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Intérieur et extérieur, Mariage, Été
Intérieur et extérieur, Mariage, Été
Description
Introduction au livre
Albert Camus, écrivain représentatif de la littérature existentialiste, devenu une légende à l'âge précoce de 44 ans.

Comprend « Intérieur et Extérieur », la source de toutes les œuvres ; « Mariage », l'union de la nature et de l'humanité ; et « Été », un souvenir de la Méditerranée.

« Il n’y a pas d’amour de la vie sans désespoir de la vie. »

Camus est devenu un mythe.
Il n'a plus d'importance que vous le reconnaissiez ou non.
-Roland Barthes
Camus se tient désormais sur la pierre angulaire même dont il a si désespérément tenté de s'échapper de son vivant.
-Patrick Modiano
* La grandeur de Camus provient de la déviation, et cette déviation n'est qu'une expression naturelle de sa grandeur.
-Jean Grenier
Salutations à l'âme qui se cherche sans cesse et se pose des questions.
— William Faulkner (félicitant Camus pour l'obtention du prix Nobel de littérature)

Découvrez le vrai visage du jeune Camus, à l'intérieur comme à l'extérieur.
La source de l'œuvre de Camus, « Dedans et dehors », et de ses essais sur la Méditerranée et le Soleil, « Mariage » et « Été ».

« Dedans et dehors, Mariage, Été », un livre rempli d'essais sur le voyage, les souvenirs et l'amour d'Albert Camus, écrivain représentatif de l'existentialisme et icône de la résistance qui a remporté le prix Nobel de littérature à l'âge précoce de 44 ans, a été publié dans la collection de littérature mondiale de Minumsa.
« Dedans et dehors » se compose de cinq épisodes, précédés d’une préface de Camus.
« Ironie », « Entre positif et négatif », « Mort dans l'âme », « Amour de la vie », « Intérieur et extérieur » sont les thèmes de l'« intérieur » et de l'« extérieur » de la vie qui changent constamment au gré de la lumière et des ténèbres, de Prague et de Vicence, de la mort et du soleil.
Que signifie pour Camus les termes «dedans» et «dehors» ?
La réponse de Camus est « une seule masse ».
« À ce point extrême de conscience, tout se fondait en un seul, et ma vie me semblait une masse informe que je devais soit rejeter, soit accepter. » « Mariage » est composé de cinq épisodes : « Mariage à Tipasa », « Le Vent de Djemila », « Été à Alger », « Notes » et « Désert », et les lieux visités par Camus, voyageur, ainsi que les sentiments et les réflexions qu'il y a éprouvés, se reflètent dans son écriture.
La richesse et la pauvreté se côtoient, et l'homme, face à un paysage qui déploie toute sa splendeur, affirme sa propre grandeur.
Parce que nous sommes des êtres humains rebelles qui acceptons notre destin inévitable plutôt que de nous en remettre à Dieu.
« Été » est un recueil de textes en prose écrits entre 1939 et 1953, et présente des similitudes thématiques avec « Mariage ».
Les racines communes de ces écrits sont évidentes.
Bien qu'ils l'abordent sous différents angles, tous traitent du thème de l'individualité, du « solitaire ».
Après 1953, Camus commença à préparer l'écriture de sa dernière œuvre inachevée, Le Premier Homme, en passant du cycle précédent de « l'absurdité » et de « la rébellion » au cycle de « l'amour » et de « le vol ».
Dans ces trois essais, on perçoit la philosophie de Camus, son parcours de voyageur et son intense talent littéraire.
  • Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
    Aperçu

indice
Préface à « Dedans et dehors » d'Albert Camus (5e partie)
À l'intérieur et à l'extérieur 2 7
Mariage 9 7
Été 1 65
Le « discours suédois » d'Albert Camus_Kim Hwa-young 2 71
Sur le mariage_Louis Faucon 2 80
A propos de "Été"_Rosé Kiyo 2 86
Note du traducteur 2 89
Chronologie de l'auteur 2 90

