
gènes empathiques
Description
Introduction au livre
« Nous pouvons modifier notre activité génétique ! » Comment le mode de vie humain influence-t-il les gènes ? Activité génétique et vie humaine transformées par l'humanité et l'empathie Best-seller allemand d'Amazon et du Spiegel Recommandé par le professeur Lee Kwang-hyung de KAIST, la psychiatre Ha Ji-hyun, le professeur de sociologie Noh Myung-woo et l'auteur Jeong Yeo-ul Nous payons aujourd'hui un lourd tribut pour les actes de l'humanité. De la guerre à la pauvreté, en passant par la haine, la destruction, la crise climatique et la pandémie de coronavirus. Les gens qui ne se soucient que d'eux-mêmes ont ruiné notre communauté et le monde, en essayant de survivre seuls. L’idée que les humains sont des « êtres égoïstes » a rendu possibles toutes ces actions. Quel avenir attend l'humanité ? Les humains sont-ils fondamentalement égoïstes et destructeurs ? L'avenir de l'humanité et de la planète est-il véritablement sans espoir ? Joachim Bauer, neurobiologiste et psychiatre allemand de renom, aborde ce sujet en défendant « l'humanité ». L’« humanité » désigne la nature biologique des êtres humains et repose sur « l’empathie et la coexistence ». Selon Joachim Bauer, nos gènes humains sont porteurs de sens, adaptés à l'humain et sensibles aux attitudes sociales. Elle réagit également aux facteurs environnementaux et au mode de vie. Par conséquent, une attitude intérieure axée sur les valeurs et orientée vers la vie communautaire conduit à une activité génétique bénéfique, qui nous aide à vivre une vie saine et « réussie ». C’est précisément dans cette perspective que ce livre propose une voie à suivre pour surmonter la crise actuelle et bâtir un avenir possible. Lorsque l'esprit le désire, les gènes répondent et agissent en conséquence. En induisant une activité génétique qui nous est bénéfique, nous pouvons créer un avenir meilleur et surmonter les problèmes qui accablent l'humanité. |
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Aperçu
indice
Recommandation
préface
Chapitre 1 : Qu'est-ce qu'une « belle vie » ?
Chapitre 2 : Les gènes et la « vie réussie »
Notre génome est comme un clavier de piano | Comment les expériences sociales influencent nos gènes | Notre attitude face à la vie influence l'activité génétique | Les personnes qui aident les autres de leur plein gré activent leurs « bons gènes » | Il n'y a pas de « vie réussie » sans liberté et spontanéité | Causes de l'anxiété, du stress et des maladies | Les gènes ne créent pas la moralité, mais ils permettent d'agir pour le bien.
Chapitre 3 : Les humains, êtres nés pour l'affection et l'amour
La Fondation pour la Solidarité Sociale | La Souffrance de la Discrimination | La Souffrance Engendre l'Agressivité | Les Conditions d'une « Vie Bonne »
Chapitre 4 : Le sujet de l’empathie : le soi
La découverte du réseau du soi | L'empathie : un élément essentiel de la personnalité | Notre ego est indissociable des autres | Le fruit de l'empathie
Chapitre 5 : Résonance des neurones et composante émotionnelle de l'empathie
Chapitre 6 : Qu’est-ce qui constitue l’habitat de l’empathie ?
Il n'y a pas d'empathie sans une parentalité aimante | Pourquoi les enfants devraient avoir le droit de jouer | L'impact de l'éducation sur le bien-être | Il n'y a pas de bien-être sans vie culturelle | Éducation et culture : alliées pour la paix
Chapitre 7 : L’empathie pour la nature et la « vie bonne »
Chapitre 8 : Est-il possible de mener une « belle vie » même lorsqu'on est malade ?
La vie continue même quand on est malade | Que signifie « reprendre sa vie en main » ? | La santé vous passionne ? | Une vie saine grâce à une alimentation équilibrée et à l’exercice physique
Chapitre 9 : La démence et la perte de sens dans la vie
Démence vasculaire et maladie d'Alzheimer | L'effondrement du contexte de vie
Chapitre 10 : Empathie, humanité et « vie réussie »
Conçu pour être bon, mais pas intrinsèquement bon | Les conditions politiques d'une « vie bonne » | Solidarité entre Internet et humains | La dangereuse contagion émotionnelle d'Internet | Comment se produit la contagion morale | Les « nouvelles Lumières » et la « vie bonne » : avantages et inconvénients
Annexe 2021 Contenu de la conférence Carus
Le « Soi » en temps de crise | La réalité de la personnalité : exploration du réseau neuronal du soi | L’impact du « Soi » sur les schémas génétiques | La vitalité de l’unité avec la nature
Conclusion
L'évolution professionnelle de Joachim Bauer
Remerciements
annotation
graphique
Index biographique
Index des articles
préface
Chapitre 1 : Qu'est-ce qu'une « belle vie » ?
