
Cours de sensibilité linguistique de la professeure Shin Ji-young
Description
Introduction au livre
- Un mot du médecin
- Même au XXe siècle, la société coréenne était relativement homogène.
Ce n'est pas la Corée du XXIe siècle.
C'est une société diverse où se rassemblent des personnes aux identités diverses, notamment en termes de sexe, de classe sociale, de région, d'âge et d'origine ethnique.
Les paroles prononcées sans réfléchir peuvent être violentes pour autrui.
Nous avons besoin d'un langage arrondi, pas de mots tranchants.
- Son Min-gyu, directeur de la recherche en sciences humaines
« Le langage a également besoin d’être modernisé. »
Des compétences en communication pour bâtir des relations harmonieuses au langage de la dignité qui traverse les époques et les générations,
35 conseils pour vous guider sur une nouvelle voie dans une ère en pleine mutation
★ Fortement recommandé par Choi In-ah, Song Gil-young et Yojo !
★ Comité consultatif coréen du dictionnaire anglais d'Oxford !
★ Membre du Comité des normes de la langue coréenne de l'Institut national de la langue coréenne !
Avec l'accélération du vieillissement de la population et l'émergence des « problèmes relationnels » comme sujet brûlant, le nombre de personnes rencontrant des difficultés dues à des conflits et à un manque de communication liés aux « mots » est en augmentation.
Que ce soit dans nos relations personnelles avec notre famille ou nos amis, ou au travail, où nous passons la majeure partie de notre temps et interagissons avec diverses personnes, nous avons tous probablement déjà commis au moins une erreur : une remarque imprudente qui a provoqué un malentendu ou ruiné une tâche.
La professeure Shin Ji-young (Département de langue et littérature coréennes, Université de Corée), qui a introduit pour la première fois l'expression « sensibilité linguistique » auprès du grand public, suggère dans son nouveau livre, « Le cours de sensibilité linguistique de la professeure Shin Ji-young » (publié par Influential), que ceux qui ont des difficultés dans la conversation quotidienne ou qui vivent des conflits liés à la langue dans la société moderne, où la vie ne peut se dérouler sans interaction avec les autres, réapprennent à « parler » dans une perspective relationnelle.
Dans cet ouvrage, il examine les habitudes langagières des gens modernes qui mènent à des conflits et à des ruptures de communication, et suggère clairement comment utiliser le langage pour se connecter aux autres afin de mener une vie plus heureuse.
Le message central du livre est que toutes les relations commencent et se maintiennent par les mots, et que si vous souhaitez une meilleure relation que votre relation actuelle, vous devez d'abord développer une sensibilité au langage.
Vous apprendrez des méthodes concrètes pour développer votre sensibilité linguistique dans tous les aspects de votre vie, notamment les conversations quotidiennes, les formules de politesse au travail, la communication intergénérationnelle, les éléments linguistiques essentiels à une culture organisationnelle horizontale et des conseils pour surmonter les difficultés de communication. Il en résultera des relations plus harmonieuses et, en fin de compte, un plus grand bonheur.
Des compétences en communication pour bâtir des relations harmonieuses au langage de la dignité qui traverse les époques et les générations,
35 conseils pour vous guider sur une nouvelle voie dans une ère en pleine mutation
★ Fortement recommandé par Choi In-ah, Song Gil-young et Yojo !
★ Comité consultatif coréen du dictionnaire anglais d'Oxford !
★ Membre du Comité des normes de la langue coréenne de l'Institut national de la langue coréenne !
Avec l'accélération du vieillissement de la population et l'émergence des « problèmes relationnels » comme sujet brûlant, le nombre de personnes rencontrant des difficultés dues à des conflits et à un manque de communication liés aux « mots » est en augmentation.
Que ce soit dans nos relations personnelles avec notre famille ou nos amis, ou au travail, où nous passons la majeure partie de notre temps et interagissons avec diverses personnes, nous avons tous probablement déjà commis au moins une erreur : une remarque imprudente qui a provoqué un malentendu ou ruiné une tâche.
La professeure Shin Ji-young (Département de langue et littérature coréennes, Université de Corée), qui a introduit pour la première fois l'expression « sensibilité linguistique » auprès du grand public, suggère dans son nouveau livre, « Le cours de sensibilité linguistique de la professeure Shin Ji-young » (publié par Influential), que ceux qui ont des difficultés dans la conversation quotidienne ou qui vivent des conflits liés à la langue dans la société moderne, où la vie ne peut se dérouler sans interaction avec les autres, réapprennent à « parler » dans une perspective relationnelle.
Dans cet ouvrage, il examine les habitudes langagières des gens modernes qui mènent à des conflits et à des ruptures de communication, et suggère clairement comment utiliser le langage pour se connecter aux autres afin de mener une vie plus heureuse.
Le message central du livre est que toutes les relations commencent et se maintiennent par les mots, et que si vous souhaitez une meilleure relation que votre relation actuelle, vous devez d'abord développer une sensibilité au langage.
Vous apprendrez des méthodes concrètes pour développer votre sensibilité linguistique dans tous les aspects de votre vie, notamment les conversations quotidiennes, les formules de politesse au travail, la communication intergénérationnelle, les éléments linguistiques essentiels à une culture organisationnelle horizontale et des conseils pour surmonter les difficultés de communication. Il en résultera des relations plus harmonieuses et, en fin de compte, un plus grand bonheur.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Recommandation
Préface : Dessiner un monde rendu heureux par la sensibilité linguistique
Chapitre 1 : Pourquoi la sensibilité linguistique est nécessaire
Une sensibilité linguistique qui comble le fossé dans les relations
[Dans la vie] Manches courtes et manches courtes, l'empathie en une seule syllabe
Les compétences en communication sont une vertu fondamentale que les citoyens démocratiques doivent posséder.
