
Discours sur l'histoire romaine
Description
Introduction au livre
« Discours sur l'histoire de Rome » est un ouvrage dans lequel Nicolas Machiavel analyse la grandeur de la République romaine d'un point de vue politico-philosophique.
Machiavel réfuta directement l'argument classique selon lequel la gloire de Rome était simplement due à la chance, et mit l'accent sur la liberté et l'indépendance.
À ses yeux, la liberté et l'indépendance étaient les vertus essentielles qu'une république devait défendre, et c'était un conseil sincère à la famille Médicis, qui prétendait alors être une république mais exerçait en réalité le pouvoir de manière dictatoriale.
Les « Discours sur l'histoire romaine » de Machiavel traitent en détail de ce qu'une république devrait faire en fonction des valeurs de liberté et d'indépendance dans chaque domaine, des affaires militaires aux affaires intérieures.
Alors que de nombreux pays se proclament aujourd'hui « républiques », cet ouvrage est une lecture incontournable pour leurs citoyens.
L'édition des « Discours sur une histoire romaine » publiée cette fois-ci est une version révisée de la première édition parue en 2003. Alors que la première édition était basée sur les éditions Mansfield et Tarkov, qui sont les éditions anglaises les plus autorisées des « Discours sur une histoire romaine », l'édition révisée a été créée à partir de l'édition italienne.
Nous présentons ici une traduction beaucoup plus précise en nous référant à l'édition de Mansfield, à l'édition de Tarkov et à l'édition allemande.
Dans cette extension, les concepts fondamentaux de la pensée politique de Machiavel, tels que la virtu, ont été traduits plus clairement.
Machiavel réfuta directement l'argument classique selon lequel la gloire de Rome était simplement due à la chance, et mit l'accent sur la liberté et l'indépendance.
À ses yeux, la liberté et l'indépendance étaient les vertus essentielles qu'une république devait défendre, et c'était un conseil sincère à la famille Médicis, qui prétendait alors être une république mais exerçait en réalité le pouvoir de manière dictatoriale.
Les « Discours sur l'histoire romaine » de Machiavel traitent en détail de ce qu'une république devrait faire en fonction des valeurs de liberté et d'indépendance dans chaque domaine, des affaires militaires aux affaires intérieures.
Alors que de nombreux pays se proclament aujourd'hui « républiques », cet ouvrage est une lecture incontournable pour leurs citoyens.
L'édition des « Discours sur une histoire romaine » publiée cette fois-ci est une version révisée de la première édition parue en 2003. Alors que la première édition était basée sur les éditions Mansfield et Tarkov, qui sont les éditions anglaises les plus autorisées des « Discours sur une histoire romaine », l'édition révisée a été créée à partir de l'édition italienne.
Nous présentons ici une traduction beaucoup plus précise en nous référant à l'édition de Mansfield, à l'édition de Tarkov et à l'édition allemande.
Dans cette extension, les concepts fondamentaux de la pensée politique de Machiavel, tels que la virtu, ont été traduits plus clairement.
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Aperçu
indice
La pensée politique de Machiavel et les Discours sur l'histoire romaine│Kang Jeong-in
Salutations de Niccolò Machiavelli aux Zanobi Buondelmonti et Cosimo Rucellai
Volume 1
La valeur de l'histoire à la porte ouest
Chapitre 1 : De l'origine des villes en général, et de Rome en particulier
Chapitre 2 Combien existe-t-il de types d'États, et à quel type appartient la République romaine ?
Chapitre 3 : L’établissement du Tribunal à Rome ? Un événement qui a rendu l’État plus parfait
Chapitre 4 : Le conflit entre la plèbe et le Sénat a rendu la République romaine libre et puissante
Chapitre 5. Lequel, le peuple ou les nobles, protège le mieux la liberté ? Et qui est à l’origine des conflits, ceux qui recherchent un nouveau pouvoir ou ceux qui cherchent à conserver le pouvoir existant ?
Chapitre 6 : Un gouvernement aurait-il pu être établi à Rome qui aurait éliminé le conflit entre le peuple et le Sénat ?
Chapitre 7. Dans une République, le droit d’accuser et de dénoncer est essentiel à la protection de la liberté.
Chapitre 8 : Si les accusations et les calomnies sont bénéfiques à l’État, la diffamation est nuisible.
Chapitre 9. La tâche de créer une nouvelle république ou de renverser complètement l'ancien système et de le réformer doit être entreprise par une seule personne.
Chapitre 10 : Les fondateurs des républiques et des royaumes méritent la gloire, tandis que les fondateurs des tyrannies méritent le blâme.
Chapitre 11 : De la religion des Romains
Chapitre 12 : Combien il est important de permettre à la religion d’exercer une grande influence, et comment l’Italie a été ruinée par la conduite de l’Église romaine.
Chapitre 13 : Comment les Romains ont utilisé la religion pour réformer les institutions de la ville, mener des affaires et résoudre les conflits internes
Chapitre 14 Les Romains interprétaient la divination selon les circonstances, et même lorsqu'ils étaient contraints de ne pas tenir compte des exigences de leur religion, ils conservaient soigneusement une apparence d'observance religieuse ; et si quelqu'un était trop prompt à ne pas tenir compte de leur religion, ils le punissaient.
Chapitre 15 : Les Samnites se sont tournés vers la religion en dernier recours pour surmonter leur crise
Chapitre 16 : Un peuple habitué à la monarchie aura du mal à conserver sa liberté, même si elle est rétablie par hasard.
Chapitre 17 : Il est très difficile pour un peuple corrompu de conserver sa liberté, même lorsqu'il l'a acquise.
Chapitre 18 : Comment un gouvernement libre, s'il existe déjà dans une ville corrompue, peut être maintenu ; et comment il peut être établi s'il n'existe pas déjà.
Chapitre 19 : Même un monarque faible peut conserver sa position s'il succède à un monarque fort ; mais si des monarques faibles se succèdent, le royaume ne peut plus être maintenu.
Chapitre 20 : Lorsque deux monarques compétents se succèdent, de grandes réalisations sont accomplies ; une république bien organisée produit inévitablement une succession de dirigeants compétents et, de ce fait, la puissance nationale est grandement renforcée.
Chapitre 21 : Un prince ou une république qui n’a pas d’armée propre doit être sévèrement condamné.
Chapitre 22 : Qu'y a-t-il de remarquable dans le duel qui opposa les trois guerriers de la famille des Horaces de Rome aux trois guerriers de la famille des Curiaces d'Albe ?
