
Un invité dans une maison vide
Description
Introduction au livre
Un regard chaleureux qui embrasse le cœur, raconté par l'auteure de renommée mondiale Hwang Seon-mi
L'histoire d'un invité de marque qui visite une maison vide par une nuit d'orage.
Boum, boum, boum
La cloche d'argent fut surprise de voir les grands yeux de la cloche d'or.
J'ai serré la petite goutte contre moi.
Geum-Bul sonna à la porte, le souffle coupé.
Doucement et doucement.
Hwang Seon-mi, une auteure de contes pour enfants appréciée depuis longtemps en Corée pour avoir démontré le « pouvoir des contes de fées » qui touche toutes les générations, et qui a également établi des records significatifs et surprenants en tant qu'écrivaine coréenne à l'étranger, notamment au Royaume-Uni et en Pologne avec « Leafie, une poule dans la nature », a publié un nouvel album illustré pour les plus jeunes intitulé « Un invité dans la maison vide » par Biryongso.
L'artiste Kim Jong-do, dont le style pictural se caractérise par des couleurs chaudes et chaleureuses ainsi que par des descriptions délicates qui restituent parfaitement la texture du paysage, a réalisé ce tableau.
Maman et Papa vont chez Grand-mère et disent à Geum-ul, l'aîné des renards, de bien prendre soin de ses jeunes frères et sœurs.
Mais soudain, il se met à pleuvoir des cordes comme si un orage approchait, et Geum-ul, réalisant que ses jeunes frères et sœurs qui jouaient devant la maison vide ont disparu, rentre précipitamment chez elle.
Le cœur battant la chamade, inquiète, j'ouvris la porte et découvris mes frères et sœurs qui se réchauffaient près de la cheminée.
À ce moment précis, alors que les clochettes dorées caressaient ma poitrine, un inconnu frappa à la porte de l'extérieur.
« Un invité dans une maison vide » est une œuvre qui se distingue avant tout par son récit concis et bref, qui laisse une impression profonde, et par les diverses histoires métaphoriques qu'elle contient.
C'est un excellent livre pour les enfants qui apprécient l'histoire et commencent à lire seuls, et c'est aussi un bon livre à lire à voix haute aux enfants avant de dormir, car il laisse un agréable souvenir.
En lisant à voix haute la prose simple mais touchante de Hwang Seon-mi, accompagnée des illustrations denses de Kim Jong-do qui donnent vie aux renardeaux par une nuit d'orage, vous ressentirez le charme et la force chaleureuse de cette œuvre.
L'histoire d'un invité de marque qui visite une maison vide par une nuit d'orage.
Boum, boum, boum
La cloche d'argent fut surprise de voir les grands yeux de la cloche d'or.
J'ai serré la petite goutte contre moi.
Geum-Bul sonna à la porte, le souffle coupé.
Doucement et doucement.
Hwang Seon-mi, une auteure de contes pour enfants appréciée depuis longtemps en Corée pour avoir démontré le « pouvoir des contes de fées » qui touche toutes les générations, et qui a également établi des records significatifs et surprenants en tant qu'écrivaine coréenne à l'étranger, notamment au Royaume-Uni et en Pologne avec « Leafie, une poule dans la nature », a publié un nouvel album illustré pour les plus jeunes intitulé « Un invité dans la maison vide » par Biryongso.
L'artiste Kim Jong-do, dont le style pictural se caractérise par des couleurs chaudes et chaleureuses ainsi que par des descriptions délicates qui restituent parfaitement la texture du paysage, a réalisé ce tableau.
Maman et Papa vont chez Grand-mère et disent à Geum-ul, l'aîné des renards, de bien prendre soin de ses jeunes frères et sœurs.
Mais soudain, il se met à pleuvoir des cordes comme si un orage approchait, et Geum-ul, réalisant que ses jeunes frères et sœurs qui jouaient devant la maison vide ont disparu, rentre précipitamment chez elle.
Le cœur battant la chamade, inquiète, j'ouvris la porte et découvris mes frères et sœurs qui se réchauffaient près de la cheminée.
À ce moment précis, alors que les clochettes dorées caressaient ma poitrine, un inconnu frappa à la porte de l'extérieur.
« Un invité dans une maison vide » est une œuvre qui se distingue avant tout par son récit concis et bref, qui laisse une impression profonde, et par les diverses histoires métaphoriques qu'elle contient.
C'est un excellent livre pour les enfants qui apprécient l'histoire et commencent à lire seuls, et c'est aussi un bon livre à lire à voix haute aux enfants avant de dormir, car il laisse un agréable souvenir.
