
La Mer et le Magicien
Description
Introduction au livre
Un garçon de dix-huit ans qui a tout perdu à cause de la mer,
Un jour, une pierre magique est découverte dans la mer, et une grande transformation commence.
Lauréat du Prix Gran Angular de littérature jeunesse espagnole !
« La Mer et le Magicien », lauréat du prix Gran Angular, la plus prestigieuse récompense littéraire jeunesse d'Espagne, et salué comme « un récit vivant teinté de réalisme magique », a été publié dans le 82e numéro de la revue Changbi Youth Literature.
Et si un jour un tsunami dévastateur ravageait le monde, anéantissant tout, et que les survivants se retrouvaient contraints de vivre sur les toits des immeubles restés à flot ? Ce roman s’ouvre sur ce postulat, racontant avec finesse l’histoire initiatique de Rob, un garçon qui découvre la joie et l’amour des choses simples du quotidien.
La structure, qui débute par la réalité d'une catastrophe et aboutit au fantasme d'une « pierre magique », est intéressante, et le style poétique ainsi que les descriptions délicates sont remarquables.
Cette œuvre transmet une émotion douce, nous rappelant que la source du bonheur réside dans nos cœurs qui chérissent la vie.
Un jour, une pierre magique est découverte dans la mer, et une grande transformation commence.
Lauréat du Prix Gran Angular de littérature jeunesse espagnole !
« La Mer et le Magicien », lauréat du prix Gran Angular, la plus prestigieuse récompense littéraire jeunesse d'Espagne, et salué comme « un récit vivant teinté de réalisme magique », a été publié dans le 82e numéro de la revue Changbi Youth Literature.
Et si un jour un tsunami dévastateur ravageait le monde, anéantissant tout, et que les survivants se retrouvaient contraints de vivre sur les toits des immeubles restés à flot ? Ce roman s’ouvre sur ce postulat, racontant avec finesse l’histoire initiatique de Rob, un garçon qui découvre la joie et l’amour des choses simples du quotidien.
La structure, qui débute par la réalité d'une catastrophe et aboutit au fantasme d'une « pierre magique », est intéressante, et le style poétique ainsi que les descriptions délicates sont remarquables.
Cette œuvre transmet une émotion douce, nous rappelant que la source du bonheur réside dans nos cœurs qui chérissent la vie.
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Aperçu
indice
Préface à l'édition coréenne
La Mer et le Magicien
Note du traducteur
La Mer et le Magicien
Note du traducteur
Dans le livre
C'est incroyable de voir comment une enfant de sept ans peut apprendre quelque chose d'aussi insignifiant qu'une « catastrophe majeure » et le répéter sans cesse dans sa tête comme une sorte de mantra.
Catastrophe majeure.
Catastrophe majeure.
--- p.12~13
Il y a des gens qui tiennent à parler de la complexité de leur vie.
Comme si une vie compliquée était une vie qui vaille la peine d'être vécue.
Je suis désolé, mais je ne comprends pas l'intérêt d'une vie compliquée.
Pour moi, une vie simple et heureuse est bien plus riche.
--- p.74
Je n'aimais pas beaucoup Nicolas Garrido, même s'il avait l'air d'un type tout à fait ordinaire.
Peut-être parce qu'il n'est pas un survivant.
Peut-être qu'il veut tirer profit de notre histoire.
--- p.166
J'ai aperçu ma mère aux cheveux bouclés dans la mer.
Et papa.
Non, je vous ai entendu le dire.
Je crois que je criais le nom de quelqu'un.
Fuyant les mains mouillées de quelqu'un et emportée par le courant, j'ai crié mon nom ou celui de mon frère.
--- p.177
Elle posa sa tête sur mon épaule et murmura.
« Maintenant, je crois en l’amour. »
« L’amour nous rend meilleurs. »
Catastrophe majeure.
Catastrophe majeure.
--- p.12~13
Il y a des gens qui tiennent à parler de la complexité de leur vie.
Comme si une vie compliquée était une vie qui vaille la peine d'être vécue.
Je suis désolé, mais je ne comprends pas l'intérêt d'une vie compliquée.
Pour moi, une vie simple et heureuse est bien plus riche.