Chapitre 23 : Un général ne doit pas risquer toute sa fortune dans une bataille où il n'a pas pleinement déployé toutes ses forces ; pour la même raison, il est extrêmement dangereux de ne défendre que des points stratégiques.
Chapitre 24 : Une république bien organisée a un système clair de récompenses et de punitions pour ses citoyens, et ne tolère pas les actes répréhensibles pour des actes méritoires.
Chapitre 25. Celui qui veut réformer un gouvernement établi de longue date dans un pays libre doit au moins préserver l'apparence de l'ancien système.
Chapitre 26 : Un nouveau prince doit tout réorganiser dans la ville ou le territoire qu'il conquiert.
Chapitre 27 : Il est rare qu'une personne soit complètement mauvaise ou complètement bonne.
Chapitre 28 : Pourquoi les Romains étaient-ils moins ingrats envers leur propre peuple que les Athéniens ?
Chapitre 29 : Qui est le plus ingrat, le peuple ou le monarque ?
Chapitre 30 : Comment les princes et les républiques peuvent éviter le vice de l'ingratitude, et comment les citoyens et les généraux peuvent éviter le mal de l'ingratitude
Chapitre 31 Les généraux romains n'étaient jamais excessivement punis pour leurs erreurs ; même si leur incompétence ou leurs plans défectueux causaient des dommages à Rome, ils n'étaient pas punis pour cela.
Chapitre 32 Une république ou un prince ne doit pas tarder à accorder des faveurs au peuple jusqu'à ce que cela soit absolument nécessaire.
Chapitre 33 : Lorsqu'un grand danger menace une nation, qu'il vienne de l'intérieur ou de l'extérieur, il est beaucoup plus sûr de le retarder et de le gérer que de l'attaquer directement.
Chapitre 34 : Le pouvoir de la dictature temporaire des consuls fut utile, et non nuisible, à la République romaine ; et ce n'est pas le pouvoir donné par des élections libres, mais le pouvoir usurpé par les citoyens eux-mêmes, qui détruisit le gouvernement civil.
Chapitre 35 : Comment les Dix Romains, bien qu’élus au suffrage libre et universel, devinrent si nuisibles à la liberté de la République
Chapitre 36 : Les citoyens occupant des positions élevées ne doivent pas mépriser ceux qui occupent des positions inférieures.
Chapitre 37. La discorde causée par les lois agraires à Rome ; L'adoption de lois à effets rétroactifs, contraires aux coutumes anciennes, provoque la discorde dans la République.
Chapitre 38 : Les républiques faibles sont indécises et indécises ; et même lorsqu'elles prennent des décisions, celles-ci sont imposées par la nécessité plutôt que par choix.
Chapitre 39 La même chose se produit souvent chez différents peuples.
Chapitre 40 : La création du Conseil des Dix à Rome et les leçons à tirer de cet événement ; et surtout, comment un tel événement pouvait soit sauver la République, soit la conduire à la tyrannie.
Chapitre 41 : Il est imprudent et inutile de passer de l’humilité à l’arrogance, de la miséricorde à la cruauté, sans prendre les étapes intermédiaires appropriées.
Chapitre 42 : À quel point les êtres humains sont-ils faciles à acheter ?
Chapitre 43 : Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont vraiment de bons et loyaux soldats.
Chapitre 44 : Une multitude sans chef est impuissante ; ne menacez pas d’abord et n’exigez pas ensuite le pouvoir.
Chapitre 45 : C'est un mauvais précédent pour un dirigeant de désobéir à une loi, surtout à celui qui l'a édictée ; et il est très dangereux pour un dirigeant de commettre quotidiennement de nouveaux méfaits et de harceler le peuple.
Chapitre 46 : L’homme passe d’une ambition à l’autre ; au début il cherche à ne pas être attaqué, mais plus tard il cherche à attaquer.
Chapitre 47 : On peut facilement tromper les humains par des généralités, mais on ne les trompe pas facilement par des détails.
Chapitre 48 : Celui qui souhaite qu'une charge ne soit pas confiée à une personne vile ou méchante, devrait demander qu'elle soit confiée à une personne beaucoup plus vile et méchante, ou à une personne très noble et bonne.
Chapitre 49 : Si même les villes qui ont commencé comme libres, comme Rome, ont beaucoup de mal à promulguer des lois qui les préserveraient, les villes qui viennent de sortir de l'esclavage sont encore moins susceptibles de le faire.
Chapitre 50 Aucune commission ni aucun office n'a le pouvoir de suspendre le gouvernement de l'État.
Chapitre 51 : Qu’il s’agisse d’un monarque ou d’une république, même contraints de prendre certaines mesures, ils doivent en manifester la volonté. 55
Chapitre 52. Si l’on veut réprimer l’ambition de quiconque qui aspire à accéder au plus haut poste de pouvoir dans une république, il n’y a pas de moyen plus sûr et moins dangereux que de lui barrer la route vers ce pouvoir.
Chapitre 53 : Les hommes, trompés par la beauté superficielle, prennent souvent des décisions qui mènent à leur propre ruine ; et ils sont facilement touchés par de grands espoirs et de fortes promesses.
Chapitre 54 : Le pouvoir des personnes influentes de contrôler les foules excitées
Chapitre 55 : Dans une ville où le peuple n’est pas corrompu, les affaires publiques sont faciles à gérer ; là où règne l’égalité, une monarchie ne peut être établie, et là où règne l’absence d’égalité, une république ne peut être établie.
Chapitre 56 : Avant qu'un événement majeur ne survienne dans une ville ou une région, il y a toujours un présage ou un prophète qui l'annonce.
Chapitre 57 : Les gens du peuple sont audacieux en groupe, mais timides individuellement.
Chapitre 58 : La multitude est plus sage et plus stable qu'un prince.
Chapitre 59 : Quelle alliance est la plus digne de confiance : l'alliance avec la République ou l'alliance avec le Monarque ?
Chapitre 60 : À Rome, il n'y avait pas de limite d'âge pour la nomination des consuls et autres fonctionnaires.
Volume 2
introduction
Chapitre 1 : Les Romains ont-ils étendu leur empire par virtuosité ou par chance ?
Chapitre 2. Contre quels peuples les Romains ont-ils dû se battre, et avec quelle ténacité ils ont résisté pour préserver leur liberté ?
Chapitre 3 Rome devint une grande ville en conquérant les villes environnantes et en acceptant volontiers des étrangers à des postes importants.
Chapitre 4 La République a utilisé trois méthodes pour étendre son territoire.
Chapitre 5 : Le Déluge et la Peste noire, ainsi que les changements de religion et de langue, détruisent les archives historiques.
