
Courage GRIT
Description
Introduction au livre
« Pourquoi mes notes ne s’améliorent-elles pas autant que je travaille ? »
Une méthode d'entraînement mental qui vous permet d'étudier de manière autonome, agréable et jusqu'au bout.
* Le professeur Joo-Hwan Kim, qui a introduit le concept de GRIT dans le monde
Nouvelle publication après 12 ans, intégrant les dernières découvertes de la recherche !
* Appliquez la théorie de la « communication intérieure », qui a touché 150 000 lecteurs, à l’éducation de vos enfants !
Le livre du professeur Kim Joo-hwan, « Grit », plébiscité par les lecteurs pour avoir révélé les secrets de la réussite humaine, a été entièrement révisé et republié après 12 ans.
Après la publication de « Resilience », l'auteur, qui envisageait un ouvrage contenant des solutions pratiques pour des situations concrètes, a estimé que la réalisation des objectifs était le désir de chacun, des étudiants préparant leurs examens aux employés de bureau vivant dans une concurrence féroce, et a présenté pour la première fois le concept de « ténacité », ou le « secret pour accroître sa réussite », en publiant la première édition en 2013.
Dans cette édition entièrement révisée, l'auteur redéfinit le concept de persévérance en intégrant ses dernières découvertes de recherche basées sur les neurosciences.
GRIT signifie « Grandir grâce aux relations + à la motivation intrinsèque + à la ténacité ». Il s’agit d’aider les enfants à bien se développer grâce aux trois forces mentales que sont l’autorégulation (ténacité), les compétences interpersonnelles (relations) et l’automotivation (motivation intrinsèque).
Dans cet ouvrage, le professeur Kim Joo-hwan affirme que c'est une grave erreur de penser que plus les parents sont stricts, meilleures seront les notes de leurs enfants, et que la clé de l'amélioration scolaire tant désirée par les parents réside dans la persévérance de leurs enfants, source de réussite.
« Développer la persévérance, ou la force mentale, c’est rendre les enfants sains et heureux, et c’est le moyen le plus efficace et le plus rapide d’améliorer leurs résultats scolaires. »
On dit aussi que lorsque ce type d'entraînement mental est pratiqué régulièrement, l'enfant deviendra un adulte non seulement doué pour les études, mais qui réussira également dans tout ce qu'il entreprend.
Ce livre, « Grit », qui dévoile les secrets de la réussite après plus d'une décennie de recherche, offrira des solutions plus réalistes et plus claires aux parents qui souhaitent élever leurs enfants pour qu'ils deviennent des individus heureux et excellent dans tous les domaines de notre réalité éducative, encore qualifiée d'enfer des examens d'entrée à l'université.
Une méthode d'entraînement mental qui vous permet d'étudier de manière autonome, agréable et jusqu'au bout.
* Le professeur Joo-Hwan Kim, qui a introduit le concept de GRIT dans le monde
Nouvelle publication après 12 ans, intégrant les dernières découvertes de la recherche !
* Appliquez la théorie de la « communication intérieure », qui a touché 150 000 lecteurs, à l’éducation de vos enfants !
Le livre du professeur Kim Joo-hwan, « Grit », plébiscité par les lecteurs pour avoir révélé les secrets de la réussite humaine, a été entièrement révisé et republié après 12 ans.
Après la publication de « Resilience », l'auteur, qui envisageait un ouvrage contenant des solutions pratiques pour des situations concrètes, a estimé que la réalisation des objectifs était le désir de chacun, des étudiants préparant leurs examens aux employés de bureau vivant dans une concurrence féroce, et a présenté pour la première fois le concept de « ténacité », ou le « secret pour accroître sa réussite », en publiant la première édition en 2013.
Dans cette édition entièrement révisée, l'auteur redéfinit le concept de persévérance en intégrant ses dernières découvertes de recherche basées sur les neurosciences.
GRIT signifie « Grandir grâce aux relations + à la motivation intrinsèque + à la ténacité ». Il s’agit d’aider les enfants à bien se développer grâce aux trois forces mentales que sont l’autorégulation (ténacité), les compétences interpersonnelles (relations) et l’automotivation (motivation intrinsèque).
Dans cet ouvrage, le professeur Kim Joo-hwan affirme que c'est une grave erreur de penser que plus les parents sont stricts, meilleures seront les notes de leurs enfants, et que la clé de l'amélioration scolaire tant désirée par les parents réside dans la persévérance de leurs enfants, source de réussite.
« Développer la persévérance, ou la force mentale, c’est rendre les enfants sains et heureux, et c’est le moyen le plus efficace et le plus rapide d’améliorer leurs résultats scolaires. »
On dit aussi que lorsque ce type d'entraînement mental est pratiqué régulièrement, l'enfant deviendra un adulte non seulement doué pour les études, mais qui réussira également dans tout ce qu'il entreprend.
Ce livre, « Grit », qui dévoile les secrets de la réussite après plus d'une décennie de recherche, offrira des solutions plus réalistes et plus claires aux parents qui souhaitent élever leurs enfants pour qu'ils deviennent des individus heureux et excellent dans tous les domaines de notre réalité éducative, encore qualifiée d'enfer des examens d'entrée à l'université.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
indice
Prologue : Le courage, la force mentale nécessaire pour exceller dans n’importe quel domaine, y compris les études.
Chapitre 1 : Idées fausses et conceptions erronées sur les études
Nos préjugés et nos idées fausses sur les études
Les idées fausses sur les études freinent l'apprentissage de votre enfant | Que devrions-nous lui enseigner ? | Qu'est-ce que cela signifie vraiment d'être bon en études ?
