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Lire les Analectes à cinquante ans
Lire les Analectes à cinquante ans
Description
Introduction au livre
La vie est désormais une question de direction, pas de vitesse !
60 Analectes de Confucius qui comblent le vide et apportent légèreté, choisis par 200 000 personnes

Le livre qui a conquis le cœur des quinquagénaires ayant vécu sans relâche, « Lire les Analectes à cinquante ans », est de retour dans une édition révisée et augmentée, encore plus approfondie.
Cinq ans après sa publication, 100 tirages et 200 000 votes de lecteurs témoignent de son importance.

Cette édition révisée et augmentée s'appuie sur les 50 poèmes des Analectes de Confucius de la première édition et sur des histoires qui trouvent un écho chez les personnes d'une cinquantaine d'années, et ajoute 10 nouveaux poèmes soigneusement sélectionnés dans les Analectes de Confucius pour donner un aperçu des préoccupations rencontrées par les personnes d'une cinquantaine d'années et de la direction qu'elles devraient prendre à l'avenir.
Il a été réalisé en 60 mouvements, comprenant 10 préoccupations (fluidité, force, effort, raison, esprit, attitude, courtoisie, choix, justice et transition) auxquelles les personnes dans la cinquantaine sont réellement confrontées aujourd'hui.
À l'instar des Analectes de Confucius, qui ont été remaniés et enrichis au fil du temps, cet ouvrage renaît sous la forme d'un classique parfaitement adapté aux quinquagénaires d'aujourd'hui.

Pourquoi lire les Analectes, ce classique vieux de 2 500 ans, maintenant, à cinquante ans ? Pourquoi résonne-t-il encore en nous après toutes ces années ? L’auteur Choi Jong-yeop, qui donne plus de cent conférences en sciences humaines par an, partage depuis longtemps les enseignements de Confucius.
Il affirme que les Analectes ne sont pas un classique réservé à des personnes exceptionnelles, mais plutôt une « compétence de sagesse » dont les gens ordinaires ont besoin pour mener une vie ordinaire.

Confucius n'entra en politique qu'après avoir dépassé la cinquantaine, mais il dut errer dans un pays étranger au milieu de sa soixantaine sans rien accomplir.
Néanmoins, il ne se découragea pas, mais continua à étudier avec assiduité et suivit tranquillement son propre chemin.
Et à l'âge de soixante-dix ans, il résuma sa vie ainsi :

« Mon chemin est unique. »
« J’ai suivi mon chemin avec constance jusqu’à présent, imperturbable face aux aléas du monde (吾道一以貫之). » Ce qui importe maintenant, à cinquante ans, ce n’est pas d’aller plus vite, mais de suivre une direction plus précise.
Cinquante ans est le meilleur âge pour commencer à étudier et à vivre de manière régulière.
Il n'y a plus lieu de s'inquiéter.
Maintenant, il me suffit de trouver le chemin que je souhaite et de le suivre jusqu'au bout.
« Lire les Analectes à cinquante ans » sera le point de départ.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
Préface à l'édition révisée et augmentée : L'espoir pour les 20 prochaines années
Préface à la première édition : Combler le vide des Cinquante avec les Analectes

Leçon 1 : Les paroles de Confucius aux cinquante vides : La signification du nombre cinquante

Quand j'ai besoin de trouver mon chemin caché_Fifty
La voie pour sortir de la haine des années cinquante_Stratégie
L'argent ne résout que la moitié du problème_biens
La crise numéro un à surmonter à la cinquantaine : la santé
La piété filiale est une question de vie quotidienne et une question de cœur.
Ne vous précipitez pas et ne vous souciez pas des petits profits._Direction
Tout le monde ne peut pas atteindre le même niveau_Carrière
Connaissez le chemin à suivre et empruntez-le avec constance._Centre
S'il fleurit, qu'il porte des fruits.
Tenez-vous droit et laissez les autres vous imiter.