Chapitre 6 : Comment les Romains ont fait la guerre
Chapitre 7 : Quelle superficie de terres les Romains ont-ils cédée aux colons ?
Chapitre 8 : Pourquoi les gens quittent-ils leur lieu de naissance et migrent-ils vers d'autres pays ?
Chapitre 9 : Pourquoi les guerres éclatent-elles généralement entre grandes puissances ?
Chapitre 10 : Contrairement à une idée répandue, l’argent n’est pas le moteur de la guerre.
Chapitre 11 : Il est imprudent de s'allier avec un prince dont la réputation dépasse ses capacités.
Chapitre 12 : Quand on craint d’être attaqué, que vaut-il mieux : déclencher une guerre ou l’attendre ?
Chapitre 13 : On transforme souvent une modeste fortune en grande fortune par la ruse plutôt que par l'habileté.
Chapitre 14 : Beaucoup de gens finissent par se ruiner en croyant pouvoir vaincre l’arrogance par l’humilité.
Chapitre 15 : Une nation faible est toujours indécise dans ses décisions, et les décisions retardées sont toujours néfastes.
Chapitre 16 : Comment les soldats de notre temps ont méprisé la discipline des temps anciens
Chapitre 17 : Comment les armées d'aujourd'hui perçoivent-elles les canons, et les opinions courantes à leur sujet sont-elles valides ?
Chapitre 18 : Suivant l’autorité des Romains et les précédents des armées antiques, l’infanterie devrait être plus valorisée que la cavalerie.
Chapitre 19 : Lorsqu'une république est dépourvue d'un bon système juridique et de la capacité des Romains à conquérir de nouveaux territoires, elle n'apportera pas la prospérité mais la ruine.
Chapitre 20. Les types de dangers auxquels s'exposent les princes ou les républiques qui utilisent des renforts ou des mercenaires
Chapitre 21 Le premier pays vers lequel les Romains envoyèrent un consul à l'étranger fut Capoue ; et cela se produisit quatre cents ans après la guerre contre Capoue.
Chapitre 22 : À quelle fréquence les opinions des gens se trompent-elles gravement lorsqu'il s'agit de juger des questions importantes ?
Chapitre 23 : Lorsqu'il était nécessaire de punir les peuples conquis, les Romains évitaient les demi-mesures.
Chapitre 24 : Les forteresses sont souvent plus nuisibles qu'utiles.
Chapitre 25 Il est insensé d'attaquer une ville divisée, en espérant profiter de ses luttes intestines et en prendre le contrôle.
Chapitre 26 : Le mépris et l'insulte sans aucun bénéfice pour soi-même ne font qu'engendrer la haine.
Chapitre 27 Un prince ou une république sage se contente toujours de gagner ; sinon, il est voué à subir des pertes.
Chapitre 28 Il est dangereux pour une république ou un monarque de ne pas réparer le préjudice subi par le public ou le privé.
Chapitre 29 : Lorsque le destin veut que les gens fassent quelque chose qui va à l'encontre de ses plans, il paralyse leur intellect.
Chapitre 30 : Les républiques et les princes véritablement forts n’achètent pas leurs alliés avec de l’argent, mais les acquièrent plutôt par la vertu et une réputation de puissance.
Chapitre 31 : Il est dangereux de faire confiance aux exilés
Chapitre 32 : Les différentes méthodes utilisées par les Romains pour conquérir d'autres villes
Chapitre 33 : Les Romains donnaient pleine autorité à leurs généraux militaires.
Volume 3
Chapitre 1 : Pour qu'une religion ou une nation survive longtemps, elle doit souvent revenir à ses origines.
Chapitre 2 : Il est très judicieux de feindre la folie au bon moment.
Chapitre 3 : Pour préserver leur liberté nouvellement recouvrée, les fils de Brutus durent être tués.
Chapitre 4. Un prince qui usurpe un royaume n'est pas en sécurité tant que l'usurpateur est en vie.
Chapitre 5 : Pourquoi les rois perdent-ils leurs royaumes héréditaires ?
Chapitre 6 : Sur la conspiration
Chapitre 7 : Pourquoi la transition de la liberté à l'esclavage, et de l'esclavage à la liberté, s'accompagne parfois d'effusion de sang et parfois non.
Chapitre 8 : Celui qui cherche à changer le gouvernement d’une nation doit considérer son matériau.
Chapitre 9 : Ceux qui s'attendent toujours à avoir de la chance doivent s'adapter à leur époque.
Chapitre 10 : Lorsque l'ennemi utilise tous les moyens pour engager le combat, le général ne peut l'éviter.
Chapitre 11 : Celui qui doit combattre de nombreux ennemis, même lorsqu'il est désavantagé, sera victorieux s'il peut repousser la première attaque.
Chapitre 12 : Un général sage utilise tous les moyens pour faire comprendre à ses soldats la nécessité du combat et pour priver l'ennemi de cette nécessité.
Chapitre 13 : Lequel est le plus digne de confiance : un bon général avec une armée faible ou un général faible avec une bonne armée ?
Chapitre 14 : Sur les effets de l'utilisation de nouvelles stratégies ou des cris inattendus au combat
Chapitre 15 : Un seul général, et non plusieurs, doit diriger une armée ; trop de capitaines feront couler le navire.
Chapitre 16 : Dans les périodes difficiles, on recherche les gens pour leurs véritables compétences (virtuosité), tandis qu'en temps normal, ce sont ceux qui ont de la richesse ou des relations familiales, plutôt que ceux qui ont des compétences, qui sont très recherchés.
Chapitre 17 : Ne confiez jamais de tâches ou d’ordres importants à quelqu’un qui a déjà perdu la raison.
Chapitre 18 : Le devoir le plus important d'un général est de déceler les plans stratégiques de l'ennemi
Chapitre 19 : La clémence est-elle plus nécessaire que la punition pour contrôler la majorité ?
Chapitre 20 : Le cas des Falisques, dont la bonne volonté fut plus efficace que toute la force de Rome
Chapitre 21 : Les actions d'Hannibal étaient différentes de celles de Scipion, et pourquoi Hannibal a-t-il obtenu les mêmes résultats en Espagne que Scipion ?
Chapitre 22 : La cruauté de Manlius Torquatus et la douceur de Valerius Corvinus leur ont valu une gloire égale.
Chapitre 23 : Pourquoi Camille a été banni de Rome
Chapitre 24 : Rome fut asservie par la prolongation du mandat du commandant suprême.