Idée fausse n°1 : L’intelligence et les notes sont-elles héréditaires ?
L’échec scolaire d’un enfant est-il dû à un manque d’intelligence de ses parents ? | Les leçons de la famine néerlandaise de l’hiver dernier
Le stress peut aussi être héréditaire.
Deuxième idée fausse : l’intelligence ne change pas tout au long de la vie ?
Croyance en la croissance des capacités vs.
La croyance en l'invariabilité des aptitudes | Les enfants qui négligent délibérément leurs études | Pourquoi les garçons sont-ils meilleurs en maths que les filles ?
Troisième idée fausse : Est-il bénéfique de commencer l’apprentissage précocement ?
Les enfants qui jouent bien étudient aussi bien | Les élèves surdoués dont les notes baissent au fil de leur scolarité
Chapitre 2 : La persévérance, moteur de toute réussite
Ce qui motive la réussite
Le secret des capacités non cognitives
L'effort est aussi une compétence
Aucun enfant n'est naturellement doué pour quoi que ce soit | Éléments valorisants dans une lettre de motivation
Le courage, une condition essentielle à une vie réussie
Concentrez-vous sur le « comment » enseigner, et non sur le « quoi » enseigner | Pour réussir à l'école, commencez par la persévérance.
Chapitre 3 L’autorégulation : le pouvoir de se contrôler et de se gouverner soi-même
La force qui me motive, la maîtrise de soi
Il faut être prêt à reconnaître ses forces pour les voir | La source de la persévérance : la maîtrise de soi
Ce n'est pas une question de volonté, c'est une question de cortex préfrontal.
Gratification instantanée ou récompense différée ? | Le cortex préfrontal de votre enfant fonctionne-t-il correctement ?
Comment renforcer l'autorégulation
S'entraîner à l'auto-référence | Que signifie réguler ses émotions ? | Comment stabiliser l'amygdale ? | Pourquoi les parents doivent d'abord développer leur autorégulation.
?
Chapitre 4 : Compétences interpersonnelles : le pouvoir de bâtir des relations saines
Le moyen le plus efficace de réduire le stress : les compétences interpersonnelles.
Un remède miracle pour les relations et le stress | Comment éviter le « syndrome du lycée »
Choses à retenir lorsqu'on a affaire à des enfants
Amour et respect : les deux axes des compétences en communication | Journal de gratitude : une méthode de formation efficace pour développer les compétences interpersonnelles
Pourquoi les enfants qui ont beaucoup d'amis réussissent-ils bien à l'école ?
Génétique ou environnement ? | La communication, source de toutes les aptitudes
Chapitre 5 : L’automotivation : le pouvoir d’agir seul avec passion
Il existe d'autres raisons pour lesquelles les enfants n'étudient pas.
La clé de l'autonomie et de la motivation personnelle | Le secret de l'éducation qui a permis aux trois fils d'intégrer l'Université nationale de Séoul | Pourquoi les élèves coréens ne réussissent-ils scolairement qu'au collège ?
Développer la motivation personnelle par l'autonomie
Motivation et système de récompense dopaminergique | La motivation se renforce à mesure que l'avenir devient plus incertain | Le secret de l'automotivation : réduire l'écart entre réalité et avenir
Chapitre 6 : Vous devez également développer des « compétences en matière de passation de tests »
La persévérance est également nécessaire pour les examens.
Surmonter l'anxiété liée aux examens grâce à l'autorégulation
Pourquoi l'anxiété liée aux examens survient-elle ? | L'anxiété liée aux examens nuit à la mémorisation | Développer sa maîtrise de soi grâce à une activité physique régulière | Changer son regard sur les examens | Comment éviter les erreurs aux examens
L'auto-motivation pour améliorer les compétences en résolution de problèmes
Que penser avant de passer un test ? | Émotions positives et compétences en résolution de problèmes
Les examens sont avant tout une question de communication.
Formation à la communication liée aux tests, auto-évaluation | Concentrez-vous sur le plan lui-même, et non sur le score ou le classement.
Chapitre 1 : Idées fausses et conceptions erronées sur les études
Nos préjugés et nos idées fausses sur les études
Les idées fausses sur les études freinent l'apprentissage de votre enfant | Que devrions-nous lui enseigner ? | Qu'est-ce que cela signifie vraiment d'être bon en études ?
Idée fausse n°1 : L’intelligence et les notes sont-elles héréditaires ?
L’échec scolaire d’un enfant est-il dû à un manque d’intelligence de ses parents ? | Les leçons de la famine néerlandaise de l’hiver dernier
Le stress peut aussi être héréditaire.
Deuxième idée fausse : l’intelligence ne change pas tout au long de la vie ?
Croyance en la croissance des capacités vs.
La croyance en l'invariabilité des aptitudes | Les enfants qui négligent délibérément leurs études | Pourquoi les garçons sont-ils meilleurs en maths que les filles ?
Troisième idée fausse : Est-il bénéfique de commencer l’apprentissage précocement ?
Les enfants qui jouent bien étudient aussi bien | Les élèves surdoués dont les notes baissent au fil de leur scolarité
Chapitre 2 : La persévérance, moteur de toute réussite
Ce qui motive la réussite
Le secret des capacités non cognitives
L'effort est aussi une compétence
Aucun enfant n'est naturellement doué pour quoi que ce soit | Éléments valorisants dans une lettre de motivation
Le courage, une condition essentielle à une vie réussie
Concentrez-vous sur le « comment » enseigner, et non sur le « quoi » enseigner | Pour réussir à l'école, commencez par la persévérance.
