
Lettre aux investisseurs de Marathon
Description
Introduction au livre
Ce livre présente des stratégies d'investissement en actions basées sur l'analyse du cycle des capitaux réalisée par la société de gestion d'actifs mondiale Marathon Asset Management.
Nous avons compilé 60 des rapports les plus pertinents rédigés par les experts en investissement de Marathon.
Edward Chancellor, qui bénéficie d'un lectorat fidèle en Corée, l'a édité et y a même ajouté une préface.
Pour bien comprendre les investissements, il faut analyser les flux financiers.
L'argent (le capital) a tendance à affluer vers les entreprises à forte rentabilité.
Paradoxalement, cependant, à mesure que l'argent s'accumule, la rentabilité diminue.
L'argent disparaîtra alors immédiatement.
Cela ne devient visible que lorsqu'on perd de l'argent.
C’est là le véritable avantage concurrentiel de l’entreprise, qui lui permet de surmonter même les difficultés.
Dans ce processus cyclique de circulation des capitaux, le marathon découvre la « réponse » que les investisseurs recherchaient.
« Investissez là où les capitaux affluent, où le contexte concurrentiel s'améliore et où le rendement attendu est donc plus élevé ! » Voici la stratégie d'investissement éprouvée, fondée sur des chiffres, qui a fait ses preuves pour les investissements à long terme.
Nous avons compilé 60 des rapports les plus pertinents rédigés par les experts en investissement de Marathon.
Edward Chancellor, qui bénéficie d'un lectorat fidèle en Corée, l'a édité et y a même ajouté une préface.
Pour bien comprendre les investissements, il faut analyser les flux financiers.
L'argent (le capital) a tendance à affluer vers les entreprises à forte rentabilité.
Paradoxalement, cependant, à mesure que l'argent s'accumule, la rentabilité diminue.
L'argent disparaîtra alors immédiatement.
Cela ne devient visible que lorsqu'on perd de l'argent.
C’est là le véritable avantage concurrentiel de l’entreprise, qui lui permet de surmonter même les difficultés.
Dans ce processus cyclique de circulation des capitaux, le marathon découvre la « réponse » que les investisseurs recherchaient.
« Investissez là où les capitaux affluent, où le contexte concurrentiel s'améliore et où le rendement attendu est donc plus élevé ! » Voici la stratégie d'investissement éprouvée, fondée sur des chiffres, qui a fait ses preuves pour les investissements à long terme.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Présentation du livre - Une perspective marathon sur le fonctionnement des marchés financiers
Compilation du livre - La philosophie d'investissement du cycle de capital de Marathon
Préface de l'éditeur : Concepts fondamentaux de l'analyse du cycle du capital
Comprendre le fonctionnement du cycle du capital | Exemples concrets du cycle du capital | Le supercycle des matières premières | Les dépenses d'investissement et les rendements sont inversement proportionnels | Retour à la moyenne | Biais comportementaux à l'origine d'« anomalies de croissance des actifs » | Ignorer la concurrence | Le point de vue d'un initié | Extrapoler les conclusions | Incitations perverses | Le dilemme du prisonnier | Limites de l'arbitrage du cycle du capital | Points clés de l'investissement à long terme | Se concentrer sur l'offre plutôt que sur la demande | Comprendre le paysage concurrentiel de votre secteur | Se méfier des discours séduisants | La clé réside dans la capacité de la direction à allouer le capital | Avoir une vision globale | La discipline d'investissement à long terme est essentielle | Quand le cycle du capital dysfonctionne | Points clés de la philosophie d'investissement du cycle du capital | Aperçu de la « Lettre aux investisseurs à long terme »
Partie 1 : Philosophie d'investissement du cycle du capital
Chapitre 1 : La révolution du cycle du capital
1.1 L'évolution de la coopération_février 2004 | 1.2 Le cycle du capital de l'industrie de la pêche à la morue_août 2004 | 1.3 Cette fois-ci ne sera pas différente_mai 2006 | 1.4 Le désastre du supercycle_mai 2011 | 1.5 Découvrir le goût de la bière_février 2010 | 1.6 Le pic pétrolier_février 2012 | 1.7 Les difficultés des grandes compagnies pétrolières_mars 2014 | 1.8 Les candidats à l'achat marathon_mars 2014 | 1.9 Le paradoxe de la croissance_septembre 2014
Chapitre 2 : La valeur dans la croissance