Chapitre 25 : La pauvreté de Cincinnatus et de nombreux autres citoyens romains
Chapitre 26 : Comment une nation est ruinée à cause des femmes
Chapitre 27 : Comment unifier une ville divisée ; l’idée selon laquelle un dirigeant doit diviser une ville pour la gouverner est fausse
Chapitre 28 : Les citoyens doivent faire attention à leurs actions, car souvent les germes de la tyrannie sont cachés dans des actes de miséricorde.
Chapitre 29 : Les péchés du peuple proviennent du monarque
Chapitre 30 : Si un citoyen d'une république souhaite utiliser son influence pour faire le bien, il doit d'abord se débarrasser de l'envie ; et comment la défense d'une ville doit être organisée lorsqu'un ennemi avance.
Chapitre 31 : Une république forte et des hommes exceptionnels conservent un esprit et une dignité constants, quel que soit le sort qui leur soit réservé.
Chapitre 32 : Des méthodes d'obstruction des traités
Chapitre 33 : Pour gagner une bataille, il est essentiel que l'armée ait confiance en elle-même et en son général.
Chapitre 34 : Quel genre de réputation, de rumeur ou d'opinion incite le peuple à favoriser un citoyen ; et si le peuple est beaucoup plus sage que le prince pour nommer des fonctionnaires.
Chapitre 35 : Les dangers de prendre l’initiative en matière de conseils ; plus les conseils sont inhabituels, plus le danger est grand
Chapitre 36 : Pourquoi les Gaulois sont-ils si masculins au début de la bataille, et si féminins par la suite, et pourquoi cela reste-t-il le cas ?
Chapitre 37 : Une escarmouche est-elle nécessaire avant une bataille ? Comment se renseigner sur un nouvel ennemi tout en évitant les escarmouches
Chapitre 38 : Qualités d’un général qui inspire confiance à l’armée
Chapitre 39 : Un général doit connaître le terrain
Chapitre 40 : L’usage de la tromperie à la guerre mérite la gloire
Chapitre 41. La patrie doit être défendue, que ce soit par ignorance ou par gloire ; quelle que soit la méthode, si elle est efficace, elle est appropriée.
Chapitre 42 : Ne tenez pas les promesses faites sous la contrainte
Chapitre 43 : Les personnes nées dans la même région présentent presque la même nature à travers les âges.
Chapitre 44 : Par la violence et l’audace, nous obtenons souvent ce que nous ne pourrions jamais obtenir par des moyens ordinaires.
Chapitre 45 : Quelle est la meilleure tactique à la guerre : recevoir l'attaque de l'ennemi puis la contrer, ou attaquer l'ennemi férocement dès le début ?
Chapitre 46 : Pourquoi les familles de certaines villes conservent-elles les mêmes habitudes pendant si longtemps ?
Chapitre 47 : Un bon citoyen qui aime sa ville natale doit oublier ses rancunes personnelles.
Chapitre 48 : Lorsque l’ennemi semble commettre une grave erreur, nous devons soupçonner qu’il dissimule une tromperie.
Chapitre 49. Qu'une république, si elle veut rester libre, a besoin d'une action nouvelle et toujours tournée vers l'avenir ; et quelles excellentes qualités ont fait que Quintius Fabius a été appelé Maximus.
Chronologie de Machiavel
Note du traducteur
Note du traducteur pour l'édition révisée
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Salutations de Niccolò Machiavelli aux Zanobi Buondelmonti et Cosimo Rucellai
Volume 1
La valeur de l'histoire à la porte ouest
Chapitre 1 : De l'origine des villes en général, et de Rome en particulier
Chapitre 2 Combien existe-t-il de types d'États, et à quel type appartient la République romaine ?
Chapitre 3 : L’établissement du Tribunal à Rome ? Un événement qui a rendu l’État plus parfait
Chapitre 4 : Le conflit entre la plèbe et le Sénat a rendu la République romaine libre et puissante
Chapitre 5. Lequel, le peuple ou les nobles, protège le mieux la liberté ? Et qui est à l’origine des conflits, ceux qui recherchent un nouveau pouvoir ou ceux qui cherchent à conserver le pouvoir existant ?
Chapitre 6 : Un gouvernement aurait-il pu être établi à Rome qui aurait éliminé le conflit entre le peuple et le Sénat ?
Chapitre 7. Dans une République, le droit d’accuser et de dénoncer est essentiel à la protection de la liberté.
Chapitre 8 : Si les accusations et les calomnies sont bénéfiques à l’État, la diffamation est nuisible.
Chapitre 9. La tâche de créer une nouvelle république ou de renverser complètement l'ancien système et de le réformer doit être entreprise par une seule personne.
Chapitre 10 : Les fondateurs des républiques et des royaumes méritent la gloire, tandis que les fondateurs des tyrannies méritent le blâme.
Chapitre 11 : De la religion des Romains
Chapitre 12 : Combien il est important de permettre à la religion d’exercer une grande influence, et comment l’Italie a été ruinée par la conduite de l’Église romaine.
Chapitre 13 : Comment les Romains ont utilisé la religion pour réformer les institutions de la ville, mener des affaires et résoudre les conflits internes
Chapitre 14 Les Romains interprétaient la divination selon les circonstances, et même lorsqu'ils étaient contraints de ne pas tenir compte des exigences de leur religion, ils conservaient soigneusement une apparence d'observance religieuse ; et si quelqu'un était trop prompt à ne pas tenir compte de leur religion, ils le punissaient.
Chapitre 15 : Les Samnites se sont tournés vers la religion en dernier recours pour surmonter leur crise
Chapitre 16 : Un peuple habitué à la monarchie aura du mal à conserver sa liberté, même si elle est rétablie par hasard.
Chapitre 17 : Il est très difficile pour un peuple corrompu de conserver sa liberté, même lorsqu'il l'a acquise.
Chapitre 18 : Comment un gouvernement libre, s'il existe déjà dans une ville corrompue, peut être maintenu ; et comment il peut être établi s'il n'existe pas déjà.
Chapitre 19 : Même un monarque faible peut conserver sa position s'il succède à un monarque fort ; mais si des monarques faibles se succèdent, le royaume ne peut plus être maintenu.
Chapitre 20 : Lorsque deux monarques compétents se succèdent, de grandes réalisations sont accomplies ; une république bien organisée produit inévitablement une succession de dirigeants compétents et, de ce fait, la puissance nationale est grandement renforcée.
Chapitre 21 : Un prince ou une république qui n’a pas d’armée propre doit être sévèrement condamné.
Chapitre 22 : Qu'y a-t-il de remarquable dans le duel qui opposa les trois guerriers de la famille des Horaces de Rome aux trois guerriers de la famille des Curiaces d'Albe ?