Chapitre 3 L’autorégulation : le pouvoir de se contrôler et de se gouverner soi-même
La force qui me motive, la maîtrise de soi
Il faut être prêt à reconnaître ses forces pour les voir | La source de la persévérance : la maîtrise de soi
Ce n'est pas une question de volonté, c'est une question de cortex préfrontal.
Gratification instantanée ou récompense différée ? | Le cortex préfrontal de votre enfant fonctionne-t-il correctement ?
Comment renforcer l'autorégulation
S'entraîner à l'auto-référence | Que signifie réguler ses émotions ? | Comment stabiliser l'amygdale ? | Pourquoi les parents doivent d'abord développer leur autorégulation.
?
Chapitre 4 : Compétences interpersonnelles : le pouvoir de bâtir des relations saines
Le moyen le plus efficace de réduire le stress : les compétences interpersonnelles.
Un remède miracle pour les relations et le stress | Comment éviter le « syndrome du lycée »
Choses à retenir lorsqu'on a affaire à des enfants
Amour et respect : les deux axes des compétences en communication | Journal de gratitude : une méthode de formation efficace pour développer les compétences interpersonnelles
Pourquoi les enfants qui ont beaucoup d'amis réussissent-ils bien à l'école ?
Génétique ou environnement ? | La communication, source de toutes les aptitudes
Chapitre 5 : L’automotivation : le pouvoir d’agir seul avec passion
Il existe d'autres raisons pour lesquelles les enfants n'étudient pas.
La clé de l'autonomie et de la motivation personnelle | Le secret de l'éducation qui a permis aux trois fils d'intégrer l'Université nationale de Séoul | Pourquoi les élèves coréens ne réussissent-ils scolairement qu'au collège ?
Développer la motivation personnelle par l'autonomie
Motivation et système de récompense dopaminergique | La motivation se renforce à mesure que l'avenir devient plus incertain | Le secret de l'automotivation : réduire l'écart entre réalité et avenir
Chapitre 6 : Vous devez également développer des « compétences en matière de passation de tests »
La persévérance est également nécessaire pour les examens.
Surmonter l'anxiété liée aux examens grâce à l'autorégulation
Pourquoi l'anxiété liée aux examens survient-elle ? | L'anxiété liée aux examens nuit à la mémorisation | Développer sa maîtrise de soi grâce à une activité physique régulière | Changer son regard sur les examens | Comment éviter les erreurs aux examens
L'auto-motivation pour améliorer les compétences en résolution de problèmes
Que penser avant de passer un test ? | Émotions positives et compétences en résolution de problèmes
Les examens sont avant tout une question de communication.
Formation à la communication liée aux tests, auto-évaluation | Concentrez-vous sur le plan lui-même, et non sur le score ou le classement.
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Dans le livre
Étudier n'est pas quelque chose qui exige de serrer les dents, d'endurer et de subir des difficultés.
Une idée fausse très répandue dans notre société est l'idéologie du « pas de douleur, pas de gain ».
Cette idéologie erronée, si répandue dans notre société, pousse de nombreux parents à contraindre leurs enfants à la folie.
Ce n'est pas un hasard si les taux de suicide et de dépression chez les jeunes Coréens figurent parmi les plus élevés au monde.
N'oubliez pas que les enfants doivent être heureux pour que leur corps et leur esprit soient en bonne santé et pour qu'ils puissent bien étudier.
Si vous prenez du plaisir à étudier, si étudier en soi est amusant, vos résultats seront meilleurs.
Vous pouvez accomplir davantage en vivant dans le présent, dans cet instant précis, aujourd'hui, heureux et pleinement, sans douleur (Moins de douleur, plus de gain).
---Extrait du « Prologue »
Le cœur du problème ne réside pas dans l'éducation préscolaire ou le préapprentissage.
Tout ce qui procure du plaisir à l'enfant est bienvenu, qu'il s'agisse d'apprentissage précoce ou autre chose.
Si votre enfant prend plaisir à résoudre des problèmes de mathématiques, alors vous pouvez le laisser résoudre n'importe quel problème de mathématiques, quel que soit son niveau.
Si votre enfant trouve fascinant et amusant de mémoriser les tables de multiplication, alors laissez-le les mémoriser.
Cependant, même s'il s'agit d'un jeu, que ce soit de l'origami, jouer au ballon, construire un château de sable ou fabriquer des Legos, vous ne devez jamais forcer votre enfant à le faire, le gronder s'il ne le fait pas, le harceler ou le mettre sous pression comme si quelque chose de grave allait se produire s'il ne le faisait pas.
Dès que des émotions négatives sont déclenchées, que ce soit par le jeu, l'apprentissage précoce ou l'enseignement pour enfants surdoués, cela devient extrêmement néfaste pour l'enfant.
---Extrait de « Nos préjugés et nos malentendus concernant les études »
Bien sûr, l'intelligence est liée aux notes.
Cependant, bien que cette association puisse être statistiquement significative, son ampleur la rend pratiquement insignifiante.
Une analyse approfondie de nombreuses études suggère que la corrélation entre les notes scolaires et l'intelligence est d'environ 0,5.
Cela signifie que seulement environ 25 % des différences de notes entre les élèves peuvent être expliquées par l'intelligence.
Les 75 % restants dépendent de la ténacité : motivation, persévérance et maîtrise de soi.
---Extrait de « La première idée fausse : l’intelligence et les notes sont-elles héréditaires ? »
Bien sûr, il existe des différences évidentes d'intelligence et de talent entre les individus.
Lorsqu'on apprend quelque chose pour la première fois, il y a forcément des élèves qui apprennent vite et d'autres qui apprennent lentement, même s'ils fournissent le même effort.
