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Génies de la mer
Génies de la mer
Description
Introduction au livre
Un mot du médecin
Des créatures marines si étonnantes et si belles !
Le champion d'éloquence français et biophysicien Bill François nous dévoile les créatures fascinantes et magnifiques de la mer.
Les baleines plongent jusqu'à 2992 m de profondeur, les poissons volants glissent sur l'eau, les saumons nagent entre les rivières et l'océan, et même les crevettes-mantes peuvent frapper à des vitesses allant jusqu'à 80 km/h.
Il regorge de contenu fascinant.
27 décembre 2024. Sciences naturelles PD Son Min-gyu
Des cachalots et des calmars géants plongeant tranquillement dans les profondeurs marines, des bancs d'anchois changeant de formation pour désorienter les prédateurs, des poissons volants bondissant hors de l'eau et glissant au-dessus de la surface… … .
La façon dont la vie marine survit est très différente de celle de la vie terrestre, car leurs environnements sont différents.
Le monde sous-marin continue de nous fasciner, car une grande partie de l'océan est cachée à la vue, contrairement à la terre ferme.
« Génies des mers » est un livre qui explore les capacités extraordinaires des créatures marines du point de vue d'un physicien.
Bill François, physicien fasciné par la vie marine, utilise son humour et ses métaphores caractéristiques pour décrire les particularités du milieu sous-marin et les stratégies de survie des organismes marins qui s'y sont adaptés, d'un point de vue physique, notamment en ce qui concerne la matière, la force et l'énergie.
À travers des peintures saisissantes, fruits d'une observation méticuleuse et de techniques sophistiquées, nous explorons le génie des créatures marines qui vivent d'une manière différente de la nôtre.
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indice
Recommandation
Entrée

Partie 1 : La natation : des petits mouvements aux longs voyages
Acclamations_Jeunes poissons entreprenant un long voyage | Poissons des profondeurs_Champions de la course en eaux profondes | Banc_Quand des milliers de poissons ne font plus qu'un

Partie 2 : Environnement sous-marin : Êtres qui parcourent les profondeurs et les vastes eaux
Cachalot : des athlètes soumis à une pression extrême | Krill : nettoyeurs marins | Saumon : une transformation pour naviguer entre deux eaux

Partie 3 Limite_La limite entre l'eau et l'air
Animaux à damier_Course de bateaux de la flotte bleue | Poisson volant_Un poisson qui perce la surface de l'eau avec succès | Bécasseau_Un maître dans l'art de dompter les gouttelettes d'eau | Albatros_Un oiseau qui fait le tour du monde sans jamais toucher terre

Partie 4 Énergie_Tout change !
Baleines : Thermodynamique polaire | Sources hydrothermales : Créatures à plumes | Raies électriques : Génie brillant

Partie 5 : La présence de la lumière - Le secret de la lumière du soleil
Crevette-mante : un phénomène lumineux | Bioluminescence : un feu d’artifice des profondeurs | Anchois : le miroir parfait de la mer

Partie 6 Toutes sortes de couleurs_Motifs et nuances variés
Peintures à l'aquarelle : La palette du peintre pieuvre | Poissons colorés : Les aventures des rayures | Coquillages et palourdes : Quand un informaticien crée des motifs de coquillages

Partie 7 : Perception : Les divers sens des animaux marins
Des milliers d'yeux : les rétines et les pupilles du monde marin | Miger : musiciens de jazz du monde silencieux | Requin : la capacité de percevoir le monde qui nous entoure en détail, à tout moment, n'importe où

Partie 8 : Architectes : Architecture futuriste et matériaux de construction
Escargots à motifs de soie_Collectionneurs extrêmes | Éponges de verre_Architectes de l'Atlantide | Animaux tuniques_Cousins ​​en tuniques de bois

Partie 9 : La vie indomptable : une vie défiant les lois de la physique
Planaires : La mémoire indivisible des planaires | Méduses immortelles : Et autres Mathusalems des mers | Espèces intemporelles : Le cœlacanthe et espèces du passé lointain

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Dans le livre
Les pages ondulent dans l'eau comme des algues géantes et colorées.