--- p.74
Je n'aimais pas beaucoup Nicolas Garrido, même s'il avait l'air d'un type tout à fait ordinaire.
Peut-être parce qu'il n'est pas un survivant.
Peut-être qu'il veut tirer profit de notre histoire.
--- p.166
J'ai aperçu ma mère aux cheveux bouclés dans la mer.
Et papa.
Non, je vous ai entendu le dire.
Je crois que je criais le nom de quelqu'un.
Fuyant les mains mouillées de quelqu'un et emportée par le courant, j'ai crié mon nom ou celui de mon frère.
--- p.177
Elle posa sa tête sur mon épaule et murmura.
« Maintenant, je crois en l’amour. »
« L’amour nous rend meilleurs. »
--- p.349
Avis de l'éditeur
Lauréat du Prix Gran Angular de littérature jeunesse espagnole !
Un récit vivant teinté de réalisme magique.
L'auteur nous emmène sur le toit même où Rob raconte son histoire.
Des personnages qui semblent encore vivre quelque part aujourd'hui nous captivent par leur amour, leur aventure et leur magie.
— Commentaires du jury du Gran Angular Award
Là où la magie devient réalité
Nous vous invitons dans un village perché sur un toit-terrasse surplombant la mer.
Patricia García Rojo, reconnue comme une écrivaine talentueuse grâce à ses prix littéraires jeunesse espagnols, tels que le prix Andalousie et le prix Gran Angular, emmène les lecteurs dans un village sur les toits plein d'amour et d'aventure dans « La Mer et le Magicien ».
Il y a le personnage principal, Rob, qui se réveille chaque matin au soleil et commence sa journée en nageant.
Rob n'avait que sept ans lorsque le tsunami a frappé il y a onze ans.
Il est resté dans le refuge, un gymnase polyvalent, attendant désespérément que sa famille vienne le chercher, mais finalement, il a dû accepter la douloureuse vérité que personne ne viendrait.
Aujourd'hui âgé de dix-huit ans, Rob vit comme un « chasseur de trésors » dans un village sur les toits d'une ville engloutie par la mer.
Il gagne sa vie en récupérant des objets utilisables dans des bâtiments submergés sous le niveau de la mer, et son cœur s'emballe à cause de son béguin pour sa voisine, Lana.
Puis un jour, comme d'habitude, une mystérieuse pierre crachant une fumée rose apparaît devant Rob, qui plonge dans la mer.
J'ai tendu la main pour l'obtenir.
Je ne pouvais pas le supporter.
J'ai touché une pierre.
Il faisait chaud et une légère fumée en spirale s'en dégageait.
Je savais que la pierre tiendrait parfaitement dans ma main.
Je l'ai ramassé.
—Page 105
Pour les habitants du Village des Toits, la mer est un lieu où se produisent des choses mystérieuses que la raison seule ne peut expliquer.
Certains voient les âmes des victimes dans la mer, tandis que d'autres rencontrent des sirènes.
La pierre rose qui est arrivée à Rob possède elle aussi des pouvoirs magiques.
Quel nouveau monde la pierre magique ouvrira-t-elle à Rob ? Après la douloureuse réalité de la perte de sa famille à un jeune âge, Rob plonge dans la magie mystique de la mer et se lance dans une aventure incroyable.
« La magie existait, et Lana m’aimait. »
La vraie magie, c'est que nous sommes vivants et que nous nous aimons les uns les autres.
Après avoir obtenu la pierre magique, Rob se retrouve mêlé à une série d'événements palpitants.
Il découvre une amante secrète dans le village sur les toits et attire l'attention excessive d'une mystérieuse petite fille.
Ils se livrent également à des luttes de pouvoir avec d'autres chasseurs de trésors.
Mais le plus intéressant, c'est qu'il a découvert le complot du producteur de télévision Nicolas Garrido.
Nicolas Garrido souhaite réaliser un documentaire sur les villageois vivant sur les toits et ayant survécu à une catastrophe naturelle.
Mais Rob n'aime pas la façon dont il essaie de commercialiser la tragédie.
De plus, grâce à la pierre magique, nous apprenons que Nicolas Garrido a une autre véritable raison de venir au village sur le toit.