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Dans le livre
En relisant « Inside and Out », malgré le style d'écriture maladroit de certaines pages, j'ai su instinctivement : « Oui, c'est ça. »
Ceci, cette vieille femme, cette mère silencieuse, la pauvreté, la lumière qui inonde les oliviers italiens, l'amour solitaire mais humain, tout cela, je crois, me dit la vérité à mes propres yeux.
--- p.17

L'un des anges a le visage d'un ami, l'autre celui d'un ennemi.
Oui, c'est exact.
Je sais tout à ce sujet.
J'ai aussi appris quel est le prix de l'amour en général.
Mais quant à la vie elle-même, je n'en sais toujours pas plus que ce que j'ai maladroitement évoqué dans « Dedans et dehors ».
« Il n’y a pas d’amour de la vie sans désespoir de la vie. »
--- p.18

La mort frappe tout le monde, mais c'est une mort unique pour chaque personne.
Quoi qu'il en soit, même ainsi, le soleil nous réchauffe les os.
--- p.45

Alors j'ai pu aimer en m'abandonnant à moi-même, et finalement je suis devenue moi-même.
Car seul l'amour peut nous ramener à nous-mêmes.
--- p.47

La pauvreté engendre une certaine solitude, une solitude qui confère à chaque chose sa propre valeur.
Pour ceux qui sont relativement aisés, le ciel lui-même et la nuit étoilée sont tout simplement considérés comme des trésors naturels.
Mais dans les classes populaires, le ciel retrouve tout son sens originel et devient une bénédiction inestimable.
Les nuits d'été, un monde mystérieux où scintillent les étoiles !
--- p.49

Voyager détruit une sorte de scène intérieure qui se déroule en nous.
La tricherie n'est plus tolérée.
Nous ne pouvons plus nous cacher derrière le masque du temps passé à travailler au bureau et à l'atelier (ce temps même dont nous nous plaignons si amèrement, et pourtant ce sont précisément ces heures qui nous protègent si efficacement de la douleur de la solitude).
--- p.82

L'important, c'est d'être honnête.
Alors tout, humain et simple, y est gravé.
Mais quand serai-je plus sincère que lorsque je suis le monde ? Je suis comblé avant même de le désirer.
L'éternité était là, juste devant mes yeux, et je l'espérais.
Ce que je souhaite en ce moment, ce n'est pas être heureux, mais seulement maintenir un état de conscience clair.
--- p.93

Ce que j'ai appris durant mon été à Alger, c'est que la seule chose plus tragique que la souffrance est la vie d'un être humain heureux.
Mais cela peut aussi représenter un mode de vie plus enrichissant.
Parce que cela vous empêche d'être trompé plus longtemps.
--- p.140

Le bonheur naît de l'absence d'espoir, et l'esprit trouve son fondement dans le corps.
S'il est dit que toute vérité recèle de l'amertume, alors on peut dire que toute négativité recèle l'éclosion de la positivité.
--- p.161

Le héros enchaîné ne renonce pas à sa foi inébranlable en l'humanité, même au milieu du tonnerre et des éclairs envoyés par les dieux.
Ainsi, il devint plus fort que son roc et plus patient que son aigle.
--- p.215

Où réside l'absurdité du monde ? Dans cette lumière éblouissante, ou dans le souvenir d'une époque sans soleil ? Comment ai-je pu, avec une telle profusion de lumière dans ma mémoire, parier sur une chose aussi insignifiante ? Voilà pourquoi ceux qui m'entourent sont stupéfaits.
Moi aussi, je suis parfois surpris.
Je pouvais répondre aux autres, et à moi-même, que c'était le soleil lui-même qui m'avait aidé à le faire, que sa lumière était si intense qu'elle avait solidifié l'univers et ses formes en une masse d'éblouissement obscur.
--- pp.233-234

Au cœur de l'hiver, j'ai finalement réalisé qu'un été irrésistible sommeillait en moi.
--- p.253

