
Branchies (récupération)
Description
Introduction au livre
Le chef-d'œuvre du romancier Gu Byeong-mo, « Les Branchies », a été revisité.
« Branchies » est un conte de fées magnifique et cruel qui dépeint le triste destin d'un garçon qui acquiert des branchies au seuil de la mort.
Gon, qui respire par des branchies et nage dans le lac d'un bleu profond, arbore des écailles éblouissantes.
Le garçon, qui cache son identité et vit isolé du monde, ne ressent une liberté sans limites que dans l'eau.
Kang-ha, qui a donné à Gon un nouveau nom et une nouvelle vie, et Hae-ryu, qui lui a sauvé la vie grâce à l'aide de Gon.
Dans les eaux maudites de la vie, l'histoire de ceux qui sont abandonnés et aliénés par le monde, qui souhaitent désespérément respirer aujourd'hui et demain, se déroule de façon mystérieuse et magnifique.
« Branchies » est un conte de fées magnifique et cruel qui dépeint le triste destin d'un garçon qui acquiert des branchies au seuil de la mort.
Gon, qui respire par des branchies et nage dans le lac d'un bleu profond, arbore des écailles éblouissantes.
Le garçon, qui cache son identité et vit isolé du monde, ne ressent une liberté sans limites que dans l'eau.
Kang-ha, qui a donné à Gon un nouveau nom et une nouvelle vie, et Hae-ryu, qui lui a sauvé la vie grâce à l'aide de Gon.
Dans les eaux maudites de la vie, l'histoire de ceux qui sont abandonnés et aliénés par le monde, qui souhaitent désespérément respirer aujourd'hui et demain, se déroule de façon mystérieuse et magnifique.
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Gill 7
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Dans le livre
Maintenant, peu m'importe que ce soit une personne, un poisson, ou même Nessie.
La seule chose qui compte, c'est qu'il m'ait donné une autre chance de vivre, et je dois rentrer chez moi, m'occuper de ma mère, travailler dur pour gagner de l'argent et renouveler mon contrat.
Il n'y a vraiment aucune chance que cela se reproduise, mais si je retombe à l'eau, je n'aurai pas la chance de rencontrer deux fois le prince des sirènes, alors je continuerai à agiter les bras.
Que puis-je faire d'autre si je dois nager ?
Peut-être que le monde lui-même est un puits sans fond.
--- p.22
J'ignore son nom, mais comme la nageoire caudale de ce minuscule poisson argenté qui frémit parmi les plantes aquatiques est délicate ! Comme la ponte d'œufs laiteux, dispersée à l'ombre derrière les rochers, est fragile et précaire, et pourtant, comme elle scintille sous la lumière réfléchie ! Comme les écailles des poissons changent de couleur selon l'angle et la direction du regard ! Et comme certains poissons sont humides, doux et même collants au toucher, au point qu'on a l'impression d'être aspiré et de ne faire qu'un avec eux dès qu'on les effleure ! Surtout, comme on peut mystérieusement, par intuition, communiquer avec des poissons qui ne communiquent pas avec nous, simplement en se touchant la peau, par des gestes qui relèvent d'une force spirituelle ou d'une foi profonde.
Mais pour raconter toute cette histoire, il a fallu remonter le courant jusqu'à la rivière.
--- pp.69~70
Ce satané poisson, ce poisson, ce poisson ! Il n'y avait pas lieu de s'inquiéter pour la vie ou la mort de Gon. Une fois sorti de l'eau, si les adultes s'interrogeaient sur son extraordinaire capacité pulmonaire et le questionnaient, il pourrait simplement balayer la question d'un revers de main ou l'ignorer. Mais ce que Kang-ha ne supportait pas, c'était la profondeur du lac, le fond du lac qu'il ne pourrait jamais atteindre.
C'était le sentiment de distance qui découlait du fait que Gon se trouvait dans un endroit où il ne pouvait pas aller, et la pensée qu'un jour Gon pourrait vraiment devenir un poisson et nager profondément au milieu d'un banc d'autres poissons, pour ne plus jamais être revu.
Au fond du labyrinthe secoué par les prémonitions, il ne restait que les vestiges d'une colère et d'une jalousie perdues.
D'innombrables scènes qui ne s'étaient pas encore produites se déchaînaient dans la réalité, s'affranchissant du cadre de l'imagination.
--- pp.97~98
"joli."