Notre indice de bonheur est proportionnel à nos compétences en communication.
Pour permettre à la sensibilité linguistique de pénétrer naturellement le corps
〈Approfondir〉 Définir la sensibilité linguistique│La pensée cachée dans le mot « poisson »
Chapitre 2 : Les relations naissent des mots
Le moment est venu d'aborder les problèmes relationnels sur le plan social.
Apprenons à nouveau, du point de vue de la communication et des relations.
[Into Life] Les critères de jugement de « Ssagaji » et « Old Man »
Des mots qui deviennent des aimants, des mots qui deviennent des ressorts
[Dans la vie quotidienne] Corriger les « 3 clés » de la communication intergénérationnelle
Comment adapter son langage – Parler pour de meilleures relations
[Dans la vie] Une bonne relation exige plus qu'un simple sentiment de connexion.
Les mots qui commencent par « non » et qui ferment le cœur
〈Regard plus profond〉 Une étude sur « Anissieting »
Chapitre 3 : Le langage possède aussi une dimension tactile
Quel genre de sentiment expriment mes mots ?
Pourquoi les gens ne veulent entendre que des « paroles chaleureuses »
Pour ouvrir la voie à des mots chaleureux
[Dans la vie quotidienne] Comment faire taire les plaintes incessantes pendant les fêtes
Chapitre 4 : Éléments à prendre en compte lors d’un appel téléphonique
Des titres acceptables pour celui qui les prononce, mais gênants pour celui qui les reçoit.
Pourquoi le terme « ajumma » est-il utilisé comme terme péjoratif ?
[Dans la vie] Si quelqu'un m'appelait « Tante »
La véritable raison pour laquelle nous sommes sensibles aux titres
Comment devrions-nous nous appeler ? - L'utilisation des titres en relations publiques
[Dans la vie quotidienne] Comment réagir lorsqu'on est mal à l'aise avec son adresse
〈Analyse approfondie〉 Notre société vue à travers les titres│La lutte des femmes pour les titres : Appelez-moi Mme OOO│L'inflation des titres
Chapitre 5 : La vérité qui dérange, cachée dans les titres professionnels
Le changement des intitulés de poste peut-il créer une culture organisationnelle horizontale ?
Le coréen est difficile à parler sans marques de politesse.
[Dans la vie] La différence entre les appelants et les référents
Dynamisez votre culture d'entreprise grâce à une mise à jour linguistique
〈Analyse approfondie〉 Le mot « chérie » utilisé à la place de « toi » │ Comment « OOO-nim » est devenu un titre
Chapitre 6 : L’icône de la déconnexion, un aperçu de la réponse
« Je ne suis absolument pas la solution. »
[Dans la vie] Pour surmonter les difficultés de communication et grandir
Stratégies intelligentes pour gérer les personnes qui ne communiquent pas
[Dans la vie] « Baro Baro » : Communication efficace entre supérieurs et subordonnés
[Dans la vie quotidienne] Utilisation des outils de communication : face à face, téléphone, SMS, courriel
Chapitre 7 : Pour ceux d’entre vous qui ont besoin de parler
Qu'est-ce qui fait une conversation agréable ? - L'art de la conversation
[Dans la vie] Pour bien parler, il faut adapter son discours au moment et au lieu.
Éléments à retenir si vous souhaitez une conversation à double sens
[Into Life] Un janggu est un janggu, alors n'intervenez pas !
Conseils pour engager la conversation avec des inconnus - Utiliser la conversation anodine
Chapitre 8 : Quand les mots deviennent pouvoir
Éléments à préparer une fois que vous avez voix au chapitre
Voilà ce qui arrive quand on s'enivre de mots et qu'on monopolise la conversation.
[Into Life] Comment capter l'attention de votre public
Créer une communauté où la liberté d'expression est garantie.
[Dans la vie] Le rôle d'un leader et le but de la communication
Chapitre 9 : Notre attitude envers K-Age
La salutation nationale, « Quel âge avez-vous ? »
Monsieur le Président, je vous en prie, abolissons le système coréen de calcul de l'âge !
La véritable raison pour laquelle le comptage de l'âge ne disparaît pas
[Dans la vie quotidienne] L'âgisme au quotidien
Les expressions liées à l'âge sont souvent source de confusion : comment les exprimer ?
〈Analyse approfondie〉 L'âge est-il vraiment le seul facteur sensible ?
Chapitre 10 : Dois-je utiliser un langage formel ou informel ?
Dois-je l'augmenter ou non ?
Les titres honorifiques relatifs sont essentiels pour compléter une phrase.
Discours informel qui sème le conflit
[Dans la vie quotidienne] Remplacez le langage familier désagréable par un langage formel et poli.
Pourquoi n'existe-t-il pas d'« adultes sans honte » ?
〈Analyse approfondie〉 L'âge adulte requis par le système honorifique│La question qui provoque une dispute : « Pourquoi me parlez-vous de façon informelle ? »
principal
Préface : Dessiner un monde rendu heureux par la sensibilité linguistique
Chapitre 1 : Pourquoi la sensibilité linguistique est nécessaire
Une sensibilité linguistique qui comble le fossé dans les relations
[Dans la vie] Manches courtes et manches courtes, l'empathie en une seule syllabe
Les compétences en communication sont une vertu fondamentale que les citoyens démocratiques doivent posséder.