En lisant à voix haute la prose simple mais touchante de Hwang Seon-mi, accompagnée des illustrations denses de Kim Jong-do qui donnent vie aux renardeaux par une nuit d'orage, vous ressentirez le charme et la force chaleureuse de cette œuvre.
- Vous pouvez consulter un aperçu du contenu du livre.
Aperçu
Avis de l'éditeur
L'histoire d'une nuit passée à rencontrer un étrange invité dans une maison vide.
Une maison laissée seule avec seulement des enfants, un profond sens des responsabilités et une grande camaraderie entre les frères et sœurs renards.
«Prenez bien soin de vos jeunes frères et sœurs.»
Et couvrez-moi d'une couverture pour que je n'attrape pas froid.
« Il ne faut pas ouvrir la porte aux inconnus. »
Lorsque ses parents quittent la maison, Geum-Bul ressent un sentiment de responsabilité en tant qu'aîné.
Quand il commence à pleuvoir, il cherche ses jeunes frères et sœurs qui jouaient devant la maison vide, et lorsqu'il les retrouve à la maison, il sourit de soulagement.
Soudain, on entend frapper à la porte, et la plus jeune, Petite Bang-ul, pense que c'est sa mère et court après elle pour ouvrir, mais celle-ci l'arrête en disant qu'elle doit d'abord vérifier qui c'est.
Geum-ul, qui avait aperçu le « grand gaillard inconnu » frapper à la porte à travers l'entrebâillement, serra son petit frère dans ses bras et retint son souffle en verrouillant la porte avec la poignée.
La relation entre les frères est révélée de manière réaliste dans la façon dont les trois frères et sœurs, Geumbangul, Eunbangul et Sogeunbangul, réagissent à un invité qui frappe à la porte par une nuit pluvieuse.
De Geumgangul, qui s'efforce de bien prendre soin de ses jeunes frères et sœurs sans oublier les instructions de ses parents, à Eunbangul, qui s'occupe du cadet mais a peur, en passant par Sobangul, encore jeune et sauvage, l'auteure Hwang Seon-mi mène symboliquement le récit par des dialogues courts et des descriptions concises, dans un petit espace de la maison où se trouvent seuls les enfants.
- Un cœur chaleureux et du courage pour affronter les inconnus et les situations effrayantes
Le grand gaillard qui frappait à la porte est parti, mais la petite fille commence à gémir, somnolente.
Petit Goutte a besoin d'une couverture pour dormir, mais il l'a laissée dans la maison vide où il jouait pendant la journée.
Geum-Bul se rend dans une maison vide pour prendre une couverture, mais lorsqu'il rencontre à nouveau l'étrange et grande créature dans la maison vide, il s'enfuit de peur.
Mais la petite clochette ne cesse de pleurer, et la clochette dorée a si froid et si peur que ses dents claquent, mais elle se rend à la maison vide à travers la nuit noire et la pluie pour chercher une couverture.
Geumgangul hésita.
« Oui, la petite goutte est juste endormie. »
Ce n'est pas que je sois malade !
Geum-Bul hésite, pris de peur, mais décide de ne pas prendre la couverture lorsqu'il aperçoit l'étrange grande créature allongée là, gémissant sous la couverture d'une petite cloche.
Au lieu de cela, ils apportent du bois sec et du thé chaud et les poussent dans la maison vide.
Au cours de ces trois allers-retours entre son domicile et le sien, Geum-Bul subit une transformation : d'une simple peur, elle devient un sens des responsabilités qui la surmonte, et elle développe un cœur chaleureux qui prend soin des malades.
De plus, la tension monte à mesure que les émotions de Geum-Bul s'intensifient lors de ses déplacements entre les deux maisons, offrant un moment dramatique et émouvant jusqu'à ce que l'identité de ce personnage inconnu soit révélée.
— Un paysage de renard qui semble exister quelque part, une autre image qui stimule l'imagination
Le tableau s'ouvre sur une scène représentant un petit renard se tenant dans un champ couvert de nuages sombres qui s'amoncellent, et à mesure que l'histoire progresse, il effectue un zoom sur le personnage et ne montre plus que le paysage, enrichissant visuellement le développement du récit.
Le contraste entre la maison du renard, exprimée en jaune chaud, et le paysage extérieur, exprimé en bleu nuit sombre et pluvieux, rend la tension et la peur de Geum-Bul face à 'Dang-Chi' encore plus dramatiques.
Cette peinture dense et minutieusement travaillée est vraiment admirable.
La vue d'un champ qui semble perdu au loin, une maison à flanc de colline où vit un renard, la sensation du vent soufflant dans l'herbe, les gouttes de pluie tombant sur les feuilles et la belle vision des renardeaux à la fourrure rêche sont toutes soigneusement exprimées dans chaque image avec un haut degré de perfection.