2.1 Étiquettes erronées_Septembre 2002 | 2.2 Stratégie à long terme_Mars 2003 | 2.3 Agent double : Le modèle commercial de l’agent_Juin 2004 | 2.4 Avantage numérique_Août 2007 | 2.5 Priorité à la qualité_Août 2011 | 2.6 Marchés de niche dans l’industrie des semi-conducteurs_Février 2013 | 2.7 Valeur de la croissance_Février 2013 | 2.8 Entreprises capables de remporter la compétition_Mai 2014 | 2.9 Pépites cachées_Février 2015
Chapitre 3 : La gestion est importante
3.1 Quelques problèmes structurels_Septembre 2003 | 3.2 Comportement procyclique des entreprises_Août 2010 | 3.3 Björn Wallus, « l’allocateur de capital »_Septembre 2010 | 3.4 Les étoiles du Nord_Mars 2011 | 3.5 Le problème de la rémunération des dirigeants_Février 2012 | 3.6 Familles heureuses_Mars 2012 | 3.7 La sagesse et l’humour de Johann Rupert_Juin 2013 | 3.8 Pourquoi rencontrer la direction en personne_Juin 2014 | 3.9 Pourquoi la culture d’entreprise est importante_Février 2015
Partie 2 : Bulle, effondrement et nouvelle bulle
Chapitre 4 : Les accidents guettent
4.1 Les accidents toujours en suspens : documents relatifs à l'Anglo-Irish Bank (2002-2006) | 4.2 Une banque pour les entrepreneurs immobiliers (mai 2004) | 4.3 L'alchimie de la titrisation d'actifs (novembre 2002) | 4.4 L'essor du capital-investissement (décembre 2004) | 4.5 La bulle spéculative (mai 2006) | 4.6 Le jeu de la livraison de colis (février 2007) | 4.7 La fin du festival immobilier en vue (février 2007) | 4.8 Quand le système se rompt (août 2007) | 4.9 La première panique bancaire en 140 ans (septembre 2007) | 4.10 Les sept péchés capitaux du secteur bancaire (novembre 2009)
Chapitre 5 : L'apparition des zombies
5.1 Le bon moment pour acheter_novembre 2008 | 5.2 La désintégration de l'« empire de la construction » espagnol_novembre 2010 | 5.3 Même les PIIGS peuvent voler_novembre 2011 | 5.4 Faillites bancaires_septembre 2012 | 5.5 Le processus d'« assainissement » retardé_novembre 2012 | 5.6 Facteurs perturbant le cycle du capital_mars 2013 | 5.7 Pourquoi les « entreprises zombies » continuent de survivre_novembre 2013 | 5.8 Professeur Piketty : Il est temps de dormir sur ses deux oreilles_août 2014
Chapitre 6 : Le syndrome chinois
6.1 Techniques chinoises_février 2003 | 6.2 Une apparence glamour_novembre 2003 | 6.3 Malgré cela, « continuez »_mars 2005 | 6.4 Jeux de levier_février 2014 | 6.5 Une opportunité de gagner de l'argent ?_septembre 2014 | 6.6 Les premiers à agir survivent_mai 2015
Chapitre 7 : Les véritables cerveaux de Wall Street
7.1 Lettre de protestation_décembre 2003 | 7.2 Leur propre « parti »_décembre 2005 | 7.3 Rassurez-vous, il y a de quoi manger_décembre 2008 | 7.4 Fuite de Chine_décembre 2010 | 7.5 Occupation du bâtiment de l'Assemblée nationale_décembre 2011 | 7.6 « Manipulation du réseau de la Citizens Bank »_décembre 2012 | 7.7 Entretien avec GIR : La facture réclamée par l'hôtel Golden Palace_décembre 2013
Compilation du livre - La philosophie d'investissement du cycle de capital de Marathon
Préface de l'éditeur : Concepts fondamentaux de l'analyse du cycle du capital
Comprendre le fonctionnement du cycle du capital | Exemples concrets du cycle du capital | Le supercycle des matières premières | Les dépenses d'investissement et les rendements sont inversement proportionnels | Retour à la moyenne | Biais comportementaux à l'origine d'« anomalies de croissance des actifs » | Ignorer la concurrence | Le point de vue d'un initié | Extrapoler les conclusions | Incitations perverses | Le dilemme du prisonnier | Limites de l'arbitrage du cycle du capital | Points clés de l'investissement à long terme | Se concentrer sur l'offre plutôt que sur la demande | Comprendre le paysage concurrentiel de votre secteur | Se méfier des discours séduisants | La clé réside dans la capacité de la direction à allouer le capital | Avoir une vision globale | La discipline d'investissement à long terme est essentielle | Quand le cycle du capital dysfonctionne | Points clés de la philosophie d'investissement du cycle du capital | Aperçu de la « Lettre aux investisseurs à long terme »
Partie 1 : Philosophie d'investissement du cycle du capital
Chapitre 1 : La révolution du cycle du capital
1.1 L'évolution de la coopération_février 2004 | 1.2 Le cycle du capital de l'industrie de la pêche à la morue_août 2004 | 1.3 Cette fois-ci ne sera pas différente_mai 2006 | 1.4 Le désastre du supercycle_mai 2011 | 1.5 Découvrir le goût de la bière_février 2010 | 1.6 Le pic pétrolier_février 2012 | 1.7 Les difficultés des grandes compagnies pétrolières_mars 2014 | 1.8 Les candidats à l'achat marathon_mars 2014 | 1.9 Le paradoxe de la croissance_septembre 2014