Notre indice de bonheur est proportionnel à nos compétences en communication.
Pour permettre à la sensibilité linguistique de pénétrer naturellement le corps
〈Approfondir〉 Définir la sensibilité linguistique│La pensée cachée dans le mot « poisson »
Chapitre 2 : Les relations naissent des mots
Le moment est venu d'aborder les problèmes relationnels sur le plan social.
Apprenons à nouveau, du point de vue de la communication et des relations.
[Into Life] Les critères de jugement de « Ssagaji » et « Old Man »
Des mots qui deviennent des aimants, des mots qui deviennent des ressorts
[Dans la vie quotidienne] Corriger les « 3 clés » de la communication intergénérationnelle
Comment adapter son langage – Parler pour de meilleures relations
[Dans la vie] Une bonne relation exige plus qu'un simple sentiment de connexion.
Les mots qui commencent par « non » et qui ferment le cœur
〈Regard plus profond〉 Une étude sur « Anissieting »
Chapitre 3 : Le langage possède aussi une dimension tactile
Quel genre de sentiment expriment mes mots ?
Pourquoi les gens ne veulent entendre que des « paroles chaleureuses »
Pour ouvrir la voie à des mots chaleureux
[Dans la vie quotidienne] Comment faire taire les plaintes incessantes pendant les fêtes
Chapitre 4 : Éléments à prendre en compte lors d’un appel téléphonique
Des titres acceptables pour celui qui les prononce, mais gênants pour celui qui les reçoit.
Pourquoi le terme « ajumma » est-il utilisé comme terme péjoratif ?
[Dans la vie] Si quelqu'un m'appelait « Tante »
La véritable raison pour laquelle nous sommes sensibles aux titres
Comment devrions-nous nous appeler ? - L'utilisation des titres en relations publiques
[Dans la vie quotidienne] Comment réagir lorsqu'on est mal à l'aise avec son adresse
〈Analyse approfondie〉 Notre société vue à travers les titres│La lutte des femmes pour les titres : Appelez-moi Mme OOO│L'inflation des titres
Chapitre 5 : La vérité qui dérange, cachée dans les titres professionnels
Le changement des intitulés de poste peut-il créer une culture organisationnelle horizontale ?
Le coréen est difficile à parler sans marques de politesse.
[Dans la vie] La différence entre les appelants et les référents
Dynamisez votre culture d'entreprise grâce à une mise à jour linguistique
〈Analyse approfondie〉 Le mot « chérie » utilisé à la place de « toi » │ Comment « OOO-nim » est devenu un titre
Chapitre 6 : L’icône de la déconnexion, un aperçu de la réponse
« Je ne suis absolument pas la solution. »
[Dans la vie] Pour surmonter les difficultés de communication et grandir
Stratégies intelligentes pour gérer les personnes qui ne communiquent pas
[Dans la vie] « Baro Baro » : Communication efficace entre supérieurs et subordonnés
[Dans la vie quotidienne] Utilisation des outils de communication : face à face, téléphone, SMS, courriel
Chapitre 7 : Pour ceux d’entre vous qui ont besoin de parler
Qu'est-ce qui fait une conversation agréable ? - L'art de la conversation
[Dans la vie] Pour bien parler, il faut adapter son discours au moment et au lieu.
Éléments à retenir si vous souhaitez une conversation à double sens
[Into Life] Un janggu est un janggu, alors n'intervenez pas !
Conseils pour engager la conversation avec des inconnus - Utiliser la conversation anodine
Chapitre 8 : Quand les mots deviennent pouvoir
Éléments à préparer une fois que vous avez voix au chapitre
Voilà ce qui arrive quand on s'enivre de mots et qu'on monopolise la conversation.
[Into Life] Comment capter l'attention de votre public
Créer une communauté où la liberté d'expression est garantie.
[Dans la vie] Le rôle d'un leader et le but de la communication
Chapitre 9 : Notre attitude envers K-Age
La salutation nationale, « Quel âge avez-vous ? »
Monsieur le Président, je vous en prie, abolissons le système coréen de calcul de l'âge !
La véritable raison pour laquelle le comptage de l'âge ne disparaît pas
[Dans la vie quotidienne] L'âgisme au quotidien
Les expressions liées à l'âge sont souvent source de confusion : comment les exprimer ?
〈Analyse approfondie〉 L'âge est-il vraiment le seul facteur sensible ?
Chapitre 10 : Dois-je utiliser un langage formel ou informel ?
Dois-je l'augmenter ou non ?
Les titres honorifiques relatifs sont essentiels pour compléter une phrase.
Discours informel qui sème le conflit
[Dans la vie quotidienne] Remplacez le langage familier désagréable par un langage formel et poli.
Pourquoi n'existe-t-il pas d'« adultes sans honte » ?
〈Analyse approfondie〉 L'âge adulte requis par le système honorifique│La question qui provoque une dispute : « Pourquoi me parlez-vous de façon informelle ? »
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Dans le livre
La sensibilité linguistique nous permet de percevoir comme étrangère une langue que nous utilisons habituellement, et de soulever des questions sur des expressions linguistiques obsolètes grâce à cette sensibilité.
La sensibilité linguistique fait du langage un meilleur outil pour exprimer nos pensées.
Cela me permet également de vérifier si mes pensées et mes objectifs sont bien exprimés dans ma langue, non pas seulement par des mots ou des expressions fragmentaires, mais dans l'ensemble de la langue.
Ainsi, je peux m'assurer que mes paroles parviennent bien à l'autre personne.