Chapitre 23 : Un général ne doit pas risquer toute sa fortune dans une bataille où il n'a pas pleinement déployé toutes ses forces ; pour la même raison, il est extrêmement dangereux de ne défendre que des points stratégiques.
Chapitre 24 : Une république bien organisée a un système clair de récompenses et de punitions pour ses citoyens, et ne tolère pas les actes répréhensibles pour des actes méritoires.
Chapitre 25. Celui qui veut réformer un gouvernement établi de longue date dans un pays libre doit au moins préserver l'apparence de l'ancien système.
Chapitre 26 : Un nouveau prince doit tout réorganiser dans la ville ou le territoire qu'il conquiert.
Chapitre 27 : Il est rare qu'une personne soit complètement mauvaise ou complètement bonne.
Chapitre 28 : Pourquoi les Romains étaient-ils moins ingrats envers leur propre peuple que les Athéniens ?
Chapitre 29 : Qui est le plus ingrat, le peuple ou le monarque ?
Chapitre 30 : Comment les princes et les républiques peuvent éviter le vice de l'ingratitude, et comment les citoyens et les généraux peuvent éviter le mal de l'ingratitude
Chapitre 31 Les généraux romains n'étaient jamais excessivement punis pour leurs erreurs ; même si leur incompétence ou leurs plans défectueux causaient des dommages à Rome, ils n'étaient pas punis pour cela.
Chapitre 32 Une république ou un prince ne doit pas tarder à accorder des faveurs au peuple jusqu'à ce que cela soit absolument nécessaire.
Chapitre 33 : Lorsqu'un grand danger menace une nation, qu'il vienne de l'intérieur ou de l'extérieur, il est beaucoup plus sûr de le retarder et de le gérer que de l'attaquer directement.
Chapitre 34 : Le pouvoir de la dictature temporaire des consuls fut utile, et non nuisible, à la République romaine ; et ce n'est pas le pouvoir donné par des élections libres, mais le pouvoir usurpé par les citoyens eux-mêmes, qui détruisit le gouvernement civil.
Chapitre 35 : Comment les Dix Romains, bien qu’élus au suffrage libre et universel, devinrent si nuisibles à la liberté de la République
Chapitre 36 : Les citoyens occupant des positions élevées ne doivent pas mépriser ceux qui occupent des positions inférieures.
Chapitre 37. La discorde causée par les lois agraires à Rome ; L'adoption de lois à effets rétroactifs, contraires aux coutumes anciennes, provoque la discorde dans la République.
Chapitre 38 : Les républiques faibles sont indécises et indécises ; et même lorsqu'elles prennent des décisions, celles-ci sont imposées par la nécessité plutôt que par choix.
Chapitre 39 La même chose se produit souvent chez différents peuples.
Chapitre 40 : La création du Conseil des Dix à Rome et les leçons à tirer de cet événement ; et surtout, comment un tel événement pouvait soit sauver la République, soit la conduire à la tyrannie.
Chapitre 41 : Il est imprudent et inutile de passer de l’humilité à l’arrogance, de la miséricorde à la cruauté, sans prendre les étapes intermédiaires appropriées.
Chapitre 42 : À quel point les êtres humains sont-ils faciles à acheter ?
Chapitre 43 : Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont vraiment de bons et loyaux soldats.
Chapitre 44 : Une multitude sans chef est impuissante ; ne menacez pas d’abord et n’exigez pas ensuite le pouvoir.
Chapitre 45 : C'est un mauvais précédent pour un dirigeant de désobéir à une loi, surtout à celui qui l'a édictée ; et il est très dangereux pour un dirigeant de commettre quotidiennement de nouveaux méfaits et de harceler le peuple.
Chapitre 46 : L’homme passe d’une ambition à l’autre ; au début il cherche à ne pas être attaqué, mais plus tard il cherche à attaquer.
Chapitre 47 : On peut facilement tromper les humains par des généralités, mais on ne les trompe pas facilement par des détails.
Chapitre 48 : Celui qui souhaite qu'une charge ne soit pas confiée à une personne vile ou méchante, devrait demander qu'elle soit confiée à une personne beaucoup plus vile et méchante, ou à une personne très noble et bonne.
Chapitre 49 : Si même les villes qui ont commencé comme libres, comme Rome, ont beaucoup de mal à promulguer des lois qui les préserveraient, les villes qui viennent de sortir de l'esclavage sont encore moins susceptibles de le faire.
Chapitre 50 Aucune commission ni aucun office n'a le pouvoir de suspendre le gouvernement de l'État.
Chapitre 51 : Qu’il s’agisse d’un monarque ou d’une république, même contraints de prendre certaines mesures, ils doivent en manifester la volonté. 55
Chapitre 52. Si l’on veut réprimer l’ambition de quiconque qui aspire à accéder au plus haut poste de pouvoir dans une république, il n’y a pas de moyen plus sûr et moins dangereux que de lui barrer la route vers ce pouvoir.
Chapitre 53 : Les hommes, trompés par la beauté superficielle, prennent souvent des décisions qui mènent à leur propre ruine ; et ils sont facilement touchés par de grands espoirs et de fortes promesses.
Chapitre 54 : Le pouvoir des personnes influentes de contrôler les foules excitées
Chapitre 55 : Dans une ville où le peuple n’est pas corrompu, les affaires publiques sont faciles à gérer ; là où règne l’égalité, une monarchie ne peut être établie, et là où règne l’absence d’égalité, une république ne peut être établie.
Chapitre 56 : Avant qu'un événement majeur ne survienne dans une ville ou une région, il y a toujours un présage ou un prophète qui l'annonce.
Chapitre 57 : Les gens du peuple sont audacieux en groupe, mais timides individuellement.
Chapitre 58 : La multitude est plus sage et plus stable qu'un prince.
Chapitre 59 : Quelle alliance est la plus digne de confiance : l'alliance avec la République ou l'alliance avec le Monarque ?
Chapitre 60 : À Rome, il n'y avait pas de limite d'âge pour la nomination des consuls et autres fonctionnaires.
Volume 2
introduction
Chapitre 1 : Les Romains ont-ils étendu leur empire par virtuosité ou par chance ?
Chapitre 2. Contre quels peuples les Romains ont-ils dû se battre, et avec quelle ténacité ils ont résisté pour préserver leur liberté ?
Chapitre 3 Rome devint une grande ville en conquérant les villes environnantes et en acceptant volontiers des étrangers à des postes importants.
Chapitre 4 La République a utilisé trois méthodes pour étendre son territoire.
Chapitre 5 : Le Déluge et la Peste noire, ainsi que les changements de religion et de langue, détruisent les archives historiques.