Alors, Gon eut l'impression que son corps, qui s'était affairé à se cacher partout où il allait pour ne pas être mis en pièces sur une planche à découper comme un poisson, pour ne pas être découpé en morceaux sur une planche à découper, pour qu'on extraie l'huile de foie de sa chair et de ses intestins et qu'on sépare les résidus en farine de poisson et en gâteau de poisson afin qu'ils ne finissent pas dans la gueule d'une bête, avait été sauvé par ce seul mot que personne n'avait jamais entendu.
--- p.152
« Tu ne veux pas me tuer ? »
C'était le minimum de sincérité que Gon, qui n'avait rien d'autre qu'un corps différent des autres, pouvait manifester : si Kang-ha le voulait ainsi, il n'avait rien à dire ou s'en fichait.
À ce moment-là, une flamme s'alluma à peine dans le briquet.
«…Bien sûr que j’ai envie de te tuer.»
Alors que la petite flamme s'éteignait, Gon ne put voir l'expression de Kang Ha lorsqu'il prononça ces mots.
Après avoir remis la capuche sur sa tête, Gon tira sur le cordon pour bien l'ajuster et continua de parler.
« Mais j’espère quand même que tu survivras. »
« J’aimerais que tu sois en vie ! » Soudain, Gon réalisa, comme une cascade, à quel point le mot « magnifique » qu’il avait pris pour la plus belle chose qu’il ait jamais entendue était insignifiant.
Kang-ha avait toujours espéré que les gens le verraient comme une personne, et non comme un simple poisson, mais à présent, ses paroles semblaient aller au-delà, exprimer le respect de son existence même.
--- p.185
Maman, je t'ai dit que j'avais vu une sirène. Ce vieil homme doit être le prince des sirènes qui vit dans un palais au fond de la mer.
Mais après avoir pris le médicament que lui avait donné la sorcière, il lui fit pousser deux jambes.
Pour qui le prince sirène a-t-il reçu des jambes ? Finira-t-il par se transformer en écume et se briser sous les rayons du soleil matinal ?
La seule chose qui compte, c'est qu'il m'ait donné une autre chance de vivre, et je dois rentrer chez moi, m'occuper de ma mère, travailler dur pour gagner de l'argent et renouveler mon contrat.
Il n'y a vraiment aucune chance que cela se reproduise, mais si je retombe à l'eau, je n'aurai pas la chance de rencontrer deux fois le prince des sirènes, alors je continuerai à agiter les bras.
Que puis-je faire d'autre si je dois nager ?
Peut-être que le monde lui-même est un puits sans fond.
--- p.22
J'ignore son nom, mais comme la nageoire caudale de ce minuscule poisson argenté qui frémit parmi les plantes aquatiques est délicate ! Comme la ponte d'œufs laiteux, dispersée à l'ombre derrière les rochers, est fragile et précaire, et pourtant, comme elle scintille sous la lumière réfléchie ! Comme les écailles des poissons changent de couleur selon l'angle et la direction du regard ! Et comme certains poissons sont humides, doux et même collants au toucher, au point qu'on a l'impression d'être aspiré et de ne faire qu'un avec eux dès qu'on les effleure ! Surtout, comme on peut mystérieusement, par intuition, communiquer avec des poissons qui ne communiquent pas avec nous, simplement en se touchant la peau, par des gestes qui relèvent d'une force spirituelle ou d'une foi profonde.
Mais pour raconter toute cette histoire, il a fallu remonter le courant jusqu'à la rivière.
--- pp.69~70
Ce satané poisson, ce poisson, ce poisson ! Il n'y avait pas lieu de s'inquiéter pour la vie ou la mort de Gon. Une fois sorti de l'eau, si les adultes s'interrogeaient sur son extraordinaire capacité pulmonaire et le questionnaient, il pourrait simplement balayer la question d'un revers de main ou l'ignorer. Mais ce que Kang-ha ne supportait pas, c'était la profondeur du lac, le fond du lac qu'il ne pourrait jamais atteindre.
C'était le sentiment de distance qui découlait du fait que Gon se trouvait dans un endroit où il ne pouvait pas aller, et la pensée qu'un jour Gon pourrait vraiment devenir un poisson et nager profondément au milieu d'un banc d'autres poissons, pour ne plus jamais être revu.
Au fond du labyrinthe secoué par les prémonitions, il ne restait que les vestiges d'une colère et d'une jalousie perdues.
D'innombrables scènes qui ne s'étaient pas encore produites se déchaînaient dans la réalité, s'affranchissant du cadre de l'imagination.
--- pp.97~98
"joli."
