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L'illusion de la raison
L'illusion de la raison
Description
Introduction au livre
À l'ère de la post-vérité, des théories du complot, de la surcharge informationnelle et des extrêmes
Un livre qui remet en question la véracité de ce que vous voyez et croyez !
Sur les erreurs du raisonnement humain révélées par les neurosciences et la psychiatrie

Numéro 1 des ventes dans la catégorie Sciences et Philosophie sur Amazon Allemagne
Recommandé par le professeur de psychologie cognitive Kim Kyung-il


Théoriciens du complot sur le coronavirus, climatosceptiques, adeptes des fausses nouvelles… Pourquoi observe-t-on la même chose et pourtant en arrive-t-on à des raisonnements différents ? Pourquoi sommes-nous tous persuadés, à tort, que nos propres opinions sont justes ? Ce livre, à la dimension sensationnelle, soutient que tout ce que nous voyons, croyons et tenons pour vrai n’est rien d’autre qu’une forme d’« illusion ».
En intégrant les théories et les résultats de recherche les plus récents en neurosciences, couvrant la philosophie, la génétique, la psychologie sociale, la psychologie cognitive et les neurosciences, il expose en détail les erreurs du raisonnement humain.
Plus précisément, elle retrace le processus par lequel le cerveau forme sa vision du monde à partir de données, et révèle en détail où la certitude apparaît, se maintient et comment elle fonctionne.
À une époque marquée par les extrêmes, ce livre interroge sans cesse la véritable raison dont nous avons besoin. Il nous guide vers la prudence face à l'excès de confiance en soi et vers une coexistence pacifique avec autrui.
Un manuel indispensable pour les hommes modernes pris au piège de l'illusion de la raison !
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    Aperçu

indice
Prologue : Le monde à l'intérieur de nos têtes

Partie 1 : L'irrationalité

Chapitre 1 : Proches et pourtant si loin
Le smartphone piraté de John M. · Le monde d'Helen S. s'écroule · La confiance de la vieille dame Margaret G. · Une illusion si normale ? · Le profond fossé entre raison et anormalité · Pas fou ? Qu'est-ce que cela signifie ? · Où commence la division sociale ?

Chapitre 2 : L'illusion de la rationalité
De quelle certitude parle-t-on ? · Qu’est-ce que l’illusion ? · La source tarie de la vérité absolue · La rationalité minimale · L’irrationalité de la certitude « normale » · Sommes-nous vraiment rationnels ? · Les distorsions cognitives

Chapitre 3 : Pourquoi la schizophrénie survient-elle ?
Schizophrénie : Histoire du diagnostic · La schizophrénie est-elle une maladie ? · Recherche sur la schizophrénie · D’où viennent les démons ? Le rôle de la génétique · Pourquoi la schizophrénie existe-t-elle ? · Le paradoxe évolutionniste de la schizophrénie · Génie et folie : un lien ? · L’hypothèse de la continuité

Chapitre 4 : L'évolution de l'irrationalité
La corrélation entre l'irrationalité et la survie, l'irrationalité comme appendice, la gestion des erreurs, rapide et simple, les effets positifs des illusions positives, l'irrationalité dans la formation de l'appartenance sociale, la communication par la conviction, la sélection naturelle ne s'intéresse pas à la vérité.

Partie 2 : Machine de prédiction

Chapitre 5 : Nous créons le monde
L'incertitude, le point de vue étranger, le problème de la boîte noire inversée, une perspective neuroscientifique, une perspective neuroscientifique alternative, le cerveau comme machine à prédire, un aperçu des neurosciences : traitement prédictif, incertitude et contrôle de la précision, le sommet de la hiérarchie de la prédiction, prédictions très précises : certitude et traitement des prédictions irrationnelles, je crée un monde qui correspond à mes préférences.

