
Plus vous jouez, plus vous réussissez.
Description
Introduction au livre
« Tu m’as tout appris d’autre, alors pourquoi ne m’as-tu pas appris à me reposer ? »
Le véritable problème de la société coréenne : les Coréens souffrent d’« anxiété lorsqu’ils jouent ».
Ce sont les mots de protestation adressés à son père par Se Ri Pak, qui a accédé au statut de reine glamour du golf après avoir été entourée uniquement de golf pendant 15 ans et qui traverse actuellement une période difficile.
« J’en ai marre du golf. »
Maintenant, j'ai envie de faire une pause dans le golf.
« J’ai besoin de profiter de la vie quotidienne autrement qu’en jouant au golf. » Ce lamentation de Se-ri Pak résume en un mot la crise générale qui sévit en Corée du Sud.
Pour vaincre la faim, nous nous sommes précipités en avant, semant la peur dans le monde entier, mais maintenant que la faim a disparu, nous ne savons plus où donner de la tête.
Dans cet ouvrage, le professeur Kim Jeong-un soutient que le véritable problème de notre pays n'est pas d'ordre économique.
Le véritable problème est une maladie psychologique collective qui rend la vie inintéressante, ou « trouble anxieux lié au jeu ».
On dit que la structure psychologique des Coréens, qui ne peuvent concevoir la culture des loisirs sans les fêtes foraines, les salons de strip-tease et le karaoké, repose sur une double attitude envers le bonheur et le divertissement.
Cette culture superficielle des loisirs en Corée finit par nuire non seulement aux individus, mais aussi à la compétitivité du pays.
L'auteur définit la créativité, valorisée dans une société fondée sur la connaissance, comme étant psychologiquement synonyme de plaisir.
Ce livre propose une explication détaillée et facile à comprendre de l'affirmation vague selon laquelle les personnes qui jouent bien sont créatives et performantes, en utilisant divers concepts de psychologie culturelle.
En particulier, l'argument de l'auteur selon lequel le manque de communication, problème le plus critique de la société coréenne, peut être surmonté grâce au rétablissement du jeu et du divertissement est tout à fait convaincant.
Une société véritablement compétitive est celle où chacun peut s'adonner à une variété de petits plaisirs, plutôt qu'une société où les gens se cachent dans l'ombre et les savourent avec un sentiment de culpabilité.
Le véritable problème de la société coréenne : les Coréens souffrent d’« anxiété lorsqu’ils jouent ».
Ce sont les mots de protestation adressés à son père par Se Ri Pak, qui a accédé au statut de reine glamour du golf après avoir été entourée uniquement de golf pendant 15 ans et qui traverse actuellement une période difficile.
« J’en ai marre du golf. »
Maintenant, j'ai envie de faire une pause dans le golf.
« J’ai besoin de profiter de la vie quotidienne autrement qu’en jouant au golf. » Ce lamentation de Se-ri Pak résume en un mot la crise générale qui sévit en Corée du Sud.
Pour vaincre la faim, nous nous sommes précipités en avant, semant la peur dans le monde entier, mais maintenant que la faim a disparu, nous ne savons plus où donner de la tête.
Dans cet ouvrage, le professeur Kim Jeong-un soutient que le véritable problème de notre pays n'est pas d'ordre économique.
Le véritable problème est une maladie psychologique collective qui rend la vie inintéressante, ou « trouble anxieux lié au jeu ».
On dit que la structure psychologique des Coréens, qui ne peuvent concevoir la culture des loisirs sans les fêtes foraines, les salons de strip-tease et le karaoké, repose sur une double attitude envers le bonheur et le divertissement.
Cette culture superficielle des loisirs en Corée finit par nuire non seulement aux individus, mais aussi à la compétitivité du pays.
L'auteur définit la créativité, valorisée dans une société fondée sur la connaissance, comme étant psychologiquement synonyme de plaisir.
Ce livre propose une explication détaillée et facile à comprendre de l'affirmation vague selon laquelle les personnes qui jouent bien sont créatives et performantes, en utilisant divers concepts de psychologie culturelle.