Chapitre 2 : La valeur dans la croissance
2.1 Étiquettes erronées_Septembre 2002 | 2.2 Stratégie à long terme_Mars 2003 | 2.3 Agent double : Le modèle commercial de l’agent_Juin 2004 | 2.4 Avantage numérique_Août 2007 | 2.5 Priorité à la qualité_Août 2011 | 2.6 Marchés de niche dans l’industrie des semi-conducteurs_Février 2013 | 2.7 Valeur de la croissance_Février 2013 | 2.8 Entreprises capables de remporter la compétition_Mai 2014 | 2.9 Pépites cachées_Février 2015
Chapitre 3 : La gestion est importante
3.1 Quelques problèmes structurels_Septembre 2003 | 3.2 Comportement procyclique des entreprises_Août 2010 | 3.3 Björn Wallus, « l’allocateur de capital »_Septembre 2010 | 3.4 Les étoiles du Nord_Mars 2011 | 3.5 Le problème de la rémunération des dirigeants_Février 2012 | 3.6 Familles heureuses_Mars 2012 | 3.7 La sagesse et l’humour de Johann Rupert_Juin 2013 | 3.8 Pourquoi rencontrer la direction en personne_Juin 2014 | 3.9 Pourquoi la culture d’entreprise est importante_Février 2015
Partie 2 : Bulle, effondrement et nouvelle bulle
Chapitre 4 : Les accidents guettent
4.1 Les accidents toujours en suspens : documents relatifs à l'Anglo-Irish Bank (2002-2006) | 4.2 Une banque pour les entrepreneurs immobiliers (mai 2004) | 4.3 L'alchimie de la titrisation d'actifs (novembre 2002) | 4.4 L'essor du capital-investissement (décembre 2004) | 4.5 La bulle spéculative (mai 2006) | 4.6 Le jeu de la livraison de colis (février 2007) | 4.7 La fin du festival immobilier en vue (février 2007) | 4.8 Quand le système se rompt (août 2007) | 4.9 La première panique bancaire en 140 ans (septembre 2007) | 4.10 Les sept péchés capitaux du secteur bancaire (novembre 2009)
Chapitre 5 : L'apparition des zombies
5.1 Le bon moment pour acheter_novembre 2008 | 5.2 La désintégration de l'« empire de la construction » espagnol_novembre 2010 | 5.3 Même les PIIGS peuvent voler_novembre 2011 | 5.4 Faillites bancaires_septembre 2012 | 5.5 Le processus d'« assainissement » retardé_novembre 2012 | 5.6 Facteurs perturbant le cycle du capital_mars 2013 | 5.7 Pourquoi les « entreprises zombies » continuent de survivre_novembre 2013 | 5.8 Professeur Piketty : Il est temps de dormir sur ses deux oreilles_août 2014
Chapitre 6 : Le syndrome chinois
6.1 Techniques chinoises_février 2003 | 6.2 Une apparence glamour_novembre 2003 | 6.3 Malgré cela, « continuez »_mars 2005 | 6.4 Jeux de levier_février 2014 | 6.5 Une opportunité de gagner de l'argent ?_septembre 2014 | 6.6 Les premiers à agir survivent_mai 2015
Chapitre 7 : Les véritables cerveaux de Wall Street
7.1 Lettre de protestation_décembre 2003 | 7.2 Leur propre « parti »_décembre 2005 | 7.3 Rassurez-vous, il y a de quoi manger_décembre 2008 | 7.4 Fuite de Chine_décembre 2010 | 7.5 Occupation du bâtiment de l'Assemblée nationale_décembre 2011 | 7.6 « Manipulation du réseau de la Citizens Bank »_décembre 2012 | 7.7 Entretien avec GIR : La facture réclamée par l'hôtel Golden Palace_décembre 2013
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Dans le livre
Marathon Asset Management LLP fêtera bientôt son 30e anniversaire.
Bien que notre philosophie d'investissement ait évolué régulièrement au fil du temps, deux idées fondamentales sur le fonctionnement des marchés de capitaux sont restées inchangées.
La première idée est que « les rendements élevés attirent les capitaux, et les rendements faibles attirent également les capitaux ».
Ces flux de capitaux entrants et sortants affectent souvent l'environnement concurrentiel d'un secteur d'activité de manière prévisible.
Nous aimerions appeler cela le cycle du capital.
Notre travail consiste à analyser la dynamique de ces cycles.
En résumé, il s'agit de déterminer quand le cycle des capitaux fonctionne et quand il ne fonctionne pas, et comment vous pouvez utiliser cela pour générer des revenus pour vos clients.
Notre deuxième conviction, qui demeure inchangée, est que, sur le long terme, ce qui importe avant tout, c'est la capacité de la direction à allouer le capital.
Trouver un gestionnaire qui alloue judicieusement le capital est l'étape la plus importante pour réussir sa sélection de titres.
Les meilleurs gestionnaires comprennent les cycles de capital qui opèrent dans leur secteur et ne se laissent pas emporter par l'euphorie pendant les périodes de forte croissance.