C’est pourquoi la sensibilité linguistique joue un rôle très important dans la communication.
---Extrait de « Définir la sensibilité linguistique »
Lorsqu'on réfléchit aux problèmes relationnels, il faut s'intéresser au mot « non » qui est utilisé de manière habituelle en début de phrase.
La fonction la plus importante de « ani », écrit de cette manière, est d'obtenir le droit de parler et de capter l'attention de l'auditeur.
Dire « non » est un refus de ce que dit l'autre personne, ce qui vous donne naturellement le droit de parler et capte inévitablement l'attention de l'interlocuteur.
Cependant, abuser de cette stratégie dans une conversation ne donne pas de résultats très positifs.
Après tout, personne ne serait heureux de voir ses paroles démenties.
---Extrait de « Les mots qui commencent par « Non » et qui ferment le cœur »
Les civils et les fonctionnaires doivent s'adresser les uns aux autres en utilisant les titres appropriés à leur relation publique.
Grâce à cela, nous devrions pouvoir nous témoigner du respect les uns aux autres.
Le respect doit s'exprimer aussi bien par des titres honorifiques que par des formules de politesse.
À cet égard, les termes « Unnie » ou « célibataire » utilisés par les citoyens pour s’adresser aux responsables publics sont encore plus inappropriés.
En effet, ces termes peuvent naturellement mener à un langage informel.
Pour la même raison, les fonctionnaires ne devraient pas utiliser de termes faisant référence à l'âge ou au sexe pour s'adresser aux plaignants.
Il est inapproprié que des professionnels de l'administration engagés par des citoyens s'adressent à ces derniers en les appelant « ajumma », « ajussi », « ajussi », « grand-mère », « grand-père » ou « aîné ».
---Extrait de « La véritable raison pour laquelle nous sommes sensibles aux titres »
Il est vrai que le système de titres verticaux existant sur le lieu de travail, combiné aux caractéristiques de la langue coréenne, a créé une culture d'entreprise verticale.
La hiérarchie verticale et l'utilisation verticale du langage qui reflète cette hiérarchie ont créé des relations verticales entre les membres de l'organisation.
Cette culture d'entreprise verticale a conduit à considérer les personnes occupant des postes plus élevés comme des « supérieurs » et celles occupant des postes plus bas comme des « subordonnés », ce qui signifie que la hiérarchie des grades est une hiérarchie des personnes, ce qui a eu pour conséquence d'affaiblir la compétitivité de l'organisation.
Suite à ce diagnostic, les entreprises ont cherché à modifier leur dénomination sociale.
L’unification des titres peut ainsi être considérée comme une déclaration de rupture avec la culture organisationnelle verticale.
---Extrait de « Peut-on créer une culture organisationnelle horizontale en changeant les titres ? »
S’appeler mutuellement « Monsieur OOO », indépendamment du grade ou de la position, peut avoir une autre signification importante, outre la création d’une structure organisationnelle horizontale.
Cela signifie que chaque membre est reconnu comme un individu au sein de l'organisation, et non comme un élément de la hiérarchie organisationnelle.
Autrement dit, en s'adressant à une personne en l'appelant « Monsieur Ga » plutôt que « Monsieur Ga » ou « Directeur Ga », nous manifestons clairement notre volonté de reconnaître ses caractéristiques individuelles et de valoriser la diversité. Je suis également convaincu que si ce changement est durablement ancré, il pourra produire un tel effet.
---Extrait de « Une culture d'entreprise flexible avec un langage renouvelé »
Les objectifs d'une conversation sont très variés.
Mais le but le plus important d'une conversation est de construire des relations et de renforcer les liens de ces relations.
C'est pourquoi il est inapproprié que les conversations soient à sens unique.
La raison pour laquelle les conversations agréables renforcent les liens relationnels tient probablement au respect mutuel qui se révèle à travers la conversation.
La conversation ne peut se dérouler harmonieusement que si nous reconnaissons mutuellement l'existence de l'autre.
Une conversation déséquilibrée a peu de chances d'être agréable car elle révèle la hiérarchie entre les participants.
Pour avoir une conversation agréable, il est indispensable de croire que nous avons tous nos propres pensées et que ces pensées méritent d'être partagées.
---Extrait de « Qu'est-ce qu'une conversation agréable ? - Les plaisirs de la conversation »
La grammaire coréenne nous amène naturellement à considérer les personnes âgées comme des « supérieurs, des supérieurs, des personnes de haut rang » et les personnes plus jeunes comme des « inférieurs, des subordonnés, des personnes de rang inférieur ».
La raison pour laquelle nous avons tendance à considérer inconsciemment la hiérarchie des âges comme une hiérarchie des personnes tient à ce problème de grammaire coréenne.
Cela s’explique par le fait que la « hiérarchie des statuts » qui déterminait la grammaire dans une société de castes a été remplacée par la « hiérarchie des âges » fondée sur la vision du monde de Jang Yu-yoo après l’abolition de la société de castes.
---Extrait de « Expressions d'âge déroutantes : comment les prononcer ? »
Il n'y a aucune raison logique de s'adresser poliment aux personnes âgées et de manière informelle aux jeunes.
De plus, en Corée du Sud, où l'égalité est considérée comme une valeur importante, il est inapproprié de penser que les personnes âgées et les jeunes sont dans une relation de supériorité-soumission.
Il n'est plutôt pas approprié d'établir une hiérarchie entre les personnes dès le départ.