Chapitre 6 : Les personnes qui ont perdu l'équilibre
Les personnes qui perçoivent les visages concaves · Mouvements oculaires à hauteur de balle · La régularité est la mère de toutes les prédictions · L'écart explicatif entre la neurobiologie et l'expérience subjective · Le contrôle du volume cérébral · Les conséquences du déséquilibre : saillance anormale et développement de délires · De l'« irrécorrectibilité » des délires · Une interprétation pragmatique des délires · Traitement prédictif hiérarchique descendant · Un nouveau regard sur le biais de confirmation · Biais de confirmation dans la perception et la pensée · Le nuage pointillé et les deux illusions

Chapitre 7 Qui est le malade ici ?
Les délires sont-ils adaptatifs ? · La paranoïa comme alarme incendie et boulons de cisaillement · Les théories du complot sont-elles vraiment délirantes ? · Points communs entre les croyances et les délires liés aux théories du complot · Différence entre croyances et délires liés aux théories du complot · L’irrationalité cognitive à laquelle nous succombons inévitablement

Chapitre 8 : Opportunités, risques et effets secondaires
Ce que fait notre cerveau · L'existence n'est pas un devoir · La conviction est une hypothèse · Déstigmatisation, entre l'incompris et l'incompréhensible · De quoi suis-je certain ?

Épilogue : La confiance à l'ère de la pandémie

Remerciements
Note du traducteur
Glossaire des termes
Amériques
Références

Image détaillée
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Dans le livre
La proposition clé est la suivante.
Aussi « normale » ou « insensée » qu'une croyance puisse paraître, il ne s'agit toujours que d'une hypothèse.
De telles hypothèses nous sont souvent très utiles.
Parce qu'elle nous permet d'anticiper ce qui se passe dans le monde et de réagir plus facilement à ces événements.
Mais une hypothèse n'est qu'une hypothèse.
Autrement dit, puisqu'il s'agit d'une hypothèse qui n'a pas encore été prouvée, elle pourrait s'avérer fausse à tout moment.

--- p.19

Tous ces exemples de convictions irrationnelles montrent que l'irrationalité cognitive n'est pas une caractéristique propre aux délires, mais qu'elle est répandue même chez des personnes psychologiquement saines.
Qu’il s’agisse de convictions qui ne tiennent guère compte de la rationalité cognitive, comme les croyances religieuses ou les superstitions, ou de théories du complot déguisées en rationnelles mais profondément irrationnelles, les convictions épistémiquement irrationnelles sont plus la règle que l’exception.
La plupart ne sont pas pathologiques, mais plutôt tout à fait « normales ».

--- p.83

L'évolution a fait du cerveau une machine incroyablement sensible à la reconnaissance de formes et à la détection d'actions.
En effet, cela augmente les chances de survie et de reproduction.
Par conséquent, nous commettons des erreurs cognitives qui nous conduisent à des conclusions, des convictions et des actions irrationnelles.
Cependant, selon la théorie de la gestion des erreurs, ce type de perception erronée de la réalité peut être adaptatif.

--- p.144

Autrement dit, si une certaine croyance est erronée d'un point de vue social, elle peut coûter très cher aux individus.
Ils peuvent être qualifiés de déviants ou de traîtres et donc exclus de la communauté, et peuvent même perdre l'accès à des ressources ou à des partenaires sexuels essentiels à leur survie.
En raison de ces pressions sociales, même si nous avons des convictions irrationnelles, notre cerveau aura tendance à les maintenir tant que ces convictions fonctionnent bien socialement.

--- p.161

Par ailleurs, il ne faut pas oublier quel est l'objectif initial de ce type de prédiction.
Au final, ce qui importe à notre cerveau, c'est de rester aussi en sécurité que possible dans un monde plein d'événements imprévisibles.
Afin de maximiser les chances de survie et de reproduction.
Mais pour réussir dans la vie, nous devons faire des choix clairs quant à nos actions.