--- pp.10-11, extrait de la « Préface »
L'essence de l'approche du « cycle du capital », comme l'appelle Marathon, consiste à comprendre comment les variations de la quantité de capital utilisé dans un secteur d'activité affecteront les bénéfices futurs.
En résumé, l'analyse du cycle de capital examine comment les changements au niveau de l'offre dans le secteur d'activité d'une entreprise affectent sa compétitivité.
…
En définitive, l'analyse du cycle de capital représente le point de vue d'un investisseur sur l'évolution de l'avantage concurrentiel au fil du temps.
--- p.19, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
Même le supercycle massif des matières premières présente les caractéristiques d'un cycle de capital typique.
En bref, à mesure que la rentabilité augmente grâce à la hausse des prix, les investissements augmentent et de nouveaux acteurs apparaissent sur la base de prévisions de la demande trop optimistes.
Puis, lorsque la demande est inférieure aux prévisions tandis que l'offre augmente, le cycle s'inverse.
--- p.31, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
La méthode Marathon consiste à trouver des opportunités d'investissement à la fois dans les actions de valeur et les actions de croissance, telles que définies traditionnellement.
Ces opportunités d'investissement se présentent car le marché perçoit souvent mal le rythme auquel les rendements reviennent à la moyenne.
Nous parions que les « actions de valeur » verront leurs bénéfices rebondir plus rapidement que prévu par le marché, et que les « actions de croissance » maintiendront des bénéfices élevés plus longtemps que prévu par le marché.
--- p.47, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
L'analyse du cycle des capitaux, tout comme l'investissement axé sur la valeur, exige de la patience.
Le cycle d'investissement d'un secteur prend beaucoup de temps pour s'achever.
Le NASDAQ a commencé à former une bulle en 1995, mais la bulle Internet n'a éclaté qu'au printemps 2000.
--- p.52, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
Par conséquent, l'essentiel de l'analyse du cycle du capital peut se résumer aux arguments suivants.
· La plupart des investisseurs consacrent plus de temps à comprendre la demande qu'à comprendre l'offre.
Cependant, la demande est plus difficile à prévoir que l'offre.
Les variations de l'offre déterminent la rentabilité d'un secteur.
Les cours boursiers ne permettent souvent pas d'anticiper les variations de l'offre.
• La dichotomie entre valeur et croissance est fausse.
Les entreprises des secteurs bénéficiant d'un soutien de l'offre peuvent avoir des valorisations plus élevées.
La capacité de la direction à allouer des capitaux est cruciale, et les réunions avec la direction fournissent souvent des informations précieuses.
--- p.54, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
Les entreprises du portefeuille de Marathon ont tendance à avoir des ratios cours/bénéfice inférieurs à la moyenne, mais ce n'est pas parce que nous avons intentionnellement recherché de telles « pépites ».
De fait, les entreprises incluses dans notre portefeuille européen affichent des taux de croissance des bénéfices relativement élevés.
L'une des raisons pour lesquelles nos sociétés en portefeuille présentent un mélange paradoxal de faibles ratios cours/bénéfice et de forte croissance des bénéfices est que les petites capitalisations offrent souvent des perspectives de croissance supérieures à la moyenne tout en restant bon marché.
--- p.116, extrait du « Chapitre 2_La valeur dans la croissance »
Nous pensons que les actions ne doivent pas être considérées uniquement en fonction de leur « croissance » ou de leur « valeur », mais plutôt selon la capacité du marché à évaluer efficacement les perspectives de bénéfices futurs de l'entreprise.
--- p.120, extrait du « Chapitre 2 : La valeur dans la croissance »
Un jour Galbraith (JK)
Galbraith a un jour lancé avec humour : « Il n'y a rien en politique qui soit aussi efficace qu'une bonne mémoire à court terme », mais ce genre de raisonnement simpliste n'est pas propre à la politique.
Nous pensons que l'investissement à long terme est plus efficace non pas parce qu'il est plus difficile, mais parce qu'il y a moins de concurrence pour les informations vraiment précieuses.
--- pp.124-125, extrait du « Chapitre 2 : La valeur dans la croissance »
Les investisseurs « bottom-up » comme nous, qui s'attachent à analyser les fondamentaux des entreprises individuelles, s'intéressent davantage au cycle des capitaux qu'à la rentabilité de l'entreprise dans son ensemble, car le cycle des capitaux affecte les entreprises individuellement.
Nous recherchons des facteurs susceptibles d'améliorer le ROE, en particulier : (1) l'émergence d'oligopoles dans des secteurs auparavant caractérisés par une faible rentabilité et une concurrence excessive ; (2) le développement de modèles d'affaires avec des barrières à l'entrée déjà élevées et de plus en plus élevées ; et (3) les actions de gestion qui facilitent ces tendances.
--- p.134, extrait du « Chapitre 2_La valeur dans la croissance »
L'histoire de l'industrie des semi-conducteurs est un exemple représentatif du cycle du capital.
Cependant, certaines entreprises opérant sur des « marchés de niche » font exception.