Alors, Gon eut l'impression que son corps, qui s'était affairé à se cacher partout où il allait pour ne pas être mis en pièces sur une planche à découper comme un poisson, pour ne pas être découpé en morceaux sur une planche à découper, pour qu'on extraie l'huile de foie de sa chair et de ses intestins et qu'on sépare les résidus en farine de poisson et en gâteau de poisson afin qu'ils ne finissent pas dans la gueule d'une bête, avait été sauvé par ce seul mot que personne n'avait jamais entendu.
--- p.152
« Tu ne veux pas me tuer ? »
C'était le minimum de sincérité que Gon, qui n'avait rien d'autre qu'un corps différent des autres, pouvait manifester : si Kang-ha le voulait ainsi, il n'avait rien à dire ou s'en fichait.
À ce moment-là, une flamme s'alluma à peine dans le briquet.
«…Bien sûr que j’ai envie de te tuer.»
Alors que la petite flamme s'éteignait, Gon ne put voir l'expression de Kang Ha lorsqu'il prononça ces mots.
Après avoir remis la capuche sur sa tête, Gon tira sur le cordon pour bien l'ajuster et continua de parler.
« Mais j’espère quand même que tu survivras. »
« J’aimerais que tu sois en vie ! » Soudain, Gon réalisa, comme une cascade, à quel point le mot « magnifique » qu’il avait pris pour la plus belle chose qu’il ait jamais entendue était insignifiant.
Kang-ha avait toujours espéré que les gens le verraient comme une personne, et non comme un simple poisson, mais à présent, ses paroles semblaient aller au-delà, exprimer le respect de son existence même.
--- p.185
Maman, je t'ai dit que j'avais vu une sirène. Ce vieil homme doit être le prince des sirènes qui vit dans un palais au fond de la mer.
Mais après avoir pris le médicament que lui avait donné la sorcière, il lui fit pousser deux jambes.
Pour qui le prince sirène a-t-il reçu des jambes ? Finira-t-il par se transformer en écume et se briser sous les rayons du soleil matinal ?
--- p.217
Avis de l'éditeur
Les branchies, les blessures qui nous maintiennent en vie alors que nous avons désespérément envie de respirer
« Branchies » est un conte de fées magnifique et cruel qui dépeint le triste destin d'un garçon qui acquiert des branchies au seuil de la mort.
Un homme, poussé au bord du désespoir par une série de malheurs, se jette dans un lac avec son fils dans les bras, dans un désespoir irréversible.
L'homme finit par y laisser sa vie, mais l'enfant, qui possède des branchies grâce à son instinct de survie, survit miraculeusement.
L'enfant est trouvé par un vieil homme vivant au bord du lac et son petit-fils, Kang-ha, qui le nomme « Gon » et vient vivre avec eux.
Gon, qui respire par des branchies et nage dans le lac d'un bleu profond, arbore des écailles éblouissantes.
Le garçon, qui cache son identité et vit isolé du monde, ne ressent une liberté sans limites que dans l'eau.
Kang-ha, qui a donné à Gon un nouveau nom et une nouvelle vie, et Hae-ryu, qui lui a sauvé la vie grâce à l'aide de Gon.
Dans les eaux maudites de la vie, l'histoire de ceux qui sont abandonnés et aliénés par le monde, qui souhaitent désespérément respirer aujourd'hui et demain, se déroule de façon mystérieuse et magnifique.
« Si je retombe à l’eau, je n’aurai pas la chance de rencontrer deux fois le prince des sirènes, alors je vais juste continuer à agiter les bras. »
Que puis-je faire d'autre si je dois nager ?
« Le monde lui-même est peut-être un puits sans fond. »
Un combat poignant pour la vie, un hommage aux êtres vivants et vibrants, d'une beauté éblouissante.
L'auteur Koo Byeong-mo a débuté sa carrière avec « Wizard Bakery », un ouvrage largement salué pour avoir élargi les horizons de la littérature coréenne et qui a reçu un accueil enthousiaste de la part des lecteurs.
Depuis, elle a exploré librement et sans frontières la littérature jeunesse, la littérature sérieuse, la littérature pure et la littérature de genre à travers des œuvres uniques, telles que « Breakthrough », qui propose un nouveau récit féminin à travers le personnage d'une tueuse âgée, une figure inédite dans la littérature coréenne ; « I Hope It’s Not Just Me », qui dépeint avec ténacité le portrait cruel de notre tendance à nous tourner le dos les uns aux autres dans nos vies chaotiques et qui a remporté le prix Today’s Writer Award et le prix Hwang Sun-won New Writer’s Award ; et « A Spoonful of Time », qui illustre avec tendresse les joies et les peines de l'humanité ainsi que les secrets de la vie vus à travers les yeux d'un robot.