--- p.211

Le fait que nos croyances soient des hypothèses signifie qu'elles peuvent à tout moment s'avérer fausses.
Rien ne peut être connu avec une certitude absolue.
En définitive, on peut dire qu'il existe autant de modèles internes différents dans le monde qu'il y a de cerveaux.
Ces modèles sont similaires à bien des égards.
Parce que ces modèles sont basés sur ce que nous vivons dans le même monde réel.
Cependant, comme la prédisposition génétique et les expériences de vie de chaque personne sont différentes, chaque cerveau fonctionne selon son propre modèle interne du monde.
--- p.306

Le simple fait de réaliser que vos convictions ne sont pas des faits absolus mais plutôt des hypothèses de principe, et de vous libérer des chaînes de vos convictions, constitue un grand accomplissement.
Nous ne pourrons jamais connaître toute la vérité sur le monde.
La confiance en soi est une stratégie importante que notre cerveau utilise pour faire face à cette incertitude.
La confiance nous procure un sentiment de sécurité, la certitude d'agir correctement dans un monde plein d'incertitudes.
Cependant, nous ne devons pas nous laisser abuser par cette certitude subjective et croire que seules nos propres convictions sont correctes.

--- p.320

Je tiens à souligner qu'il n'est pas impossible d'avoir une conversation avec quelqu'un qui pense différemment.
La propagande populiste s'écarte souvent des principes de l'argumentation rationnelle.
Néanmoins, je vous encourage à aborder cette conversation avec ouverture d'esprit, intérêt sincère, discernement et patience.
En la matière, il serait très utile de prendre conscience de la manière dont les convictions se forment dans notre esprit et de la fonction qu'elles remplissent pour nous.
Il vaut toujours la peine d'essayer d'avoir une conversation constructive, même si cela ne donne pas de résultats.
--- p.336

Avis de l'éditeur
« La raison est-elle vraiment rationnelle ? »
À l'ère de la post-vérité, des théories du complot, de la surcharge informationnelle et des extrêmes
Un livre qui remet en question la véracité de ce que vous voyez et croyez.


Tous les êtres humains se considèrent comme « rationnels ».
De plus, ils considèrent toujours que ce qu'ils savent est correct et conforme aux « faits ».
Nous avons donc facilement tendance à supposer que les personnes qui ont des pensées et des valeurs différentes des nôtres ont tort et sont « irrationnelles ».
Mais est-ce vraiment vrai ? Les humains sont-ils rationnels ? Ce que nous savons, vous et moi, est-il tout ce qu'il y a à savoir ? « L'illusion de la raison » commence par ces questions.
Cela prouve en détail que tout ce que nous voyons, croyons et pensons être vrai n'est en réalité rien de plus qu'une sorte d'« illusion ».

L'auteur, Philipp Sterzer, est un neuroscientifique et psychiatre de renommée mondiale.
Grâce à sa riche expérience de recherche à l'Institut Max Planck de psychiatrie et à l'Institut de perception visuelle, il a été reconnu dans les milieux universitaires pour ses recherches pionnières sur les changements dans le processus perceptif de la schizophrénie.
Ce qu'il a constaté, c'est qu'il n'y avait pas beaucoup de différence dans le fonctionnement cérébral entre les personnes que nous considérons généralement comme « folles » et les personnes normales, ce qui signifie qu'il était difficile de distinguer clairement entre la pensée délirante et la pensée normale.
Le cerveau, confiné dans un espace obscur à l'intérieur du crâne, construit notre image du monde à partir de données sensorielles (stimuli) qui nous sont constamment fournies à notre insu.
Ce livre retrace la manière dont le cerveau s'appuie sur les données pour former sa vision du monde, expliquant d'où vient la confiance, comment elle se maintient et comment elle fonctionne.
Dépassant les frontières de la philosophie, de la génétique, de la psychologie sociale, de la psychologie cognitive et des neurosciences, il explore les théories les plus récentes en neurosciences et ses propres recherches de la dernière décennie pour mettre au jour les failles du raisonnement humain.


Ce livre a fait sensation, atteignant la première place du classement des meilleures ventes sur Amazon Allemagne immédiatement après sa sortie et y restant pendant plus de deux mois.
Cela a provoqué un vif émoi dans la société, et a été salué par les médias allemands.
C’est parce qu’elle niait complètement la raison humaine, que nous croyions fermement rationnelle, et qu’elle a procuré à beaucoup de gens à la fois une révélation et un choc considérable.
En cette ère d'extrêmes, ce livre, qui interroge sans cesse la raison dont nous avons réellement besoin, deviendra un manuel essentiel pour les hommes modernes pris au piège de l'illusion de la raison.