En particulier, l'argument de l'auteur selon lequel le manque de communication, problème le plus critique de la société coréenne, peut être surmonté grâce au rétablissement du jeu et du divertissement est tout à fait convaincant.
Une société véritablement compétitive est celle où chacun peut s'adonner à une variété de petits plaisirs, plutôt qu'une société où les gens se cachent dans l'ombre et les savourent avec un sentiment de culpabilité.
indice
Prologue : Quand je suis plongé dans le travail, mon esprit devient le plus incompétent.
Partie 1 : Il y a un type qui joue au-dessus de moi.
Chapitre 1 : La Corée, ne sachant pas s'amuser, risque d'échouer
Vous vous disputez trop ?
Dans une semaine de travail de 5 jours, gérez votre temps libre.
Chapitre 2 Le contraire du travail n’est pas le loisir, mais la paresse.
L'orgueil plutôt que les incitations
L'idée fausse du leader accro au travail : la suranalyse
Les personnes qui ont étudié le jeu de manière académique (?)
Chapitre 3 : Le jeu est synonyme de créativité
La source de la créativité est de « rendre les choses étranges ».
La Joconde tirée de la base de données de Léonard de Vinci
Pourquoi seuls ceux qui ont joué peuvent être créatifs
Le cerveau le plus créatif est celui qui passe du temps à fixer le vide par la fenêtre.
Peut-être… … et peut-être ?_Une méthode de pensée créative
Chapitre 4 : Le jeu est le meilleur outil d’apprentissage de la communication
« Quel genre de Batman est-ce ? » _Jeu virtuel comme si
Pourquoi les mères du monde entier parlent-elles de la même manière ?
Les aptitudes particulières des personnes qui jouent bien : le rituel du partage émotionnel
Le jeu est une forme de communication
Hutech_Risquons nos vies pour de petits plaisirs
Deuxième partie : Faisons de la vie une fête
Chapitre 5 : Si ce n’est pas amusant, ce n’est pas une réussite
Pourquoi est-ce que je me sens seul alors que j'ai du succès ?
7 habitudes des personnes qui réussissent mais qui sont malheureuses
Dépression soudaine et léthargie_épuisement de l'énergie psychologique
Gérez vos émotions !
Enfonçons le bâton esquimau !
Chapitre 6 Gestion de l'équilibre_ Harmonie travail-vie personnelle
Si vous vous surprenez à marmonner plus souvent...
Inversion des notions « importantes » et « non importantes » : Principes de la Gestalt
Devenez maître de votre vie grâce aux festivals
« Même si la vie vous trompe » est un mensonge !
Utilisez-vous tous vos congés conformément aux règles ?
Paradigme de gestion du XXIe siècle_Gestion de l'équilibre
Épilogue Comment joue-t-on comme ça ?
Partie 1 : Il y a un type qui joue au-dessus de moi.
Chapitre 1 : La Corée, ne sachant pas s'amuser, risque d'échouer
Vous vous disputez trop ?
Dans une semaine de travail de 5 jours, gérez votre temps libre.
Chapitre 2 Le contraire du travail n’est pas le loisir, mais la paresse.
L'orgueil plutôt que les incitations
L'idée fausse du leader accro au travail : la suranalyse
Les personnes qui ont étudié le jeu de manière académique (?)
Chapitre 3 : Le jeu est synonyme de créativité
La source de la créativité est de « rendre les choses étranges ».
La Joconde tirée de la base de données de Léonard de Vinci
Pourquoi seuls ceux qui ont joué peuvent être créatifs
Le cerveau le plus créatif est celui qui passe du temps à fixer le vide par la fenêtre.
Peut-être… … et peut-être ?_Une méthode de pensée créative
Chapitre 4 : Le jeu est le meilleur outil d’apprentissage de la communication
« Quel genre de Batman est-ce ? » _Jeu virtuel comme si
Pourquoi les mères du monde entier parlent-elles de la même manière ?
Les aptitudes particulières des personnes qui jouent bien : le rituel du partage émotionnel
Le jeu est une forme de communication
Hutech_Risquons nos vies pour de petits plaisirs
Deuxième partie : Faisons de la vie une fête
Chapitre 5 : Si ce n’est pas amusant, ce n’est pas une réussite
Pourquoi est-ce que je me sens seul alors que j'ai du succès ?