--- Extrait de « Première phrase »

Du point de vue d'un petit poisson, l'eau n'est pas un fluide qui se déplace comme une masse unique, mais un ensemble de molécules d'eau qui se déplacent de manière désordonnée, et il doit avancer en les traversant.
Et plus le poisson est petit, plus il est difficile de repousser les « boules », donc plus il se déplace lentement.
De plus, l'eau apparaît comme une substance très visqueuse pour un poisson qui vient de sortir de son œuf et ne mesure que quelques millimètres.
Si nous étions des poissons, nous aurions l'impression de nager dans du miel collant.
--- p.25

Le premier secret des cachalots pour économiser leur énergie réside dans leur pouls lent.
Dès que vous plongez, votre rythme cardiaque ralentit.
Il s'agit d'un comportement réflexe commun à de nombreux mammifères, même à vous et à moi.
Le simple fait de se mouiller un peu le visage ralentit déjà notre rythme cardiaque.
Ce phénomène a peut-être aidé nos ancêtres à récolter des fruits de mer ou des tiges de plantes aquatiques dans un passé lointain.
Chez les cachalots, ce phénomène n'est pas un simple réflexe, car ils semblent capables de contrôler consciemment leur rythme cardiaque pendant la plongée, en le ralentissant à volonté.
Voilà une compétence que tout professeur de yoga envierait.
--- p.58

Lorsqu'il entre en contact avec l'eau, le grenat du Nord subit une force d'impact 23 fois supérieure à la force de gravité.
Dès que votre tête entre dans l'eau, la friction est si forte qu'elle peut vous briser la nuque.
Cet oiseau téméraire doit perfectionner sa manœuvre d'atterrissage à chaque fois qu'il plonge dans l'eau.
Même un léger écart par rapport à l'angle peut avoir des conséquences fatales.
Heureusement, le corps du fou de Bassan s'est développé pour s'y adapter.
Leur bec pointu leur permet de fendre l'eau facilement, et les muscles de leur cou sont très puissants, ce qui leur permet de survivre au choc de violentes collisions.
--- p.110

Le médecin italien Luigi Galvani était tellement intrigué par le fait que les rayons électriques pouvaient générer de l'électricité qu'il a commencé à étudier si d'autres animaux pouvaient faire de même.
Dans les années 1790, Galvani découvrit que les muscles de tous les animaux fonctionnent grâce à l'électricité transmise par les nerfs.
Ainsi naquit une nouvelle discipline scientifique, l'électrophysiologie, qui étudiait la relation entre les animaux et l'électricité.
Une grande partie de ce que nous savons aujourd'hui du système nerveux a commencé ici.
--- p.162

La carapace transparente de l'anchois est un miroir parfait.
Si vous regardez la couche argentée des anchois comme si vous vous regardiez dans un miroir de salle de bain, vous y verrez parfaitement reflété votre propre visage.
Il apparaîtra comme un miroir bien supérieur même au meilleur miroir fabriqué par un artisan miroitier.

De cette manière, les anchois reflètent le monde qui les entoure comme un miroir et le déposent sur leur peau, se fondant ainsi dans leur environnement et disparaissant dans leur propre image.
Mais il y a un point à surveiller.
Cette magie doit être exécutée à la perfection.
Pas un seul rayon de lumière ne doit pouvoir passer ni traverser !
--- p.192~193

Turing pensait que les couleurs pouvaient créer tous ces motifs en interagissant comme une proie et un prédateur.
En fait, les sciences de l'information initiées par ce grand mathématicien ont prouvé cette hypothèse des décennies plus tard.
Nous avons utilisé un ordinateur pour simuler le phénomène imaginé par Turing.
Il suffisait de déterminer les paramètres en jeu dans ce système : le régime alimentaire des « prédateurs », la capacité de reproduction des « proies » et la taille de la peau de l'animal.
L'ordinateur a ensuite affiché les résultats des calculs pour observer quel schéma se dégageait.
Les résultats furent surprenants : selon les valeurs des paramètres, des taches, des rayures, des globes oculaires et des motifs en maille apparaissaient à l’écran.
En résumé, tous les schémas observés dans le règne animal sont apparus, choquant la communauté scientifique internationale.
--- p.216

Bien qu'elle ne soit pas facilement visible à l'œil nu, une petite tache grise se détache au centre d'une des écailles sur le dessus de la tête de l'iguane marin.
Si vous regardez attentivement, vous pouvez voir que ce minuscule point possède en réalité des structures semblables à un œil, notamment une lentille et une rétine.
Tout comme les yeux situés de part et d'autre de la tête de l'iguane marin, ces yeux détectent la lumière.
Ce troisième œil, appelé œil pariétal, a évolué il y a très longtemps.
Un poisson primitif ayant vécu il y a environ 450 millions d'années, l'ancêtre commun de tous les vertébrés, possédait déjà des yeux pariétaux, qu'il utilisait probablement pour détecter les prédateurs approchant par le haut.
--- p.235~236

L'escargot soyeux est véritablement un animal qui collectionne d'autres coquillages.
Ce mollusque, apparu au Crétacé, vit aujourd'hui sous des dizaines d'espèces sur les fonds océaniques du monde entier, des profondeurs abyssales jusqu'au littoral.
Ils appartiennent à la classe des Gastropoda et, comme leurs cousins, les escargots, les escargots cornus et les palourdes vis, leurs coquilles grandissent en s'enroulant en spirale.
À mesure que l'escargot de soie grandit, il dépose sa collection sur le dessus de sa coquille.
--- p.273