Quand on me fait des compliments, je me perds un peu dans mes pensées, et quand on m'insulte, je suis un peu surpris.
Puis j'oublie et je souris à la personne qui m'insulte ou je salue trop poliment la personne que j'aime.
Que puis-je faire, puisque je ne me souviens que d'une seule image ? On finit par me presser de dire qui je suis.
« Ce n’est rien pour l’instant, ce n’est rien pour l’instant… »
--- pp.257-258

« Vers la mer ! » Et ainsi, à travers l'océan Indien, jusqu'à la mer Rouge, où les pierres du désert, brûlantes et glacées, crépitent et craquent dans le silence de la nuit, nous retournons à la mer ancestrale où ces cris se taisent.
--- p.268

Avis de l'éditeur
« Je crois en la justice. »
Mais avant la justice, je défends ma mère. (Le Monde, 14 décembre 1957)

« Dedans et dehors », dédié à son professeur et ami de toujours, Jean Grenier, est pratiquement la première œuvre publiée du vivant de Camus et sert de source à toutes ses œuvres ultérieures.
Cependant, Camus lui-même hésita à publier cet ouvrage, écrit dans sa jeunesse, car il le jugeait trop incomplet pour être réimprimé, et comparé à son style ultérieur, plus passionné, il le trouvait maladroit et obscur à bien des égards.
Selon les explications de la traductrice Kim Hwa-young, « de telles limitations deviennent parfois pour nous une source d'émotions extraordinaires. »
Car les vibrations de la jeunesse, encore tourmentées par cette maladresse, sont transmises directement dans nos âmes, sans s'être encore apaisées. « Dedans et dehors » se compose de cinq épisodes, précédés d'une préface de Camus.
« Ironie », « Entre positif et négatif », « Mort dans l'âme », « Amour de la vie », « Intérieur et extérieur » sont les thèmes de l'« intérieur » et de l'« extérieur » de la vie qui changent constamment au gré de la lumière et des ténèbres, de Prague et de Vicence, de la mort et du soleil.
Que signifie pour Camus les termes «dedans» et «dehors» ?
La réponse de Camus est « une seule masse ».
« À ce stade extrême de conscience, tout s'est fondu en un seul, et ma vie m'est apparue comme une masse informe que je devais soit rejeter, soit accepter. »

Comme l'explique le critique Louis Faucon, auteur du commentaire des œuvres complètes de Camus : « Si Dedans et Dehors nous dit que notre sort est misère et solitude, Mariage répond que le fait d'exister dans un monde de souffrance confère une force de compensation incomparable même à nos joies les plus simples. » Entre 1935 et 1936, pendant la rédaction de Dedans et Dehors, et entre 1936 et 1937, pendant celle de Mariage et Été, Camus traversait des déceptions et des frustrations personnelles répétées, comme l'échec à ses examens de professeur et une crise conjugale.
Puis, en 1937, lors d'un voyage en solitaire en Méditerranée, Camus, face au soleil brûlant et à la mer, se remémora sa vie passée, médita sur la réalité de la vie et retrouva son désir d'écrire.
« Le Mariage » se compose de cinq épisodes : « Les Noces à Tipasa », « Le Vent de Djemila », « L’Été à Alger », « Notes » et « Le Désert ». Les lieux visités par Camus, voyageur, ainsi que les émotions et les réflexions qu’il y a éprouvées, transparaissent dans son écriture.
La richesse et la pauvreté se côtoient, et l'homme, face à un paysage qui déploie toute sa splendeur, affirme sa propre grandeur.
Parce que nous sommes des êtres humains rebelles qui acceptons notre destin inévitable plutôt que de nous en remettre à Dieu.

