, créant l'illusion que nous vivons en paix.
Mais l'ombre de la violence, qui menace de bouleverser le quotidien, plane désormais sur le monde.
L'auteur affirme que nous devons prendre conscience de la crise et la surmonter.
Notre compréhension du monde influence directement notre façon de vivre.
(…) Lorsque nous prenons conscience que nous faisons partie du monde et que nous reconnaissons notre lien avec tous les êtres, nous pouvons vivre des vies plus empathiques et responsables.
_Extrait de la préface de l'édition coréenne
Il fut un temps où je croyais en l'existence d'une « vérité certaine ».
En matière de foi, de philosophie et même de science, l'humanité a cherché à maintenir la certitude, mais toutes ces tentatives ont échoué.
Comme le dit l'auteur, le moment où la puissance de la science brille véritablement est celui où elle détruit l'illusion d'une vérité certaine.
L'auteur situe la voie que l'humanité devrait emprunter dans l'harmonie, l'unité et la solidarité.
Et elle présente une vision de rébellion contre le faux ordre auquel nous avons toujours cru et d'établissement d'un nouvel ordre pour tous les êtres.
Dans ce livre, l'auteur révèle son profond engagement en faveur d'une pratique pacifique, « afin que sa modeste voix puisse contribuer d'une manière ou d'une autre ».
Dans un avenir proche, nous envisageons un jour où chacun pourra échapper à ses propres pressions et jouir de la liberté et du bonheur.
Ne vivez pas dans l'insatisfaction, les rêves inassouvis, les plaintes ou l'anxiété concernant un avenir qui dépend des autres.
Prenez votre avenir en main.
Au lieu de nous opposer, nous vivons ensemble.
Changer le monde est la plus belle des aventures.
La vie est belle quand elle brûle et brille.
_Extrait du texte
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 2 juin 2025
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 312 pages | 396 g | 121 × 187 × 22 mm
- ISBN13 : 9791194755210
- ISBN10 : 1194755216
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