Avec son imagination à la fois provocatrice et fantastique, ses personnages d'une vivacité et d'une profondeur saisissantes, sa prose d'une solidité et d'une densité tenaces, et ses récits qui offrent un réconfort chaleureux et apaisant, il a fermement établi un nouvel axe dans la littérature coréenne.
Le chef-d'œuvre de l'auteur Koo Byung-mo, « Gills », dépeint une réalité désespérée d'une manière fantastique et puissante, avec un attrait étonnant, un récit dense, une imagination unique et un sens profond du thème.
L'histoire se déroule autour d'un homme qui a acquis des branchies au cours d'une lutte acharnée pour sa survie, au seuil de la mort, et du destin secret mais déchirant des personnes qui l'entouraient.
Kang-ha, qui a donné à Gon un nouveau nom et une nouvelle vie, s'inquiète pour lui par une vague crainte et une jalousie que Gon ne le quitte un jour, mais il le traite brutalement en apparence.
Après avoir abandonné son fils Kang-ha et être devenue toxicomane, In-yeong revient plus d'une décennie plus tard et ressent auprès de Gon un profond sentiment de nostalgie et de réconfort.
Haeryu, las de la vie, la sauve grâce à l'aide de Gon et se trouve attiré par son mystère et son émerveillement tandis qu'il poursuit son secret.
Même si le monde nous abandonne et nous blesse, nous étions tous jadis des êtres vivants et resplendissants, respirant et nageant librement dans notre propre océan.
Ces blessures finissent par devenir les branchies qui nous permettent de respirer, et même si c'est une eau sans fond, nous sommes des êtres qui luttons farouchement pour la vie, agitant les bras de toutes nos forces.
« Gills » est un roman fascinant qui insuffle de la vie à notre quotidien monotone.
Chaque phrase est écrite avec dévotion et sincérité, une par une.
Cette œuvre de couverture a été réinterprétée par la créatrice Park Yeon-mi à partir du travail de l'artiste brodeuse Lee Eun-jeong.
La beauté qui s'épanouit à chaque goutte de sueur et de sincérité ressemble à l'univers de l'œuvre de l'artiste Koo Byung-mo, qu'il fait progresser de tout son cœur et de toute son âme, phrase après phrase.
L'artiste brodeuse Eun-Jeong Lee crée un monde en collectant les «moments» les plus précieux de la vie.
Les broderies, qui représentent l'espace du rêve et l'espace du rêve à travers des fragments des moments, des souvenirs, du temps et des émotions les plus précieux de la vie, semblent reproduire le monde mystérieux et fantastique de Gu Byeong-mo.
La couverture capture les moments les plus heureux des personnages principaux du roman, ces instants lumineux et magnifiques, et présente l'image de Gon nageant dans le lac d'un bleu profond, ses écailles étincelantes scintillant, éprouvant une liberté sans bornes.
J’espère que la lecture de ce livre procurera aux lecteurs un sentiment de repos et de réconfort, comme s’ils respiraient profondément et paisiblement dans leur propre refuge.
« Branchies » est un conte de fées magnifique et cruel qui dépeint le triste destin d'un garçon qui acquiert des branchies au seuil de la mort.
Un homme, poussé au bord du désespoir par une série de malheurs, se jette dans un lac avec son fils dans les bras, dans un désespoir irréversible.
L'homme finit par y laisser sa vie, mais l'enfant, qui possède des branchies grâce à son instinct de survie, survit miraculeusement.
L'enfant est trouvé par un vieil homme vivant au bord du lac et son petit-fils, Kang-ha, qui le nomme « Gon » et vient vivre avec eux.
Gon, qui respire par des branchies et nage dans le lac d'un bleu profond, arbore des écailles éblouissantes.
Le garçon, qui cache son identité et vit isolé du monde, ne ressent une liberté sans limites que dans l'eau.
Kang-ha, qui a donné à Gon un nouveau nom et une nouvelle vie, et Hae-ryu, qui lui a sauvé la vie grâce à l'aide de Gon.
Dans les eaux maudites de la vie, l'histoire de ceux qui sont abandonnés et aliénés par le monde, qui souhaitent désespérément respirer aujourd'hui et demain, se déroule de façon mystérieuse et magnifique.