Leçon 2 : Penser sur les épaules des géants – La sagesse des cinquante ans

À cinquante ans, il faut se retrouver en soi-même.
Apprendre, être ensemble et être inébranlable_Leader
Que faire ? Le pouvoir de penser par soi-même_Contemplation
Principes de vie : Tenir mes promesses
Connaître sa vocation, connaître ses bonnes manières, connaître ses mots_critère
Vivre une seule journée comme un être humain_passion
Apprendre du passé pour comprendre le présent_Apprentissage
Savoir clairement ce que l'on sait et ce que l'on ne sait pas_Connaissance
Si vous ne l'avez pas encore réglé, il est temps de vous inquiéter.
Faut-il privilégier le profit ou l'intérêt public ?_Le profit

La force de maintenir une vie instable : l'équilibre de cinquante ans

Un chef-d'œuvre est une œuvre qui allie une belle décoration à de bonnes fondations._Harmonie
Une volonté inébranlable et des rêves indestructibles
Il est erroné de connaître une erreur et de ne pas la corriger.
Une seule vertu suffit_dignité
Faites d'abord le plus dur, vous récolterez les fruits de votre travail plus tard._Entraînement
Nous avons aussi besoin de loisirs pour écrire de la poésie et chanter pour le plaisir.
Devoirs à faire à la moitié de la vie_Moitié
À partir de cinquante ans, la vie d'une personne est une bonne voie
Les bons comme les mauvais enseignants
Dans la seconde moitié de ma vie, tout est de ma responsabilité.

La voie pour vivre pleinement ce que l'on voit et sait : la force intérieure de cinquante ans

Si tu n'aimes pas être maudit, ne maudis pas_l'amour
Une personne capable de provoquer le changement en toutes circonstances - un navire
Voir clairement et entendre clairement_Basique
Il n'y a pas de tombe sans excuse_Excuse
Confucius, qui aimait apprendre_L'apprentissage
D'une vie qui est poussée à une vie qui est poussée_led
Une personne qui sait accepter ses erreurs_conscience de soi
L'abandon crée de la discrimination_Forward
Connaître, aimer et apprécier les devoirs
D'une vie de solitude à une vie de partage_public

Leçon 5 : Ce qu’il faut pour aller loin lentement – ​​Le courage de cinquante ans

Ne fixez pas de limite à l'avance et dites non_Positive
Concentrez-vous sur ce que vous pouvez faire dès maintenant.
Étudier avec enthousiasme et crainte_Deuil
Le pouvoir de la répétition pour vaincre la nature_Répétition
Pensez encore un peu plus loin_Wonryeo
Un hier difficile crée un aujourd'hui confortable_Vision
Lorsque le soleil se lève, la paille humide doit être séchée._Détermination
Si vous vous contentez d'y penser sans apprendre, c'est une méthode dangereuse.
L'âge le plus approprié pour faire le bilan et planifier les opportunités
Une personne sans passion est une batterie morte.

Leçon 6 : La dernière leçon de Confucius pour une vie meilleure_La vie à cinquante ans

Comme une rivière qui coule sans s'arrêter_flow
Le pin et le blanc ne se flétrissent jamais_Force
Quand on cesse d'apprendre, la vie s'arrête._Effort
Pourquoi nous faisons ce que nous faisons
Si vous n'êtes pas gentil, cela ne sert à rien.
Équilibre de vie : Tao, vertu, intégrité et bienséance
Si seulement il existait une école qui enseignait les bonnes manières en matière de honte
C'est le moment de trouver ce que vous aimez faire.
Donc, plus de justice urgente_justice
Sur le chemin de A à B_Transition

Conclusion : Les Analectes de Confucius : Un guide pour ma vie

Image détaillée
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Dans le livre
À cinquante ans, nombreuses sont les personnes qui démissionnent ou sont poussées vers la sortie de leur entreprise.
Même si vous attendez la retraite, vous finirez par partir vers l'âge de soixante ans.
Le retrait des liens sociaux entraîne également des problèmes de santé mentale.
Ils se sentent étrangers au traitement et à la reconnaissance qu'ils ont reçus, et se retrouvent dans une situation où ils recherchent l'estime de soi et l'autorité.
Avec l'augmentation de la distanciation sociale, un cercle vicieux se met en place, entraînant des problèmes de santé mentale et, à terme, une détérioration de la santé physique.
Quelles que soient les valeurs de l'espérance de vie et des scores de santé, si elles s'écartent de la santé réelle, ce ne sont que des chiffres vides de sens.
S'il y a bien une chose que les quinquagénaires doivent surmonter, c'est la santé.
--- Extrait de « La plus grande crise à surmonter à cinquante ans »