L'attrition des télomères est une limitation physique majeure qui limite la durée de vie des organismes.
Mais les homards savent comment surmonter cette limitation.
Les homards produisent une enzyme appelée télomérase, qui a la capacité de réparer les télomères endommagés.
Chez les mammifères, cette enzyme est produite uniquement dans les cellules souches et les cellules germinales, mais chez les homards, elle est produite dans toutes les cellules tout au long de leur vie.
Par conséquent, les cellules peuvent se diviser autant de fois qu'elles le souhaitent et ne vieillissent donc jamais.
--- p.325

Avis de l'éditeur
★★★ Classé n°1 dans la catégorie « Physiologie végétale et animale » sur Amazon France immédiatement après sa publication.
★★★ Fortement recommandé par Lee Jeong-mo (auteur de « Splendid Extinction ») et Lee Dae-han (professeur de sciences de la vie, université Sungkyunkwan) !

« Regarder la mer signifie
« C’est comme visiter une autre planète. »


La couche argentée des anchois reflète son environnement comme un miroir parfait.
Des homards qui restent jeunes éternellement et des méduses qui inversent le vieillissement
La perception du mouvement de l'eau dans tout le corps d'un requin
Une huître en forme de spirale dont la coquille est ornée de règles logiques gravées.
L'albatros qui parcourt le monde sans jamais toucher le sol

Les merveilles de la vie marine vues par un physicien
Rencontrez une forme de vie totalement différente de la nôtre.


« Les humains ont déchiffré certaines de nos technologies les plus secrètes », a déclaré la sirène.
« Comment as-tu fait pour obtenir toutes ces informations ? » demanda la pieuvre.

« Ils semblent avoir une rallonge électrique très performante. »
« L’une est la biologie et l’autre la physique. »

Des cachalots et des calmars géants plongeant tranquillement dans les profondeurs marines, des bancs d'anchois changeant de formation pour désorienter les prédateurs, des poissons volants bondissant hors de l'eau et glissant au-dessus de la surface… … .
La façon dont la vie marine survit est très différente de celle de la vie terrestre, car leurs environnements sont différents.
À quoi ressemble le monde marin ? Bien que l’océan soit encore largement méconnu comparé à la terre ferme, le monde sous-marin continue de nous fasciner.
« Génies de la mer » est un livre qui explore les capacités extraordinaires des créatures marines du point de vue d'un physicien.
Si la biologie agit comme une sorte de loupe en classant les êtres vivants et en décrivant en détail les fonctions de chaque partie, la physique, par sa nature même de tenter d'expliquer toute chose par des lois, cherche à trouver des principes simples qui imprègnent toutes les entités.
Le physicien Bill François, fasciné par la vie marine, utilise son humour et ses métaphores caractéristiques pour transmettre de manière charmante les caractéristiques physiques du milieu sous-marin et les stratégies de survie des espèces marines qui s'y sont adaptées.
À travers des illustrations saisissantes, fruits d'une observation méticuleuse et de techniques sophistiquées, nous explorons les capacités étonnantes des créatures marines qui vivent d'une manière différente de la nôtre.


Pourquoi le plus grand animal du monde vit-il dans l'océan ?
L'apparence et les capacités de survie des créatures marines s'expliquent par des raisons physiques.

Le plus grand animal du monde est connu sous le nom de baleine bleue.
Le plus grand animal terrestre de tous les temps, le dinosaure Argentinosaurus, aurait pesé environ 80 tonnes, tandis que la baleine bleue pesait deux fois plus.
Pourquoi n'existe-t-il pas de créatures de la taille d'une baleine bleue sur terre ? Il y a une raison physique à cela.
Parce que les organismes terrestres sont soumis à la gravité.
Les animaux ont besoin de muscles pour se déplacer, mais si le poids des muscles augmente, les os auront du mal à le supporter, et si le squelette augmente en même temps que les muscles, le corps deviendra lourd et impossible à déplacer.
Finalement, on trouvera forcément des animaux géants dans l'océan, où ils sont relativement à l'abri de l'influence de la gravité.

Ce livre présente différentes espèces de créatures ayant évolué dans le milieu sous-marin des océans, et explique leur apparence et leurs techniques de survie du point de vue d'un physicien.
D'un point de vue physique, en termes de matière, de force et d'énergie, le milieu sous-marin présente des contraintes très différentes de celles du milieu terrestre où nous vivons, et la vie marine a évolué pour développer un mode de vie adapté à ce milieu.
Grâce à ce livre, vous découvrirez de manière vivante la vie des animaux marins, notamment les alevins qui nagent dans le miel dès leur naissance, les thons qui ne cessent de nager, les poissons volants qui jaillissent de la surface de l'eau et les animaux bioluminescents qui émettent de la lumière dans les profondeurs obscures des océans.
Vous finirez par comprendre que la vie marine est précieuse en soi, car elle fait partie intégrante de la nature.