Mais lorsqu'il s'agit d'objectifs à long terme comme l'admission à l'université, être un peu plus lent n'est absolument pas un problème.
Ce qui compte vraiment, c'est votre capacité à travailler de manière constante et persévérante sur un projet pendant de nombreuses années.
Un élève très intelligent mais incapable de travailler dur ne réussira jamais.
---Extrait de « L'effort est aussi une capacité »
Pour qu'une autorégulation efficace puisse se produire, le cortex préfrontal doit fonctionner de manière optimale.
En effet, des études d'imagerie cérébrale ont montré que les personnes ayant un haut niveau de maîtrise de soi présentent une activité plus importante dans leur cortex préfrontal.
Les enfants présentant une faible fonction du cortex préfrontal savent qu'ils doivent étudier et qu'ils le souhaitent, mais ils ne peuvent pas se concentrer sur leurs études car ils n'ont pas la maîtrise de soi et la volonté nécessaires pour mettre cela en pratique.
Ce n'est pas que je ne le fais pas parce que je ne le veux pas, mais je veux le faire mais je ne peux pas parce que je n'ai pas la maîtrise de moi-même nécessaire.
---Extrait de « Ce n'est pas une question de volonté, c'est une question de cortex préfrontal »
Les personnes qui entretiennent des relations heureuses et harmonieuses avec leur entourage sont en bonne santé physique et mentale.
Même dans les situations stressantes, le niveau d'activation de l'amygdale et d'hormones de stress dans le corps reste faible.
L'important est de se sentir fortement connecté aux personnes qui vous entourent.
Cela est particulièrement vrai pour les étudiants qui subissent la pression des études quotidiennes.
Entretenir de bonnes relations avec vos amis, vos professeurs et vos parents peut vous rendre beaucoup plus sain.
À mesure que le niveau de stress diminue, la fonction du cortex préfrontal se renforce naturellement, ce qui conduit à une augmentation de l'autorégulation et de la concentration.
---Extrait de « La force la plus puissante pour soulager le stress, les compétences interpersonnelles »
Les amis sont essentiels à des relations saines pour un enfant en pleine croissance.
On demande souvent si l'on peut étudier efficacement en passant simplement du temps avec ses amis, mais si vous voulez mieux étudier, il est très important d'être proche de vos amis.
En ce qui concerne le développement du cerveau humain et la capacité d'apprentissage, les relations avec les parents sont importantes pendant la petite enfance, mais les relations ultérieures avec les pairs jouent un rôle beaucoup plus important.
En réalité, les coutumes culturelles, les valeurs, la langue et les comportements sont davantage influencés par les groupes de pairs.
Bien que les questions directement liées à la survie soient influencées par les parents, la manière de vivre concrètement est davantage influencée par les groupes de pairs.
Extrait de « Pourquoi les enfants qui ont beaucoup d'amis réussissent bien à l'école »
Il n'y a pas de raison particulière pour laquelle un enfant n'étudie pas, et ce n'est pas non plus parce qu'une autre activité est plus amusante.
Parce qu'il n'y avait aucune motivation pour étudier.
Même si vous êtes motivé, vous pourriez manquer d'énergie mentale pour mettre cela en pratique.
Plus ces enfants sont comme ça, plus nous devons encourager leur motivation personnelle afin qu'ils puissent se motiver eux-mêmes.
La motivation est une sorte de force motrice qui vous pousse à travailler dur pour accomplir quelque chose.
---Extrait de « Il existe d'autres raisons pour lesquelles les enfants n'étudient pas »
La maîtrise de soi et l'automotivation sont la « capacité à faire un effort ».
Pour bien étudier, il faut aussi être capable de réussir les examens.
La « capacité à faire un effort » repose sur un réseau neuronal centré principalement sur le cortex préfrontal.
Par ailleurs, la capacité à obtenir de bons résultats aux tests est principalement liée à la stabilisation de l'amygdale.
Le fait de ressentir une nervosité excessive lors d'un examen ou de commettre des erreurs inappropriées en résolvant des problèmes sont autant de symptômes de l'anxiété liée aux examens, causée par une activation excessive de l'amygdale.
Pour récupérer efficacement ce que vous avez étudié et porter des jugements précis dans le temps limité et stressant d'un examen, il est essentiel de développer l'habitude d'une activation détendue du cortex préfrontal (stabilisation de l'amygdale).
---Extrait de « La persévérance est également nécessaire pour les examens »
L'objectif de grimper dans les classements engendre un stress sans fin chez les enfants.
Par conséquent, aussi importantes que soient les notes, vous ne devriez jamais faire de l'amélioration de votre classement votre objectif.
Il est très dangereux de se fixer des objectifs de performance tels que : « J’ai terminé 50e cette fois-ci, mais je serai certainement dans le top 20 la prochaine fois » ou « J’ai terminé 4e cette fois-ci, donc je serai certainement 1er la prochaine fois ».
En effet, cela peut engendrer un stress considérable et même de l'anxiété liée aux examens.
Il est plutôt préférable de viser à améliorer votre score.
Si vous avez obtenu 80 à ce test, vous devriez viser 90 ou 100 la prochaine fois.
Une idée fausse très répandue dans notre société est l'idéologie du « pas de douleur, pas de gain ».
Cette idéologie erronée, si répandue dans notre société, pousse de nombreux parents à contraindre leurs enfants à la folie.
Ce n'est pas un hasard si les taux de suicide et de dépression chez les jeunes Coréens figurent parmi les plus élevés au monde.