Cinquante ans, maintenant je réfléchis à la direction à prendre.
Laissant derrière moi la compétition effrénée, je ralentis le rythme et réfléchis à mes objectifs pour la seconde moitié de ma vie.
Accepter une retraite anticipée à cinquante ans n'est pas facile, mais à bien y réfléchir, ce n'est pas si fatal que cela ruinera votre vie.
Accepter la retraite à soixante ans peut donner un sentiment de vide et engendrer une impression de perte, à la fois grande et petite, mais ce sentiment n'est pas suffisamment puissant pour vous dissuader de relever de nouveaux défis.
Même si votre santé n'est plus ce qu'elle était après cinquante ou soixante ans, ce n'est pas suffisamment grave pour anéantir vos espoirs d'avenir.
--- Extrait de « Ne vous précipitez pas et ne vous souciez pas des petits profits »

Si vous blâmez quelqu'un en ce moment, c'est parce que vous voulez trouver la cause chez cette autre personne.
Si je cherche des excuses pour expliquer qui je suis aujourd'hui, c'est que je suis faible.
Peu importe qu'il s'agisse de vos parents, de vos frères et sœurs, de votre patron ou de vos amis.
Si je ne bouge pas, le monde ne me donnera rien.
Si vous ne faites que prendre ce qui vous est donné, vous mourrez de faim si vous ne donnez pas.
Il en va de même pour le travail et les revenus.
Si vous vous contentez de faire le travail qu'on vous confie, un jour vous n'aurez plus de travail.
Si vous vous contentez de prendre ce que vous donnez, vos revenus finiront par s'arrêter.
--- Extrait de « À cinquante ans, vous devez le trouver en moi »

À l'approche de la cinquantaine, on commence à se remémorer sa vie.
C’est seulement alors que je réalise combien il est difficile de vivre selon les principes que je me suis fixés.
Une vie heureuse n'est pas forcément une vie exceptionnelle.
Les personnes les plus riches ne sont pas forcément les plus heureuses.
Si vous voulez devenir riche et vivre à la campagne, sachez que les gens qui vivent à la campagne sont déjà des gens heureux.
Les gens ordinaires aspirent à être exceptionnels, mais les gens exceptionnels rêvent du petit bonheur des gens ordinaires.
Il n'y a pas de réponses toutes faites dans la vie.
Mais une vie de principes, surtout ceux que vous vous fixez à vous-même
Une vie qui adhère silencieusement aux principes de la vie sera assurément belle et heureuse.
--- Extrait de « Une vie à tenir mes promesses »

Les qualités d'un gentleman commencent par l'instruction et la bienveillance, et ses qualités littéraires se révèlent dans son langage et son étiquette.
Le moi intérieur d'un être humain n'est pas quelque chose d'inné, mais il s'approfondit et se renforce en fonction de ce qu'il apprend et de la manière dont il le pratique.
Nous apprenons et évoluons donc tout au long de notre vie.
Une porte n'est pas qu'un simple élément de décoration ; elle se complète par les mots, l'attitude et la courtoisie.
Ce n'est que lorsque la profondeur de son être intérieur est fermement établie et que son expression extérieure l'embrasse harmonieusement que l'on peut devenir un véritable gentleman.
--- Extrait de « Un produit de luxe est un produit qui possède une belle décoration et une bonne base »

Cultiver la vertu, c'est reconnaître et accepter la vie que nous partageons comme un destin commun.
C'est une façon d'échapper à la solitude et à la vie solitaire.
Le secret pour avoir de bons voisins ne réside pas chez les voisins, mais en moi.
Le moyen de rencontrer de bonnes personnes ne se trouve pas en elles, mais en moi.
Le moyen de regagner l'amour de mes frères et sœurs ne réside pas en eux, mais en moi.
La façon de se faire aimer des personnes âgées et des clients ne dépend pas d'eux, mais de moi.
Le moyen de transformer un passé solitaire en un avenir sans solitude ne réside pas dans l'environnement, mais dans mon cœur.
--- Extrait de « Une seule vertu suffit »