7 habitudes des personnes qui réussissent mais qui sont malheureuses
Dépression soudaine et léthargie_épuisement de l'énergie psychologique
Gérez vos émotions !
Enfonçons le bâton esquimau !
Chapitre 6 Gestion de l'équilibre_ Harmonie travail-vie personnelle
Si vous vous surprenez à marmonner plus souvent...
Inversion des notions « importantes » et « non importantes » : Principes de la Gestalt
Devenez maître de votre vie grâce aux festivals
« Même si la vie vous trompe » est un mensonge !
Utilisez-vous tous vos congés conformément aux règles ?
Paradigme de gestion du XXIe siècle_Gestion de l'équilibre
Épilogue Comment joue-t-on comme ça ?
Dans le livre
« Alors que l’économie traverse une période aussi difficile, pourquoi parle-t-on de “jouer à la roulette russe” ? »
C'est l'histoire que j'entends le plus souvent ces derniers temps.
Honnêtement, chaque fois que j'entends une histoire comme celle-ci, une réponse me vient à l'esprit.
« C’est précisément à cause de gens comme vous qui pensent ainsi que l’économie est en difficulté. » (…omis…)
Les « histoires que je raconte » ne sont certainement pas de simples histoires amusantes.
C'est une histoire très importante qui a des répercussions sur l'avenir de la Corée.
Il y a une raison pour laquelle moi, qui ai étudié la psychologie pendant 13 ans en Allemagne, je parle de « jouer à des jeux (?) ».
Cela s'explique par le fait que le problème fondamental de la société coréenne découle d'une culture des loisirs pervertie.
--- p.14~16
Psychologiquement, créativité et plaisir sont synonymes.
Il est impossible pour une personne qui trouve la vie complètement ennuyeuse d'être créative.
Les personnes uniquement honnêtes ne survivront jamais au XXIe siècle.
Les seules personnes au monde qui sont étouffées sont celles qui sont travailleuses et honnêtes.
Bien sûr, même au XXIe siècle, la diligence et la sincérité sont des vertus essentielles.
Mais cela seul ne vaut même pas un centime.
Il faut qu'on retrouve le plaisir.
Mais observez bien les expressions sur les visages des gens qui marchent dans la rue.
Combien y a-t-il de personnes heureuses ?
Tous affichent une expression comme s'ils étaient immortels.
Ce ne sont pas seulement les adultes qui sont comme ça.
La vie des jeunes qui dirigeront la société coréenne au XXIe siècle est encore plus grave.
--- p.16
La liberté, la démocratie et l'égalité sont des valeurs instrumentales, mais le bonheur et le plaisir sont des valeurs ultimes.
Mais il y a trop d'obstacles qui empêchent nous d'être tous heureux.
Ces obstacles pourront être surmontés une fois la liberté, la démocratie et l'égalité acquises.
Mais ce n'est pas tout.
Nous devons constamment apprendre à poursuivre les valeurs ultimes du plaisir et du bonheur.
--- p.21
Résumons.
Les bons joueurs savent lire dans les pensées des autres.
Alors, écoutez attentivement ce qui se dit.
Et les bons joueurs sont à l'aise dans les situations virtuelles.
Parce que le jeu requiert toujours de l'imagination concernant les situations virtuelles.
Les personnes qui jouent bien sont également très douées pour l'introspection.
Car la capacité à me regarder objectivement implique de me placer dans une autre situation hypothétique.
Au final, ceux qui jouent bien sont destinés à être heureux et à bien vivre.
Nous devons donc bien jouer.
Car l'essence du jeu, c'est l'imagination.
--- p.153~154
L'extrême droite japonaise, qui insiste sur le fait que Dokdo est sa terre, n'est absolument pas à craindre.
Mais les Japonaises vraiment effrayantes, ce sont les ménagères japonaises qui courent après Yonsama.
Réfléchissons-y.
Combien de maris coréens pourraient supporter que leurs femmes s'extasient devant une star de cinéma japonaise, prennent l'avion pour le Japon et y passent des jours en état d'excitation extrême ? Au Japon, même ce divertissement pathétique est toléré.