Chapitre 2 : Les gènes et la « vie réussie »
Notre génome est comme un clavier de piano | Comment les expériences sociales influencent nos gènes | Notre attitude face à la vie influence l'activité génétique | Les personnes qui aident les autres de leur plein gré activent leurs « bons gènes » | Il n'y a pas de « vie réussie » sans liberté et spontanéité | Causes de l'anxiété, du stress et des maladies | Les gènes ne créent pas la moralité, mais ils permettent d'agir pour le bien.
Chapitre 3 : Les humains, êtres nés pour l'affection et l'amour
La Fondation pour la Solidarité Sociale | La Souffrance de la Discrimination | La Souffrance Engendre l'Agressivité | Les Conditions d'une « Vie Bonne »
Chapitre 4 : Le sujet de l’empathie : le soi
La découverte du réseau du soi | L'empathie : un élément essentiel de la personnalité | Notre ego est indissociable des autres | Le fruit de l'empathie
Chapitre 5 : Résonance des neurones et composante émotionnelle de l'empathie
Chapitre 6 : Qu’est-ce qui constitue l’habitat de l’empathie ?
Il n'y a pas d'empathie sans une parentalité aimante | Pourquoi les enfants devraient avoir le droit de jouer | L'impact de l'éducation sur le bien-être | Il n'y a pas de bien-être sans vie culturelle | Éducation et culture : alliées pour la paix
Chapitre 7 : L’empathie pour la nature et la « vie bonne »
Chapitre 8 : Est-il possible de mener une « belle vie » même lorsqu'on est malade ?
La vie continue même quand on est malade | Que signifie « reprendre sa vie en main » ? | La santé vous passionne ? | Une vie saine grâce à une alimentation équilibrée et à l’exercice physique
Chapitre 9 : La démence et la perte de sens dans la vie
Démence vasculaire et maladie d'Alzheimer | L'effondrement du contexte de vie
Chapitre 10 : Empathie, humanité et « vie réussie »
Conçu pour être bon, mais pas intrinsèquement bon | Les conditions politiques d'une « vie bonne » | Solidarité entre Internet et humains | La dangereuse contagion émotionnelle d'Internet | Comment se produit la contagion morale | Les « nouvelles Lumières » et la « vie bonne » : avantages et inconvénients
Annexe 2021 Contenu de la conférence Carus
Le « Soi » en temps de crise | La réalité de la personnalité : exploration du réseau neuronal du soi | L’impact du « Soi » sur les schémas génétiques | La vitalité de l’unité avec la nature
Conclusion
L'évolution professionnelle de Joachim Bauer
Remerciements
annotation
graphique
Index biographique
Index des articles
Image détaillée
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Dans le livre
L'attitude intérieure qui consiste à se préparer à vivre une vie axée sur le sens a des effets non seulement internes, mais aussi externes.
Autrement dit, cette attitude face à la vie est non seulement bénéfique pour notre santé physique et mentale, mais elle nous prépare également à surmonter les défis et les difficultés futurs.
La «vie réussie», au sens philosophique et axé sur le sens, n'est ni si compliquée ni si spéciale.
Cela signifie qu'en tant qu'êtres humains vivant sur cette Terre à la fois grande et petite, nous vivons bien ensemble.
Si nous y parvenons, nous aurons tous une base solide pour envisager l'avenir avec espoir.
---Extrait de la « Préface »
Si une certaine façon d'aborder la vie influence la santé et le cerveau, n'influencerait-elle pas aussi les gènes ? La réponse à cette question se trouve dans le chapitre suivant.
La « génomique sociale », qui traite de ce sujet, est un nouveau champ d'étude qui analyse l'influence de la génétique sur nos pensées et nos comportements, notamment dans la sphère sociale.
Une opinion largement répandue concernant la génétique humaine est que nos gènes sont « égoïstes ».
Si cette théorie est correcte, on pourrait supposer que nos gènes sont prédisposés à l'hédonisme.