Quand vous aurez soixante ans, vous repenserez certainement à vos cinquante ans et vous aurez des regrets.
Si seulement j'avais dix ans de moins, je pourrais tout recommencer, mais je regretterai de ne pas l'avoir fait il y a dix ans.
Nous pouvons apprendre de Confucius comment briser ce cycle de regrets et de chagrin qui dure depuis des milliers d'années.
Les enseignements de Confucius étaient sincères.
On dit que si votre cœur est sincère, rien ne vous est impossible.
C'est une solution que nous connaissons déjà.
C'est peut-être une méthode trop ordinaire.
Il y a peut-être une meilleure solution, mais comme la situation est désespérée, je n'ai pas d'autre choix que de faire semblant d'être dupe et d'y croire.
Nous devons donc nous arrêter maintenant.
Nous devons arrêter de trouver des excuses et réfléchir.
Si vous trouvez des excuses en prétextant être occupé maintenant et que vous dépassez l'âge de cinquante ans, vous regretterez tout ce que vous ferez à soixante ans.
Si vous dépassez l'âge de soixante ans, vous arriverez à soixante-dix ans, ce qui vous apportera à nouveau des regrets.
Exactement comme cette chanson il y a 2 500 ans.
--- Extrait de « Il n'y a pas de tombe sans excuse »

Confucius disait souvent ceci :
« Hormis An Hui, qui n’a pas laissé sa colère prendre le dessus et n’a pas répété les mêmes erreurs, je n’ai jamais vu personne qui ait pris conscience de ses erreurs et y ait sincèrement réfléchi. »
Tout le monde peut faire des erreurs, mais si vous faites une erreur et que vous ne la corrigez pas, c'est ça la vraie erreur.
Si vous faites une erreur, n'hésitez pas à la corriger immédiatement.
Les erreurs surviennent généralement lorsqu'on se croit dans le vrai, et reconnaître ses propres erreurs revient à connaître l'humanité.
« De plus, un gentleman est quelqu’un qui a honte de dire des choses difficiles à mettre en pratique. »
--- Extrait de « Une personne qui sait accepter ses erreurs »

Il ne faut pas étudier sans réfléchir.
De même que les devoirs doivent être faits même en cas d'inconfort, les études des personnes dans la cinquantaine devraient se concentrer principalement sur l'apprentissage pour adultes qui renforce leur expertise.
Même si vous ne lisez qu'un seul livre, il doit y avoir une cohérence.
Vous devez définir clairement l'objectif de votre étude et de votre lecture.
Il est essentiel de savoir « pourquoi » une expertise dans un domaine donné est nécessaire.
Car la seconde moitié de votre vie pourrait bien en être déterminée.
--- Extrait de « Il est dangereux de se contenter de penser sans apprendre »

Il n'est jamais trop tard pour recommencer à cinquante ans.
Parce que cinquante ans, c'est encore vingt ans avant d'avoir soixante-dix ans.
Parce que c'est exactement la même chose qu'il y a 20 ans, quand j'avais hâte d'avoir 50 ans à l'âge de 30 ans.
Il n'est jamais trop tard pour être courageux à cinquante ans.
Car cinquante ans est notre dernière chance de laisser une vie merveilleuse à nos enfants, à l'image de nos parents qui ont vécu des vies merveilleuses et ont été un exemple pour nous.
Cinquante ans est un très bon âge pour commencer.
--- Extrait de « L'âge le plus approprié pour se retourner sur son passé et planifier »

« Ce n’est qu’à l’arrivée de l’hiver qu’on se rend compte que les pins et les cèdres se dessèchent tardivement. »
Cela signifiait que ce n'est que dans les moments difficiles que la véritable volonté, la fermeté et l'intégrité pouvaient se révéler.
Confucius voulait que ses disciples soient comme Pine et Bai.
J'espère que vous aurez un caractère fort qui ne fléchira devant aucune situation ni crise, à l'image des pins et des cèdres qui ne perdent pas leur verdure même dans le froid rigoureux du cœur de l'hiver.
J’espère que vous ne serez pas un disciple qui prospère en été, lorsque la croissance est bonne, puis qui se dessèche à l’arrivée de l’hiver, mais un disciple capable de rester ferme face aux épreuves et à l’adversité.
--- Extrait de « Pine and Baek Never Wither »

On se demande souvent : « Qu'est-ce qu'une belle vie ? »
Et je veux trouver la réponse, et je veux la retrouver encore et encore, et je veux la bonne réponse, celle dont je puisse être sûr.
Mais la réponse de Confucius était concise.