Ces entreprises ont su éviter les cycles de capital perturbateurs et offrent d'excellents rendements à long terme à leurs actionnaires.
--- p.138, extrait du « Chapitre 2 : La valeur dans la croissance »
Comme beaucoup d'autres investisseurs, nous aimons citer Warren Buffett.
Une citation particulière de ce sage d'Omaha est devenue une sorte de devise pour le marathon.
Autrement dit, « après 10 ans de service, le PDG d'une entreprise dont les bénéfices non distribués représentent 10 % de l'actif net est responsable de l'affectation d'au moins 60 % du capital total utilisé dans l'entreprise ».
Cela signifie que les investisseurs doivent accorder une attention particulière aux compétences de la direction en matière d'allocation de capital.
--- p.162, extrait du « Chapitre 3 : La gestion est importante »
Dans une lettre adressée à ses clients en septembre 2000, Marathon avertissait : « La prochaine surabondance sera pire que la précédente.
« Si nous ne pouvons pas sanctionner les grandes banques d’investissement – elles sont trop grandes et trop imbriquées pour faire faillite – malgré leur cupidité et leurs erreurs, ce n’est qu’une question de temps avant qu’elles ne remettent en cause le système lui-même », a-t-il prédit.
Malheureusement, cette sombre prédiction s'est réalisée huit ans plus tard, lorsque Lehman Brothers a fait faillite.
Bien que notre philosophie d'investissement ait évolué régulièrement au fil du temps, deux idées fondamentales sur le fonctionnement des marchés de capitaux sont restées inchangées.
La première idée est que « les rendements élevés attirent les capitaux, et les rendements faibles attirent également les capitaux ».
Ces flux de capitaux entrants et sortants affectent souvent l'environnement concurrentiel d'un secteur d'activité de manière prévisible.
Nous aimerions appeler cela le cycle du capital.
Notre travail consiste à analyser la dynamique de ces cycles.
En résumé, il s'agit de déterminer quand le cycle des capitaux fonctionne et quand il ne fonctionne pas, et comment vous pouvez utiliser cela pour générer des revenus pour vos clients.
Notre deuxième conviction, qui demeure inchangée, est que, sur le long terme, ce qui importe avant tout, c'est la capacité de la direction à allouer le capital.
Trouver un gestionnaire qui alloue judicieusement le capital est l'étape la plus importante pour réussir sa sélection de titres.
Les meilleurs gestionnaires comprennent les cycles de capital qui opèrent dans leur secteur et ne se laissent pas emporter par l'euphorie pendant les périodes de forte croissance.
--- pp.10-11, extrait de la « Préface »
L'essence de l'approche du « cycle du capital », comme l'appelle Marathon, consiste à comprendre comment les variations de la quantité de capital utilisé dans un secteur d'activité affecteront les bénéfices futurs.
En résumé, l'analyse du cycle de capital examine comment les changements au niveau de l'offre dans le secteur d'activité d'une entreprise affectent sa compétitivité.
…
En définitive, l'analyse du cycle de capital représente le point de vue d'un investisseur sur l'évolution de l'avantage concurrentiel au fil du temps.
--- p.19, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
Même le supercycle massif des matières premières présente les caractéristiques d'un cycle de capital typique.
En bref, à mesure que la rentabilité augmente grâce à la hausse des prix, les investissements augmentent et de nouveaux acteurs apparaissent sur la base de prévisions de la demande trop optimistes.
Puis, lorsque la demande est inférieure aux prévisions tandis que l'offre augmente, le cycle s'inverse.
--- p.31, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
La méthode Marathon consiste à trouver des opportunités d'investissement à la fois dans les actions de valeur et les actions de croissance, telles que définies traditionnellement.
Ces opportunités d'investissement se présentent car le marché perçoit souvent mal le rythme auquel les rendements reviennent à la moyenne.
Nous parions que les « actions de valeur » verront leurs bénéfices rebondir plus rapidement que prévu par le marché, et que les « actions de croissance » maintiendront des bénéfices élevés plus longtemps que prévu par le marché.
--- p.47, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
L'analyse du cycle des capitaux, tout comme l'investissement axé sur la valeur, exige de la patience.
Le cycle d'investissement d'un secteur prend beaucoup de temps pour s'achever.
Le NASDAQ a commencé à former une bulle en 1995, mais la bulle Internet n'a éclaté qu'au printemps 2000.
--- p.52, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
Par conséquent, l'essentiel de l'analyse du cycle du capital peut se résumer aux arguments suivants.
· La plupart des investisseurs consacrent plus de temps à comprendre la demande qu'à comprendre l'offre.
Cependant, la demande est plus difficile à prévoir que l'offre.
Les variations de l'offre déterminent la rentabilité d'un secteur.
Les cours boursiers ne permettent souvent pas d'anticiper les variations de l'offre.
• La dichotomie entre valeur et croissance est fausse.
Les entreprises des secteurs bénéficiant d'un soutien de l'offre peuvent avoir des valorisations plus élevées.
La capacité de la direction à allouer des capitaux est cruciale, et les réunions avec la direction fournissent souvent des informations précieuses.