Mais c'est tout le contraire.
Nous confirmerons ce fait à l'avenir.
---Extrait de « Qu'est-ce qu'une vie réussie ? »
Je consacre une grande partie de ma carrière à la recherche génétique.
L'affirmation de Dawkins selon laquelle les gènes sont « égoïstes » me paraît quelque peu absurde.
C'est comme si le propriétaire d'une boutique de montres avait visité une usine horlogère suisse et avait ensuite publié un livre intitulé « Les rouages égoïstes de l'horlogerie ».
C’est pourquoi j’aimerais commencer par élucider le rôle des gènes en tant que collaborateurs et communicateurs.
En m’appuyant sur de nombreuses études menées au cours des dernières années, je vais maintenant développer le fait que nous, les humains, ne sommes pas programmés pour vivre des vies égoïstes, mais plutôt pour vivre des vies significatives et socialement orientées, « d’un point de vue génétique ».
---Extrait de « Gènes et la belle vie »
Dans les groupes auxquels on avait spécifiquement demandé de faire quelque chose de bien pour les autres, les schémas d'activité du « club des gènes à risque » (potentiellement nuisible) ont été significativement réduits.
Les trois autres groupes n'entraient pas dans cette catégorie.
En résumé, notre instinct humain unique de faire le bien aux autres active des schémas génétiques qui protègent notre corps de l'inflammation chronique et nous aident à rester en bonne santé.
---Extrait de « Gènes et la belle vie »
Tout comportement humain est une recherche inconsciente de résonance.
Chaque enfant présente des comportements très différents.
Les comportements défensifs ou agressifs constituent souvent aussi un appel inconscient.
Un monde qui ne réagit pas nous engourdit ou nous déprime, et favorise les tendances agressives.
Vous risquez alors de trouver quelque chose dont vous pouvez devenir accro et dont vous pouvez dépendre.
Les enfants et les adolescents se détournent lorsqu'ils ne reçoivent aucune répercussion pour leurs actions.
C’est dans ce manque de résonance que les médias sociaux et autres ressources offertes par le monde d’Internet trouvent leur place.
---Extrait de « Les éléments qui constituent l’habitat de l’empathie »
Une attitude qui promeut la bienveillance, une vie heureuse et épanouie, la coexistence pacifique, l'esprit civique, l'équité et l'empathie active des programmes génétiques et des systèmes corporels bénéfiques à la santé humaine, réduisant ainsi le risque de maladie.
L’anxiété et l’agressivité persistantes, ainsi que l’activation du système nerveux qui en découle, déclenchent dans le corps humain un processus inflammatoire chronique subaigu, dit « discret ».
Cela peut favoriser les maladies cardiovasculaires, le cancer et la démence.
Les informations que nous pouvons obtenir aujourd'hui sur la question de savoir ce qu'est un être humain sont aussi claires et sans ambiguïté.
Mais cela ne s'arrête pas là.
Il a été ajouté, et c'est crucial, que les humains, avec ces systèmes physiques et ces structures neurobiologiques, pouvaient devenir des êtres empathiques.
Autrement dit, nous autres humains pouvons nous doter des outils neurobiologiques qui nous permettent de ressentir ce que les autres ressentent et de penser de leur point de vue.
Les humains éprouvent de la joie lorsqu'ils rendent d'autres humains heureux.
Autrement dit, cette attitude face à la vie est non seulement bénéfique pour notre santé physique et mentale, mais elle nous prépare également à surmonter les défis et les difficultés futurs.
La «vie réussie», au sens philosophique et axé sur le sens, n'est ni si compliquée ni si spéciale.
Cela signifie qu'en tant qu'êtres humains vivant sur cette Terre à la fois grande et petite, nous vivons bien ensemble.
Si nous y parvenons, nous aurons tous une base solide pour envisager l'avenir avec espoir.
---Extrait de la « Préface »
Si une certaine façon d'aborder la vie influence la santé et le cerveau, n'influencerait-elle pas aussi les gènes ? La réponse à cette question se trouve dans le chapitre suivant.
La « génomique sociale », qui traite de ce sujet, est un nouveau champ d'étude qui analyse l'influence de la génétique sur nos pensées et nos comportements, notamment dans la sphère sociale.
Une opinion largement répandue concernant la génétique humaine est que nos gènes sont « égoïstes ».