« J’aimais tout simplement les objets anciens et j’ai travaillé dur pour les obtenir. »

On dit qu'il se contentait d'étudier, d'organiser, d'appliquer et de mettre en pratique les précieuses connaissances créées par les anciens, et de les enseigner à ses disciples.
Hogo (好古), qui signifie aimer les vieilles choses, signifie hohak (好學), qui signifie aimer apprendre.
L'expression « min-i-gu-ji-ja-ya (敏以求之者) » signifie quelqu'un qui le recherche rapidement, et cela signifie qu'il l'a étudié avec diligence, l'a organisé, l'a appliqué et l'a mis en pratique.
C'est l'autobiographie de quelqu'un qui a vécu toute sa vie avec cette attitude.
C'est tout.
Ce n'est pas parce que j'étais spéciale que je suis devenue adulte, mais parce que j'aimais apprendre et que je m'y consacrais avec assiduité, je suis devenue une adulte spéciale.
Telle fut la réponse de Confucius.
--- Extrait de « Quand on cesse d'apprendre, la vie s'arrête »

Avis de l'éditeur
Meilleure vente de tous les temps
Les Analectes de Confucius pour les quinquagénaires, édition révisée et augmentée

Publié il y a 5 ans, 100e tirage, 200 000 exemplaires vendus.
« Les Analectes de Confucius pendant cinquante ans » est un livre qui a été aimé par d'innombrables lecteurs, accueillant chaleureusement leur vide intérieur.
Le livre est de retour dans un nouveau format.
Les classiques ne vieillissent jamais.
Il convient toutefois de la relire pour l'adapter à l'époque.
Tout comme les Analectes ont été édités et enrichis au fil du temps, cette édition révisée et augmentée renaît elle aussi en tant que classique qui insuffle une nouvelle vie à notre époque, vieille de cinquante ans.
En plus des 50 Analectes existants, nous avons ajouté 10 nouveaux poèmes abordant des préoccupations réalistes afin de rendre la sagesse de Confucius plus applicable à la vie d'aujourd'hui.
Mais pourquoi devrions-nous lire les Analectes, surtout à cinquante ans ? Cinquante ans, c'est un âge où l'on a déjà parcouru un long chemin, mais il en reste encore beaucoup à faire.
Mais à ce stade, la vie devient encore plus sombre.
L'argent, la santé et les relations sont tous ébranlés, et vous commencez à vous demander si vous êtes sur la bonne voie.
Jusqu'à quarante ans, on pouvait trouver des excuses, mais à partir de cinquante ans, ce n'est plus possible.
Maintenant, c'est une question de direction.
L'auteur Choi Jong-yeop a donné plus de 1 000 conférences sur les Analectes.
Il dit.

« Les Analectes de Confucius ne sont pas un livre réservé à des personnes privilégiées, mais un livre que les gens ordinaires devraient lire au quotidien. »

Fort de cette conviction, il reformule le message de Confucius dans un langage pratique adapté à la vie d'un homme de cinquante ans.
Confucius a dit : « Ma voie est à sens unique. »
Ce qui compte dans la vie, ce n'est pas la vitesse, mais la direction, et cette direction découle d'une norme constante.
Si vous souhaitez changer de vie après 50 ans, vous devez d'abord décider sur quelle voie vous voulez orienter votre existence.
« Les Analectes de Confucius pour les quinquagénaires » présentent une orientation et une philosophie de vie centrale qui permettront à ceux qui se trouvent confrontés à cette question d'avancer avec assurance.

Maintenant, la vie est
Ce n'est pas la vitesse qui compte, c'est la direction !