Par conséquent, le futur système honorifique éliminera la pratique passée consistant à juger l'ancienneté d'une personne par son âge et sélectionnera les titres honorifiques selon un critère différent.
Il pourrait s'agir d'une relation amicale ou d'une situation spontanée.
Quels que soient l'âge, le statut, etc. de l'autre personne, on utilise un langage informel entre amis proches et un langage formel entre personnes éloignées, ou encore un langage formel en public et un langage informel en privé.
La sensibilité linguistique fait du langage un meilleur outil pour exprimer nos pensées.
Cela me permet également de vérifier si mes pensées et mes objectifs sont bien exprimés dans ma langue, non pas seulement par des mots ou des expressions fragmentaires, mais dans l'ensemble de la langue.
Ainsi, je peux m'assurer que mes paroles parviennent bien à l'autre personne.
C’est pourquoi la sensibilité linguistique joue un rôle très important dans la communication.
---Extrait de « Définir la sensibilité linguistique »
Lorsqu'on réfléchit aux problèmes relationnels, il faut s'intéresser au mot « non » qui est utilisé de manière habituelle en début de phrase.
La fonction la plus importante de « ani », écrit de cette manière, est d'obtenir le droit de parler et de capter l'attention de l'auditeur.
Dire « non » est un refus de ce que dit l'autre personne, ce qui vous donne naturellement le droit de parler et capte inévitablement l'attention de l'interlocuteur.
Cependant, abuser de cette stratégie dans une conversation ne donne pas de résultats très positifs.
Après tout, personne ne serait heureux de voir ses paroles démenties.
---Extrait de « Les mots qui commencent par « Non » et qui ferment le cœur »
Les civils et les fonctionnaires doivent s'adresser les uns aux autres en utilisant les titres appropriés à leur relation publique.
Grâce à cela, nous devrions pouvoir nous témoigner du respect les uns aux autres.
Le respect doit s'exprimer aussi bien par des titres honorifiques que par des formules de politesse.
À cet égard, les termes « Unnie » ou « célibataire » utilisés par les citoyens pour s’adresser aux responsables publics sont encore plus inappropriés.
En effet, ces termes peuvent naturellement mener à un langage informel.
Pour la même raison, les fonctionnaires ne devraient pas utiliser de termes faisant référence à l'âge ou au sexe pour s'adresser aux plaignants.
Il est inapproprié que des professionnels de l'administration engagés par des citoyens s'adressent à ces derniers en les appelant « ajumma », « ajussi », « ajussi », « grand-mère », « grand-père » ou « aîné ».
---Extrait de « La véritable raison pour laquelle nous sommes sensibles aux titres »
Il est vrai que le système de titres verticaux existant sur le lieu de travail, combiné aux caractéristiques de la langue coréenne, a créé une culture d'entreprise verticale.
La hiérarchie verticale et l'utilisation verticale du langage qui reflète cette hiérarchie ont créé des relations verticales entre les membres de l'organisation.
Cette culture d'entreprise verticale a conduit à considérer les personnes occupant des postes plus élevés comme des « supérieurs » et celles occupant des postes plus bas comme des « subordonnés », ce qui signifie que la hiérarchie des grades est une hiérarchie des personnes, ce qui a eu pour conséquence d'affaiblir la compétitivité de l'organisation.
Suite à ce diagnostic, les entreprises ont cherché à modifier leur dénomination sociale.
L’unification des titres peut ainsi être considérée comme une déclaration de rupture avec la culture organisationnelle verticale.
---Extrait de « Peut-on créer une culture organisationnelle horizontale en changeant les titres ? »
S’appeler mutuellement « Monsieur OOO », indépendamment du grade ou de la position, peut avoir une autre signification importante, outre la création d’une structure organisationnelle horizontale.
Cela signifie que chaque membre est reconnu comme un individu au sein de l'organisation, et non comme un élément de la hiérarchie organisationnelle.
Autrement dit, en s'adressant à une personne en l'appelant « Monsieur Ga » plutôt que « Monsieur Ga » ou « Directeur Ga », nous manifestons clairement notre volonté de reconnaître ses caractéristiques individuelles et de valoriser la diversité. Je suis également convaincu que si ce changement est durablement ancré, il pourra produire un tel effet.
---Extrait de « Une culture d'entreprise flexible avec un langage renouvelé »
Les objectifs d'une conversation sont très variés.
Mais le but le plus important d'une conversation est de construire des relations et de renforcer les liens de ces relations.
C'est pourquoi il est inapproprié que les conversations soient à sens unique.
La raison pour laquelle les conversations agréables renforcent les liens relationnels tient probablement au respect mutuel qui se révèle à travers la conversation.
La conversation ne peut se dérouler harmonieusement que si nous reconnaissons mutuellement l'existence de l'autre.
Une conversation déséquilibrée a peu de chances d'être agréable car elle révèle la hiérarchie entre les participants.
Pour avoir une conversation agréable, il est indispensable de croire que nous avons tous nos propres pensées et que ces pensées méritent d'être partagées.
---Extrait de « Qu'est-ce qu'une conversation agréable ? - Les plaisirs de la conversation »
La grammaire coréenne nous amène naturellement à considérer les personnes âgées comme des « supérieurs, des supérieurs, des personnes de haut rang » et les personnes plus jeunes comme des « inférieurs, des subordonnés, des personnes de rang inférieur ».
La raison pour laquelle nous avons tendance à considérer inconsciemment la hiérarchie des âges comme une hiérarchie des personnes tient à ce problème de grammaire coréenne.