Les maris le reconnaissent également, et la société japonaise le reconnaît aussi comme un phénomène culturel.
C'est quelque chose d'inimaginable dans la société coréenne.
Il n'y a pas lieu de se réjouir naïvement de la vente de nos produits culturels.
Honnêtement, j'ai peur.
Le potentiel culturel du Japon, reconnu par la vague coréenne qui a enflammé les ménagères japonaises folles de Yonsama, va de nouveau nous submerger.
--- p.202~203
On dit que les Inuits errent sans but lorsqu'ils ressentent de la tristesse, de l'inquiétude ou de la colère monter en eux.
On dit qu'il faut marcher sans fin jusqu'à ce que la tristesse s'apaise et que les soucis et la colère disparaissent, puis faire demi-tour une fois la paix intérieure retrouvée.
Et puis, juste à l'endroit où vous vous retournez, vous y insérez un bâton.
Si vous vous surprenez à errer en colère, sans savoir quoi faire, et que vous retrouvez le bâton que vous aviez placé là auparavant, cela signifie que la vie est devenue plus difficile ces derniers temps. Si vous ne voyez pas le bâton, cela signifie que la vie est supportable.
Le repos est une façon de mettre un terme à ma vie.
Il s'agit d'avoir des conversations sans fin avec la personne qui est en moi et de continuer jusqu'à ce que la paix revienne.
Et puis vous revenez avec un bâton coincé là-dedans.
C'est l'histoire que j'entends le plus souvent ces derniers temps.
Honnêtement, chaque fois que j'entends une histoire comme celle-ci, une réponse me vient à l'esprit.
« C’est précisément à cause de gens comme vous qui pensent ainsi que l’économie est en difficulté. » (…omis…)
Les « histoires que je raconte » ne sont certainement pas de simples histoires amusantes.
C'est une histoire très importante qui a des répercussions sur l'avenir de la Corée.
Il y a une raison pour laquelle moi, qui ai étudié la psychologie pendant 13 ans en Allemagne, je parle de « jouer à des jeux (?) ».
Cela s'explique par le fait que le problème fondamental de la société coréenne découle d'une culture des loisirs pervertie.
--- p.14~16
Psychologiquement, créativité et plaisir sont synonymes.
Il est impossible pour une personne qui trouve la vie complètement ennuyeuse d'être créative.
Les personnes uniquement honnêtes ne survivront jamais au XXIe siècle.
Les seules personnes au monde qui sont étouffées sont celles qui sont travailleuses et honnêtes.
Bien sûr, même au XXIe siècle, la diligence et la sincérité sont des vertus essentielles.
Mais cela seul ne vaut même pas un centime.
Il faut qu'on retrouve le plaisir.
Mais observez bien les expressions sur les visages des gens qui marchent dans la rue.
Combien y a-t-il de personnes heureuses ?
Tous affichent une expression comme s'ils étaient immortels.
Ce ne sont pas seulement les adultes qui sont comme ça.
La vie des jeunes qui dirigeront la société coréenne au XXIe siècle est encore plus grave.
--- p.16
La liberté, la démocratie et l'égalité sont des valeurs instrumentales, mais le bonheur et le plaisir sont des valeurs ultimes.
Mais il y a trop d'obstacles qui empêchent nous d'être tous heureux.
Ces obstacles pourront être surmontés une fois la liberté, la démocratie et l'égalité acquises.
Mais ce n'est pas tout.
Nous devons constamment apprendre à poursuivre les valeurs ultimes du plaisir et du bonheur.
--- p.21
Résumons.
Les bons joueurs savent lire dans les pensées des autres.
Alors, écoutez attentivement ce qui se dit.
Et les bons joueurs sont à l'aise dans les situations virtuelles.
Parce que le jeu requiert toujours de l'imagination concernant les situations virtuelles.
Les personnes qui jouent bien sont également très douées pour l'introspection.
Car la capacité à me regarder objectivement implique de me placer dans une autre situation hypothétique.
Au final, ceux qui jouent bien sont destinés à être heureux et à bien vivre.
Nous devons donc bien jouer.
Car l'essence du jeu, c'est l'imagination.