En déjouant le complot de Nicolas Garrido, Rob rencontre le sorcier Mul, le propriétaire originel de la pierre magique, se rapproche de ses voisins et confirme les sentiments de Lana, pour qui il a le béguin depuis longtemps.
À travers les adorables amoureux Lana et Rob et les différents incidents vécus par Rob, l'auteur transmet avec brio que la véritable magie qui s'offre à Rob n'est autre que « l'amour ».
L’amour que Rob partageait avec Lana, ses amis et ses voisins était la véritable magie qui rendait les jours ordinaires précieux.
Une simple communauté formée par des survivants après la catastrophe
Une histoire qui nous rappelle la valeur d'une vie simple.
Un autre atout de cette œuvre est qu'elle nous rappelle la valeur de la simplicité de la vie et de la communauté.
Rob se souvient qu’au cours des 11 années qui ont suivi la catastrophe, il a « vu des gens que je ne connaissais pas devenir des familles » (p. 34).
La mer a emporté des êtres chers, mais ceux qui restent puisent leur force dans le réconfort et l'empathie.
Les touristes visitent désormais le village sur les toits.
Le deuil des survivants est devenu un « produit d'expérience » pour les autres.
Les gens du continent viennent en bateau et les regardent « comme s’il s’agissait d’animaux dans un zoo » (p. 11).
Mais ce qui importe pour eux, ce n'est pas le regard des gens du continent, mais la solidarité de vivre ensemble en partageant la douleur du passé.
L'argent ne leur sert à rien, et ils n'ont pas besoin de choses comme des téléviseurs ou des téléphones portables.
Maintenir la tradition de déjeuner ensemble tous les dimanches et de terminer la journée paisiblement est le plus grand bonheur.
Ce bonheur est presque anéanti par le complot de Nicolas Garrido, mais Rob le résout avec brio et en ressort encore plus grandi.
« J’aime à penser… »
« J’aime imaginer des chemins faciles vers le bonheur. »
« Vers le bonheur ? »
«Parfois, nous sommes trop compliqués.»
Nous voulons quelque chose et nous en voulons plus.
Le bonheur est bien plus simple, vous savez. — Pages 285-286
L'auteure Patricia Garcia-Rojo, à travers le protagoniste Rob, dit : « Malgré leurs innombrables défauts, les humains connaissent toujours la réponse au bonheur » (p. 349).
Le message selon lequel le bonheur réside dans une vie simple réchauffe le cœur des lecteurs.
Un récit vivant teinté de réalisme magique.
L'auteur nous emmène sur le toit même où Rob raconte son histoire.
Des personnages qui semblent encore vivre quelque part aujourd'hui nous captivent par leur amour, leur aventure et leur magie.
— Commentaires du jury du Gran Angular Award
Là où la magie devient réalité
Nous vous invitons dans un village perché sur un toit-terrasse surplombant la mer.
Patricia García Rojo, reconnue comme une écrivaine talentueuse grâce à ses prix littéraires jeunesse espagnols, tels que le prix Andalousie et le prix Gran Angular, emmène les lecteurs dans un village sur les toits plein d'amour et d'aventure dans « La Mer et le Magicien ».
Il y a le personnage principal, Rob, qui se réveille chaque matin au soleil et commence sa journée en nageant.
Rob n'avait que sept ans lorsque le tsunami a frappé il y a onze ans.
Il est resté dans le refuge, un gymnase polyvalent, attendant désespérément que sa famille vienne le chercher, mais finalement, il a dû accepter la douloureuse vérité que personne ne viendrait.
Aujourd'hui âgé de dix-huit ans, Rob vit comme un « chasseur de trésors » dans un village sur les toits d'une ville engloutie par la mer.
Il gagne sa vie en récupérant des objets utilisables dans des bâtiments submergés sous le niveau de la mer, et son cœur s'emballe à cause de son béguin pour sa voisine, Lana.
Puis un jour, comme d'habitude, une mystérieuse pierre crachant une fumée rose apparaît devant Rob, qui plonge dans la mer.
J'ai tendu la main pour l'obtenir.
Je ne pouvais pas le supporter.
J'ai touché une pierre.
Il faisait chaud et une légère fumée en spirale s'en dégageait.