Chapitre 6 : Comment les Romains ont fait la guerre
Chapitre 7 : Quelle superficie de terres les Romains ont-ils cédée aux colons ?
Chapitre 8 : Pourquoi les gens quittent-ils leur lieu de naissance et migrent-ils vers d'autres pays ?
Chapitre 9 : Pourquoi les guerres éclatent-elles généralement entre grandes puissances ?
Chapitre 10 : Contrairement à une idée répandue, l’argent n’est pas le moteur de la guerre.
Chapitre 11 : Il est imprudent de s'allier avec un prince dont la réputation dépasse ses capacités.
Chapitre 12 : Quand on craint d’être attaqué, que vaut-il mieux : déclencher une guerre ou l’attendre ?
Chapitre 13 : On transforme souvent une modeste fortune en grande fortune par la ruse plutôt que par l'habileté.
Chapitre 14 : Beaucoup de gens finissent par se ruiner en croyant pouvoir vaincre l’arrogance par l’humilité.
Chapitre 15 : Une nation faible est toujours indécise dans ses décisions, et les décisions retardées sont toujours néfastes.
Chapitre 16 : Comment les soldats de notre temps ont méprisé la discipline des temps anciens
Chapitre 17 : Comment les armées d'aujourd'hui perçoivent-elles les canons, et les opinions courantes à leur sujet sont-elles valides ?
Chapitre 18 : Suivant l’autorité des Romains et les précédents des armées antiques, l’infanterie devrait être plus valorisée que la cavalerie.
Chapitre 19 : Lorsqu'une république est dépourvue d'un bon système juridique et de la capacité des Romains à conquérir de nouveaux territoires, elle n'apportera pas la prospérité mais la ruine.
Chapitre 20. Les types de dangers auxquels s'exposent les princes ou les républiques qui utilisent des renforts ou des mercenaires
Chapitre 21 Le premier pays vers lequel les Romains envoyèrent un consul à l'étranger fut Capoue ; et cela se produisit quatre cents ans après la guerre contre Capoue.
Chapitre 22 : À quelle fréquence les opinions des gens se trompent-elles gravement lorsqu'il s'agit de juger des questions importantes ?
Chapitre 23 : Lorsqu'il était nécessaire de punir les peuples conquis, les Romains évitaient les demi-mesures.
Chapitre 24 : Les forteresses sont souvent plus nuisibles qu'utiles.
Chapitre 25 Il est insensé d'attaquer une ville divisée, en espérant profiter de ses luttes intestines et en prendre le contrôle.
Chapitre 26 : Le mépris et l'insulte sans aucun bénéfice pour soi-même ne font qu'engendrer la haine.
Chapitre 27 Un prince ou une république sage se contente toujours de gagner ; sinon, il est voué à subir des pertes.
Chapitre 28 Il est dangereux pour une république ou un monarque de ne pas réparer le préjudice subi par le public ou le privé.
Chapitre 29 : Lorsque le destin veut que les gens fassent quelque chose qui va à l'encontre de ses plans, il paralyse leur intellect.
Chapitre 30 : Les républiques et les princes véritablement forts n’achètent pas leurs alliés avec de l’argent, mais les acquièrent plutôt par la vertu et une réputation de puissance.
Chapitre 31 : Il est dangereux de faire confiance aux exilés
Chapitre 32 : Les différentes méthodes utilisées par les Romains pour conquérir d'autres villes
Chapitre 33 : Les Romains donnaient pleine autorité à leurs généraux militaires.
Volume 3
Chapitre 1 : Pour qu'une religion ou une nation survive longtemps, elle doit souvent revenir à ses origines.
Chapitre 2 : Il est très judicieux de feindre la folie au bon moment.
Chapitre 3 : Pour préserver leur liberté nouvellement recouvrée, les fils de Brutus durent être tués.
Chapitre 4. Un prince qui usurpe un royaume n'est pas en sécurité tant que l'usurpateur est en vie.
Chapitre 5 : Pourquoi les rois perdent-ils leurs royaumes héréditaires ?
Chapitre 6 : Sur la conspiration
Chapitre 7 : Pourquoi la transition de la liberté à l'esclavage, et de l'esclavage à la liberté, s'accompagne parfois d'effusion de sang et parfois non.
Chapitre 8 : Celui qui cherche à changer le gouvernement d’une nation doit considérer son matériau.
Chapitre 9 : Ceux qui s'attendent toujours à avoir de la chance doivent s'adapter à leur époque.
Chapitre 10 : Lorsque l'ennemi utilise tous les moyens pour engager le combat, le général ne peut l'éviter.
Chapitre 11 : Celui qui doit combattre de nombreux ennemis, même lorsqu'il est désavantagé, sera victorieux s'il peut repousser la première attaque.
Chapitre 12 : Un général sage utilise tous les moyens pour faire comprendre à ses soldats la nécessité du combat et pour priver l'ennemi de cette nécessité.
Chapitre 13 : Lequel est le plus digne de confiance : un bon général avec une armée faible ou un général faible avec une bonne armée ?
Chapitre 14 : Sur les effets de l'utilisation de nouvelles stratégies ou des cris inattendus au combat
Chapitre 15 : Un seul général, et non plusieurs, doit diriger une armée ; trop de capitaines feront couler le navire.
Chapitre 16 : Dans les périodes difficiles, on recherche les gens pour leurs véritables compétences (virtuosité), tandis qu'en temps normal, ce sont ceux qui ont de la richesse ou des relations familiales, plutôt que ceux qui ont des compétences, qui sont très recherchés.
Chapitre 17 : Ne confiez jamais de tâches ou d’ordres importants à quelqu’un qui a déjà perdu la raison.
Chapitre 18 : Le devoir le plus important d'un général est de déceler les plans stratégiques de l'ennemi
Chapitre 19 : La clémence est-elle plus nécessaire que la punition pour contrôler la majorité ?
Chapitre 20 : Le cas des Falisques, dont la bonne volonté fut plus efficace que toute la force de Rome
Chapitre 21 : Les actions d'Hannibal étaient différentes de celles de Scipion, et pourquoi Hannibal a-t-il obtenu les mêmes résultats en Espagne que Scipion ?
Chapitre 22 : La cruauté de Manlius Torquatus et la douceur de Valerius Corvinus leur ont valu une gloire égale.
Chapitre 23 : Pourquoi Camille a été banni de Rome
Chapitre 24 : Rome fut asservie par la prolongation du mandat du commandant suprême.