Dans sa demande de critique de « L'Été », recueil de textes en prose écrits entre 1938 et 1953, Camus écrivait :
« Les racines communes de ces écrits sont évidentes. »
Bien qu'ils l'abordent sous différents angles, tous traitent du thème de l'individualité, du « solitaire ».
Ce thème est également celui d'une de mes premières œuvres, « Le Mariage ».
Les écrits réunis dans « Le Mariage », publiés il y a plus de vingt ans, témoignent donc d'une quête longue et constante. Camus écrivait également ce qui suit dans une lettre à Roger Quillot en 1956 :
« Il y a une raison pour laquelle vos recherches se sont arrêtées à "L'été" et les miennes à l'âge de quarante ans. »
Car, bien que ce fût purement fortuit, cette année-là a marqué un tournant dans mon travail créatif et dans ma vie. Après cela, Camus est passé du cycle précédent de « l’absurdité » et de « rébellion » au cycle de « l’amour » et du « vol », et a commencé à préparer la rédaction de son œuvre posthume inachevée, « Le Premier Homme ».
En réponse, Kiyo explique « Summer » comme suit :
Camus a tenté d’inscrire « L’Été » dans la tradition de l’essai « solaire ».
D'une certaine manière, ces essais nous rappellent une vocation innocente.
Ces écrits, fruits de la « Pensée de midi », prolongent et entretiennent une relation équilibrée avec « L'Homme rebelle ».
Car, après son débat houleux avec Sartre, ces écrits font également preuve d'humour et d'ironie. Tout en se promenant dans la nature méditerranéenne, Camus réfléchit aux moyens de briser les différents mythes qui l'entourent.
L'être humain rebelle naît ainsi dans la chaleur de la Méditerranée.

Le 12 décembre, une rencontre entre Camus et des étudiants s'est tenue à l'Union des étudiants de l'Université de Stockholm.
À ce moment-là, un jeune Algérien s'est avancé vers le podium et a critiqué Camus.
La raison en était qu'il ne soutenait pas activement l'indépendance algérienne.
À cela, Camus répond comme suit :


« Je me suis tu pendant un an et huit mois. »
Cela ne veut pas dire que je n'ai rien fait.
Hier comme aujourd'hui, je soutiens une Algérie juste où les deux peuples peuvent vivre en paix et dans l'égalité.
J'ai insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de reconnaître les droits du peuple algérien et d'établir des institutions pleinement démocratiques, jusqu'à ce que la haine des deux côtés s'apaise et que l'intervention des intellectuels ne soit plus nécessaire, de peur que leurs déclarations n'attisent le terrorisme.
(......) J'ai toujours condamné le terrorisme.
« Je ne peux que condamner le terrorisme perpétré aveuglément dans les rues d’Alger, qui pourrait un jour nuire à ma mère et à ma famille », a-t-il déclaré.
« Je crois en la justice. »
Mais avant la justice, je défends ma mère. » (Le Monde, 14 décembre 1957) Ces mots prouvent que, tout comme la mère de Camus n’était pas un symbole d’injustice, Camus lui-même n’a jamais été contre la justice et qu’il a toujours partagé le malheur du peuple algérien.

Introduction aux œuvres incluses

À l'intérieur et à l'extérieur


« Dedans et dehors » est la première œuvre de Camus à être publiée de son vivant, elle peut donc être considérée comme sa première œuvre.
Je crois que l'importance et les limites de cet ouvrage sont suffisamment bien évaluées par la célèbre préface de l'auteur et le commentaire de Roger Kiyo.
Comparées au style toujours transparent, simple et passionné de Camus, les écrits de ce jeune homme sont souvent maladroits et obscurs.
De telles limitations deviennent parfois pour nous une source d'émotions extraordinaires.
Car les vibrations de la jeunesse, troublées par cette maladresse, ne se sont pas encore apaisées et sont directement transmises à nos âmes.
Le lien indissociable entre l’« intérieur » et l’« extérieur » de la vie, qui change constamment au gré de la lumière et des ténèbres, de Prague et de Vicence, de la mort et du soleil – tel est le thème qu’Albert Camus a abordé tout au long de sa vie.
Ainsi, l'ouvrage « À l'intérieur et à l'extérieur » est le point de départ et la source de toutes ses œuvres.
Il est impossible de comprendre Camus sans comprendre cette œuvre.
« À ce point extrême de conscience, tout se fondait en un seul, et ma vie me semblait une masse informe qu’il fallait soit jeter, soit accepter. » Telle est la réponse de Camus.
L'intérieur et l'extérieur ne forment qu'une seule masse.
Choisir entre l'intérieur et l'extérieur, c'est trahir la vie.
Le titre « L'envers et l'endroit », souvent traduit par « l'intérieur et l'extérieur », je l'ai traduit plus simplement par « l'intérieur et l'extérieur ».
Quant au texte, j'ai choisi celui du deuxième volume de l'édition Pléiades des œuvres complètes de Camus, « ESSAIS ».
Écrit en 1935-1936, publié en 1937. (Kim Hwa-young)