Si cette théorie est correcte, on pourrait supposer que nos gènes sont prédisposés à l'hédonisme.
Mais c'est tout le contraire.
Nous confirmerons ce fait à l'avenir.
---Extrait de « Qu'est-ce qu'une vie réussie ? »
Je consacre une grande partie de ma carrière à la recherche génétique.
L'affirmation de Dawkins selon laquelle les gènes sont « égoïstes » me paraît quelque peu absurde.
C'est comme si le propriétaire d'une boutique de montres avait visité une usine horlogère suisse et avait ensuite publié un livre intitulé « Les rouages égoïstes de l'horlogerie ».
C’est pourquoi j’aimerais commencer par élucider le rôle des gènes en tant que collaborateurs et communicateurs.
En m’appuyant sur de nombreuses études menées au cours des dernières années, je vais maintenant développer le fait que nous, les humains, ne sommes pas programmés pour vivre des vies égoïstes, mais plutôt pour vivre des vies significatives et socialement orientées, « d’un point de vue génétique ».
---Extrait de « Gènes et la belle vie »
Dans les groupes auxquels on avait spécifiquement demandé de faire quelque chose de bien pour les autres, les schémas d'activité du « club des gènes à risque » (potentiellement nuisible) ont été significativement réduits.
Les trois autres groupes n'entraient pas dans cette catégorie.
En résumé, notre instinct humain unique de faire le bien aux autres active des schémas génétiques qui protègent notre corps de l'inflammation chronique et nous aident à rester en bonne santé.
---Extrait de « Gènes et la belle vie »
Tout comportement humain est une recherche inconsciente de résonance.
Chaque enfant présente des comportements très différents.
Les comportements défensifs ou agressifs constituent souvent aussi un appel inconscient.
Un monde qui ne réagit pas nous engourdit ou nous déprime, et favorise les tendances agressives.
Vous risquez alors de trouver quelque chose dont vous pouvez devenir accro et dont vous pouvez dépendre.
Les enfants et les adolescents se détournent lorsqu'ils ne reçoivent aucune répercussion pour leurs actions.
C’est dans ce manque de résonance que les médias sociaux et autres ressources offertes par le monde d’Internet trouvent leur place.
---Extrait de « Les éléments qui constituent l’habitat de l’empathie »
Une attitude qui promeut la bienveillance, une vie heureuse et épanouie, la coexistence pacifique, l'esprit civique, l'équité et l'empathie active des programmes génétiques et des systèmes corporels bénéfiques à la santé humaine, réduisant ainsi le risque de maladie.
L’anxiété et l’agressivité persistantes, ainsi que l’activation du système nerveux qui en découle, déclenchent dans le corps humain un processus inflammatoire chronique subaigu, dit « discret ».
Cela peut favoriser les maladies cardiovasculaires, le cancer et la démence.
Les informations que nous pouvons obtenir aujourd'hui sur la question de savoir ce qu'est un être humain sont aussi claires et sans ambiguïté.
Mais cela ne s'arrête pas là.
Il a été ajouté, et c'est crucial, que les humains, avec ces systèmes physiques et ces structures neurobiologiques, pouvaient devenir des êtres empathiques.
Autrement dit, nous autres humains pouvons nous doter des outils neurobiologiques qui nous permettent de ressentir ce que les autres ressentent et de penser de leur point de vue.
Les humains éprouvent de la joie lorsqu'ils rendent d'autres humains heureux.
Extrait de « Empathie, humanité et vie réussie »
Avis de l'éditeur
Les humains sont-ils vraiment des « êtres égoïstes » ?
Nous payons aujourd'hui un lourd tribut pour les actes de l'humanité.
De la guerre à la pauvreté, en passant par la haine, la destruction, la crise climatique et la pandémie de coronavirus.
Les gens qui ne se soucient que d'eux-mêmes ont ruiné notre communauté et le monde, en essayant de survivre seuls.
L’idée que les humains sont des « êtres égoïstes » a rendu possibles toutes ces actions.
Que pouvons-nous faire dans une telle situation ? Quel est, au juste, notre but ? Se battre, voler, rivaliser ? Joachim Bauer, neurobiologiste et psychiatre allemand de renom, réfute l’idée que les humains seraient des « êtres égoïstes », affirmant qu’ils sont des êtres guidés par la coopération, l’amour et la paix.
Selon Joachim Bauer, les gènes réagissent à nos pensées et à nos actions, c'est-à-dire à notre mode de vie.