Chapitre 25 : La pauvreté de Cincinnatus et de nombreux autres citoyens romains
Chapitre 26 : Comment une nation est ruinée à cause des femmes
Chapitre 27 : Comment unifier une ville divisée ; l’idée selon laquelle un dirigeant doit diviser une ville pour la gouverner est fausse
Chapitre 28 : Les citoyens doivent faire attention à leurs actions, car souvent les germes de la tyrannie sont cachés dans des actes de miséricorde.
Chapitre 29 : Les péchés du peuple proviennent du monarque
Chapitre 30 : Si un citoyen d'une république souhaite utiliser son influence pour faire le bien, il doit d'abord se débarrasser de l'envie ; et comment la défense d'une ville doit être organisée lorsqu'un ennemi avance.
Chapitre 31 : Une république forte et des hommes exceptionnels conservent un esprit et une dignité constants, quel que soit le sort qui leur soit réservé.
Chapitre 32 : Des méthodes d'obstruction des traités
Chapitre 33 : Pour gagner une bataille, il est essentiel que l'armée ait confiance en elle-même et en son général.
Chapitre 34 : Quel genre de réputation, de rumeur ou d'opinion incite le peuple à favoriser un citoyen ; et si le peuple est beaucoup plus sage que le prince pour nommer des fonctionnaires.
Chapitre 35 : Les dangers de prendre l’initiative en matière de conseils ; plus les conseils sont inhabituels, plus le danger est grand
Chapitre 36 : Pourquoi les Gaulois sont-ils si masculins au début de la bataille, et si féminins par la suite, et pourquoi cela reste-t-il le cas ?
Chapitre 37 : Une escarmouche est-elle nécessaire avant une bataille ? Comment se renseigner sur un nouvel ennemi tout en évitant les escarmouches
Chapitre 38 : Qualités d’un général qui inspire confiance à l’armée
Chapitre 39 : Un général doit connaître le terrain
Chapitre 40 : L’usage de la tromperie à la guerre mérite la gloire
Chapitre 41. La patrie doit être défendue, que ce soit par ignorance ou par gloire ; quelle que soit la méthode, si elle est efficace, elle est appropriée.
Chapitre 42 : Ne tenez pas les promesses faites sous la contrainte
Chapitre 43 : Les personnes nées dans la même région présentent presque la même nature à travers les âges.
Chapitre 44 : Par la violence et l’audace, nous obtenons souvent ce que nous ne pourrions jamais obtenir par des moyens ordinaires.
Chapitre 45 : Quelle est la meilleure tactique à la guerre : recevoir l'attaque de l'ennemi puis la contrer, ou attaquer l'ennemi férocement dès le début ?
Chapitre 46 : Pourquoi les familles de certaines villes conservent-elles les mêmes habitudes pendant si longtemps ?
Chapitre 47 : Un bon citoyen qui aime sa ville natale doit oublier ses rancunes personnelles.
Chapitre 48 : Lorsque l’ennemi semble commettre une grave erreur, nous devons soupçonner qu’il dissimule une tromperie.
Chapitre 49. Qu'une république, si elle veut rester libre, a besoin d'une action nouvelle et toujours tournée vers l'avenir ; et quelles excellentes qualités ont fait que Quintius Fabius a été appelé Maximus.
Chronologie de Machiavel
Note du traducteur
Note du traducteur pour l'édition révisée
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Avis de l'éditeur
Machiavel,
Le plus grand penseur politique de l'Italie de la Renaissance
Machiavel était un écrivain, homme politique et théoricien politique italien de la Renaissance.
En 1498, à l'âge de 30 ans, il rejoignit la République florentine et fut envoyé en mission diplomatique à la cour de Louis XII de France.
La principale mission de l'envoyé florentin à l'époque était d'obtenir la coopération militaire française dans le cadre de l'attaque de Florence contre Pise.
En 1503, il fut envoyé à Rome, où il eut l'occasion de voir le pape Jules II de près.
Jules II devint pape grâce à l'aide de César Borgia, fils du précédent pape, Alexandre VI, et accrut ensuite son pouvoir par des actions décisives.
Machiavel semble avoir été grandement influencé par la sagesse pratique de Jules II.
Le Prince, qu'il écrivit plus tard, est basé sur ses expériences et observations marquantes en tant qu'envoyé diplomatique.
Lorsque la famille Médicis reprit le contrôle de Florence en 1512, Machiavel fut destitué de ses fonctions publiques.
Pour ne rien arranger, l'année suivante, il fut arrêté, torturé et emprisonné, soupçonné d'être impliqué dans un complot manqué visant à renverser la famille Médicis.
Peu après sa libération grâce à une grâce spéciale, il commença à préparer sa carrière politique et, dans le cadre de ce projet, il écrivit Le Prince vers la fin de l'année 1513.
Cependant, le plan de Machiavel échoua car Laurent de Médicis, à qui le livre était dédié, ne l'aurait même pas lu.
Toutefois, durant cette période, Machiavel commença à rencontrer des républicains et, grâce à ses échanges avec eux, il prit conscience du sens et de la valeur d'une république.
Sur cette base, il a écrit un commentaire sur les dix premiers livres de l'« Histoire romaine » de Tite-Live, qui constituent les « Discours sur l'histoire romaine ».
Ce livre, le chef-d'œuvre de Machiavel, est considéré à bien des égards comme une œuvre originale.
Machiavel et le machiavélisme,
Ouvrir l'origine de la modernité
La contribution majeure de Machiavel à l'histoire de la pensée politique moderne réside dans le fait qu'il a clairement affirmé que la politique est distincte d'autres domaines tels que l'éthique et la religion, et qu'il a en outre soutenu qu'elle devait être libre de toute influence religieuse et éthique.
De cette manière, il a pu représenter idéologiquement la pensée politique du réalisme et défendre politiquement la légitimité de l'État moderne centralisé qui émergeait à cette époque.
Ceci s'explique par le fait que Machiavel a été considéré comme la figure qui a ouvert la voie à la modernité dans l'histoire de la pensée politique occidentale, car il a poursuivi et mis en œuvre avec rigueur le mouvement de sécularisation qui se développait depuis la Renaissance dans la sphère politique.
Dans ce prolongement, on trouve le « machiavélisme ».
Le machiavélisme, en termes simples, signifie « ne considérer que l’efficacité et l’utilité, indépendamment de la moralité des moyens employés, pour le bien public, et notamment pour l’intérêt national ».
Cette attitude de Machiavel est également bien révélée dans les « Discours sur l'histoire romaine ».
« Lorsque la sécurité de son propre pays est absolument en jeu, il n’est absolument pas nécessaire de se demander si quelque chose est juste ou injuste, miséricordieux ou cruel, louable ou honteux. »
Au contraire, faisant abstraction de tout scrupule de conscience, l'homme doit suivre, dans toute la mesure du possible, le plan dont il dispose, quel qu'il soit, afin de préserver la survie et la liberté de son pays.