Une maison laissée seule avec seulement des enfants, un profond sens des responsabilités et une grande camaraderie entre les frères et sœurs renards.
«Prenez bien soin de vos jeunes frères et sœurs.»
Et couvrez-moi d'une couverture pour que je n'attrape pas froid.
« Il ne faut pas ouvrir la porte aux inconnus. »
Lorsque ses parents quittent la maison, Geum-Bul ressent un sentiment de responsabilité en tant qu'aîné.
Quand il commence à pleuvoir, il cherche ses jeunes frères et sœurs qui jouaient devant la maison vide, et lorsqu'il les retrouve à la maison, il sourit de soulagement.
Soudain, on entend frapper à la porte, et la plus jeune, Petite Bang-ul, pense que c'est sa mère et court après elle pour ouvrir, mais celle-ci l'arrête en disant qu'elle doit d'abord vérifier qui c'est.
Geum-ul, qui avait aperçu le « grand gaillard inconnu » frapper à la porte à travers l'entrebâillement, serra son petit frère dans ses bras et retint son souffle en verrouillant la porte avec la poignée.
La relation entre les frères est révélée de manière réaliste dans la façon dont les trois frères et sœurs, Geumbangul, Eunbangul et Sogeunbangul, réagissent à un invité qui frappe à la porte par une nuit pluvieuse.
De Geumgangul, qui s'efforce de bien prendre soin de ses jeunes frères et sœurs sans oublier les instructions de ses parents, à Eunbangul, qui s'occupe du cadet mais a peur, en passant par Sobangul, encore jeune et sauvage, l'auteure Hwang Seon-mi mène symboliquement le récit par des dialogues courts et des descriptions concises, dans un petit espace de la maison où se trouvent seuls les enfants.
- Un cœur chaleureux et du courage pour affronter les inconnus et les situations effrayantes
Le grand gaillard qui frappait à la porte est parti, mais la petite fille commence à gémir, somnolente.
Petit Goutte a besoin d'une couverture pour dormir, mais il l'a laissée dans la maison vide où il jouait pendant la journée.
Geum-Bul se rend dans une maison vide pour prendre une couverture, mais lorsqu'il rencontre à nouveau l'étrange et grande créature dans la maison vide, il s'enfuit de peur.
Mais la petite clochette ne cesse de pleurer, et la clochette dorée a si froid et si peur que ses dents claquent, mais elle se rend à la maison vide à travers la nuit noire et la pluie pour chercher une couverture.
Geumgangul hésita.
« Oui, la petite goutte est juste endormie. »
Ce n'est pas que je sois malade !
Geum-Bul hésite, pris de peur, mais décide de ne pas prendre la couverture lorsqu'il aperçoit l'étrange grande créature allongée là, gémissant sous la couverture d'une petite cloche.
Au lieu de cela, ils apportent du bois sec et du thé chaud et les poussent dans la maison vide.
Au cours de ces trois allers-retours entre son domicile et le sien, Geum-Bul subit une transformation : d'une simple peur, elle devient un sens des responsabilités qui la surmonte, et elle développe un cœur chaleureux qui prend soin des malades.
De plus, la tension monte à mesure que les émotions de Geum-Bul s'intensifient lors de ses déplacements entre les deux maisons, offrant un moment dramatique et émouvant jusqu'à ce que l'identité de ce personnage inconnu soit révélée.
— Un paysage de renard qui semble exister quelque part, une autre image qui stimule l'imagination
Le tableau s'ouvre sur une scène représentant un petit renard se tenant dans un champ couvert de nuages sombres qui s'amoncellent, et à mesure que l'histoire progresse, il effectue un zoom sur le personnage et ne montre plus que le paysage, enrichissant visuellement le développement du récit.
Le contraste entre la maison du renard, exprimée en jaune chaud, et le paysage extérieur, exprimé en bleu nuit sombre et pluvieux, rend la tension et la peur de Geum-Bul face à 'Dang-Chi' encore plus dramatiques.
Cette peinture dense et minutieusement travaillée est vraiment admirable.
La vue d'un champ qui semble perdu au loin, une maison à flanc de colline où vit un renard, la sensation du vent soufflant dans l'herbe, les gouttes de pluie tombant sur les feuilles et la belle vision des renardeaux à la fourrure rêche sont toutes soigneusement exprimées dans chaque image avec un haut degré de perfection.
SPÉCIFICATIONS DES PRODUITS
- Date de publication : 14 janvier 2016
- Format : Guide de reliure de livres à couverture rigide
Nombre de pages, poids, dimensions : 32 pages | 295 g | 192 × 243 × 15 mm
- ISBN13 : 9788949140261
- ISBN10 : 8949140268
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