--- p.153~154
L'extrême droite japonaise, qui insiste sur le fait que Dokdo est sa terre, n'est absolument pas à craindre.
Mais les Japonaises vraiment effrayantes, ce sont les ménagères japonaises qui courent après Yonsama.
Réfléchissons-y.
Combien de maris coréens pourraient supporter que leurs femmes s'extasient devant une star de cinéma japonaise, prennent l'avion pour le Japon et y passent des jours en état d'excitation extrême ? Au Japon, même ce divertissement pathétique est toléré.
Les maris le reconnaissent également, et la société japonaise le reconnaît aussi comme un phénomène culturel.
C'est quelque chose d'inimaginable dans la société coréenne.
Il n'y a pas lieu de se réjouir naïvement de la vente de nos produits culturels.
Honnêtement, j'ai peur.
Le potentiel culturel du Japon, reconnu par la vague coréenne qui a enflammé les ménagères japonaises folles de Yonsama, va de nouveau nous submerger.
--- p.202~203
On dit que les Inuits errent sans but lorsqu'ils ressentent de la tristesse, de l'inquiétude ou de la colère monter en eux.
On dit qu'il faut marcher sans fin jusqu'à ce que la tristesse s'apaise et que les soucis et la colère disparaissent, puis faire demi-tour une fois la paix intérieure retrouvée.
Et puis, juste à l'endroit où vous vous retournez, vous y insérez un bâton.
Si vous vous surprenez à errer en colère, sans savoir quoi faire, et que vous retrouvez le bâton que vous aviez placé là auparavant, cela signifie que la vie est devenue plus difficile ces derniers temps. Si vous ne voyez pas le bâton, cela signifie que la vie est supportable.
Le repos est une façon de mettre un terme à ma vie.
Il s'agit d'avoir des conversations sans fin avec la personne qui est en moi et de continuer jusqu'à ce que la paix revienne.
Et puis vous revenez avec un bâton coincé là-dedans.
--- p.263~264
Avis de l'éditeur
La génération 386 qui ne sait pas jouer est en train de ruiner le pays !
Notre société actuelle n'est mue que par la colère et la haine.
Le professeur Kim Jeong-un soutient que la principale raison est que la génération 386 est devenue le courant dominant de la société coréenne.
La génération 386, dont l'auteur fait partie, qui a passé ses années d'université sous la dictature militaire du début des années 1980, est une génération à qui l'on a « consciemment » fait culpabiliser de rechercher le plaisir et le bonheur.
Ils excellent dans la poursuite de valeurs instrumentales telles que la liberté, la démocratie et l'égalité, mais ils ignorent les valeurs ultimes de plaisir et de bonheur qui constituent le but de ces valeurs.
Parce que ces personnes sont devenues la composante dominante de la société coréenne et la dirigent, cette société reste empreinte d'hostilité.
L'ère de la lutte est révolue.
Ce n'est pas un monde où seuls les patients réussissent.
C'est un monde où seuls ceux qui trouvent la vie amusante et heureuse réussissent.
L'affirmation paradoxale selon laquelle le succès ne rend pas heureux, mais qu'il faut être heureux pour réussir, est rafraîchissante.
Serais-je heureux si je jouais un jour de plus ?
Il souligne que la cause profonde de la crise coréenne réside dans le fait que trop de gens n'ont pas appris la joie de vivre car ils s'épuisent au travail pour survivre, ce qui conduit finalement à un épuisement de l'énergie et à une paralysie de la créativité.
En particulier, à mesure que la semaine de travail de cinq jours s'étend, ils avertissent que sans un changement radical dans la culture des loisirs, au lieu d'améliorer la qualité de vie, le phénomène des deux et trois emplois, tel que la «brésilianisation du travail», s'aggravera et divers effets secondaires tels que l'augmentation des taux de divorce, les problèmes des jeunes et le vieillissement de la société apparaîtront.
Ceci est présenté de manière convaincante, avec des exemples provenant de pays comme l'Allemagne et le Japon qui ont déjà connu des effets secondaires similaires.
La journée de travail de huit heures, ou la réduction du temps de travail, devint l'objectif principal de la Première Internationale et mena à la révolution socialiste.