Cette théorie détermine les paroles et les actions que les Français emploient pour défendre la majesté de leur roi et la puissance de leur royaume. (p. 633)
Ainsi, le cœur du machiavélisme réside dans « l’intérêt public ».
Mais beaucoup de gens comprennent mal cette partie.
C’est-à-dire « poursuivre uniquement les intérêts d’un individu ou d’une faction » ou « un mode de vie en société dans lequel on n’hésite pas à sacrifier les autres pour ses propres intérêts ».
Cependant, cette attitude fut vivement critiquée par Machiavel.
Bien sûr, Machiavel est également responsable du mauvais usage et de la confusion qui règnent autour du machiavélisme.
Cela s'explique par le fait qu'il n'a pas clairement distingué les attitudes politiques à adopter aux différents niveaux de la vie, notamment dans la sphère publique et la sphère privée. Les Discours sur l'histoire romaine sont d'une grande utilité pour comprendre précisément le machiavélisme.
« Ceux qui sont nés dans la République devraient suivre cet exemple et s’efforcer de se distinguer par un acte extraordinaire dans leur jeunesse. »
Nombre de Romains ont acquis la célébrité dans leur jeunesse en proposant des lois pour le bien public, en accusant un citoyen éminent d'avoir enfreint la loi, ou par tout autre acte remarquable et original qui les a fait connaître du peuple. (p. 611)
Le plus grand penseur politique de l'Italie de la Renaissance
Machiavel était un écrivain, homme politique et théoricien politique italien de la Renaissance.
En 1498, à l'âge de 30 ans, il rejoignit la République florentine et fut envoyé en mission diplomatique à la cour de Louis XII de France.
La principale mission de l'envoyé florentin à l'époque était d'obtenir la coopération militaire française dans le cadre de l'attaque de Florence contre Pise.
En 1503, il fut envoyé à Rome, où il eut l'occasion de voir le pape Jules II de près.
Jules II devint pape grâce à l'aide de César Borgia, fils du précédent pape, Alexandre VI, et accrut ensuite son pouvoir par des actions décisives.
Machiavel semble avoir été grandement influencé par la sagesse pratique de Jules II.
Le Prince, qu'il écrivit plus tard, est basé sur ses expériences et observations marquantes en tant qu'envoyé diplomatique.
Lorsque la famille Médicis reprit le contrôle de Florence en 1512, Machiavel fut destitué de ses fonctions publiques.
Pour ne rien arranger, l'année suivante, il fut arrêté, torturé et emprisonné, soupçonné d'être impliqué dans un complot manqué visant à renverser la famille Médicis.
Peu après sa libération grâce à une grâce spéciale, il commença à préparer sa carrière politique et, dans le cadre de ce projet, il écrivit Le Prince vers la fin de l'année 1513.
Cependant, le plan de Machiavel échoua car Laurent de Médicis, à qui le livre était dédié, ne l'aurait même pas lu.
Toutefois, durant cette période, Machiavel commença à rencontrer des républicains et, grâce à ses échanges avec eux, il prit conscience du sens et de la valeur d'une république.
Sur cette base, il a écrit un commentaire sur les dix premiers livres de l'« Histoire romaine » de Tite-Live, qui constituent les « Discours sur l'histoire romaine ».
Ce livre, le chef-d'œuvre de Machiavel, est considéré à bien des égards comme une œuvre originale.
Machiavel et le machiavélisme,
Ouvrir l'origine de la modernité
La contribution majeure de Machiavel à l'histoire de la pensée politique moderne réside dans le fait qu'il a clairement affirmé que la politique est distincte d'autres domaines tels que l'éthique et la religion, et qu'il a en outre soutenu qu'elle devait être libre de toute influence religieuse et éthique.
De cette manière, il a pu représenter idéologiquement la pensée politique du réalisme et défendre politiquement la légitimité de l'État moderne centralisé qui émergeait à cette époque.
Ceci s'explique par le fait que Machiavel a été considéré comme la figure qui a ouvert la voie à la modernité dans l'histoire de la pensée politique occidentale, car il a poursuivi et mis en œuvre avec rigueur le mouvement de sécularisation qui se développait depuis la Renaissance dans la sphère politique.
Dans ce prolongement, on trouve le « machiavélisme ».
Le machiavélisme, en termes simples, signifie « ne considérer que l’efficacité et l’utilité, indépendamment de la moralité des moyens employés, pour le bien public, et notamment pour l’intérêt national ».
Cette attitude de Machiavel est également bien révélée dans les « Discours sur l'histoire romaine ».
« Lorsque la sécurité de son propre pays est absolument en jeu, il n’est absolument pas nécessaire de se demander si quelque chose est juste ou injuste, miséricordieux ou cruel, louable ou honteux. »
Au contraire, faisant abstraction de tout scrupule de conscience, l'homme doit suivre, dans toute la mesure du possible, le plan dont il dispose, quel qu'il soit, afin de préserver la survie et la liberté de son pays.
Cette théorie détermine les paroles et les actions que les Français emploient pour défendre la majesté de leur roi et la puissance de leur royaume. (p. 633)
Ainsi, le cœur du machiavélisme réside dans « l’intérêt public ».
Mais beaucoup de gens comprennent mal cette partie.
C’est-à-dire « poursuivre uniquement les intérêts d’un individu ou d’une faction » ou « un mode de vie en société dans lequel on n’hésite pas à sacrifier les autres pour ses propres intérêts ».
Cependant, cette attitude fut vivement critiquée par Machiavel.
Bien sûr, Machiavel est également responsable du mauvais usage et de la confusion qui règnent autour du machiavélisme.
Cela s'explique par le fait qu'il n'a pas clairement distingué les attitudes politiques à adopter aux différents niveaux de la vie, notamment dans la sphère publique et la sphère privée. Les Discours sur l'histoire romaine sont d'une grande utilité pour comprendre précisément le machiavélisme.
« Ceux qui sont nés dans la République devraient suivre cet exemple et s’efforcer de se distinguer par un acte extraordinaire dans leur jeunesse. »
Nombre de Romains ont acquis la célébrité dans leur jeunesse en proposant des lois pour le bien public, en accusant un citoyen éminent d'avoir enfreint la loi, ou par tout autre acte remarquable et original qui les a fait connaître du peuple. (p. 611)
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 22 février 2018
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 680 pages | 1 116 g | 153 × 224 × 35 mm
- ISBN13 : 9788935664740
- ISBN10 : 893566474X
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