Cela s’explique par le fait que la « hiérarchie des statuts » qui déterminait la grammaire dans une société de castes a été remplacée par la « hiérarchie des âges » fondée sur la vision du monde de Jang Yu-yoo après l’abolition de la société de castes.
---Extrait de « Expressions d'âge déroutantes : comment les prononcer ? »
Il n'y a aucune raison logique de s'adresser poliment aux personnes âgées et de manière informelle aux jeunes.
De plus, en Corée du Sud, où l'égalité est considérée comme une valeur importante, il est inapproprié de penser que les personnes âgées et les jeunes sont dans une relation de supériorité-soumission.
Il n'est plutôt pas approprié d'établir une hiérarchie entre les personnes dès le départ.
Par conséquent, le futur système honorifique éliminera la pratique passée consistant à juger l'ancienneté d'une personne par son âge et sélectionnera les titres honorifiques selon un critère différent.
Il pourrait s'agir d'une relation amicale ou d'une situation spontanée.
Quels que soient l'âge, le statut, etc. de l'autre personne, on utilise un langage informel entre amis proches et un langage formel entre personnes éloignées, ou encore un langage formel en public et un langage informel en privé.
---Extrait de « Le langage informel qui sème le conflit »
Avis de l'éditeur
À notre époque où nous vivons longtemps seuls, la sensibilité linguistique est une compétence essentielle !
Réapprendre à « parler » dans une perspective relationnelle !
« En résumé, l'essence de ce livre tient en une phrase : “Bien parler rend heureux !” » – Choi In-a, PDG de la librairie Choi In-a
« Recommandé à tous ceux qui souhaitent exploiter le pouvoir de communication du langage. » _Song Gil-young│Auteur de « Sidae Yebo » et Mind Miner
« Un livre qui nous apprend la valeur d'un seul mot ! » _Yojo│Musicien, écrivain
La professeure Shin Ji-young (Département de langue et littérature coréennes, Université de Corée), qui a introduit le terme de « sensibilité linguistique » auprès du public, l'a développé davantage et a publié un nouveau livre, « Le cours de sensibilité linguistique de la professeure Shin Ji-young », qui traite de la « communication » qui réduit la distance entre les relations et conduit à une vie plus heureuse.
Dans ce livre, il affirme que nous devons réapprendre à « parler » dans l'optique des relations pour le bonheur, plutôt que comme un moyen d'atteindre le succès, par exemple en matière d'emploi ou de promotion.
Il explique également qu'à l'ère de l'individualisation croissante, si l'on veut dépasser la déconnexion et le manque de communication et nouer des relations authentiques, il faut d'abord réfléchir à ses propres habitudes langagières et accroître sa sensibilité linguistique, qui est la clé pour ouvrir le cœur des autres.
À cette fin, il a fourni des méthodes pratiques pour construire de bonnes relations et, en fin de compte, atteindre le bonheur, notamment des techniques de conversation quotidienne, la communication intergénérationnelle, les questions linguistiques sur le lieu de travail pour une culture organisationnelle horizontale et comment surmonter les difficultés de communication, le tout avec de nombreux exemples.
L'analyse approfondie de l'auteur, fruit d'un examen minutieux des problématiques linguistiques au sein de notre société et d'une étude de l'humanité à travers l'exploration du langage, offrira un point de départ vers le changement à celles et ceux qui sont mal compris·es par un seul mot ou qui se sentent isolé·es et seuls·es à cause de la langue. Elle leur apprendra également à utiliser le langage comme un outil pour une vie meilleure.
Pourquoi le langage a besoin d'être modernisé
Un langage respectueux engendre une culture du respect.
Récemment, de nombreuses entreprises, notamment les principales entreprises coréennes, adoptent de plus en plus ce que l'on appelle « l'unification des titres ».
Quel que soit leur grade, tous, des stagiaires aux cadres supérieurs, s'appellent mutuellement par le titre de « nim ».
Il existe toutefois de légères différences dans les directives spécifiques, comme l'utilisation de surnoms ou de noms anglais au lieu de noms en fonction des caractéristiques de l'industrie et de la culture organisationnelle existante, ou la limitation des catégories à deux ou trois (pro, manager, etc.) tout en différenciant par titre de poste.
Mais qu'est-ce qui peut bien intéresser autant d'entreprises ?
On dit souvent que le langage est « un outil pour exprimer ses pensées et une convention sociale ».
Pour utiliser une langue, il faut comprendre les conventions de la société dans laquelle elle est employée et l'utiliser en conséquence.
Mais ces promesses ont toujours été faites dans le passé, elles contiennent donc toujours des pensées issues du passé.
De ce fait, nombre des langues que nous utilisons réellement contiennent des valeurs obsolètes et dépassées avec lesquelles nous ne sommes plus d'accord.
C'est l'utilisation d'un langage ancien qui véhicule des idées anciennes plutôt que des idées évoluées.
Par conséquent, nous finissons par dire des choses sans même y réfléchir, ce qui peut entraîner non seulement une rupture de la communication, mais aussi un facteur déclencheur de conflit.
Le professeur Shin Ji-young affirme : « Dans une entreprise, appeler un individu « M. OOO » plutôt que « Manager Ga » ou « Manager Ga » n’est pas seulement une tentative d’établir une structure organisationnelle horizontale, mais aussi un effort pour reconnaître les caractéristiques de l’individu et prêter attention à la diversité à travers le langage » (p. 178), et « La culture du lieu de travail ne peut pas changer avec un simple changement de mots, mais la culture du lieu de travail ne peut pas changer sans un changement de mots » (p. 182).