Les erreurs de raisonnement humain révélées par les neurosciences et la psychiatrie
Pourquoi tout le monde pense avoir raison ? Pourquoi sommes-nous mal à l'aise face à des opinions différentes des nôtres ?
Au-delà de l'enquête philosophique, retracez ce qui se passe dans le cerveau !


Ce livre pose des questions :
Théoriciens du complot sur le coronavirus, climatosceptiques, adeptes des fausses nouvelles… Pourquoi adoptons-nous des raisonnements si différents face à un même phénomène ? Qui est sain d’esprit, et qui ne l’est pas ? Il nous faut prendre conscience que même notre pensée habituelle est irrationnelle ; autrement dit, nous sommes victimes de l’illusion de la rationalité.
Le cerveau construit un monde qui nous paraît avantageux et rationnel.
Nos perceptions ne sont que des illusions qui correspondent parfois plus au monde, parfois moins.
Moins une personne est cohérente, plus elle s'éloigne de la raison, mais la frontière entre normal et anormal est floue.

La première partie examine l'irrationalité humaine.
Ce récit relate les histoires de John, convaincu que la mafia russe a piraté son téléphone ; d'Helen, une scientifique acharnée qui a le sentiment qu'un second 11 septembre s'est produit dans le métro new-yorkais ; et de Margaret, une femme âgée persuadée que son gendre la vole sans cesse, démontrant ainsi que la certitude irrationnelle n'est pas l'exception mais la règle.
Cela montre à quel point les états «normaux» et «anormaux», psychologiquement «sains» et «malades», sont proches les uns des autres.
De plus, cela révèle que cette irrationalité est en fin de compte une stratégie de survie pour l'humanité.


La deuxième partie explore le cerveau en tant que machine à prédire.
S’appuyant sur des études de cas scientifiques et les recherches les plus récentes, cet ouvrage explique pourquoi nous vivons tous dans notre propre monde.
La principale théorie abordée dans ce livre, le « traitement prédictif », est présentée pour la première fois dans un ouvrage de vulgarisation scientifique.
En neurosciences et en philosophie, elle décrit une « illusion en harmonie avec la réalité » et constitue une théorie du fonctionnement cérébral qui suppose que le cerveau fonctionne comme un modèle génératif, produisant des données qui correspondent à ses propres prédictions basées sur des données sensorielles.


◆ Pourquoi les hommes se croient-ils plus beaux et supérieurs qu'ils ne le sont réellement ?
Les hommes ont tendance à se surestimer, tandis que les femmes ont tendance à se sous-estimer.
Même la plupart des hommes qui se considèrent comme « rationnels » s'attribuent une bonne note.
L'auteur attribue cette pensée irrationnelle à la notion d'adaptation évolutive.
Car le plus important pour l'humanité, c'est la survie et la reproduction.
Les hommes subissent de grandes pertes s'ils ratent des opportunités de reproduction.
C'est pourquoi elle a évolué dans une direction qui se séduit elle-même.
C’est dans le prolongement de cette évolution que les paons mâles arborent des plumes si voyantes, totalement inutiles et même gênantes dans la vie réelle.
En revanche, les femmes ont évolué pour minimiser le coût des erreurs, car elles peuvent payer un prix élevé pour des flirts fréquents avec le sexe opposé : la grossesse.
C’est pourquoi l’irrationalité dans la perception des hommes et des femmes s’exprime différemment.