De l'invention de la pile à la cape d'invisibilité et au secret de la jeunesse éternelle.
Les capacités extraordinaires des créatures marines à élargir les connaissances humaines


Quand on sait qu'il est difficile de survivre sous l'eau ne serait-ce que quelques minutes, le nombre impressionnant de créatures qui peuplent les océans est véritablement stupéfiant.
La vie marine a toujours suscité curiosité et émerveillement, et en explorant les secrets de ses capacités extraordinaires, nous acquérons naturellement des connaissances sur ses principes.
La découverte des mystérieuses propriétés des rayons électriques a donné naissance à un nouveau domaine scientifique appelé électrophysiologie et a conduit à l'invention de la première pile.
On sait aujourd'hui que la couche argentée de la peau de l'anchois reflète la lumière comme un miroir, permettant au poisson de se fondre dans le décor et de disparaître, offrant ainsi des possibilités très prometteuses aux ingénieurs concevant des équipements.
De plus, les biologistes ont découvert que les homards, qui peuvent vivre jusqu'à 200 ans, conservent leur jeunesse en produisant une enzyme appelée télomérase dans toutes les cellules de leur corps tout au long de leur vie, ce qui empêche les dommages aux chromosomes, contrairement aux mammifères.
Ce livre montre comment des principes simples, découverts dans les diverses capacités des créatures marines, peuvent nous ouvrir de nouvelles possibilités.
Des règles logiques régissant les motifs sur les corps et les coquilles des poissons, à l'intelligence collective découverte dans les mouvements des bancs de poissons, en passant par les sens des requins qui détectent le mouvement de l'eau dans tout leur corps, ce livre élargira votre réflexion en observant la vie marine à la croisée de la biologie, de l'évolution et de la physique.

Où pouvez-vous mettre en pratique vos connaissances sur la vie marine ?
Pourquoi avons-nous besoin de sagesse pour vivre ensemble ?


Le krill, une minuscule crevette végétarienne, et les baleines géantes jouent un rôle vital dans le traitement du carbone, un des principaux responsables de la crise climatique.
Le dioxyde de carbone présent dans l'atmosphère se dissout à la surface de l'océan, et le phytoplancton transforme le dioxyde de carbone dissous dans l'eau en matière organique par photosynthèse.
Le krill consomme ces phytoplanctons et capture une partie du dioxyde de carbone dans son organisme.
Le rôle du krill dans la régulation du climat terrestre est illustré par le processus suivant : les coquilles qu’il perd lors de la mue et ses excréments s’accumulent et restent au fond des abysses.
Vous vous demandez peut-être quel est l'impact de ces minuscules créatures sur l'environnement terrestre, mais leur nombre est stupéfiant : elles traitent à elles seules environ 23 millions de tonnes de carbone dans l'océan Austral.
Parallèlement, les baleines consomment plus de 6 tonnes de krill par jour, fixant ainsi le dioxyde de carbone dans leur organisme.
Plus tard, lorsque la baleine meurt, le carbone coule au fond de l'océan avec son corps.

Tout au long de son ouvrage, l'auteur Bill François sensibilise le public à l'extinction de la vie marine et à la crise écologique causée par la surpêche et la destruction des habitats.
Aux États-Unis seulement, des milliers de limules sont aujourd'hui chassées pour leur sang, que l'on pense utile dans les tests de vaccins, mais ce n'est que récemment qu'un substitut synthétique a été mis au point.
Moins de 50 ans après la découverte des sources hydrothermales au fond des océans, des investisseurs et des industriels désireux d'exploiter les minéraux s'apprêtent à demander des permis d'exploitation minière, tandis que des scientifiques et des organisations non gouvernementales internationales s'efforcent de ralentir le processus.

Dans cet ouvrage, l'auteur souligne que la connaissance de la vie marine peut être une force destructrice ou une force salvatrice pour la nature, selon l'usage que nous en faisons.
Le krill et les baleines ne pourront peut-être pas résoudre le problème du réchauffement climatique, mais si davantage de personnes reconnaissent le rôle de nombreuses espèces marines dans le cycle du carbone, nous pouvons travailler ensemble pour trouver des moyens d'utiliser les océans afin de les protéger.
Partons à la découverte des créatures colorées qui peuplent la mer grâce à ce livre.
Ce livre, imprégné d'amour pour la vie marine, fera de cette merveille elle-même une raison irrésistible de protéger l'écosystème marin.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 20 décembre 2024
Nombre de pages, poids, dimensions : 352 pages | 540 g | 153 × 224 × 22 mm
- ISBN13 : 9791164052950

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