N'oubliez pas que les enfants doivent être heureux pour que leur corps et leur esprit soient en bonne santé et pour qu'ils puissent bien étudier.
Si vous prenez du plaisir à étudier, si étudier en soi est amusant, vos résultats seront meilleurs.
Vous pouvez accomplir davantage en vivant dans le présent, dans cet instant précis, aujourd'hui, heureux et pleinement, sans douleur (Moins de douleur, plus de gain).
---Extrait du « Prologue »
Le cœur du problème ne réside pas dans l'éducation préscolaire ou le préapprentissage.
Tout ce qui procure du plaisir à l'enfant est bienvenu, qu'il s'agisse d'apprentissage précoce ou autre chose.
Si votre enfant prend plaisir à résoudre des problèmes de mathématiques, alors vous pouvez le laisser résoudre n'importe quel problème de mathématiques, quel que soit son niveau.
Si votre enfant trouve fascinant et amusant de mémoriser les tables de multiplication, alors laissez-le les mémoriser.
Cependant, même s'il s'agit d'un jeu, que ce soit de l'origami, jouer au ballon, construire un château de sable ou fabriquer des Legos, vous ne devez jamais forcer votre enfant à le faire, le gronder s'il ne le fait pas, le harceler ou le mettre sous pression comme si quelque chose de grave allait se produire s'il ne le faisait pas.
Dès que des émotions négatives sont déclenchées, que ce soit par le jeu, l'apprentissage précoce ou l'enseignement pour enfants surdoués, cela devient extrêmement néfaste pour l'enfant.
---Extrait de « Nos préjugés et nos malentendus concernant les études »
Bien sûr, l'intelligence est liée aux notes.
Cependant, bien que cette association puisse être statistiquement significative, son ampleur la rend pratiquement insignifiante.
Une analyse approfondie de nombreuses études suggère que la corrélation entre les notes scolaires et l'intelligence est d'environ 0,5.
Cela signifie que seulement environ 25 % des différences de notes entre les élèves peuvent être expliquées par l'intelligence.
Les 75 % restants dépendent de la ténacité : motivation, persévérance et maîtrise de soi.
---Extrait de « La première idée fausse : l’intelligence et les notes sont-elles héréditaires ? »
Bien sûr, il existe des différences évidentes d'intelligence et de talent entre les individus.
Lorsqu'on apprend quelque chose pour la première fois, il y a forcément des élèves qui apprennent vite et d'autres qui apprennent lentement, même s'ils fournissent le même effort.
Mais lorsqu'il s'agit d'objectifs à long terme comme l'admission à l'université, être un peu plus lent n'est absolument pas un problème.
Ce qui compte vraiment, c'est votre capacité à travailler de manière constante et persévérante sur un projet pendant de nombreuses années.
Un élève très intelligent mais incapable de travailler dur ne réussira jamais.
---Extrait de « L'effort est aussi une capacité »
Pour qu'une autorégulation efficace puisse se produire, le cortex préfrontal doit fonctionner de manière optimale.
En effet, des études d'imagerie cérébrale ont montré que les personnes ayant un haut niveau de maîtrise de soi présentent une activité plus importante dans leur cortex préfrontal.
Les enfants présentant une faible fonction du cortex préfrontal savent qu'ils doivent étudier et qu'ils le souhaitent, mais ils ne peuvent pas se concentrer sur leurs études car ils n'ont pas la maîtrise de soi et la volonté nécessaires pour mettre cela en pratique.
Ce n'est pas que je ne le fais pas parce que je ne le veux pas, mais je veux le faire mais je ne peux pas parce que je n'ai pas la maîtrise de moi-même nécessaire.
---Extrait de « Ce n'est pas une question de volonté, c'est une question de cortex préfrontal »
Les personnes qui entretiennent des relations heureuses et harmonieuses avec leur entourage sont en bonne santé physique et mentale.
Même dans les situations stressantes, le niveau d'activation de l'amygdale et d'hormones de stress dans le corps reste faible.
L'important est de se sentir fortement connecté aux personnes qui vous entourent.
Cela est particulièrement vrai pour les étudiants qui subissent la pression des études quotidiennes.
Entretenir de bonnes relations avec vos amis, vos professeurs et vos parents peut vous rendre beaucoup plus sain.
À mesure que le niveau de stress diminue, la fonction du cortex préfrontal se renforce naturellement, ce qui conduit à une augmentation de l'autorégulation et de la concentration.
---Extrait de « La force la plus puissante pour soulager le stress, les compétences interpersonnelles »
Les amis sont essentiels à des relations saines pour un enfant en pleine croissance.
On demande souvent si l'on peut étudier efficacement en passant simplement du temps avec ses amis, mais si vous voulez mieux étudier, il est très important d'être proche de vos amis.
En ce qui concerne le développement du cerveau humain et la capacité d'apprentissage, les relations avec les parents sont importantes pendant la petite enfance, mais les relations ultérieures avec les pairs jouent un rôle beaucoup plus important.
En réalité, les coutumes culturelles, les valeurs, la langue et les comportements sont davantage influencés par les groupes de pairs.
Bien que les questions directement liées à la survie soient influencées par les parents, la manière de vivre concrètement est davantage influencée par les groupes de pairs.
Extrait de « Pourquoi les enfants qui ont beaucoup d'amis réussissent bien à l'école »
Il n'y a pas de raison particulière pour laquelle un enfant n'étudie pas, et ce n'est pas non plus parce qu'une autre activité est plus amusante.
Parce qu'il n'y avait aucune motivation pour étudier.
Même si vous êtes motivé, vous pourriez manquer d'énergie mentale pour mettre cela en pratique.