Par conséquent, selon le mode de vie que nous adoptons, notre activité génétique peut être bonne ou mauvaise.
Par conséquent, notre santé et notre vie changent également.
La professeure Barbara McClintock, qui a remporté le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1983 pour ses recherches sur les gènes, a également déclaré que les gènes sont des organes sensoriels, qu'ils communiquent entre eux et que nous coopérons avec notre environnement.
Dans son nouvel ouvrage, Le Gène empathique, Joachim Bauer présente une nouvelle perspective fondée sur ces résultats de recherche et sur le domaine émergent de la médecine psychosomatique et de la « génomique sociale ».
On dit qu'une attitude axée sur le sens et une attitude prosociale peuvent conduire à des schémas d'activité génétique positifs et bénéfiques pour la santé chez l'homme.
Lorsque l'esprit le désire, les gènes répondent et agissent en conséquence.
La génomique sociale est une nouvelle branche de la recherche scientifique, initiée par Stephen Cole, qui examine comment la pensée et le comportement humains influencent la société d'un point de vue génétique.
Selon les recherches en génomique sociale, notre rapport au sens et à la communauté face à la vie se reflète également dans notre structure physique.
Autrement dit, notre façon de penser et notre mode de vie imprègnent notre corps, nos cellules somatiques et même nos gènes.
Par conséquent, abandonner les stratégies égoïstes et mener une vie vertueuse, une vie de bonté et une vie de coexistence est logique non seulement sur le plan social et psychologique, mais aussi sur le plan biologique.
Selon Joachim Bauer, les gènes ne créent pas le « bien », mais ils réagissent à des attitudes humaines significatives, bienveillantes et sociales.
Elle induit une activité génique bénéfique pour notre santé et prévient des maladies telles que les maladies cardiovasculaires, le cancer et la démence.
Autrement dit, cela signifie que le repli sur soi, l'isolement social et l'aliénation favorisent ces maladies.
Cela a d'ailleurs été prouvé par de nombreuses études de cas.
Il existe dans notre organisme un groupe de gènes à risque appelé CTRA (Réponse transcriptionnelle conservée à l'adversité), et il a été confirmé que non seulement des facteurs tels que la consommation d'alcool ou de tabac, mais aussi l'attitude d'un individu face à la vie et son esprit civique influencent l'activité de ces gènes.
Il a également été confirmé que notre « soi », qui reconnaît « moi » et « toi », « nous-mêmes » et « les autres précieux », est connecté à ces objets significatifs par le biais de la « résonance du système nerveux ».
Nos gènes comme communicateurs et collaborateurs
Les maladies qui nous affectent sont le résultat de réponses inflammatoires chroniques et subaiguës dont nous n'avons pas conscience.
Autrement dit, c'est à cause des activités du club des gènes à risque qui agit secrètement depuis longtemps.
Ces activités génétiques sont influencées par des facteurs nocifs pour notre organisme, tels que de mauvaises habitudes alimentaires ou des comportements inappropriés, ainsi que par le stress mental qui, progressivement, affecte notre corps.
Ce stress mental inclut la compétition, l'égoïsme, l'isolement, l'aliénation, l'anxiété, l'agressivité et le manque de contacts sociaux.
Réfléchissons à l'expression « blues du corona ».
Comment l’« isolement social » dû au coronavirus nous a-t-il affectés ?
Par conséquent, ce qui est crucial pour la santé humaine, ce n'est pas tant d'hériter de « bons » ou de « mauvais » gènes, à quelques exceptions près.
On peut dire qu'il s'agit de la question de savoir comment l'activité génétique est régulée dans la vie d'un individu.
Ici, les humains peuvent s'influencer eux-mêmes.
Ceci s'explique par le fait que notre génome est en perpétuel mouvement, détectant des signaux provenant de l'« extérieur » et y répondant de manière unique.
Les gènes sont donc des « communicateurs ».
De plus, c'est un « collaborateur » qui contribue au bon fonctionnement de notre organisme grâce à cette communication.
Bien que nous n'en soyons pas conscients, les gènes font aussi partie de ce qui nous rend humains.
L'esprit et les gènes sont connectés par le système nerveux.
Comment pouvons-nous donc induire une activité génétique bénéfique ? L’auteur Joachim Bauer nous exhorte à rechercher une « vie réussie ».
La vie bonne dont nous parlons ici est l'« eudaimonia », un concept issu de la philosophie grecque et fondé sur l'humanité et l'empathie.