◆ Pourquoi les mères n'ont-elles d'autre choix que de devenir des mamans hérissons ?
Avez-vous déjà vu des parents surestimer les qualités de leurs enfants et les encenser avec enthousiasme, avant de froncer les sourcils intérieurement ? Pour les parents, leurs enfants sont ce qu’il y a de plus précieux au monde.
Plus adorable et plus précieux que quiconque.
C’est pourquoi il n’existe aucun parent au monde qui perçoive objectivement les défauts de ses enfants.
Il s'agit d'une sorte d'illusion positive qui stabilise la relation avec le conjoint et l'incite à mieux prendre soin de sa progéniture.
Il s'agit également d'une erreur de raisonnement humain.
L'idée que les parents ferment les yeux sur les faiblesses de leurs enfants est une sorte d'illusion, le résultat d'un biais cognitif qui apparaît afin de survivre et de bien se reproduire.


◆ Pourquoi les humains se sentent-ils en sécurité lorsqu'ils appartiennent à un groupe ?
Les divergences d'opinions sur le changement climatique, l'évolution, la religion, la politique, le sport, etc., n'ont que peu de rapport avec la quantité d'informations pertinentes disponibles ou la qualité de la communication de ces connaissances.
Ce qui importe davantage, c'est la façon dont ces convictions s'accordent avec les valeurs du groupe auquel on appartient.
Depuis des générations, les humains considèrent qu'il est important de bien s'entendre avec les membres de la même espèce.
Les croyances partagées ont été utiles pour exclure les dissidents et d'autres groupes car elles présentent l'avantage d'unir et de solidariser les groupes dans les sociétés complexes.
C’est pourquoi les humains, en tant qu’êtres sociaux, ont des convictions irrationnelles.


◆ L'instinct humain de rechercher des règles à tout moment et en tout lieu
Le cerveau est une machine à prédire, spécialisée dans la reconnaissance des schémas répétitifs.
Il s'agit de prédire l'avenir.
Par exemple, même lorsque la chance nous sourit à plusieurs reprises, nous sommes persuadés qu'elle se reproduira la prochaine fois, même s'il ne s'agit en réalité que d'une coïncidence.
Si le cerveau, en tant que machine à prédire, fonctionne si bien, c'est parce que le monde qu'il tente de prédire est, à bien des égards, assez stable.
Les prédictions aident le cerveau à créer des perceptions, facilitant ainsi l'interprétation et la prédiction subjectives des situations incertaines.
De plus, lorsque les données sensorielles sont incertaines, le cerveau élabore des prédictions plus fiables.
C’est le principe qui renforce nos convictions.


Pourquoi il faut se méfier d'une confiance en soi excessive
Comment coexister pacifiquement avec les autres


« Les convictions se divisent en rationnelles et irrationnelles, saines et malades, mais ce qui est clair, c’est que, aussi “normale” ou “insensée” qu’une conviction puisse paraître, ce n’est qu’une hypothèse. »
Accepter que l'on puisse se tromper et garder à l'esprit que rien n'est absolument certain peut aider à s'ouvrir à différentes perspectives et à mieux comprendre le monde.

Si la certitude offre des avantages tels que la réduction de la complexité, la facilitation de la prise de décision et le sentiment d'appartenance à un groupe, elle entraîne également des conséquences négatives telles que la pensée binaire, la polarisation et la pensée dichotomique.
Face aux nombreux problèmes urgents de notre époque — guerres, pandémies, changements climatiques —, si nous faisons preuve de tolérance les uns envers les autres plutôt que de nous accrocher à nos propres convictions, et si nos convictions individuelles fonctionnent comme des hypothèses, nous pouvons élargir les possibilités d'un dialogue constructif.


La nouvelle perspective sur le cerveau présentée dans ce livre nous aide à remettre en question notre propre pensée de manière critique et à acquérir une compréhension plus claire du monde.
Maintenant que vous avez pris confiance en vous, pourquoi ne pas vous poser ces questions : « Est-ce que je sais tout ce qu’il y a ? Est-ce vrai ? Sur quoi repose ma confiance ? » Dans notre société moderne et pluraliste, ce type de remise en question nous permettra de coexister pacifiquement avec ceux qui ont des opinions différentes.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 25 septembre 2023
Nombre de pages, poids, dimensions : 384 pages | 514 g | 143 × 210 × 20 mm
- ISBN13 : 9788934950998
- ISBN10 : 8934950994

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