Plus ces enfants sont comme ça, plus nous devons encourager leur motivation personnelle afin qu'ils puissent se motiver eux-mêmes.
La motivation est une sorte de force motrice qui vous pousse à travailler dur pour accomplir quelque chose.
---Extrait de « Il existe d'autres raisons pour lesquelles les enfants n'étudient pas »
La maîtrise de soi et l'automotivation sont la « capacité à faire un effort ».
Pour bien étudier, il faut aussi être capable de réussir les examens.
La « capacité à faire un effort » repose sur un réseau neuronal centré principalement sur le cortex préfrontal.
Par ailleurs, la capacité à obtenir de bons résultats aux tests est principalement liée à la stabilisation de l'amygdale.
Le fait de ressentir une nervosité excessive lors d'un examen ou de commettre des erreurs inappropriées en résolvant des problèmes sont autant de symptômes de l'anxiété liée aux examens, causée par une activation excessive de l'amygdale.
Pour récupérer efficacement ce que vous avez étudié et porter des jugements précis dans le temps limité et stressant d'un examen, il est essentiel de développer l'habitude d'une activation détendue du cortex préfrontal (stabilisation de l'amygdale).
---Extrait de « La persévérance est également nécessaire pour les examens »
L'objectif de grimper dans les classements engendre un stress sans fin chez les enfants.
Par conséquent, aussi importantes que soient les notes, vous ne devriez jamais faire de l'amélioration de votre classement votre objectif.
Il est très dangereux de se fixer des objectifs de performance tels que : « J’ai terminé 50e cette fois-ci, mais je serai certainement dans le top 20 la prochaine fois » ou « J’ai terminé 4e cette fois-ci, donc je serai certainement 1er la prochaine fois ».
En effet, cela peut engendrer un stress considérable et même de l'anxiété liée aux examens.
Il est plutôt préférable de viser à améliorer votre score.
Si vous avez obtenu 80 à ce test, vous devriez viser 90 ou 100 la prochaine fois.
---Extrait de « Surmonter l'anxiété liée aux examens grâce à la maîtrise de soi »
Avis de l'éditeur
« Les enfants ayant des capacités similaires fournissent des efforts similaires. »
« Pourquoi y a-t-il autant de différences dans les résultats ? »
Le secret de la réussite révélé par le professeur Kim Joo-hwan après plus d'une décennie de recherche sur la « communication intérieure »
Le professeur Kim Joo-hwan, qui a proposé des méthodes pour changer des vies grâce à l'entraînement mental dans son ouvrage « Communication intérieure », a publié « Grit », un livre qui contient des solutions pratiques pour favoriser la réussite des adolescents et des parents qui ont du mal à étudier au quotidien.
Le concept de persévérance, introduit pour la première fois par le professeur Kim Joo-hwan en 2013, est depuis épuisé. En intégrant les dernières recherches de l'auteur, cet ouvrage redéfinit ce concept, fondement de la réussite, et présente des méthodes concrètes et réalistes pour le développer.
Dans ce livre, l'auteur explique que si des personnes aux capacités similaires déploient des efforts similaires mais obtiennent des résultats si différents, c'est à cause des différences de « ténacité », c'est-à-dire la capacité à réussir.
Pour atteindre un haut niveau de réussite dans n'importe quel domaine, que ce soit les études ou autre, la force mentale, ou la « ténacité », est absolument nécessaire.
Le professeur Kim Joo-hwan, qui définit la ténacité comme « la capacité de persévérer jusqu'au bout », explique dans ce livre comment réussir dans tous les domaines, y compris les études, en développant la ténacité au quotidien.
Il sera notamment d'une aide très concrète aux parents d'enfants scolarisés en primaire, au collège ou au lycée, pour les aider à développer leur force mentale et à élever des enfants sains de corps et d'esprit.
Les trois forces mentales qui constituent le fondement de toute réussite : la persévérance.
- Maîtrise de soi, compétences interpersonnelles, motivation personnelle
Comment développer la persévérance, fondement de toute réussite ? Comment élever des enfants qui excellent dans tous les domaines grâce à la persévérance ? Voici la nouvelle définition de la persévérance dans cette édition entièrement révisée.
G signifie « Croissance », ce qui signifie réaliser pleinement son potentiel à partir de sa situation actuelle.
Lorsque nous disons que la croissance est la pleine expression des capacités existantes d'un enfant, cette croissance (G) est réalisée grâce à trois forces mentales : l'autorégulation (Ténacité), les relations interpersonnelles (Sens des relations) et la motivation intrinsèque (Motivation intrinsèque).
En d'autres termes, la persévérance est un concept qui aide les enfants à bien se développer grâce à trois forces mentales : l'autorégulation, les compétences interpersonnelles et l'automotivation (GRIT = Grandir grâce aux relations + Motivation intrinsèque + Ténacité).
La signification des trois forces mentales est la suivante :
- Ténacité : La capacité à se contrôler et à se gouverner soi-même
L'autorégulation est la capacité à se motiver pour atteindre les objectifs que l'on s'est fixés et à aller jusqu'au bout des choses une fois qu'on a commencé, même si on n'en a pas envie ou si on trouve cela ennuyeux.
Cela signifie également la capacité de concentrer son énergie et son attention sur un objectif (objet), comme un examen ou une présentation.
Du point de vue d'un étudiant, la maîtrise de soi est la capacité de faire des efforts et de réussir ses examens.
- Relations : Le pouvoir de construire des relations saines
On considère souvent les compétences interpersonnelles comme la simple tendance à bien s'entendre avec les autres, mais en neurosciences, elles désignent la capacité à comprendre les pensées et les intentions des autres et à éprouver de l'empathie pour leurs émotions.