Le langage est un miroir qui reflète la culture, et un langage respectueux crée une culture du respect, et une culture du respect crée un langage respectueux.
Ce n'est pas une histoire qui se limite aux entreprises de soie.
Il existe d'innombrables mots utilisés si naturellement, y compris les titres professionnels, qui ne reflètent pas l'évolution des mœurs et deviennent les germes de conflits.
Nous devons désormais être attentifs aux pensées que reflètent en réalité les mots que nous utilisons habituellement, les mots que nous tenons pour acquis et que nous utilisons sans réfléchir.
Si les idées contenues dans notre langue sont figées dans le passé, si elles véhiculent un sentiment d'autorité et de discrimination, nous devons audacieusement rechercher le changement.
La langue a également besoin d'être modernisée.
Le langage n'est pas pour moi, mais pour communiquer avec les autres.
Les mots qui devraient disparaître vs.
Nouveaux mots à apprendre
Tout le monde a une ou deux mauvaises habitudes, qu'il s'agisse d'être en retard, de mal manger ou d'avoir une mauvaise posture.
Nous déployons beaucoup d'efforts pour changer les habitudes qui rendent notre quotidien inconfortable et perturbent l'ordre de notre vie.
Mais les gens ne se rendent pas compte des mauvaises habitudes de langage qui vont au-delà du simple malaise, ruinent les relations et mènent à l'isolement.
Un exemple typique est l'expression « non » utilisée pour entamer une conversation.
Souvent, nous entamons une conversation par un « non » involontaire pour changer de sujet ou attirer l'attention sur nous-mêmes, mais utiliser un mot négatif en début de conversation risque davantage de fermer l'esprit de l'autre personne.
Bien que cela puisse être efficace pour obtenir le droit de s'exprimer, cela peut transformer une conversation qui devrait être un « tiki-taga » en monologue et même ruiner de bonnes relations.
Il en va de même pour le terme « ajumma ».
« Ajumma » est un terme péjoratif pour « ajumma », et il suppose fondamentalement que la personne appelée est dégradée ; par conséquent, personne n'apprécie d'être appelé par ce terme.
D'après un sondage récent, le terme « ajumma » évoque des sentiments négatifs chez une femme sur trois de plus de 60 ans.
L'auteur explique que si vous pensez : « Quel est le problème à appeler une tante "tante" ? », vous devez vous préparer à une réaction désagréable de la part de l'autre personne ou à un sentiment de solitude.
Nous utilisons trop d'expressions de ce genre, que l'orateur ne souhaite pas employer, mais qui mettent l'auditeur mal à l'aise et qui nuisent à la communication, voire aux relations.
L'auteur examine les expressions linguistiques typiques qui ruinent les relations et mènent à l'isolement, en expliquant pourquoi elles sont incorrectes du point de vue de la sensibilité linguistique et en présentant des méthodes spécifiques pour utiliser la langue coréenne afin d'ouvrir la voie à des mots chaleureux.
Grâce à 35 suggestions, notamment sur la manière de s'adresser les uns aux autres en public, sur l'usage des formules de politesse, sur l'attitude à adopter lors de conversations plutôt que de monologues, et sur la formation à suivre pour éviter les disputes et se faire comprendre, vous serez en mesure de corriger vos mauvaises habitudes de communication et de trouver une nouvelle voie pour exprimer des paroles chaleureuses.
Réapprendre à « parler » dans une perspective relationnelle !
« En résumé, l'essence de ce livre tient en une phrase : “Bien parler rend heureux !” » – Choi In-a, PDG de la librairie Choi In-a
« Recommandé à tous ceux qui souhaitent exploiter le pouvoir de communication du langage. » _Song Gil-young│Auteur de « Sidae Yebo » et Mind Miner
« Un livre qui nous apprend la valeur d'un seul mot ! » _Yojo│Musicien, écrivain
La professeure Shin Ji-young (Département de langue et littérature coréennes, Université de Corée), qui a introduit le terme de « sensibilité linguistique » auprès du public, l'a développé davantage et a publié un nouveau livre, « Le cours de sensibilité linguistique de la professeure Shin Ji-young », qui traite de la « communication » qui réduit la distance entre les relations et conduit à une vie plus heureuse.
Dans ce livre, il affirme que nous devons réapprendre à « parler » dans l'optique des relations pour le bonheur, plutôt que comme un moyen d'atteindre le succès, par exemple en matière d'emploi ou de promotion.
Il explique également qu'à l'ère de l'individualisation croissante, si l'on veut dépasser la déconnexion et le manque de communication et nouer des relations authentiques, il faut d'abord réfléchir à ses propres habitudes langagières et accroître sa sensibilité linguistique, qui est la clé pour ouvrir le cœur des autres.
À cette fin, il a fourni des méthodes pratiques pour construire de bonnes relations et, en fin de compte, atteindre le bonheur, notamment des techniques de conversation quotidienne, la communication intergénérationnelle, les questions linguistiques sur le lieu de travail pour une culture organisationnelle horizontale et comment surmonter les difficultés de communication, le tout avec de nombreux exemples.
L'analyse approfondie de l'auteur, fruit d'un examen minutieux des problématiques linguistiques au sein de notre société et d'une étude de l'humanité à travers l'exploration du langage, offrira un point de départ vers le changement à celles et ceux qui sont mal compris·es par un seul mot ou qui se sentent isolé·es et seuls·es à cause de la langue. Elle leur apprendra également à utiliser le langage comme un outil pour une vie meilleure.
Pourquoi le langage a besoin d'être modernisé
Un langage respectueux engendre une culture du respect.