« Si je retombe à l’eau, je n’aurai pas la chance de rencontrer deux fois le prince des sirènes, alors je vais juste continuer à agiter les bras. »
Que puis-je faire d'autre si je dois nager ?
« Le monde lui-même est peut-être un puits sans fond. »
Un combat poignant pour la vie, un hommage aux êtres vivants et vibrants, d'une beauté éblouissante.
L'auteur Koo Byeong-mo a débuté sa carrière avec « Wizard Bakery », un ouvrage largement salué pour avoir élargi les horizons de la littérature coréenne et qui a reçu un accueil enthousiaste de la part des lecteurs.
Depuis, elle a exploré librement et sans frontières la littérature jeunesse, la littérature sérieuse, la littérature pure et la littérature de genre à travers des œuvres uniques, telles que « Breakthrough », qui propose un nouveau récit féminin à travers le personnage d'une tueuse âgée, une figure inédite dans la littérature coréenne ; « I Hope It’s Not Just Me », qui dépeint avec ténacité le portrait cruel de notre tendance à nous tourner le dos les uns aux autres dans nos vies chaotiques et qui a remporté le prix Today’s Writer Award et le prix Hwang Sun-won New Writer’s Award ; et « A Spoonful of Time », qui illustre avec tendresse les joies et les peines de l'humanité ainsi que les secrets de la vie vus à travers les yeux d'un robot.
Avec son imagination à la fois provocatrice et fantastique, ses personnages d'une vivacité et d'une profondeur saisissantes, sa prose d'une solidité et d'une densité tenaces, et ses récits qui offrent un réconfort chaleureux et apaisant, il a fermement établi un nouvel axe dans la littérature coréenne.
Le chef-d'œuvre de l'auteur Koo Byung-mo, « Gills », dépeint une réalité désespérée d'une manière fantastique et puissante, avec un attrait étonnant, un récit dense, une imagination unique et un sens profond du thème.
L'histoire se déroule autour d'un homme qui a acquis des branchies au cours d'une lutte acharnée pour sa survie, au seuil de la mort, et du destin secret mais déchirant des personnes qui l'entouraient.
Kang-ha, qui a donné à Gon un nouveau nom et une nouvelle vie, s'inquiète pour lui par une vague crainte et une jalousie que Gon ne le quitte un jour, mais il le traite brutalement en apparence.
Après avoir abandonné son fils Kang-ha et être devenue toxicomane, In-yeong revient plus d'une décennie plus tard et ressent auprès de Gon un profond sentiment de nostalgie et de réconfort.
Haeryu, las de la vie, la sauve grâce à l'aide de Gon et se trouve attiré par son mystère et son émerveillement tandis qu'il poursuit son secret.
Même si le monde nous abandonne et nous blesse, nous étions tous jadis des êtres vivants et resplendissants, respirant et nageant librement dans notre propre océan.
Ces blessures finissent par devenir les branchies qui nous permettent de respirer, et même si c'est une eau sans fond, nous sommes des êtres qui luttons farouchement pour la vie, agitant les bras de toutes nos forces.
« Gills » est un roman fascinant qui insuffle de la vie à notre quotidien monotone.
Chaque phrase est écrite avec dévotion et sincérité, une par une.
Cette œuvre de couverture a été réinterprétée par la créatrice Park Yeon-mi à partir du travail de l'artiste brodeuse Lee Eun-jeong.
La beauté qui s'épanouit à chaque goutte de sueur et de sincérité ressemble à l'univers de l'œuvre de l'artiste Koo Byung-mo, qu'il fait progresser de tout son cœur et de toute son âme, phrase après phrase.
L'artiste brodeuse Eun-Jeong Lee crée un monde en collectant les «moments» les plus précieux de la vie.
Les broderies, qui représentent l'espace du rêve et l'espace du rêve à travers des fragments des moments, des souvenirs, du temps et des émotions les plus précieux de la vie, semblent reproduire le monde mystérieux et fantastique de Gu Byeong-mo.
La couverture capture les moments les plus heureux des personnages principaux du roman, ces instants lumineux et magnifiques, et présente l'image de Gon nageant dans le lac d'un bleu profond, ses écailles étincelantes scintillant, éprouvant une liberté sans bornes.
J’espère que la lecture de ce livre procurera aux lecteurs un sentiment de repos et de réconfort, comme s’ils respiraient profondément et paisiblement dans leur propre refuge.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 30 mars 2018
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 220 pages | 324 g | 128 × 188 × 18 mm
- ISBN13 : 9791162203392
- ISBN10 : 1162203390
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