Pour développer de bonnes compétences interpersonnelles, il faut être capable de traiter en temps réel les informations vous concernant et concernant les autres.
Lorsqu'un étudiant passe un examen, il ne peut comprendre les intentions de l'examinateur que s'il fait preuve de compétences interpersonnelles.
- Motivation intrinsèque : la capacité de faire quelque chose par soi-même avec passion
La capacité à se motiver soi-même pour faire quelque chose, le fondement le plus important de l'auto-motivation est la « motivation intrinsèque », qui est le sentiment de plaisir et d'énergie retiré de la réalisation d'une activité.
Cette motivation intrinsèque découle de l'autonomie.
L'autonomie, c'est croire que « je vis ma propre vie » et « je suis maître de ma propre vie ». C'est seulement grâce à cette conviction que je peux prendre des décisions et changer ma vie actuelle par moi-même.
Le professeur Kim Joo-hwan affirme que, selon la théorie neuroscientifique, pour que ces trois forces mentales puissent être exercées, il faut parvenir à la « stabilisation de l'amygdale (stabilisation de l'amygdale, activation du cortex préfrontal) » introduite dans « Communication intérieure ».
Il est notamment souligné que les enfants peuvent étudier de manière autonome, agréable et jusqu'au bout grâce à un entraînement qui active le cortex préfrontal.
Les enfants heureux étudient bien.
Le secret pour améliorer ses notes révélé par les neurosciences
Malheureusement, le système éducatif actuel et les stéréotypes des parents concernant les études n'encouragent pas la persévérance chez les enfants, mais l'affaiblissent au contraire.
Comme pour le prouver, le niveau d'activation de l'amygdale chez les enfants coréens est préoccupant.
Une amygdale activée signifie être submergé par des émotions négatives, ce qui se manifeste par une anxiété constante et une tendance à s'énerver et à s'irriter facilement pour des broutilles.
C'est un spectacle courant chez les adolescents qui nous entourent.
Le professeur Kim Joo-hwan souligne que, pour corriger cela, il est essentiel de changer les préjugés erronés, notamment chez les parents.
Les parents doivent d'abord se débarrasser de l'idée que « les études sont quelque chose qu'on n'a pas envie de faire, quelque chose de difficile, et quelque chose qu'il faut endurer et surmonter ».
Ce type de raisonnement pousse les parents à forcer leurs enfants à étudier, à les contraindre à suivre des études supérieures, à les gronder et à les harceler.
De ce fait, l'enfant étudie « à contrecœur » pour obtenir la reconnaissance de ses parents.
Mais instinctivement, les gens ne peuvent pas réussir dans les choses qu'ils n'aiment pas.
Il en va de même pour les études.
Il n'y a qu'une seule façon de bien étudier : activer le cortex préfrontal.
En un mot, un état dans lequel le cortex préfrontal est activé signifie un état de joie et de bonheur.
En d'autres termes, encourager la persévérance signifie stabiliser l'état émotionnel d'un enfant et veiller à ce qu'il soit toujours heureux et joyeux.
C’est pourquoi, comme le dit l’auteur, nous devons toujours nous rappeler que « les enfants doivent être heureux pour que leur corps et leur esprit soient en bonne santé et pour qu’ils puissent bien étudier ».
Ce livre explique comment bien étudier grâce à la persévérance, mais la persévérance dont parle l'auteur ne s'applique pas uniquement aux études des étudiants.
La compétition, comme les examens d'entrée et les tests, se poursuit même après notre entrée dans la vie adulte, et nos vies sont une succession de défis, grands et petits, qui exigent de la ténacité.
En ce sens, la persévérance n'est pas seulement une simple stratégie d'étude, mais plutôt une façon de développer la force fondamentale nécessaire pour mener une vie réussie.
« Pourquoi y a-t-il autant de différences dans les résultats ? »
Le secret de la réussite révélé par le professeur Kim Joo-hwan après plus d'une décennie de recherche sur la « communication intérieure »
Le professeur Kim Joo-hwan, qui a proposé des méthodes pour changer des vies grâce à l'entraînement mental dans son ouvrage « Communication intérieure », a publié « Grit », un livre qui contient des solutions pratiques pour favoriser la réussite des adolescents et des parents qui ont du mal à étudier au quotidien.
Le concept de persévérance, introduit pour la première fois par le professeur Kim Joo-hwan en 2013, est depuis épuisé. En intégrant les dernières recherches de l'auteur, cet ouvrage redéfinit ce concept, fondement de la réussite, et présente des méthodes concrètes et réalistes pour le développer.
Dans ce livre, l'auteur explique que si des personnes aux capacités similaires déploient des efforts similaires mais obtiennent des résultats si différents, c'est à cause des différences de « ténacité », c'est-à-dire la capacité à réussir.
Pour atteindre un haut niveau de réussite dans n'importe quel domaine, que ce soit les études ou autre, la force mentale, ou la « ténacité », est absolument nécessaire.
Le professeur Kim Joo-hwan, qui définit la ténacité comme « la capacité de persévérer jusqu'au bout », explique dans ce livre comment réussir dans tous les domaines, y compris les études, en développant la ténacité au quotidien.
Il sera notamment d'une aide très concrète aux parents d'enfants scolarisés en primaire, au collège ou au lycée, pour les aider à développer leur force mentale et à élever des enfants sains de corps et d'esprit.
Les trois forces mentales qui constituent le fondement de toute réussite : la persévérance.