Des horaires de travail plus courts signifient plus de temps libre.
Le processus de modernisation des sociétés occidentales, qui s'est étalé sur 300 ans, peut se résumer à une réduction du temps de travail et à une augmentation du temps libre.
Autrement dit, la société occidentale d'aujourd'hui a été possible grâce à une période de 300 ans durant laquelle une culture des loisirs s'est formée.
En revanche, notre tradition de réduction du temps de travail ne remonte qu'à 50 ans.
Il est difficile d'imaginer notre culture comme une culture des loisirs.
Il est regrettable que la société coréenne ait fait preuve d'une telle insouciance face à l'introduction de la semaine de travail de cinq jours, qui fut perçue comme une véritable révolution culturelle.
Il y a un « joueur » au-dessus du « moi » !
Les accros au travail pensent travailler 70 heures par semaine.
Cependant, on dit que les personnes vraiment compétentes dans leur travail ne travaillent que 40 heures par semaine.
Si vous observez attentivement le fonctionnement des accros au travail, vous constaterez que ceux qui pensent travailler 70 heures par semaine n'en travaillent en réalité que 30.
Ils affirment que les 40 heures restantes sont consacrées à s'inquiéter du travail plutôt qu'à travailler.
La philosophie du travail juive, qui a produit un nombre particulièrement important de talents créatifs, n'est pas de « travailler dur » mais de « bien se reposer d'abord ».
La philosophie du repos, comme le sabbat, qui impose un jour de repos chaque semaine, l'année sabbatique, qui impose une année de repos après six années de travail, et l'année du Jubilé, qui impose un repos des lois, des institutions et même de la nature la cinquantième année après sept périodes de sept ans de travail, est le principe le plus important qui régit la vie des Juifs, quel que soit l'endroit où ils vivent dans le monde.
Dans une société du savoir où la créativité est primordiale, la diligence et l'honnêteté ne sont plus les plus hautes vertus morales.
On soutient qu'une culture des loisirs créatifs, source de plaisir et de bonheur, est au cœur de la compétitivité individuelle et nationale.
En effet, la culture des loisirs est un domaine où la culture est produite et consommée.
Au XXe siècle, il y avait un « homme volant » au-dessus d'un « homme courant », mais au XXIe siècle, il y a un « homme joueur » au-dessus d'un « homme volant ».
Laissez tomber l'idée d'un divertissement qui change le monde : le plaisir vient des petites choses.
Le professeur Kim Jeong-un affirme que la compétitivité se cache dans les petits plaisirs.
Pour ceux qui trouvent de la joie dans les petites choses de la vie, chaque jour est une fête.
La capacité à percevoir le banal dans un contexte nouveau et d'une manière «étrange» est ce qui mène à la créativité.
Pour ce faire, nous proposons une explication facile à comprendre, basée sur des études de cas et des théories psychologiques, sur la manière de modifier sa perception, par exemple en prenant du recul de temps en temps et en trouvant de petits plaisirs dans la vie quotidienne.
Notre société actuelle n'est mue que par la colère et la haine.
Le professeur Kim Jeong-un soutient que la principale raison est que la génération 386 est devenue le courant dominant de la société coréenne.
La génération 386, dont l'auteur fait partie, qui a passé ses années d'université sous la dictature militaire du début des années 1980, est une génération à qui l'on a « consciemment » fait culpabiliser de rechercher le plaisir et le bonheur.
Ils excellent dans la poursuite de valeurs instrumentales telles que la liberté, la démocratie et l'égalité, mais ils ignorent les valeurs ultimes de plaisir et de bonheur qui constituent le but de ces valeurs.
Parce que ces personnes sont devenues la composante dominante de la société coréenne et la dirigent, cette société reste empreinte d'hostilité.
L'ère de la lutte est révolue.
Ce n'est pas un monde où seuls les patients réussissent.
C'est un monde où seuls ceux qui trouvent la vie amusante et heureuse réussissent.
L'affirmation paradoxale selon laquelle le succès ne rend pas heureux, mais qu'il faut être heureux pour réussir, est rafraîchissante.
Serais-je heureux si je jouais un jour de plus ?