L'humanité et l'empathie, la nature biologique de l'être humain
Une attitude qui promeut la bienveillance, la coexistence sociale, l'esprit civique, l'équité et l'empathie active des programmes génétiques et des systèmes corporels bénéfiques à la santé humaine, réduisant ainsi le risque de maladie.
L'important, c'est que les humains, avec ces systèmes corporels et ces structures biologiques, puissent devenir des êtres empathiques.
Autrement dit, nous autres humains pouvons nous doter des outils neurobiologiques qui nous permettent de ressentir ce que les autres ressentent et de penser de leur point de vue.
Par conséquent, l'humanité et l'empathie sont inhérentes à la nature humaine.
Joachim Bauer va jusqu'à dire : « L'humanité et l'empathie qui font de nous des êtres humains sont innées et coulent dans nos veines. »
Le célèbre impératif catégorique de Kant, « Agis de telle sorte que la maxime de ton action devienne en même temps un principe universel », présuppose aussi explicitement la capacité et la volonté humaines.
Autrement dit, nous avons l'humanité.
En fin de compte, grâce aux ressources de l'humanité et de l'empathie, nous pouvons transformer non seulement la santé individuelle, mais aussi la vie de l'humanité et même la vie de la planète.
Ce dont nous avons besoin maintenant, c'est d'un changement d'attitude intérieure.
C’est précisément dans cette perspective que ce livre propose une voie à suivre pour surmonter la crise actuelle et bâtir un avenir possible.
En induisant une activité génétique bénéfique, nous pouvons créer un avenir meilleur et surmonter les problèmes qui accablent l'humanité.
Nous payons aujourd'hui un lourd tribut pour les actes de l'humanité.
De la guerre à la pauvreté, en passant par la haine, la destruction, la crise climatique et la pandémie de coronavirus.
Les gens qui ne se soucient que d'eux-mêmes ont ruiné notre communauté et le monde, en essayant de survivre seuls.
L’idée que les humains sont des « êtres égoïstes » a rendu possibles toutes ces actions.
Que pouvons-nous faire dans une telle situation ? Quel est, au juste, notre but ? Se battre, voler, rivaliser ? Joachim Bauer, neurobiologiste et psychiatre allemand de renom, réfute l’idée que les humains seraient des « êtres égoïstes », affirmant qu’ils sont des êtres guidés par la coopération, l’amour et la paix.
Selon Joachim Bauer, les gènes réagissent à nos pensées et à nos actions, c'est-à-dire à notre mode de vie.
Par conséquent, selon le mode de vie que nous adoptons, notre activité génétique peut être bonne ou mauvaise.
Par conséquent, notre santé et notre vie changent également.
La professeure Barbara McClintock, qui a remporté le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1983 pour ses recherches sur les gènes, a également déclaré que les gènes sont des organes sensoriels, qu'ils communiquent entre eux et que nous coopérons avec notre environnement.
Dans son nouvel ouvrage, Le Gène empathique, Joachim Bauer présente une nouvelle perspective fondée sur ces résultats de recherche et sur le domaine émergent de la médecine psychosomatique et de la « génomique sociale ».
On dit qu'une attitude axée sur le sens et une attitude prosociale peuvent conduire à des schémas d'activité génétique positifs et bénéfiques pour la santé chez l'homme.
Lorsque l'esprit le désire, les gènes répondent et agissent en conséquence.
La génomique sociale est une nouvelle branche de la recherche scientifique, initiée par Stephen Cole, qui examine comment la pensée et le comportement humains influencent la société d'un point de vue génétique.
Selon les recherches en génomique sociale, notre rapport au sens et à la communauté face à la vie se reflète également dans notre structure physique.
Autrement dit, notre façon de penser et notre mode de vie imprègnent notre corps, nos cellules somatiques et même nos gènes.
Par conséquent, abandonner les stratégies égoïstes et mener une vie vertueuse, une vie de bonté et une vie de coexistence est logique non seulement sur le plan social et psychologique, mais aussi sur le plan biologique.
Selon Joachim Bauer, les gènes ne créent pas le « bien », mais ils réagissent à des attitudes humaines significatives, bienveillantes et sociales.
Elle induit une activité génique bénéfique pour notre santé et prévient des maladies telles que les maladies cardiovasculaires, le cancer et la démence.