- Maîtrise de soi, compétences interpersonnelles, motivation personnelle
Comment développer la persévérance, fondement de toute réussite ? Comment élever des enfants qui excellent dans tous les domaines grâce à la persévérance ? Voici la nouvelle définition de la persévérance dans cette édition entièrement révisée.
G signifie « Croissance », ce qui signifie réaliser pleinement son potentiel à partir de sa situation actuelle.
Lorsque nous disons que la croissance est la pleine expression des capacités existantes d'un enfant, cette croissance (G) est réalisée grâce à trois forces mentales : l'autorégulation (Ténacité), les relations interpersonnelles (Sens des relations) et la motivation intrinsèque (Motivation intrinsèque).
En d'autres termes, la persévérance est un concept qui aide les enfants à bien se développer grâce à trois forces mentales : l'autorégulation, les compétences interpersonnelles et l'automotivation (GRIT = Grandir grâce aux relations + Motivation intrinsèque + Ténacité).
La signification des trois forces mentales est la suivante :
- Ténacité : La capacité à se contrôler et à se gouverner soi-même
L'autorégulation est la capacité à se motiver pour atteindre les objectifs que l'on s'est fixés et à aller jusqu'au bout des choses une fois qu'on a commencé, même si on n'en a pas envie ou si on trouve cela ennuyeux.
Cela signifie également la capacité de concentrer son énergie et son attention sur un objectif (objet), comme un examen ou une présentation.
Du point de vue d'un étudiant, la maîtrise de soi est la capacité de faire des efforts et de réussir ses examens.
- Relations : Le pouvoir de construire des relations saines
On considère souvent les compétences interpersonnelles comme la simple tendance à bien s'entendre avec les autres, mais en neurosciences, elles désignent la capacité à comprendre les pensées et les intentions des autres et à éprouver de l'empathie pour leurs émotions.
Pour développer de bonnes compétences interpersonnelles, il faut être capable de traiter en temps réel les informations vous concernant et concernant les autres.
Lorsqu'un étudiant passe un examen, il ne peut comprendre les intentions de l'examinateur que s'il fait preuve de compétences interpersonnelles.
- Motivation intrinsèque : la capacité de faire quelque chose par soi-même avec passion
La capacité à se motiver soi-même pour faire quelque chose, le fondement le plus important de l'auto-motivation est la « motivation intrinsèque », qui est le sentiment de plaisir et d'énergie retiré de la réalisation d'une activité.
Cette motivation intrinsèque découle de l'autonomie.
L'autonomie, c'est croire que « je vis ma propre vie » et « je suis maître de ma propre vie ». C'est seulement grâce à cette conviction que je peux prendre des décisions et changer ma vie actuelle par moi-même.
Le professeur Kim Joo-hwan affirme que, selon la théorie neuroscientifique, pour que ces trois forces mentales puissent être exercées, il faut parvenir à la « stabilisation de l'amygdale (stabilisation de l'amygdale, activation du cortex préfrontal) » introduite dans « Communication intérieure ».
Il est notamment souligné que les enfants peuvent étudier de manière autonome, agréable et jusqu'au bout grâce à un entraînement qui active le cortex préfrontal.
Les enfants heureux étudient bien.
Le secret pour améliorer ses notes révélé par les neurosciences
Malheureusement, le système éducatif actuel et les stéréotypes des parents concernant les études n'encouragent pas la persévérance chez les enfants, mais l'affaiblissent au contraire.
Comme pour le prouver, le niveau d'activation de l'amygdale chez les enfants coréens est préoccupant.
Une amygdale activée signifie être submergé par des émotions négatives, ce qui se manifeste par une anxiété constante et une tendance à s'énerver et à s'irriter facilement pour des broutilles.
C'est un spectacle courant chez les adolescents qui nous entourent.
Le professeur Kim Joo-hwan souligne que, pour corriger cela, il est essentiel de changer les préjugés erronés, notamment chez les parents.
Les parents doivent d'abord se débarrasser de l'idée que « les études sont quelque chose qu'on n'a pas envie de faire, quelque chose de difficile, et quelque chose qu'il faut endurer et surmonter ».
Ce type de raisonnement pousse les parents à forcer leurs enfants à étudier, à les contraindre à suivre des études supérieures, à les gronder et à les harceler.
De ce fait, l'enfant étudie « à contrecœur » pour obtenir la reconnaissance de ses parents.
Mais instinctivement, les gens ne peuvent pas réussir dans les choses qu'ils n'aiment pas.
Il en va de même pour les études.
Il n'y a qu'une seule façon de bien étudier : activer le cortex préfrontal.
En un mot, un état dans lequel le cortex préfrontal est activé signifie un état de joie et de bonheur.
En d'autres termes, encourager la persévérance signifie stabiliser l'état émotionnel d'un enfant et veiller à ce qu'il soit toujours heureux et joyeux.
C’est pourquoi, comme le dit l’auteur, nous devons toujours nous rappeler que « les enfants doivent être heureux pour que leur corps et leur esprit soient en bonne santé et pour qu’ils puissent bien étudier ».
Ce livre explique comment bien étudier grâce à la persévérance, mais la persévérance dont parle l'auteur ne s'applique pas uniquement aux études des étudiants.
La compétition, comme les examens d'entrée et les tests, se poursuit même après notre entrée dans la vie adulte, et nos vies sont une succession de défis, grands et petits, qui exigent de la ténacité.
En ce sens, la persévérance n'est pas seulement une simple stratégie d'étude, mais plutôt une façon de développer la force fondamentale nécessaire pour mener une vie réussie.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 26 février 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 300 pages | 478 g | 148 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9791168342682
- ISBN10 : 1168342686
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Langue coréenne
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