--- p.54, extrait de « Préface de l’éditeur_Concepts fondamentaux de l’analyse du cycle du capital »
Les entreprises du portefeuille de Marathon ont tendance à avoir des ratios cours/bénéfice inférieurs à la moyenne, mais ce n'est pas parce que nous avons intentionnellement recherché de telles « pépites ».
De fait, les entreprises incluses dans notre portefeuille européen affichent des taux de croissance des bénéfices relativement élevés.
L'une des raisons pour lesquelles nos sociétés en portefeuille présentent un mélange paradoxal de faibles ratios cours/bénéfice et de forte croissance des bénéfices est que les petites capitalisations offrent souvent des perspectives de croissance supérieures à la moyenne tout en restant bon marché.
--- p.116, extrait du « Chapitre 2_La valeur dans la croissance »
Nous pensons que les actions ne doivent pas être considérées uniquement en fonction de leur « croissance » ou de leur « valeur », mais plutôt selon la capacité du marché à évaluer efficacement les perspectives de bénéfices futurs de l'entreprise.
--- p.120, extrait du « Chapitre 2 : La valeur dans la croissance »
Un jour Galbraith (JK)
Galbraith a un jour lancé avec humour : « Il n'y a rien en politique qui soit aussi efficace qu'une bonne mémoire à court terme », mais ce genre de raisonnement simpliste n'est pas propre à la politique.
Nous pensons que l'investissement à long terme est plus efficace non pas parce qu'il est plus difficile, mais parce qu'il y a moins de concurrence pour les informations vraiment précieuses.
--- pp.124-125, extrait du « Chapitre 2 : La valeur dans la croissance »
Les investisseurs « bottom-up » comme nous, qui s'attachent à analyser les fondamentaux des entreprises individuelles, s'intéressent davantage au cycle des capitaux qu'à la rentabilité de l'entreprise dans son ensemble, car le cycle des capitaux affecte les entreprises individuellement.
Nous recherchons des facteurs susceptibles d'améliorer le ROE, en particulier : (1) l'émergence d'oligopoles dans des secteurs auparavant caractérisés par une faible rentabilité et une concurrence excessive ; (2) le développement de modèles d'affaires avec des barrières à l'entrée déjà élevées et de plus en plus élevées ; et (3) les actions de gestion qui facilitent ces tendances.
--- p.134, extrait du « Chapitre 2_La valeur dans la croissance »
L'histoire de l'industrie des semi-conducteurs est un exemple représentatif du cycle du capital.
Cependant, certaines entreprises opérant sur des « marchés de niche » font exception.
Ces entreprises ont su éviter les cycles de capital perturbateurs et offrent d'excellents rendements à long terme à leurs actionnaires.
--- p.138, extrait du « Chapitre 2 : La valeur dans la croissance »
Comme beaucoup d'autres investisseurs, nous aimons citer Warren Buffett.
Une citation particulière de ce sage d'Omaha est devenue une sorte de devise pour le marathon.
Autrement dit, « après 10 ans de service, le PDG d'une entreprise dont les bénéfices non distribués représentent 10 % de l'actif net est responsable de l'affectation d'au moins 60 % du capital total utilisé dans l'entreprise ».
Cela signifie que les investisseurs doivent accorder une attention particulière aux compétences de la direction en matière d'allocation de capital.
--- p.162, extrait du « Chapitre 3 : La gestion est importante »
Dans une lettre adressée à ses clients en septembre 2000, Marathon avertissait : « La prochaine surabondance sera pire que la précédente.
« Si nous ne pouvons pas sanctionner les grandes banques d’investissement – elles sont trop grandes et trop imbriquées pour faire faillite – malgré leur cupidité et leurs erreurs, ce n’est qu’une question de temps avant qu’elles ne remettent en cause le système lui-même », a-t-il prédit.
Malheureusement, cette sombre prédiction s'est réalisée huit ans plus tard, lorsque Lehman Brothers a fait faillite.
--- pp.372-373, extrait du « Chapitre 7_Les esprits secrets de Wall Street »
Avis de l'éditeur
La « réponse » que les investisseurs recherchent réside dans le « flux d'argent ».
L'incroyable stratégie d'investissement de 'Marathon', prouvée par les chiffres !
Si vous voulez investir avec succès, utilisez le « cycle du capital » !
Les investisseurs ont deux choix :
Commençons par examiner le plan A.
Si le produit se vend bien, l'entreprise gagne davantage.
Nous essayons donc d'en vendre davantage.
En un mot, c'est un « boom ».
Les investisseurs investissent dans des entreprises performantes comme celle-ci.
L'entreprise utilise l'argent pour construire davantage d'usines.
En revanche, si le produit ne se vend pas, l'entreprise en fabrique moins.
Il ne cesse de rétrécir.
En un mot, c'est une « récession ».
Les investisseurs retirent leurs placements des entreprises qui se contractent de cette manière.
L'entreprise n'aura d'autre choix que de réduire encore ses effectifs.