Autrement dit, cela signifie que le repli sur soi, l'isolement social et l'aliénation favorisent ces maladies.
Cela a d'ailleurs été prouvé par de nombreuses études de cas.
Il existe dans notre organisme un groupe de gènes à risque appelé CTRA (Réponse transcriptionnelle conservée à l'adversité), et il a été confirmé que non seulement des facteurs tels que la consommation d'alcool ou de tabac, mais aussi l'attitude d'un individu face à la vie et son esprit civique influencent l'activité de ces gènes.
Il a également été confirmé que notre « soi », qui reconnaît « moi » et « toi », « nous-mêmes » et « les autres précieux », est connecté à ces objets significatifs par le biais de la « résonance du système nerveux ».
Nos gènes comme communicateurs et collaborateurs
Les maladies qui nous affectent sont le résultat de réponses inflammatoires chroniques et subaiguës dont nous n'avons pas conscience.
Autrement dit, c'est à cause des activités du club des gènes à risque qui agit secrètement depuis longtemps.
Ces activités génétiques sont influencées par des facteurs nocifs pour notre organisme, tels que de mauvaises habitudes alimentaires ou des comportements inappropriés, ainsi que par le stress mental qui, progressivement, affecte notre corps.
Ce stress mental inclut la compétition, l'égoïsme, l'isolement, l'aliénation, l'anxiété, l'agressivité et le manque de contacts sociaux.
Réfléchissons à l'expression « blues du corona ».
Comment l’« isolement social » dû au coronavirus nous a-t-il affectés ?
Par conséquent, ce qui est crucial pour la santé humaine, ce n'est pas tant d'hériter de « bons » ou de « mauvais » gènes, à quelques exceptions près.
On peut dire qu'il s'agit de la question de savoir comment l'activité génétique est régulée dans la vie d'un individu.
Ici, les humains peuvent s'influencer eux-mêmes.
Ceci s'explique par le fait que notre génome est en perpétuel mouvement, détectant des signaux provenant de l'« extérieur » et y répondant de manière unique.
Les gènes sont donc des « communicateurs ».
De plus, c'est un « collaborateur » qui contribue au bon fonctionnement de notre organisme grâce à cette communication.
Bien que nous n'en soyons pas conscients, les gènes font aussi partie de ce qui nous rend humains.
L'esprit et les gènes sont connectés par le système nerveux.
Comment pouvons-nous donc induire une activité génétique bénéfique ? L’auteur Joachim Bauer nous exhorte à rechercher une « vie réussie ».
La vie bonne dont nous parlons ici est l'« eudaimonia », un concept issu de la philosophie grecque et fondé sur l'humanité et l'empathie.
L'humanité et l'empathie, la nature biologique de l'être humain
Une attitude qui promeut la bienveillance, la coexistence sociale, l'esprit civique, l'équité et l'empathie active des programmes génétiques et des systèmes corporels bénéfiques à la santé humaine, réduisant ainsi le risque de maladie.
L'important, c'est que les humains, avec ces systèmes corporels et ces structures biologiques, puissent devenir des êtres empathiques.
Autrement dit, nous autres humains pouvons nous doter des outils neurobiologiques qui nous permettent de ressentir ce que les autres ressentent et de penser de leur point de vue.
Par conséquent, l'humanité et l'empathie sont inhérentes à la nature humaine.
Joachim Bauer va jusqu'à dire : « L'humanité et l'empathie qui font de nous des êtres humains sont innées et coulent dans nos veines. »
Le célèbre impératif catégorique de Kant, « Agis de telle sorte que la maxime de ton action devienne en même temps un principe universel », présuppose aussi explicitement la capacité et la volonté humaines.
Autrement dit, nous avons l'humanité.
En fin de compte, grâce aux ressources de l'humanité et de l'empathie, nous pouvons transformer non seulement la santé individuelle, mais aussi la vie de l'humanité et même la vie de la planète.
Ce dont nous avons besoin maintenant, c'est d'un changement d'attitude intérieure.
C’est précisément dans cette perspective que ce livre propose une voie à suivre pour surmonter la crise actuelle et bâtir un avenir possible.
En induisant une activité génétique bénéfique, nous pouvons créer un avenir meilleur et surmonter les problèmes qui accablent l'humanité.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 1er juin 2022
Nombre de pages, poids, dimensions : 276 pages | 394 g | 135 × 195 × 20 mm
- ISBN13 : 9791164844210
- ISBN10 : 1164844210
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