Les Analectes n'ont pas été écrits par Confucius lui-même.
Il s'agit d'un compte rendu des conversations entre Confucius et ses disciples, lors de leurs repas, de leurs promenades et du partage de leurs vies.
On peut donc dire que les Analectes sont un « livre du peuple » plutôt qu’un livre de philosophie.
Si les Analectes de Confucius sont encore lus aujourd'hui, des milliers d'années plus tard, c'est parce qu'ils contiennent des mots du quotidien qui nous aident à nous accrocher à nouveau à la vie.
« Lire les Analectes à cinquante ans » réinterprète cela pour l’adapter à l’âge de cinquante ans.
Ces cinquante années sont le moment de faire une pause dans la vitesse à laquelle nous avons couru et de nous demander à nouveau où nous devrions aller désormais.
J'ai vécu ma vie en ne regardant que vers l'avenir, prise dans le tourbillon des responsabilités et des rôles, repoussant sans cesse la question du « pourquoi », et voilà que j'ai maintenant la cinquantaine.
Mais la vie n'est pas un marathon.
Même si vous courez longtemps, si vous allez dans la mauvaise direction, vous devez faire demi-tour.
Ce dont nous avons besoin maintenant, ce n'est pas de vitesse, mais de la bonne direction.
Les Analectes de Confucius nous demandent une direction, nous la réaffirment et nous incitent à la mettre en pratique chaque jour.

« Si vous ne pensez pas à long terme, il y aura toujours des soucis à proximité. »
« Les gens naissent avec une nature similaire, mais ils deviennent complètement différents à force de répétition (性相近也 習相遠也). »
« Tournez votre esprit vers le Chemin, fiez-vous à la vertu, fiez-vous à l’humanité et jouez avec les convenances. »

Les paroles de Confucius deviennent l'axe central de la vie.
Ce livre explique ces normes de manière à ce que les quinquagénaires d'aujourd'hui puissent les mettre en pratique.
« Lire les Analectes à cinquante ans » est un livre qui réaffirme le rôle des classiques comme norme de vie.
Ainsi, les Analectes de Confucius ne semblent pas être un simple vieux proverbe.
Lorsque nous lisons des livres, nous nous posons les questions suivantes :
« Selon quelles normes je vis et que répète-je ? » demandait Confucius.
Ce livre vous aide à choisir cette répétition à nouveau.
Elle établit la norme, définit la direction et nous guide pour que cela continue.

Choisi par 200 000 personnes
Les 60 maximes de Confucius

L'édition révisée et augmentée des « Entretiens de Confucius pour les cinquante ans » a été réorganisée en 60 chapitres répartis en 6 parties, par l'ajout de 10 chapitres aux 50 chapitres originaux.
Le contenu a été enrichi d'un focus sur des sujets auxquels les personnes dans la cinquantaine sont réellement confrontées dans divers aspects de leur vie, notamment le flow, la force, l'effort, la raison, l'esprit, l'attitude, les bonnes manières, le choix, la justice et la transition.
Chaque numéro commence par un court proverbe et une histoire confucéenne, puis éclaire la vie tumultueuse après cinquante ans, de la vie après la retraite au soutien des parents et des enfants qui deviennent indépendants, en passant par les défis du maintien de soi dans les relations.
Confucius disait qu'à trente ans il était ferme (而立), à quarante ans il était inébranlable (不惑), et à cinquante ans il connaissait le mandat du ciel (知天命).
Cela signifie qu'il a trouvé sa propre voie.
Maintenant, la cinquantaine est plus fragile et plus instable.
Mais, à l'instar de Confucius, je dois désormais décider de la direction que je veux prendre dans la vie et m'y tenir.
Ainsi, les paroles des Analectes nous servent de guide aujourd'hui.
En cette ère d'incertitude et de confusion, les Analectes de Confucius deviennent l'axe central de la vie.

Ce livre est la force qui fait toute la différence.
La vie de ceux qui vivent chaque jour avec les Analectes à leurs côtés et celle de ceux qui ne le font pas changent peu à peu.
La différence n'est pas évidente aujourd'hui, mais elle se manifestera dans les expressions, les attitudes, les mots et les relations d'ici dix ans.
Pour ceux qui ont la cinquantaine, à mi-chemin de leur vie, et qui se demandent quels principes suivre, les Analectes de Confucius offrent encore une sagesse valable.
Si vous voulez vivre sans perdre votre équilibre même face aux turbulences, si vous voulez vous accrocher aux aléas de la vie, si vous voulez combler le vide et la légèreté que vous ressentez à cinquante ans, alors « Lire les Analectes à cinquante ans » est un livre que vous devez garder à vos côtés.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 4 juin 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 364 pages | 472 g | 142 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9791171831104
- ISBN10 : 1171831102

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