En résumé, les dirigeants d'entreprise et les investisseurs agissent généralement en fonction de la « demande ».
En période de forte croissance, les prévisions de la demande sont souvent trop optimistes.
En revanche, en période de récession, elle se montre excessivement pessimiste.
Voici le plan A.
Mais si nous continuons à courir après la demande de cette manière, il n'y aura pas de réponse.
On ne gagne pas d'argent en investissant en suivant la foule.
● Conseil d'investissement Marathon : Évitez les secteurs ou les entreprises avec un afflux de capitaux rapide et une concurrence intense !
La stratégie d'investissement principale de la société de gestion d'actifs mondiale Marathon Asset Management repose sur « l'offre » plutôt que sur « la demande ».
La « variation quantitative (offre) de capital » d’un secteur ou d’une entreprise détermine ses bénéfices futurs.
C'est le plan B.
En règle générale, les capitaux affluent vers les entreprises à forte rentabilité.
L'afflux de capitaux conduit souvent à de nouveaux investissements de la part des entreprises, ce qui accroît leur capacité de production au fil du temps.
Mais les objets produits en excès finissent par perdre de la valeur.
Et cela aura un impact négatif sur les bénéfices de l'entreprise.
En revanche, lorsque les profits sont faibles, les capitaux sortent du marché.
Les sorties de capitaux entraînent une diminution des capacités de production et, avec le temps, les biens qui deviennent plus rares voient leur prix augmenter.
Les bénéfices de l'entreprise se redresseront alors.
● L'analyse d'investissement de Marathon : Investissez là où les capitaux sortent et où le contexte concurrentiel est meilleur, offrant ainsi des rendements attendus plus élevés !
Autrement dit, les capitaux répètent ces flux entrants et sortants, créant ainsi un « cycle ».
① Arrivée massive de nouveaux entrants avec des perspectives de rendement élevé (sentiment d'investissement optimiste) ② Baisse des bénéfices en dessous du coût du capital en raison d'une concurrence accrue (cours des actions sous-performants par rapport au marché) ③ Restructuration telle que réduction des investissements des entreprises, consolidation du secteur et sorties d'entreprises (sentiment d'investissement pessimiste) ④ Hausse des bénéfices au-dessus du coût du capital grâce à des améliorations de l'offre (cours des actions dépassant la performance du marché).
Pour bien comprendre les investissements, il faut analyser les flux financiers.
Le marathon se concentre sur les flux de capitaux entrants et sortants.
Autrement dit, nous examinons la relation entre les flux de trésorerie, l'avantage concurrentiel de l'entreprise et le marché de niche du point de vue d'un investisseur.
Et c’est ainsi que les investisseurs découvrent la « réponse » qu’ils cherchaient.
Pour résumer simplement le plan B, voici comment il fonctionne.
Évitez les secteurs ou les entreprises où les dépenses d'investissement ont fortement augmenté et où la concurrence est intense (en raison des entrées de capitaux). Investissez plutôt dans les secteurs où les dépenses d'investissement ont diminué et où la concurrence est plus forte (en raison des sorties de capitaux), ce qui offre des rendements attendus plus élevés.
● Le « Guide des investissements » édité et préfacé par Edward Chancellor lui-même.
Ce livre rassemble 60 des rapports les plus pertinents rédigés par les experts en investissement de Marathon entre 2002 et 2015.
En d'autres termes, ce livre est un recueil complet de théories d'investissement à long terme et d'exemples pratiques qui ont été prouvés par les chiffres.
De plus, Edward Chancellor, qui bénéficie d'un lectorat important en Corée grâce à des ouvrages tels que « Une histoire de la spéculation financière », a personnellement édité le livre et y a même ajouté une préface.
La puissante méthode d'investissement présentée par Marathon, appelée « analyse du cycle des capitaux », s'écarte de la simple dichotomie entre l'investissement de valeur traditionnel et l'investissement de croissance.
Cela met clairement en évidence les marchés de niche et les entreprises capables de générer d'excellents rendements même au cœur des cycles destructeurs de croissance et de récession.
Le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui est un monde où d'énormes bulles éclatent et se transforment instantanément en peurs.
Les investisseurs ont perdu des sommes considérables dans cette affaire.
Nous avons désespérément besoin d'un bouclier contre le désastre financier.
C’est pourquoi nous devons passer du plan A au plan B.
En résumé, cet ouvrage est une excellente référence et un guide complet pour les investisseurs sérieux cherchant à maximiser les rendements de leur portefeuille à long terme.
L'incroyable stratégie d'investissement de 'Marathon', prouvée par les chiffres !
Si vous voulez investir avec succès, utilisez le « cycle du capital » !
Les investisseurs ont deux choix :
Commençons par examiner le plan A.
Si le produit se vend bien, l'entreprise gagne davantage.
Nous essayons donc d'en vendre davantage.
En un mot, c'est un « boom ».
Les investisseurs investissent dans des entreprises performantes comme celle-ci.
L'entreprise utilise l'argent pour construire davantage d'usines.