Il souligne que la cause profonde de la crise coréenne réside dans le fait que trop de gens n'ont pas appris la joie de vivre car ils s'épuisent au travail pour survivre, ce qui conduit finalement à un épuisement de l'énergie et à une paralysie de la créativité.
En particulier, à mesure que la semaine de travail de cinq jours s'étend, ils avertissent que sans un changement radical dans la culture des loisirs, au lieu d'améliorer la qualité de vie, le phénomène des deux et trois emplois, tel que la «brésilianisation du travail», s'aggravera et divers effets secondaires tels que l'augmentation des taux de divorce, les problèmes des jeunes et le vieillissement de la société apparaîtront.
Ceci est présenté de manière convaincante, avec des exemples provenant de pays comme l'Allemagne et le Japon qui ont déjà connu des effets secondaires similaires.
La journée de travail de huit heures, ou la réduction du temps de travail, devint l'objectif principal de la Première Internationale et mena à la révolution socialiste.
Des horaires de travail plus courts signifient plus de temps libre.
Le processus de modernisation des sociétés occidentales, qui s'est étalé sur 300 ans, peut se résumer à une réduction du temps de travail et à une augmentation du temps libre.
Autrement dit, la société occidentale d'aujourd'hui a été possible grâce à une période de 300 ans durant laquelle une culture des loisirs s'est formée.
En revanche, notre tradition de réduction du temps de travail ne remonte qu'à 50 ans.
Il est difficile d'imaginer notre culture comme une culture des loisirs.
Il est regrettable que la société coréenne ait fait preuve d'une telle insouciance face à l'introduction de la semaine de travail de cinq jours, qui fut perçue comme une véritable révolution culturelle.
Il y a un « joueur » au-dessus du « moi » !
Les accros au travail pensent travailler 70 heures par semaine.
Cependant, on dit que les personnes vraiment compétentes dans leur travail ne travaillent que 40 heures par semaine.
Si vous observez attentivement le fonctionnement des accros au travail, vous constaterez que ceux qui pensent travailler 70 heures par semaine n'en travaillent en réalité que 30.
Ils affirment que les 40 heures restantes sont consacrées à s'inquiéter du travail plutôt qu'à travailler.
La philosophie du travail juive, qui a produit un nombre particulièrement important de talents créatifs, n'est pas de « travailler dur » mais de « bien se reposer d'abord ».
La philosophie du repos, comme le sabbat, qui impose un jour de repos chaque semaine, l'année sabbatique, qui impose une année de repos après six années de travail, et l'année du Jubilé, qui impose un repos des lois, des institutions et même de la nature la cinquantième année après sept périodes de sept ans de travail, est le principe le plus important qui régit la vie des Juifs, quel que soit l'endroit où ils vivent dans le monde.
Dans une société du savoir où la créativité est primordiale, la diligence et l'honnêteté ne sont plus les plus hautes vertus morales.
On soutient qu'une culture des loisirs créatifs, source de plaisir et de bonheur, est au cœur de la compétitivité individuelle et nationale.
En effet, la culture des loisirs est un domaine où la culture est produite et consommée.
Au XXe siècle, il y avait un « homme volant » au-dessus d'un « homme courant », mais au XXIe siècle, il y a un « homme joueur » au-dessus d'un « homme volant ».
Laissez tomber l'idée d'un divertissement qui change le monde : le plaisir vient des petites choses.
Le professeur Kim Jeong-un affirme que la compétitivité se cache dans les petits plaisirs.
Pour ceux qui trouvent de la joie dans les petites choses de la vie, chaque jour est une fête.
La capacité à percevoir le banal dans un contexte nouveau et d'une manière «étrange» est ce qui mène à la créativité.
Pour ce faire, nous proposons une explication facile à comprendre, basée sur des études de cas et des théories psychologiques, sur la manière de modifier sa perception, par exemple en prenant du recul de temps en temps et en trouvant de petits plaisirs dans la vie quotidienne.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 2 juin 2021
- Nombre de pages, poids, dimensions : 336 pages | 152 × 225 × 30 mm
- ISBN13 : 9788950995515
- ISBN10 : 8950995514
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