Récemment, de nombreuses entreprises, notamment les principales entreprises coréennes, adoptent de plus en plus ce que l'on appelle « l'unification des titres ».
Quel que soit leur grade, tous, des stagiaires aux cadres supérieurs, s'appellent mutuellement par le titre de « nim ».
Il existe toutefois de légères différences dans les directives spécifiques, comme l'utilisation de surnoms ou de noms anglais au lieu de noms en fonction des caractéristiques de l'industrie et de la culture organisationnelle existante, ou la limitation des catégories à deux ou trois (pro, manager, etc.) tout en différenciant par titre de poste.
Mais qu'est-ce qui peut bien intéresser autant d'entreprises ?
On dit souvent que le langage est « un outil pour exprimer ses pensées et une convention sociale ».
Pour utiliser une langue, il faut comprendre les conventions de la société dans laquelle elle est employée et l'utiliser en conséquence.
Mais ces promesses ont toujours été faites dans le passé, elles contiennent donc toujours des pensées issues du passé.
De ce fait, nombre des langues que nous utilisons réellement contiennent des valeurs obsolètes et dépassées avec lesquelles nous ne sommes plus d'accord.
C'est l'utilisation d'un langage ancien qui véhicule des idées anciennes plutôt que des idées évoluées.
Par conséquent, nous finissons par dire des choses sans même y réfléchir, ce qui peut entraîner non seulement une rupture de la communication, mais aussi un facteur déclencheur de conflit.
Le professeur Shin Ji-young affirme : « Dans une entreprise, appeler un individu « M. OOO » plutôt que « Manager Ga » ou « Manager Ga » n’est pas seulement une tentative d’établir une structure organisationnelle horizontale, mais aussi un effort pour reconnaître les caractéristiques de l’individu et prêter attention à la diversité à travers le langage » (p. 178), et « La culture du lieu de travail ne peut pas changer avec un simple changement de mots, mais la culture du lieu de travail ne peut pas changer sans un changement de mots » (p. 182).
Le langage est un miroir qui reflète la culture, et un langage respectueux crée une culture du respect, et une culture du respect crée un langage respectueux.
Ce n'est pas une histoire qui se limite aux entreprises de soie.
Il existe d'innombrables mots utilisés si naturellement, y compris les titres professionnels, qui ne reflètent pas l'évolution des mœurs et deviennent les germes de conflits.
Nous devons désormais être attentifs aux pensées que reflètent en réalité les mots que nous utilisons habituellement, les mots que nous tenons pour acquis et que nous utilisons sans réfléchir.
Si les idées contenues dans notre langue sont figées dans le passé, si elles véhiculent un sentiment d'autorité et de discrimination, nous devons audacieusement rechercher le changement.
La langue a également besoin d'être modernisée.
Le langage n'est pas pour moi, mais pour communiquer avec les autres.
Les mots qui devraient disparaître vs.
Nouveaux mots à apprendre
Tout le monde a une ou deux mauvaises habitudes, qu'il s'agisse d'être en retard, de mal manger ou d'avoir une mauvaise posture.
Nous déployons beaucoup d'efforts pour changer les habitudes qui rendent notre quotidien inconfortable et perturbent l'ordre de notre vie.
Mais les gens ne se rendent pas compte des mauvaises habitudes de langage qui vont au-delà du simple malaise, ruinent les relations et mènent à l'isolement.
Un exemple typique est l'expression « non » utilisée pour entamer une conversation.
Souvent, nous entamons une conversation par un « non » involontaire pour changer de sujet ou attirer l'attention sur nous-mêmes, mais utiliser un mot négatif en début de conversation risque davantage de fermer l'esprit de l'autre personne.
Bien que cela puisse être efficace pour obtenir le droit de s'exprimer, cela peut transformer une conversation qui devrait être un « tiki-taga » en monologue et même ruiner de bonnes relations.
Il en va de même pour le terme « ajumma ».
« Ajumma » est un terme péjoratif pour « ajumma », et il suppose fondamentalement que la personne appelée est dégradée ; par conséquent, personne n'apprécie d'être appelé par ce terme.
D'après un sondage récent, le terme « ajumma » évoque des sentiments négatifs chez une femme sur trois de plus de 60 ans.
L'auteur explique que si vous pensez : « Quel est le problème à appeler une tante "tante" ? », vous devez vous préparer à une réaction désagréable de la part de l'autre personne ou à un sentiment de solitude.
Nous utilisons trop d'expressions de ce genre, que l'orateur ne souhaite pas employer, mais qui mettent l'auditeur mal à l'aise et qui nuisent à la communication, voire aux relations.
L'auteur examine les expressions linguistiques typiques qui ruinent les relations et mènent à l'isolement, en expliquant pourquoi elles sont incorrectes du point de vue de la sensibilité linguistique et en présentant des méthodes spécifiques pour utiliser la langue coréenne afin d'ouvrir la voie à des mots chaleureux.
Grâce à 35 suggestions, notamment sur la manière de s'adresser les uns aux autres en public, sur l'usage des formules de politesse, sur l'attitude à adopter lors de conversations plutôt que de monologues, et sur la formation à suivre pour éviter les disputes et se faire comprendre, vous serez en mesure de corriger vos mauvaises habitudes de communication et de trouver une nouvelle voie pour exprimer des paroles chaleureuses.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 31 mai 2024
Nombre de pages, poids, dimensions : 348 pages | 524 g | 145 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9791168341982
- ISBN10 : 1168341981
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Langue coréenne
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