En revanche, si le produit ne se vend pas, l'entreprise en fabrique moins.
Il ne cesse de rétrécir.
En un mot, c'est une « récession ».
Les investisseurs retirent leurs placements des entreprises qui se contractent de cette manière.
L'entreprise n'aura d'autre choix que de réduire encore ses effectifs.
En résumé, les dirigeants d'entreprise et les investisseurs agissent généralement en fonction de la « demande ».
En période de forte croissance, les prévisions de la demande sont souvent trop optimistes.
En revanche, en période de récession, elle se montre excessivement pessimiste.
Voici le plan A.
Mais si nous continuons à courir après la demande de cette manière, il n'y aura pas de réponse.
On ne gagne pas d'argent en investissant en suivant la foule.
● Conseil d'investissement Marathon : Évitez les secteurs ou les entreprises avec un afflux de capitaux rapide et une concurrence intense !
La stratégie d'investissement principale de la société de gestion d'actifs mondiale Marathon Asset Management repose sur « l'offre » plutôt que sur « la demande ».
La « variation quantitative (offre) de capital » d’un secteur ou d’une entreprise détermine ses bénéfices futurs.
C'est le plan B.
En règle générale, les capitaux affluent vers les entreprises à forte rentabilité.
L'afflux de capitaux conduit souvent à de nouveaux investissements de la part des entreprises, ce qui accroît leur capacité de production au fil du temps.
Mais les objets produits en excès finissent par perdre de la valeur.
Et cela aura un impact négatif sur les bénéfices de l'entreprise.
En revanche, lorsque les profits sont faibles, les capitaux sortent du marché.
Les sorties de capitaux entraînent une diminution des capacités de production et, avec le temps, les biens qui deviennent plus rares voient leur prix augmenter.
Les bénéfices de l'entreprise se redresseront alors.
● L'analyse d'investissement de Marathon : Investissez là où les capitaux sortent et où le contexte concurrentiel est meilleur, offrant ainsi des rendements attendus plus élevés !
Autrement dit, les capitaux répètent ces flux entrants et sortants, créant ainsi un « cycle ».
① Arrivée massive de nouveaux entrants avec des perspectives de rendement élevé (sentiment d'investissement optimiste) ② Baisse des bénéfices en dessous du coût du capital en raison d'une concurrence accrue (cours des actions sous-performants par rapport au marché) ③ Restructuration telle que réduction des investissements des entreprises, consolidation du secteur et sorties d'entreprises (sentiment d'investissement pessimiste) ④ Hausse des bénéfices au-dessus du coût du capital grâce à des améliorations de l'offre (cours des actions dépassant la performance du marché).
Pour bien comprendre les investissements, il faut analyser les flux financiers.
Le marathon se concentre sur les flux de capitaux entrants et sortants.
Autrement dit, nous examinons la relation entre les flux de trésorerie, l'avantage concurrentiel de l'entreprise et le marché de niche du point de vue d'un investisseur.
Et c’est ainsi que les investisseurs découvrent la « réponse » qu’ils cherchaient.
Pour résumer simplement le plan B, voici comment il fonctionne.
Évitez les secteurs ou les entreprises où les dépenses d'investissement ont fortement augmenté et où la concurrence est intense (en raison des entrées de capitaux). Investissez plutôt dans les secteurs où les dépenses d'investissement ont diminué et où la concurrence est plus forte (en raison des sorties de capitaux), ce qui offre des rendements attendus plus élevés.
● Le « Guide des investissements » édité et préfacé par Edward Chancellor lui-même.
Ce livre rassemble 60 des rapports les plus pertinents rédigés par les experts en investissement de Marathon entre 2002 et 2015.
En d'autres termes, ce livre est un recueil complet de théories d'investissement à long terme et d'exemples pratiques qui ont été prouvés par les chiffres.
De plus, Edward Chancellor, qui bénéficie d'un lectorat important en Corée grâce à des ouvrages tels que « Une histoire de la spéculation financière », a personnellement édité le livre et y a même ajouté une préface.
La puissante méthode d'investissement présentée par Marathon, appelée « analyse du cycle des capitaux », s'écarte de la simple dichotomie entre l'investissement de valeur traditionnel et l'investissement de croissance.
Cela met clairement en évidence les marchés de niche et les entreprises capables de générer d'excellents rendements même au cœur des cycles destructeurs de croissance et de récession.
Le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui est un monde où d'énormes bulles éclatent et se transforment instantanément en peurs.
Les investisseurs ont perdu des sommes considérables dans cette affaire.
Nous avons désespérément besoin d'un bouclier contre le désastre financier.
C’est pourquoi nous devons passer du plan A au plan B.
En résumé, cet ouvrage est une excellente référence et un guide complet pour les investisseurs sérieux cherchant à maximiser les rendements de leur portefeuille à long terme.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 15 avril 2025
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 420 pages | 752 g | 152 × 225 × 25 mm
- ISBN13 : 9791198375971
- ISBN10 : 1198375973
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카테고리
Langue coréenne
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