mariage


De l'Algérie à l'Italie, du pays des ruines à la Méditerranée, Camus se plonge dans ses rêveries.
À Tipasa, où descendent les dieux, les mariages sont enveloppés du parfum sensuel du soleil, de l'absinthe, du ciel bleu, des tas de pierres et de l'encens.
En contemplant le vent qui souffle sur les collines de Djemila et les grands oiseaux qui volent lourdement dans le ciel, Camus ressent ce que signifie voir sur cette terre, et ce qu'il cherche lui-même à accomplir, c'est de devenir pleinement lui-même dans cette passion passive.
Quels signaux et appels secrets sont enfouis dans ces brefs instants, lorsque le jour cède la place à la nuit, auxquels Alger est si profondément lié dans son esprit ? « Il n'y a pas beaucoup de vérités dont un homme puisse être certain avec son cœur. »
Un soir, alors que les vignes et les oliviers des champs florentins étaient enveloppés d'une immense tristesse silencieuse, j'ai senti quelque chose se défaire en moi tandis que je traversais l'obscurité en train.
« Voilà ce qu'on appelle le bonheur, avec un visage triste. » La vie et la vérité que Camus désire sont une vérité qui se décompose, et c'est un voyage pour trouver l'eau du bonheur qui commence par sa propre soif.
« De la boîte de Pandore, regorgeant de tous les maux de l’humanité, les Grecs ont déversé tous les autres maux et ont ensuite tiré le plus terrible de tous : l’espoir. »
Je ne connais pas de symbole plus touchant.
Car, contrairement à ce que l'on croit généralement, l'espoir est synonyme de résignation.
« Vivre, c’est ne pas renoncer à soi-même. » Un récit de voyage qui révèle la philosophie de Camus, thème central de « L’Étranger ».
Œuvres de 1936-1937.
Publié en 1938.

été


Camus a écrit ceci dans la demande de critique jointe à « Été » :
« Ce livre est un recueil de textes en prose écrits entre 1939 et 1953. »
Les racines communes de ces écrits sont évidentes.
Ces écrits, bien que provenant de perspectives différentes, traitent tous du thème de l'individualité, du fait d'être « seul » (solitaire).
Ce thème est également celui d'une des premières œuvres de l'auteur, « Le Mariage », publiée en 1938.
« Les écrits publiés dans « Le Mariage » au cours des vingt dernières années témoignent donc, chacun à leur manière, d’une quête longue et immuable. » Il écrivit également à Roger Kiyot, qui publia la première étude importante sur lui, le 21 janvier 1956 :
« Il y a une bonne raison pour laquelle vos recherches se sont arrêtées à l’été et à ma quarantaine. »
Car, bien que ce fût purement fortuit, cette année-là a marqué un tournant dans mon travail créatif et dans ma vie. Après 1953, Camus est entré dans le cycle de « l’amour » et du « vol », succédant au cycle précédent de « l’absurdité » et de « la rébellion », et a commencé à préparer l’écriture de sa dernière œuvre inachevée, « Le Premier Homme ».
Un essai qui vous permet de ressentir l'intense «été» de Camus.
Écrit entre 1939 et 1953, publié en 1953. (Kim Hwa-young)
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date d'émission : 4 avril 2025
Nombre de pages, poids, dimensions : 304 pages | 350 g | 132 × 225 × 15 mm
- ISBN13 : 9788937464652
- ISBN10 : 8937464659

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