Je savais que la pierre tiendrait parfaitement dans ma main.
Je l'ai ramassé.
—Page 105
Pour les habitants du Village des Toits, la mer est un lieu où se produisent des choses mystérieuses que la raison seule ne peut expliquer.
Certains voient les âmes des victimes dans la mer, tandis que d'autres rencontrent des sirènes.
La pierre rose qui est arrivée à Rob possède elle aussi des pouvoirs magiques.
Quel nouveau monde la pierre magique ouvrira-t-elle à Rob ? Après la douloureuse réalité de la perte de sa famille à un jeune âge, Rob plonge dans la magie mystique de la mer et se lance dans une aventure incroyable.
« La magie existait, et Lana m’aimait. »
La vraie magie, c'est que nous sommes vivants et que nous nous aimons les uns les autres.
Après avoir obtenu la pierre magique, Rob se retrouve mêlé à une série d'événements palpitants.
Il découvre une amante secrète dans le village sur les toits et attire l'attention excessive d'une mystérieuse petite fille.
Ils se livrent également à des luttes de pouvoir avec d'autres chasseurs de trésors.
Mais le plus intéressant, c'est qu'il a découvert le complot du producteur de télévision Nicolas Garrido.
Nicolas Garrido souhaite réaliser un documentaire sur les villageois vivant sur les toits et ayant survécu à une catastrophe naturelle.
Mais Rob n'aime pas la façon dont il essaie de commercialiser la tragédie.
De plus, grâce à la pierre magique, nous apprenons que Nicolas Garrido a une autre véritable raison de venir au village sur le toit.
En déjouant le complot de Nicolas Garrido, Rob rencontre le sorcier Mul, le propriétaire originel de la pierre magique, se rapproche de ses voisins et confirme les sentiments de Lana, pour qui il a le béguin depuis longtemps.
À travers les adorables amoureux Lana et Rob et les différents incidents vécus par Rob, l'auteur transmet avec brio que la véritable magie qui s'offre à Rob n'est autre que « l'amour ».
L’amour que Rob partageait avec Lana, ses amis et ses voisins était la véritable magie qui rendait les jours ordinaires précieux.
Une simple communauté formée par des survivants après la catastrophe
Une histoire qui nous rappelle la valeur d'une vie simple.
Un autre atout de cette œuvre est qu'elle nous rappelle la valeur de la simplicité de la vie et de la communauté.
Rob se souvient qu’au cours des 11 années qui ont suivi la catastrophe, il a « vu des gens que je ne connaissais pas devenir des familles » (p. 34).
La mer a emporté des êtres chers, mais ceux qui restent puisent leur force dans le réconfort et l'empathie.
Les touristes visitent désormais le village sur les toits.
Le deuil des survivants est devenu un « produit d'expérience » pour les autres.
Les gens du continent viennent en bateau et les regardent « comme s’il s’agissait d’animaux dans un zoo » (p. 11).
Mais ce qui importe pour eux, ce n'est pas le regard des gens du continent, mais la solidarité de vivre ensemble en partageant la douleur du passé.
L'argent ne leur sert à rien, et ils n'ont pas besoin de choses comme des téléviseurs ou des téléphones portables.
Maintenir la tradition de déjeuner ensemble tous les dimanches et de terminer la journée paisiblement est le plus grand bonheur.
Ce bonheur est presque anéanti par le complot de Nicolas Garrido, mais Rob le résout avec brio et en ressort encore plus grandi.
« J’aime à penser… »
« J’aime imaginer des chemins faciles vers le bonheur. »
« Vers le bonheur ? »
«Parfois, nous sommes trop compliqués.»
Nous voulons quelque chose et nous en voulons plus.
Le bonheur est bien plus simple, vous savez. — Pages 285-286
L'auteure Patricia Garcia-Rojo, à travers le protagoniste Rob, dit : « Malgré leurs innombrables défauts, les humains connaissent toujours la réponse au bonheur » (p. 349).
Le message selon lequel le bonheur réside dans une vie simple réchauffe le cœur des lecteurs.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 26 février 2018
Nombre de pages, poids, dimensions : 356 pages | 484 g | 152 × 210 × 18 mm
- ISBN13 : 9788936456825
- ISBN10 : 8936456822
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